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Cosmo 1552

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Cosmography

http://en.wikipedia.org/wiki/Star_cartography

Cosmography is the science that maps the general features of the universe; describes both
heaven and Earth (but without encroaching on geography or astronomy).

The 14th century book 'Aja'ib al-makhluqat wa-ghara'ib al-mawjudat by Persian physician
Zakariya al-Qazwini is considered to be an early work of cosmography.

In 1551.Martin Cortes, from Zaragoza, Spain, published Breve compendio de la esfera y del
arte de navegar, translated into English and reprinted several times and of great influence in
Britain for many years. He proposed the spherical charts and mentioned the magnetic
deviation an existence of magnetic poles.

Peter Heylyn's 1652 book "Cosmographie" (enlarged from his "Microcosmos" of 1621) was
one of the earliest attempts to describe the complete world in English being the first known
description of Australia and among the first of California. The book comprises 4 sections,
examining the geography, politics, and cultures of Europe, Asia, Africa, and America, with an
addendum on Terra Incognita, including Australia, and extending to Utopia, Fairyland, and
the "Land of Chivalrie".

In 1659, Thomas Porter published a smaller but extensive "Compendious Description of the
Whole World" which also included a Chronology of world events from Creation forward.
These were all part of a major trend in the European Renaissance to explore (and perhaps
comprehend) the known world.

The word was commonly used by Buckminster Fuller in his lectures.


Aquarius according to
Hyginus
Aquarius according to
Johann Bayer's Uranometria
based on the Rudolphine Tables

Aquarius according to
KStars
A Chinese star map with cylindrical projection similar to Mercator projection, from Su Song's
book Xin Yi Xiang Fa Yao published in 1092.

1092 - Xin Yi Xiang Fa Yao (新儀 象法要), by Su Song, a horological treatise which had the
earliest existent star maps in printed form, which featured cylindrical projection similar to
Mercator projection, the latter devised in Europe by Gerardus Mercator's in 1569. Su's star
maps also featured the corrected position of the pole star which had been deciphered due to
the efforts of astronomical observations by Su's peer, the polymath scientist Shen Kuo.
Long exposure of stars appearing to circle
the North Celestial pole. The daily rotation of Earth creates the appearance of rings around the
pole.

Other planets
Pole stars of other planets are defined analogously: they are stars that most closely coincide
with the projection of the planet's axis of rotation onto the celestial sphere. Different planets
have different pole stars because their axes are oriented differently.

 Alpha Pictoris is the south pole star of Mercury, while Omicron Draconis is the north
star.[2]
 Delta Doradus is the south pole star of the Moon
 Kappa Velorum is only a couple of degrees from the south celestial pole of Mars. The
top two stars in the Northern Cross, Sadr and Deneb, point to the north celestial pole
of Mars.[3]
 Delta Octantis is the south pole star of Saturn
 Eta Ophiuchi is the north pole star of Uranus and 15 Orionis is its south pole star
 The north pole of Neptune points to a spot midway between Gamma and Delta Cygni.
Its south pole star is Gamma Velorum
 Pluto's north pole points toward the constellation Delphinus

Position conventionnelle.

Bien que ce soit la Terre qui tourne sur elle-même, on choisit, pour plus de
facilité, de faire comme si la Terre était fixe, le Soleil (et le ciel) tournant autour
d'elle. On parle donc du mouvement apparent du Soleil. Cette façon de faire
explique les expressions : « le Soleil se lève » ou « le Soleil se couche ».
L'écliptique est la trajectoire apparente du Soleil en une année ; c'est aussi le
plan (incliné de 23o26' sur celui de l'équateur) dans lequel se déplace en réalité le
centre de la Terre autour du Soleil. Les 2 intersections de l'écliptique avec
l'équateur sont les équinoxes. Le point vernal (ou point γ) est le point où se
trouve le Soleil à l'équinoxe de printemps. On distingue un point γ vrai qui se
déplace chaque année par rapport aux étoiles fixes (il fait ainsi le tour en
25 785 ans), et un point γ fixe conventionnel.

Ce point γ se décale donc de 1 degré par jour par rapport aux étoiles de fond.

γ vrai rétrograde chaque année d'environ 50 26 ( ???), en raison du


mouvement en axe de toupie de l'axe du monde autour duquel tourne la Terre
(précession des équinoxes), d'où il résulte que le pôle boréal (Nord) n'est pas
toujours à la même place dans le ciel ; actuellement très proche de l'étoile
Polaire (étoile α de la Petite Ourse), il se trouvait il y a 4 000 ans dans la
constellation du Dragon. Le pôle austral (Sud) tourne de la même façon.

Coordonnées horizontales d'une direction.

1o) L'azimut a, angle dièdre du vertical de P' et de celui de M, compté en degrés


dans le sens rétrograde, de 0o à 360o ou de - 180o à + 180o (dans la marine française, le vertical
de P et non celui de P' étant employé comme origine des azimuts, il faut ajouter 180 o à
l'azimut astronomique pour obtenir l'azimut des marins).

2o) La hauteur h, angle de la direction (D) et du plan de l'horizon, comptée en degrés


de - 90o à + 90o, à laquelle on substitue parfois la distance zénithale z, angle des directions du
zénith Z et de M, comptée de 0o à 180o. On a évidemment z = 90o - h.
Coordonnées équatoriales célestes (de la direction représentée par M).

1o) La déclinaison δ, angle de la direction avec le plan de l'équateur céleste, comptée en


degrés de - 90o à + 90o (on utilise parfois aussi la distance polaire, angle des directions du pôle
P et de M, et qui est le complément algébrique de la déclinaison).

2o) L'ascension droite α, angle dièdre du méridien de la direction et de celui d'un point
donné γ de l'équateur céleste, dit point vernal ou équinoxe ; elle est comptée dans le sens
direct, parfois en degrés, de 0o à 360o, plus souvent en heures, de 0 h à 24 h

(1 h  15o, 1 min  15', 1 s  15’’).

Coordonnées horaires, temps sidéral local.

1o) La déclinaison δ, déjà définie.

1. Repérage d'une étoile sur la sphère céleste. Angle sphérique MM' entre l'étoile et le plan
de référence, angle O'M' entre la projection sphérique de M sur ce plan et un point origine O'
fixe. 2. Sphère locale et coordonnées horizontales. Z : zénith, N : nadir, h : hauteur, z :
distance zénithale, a : azimut, (H) : cercle horizontal, (C) : cercle de hauteur. 3. Sphère locale
et coordonnées horaires. H : angle horaire, δ : déclinaison, (A) : équateur céleste, (L) :
parallèle céleste. 4. Sphère des fixes et coordonnées équatoriales. (E) : écliptique, γ : point
vernal, α : ascension droite, δ : déclinaison.

2o) L'angle horaire H, dièdre du méridien de la direction envisagée et de celui du lieu.


Compté, dans le sens rétrograde, en degrés ou plus souvent en heures, de 0 h à 24 h, ou de
- 12 h à + 12 h.

Le passage du système de coordonnées horaires au système de coordonnées équatoriales est


immédiat dès qu'on connaît l'angle horaire T (dit temps sidéral) du point vernal, qui est aussi
l'ascension droite du zénith. L'angle horaire et l'ascension droite de toute direction sont en
effet liés par la relation T = H + α.

Coordonnées écliptiques. 1o) La longitude céleste, angle dièdre des 2 demi-grands cercles
dont les extrémités sont les pôles Q et Q' de l'écliptique, et qui contiennent respectivement le
point vernal et le point représentatif de la direction envisagée, comptée de 0o à 360o, dans le
sens direct.

2o) La latitude céleste, angle de la direction envisagée et du plan de l'écliptique, comptée de


- 90o à + 90o. Les coordonnées équatoriales (ou écliptiques) d'une direction fixe ne sont pas
constantes, car elles sont définies à partir de plans fondamentaux (équateur, écliptique)
animés de mouvements dus aux actions perturbatrices de la Lune, du Soleil et des planètes.
Ces mouvements sont conventionnellement décomposés en nutation (superposition
d'oscillations périodiques de courte période et de faible amplitude) et précession (mouvement
lent, mais de grande amplitude). Si l'on ne tient compte que de ce dernier mouvement,
l'écliptique, l'équateur et le point vernal ainsi définis sont dits moyens. Si l'on introduit aussi
la nutation, l'équateur et l'écliptique sont dits vrais. La précession modifie la longitude
écliptique, puisque celle-ci est mesurée à partir du point γ ainsi que les coordonnées
équatoriales. La position des astres est alors donnée par rapport à la Terre considérée comme
le centre de la sphère céleste. L'ascension droite donne la position par rapport aux pôles
célestes et à un méridien origine, et la déclinaison par rapport à l'écliptique céleste.

Date d'entrée du soleil en 2007 dans les constellations et, entre parenthèses, dans les signes du
zodiaque. Capricorne 20-01 (-), Verseau 16-02 (19-01), Poissons12-03 (18-02), Bélier 19-04
(21-03), Taureau 14-05 (19-04), Bélier 18-05 (-), Taureau 20-05 (-), Gémeaux 22-06 (20-05),
Cancer 21-07 (21-06), Lion 11-08 (22-07), Vierge 17-09 (22-08), Balance 31-10 (22-09),
Scorpion 23-11 (23-10), Ophiucus 30-11 (-), Sagittaire 18-12 (22-11), Capricorne - (21-12).

L'entrée du Soleil dans le Bélier correspond à l'équinoxe de printemps ; dans le Cancer au


solstice d'été ; dans la Balance à l'équinoxe d'automne ; dans le Capricorne au solstice d'hiver.

Zodiaque. Zone de la sphère céleste qui s'étend sur 8,5o de part et d'autre de l'écliptique (dans
laquelle semblent se mouvoir le Soleil dans son mouvement apparent, la Lune, les grosses
planètes et une partie des petites), divisée en 12 parties de 30o de longitude. Les signes
doivent leur nom aux constellations avec lesquelles ils coïncidaient il y a 2 000 ans : le
passage du Soleil au point vernal (jour de l'équinoxe du printemps ; actuellement c'est dans la
constellation des Poissons, dans 2 000 ans ce sera dans la constellation du Verseau) coïncidait
avec son entrée dans le signe du Bélier qui contenait alors la constellation du Bélier. Par suite

de la précession des équinoxes, le point vernal rétrograde sur l'écliptique de 50 26, soit
30o en 2 150 ans. Le Zodiaque comprend en fait 13 constellations (avec le Serpentaire).

DÉFINITIONS - 2 < DÉFINITIONSSYSTÈME SOLAIRE > SYSTÈME SOLAIRE - 1

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