Niveau 3AS
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CLASSES: 3.AS.
LE PROJET N° 1:
LA PROBLEMATIQUE :
Anticiper sur le contenu et la forme du Document à produire :
- Qu’est- ce qu’un dossier documentaire ? (Textes, photos, etc.).
- Qu’est ce qu’une fiche de synthèse ? (Date : événement).
- Que rechercher ? Dans quelle intention ?
Le discours historique associé au discours explicatif et objectif (dates, lieux, noms, etc.) dans la
présentation d’un fait d’histoire ; le discours argumentatif dans la présentation du combat d’un héros (bravoure,
engagement, sacrifice, etc.) ; le discours narratif dans les témoignages d’une personne qui raconte ses fait et
gestes (au style direct) durant une bataille par exemple.
1. Mise en place de l’intitulé du Projet : Formulation et Problématisation en classe des termes du Projet.
2. Mise en route :
• Evaluation Diagnostique pour sensibiliser l’élève aux caractéristiques du discours historique.
• Expression Ecrite.
3. Mise en œuvre : lancement des séquences d’apprentissage.
• La séquence 1 : Produire un texte pour présenter un fait d’histoire (qui était à l’origine un fait d’actualité
ou un simple fait divers).
• La séquence 2 : Produire un texte pour présenter la biographie et le combat d’un héros de la guerre.
• La séquence 3 : Produire un texte et y insérer des témoignages.
4. Finalisation du Projet : présentation des fiches de synthèse.
5. Evaluation Somative.
EVALUATION DIAGNOSTIQUE: (2 séances).
LeTexte:
Au déclenchement de la lutte armée de libération, le 1er novembre 1954, le territoire national, champ
de bataille principal, a été divisé en cinq zones avec à la tête de chacune d’entre elles un dirigeant assisté de
deux adjoints, choisis pour y organiser l’insurrection, mobiliser les masses, irriguer le pays de la pensée
patriotique, et de l’objectif que poursuivaient les insurgés. Il fallait nécessairement pour cela passer par une
phase entièrement consacrée à l’organisation par la pénétration profonde du pays afin de préparer le peuple
algérien dans son ensemble à faire face avec « tous les moyens », qu’on savait limités, à une des plus
formidables armées de l’époque, laquelle, malgré son affaiblissement récent avec la débâcle de 39-40 face à
l’Allemagne nazie, demeurait puissante et efficacement appuyée par l’OTAN. Une armée organisée, rompue
aux conflits modernes, de surcroît plus que jamais motivée pour redorer dans les djebels algériens, un blason
flétri dans les rizières d’Indochine et sérieusement mortifié à Dien bien phû. Mais une armée aguerrie. Il ne faut
pas se leurrer, l’armée française n’était pas un adversaire de moindre taille, même si, comme disait le général
américain Westmorland, on ne peut rien apprendre d’elle « qui n’a pas gagné une bataille depuis Napoléon ». Et
au risque de se répéter, comparées à celles de l’ennemi, les ressources tant humaines que matérielles dont
disposait l’A.L.N naissante, revenaient à partir à l’assaut du ciel. Mais si le ciel était la demeure de la liberté, la
determination populaire commandait d’aller l’y quérir.
Les questions :
1. De quel domaine traite ce texte ?
2. Est-il écrit par un historien ou par un journaliste ? justifiez votre réponse.
3. Quel est le regard qu’il porte sur l’armée coloniale et sur l’ALN. ?
4. En combien de zones a-t-on divisé le territoire national au déclenchement de la lutte armée ?
5. Quelles étaient les missions assignées à chacun des dirigeants de ces zones ?
6. Que veut dire le texte par l’expression : … avec « tous les moyens » ?
7. Que représentent les dates citées dans le texte ?
8. Quelles étaient les deux autres guerres menées par l’armée française avant la guerre d’Algérie ?
9. Que veulent dire les sigles « OTAN » et « ALN » ?
Vous avez étudié en histoire la période de la colonisation française en Algérie, entre 1830 et 1962. Retracez
dans un court texte quelques événements marquants de cette période. Utilisez une seule page de votre double
feuille.
Le Texte : Guerre d’Algérie : Le témoignage de Louisette Ighilahriz
J’étais allongée nue, toujours nue. Ils pouvaient venir une, deux, ou trois fois par jour
(…) Dès que j’entendais le bruit de leurs bottes dans le couloir, je me mettais à trembler.
Ensuite, le temps devenait interminable. Les minutes me paraissaient des heures, et les heures
des jours. Le plus dur, c’est de tenir les premiers jours, de s’habituer à la douleur. Après, on se
détache mentalement, un peu comme si le corps se mettait à flotter.
Massu était brutal, infect. Bigeard n’était pas mieux, mais le pire, c’était Graziani. Lui
était innommable, c’était un pervers qui prenait un malin plaisir à torturer. Ce n’était pas des
êtres humains. J’ai souvent hurlé à Bigeard : " Vous n’êtes pas un homme si vous ne m’achevez
pas ! " Et lui me répondait en ricanant : " Pas encore, pas encore ! " Pendant ces trois mois, je
n’ai eu qu’un but : me suicider, mais, la pire des souffrances, c’est de vouloir à tout prix se
supprimer et de ne pas en trouver les moyens.
Ils ont arrêté mes parents et presque tous mes frères et soeurs. Maman a subi le supplice
de la baignoire pendant trois semaines de suite. Un jour, ils ont amené le plus jeune de ses neuf
enfants, mon petit frère de trois ans, et ils l’ont pendu …
Les questions :
COMPREHENSION :
« Ce n’était pas des êtres humains », nous dit-elle. Relevez les qualifiants qu’elle
réserve à chacun de ses trois tortionnaires : les généraux Massu et Bigeard, et puis
Graziani.
2-Quel était son but pendant les mois de sa détention ? Avait-elle les moyens d’atteindre
ce but ?
7-Mettez J’ai souvent hurlé à Bigeard : " Vous n’êtes pas un homme si vous ne
m’achevez
pas ! " En commençant comme suit : J’ai souvent hurlé à Bigeard que …
Expression Ecrite :
I- Compréhension- lecture :
a- Observation du Texte :
a- Les noms et les dates qui attirent votre regard vous font penser à quel thème ?
b- Avant de lire le texte, pouvez-vous déterminer de quel domaine relève-t-il ?
b- Lecture silencieuse.
Les responsables du déclenchement de la lutte armée, après en avoir pris la décision irrévocable, se sont
séparés et chacun s’en est allé rejoindre son poste. Ainsi, Mostefa Ben Boulaid devait diriger la zone I qui
correspondait au massif des Aurès – Nememchas ; Rabah Bitat, le Nord Constantinois qui était la zone II ; La
zone III qui s’étendait sur la haute et la basse Kabylie a été confiée à Krim Belkacem ; le Centre qui correspond
à l’Algérois et l’Ouarsenis dénommé zone IV est revenu à Didouche Mourad et enfin la zone V, qui était
l’Oranie, était dirigée par Larbi Ben Mhidi. La zone VI sera créée par le congrès de la Soummam, de même que
la zone autonome d’Alger. Toutefois, pour des raisons peu ou prou convaincantes et diversement expliquées,
Bitat et Didouche devaient permuter quelques semaines avant le déclenchement. Au Caire, se trouvaient Hocine
Ait Ahmed, Ahmed Ben Bella et Mohamed Khider qui représentaient la délégation extérieure. Boudiaf, chargé
de la coordination générale, les rejoindra à la fin du mois d’octobre 1954. On est jamais de trop, se disait-on,
dès lors qu’il s’agissait de mobiliser les solidarité internationales, de lancer une action diplomatique afin de
garantir l’acquisition d’armes et assurer leur acheminement vers l’intérieur. Toutefois, avant de se séparer, les
« six historiques » s’étaient fixés rendez-vous pour le 10 janvier 1955 afin de faire le point. L’état de guerre
généralisée n’allait pas tarder à s’installer sinon à travers toute l’Algérie, mais au moins dans l’esprit de tous ses
habitants qu’ils soient algériens de souche ou européens. L’embrasement a été immédiat, particulièrement dans
les Aurès ; dès les premiers mois, la zone dirigée par Ben Boulaid allait subir une intolérable pression. Les
autorités coloniales donnent dès les premières salves le ton de ce qui allait devenir un des conflits parmi les plus
violents du XX ème siècle, et Dieu sait s’il en a connu !
Fidèle à sa réputation de brutalité, l’armée française, au service du colonialisme, s’est engagée dans une
répression héritée de Saint-Arnaud, Pélissier et autres Trézel. Les combattants de l’ALN ne sont pas en reste et
répliquent par une rare audace qui accompagne chacune de leurs opérations, au déluge de fer et de feu qui
s’abat sur le pays. Du côté du FLN, le départ vers l’extérieur de Boudiaf a privé l’intérieur d’un lien susceptible
d’organiser la concertation, de favoriser la communication, de dégager une stratégie commune pour impulser à
l’engagement qui venait d’être entrepris, suffisamment d’énergie pour créer une pression permanente et élevée
sur l’ennemi. Il a fallu donc attendre 1956 et le 20 août, pour que la révolution, qui avait atteint le point de non-
retour – puisque la pénétration des déchras et des douars était alors pratiquement achevée à travers tout le
territoire national – pour que les dirigeants se réuninssent enfin en congrès. (…)
• A l’écrit
Faites correspondre dans un tableau de trois colonnes les noms des hommes cités avec les régions et les
responsabilités qui leur ont été désignées.
Le Texte n° 1 :
La Guerre d’Algérie se déroule de 1954 à 1962 et débouche sur l’indépendance de l’Algérie, colonie
française de 1830 à 1848, puis partie intégrante du territoire de la République. Cette « guerre » est surtout, sur
le plan militaire, une guérilla. La doctrine de la guerre révolutionnaire, mettant en œuvre l’arme psychologique
est rejetée par le commandement. Elle oppose l’armée française dans sa diversité, faisant cohabiter commandos
de troupes d’élites (parachutistes, légionnaires), forces de maintien de l’ordre (gardes mobiles, CRS) appelés du
contingent et supplétifs indigènes (harkis, moghaznis) aux troupes indépendantistes de l’Armée de Libération
Nationale (ALN), branche armée du Front de Libération Nationale (FLN) d’encadrement politico administratif
(CNRA et CCE). Militairement gagnée par la France en 1959 (Opération Jumelles), elle est politiquement
remportée par le mouvement indépendantiste en 1962.
Elle se double d’une guerre civile et idéologique au sein des deux communautés, donnant lieu à des vagues
successives d’attentats, assassinats et massacres sur les deux rives de la Méditerranée. Côté musulman,
elle se traduit par une lutte de pouvoir qui voit poindre la victoire du FLN sur les partis algériens
rivaux, notamment le MNA (Mouvement National Algérien) et par une campagne de répression contre les
harkis soutenant le statu quo du rattachement de l’Algérie à la République française. Par ailleurs, elle suscite
côté français l’affrontement entre une minorité active hostile à sa poursuite (mouvement pacifiste), une seconde
favorable à la révolution (les « porteurs de valises »), et une troisième ralliée au slogan de l’ « Algérie française
» (Front Algérie Française, jeune Nation, OAS).
Cette guerre s’achève à la fois sur la proclamation de l’indépendance de l’Algérie le 5 juillet 1962 suite au
référendum d’autodétermination du 1er juillet prévu par les accords d’Evian du 18 mars 1962, sur la naissance
de la République Algérienne le 25 septembre et sur le rapatriement du million de français vivant en Algérie.
Les questions :
c- Relevez dans un tableau de trois colonnes les verbes conjugués dans ce texte : à l’actif, au passif et au
participe. Précisez à chaque fois de quel temps il s’agit.
d- Quelles est la valeur de ce temps dominant : (narration, histoire, vérité générale, habitude) ?
e- Pour quelle raison l’historien a-t-il choisi ce temps ?
f- Introduisez une subordonnée relative à la place de chaque participe. A quel temps conjuguez-vous ces
verbes ?
La guerre d’Algérie est aussi nommée, selon les points de vue et les époques, « guerre d’indépendance
algérienne, guerre de libération nationale, révolution algérienne ou événements d’Algérie ».
En droit, seuls peuvent faire la guerre ceux qui ont la personnalité juridique de droit international (en partie
parce qu’une déclaration de guerre est un traité et qu’il faut avoir la capacité juridique pour le signer). Refuser
de qualifier juridiquement les événements d’Algérie de « guerre » revient donc à refuser de reconnaître le
caractère d’Etat à l’Algérie antérieurement à 1962.
A partir de cette réalité juridique, deux positions s’opposent :
• La position française a pendant longtemps été celle de refuser la qualification de « guerre ». Le terme de «
guerre » ne fut donc employé par les autorités françaises que très tardivement, par un vote de l’Assemblée
Nationale en 1998, et par un discours en juin 1999 du président de la République Jacques Chirac. Auparavant,
l’expression consacrée dans le discours politique français était « événements d’Algérie ».
• La position algérienne, au contraire, estime que les faits étaient tels que l’Algérie était un Etat souverain,
alors même que la qualité d’Etat ne lui avait pas été reconnue en droit, antérieurement à la colonisation. Le
droit ne devant être que l’expression du politique, il doit donc s’y soumettre ; ainsi, « la guerre d’indépendance
» n’aurait pas permis de trouver la souveraineté de l’Etat algérien, mais de la retrouver.
Les questions:
- Qui des algériens et des français appelle la guerre d’Algérie telle qu’elle est désignée entre guillemets dans le
1er paragraphe ?
- Quels arguments défend chacun des deux camps au sujet de cette désignation ?
- Relevez l’articulateur logique qui sépare ces deux positions.
- Quel est le sens de chacun des deux verbes : « trouver » et « retrouver » ?
- Déterminez la progression thématique dans ce texte.
Niveau 3AS|Projet1|Séquence1 - Expression orale
DIFFICULTES DE LINFORMATION.
Le journaliste est un observateur qui rend compte d’événements dont il n’est pas toujours le témoin direct ;
il doit faire confiance à des informateurs : correspondants, agences et lecteurs, qui, eux-mêmes ne sont pas
toujours les témoins de l’événement et dont les versions sont souvent différentes. Du journaliste, on dit qu’il est
l’historien de l’instant. Il y a contradiction dans les termes. L’historien, à la différence du journaliste, dispose de
tout le recul nécessaire, dans l’espace et dans le temps. Mais alors qu’il peut à loisir utiliser témoignages et
documents, il peut lui-même se tromper non pas seulement sur l’interprétation des événements mais sur leur
déroulement, voire même sur leur réalité.
Face à cette difficulté qui consiste à établir en quelques heures ou quelques minutes la vérité ou la
vraisemblance d’un fait, un journaliste n’est pas dépourvu de moyens ; il peut et doit multiplier ses sources
d’information, recouper et vérifier les nouvelles, publier plusieurs versions, user bien sûr sans en abuser du
conditionnel, qui n’est pas une clause de style et enfin et surtout, compléter et corriger quand la lacune ou
l’erreur est par trop manifeste (…) car, il n’est pas honteux de se tromper, il est malhonnête de ne pas se
rectifier.
Les Questions :
• Essayez de définir oralement le travail que peut faire le journaliste et le travail que peut faire l’historien.
• L’auteur du texte dit qu’ « Il y a contradiction dans les termes ». Pourquoi ?
• Quel est le rapport qu’ils ont, l’un et l’autre, avec le moment du déroulement des événements ?
• Quelles sont les sources d’information de chacun d’entre eux ?
• Quelle est la valeur de l’emploi du mode conditionnel par les journalistes ?
Ce conflit s’inscrit dans le cadre du processus de décolonisation qui se déroule après la fin de la Seconde
Guerre Mondiale. Pour la France, cela concerne entre autre l’Indochine, la Guinée, l’Algérie, Madagascar, le
Maroc, la Tunisie, l’Afrique Equatoriale française et l’Afrique occidentale française. Le cas de l’Algérie se
différencie des autres en ce sens qu’elle appartenait officiellement au territoire français, avec un million de
citoyens (les « Pieds-noirs ») qui y vivaient, souvent depuis plusieurs générations et près de neuf millions de
non citoyens appelés « indigènes ». L’Algérie – sous administration française depuis 1830 – était considérée
comme faisant partie du territoire national. De 1954 à 1962, l’Algérie comptait : trois départements en 1954,
quatre fin 1955, douze en juin 1956 et quinze départements à partir de 1958 (…).
Le drame de la guerre d’Algérie a été que l’Algérie fut une colonie de peuplement, en contraste aux colonies
d’exploitation d’Afrique et d’Indochine dont la perte entraînait moins de conséquences humaines.
Prémices de cette guerre, le massacre de Sétif, le 8 mai 1945 alors qu’en Europe on fête la victoire des alliés
contre le nazisme, fait entre 10 000 et 20 000 morts selon les divers travaux historiques – les nationalistes
algériens ayant parlé sur l’heure de 45 000 victimes, et les Etats-Unis eux-mêmes de 40 000 morts à la suite de
manifestations. L’armée française qui a reçu l’ordre de rétablir l’ordre le fait sans ménagement pour la
population civile. La marine et l’aviation sont ainsi engagées pour bombarder les populations civiles.
Dans son rapport, le général Duval, maître d’ouvre de la répression, se montra prophétique : « je vous donne
la paix pour dix ans, à vous de vous en servir pour réconcilier les deux communautés ». Et neuf ans plus tard,
l’insurrection de la Toussaint 1954 marquera le début de la guerre d’Algérie.
« Wikipédia.org »
Les Questions :
1- La Guerre d’Algérie s’inscrit dans le processus :
de colonisation de décolonisation (0.5).
2- La Guerre d’Algérie s’est déroulé :
Avant pendant après la Seconde Guerre Mondiale ? (0.5).
3- Lesquels de ces pays n’ont pas été colonisés par la France :
la Guinée la Chine Madagascar l’Inde le Maroc la Tunisie. (1).
9- Mettez : a- pour les américains. b- pour les historiens français. c- pour les nationalistes algériens.
10- Le 8 mai 45, la marine et l’aviation française ne se sont pas engagées pour bombarder les
populations civiles algériennes.
Réécrivez le Texte p. 12 du manuel de 3.AS, intitulé « la colonisation française » de manière non fragmentée.
Les critères de réussite de la textualisation d’une fiche de synthèse :
Rédiger les informations sous forme de texte.
Employer des indicateurs de temps et de lieux et évider les jugements et commentaires personnels.
Niveau 3AS|Projet1|Séquence1 - Elargissement (poèsie
V- Elargissement : Une Page Poésie : (2 séances).
La Poésie Engagée :
Alger la rouge.
Ma capitale
Alger éclaboussée
Par la mitraille centenaire
Qui te décime sans te tuer
Alger la rouge
Tu es plus que jamais vivante
Car tu es plus qu’un symbole
Tu es vie et liberté
Tu es l’Algérie
Les Questions :
Observation du poème.
1. Déterminez le nombre de strophes ainsi que le nombre de vers dans chacune d’elle.
2. Existe-t-il une rime dans les vers de la même strophe ?
3. Que peut-on remarquer au sujet de la ponctuation ?
Lecture du poème.
4. Qui a écrit ce poème, où et quand et à quel sujet ?
5. quelle est sa position vis-à-vis des faits soulevés ?
6. Qui est désigné par les indices de personne : « ils » et « ma » ?
7. Identifiez les actions menées par le colonisateur dans la première partie du poème.
8. Déterminez Le sens de ce qui suit : « lumière verte et blanche », « homicide ».
9. Identifiez les images du discours existantes dans la 2ème partie du poème : comparaison, métaphore, et
personnification.
Niveau 3AS|Projet1|Séquence1 - Fin de la séquence (evaluation)
La Fin de la Séquence 1 :
1. Retour au Projet Collectif pour une brève mise au point sur l’avancement du travail et la présentation de
l’Exposé en classe, pour les groupes qui ont opté pour la présentation d’une synthèse d’un fait historique.
Critères. Appréciations.
J’ai présenté un fait d’histoire précis.
En tant qu’énonciateur, je n’ai pas employé les pronoms de la première personne (je – nous).
]-->J’ai mentionné les dates de manière précise.
! J’ai respecté la chronologie du déroulement des faits.
J’ai mentionné les noms des personnages historiques et les lieux où se sont déroulé les faits.
J’ai privilégié l’aspect explicatif dans mon discours.
J’ai présenté les faits de manière objective : sans commentaires ni fait nouveaux.
J’ai respecté une progression thématique dans mon texte.
]-->J’ai présenté les causes et les conséquences des faits.
J’ai conjugué les verbes au présent ou au futur de l’histoire.
J’ai ordonné mon texte sous forme de paragraphes.
J’ai écrit lisiblement et j’ai bien ponctué mes phrases.
]-->J’ai employé une orthographe correcte.
->J’ai relu mon texte avant de le remettre.
Niveau 3AS - Projet2 - Proposition de progression
Projet N° 2 : Organiser un débat d’idées puis en faire un compte-rendu qui sera publié dans le journal du
lycée.
3° Année Secondaire
XXXX
Objectifs S’inscrire dans un débat : Prendre position dans un débat :
(la
polyphonie)
Page 67 : - Confrontez vos Page 70 : - La généralisation de Page 92 : Convaincre les
1h idées avec celles de vos 1h l’outil Internet doit-elle nous 1h parents de l’utilité d‘envoyer
Oral camarades concernant faire déserter les bibliothèques ? leurs enfants plutôt à l’école
l’interdiction de la circulation qu’au travail. (préparer une
des voitures en ville. (à allocution)
reprendre en séquence 3 à l’écrit)
Texte page 72 : Pages 100 et 101 : Page 109 :
Lecture 1h - Comment reconnaître le 1h - La propriété privée 1h
racisme ?
- Par delà le bien et
le mal.
Préparation à la synthèse de
documents
- le système - Les connotations Les séquences narratives
Langue d’énonciation (positives /négatives) ou
Les citations comme
- les figures de style de l’implicite du discours arguments
2h la réfutation : 2h 2h
exercices pages : L’interpellation
l’antithèse, l’ironie, la
concession, l’emphase
- Page 75 : Qu’est-ce que Pages 94 : Rédigez un texte - Page 97 : Réfutez une thèse
Ecriture 2h le civisme ? 2h d’une dizaine de lignes 2h (argument proposé page 94.
Pages 84 : Préparez par écrit le - Page 67 : Publier le contenu
- Page 79 Exercice de débat sur le sujet du débat séq 1.
complétion « Internet et Bibliothèque. »
.
- Feuille de route N° - Feuilles de route N°2 et 3 / - Feuille de route N°4 /
1h 1 / Page 71 1h Pages 84 et 98 1h Page 112:
Ecriture du - Organiser le débat sur le
projet - Recherche documentaire sujet retenu. - Mise en forme du
sur le sujet projet.
Total : 8h 8h 8h