Initiation Au Dessin Technique BAZEMO - UTM

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UTM Initiation au dessin technique Enseignant : Mr BAZEMO

Initiation au dessin technique

Sommaire
I. Introduction
II. Le matériel du dessinateur
III. Les différents types de dessins
IV. Les traits
V. Les écritures
VI. Les formats
VII. Le cadre – système de coordonnées
VIII. Le cartouche
IX. La nomenclature
X. Les échelles
XI. Les perspectives
XII. La représentation orthographique
XIII. Les sections et coupes
XIII.1. Les hachures
XIII.2. Les sections
XIII.3. Les coupes
XIV. Les cotations
XV. Représentation des éléments filetés.

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Objectifs

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I. Introduction
Le monde professionnel, scientifique et technique a besoin d’un langage complet, concis,
précis, impartial et rigoureux.
Le dessin technique doit permettre de réaliser concrètement tout équipement scientifique. Il
doit répondre à un cahier des charges précis tout en respectant le souhait du client, transmettre
à tous les services, du bureau d’étude à la fabrication finale, la pensée, l’idée et le mode de
réalisation de cet équipement.
Le dessin technique est un langage graphique avec des règles précises (une grammaire) et des
éléments ou symboles normalisés (un vocabulaire).
Normalisé internationalement (ISO,...), c’est l’outil de communication le plus universel,
utilisé partout dans le monde entier.
C’est pourquoi le dessin technique est le moyen d’expression indispensable et universel des
ingénieurs, des techniciens, des agents de maîtrise, des ouvriers qualifiés ainsi que de tous les
intervenants ou exécutants compétents.

II. Le matériel du dessinateur


✓ Crayon graphite 2H, HB, 2B et ou porte mine avec mines 2H, HB, 2B
✓ Gomme blanche
✓ Equerre 90° (45° et 30°/60° )
✓ Latte graduée 50cm (règle)
✓ Equerre avec rapporteur d’angle
✓ Compas
✓ Papier calque 90 g/m²
✓ Crayon graphite 2H, HB, 2B et ou porte mine avec mines 2H, HB, 2B.
✓ Une mine dur 2H pour les traits fins et le travail sur calque, une mine moyenne HB
pour les écritures, une mine tendre 2B pour les traits forts.
✓ Le crayon est caractérisé par le degré de dureté de sa mine et désigné par un code
formé de numéros et de lettres.

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III. Les différents types de dessins

Les dessins industriels se divisent en plusieurs familles complémentaires :

❖ Les croquis :

Nécessaire à la recherche, à la conception et à la prise sur le vif d’information, le croquis permet


d’aller à l’essentiel de la pensée technique du dessinateur. De formes et de dimensions
approximatives, il offre une vision globale des solutions techniques susceptibles d’être
adoptées. Généralement tracé sans instrument (dessin à main levée), il peut être coté.

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❖ Les schémas :

Ils sont tracés à partir de symboles normalisés. Chaque symbole représente ou schématise un
organe ou un composant particulier. Il permet de comprendre la fonction globale et le rôle
fonctionnel de chacun des composants d’un système, et de préciser l’agencement des
composants, de manière simplifiée et condensée.

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❖ Les dessins d’ensemble :

Ils permettent la représentation non schématique, plus ou moins détaillée, à une échelle
précisée, d’un ensemble ou d’un sous-ensemble constitué de composant. Le dessin d’ensemble
peut selon sa finalité, être réalisé en :

Dessin d’avant projet ou de conception, la représentation est alors limitée aux grandes lignes
d’une des solutions viables permettant d’orienter le choix du client.

Dessin de projet, où tous les détails nécessaires de la solution choisie sont représentés.

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❖ Les dessins de définition :

Complémentaires des précédents, ils définissent complètement et totalement chacun des


éléments de base d’un produit et les exigences auxquelles il doit satisfaire. Ils servent souvent
à établir des contrats entre concepteur et réalisateur.

❖ Les dessins de fabrication :

Généralement obtenus à partir des dessins de définition, ils donnent les indictions nécessaires à
la réalisation d’un composant de l’ensemble.

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❖ Les détails :

Les dessins de détails permettent de reprendre une partie du dessin à une échelle plus grande
afin de définir de façon claire un point particulier (une liaison particulière). Ils sont souvent en
relation avec un dessin d’exécution.

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IV. Les traits


Le dessin technique utilise de nombreux traits différents. Chaque trait possède une

signification bien précise et est destiné à un usage donné. Chaque trait est caractérisé par sa
nature (continu, interrompu, mixte), et par sa largeur (fort, fin).

Largeur des traits


Trait fort E Trait fin e
0,25 0,13
0,35 0,18
0,5 0,25
0,7 0,35
1 0,5
1,4 0,7

Remarques :
➢ Utiliser de préférence les groupes de lignes teintées en jaune.
➢ Conserver la même largeur des traits pour toutes les vues d’un même dessin à la même
échelle.
Types de traits normalisés :
Désignation Application Trait
Continu fort Arêtes visibles
Contours vus
Flèches de sens d’observation
Interrompu fin Arêtes cachées
Contours cachés
Fonds de filets cachés
Continu fin Lignes d’attache et de cote, Hachures,
Axes courts, Fonds de filets vus,
Cercles de pieds des roues dentées,
Contours de sections rabattues,
Constructions géométriques

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Mixte fin à un Axes de révolution


point et un tiret Axes de symétrie
long Cercle primitif des engrenages
Continu fin Limites de vues partielles
ondulé ou Limites de coupes et de sections locales
rectiligne en
zigzag
Mixte fort à un Indication de plan de coupe et de
point et un tiret section
long Indication de surfaces à spécification
particulières, Traitement de surface,
Partie restreinte d’un élément, Zone de
mesure restreinte
Mixte fin à Contours de pièces voisines
deux points et Positions de pièces mobiles
un tiret long Contours primitifs
Lignes de centre de gravité (charpente)
Parties situées en avant d’un plan sécant

NB : Les traits interrompus sont raccordés aux extrémités.


Un trait mixte se termine par des éléments longs.

V. Les écritures
NF EN ISO 3098
Le but de cette normalisation est d’assurer la lisibilité, l’homogénéité et la reproductibilité des
caractères.
L’emploi des caractères normalisés assure :
➢ La possibilité de microcopier correctement les documents ;
➢ La lecture possible des reproductions jusqu’à un coefficient linéaire de réduction de
0,5 par rapport au document original.

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V.1. Ecriture type B, droite

Remarque :
- Le I et le J majuscules n’ont pas de point.
- S’il n’y a pas de risque d’ambiguïté, les accents peuvent ne pas être mis sur les
majuscules.

V.2. Ecriture type B, penchée


En cas de nécessité, les caractères peuvent être inclinés de 15° environ vers la droite.
Les formes générales des caractères sont les mêmes que celles de l’écriture droite

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V.3. Dimensions générales


Les dimensions générales sont définies en fonction de la hauteur h des majuscules. Les
valeurs de h sont choisies parmi les dimensions du tableau ci-dessous.

Dimension nominale h 2,5 3,5 5 7 10 14 20


Hauteurs des majuscules (ou chiffres) h
Hauteurs des minuscules sans jambage c = 0,7h
Hauteurs des minuscules avec jambage h
Espace entre les caractères a = 0,2h
Largeur des traits d’écriture d = 0,1h
Interligne minimal b = 0,4h

Exemple de désignation dimensionnelle d’une écriture type B, verticale, alphabet latin et de


dimension nominale 7 : Ecriture ISO 3098-BVL-7

VI. Les formats normalisés NF EN ISO 5457


Les dimensions des feuilles sur lesquelles sont couchés les plans obéissent à une
normalisation. La norme internationale ISO 216 définit les formats de papier ISO.
Ces formats sont appelés formats de pliage car ils sont obtenus par subdivision en 2 de la plus
grande dimension du format précédent.
Le format d’origine est le format A0 à partir duquel tous les autres formats sont obtenus
(feuille de 1m² de surface).
Ainsi, ces formats demeurent proportionnels et peuvent être facilement juxtaposés ou
entreposés.

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Formats ISO série « A » et principe de pliage :

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Remarque :
- Les formats A3 et A1 sont positionnés en longueur.
- Les formats A4, A2 et A0 sont positionnés en hauteur
- Il faut choisir le format le plus petit compatible avec la lisibilité optimale du dessin

VII. Le cadre – Les repères – Le système de coordonnées

VII.1. Le cadre
La feuille possède une marge (cadre) de 10mm pour les formats les plus petits A4, A3 et A2,
et une marge de 20mm, pour les formats A1 et A0.
Cependant afin de permettre la reliure éventuelle des documents une marge de 20mm est
laissée au bord gauche pour les formats A4, A3 et A2 et une marge de 30mm est laissée au
bord gauche pour les formats A1 et A0.

La feuille comprend en général plusieurs vues réparties de manière équilibrée.


Exemple :
- Feuille de format A3 : 297 X 420mm
- Cadre de 10mm
- Elément à dessiner : rectangle 200 X 70 X 120
- 3 vues = 3 rectangles capables et 3 espaces (E)

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VII.2. Les repères


Les repères de centrage permettent de positionner correctement les documents lors d’une
éventuelle microcopie.
Lors de l’exécution du dessin l’un des deux repères d’orientation est dirigé vers le dessinateur,
l’autre doit être supprimé.

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VII.3. Le système de coordonnées


Le système de coordonnées permet de localiser aisément sur le dessin les éléments concernés
(coordonnées A1, B1, etc.).

VIII. Le cartouche
Le cartouche comporte les renseignements nécessaires et suffisants pour l’identification et
l’exploitation pratique des dessins techniques.
Le cartouche est positionné dans l’angle inférieur droit pour les formats A3 à A0 et pour le
format A4, il occupe toute la largeur du cadre. Sa position est invariable quelque soit le sens
de lecture du dessin.
Dans le cartouche on distingue trois zones principales :
- La zone d’identification ;
- La zone de classification ;
- La zone supplémentaire avec les données spécifiques
Le cartouche contient les indications suivantes :
- le titre du dessin
- l’échelle du dessin
- l’identité du dessinateur (nom, prénom, classe)
- la date
- le format
- le nom de l’établissement

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- l’indice de mise à jour du dessin


- le symbole de disposition des vues.

IX. La nomenclature
La nomenclature est la liste complète de toutes les pièces ou éléments constituant un
ensemble ou un sous-ensemble faisant l’objet du dessin.
Elle se présente sous forme de tableau placée dans le cadre, au dessus du cartouche, dont il a
la même largeur.
Pour chaque objet constitutif de l’ensemble, il est indiqué sur une ligne dans la nomenclature,
le numéro de repérage de la pièce, le nombre de pièces identiques, la désignation, la matière,
la référence normalisée ou commerciale et des observations.

Pour établir une nomenclature il ya deux étapes importantes à respecter :


1ère étape : on commence par repérer chaque pièce sur le dessin d’ensemble par un numéro.
L’ordre de ces numéros est croissant et il indique approximativement l’ordre du montage des
pièces, à l’exception de certaines d’entre elles (axes, goupilles, ressorts, pièces normalisées)
que l’on groupe généralement par catégories.

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- Aligner les repères


- Mettre un point à l’extrémité de la ligne d’attache du repère si elle se termine à l’intérieur
d’une pièce. Mettre une flèche si elle s’arrête sur son contour.
- Ménager périodiquement des repères libres. Ils pourront être utilisés si l’on ajoute, lors
des mises à jour, de nouvelles pièces (dans l’exemple, le repère 9 est un repère libre).

2ème étape : on établit ensuite la nomenclature


- Soit sur un document séparé ;
- Soit sur le dessin lui même ; dans ce cas, son sens de lecture est celui du dessin.

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X. Les échelles
L’échelle d’un dessin est le rapport entre les dimensions dessinées sur les dimensions
réelles d’un objet.
diNensions dessinées
Ecℎelle =
DiNensions réelles

Elle correspond à un nombre sans unité, qui peut être inférieur à 1 (réduction), égal à 1 (vraie
grandeur) ou supérieur à 1 (agrandissement).
L’expression d’une échelle se présente sous la forme d’un rapport irréductible de 2 nombres
entiers (sauf 2,5).
La désignation d’une échelle sur un dessin comprend le mot « Echelle » suivi de l’indication
du rapport choisi.
La norme recommande d’utiliser les 2 points comme symbole du rapport (divisé), même pour
une échelle supérieure à 1qui aura 1 au dénominateur
Exemple :
- « Echelle 1 : 1 », pour la vraie grandeur
- « Echelle 1 : x », pour la réduction
- « Echelle x : 1 », pour l’agrandissement
Remarque : si aucune ambiguïté n’est possible, le mot « Echelle » peut être supprimé.
Valeurs recommandées
Vraie grandeur 1:1
Réduction 1 : 2 – 1 : 5 – 1 : 10 – 1 : 20 – 1 : 50 – 1 : 100 – 1 : 200 etc.
Agrandissement 2 : 1 – 5 : 1 – 10 : 1 – 20 : 1 – 50 : 1 etc.

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XI. Les perspectives


Une vue en perspective permet de comprendre rapidement les formes et l’aspect
tridimensionnel général d’un objet.
Sur ordinateur, les logiciels 3D construisent directement un modèle tridimensionnel de l’objet,
ce qui permet d’obtenir à l’écran différentes perspectives en faisant tourner le modèle 3D
suivant les valeurs angulaires souhaitées.

XI.1. Perspective cavalière


Une des faces verticales (face de référence, la plus représentative de l'objet) et tous les plans
parallèles à cette face sont représentés sans déformation; ils sont appelés plan frontaux.
La perspective cavalière est une projection oblique sur un plan parallèle aux plans frontaux.
Le plan frontal doit montrer la face verticale la plus représentative de l’ objet ou l’ouvrage.
Toutes les droites perpendiculaires aux plans frontaux sont appelées fuyantes, et sont
représentées inclinées d'un angle.
Règles de représentation :
a. Les surfaces frontales parallèles au plan XOZ, (ou au front de l’observateur) sont
dessinées en vraie grandeur.
b. Les arêtes de bout (perpendiculaires aux surfaces frontales) se dessinent suivant
des fuyantes inclinées d’un même angle a et sont réduites dans un même rapport k.
Valeurs normalisées : a = 45° et k = 0,5.

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XI.2. Perspective isométrique


La perspective isométrique donne une bonne vision spatiale de l’objet. En revanche, aucune
dimension linéaire ou angulaire n’est représentée en vraie grandeur. Contrairement à la
perspective cavalière, aucune des 3 faces visibles (2 faces verticales, 1 face horizontale) d'un
objet dessiné en perspective isométrique n'est privilégiée par rapport aux 2 autres. Elles sont
observées toutes les 3 sous un même angle.
Règles de représentation :
a. Les 3 faces sont représentées déformées, les 2 faces verticales fuyant l'une vers la
droite, l'autre vers la gauche.
b. Les arrêtes verticales restent verticales
c. Les arêtes horizontales de ces 2 faces verticales sont des fuyantes inclinées
symétriquement de (+ ou -) 30° (par rapport à l'horizontale de la feuille).
d. Les valeurs des dimensions suivant X, Y et Z sont égales et réduites dans le rapport K
= 0,816. Pour les schémas, on peut prendre k = 1.
La face horizontale visible peut être celle de dessus ou celle de dessous.
Les rectangles capables de chacune de ces 3 faces sont en perspective isométrique des
parallélogrammes d'angles 60° et 30°.
Remarques :
- Tout cercle contenu dans un des plans parallèles à l’un des plans XOY, YOZ et ZOX se
projette suivant une ellipse.

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- Les grands axes des ellipses sont respectivement perpendiculaires aux axes OX, OY et OZ
(par exemple, le grand axe a1a2 est perpendiculaire à OY).

XII. La représentation orthographique


Une représentation orthographique d’un objet est la vue obtenue par la projection orthogonale
de chacune de ses faces sur un plan de projection. Une représentation orthographique est
réalisée :
- Soit en géométrie 2D en dessinant dans le plan de projection chaque vue de l’objet
suivant la direction et le sens d’observation spécifié ;
- Soit en projetant sur un plan chaque vue du modèle 3D suivant une direction et un sens
spécifié.

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XII.1. Position des vues


La représentation en projection d’un objet se traduit par le dessin de plusieurs vues.
La position des vues doit se faire selon des normes : la norme européenne et la norme
américaine.
▪ Selon la norme américaine, la vue de gauche se place à gauche de la vue de face.

▪ Selon la norme européenne, la vue de gauche se place à droite de la vue de face.

▪ Conventionnellement, les différentes vues occupent toujours la même position par


rapport à la vue de face qui est la vue la plus importante.

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Au Burkina Faso c’est la norme européenne qui est utilisée ; Et les différentes vues se
positionnent de la façon suivante :
- Vue de face : c’est la vue principale de l’objet
- Vue de dessus : située au dessus de la vue de face
- Vue de droite : située à gauche de la vue de face
- Vue de gauche : située à droite de la vue de face
- Vue de dessous : située au dessus de la vue de face
- Vue arrière (éventuellement) : La vue d’arrière peut aussi être placée soit à droite de la
vue de droite, soit à gauche de la vue de gauche.
Exemple :
Pour effectuer la mise en plan de l’objet ci-contre :
- Choisir tout d’abord une vue de face ; soit A cette vue en observant l’objet suivant la
flèche A ;
- Regarder ensuite suivant chacune des directions d’observations B, C, D, E, F, pour obtenir
les vues B, C, D, E, F.
Remarque : Le sens d’observation par rapport à la vue principale, ou vue de face définit la
dénomination de chaque vue.

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Vue Dénomination
A Vue de face
B Vue de dessus
C Vue de droite
D Vue de gauche
E Vue de dessous
F Vue d’arrière

XII.2. Choix des vues


En pratique, un objet doit être défini complètement et sans ambiguïté par un nombre minimal
de vues.
On choisit les vues les plus représentatives comportant le moins de vues cachées. Dans notre
exemple, ce sont les vues A, B et C.
Remarques :
- Le respect rigoureux et systématique de la correspondance de chacune des vues de l’objet
facilite l’exactitude des tracés et la bonne compréhension du dessin.
- L’adjonction de perspectives à la représentation orthographique facilite la compréhension
des formes de l’objet.

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XIII. Les sections et coupes


Les sections et coupes permettant d’améliorer la clarté et la lisibilité du dessin, il est, ainsi
possible de mettre en évidence :
- Des formes intérieures,
- Des épaisseurs
- Des détails locaux.
Afin de mettre en évidence la partie coupée, des hachures sont utilisées.

XIII.1. Les hachures


Les hachures sont tracées en traits fin régulièrement espacés. La distance entre les hachures
est généralement comprise entre 1,5 mm et 5 mm en fonction de la grandeur de la surface à
hachurer.
- Les hachures doivent être inclinées de préférence à 45° par rapport aux lignes principales
du contour.
- Les différentes parties de la section d’un même composant sont hachurées d’une même
manière.

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- Pour augmenter la lisibilité, les composants juxtaposés sont distingués par une inclinaison
différente des hachures.
- Pour les grandes surfaces, les hachures sont réduites à un simple liseré.
- Les hachures doivent être interrompues à l’endroit d’une inscription.

Afin de différencier les grandes catégories de matières, l’emploi des hachures ci-dessous peut
être utilisé sur les dessins d’ensemble.
On ne doit attribuer aux hachures aucune signification spécifique quant à la nature du
matériau. Celle-ci doit toujours être indiquée dans la nomenclature.

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XIII.2. Les sections


Les sections permettent d’éviter les vues surchargées en isolant les formes que l’on désire
préciser.
Une section représente, exclusivement, la partie de l’objet située dans le plan sécant.
Il existe plusieurs types de sections

XIII.2.1. Sections sorties


Une section sortie se présente comme une coupe dans laquelle on ne verrait pas l’arrière de la
pièce.

Méthode de représentation :
1. Repérer le plan sécant par ses extrémités en trait mixte fort.
2. Indiquer le sens d’observation par deux flèches en trait fort.
3. Repérer le plan sécant par une même lettre majuscule inscrite dans le prolongement du
trait mixte fort.
4. Supposer l’objet coupé par ce plan et enlever, par la pensée, la partie côté flèches.
5. Dessiner, en trait continu fort, la surface de l’objet contenu dans le plan sécant, en
regardant dans le sens indiqué par les flèches.
6. Hachurer en fonction de la nature du matériau.
7. Désigner la section par les mêmes lettres majuscules que le plan sécant.

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XIII.2.2. Sections rabattues


- Une section rabattue sera dessinée en surcharge sur une vue.
- Contour de la section en traits fins.
Méthodes de représentation :
1. Faire pivoter le plan sécant de 90° pour l’amener dans le plan du dessin.
2. Dessiner le contour de la section en trait continu fin pour ne pas surcharger la
représentation.
3. Hachurer la section. Dans ce cas, bien que cela soit à éviter, les hachures peuvent
couper un trait fort.

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XIII.3. Les coupes


Les coupes permettent d’améliorer la clarté et la lecture du dessin, notamment en remplaçant
les contours cachés des pièces creuses (traits interrompus fin) par des contours vus (traits
continus forts).
Une coupe représente la section et la fraction de l’objet situé en arrière du plan sécant.
Méthode de représentation :
- Coupée la pièce par la pensée
- Enlever la partie de la pièce située en avant du plan de coupe
- Dessiner la partie restante de la pièce en faisant bien apparaître ce qui est situé en arrière
du plan de coupe.
- Hachurer en traits fins la surface touchée par le trait de scie
- Repérer le sens de projection par une flèche en traits forts
- Repérer la coupe par deux lettres, sur le plan de coupe et sur la vue coupée.

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Remarques :
➢ Ne pas dessiner les arêtes cachées si cette représentation n’apporte rien à la
compréhension de l’objet.
➢ Les hachures ne traversent jamais un trait fort.
➢ Les hachures ne s’arrêtent jamais sur un trait interrompu fin.
➢ Dans certains cas (demi-coupe) les hachures s’arrêteront sur un trait mixte.

➢ L’intervalle entre les traits est fonction de la surface à hachurer.


➢ L’orientation ne doit pas suivre les directions principales des contours.

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XIII.3.1. Coupe locale


- Elle est utilisée pour montrer en trait fort un détail intéressant.
- En général, l’indication du plan sécant est inutile
- Elle n’est pas repérée
- La zone coupée est délimitée par un trait continu fin ondulé ou rectiligne en zigzag.

XIII.3.2. Demi-coupe
Lorsqu’une pièce est symétrique par rapport à un axe, il est commode de dessiner une demi-
vue accolée à une demi-coupe. Les traits forts ou les hachures pourront s’arrêter sur l’axe de
symétrie.

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XIII.3.3. Coupe à plans parallèles


Cette coupe est fréquemment utilisée. Elle présente l’avantage d’apporter, dans une seule vue,
d’une manière précise et claire un grand nombre de renseignements, sans qu’il soit nécessaire
d’effectuer plusieurs coupes.
Cependant, elle n’est employée que s’il n’y a pas chevauchement des détails de forme à
mettre en évidence et contenus dans les plans sécants.

Méthode de représentation :
- Couper différentes parties de la pièce par des plans parallèles.
- Supposer ces plans ramenés sur un seul plan de projection. Projeter sur ce plan.
- Repérage des changements de plan en traits forts.
- Un trait d’axe indique le changement de plan.
- Hachurage des surfaces

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Remarques :
- Les traces des plans sécants sont renforcées à chaque changement de direction.
- Dans la partie a de la coupe, les hachures s’arrêtent sur un trait mixte fin matérialisant la
surface limite entre les deux plans sécants.
- Pratiquement, pour la partie b de la coupe, la surface limite entre les deux plans sécants
n’est pas représentée.

XIII.3.4. Coupe à plans sécants


Le plan sécant oblique est amené par une rotation d’angle a, dans le prolongement du plan
placé suivant une direction principale d’observation.

Méthode de représentation :
- Couper différentes parties de la pièce par des plans concourants.
- Supposer le plan de coupe oblique ramené par rotation dans le prolongement de l’autre.
Projeter sur ce plan.
- Repérage des changements de plan en traits forts.
- Un trait d’axe indique le changement de plan.
- On ne dessine pas les parties cachées dans le plan rabattu.

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Remarque : Les détails placés en arrière des plans sécants et dont la représentation nuit à la
clarté du destin, sans rien apporter à la compréhension, ne sont pas dessinés.

XIV. Les cotations

XIV.1. But de la cotation


La cotation est l’inscription sur le dessin des dimensions réelles, linéaires ou angulaires, des
éléments dessinés.
Elle permet la lecture directe des dimensions générales d’un objet ou d’un ouvrage, ou des
éléments les constituant.
La cotation sert essentiellement à définir entièrement un objet ou un ouvrage en vue de sa
fabrication ou de sa construction.

XIV.2. Les éléments de la cotation


La cotation d’une longueur ou d’un angle comprend :
➢ Les lignes d’attache : ce sont 2 traits continus fins prolongeant ou déportant vers
l’extérieur les limites de l’élément à coter.

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➢ Une ligne de cote terminée par des pointes de flèches (largeur du trait 0,25mm
environ) : C’est un segment de la longueur de l’élément à coter (cotation linéaire), ou
un arc de cercle (cotation angulaire), en trait continu fin.
Ces extrémités s’appuient sur les lignes d’attache et sont terminées par deux pointes de
flèches généralement dirigées vers l’extérieur.
L’angle d’ouverture préconisé par la flèche est de 30°.
Sur certains dessins, notamment dans le bâtiment, chaque extrémité peut être terminée par un
trait oblique inclinée à 45°.

➢ Le chiffre de cote : C’est la valeur réelle de la longueur de l’élément à coter exprimée


dans une unité du système métrique (cotation linéaire), ou en degrés (cotation
angulaire). L’unité, en cotation linéaire, dépend des domaines d’activités ; elle n’est
pas inscrite à la suite de la cote.

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Règles générales :
1. Les lignes d’attache et les lignes de cote sont tracées en trait continu fin.
2. La ligne de cote dimensionnelle est tracée parallèlement à la dimension à coter
3. Les lignes d’attache sont parallèles entre elles
4. Les lignes d’attache doivent dépasser légèrement la ligne de cote.
5. Les lignes d’attache doivent être tracées perpendiculairement à l’élément à coter ;
toutefois, en cas de nécessité, elles peuvent être tracées obliquement mais parallèles
entre elles.
6. Les lignes d’attache passant par l’intersection de lignes d’épures (ou de construction)
doivent être prolongées légèrement au delà du point de concours
7. Si un élément est représenté en vue interrompue, les lignes de cote le concernant ne
sont pas interrompues.

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XIV.3. Disposition des cotes


❖ Cotation en série ou continue
Les lignes de cotes de plusieurs dimensions se suivent sans se chevaucher; elles sont portées
par la même droite.

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❖ Cotation en parallèle
Les lignes de cotes sont parallèles et ont toutes la même origine

❖ Cotation à cotes superposées ou cumulées


Les lignes de cotes sont superposées et ont toutes la même origine.
Leur extrémité origine commune se termine par un petit cercle, l’autre extrémité par une
pointe de flèche.
La cote (par rapport à l’origine commune) est inscrite perpendiculairement à la ligne de cote,
à coté de la pointe de flèche.

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❖ Cotation des chanfreins et des fraisures

❖ Symboles normalisés

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❖ Cas où l’on manque de place


Afin d’assurer la meilleur lisibilité possible de la valeur d’un coté :
- Inscrire la valeur de la cote au dessus du prolongement de la ligne de cote et de préférence
à droite ;
- Utiliser une ligne de repère lorsque la solution précédente n’est pas possible.

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❖ Cotation de grands diamètres


Afin d’éviter de suivre de longues lignes de cotes, la cotation ci-contre est particulièrement
recommandée. En outre, elle facilite la lecture des cotes en évitant une trop importante
superposition des chiffres.

❖ Cotation d’une demi-vue


Prolonger les lignes de cotes au delà de l’axe ou du plan de symétrie.

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❖ Cotation des cordes :


Les lignes d’attache sont parallèles.
La ligne de cote est linéaire.

❖ Cotation des arcs :


Les lignes d’attache sont parallèles.
La ligne de cote est un arc fin identique à
l’arc à coter

❖ Cotation des diamètres des cercles :


La ligne de cote, avec ses 2 pointes de
flèches, peut être directement tracée sur un
diamètre du cercle, inclinée de n’importe
quel angle

❖ Cotation des rayons :


Pour coter un rayon, on trace :
- Une ligne de cote ayant pour direction
un rayon de l’arc de cercle ;
- Une flèche pointée du cotée concave de
l’arc ; si l’on manque de place, il est
possible de tracer la flèche du coté
convexe.
Remarques :
- Lorsqu’il est nécessaire de situer, avec
précision le centre de l’arc de cercle qui
se trouve hors des limites du dessin,
briser la ligne de cote du rayon et
indiquer clairement sur quelle ligne se

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trouve le centre.
- Si la valeur de la cote d’un rayon se
déduit des valeurs d’autres cotes, mettre
uniquement le symbole R.

XIV.4. Erreurs à éviter

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XV. Représentation des éléments filetés.

XV.1. Définition
Un filetage est obtenu à partir d’un cylindre (quelquefois d’un cône) sur lequel on a exécuté
une ou plusieurs rainures hélicoïdales. La partie pleine restante est appelée filet.
On dit qu’une tige est « filetée extérieurement » ou « filetée » et qu’un trou est « fileté
intérieurement » ou « taraudé ».
Une tige filetée est aussi appelée vis et un trou taraudé écrou.

Le système vis écrou permet :


- D’assembler d’une manière démontable deux pièces (liaison des roues d’une voiture par
exemple) ;
- De transmettre un mouvement (vis d’étau par exemple).
Un filetage est caractérisé par :
- Son diamètre nominal (la vis et l’écrou ont le même diamètre nominal)
- Son pas : c’est la distance qui sépare deux sommets consécutifs d’une même hélice.
- Son nombre de filets

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XV.2. Représentation des éléments filetés

XV.2.1. Tige filetée (ou vis)


❖ On représente en traits forts la forme qu’avait l’axe avant l’usinage de l’hélice ainsi
que le début du filetage.
❖ On représente en traits fins le fond du filetage.
❖ Mêmes conventions en vues de coté et en coupe.
❖ Dans les vues cachées, toutes les arêtes sont représentées en traits interrompus.

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XV.2.2. Trou taraudé


❖ On représente en traits forts le trou existant avant l’usinage de l’hélice ainsi que la fin
du taraudage (angle au sommet de 120°).
❖ On représente en traits fins le fond du taraudage.

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XV.2.3. Assemblage d’éléments filetés (tige filetée dans un trou taraudé)


C’est la convention de dessin de la vis qui l’emporte dans l’assemblage.

➢ Vissage :
La vis passe à travers la pièce mince et se visse dans la pièce épaisse. La face intérieure de la
tête de vis assure le serrage.

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➢ Boulonnage :
La vis traverse les deux pièces minces sans s’y visser. Les faces intérieures de la vis et de
l’écrou assurent le serrage.

Remarques :
❖ Trou taraudé débouchant
❖ Les gorges sur l’arbre ou sur l’alésage permettent de dégager l'outil à la fin de
l’usinage.

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XV.3. Cotation des éléments filetés


❖ Le profil utilisé et ses dimensions sont indiqués à l’aide des désignations normalisés
❖ En règle générale, le sens de l’hélice à droite (RH) n’est jamais précisé et seul le sens
de l’hélice à gauche est précisé par l’ajout « LH ».
❖ Le diamètre à coter est le diamètre nominal commun à la vis et à l’écrou
❖ La cotation se fait toujours sur les traits extérieurs
❖ Ne pas mettre le symbole Ø.
❖ La lettre M indique qu'il s'agit d'un filetage Métrique normalisé.

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XV.4. Quelques éléments normalisés

XV.4.1. Vis à tête hexagonale – Vis à tête carrée

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XV.4.2. Vis à tête cylindrique à six pans creux – Vis à tête fraisée à six pans creux

" ” ” Tate cyllndriqua NF EN ISO 4762


La capacite de transmission du couple de serrage est un peu * *” *
plus faible que cellé dies model d’enIrainement hexagonal
ou.carré:
Elle présente notarnment I‘avantage :
B d’une absm e d’ar4tes vives rieures ($écurité. esthé-
lque...) ;
z d’un mode d’entrainement de faib|e.encsmbrement. *
k-d

THe frakée NF EN ISO 10642

EXEMPLE”DE DESIGNATION : Vfs â tâfe cyliñddg”ue â*x pañs:


creuy ISO 4762 - Md x’t - classe de,:quaInt**°.;

Yis ¥ tét¥ cylindrique d cix pans creux ¥is â t 4e fraiséc â six pnns crruX

Zingué bicnrpmete Zingué blanc

Lonpueurs I et lonqueurs filetées x

3 32
36.36 36 36’ 36 36;36 46 36 36
40 40 40 40 4O
44 44 44 %4 44 4 44

” Torftes let valours cle I â i’intérieur du radr0 rouqp.correspondent â des his â tiqe entiérement {ileteg,
”" Fee valours numéri”tues indiquent les lonqueun file‹ée x des vis” â tige” partiellement fiIet§e, ” ' flasse"de. qu'a|ité. ou fa mâ»ére (vgir cl1qpitfe $$),

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XV.4.3. Vis à tête fendue

Té'te cylindrique TGte cyllndrique


e Ces vis sont utilisées pour des assemblages a faiblés fendue large fendue
NF EN ISO 1207 NF EN IS.0 1580
sollicitati.ons mécaniqué‹.
a Ce type d’entra!nement ne convient pas au vissage
automatisé.
a Fabricatiori courante : extrémité ftL.

Téte fraisée bombée


fendue
NF EDI ISO :2010

M0 . 16’ 20 20 i 6’ . iS pp X (x) I x
EXEMPL.? .DE DéSlfiNA7IO.N : Vis,â tttc.fraIséé.fioinb@ ; I -ñ/4
ISO. 2010..-”Md x I .classe de.quaIité**”.

Yis â tote cyliodrique fendue Vis J téte «ylindrique bombée large â empreinte
crudform<

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