Spinoza Chap 16 PDF

Synthèse du chapitre 16 du Traité
de Spinoza :
Le titre du chapitre 16 du Traité théologico-poltique de Spinoza
“Des fondements de l’Etat ; du droit tant naturel que civil de l’individu ;
et du droit du souverain” donne une idée sur le contenu du chapitre,
la recherche du fondement de l’État et du droit civil .
D’abord, Spinoza a rme qu’il est le temps de chercher la limite de

la liberté de penser Dans l’Etat le meilleur , pour cela il faut
commencer par l’étude des fondements de l’État.
Premièrement, il dé nie le droit naturel comme les règles de la

nature qui détermine chaque individu, il donne l’exemple du
poisson qui est déterminé par la nature de nager et soumis à la loi
du plus fort. Selon Spinoza la nature est souveraine:
<< le droit de la nature s é nd aussi loin que s é nd sa puissance >>
Dans cet Etat naturel les hommes sont égaux et il n’existe pas de
péché ça il n’y a pas de loi, comme l’écrit l’apôtre Paul: << je n’ai
connu le péché que par la loi>>
Dans l’Etat de nature, l’homme est obligé de suivre ses appétits et

de conserver son états naturel puisque c’est la seul chose donnée
par la nature.
<< […] la plus grande par e de leur vie s écoule, même s ils ont été bien
élevés; et ils n en sont pas moins nus de vivre en a endant et de se
conserver autant qu il est en eux, c est-à-dire par la seule impulsion de
l appé t, puisque la nature ne leur a donné rien d au e et leur a dénié la
puissance actue e de vivre suivant la droi raison impulsion de l appé t,
puisque la nature ne leur a donné rien d au e et leur a dénié la
puissance actue e de vivre suivant la droi raison >>
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Donc, le droit naturel n’interdit pas que ce que la personne ne peut.
Alors, ce qui est mauvais rationnellement est autorisé dans l’Etat
naturel.
<< […] ce que la raison prononce ê e mauvais n est pas mauvais au

regard de l ordre et des lois de u la nature, mais seulement au regard
des lois de no e nature seule >>
Mais, dans cet Etat les hommes vivent dans la crainte, pour éviter
cette vie, l’homme cède une partie de son droit naturel pour s’unir
aux autres hommes, donc de freiner ses désires pour vivre en
sécurité.
<< […] pour vivre dans la sécurité et le mieux possible les hommes ont dû
nécessairement aspirer à s unir en un corps et ont fait par là que le droit
que chacun avait de nature sur u s choses appar nt à la co ec vité >>
À cause de la nature de l’homme qui consiste à choisir le plus

grand bien et le moindre mal, il faut que l’union nous apporte ce
meilleur ou nous fasse éviter le pire pour former une société, donc
il faut que l’être humaine trouve une utilité pour céder son droit
naturel pour les autres.
Mais, pour que la société soit stable il faut céder tout les pouvoirs
des individus à un pouvoir souverain au quel on doit obéir, cette
obéissance est assurer par la raison car nous gagnons la sécurité.
Après, Spinoza a rme que le risque de remettre notre pouvoir et

relatif car le souverain qui n’agit pas pour le bien commun ne
conserve pas le pouvoir.
<< […] ce droit de commander ut ce qu ils veulent n appar ent aux

souverains qu autant qu’ils ont rée ement un pouvoir souverain >>
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Pour Spinoza, un État démocratique et l’État auquel le peuple
dirige en s’appuyant sur la raison. Cet État et le meilleur car il
conserve la liberté et l’égalité en droit en même temps.
Ce qui obéit par la raison pour le bien commun n’est pas un

esclave mais un sujet, alors que ce qui agit selon les désires et en
réalité esclave de ses désires.
<< en réalité ê e cap f de son plaisir et incapable de rien voir ni faire

qui nous soit vraiment u le, c est le pire esclavage, et la liberté n est qu à
celui qui de son en er consen ment vit sous la seule condui de la raison
>>
Ensuite, Spinoza dé nit quelques Termes:
-le droit civile: le civil est le droit imposé par le souverain, donc
c’est la manière dont l’individu peut se maintenir en vie dans le
cadre de l’État.
-la violation du droit: c’est qu’un un sujet est contraint à sou rir
quelque dommage contrairement au droit civil.
-la justice et l’injustice (équité et iniquité): La justice

contrairement à l’injustice consiste à attribuer à chacun ce qui lui
revient d’après le droit civil.
-les alliées: ce sont deux hommes de deux cités qui s’engagent

par contrat à ne pas faire de mal les uns aux autres par éviter la
guerre.
-l’ennemi: c’est celui qui refuse d’accepter l’État formé par une
communauté.
-le Crime de lèse-majesté: il désigne un sujet qui tente à

reprendre son droit après l’avoir transféré au souverain.
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Selon Spinoza la loi divine est la règle de vie qui nous prescrit les
moyens d’accéder au bien suprême.
Le droit divin et en contradiction avec le droit naturel, car Dieu

commande d’aimer son prochain, alors que le droit naturel
s’oppose à ce commandement.
En n le souverain est libre d’agir, même contre le droit divin s’il

juge cela utile. Mais, seul Dieu peut autoriser un individu par la
“révélation” à se soulever contre un souverain.
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D’abord, Spinoza a rme qu’il est le temps de chercher la limite de

Premièrement, il dé nie le droit naturel comme les règles de la

<< le droit de la nature s é nd aussi loin que s é nd sa puissance >>

Dans l’Etat de nature, l’homme est obligé de suivre ses appétits et

<< […] ce que la raison prononce ê e mauvais n est pas mauvais au

À cause de la nature de l’homme qui consiste à choisir le plus

Après, Spinoza a rme que le risque de remettre notre pouvoir et

<< […] ce droit de commander ut ce qu ils veulent n appar ent aux

Ce qui obéit par la raison pour le bien commun n’est pas un

<< en réalité ê e cap f de son plaisir et incapable de rien voir ni faire

Ensuite, Spinoza dé nit quelques Termes:

-la justice et l’injustice (équité et iniquité): La justice

-les alliées: ce sont deux hommes de deux cités qui s’engagent

-le Crime de lèse-majesté: il désigne un sujet qui tente à

Le droit divin et en contradiction avec le droit naturel, car Dieu

En n le souverain est libre d’agir, même contre le droit divin s’il

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