Fiche de Révision de RGO 2

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Fiche de révision de RGO

Introduction

I- L’objet du RGO
Le RGO est le titre 4 du livre III du Code civil. Les sources des obligations ( art 1100 à 1303-4).
 L’acte juridique ( art 1100-1) :manifestation de volonté destinées à produire des effets de droits. Ils peuvent
être conventionnels ou unilatéraux. La volonté est l’origine et la conséquence de l’AJ et explique les effets
que cette dernière produit. Mais AJ peut supprimer des obligation et en créer. On ne réduit pas l’ AJ au contrat
puisqu’elle peut être conventionnelle ou unilatéraux.

 Les faits juridiques : peuvent donner naissance à des obligations. Les effets de droit ne sont pas liés à la
volonté. C’est la loi qui assigne tel fait à tel agissement. La loi reconnait les effets des faits juridiques : RC, les
contrat , les quasi-contrat ( paiement d’indu , gestion d’affaire)

 La loi : des obligations fiscales , sociales ( URSAF) qui trouve leur origine ni dans le contrat ou dans un AJ.
Le mécanisme de RGO sont utilisés en DC , les règles sont les mêmes quel que soit leur source. Toutes les obligations
nécessitent un paiement , il faut exécuter son obligation : monétaire ou de faire.
In solidum : lorsqu’il y a plusieurs débiteurs.
II- L’évolution du RGO
1) Le contenu de la réforme
Réforme du droit des obligations :
 Loi du 17 juin 2008 : réforme portant sur la prescription en matière civile
 Ordonnance du 10 février 2016 : portant sur la réforme du droit des contrats , régime général et de la preuve
des obligations
 Pour les ordonnances les plus importantes : ils sont toujours accompagnés d’un rapports au PDR :elles sont
utiles car sa représente les apports , les modification , les éléments d’interprétation et de la volonté du
législateur
 La loi de ratification du 20 avril 2018 : dont 7 articles sur 16 concernent le RGO.
2) L’application dans le temps de la réforme
A) L’entrée en vigueur
La date de l’entrée en vigueur : elle peut rentrer en vigueur le jour même de sa publication ou il peut être différé.
L’EV le jour même : => urgence ( art 1er)
L’EV différé :
 lorsque le texte lui-même reporte son EV on parle de disposition transitoire
 Lorsque le texte est lui-même inapplicable sans son texte d’application ( décret)
Art 9 al 1 er : ordonnance du 10 février 2016
Art 16 ordon du 20 avril 2018 : La loi rentre en vigueur
B) Les conflits de lois dans le temps
Art 2 : La loi ne dispose que pour l’avenir , elle n’a point d’effet rétroactif
Quand la situation en cours la loi ne dispose que pour l’avenir donc la loi nouvelle ne s’applique à compter de son EV
et donc les effets à venir de la situation en cours. Donc la loi ne revient pas ni sur la constitution de la situation ni
sur les effets antérieurs ( naissance de la situation/ effets avant/ après)
Les effets antérieurs restent soumis à la loi ancienne ; La loi nouvelle s’applique au effets à venir de la situation en
cours et la loi ancienne régis les effets passés et la naissance de la situation
Il va avoir rétroactivité : in mitius si le motif d’ IG et si la loi le dit. Les contrats ne sont pas soumis à cette règle
( application immédiate)
La survie de la loi ancienne : s’applique pour les contrat. En effets qui dit contrat dit SJ et de la prévision des parties
car le contrat est un acte de prévision.
L’ordonnance art 9 al 2 et 4 et les dispositions transitoires : 2 objets :
 Modifie les règles d’EV
 Modifie les règles de l’application dans le temps
Les contrats conclus avant cette date sont soumis à la loi ancienne=> art 9 survit de la loi ancienne en matière
contractuelle. L’ajout pour écarter les exceptions jurisprudentielle à la survie de la loi ancienne qui permet de revenir
au principe de l’EV :
 Les effets légaux des contrats on applique la loi nouvelle
 Les dispositions impérieuse d’OP
Les 2 exceptions ne s’appliquent pas pour l’ordonnance de 2016, le législateur a écarté ces exceptions. On a pas à ce
poser la questions , car peu importe sa reste soumis à la loi antérieur. La loi de ratification a aussi prévu des
disposition transitoire. C’est l’article 16 al 2 de la loi de ratification. Son listé dans ce texte toute les modifications .
On distingue 2 types d’articles :
 Des véritables modification : elle s’applique le 1er oct 2018
 Modification interprétative : elle est rétroactive , elle s’applique dès le 1er oct. 2016
En DC , on distingue les contrat conclus :
 Antérieur au 1er oct 2016
 Entre oct 2016- 18 : application de l’ordonnance de 2016 et de la loi de ratification que pour les dispositions
interprétatives
 Ceux après 1er oct 2018 : ordonnance de 2016 tel modifié par la loi de ratification

Chapitre préliminaire : la notion d’obligation


Obligation : un lien de droit en vertu duquel une personne , le créancier peut exiger d’une autre personne le débiteur ,
que cette dernière accomplisse une prestation ou une abstention.
I- Les sujets de l’obligation
 Une même personne peut cumuler les 2 qualités : comme dans un contrat synallagmatique ou dans un accident
de la route. Comme le contrat de vente : obligation de payer un prix : créancier( vendeur) et
débiteur( l’acheteur)/ L’obligation de mise à disposition du bien : le créancier l’acheteur et le débiteur le
vendeur
 On peut avoir plusieurs créancier ou plusieurs débiteurs : co créancier ou co débiteur
1) L’obligation : entre lien et bien
L’obligation comme le lien : un vinculum juris ( lien entre un créancier et un débiteur)
L’obligation :
- dette
- créance
Droit prospectif :Le patrimoine d’une personne est l’universalité de droit comprenant l’ensemble de ses bien et
obligation présent à venu , l’actif répondant du passif.
La créance peut être céder et elle peut être vendue. Les droits sont donc des biens. La créance est personnelle , civil ,
patrimonial.
Droit patrimonial ≠ extra patrimonial
2) La distinction des obligations personnelles et des obligations réelles
L’obligation réelles : obligation propter rem ( à cause de la chose). C’est l’obligation que la loi nous impose en qualité
de titulaire de droit réelle. Il est tenu envers personne. Il y a aucun lien interpersonnel de l’obligation
II- L’objet de l’obligation
C’est ce qu’on peut appeler la prestation. La classification par l’action : c’est celle qu’on a dans le code de 1804 mais
elle a été supprimer par la réforme. Elle peut être :
 De donner : obligation de transférer la propriété n’existe pas car le transfert solo consensus , n’y a pas
l’obligation a effectué automatique. On veut la remplacer par l’obligation de praestare.
 De faire : contrat de prestation de service , d’entreprise , contrat de dépôt, mandat
 De ne pas faire : devoir d’abstention
La classification par nature :
 Les obligations en nature : insensible aux variation monétaire
 Les obligations monétaire : « obligation de somme d’argent »
III- Le pouvoir de la contrainte
= contrainte donc possibilité d’avoir recours à l’état pour faire exécuter une obligations
1) La portée de l’engagement
Le droit de gage général du créancier est la base sur laquelle repose le système de la contraintes se sont les articles
2284 et 2885 du Code civil.
Il existe plusieurs catégories de créancier :
 Créancier chirographaires : seulement le droit de gage général
 Créancier dit privilégiés : les titulaires d’un droit réel accessoire à titre de garantit , sûreté réelle ( priorité sur
un bien de notre débiteur ( ex : hypothèque) ≠ sûreté personnelle ( cautionnement) : on n’est pas prioritaire sur
un bien mais on peut agir sur la caution.
 Il existe des titulaire de privilège : comme le fisc , URSAF
 Ils ont un droit de préférence sur un ou plusieurs bien(s). Mais on redevient créancier chirographaire
lorsque sa touche à d’autre bien ou a une préférence mais on est créancier chirographaire lorsque sa
touche à d’autre bien on n’est pas privilégié.
Les créanciers privilégiés vont se servir avant les créanciers chirographaires. Mais sur les salaires ils sont à la même
échelles. L’article 2285 poser les principes de classement entre les créanciers chirographaires.
 Le prix de la course : 1er arrivé , 1er servi. Si i y a un 1er arrivé on va répartir proportionnellement
 Le marc de franc : contribution proportionnelle

2) La distinction entre l’obligation civile et l’obligation naturelle


L’obligation civil est celle qui est a mi-chemin entre l’obligation morale et civile et la législation
A) La définition de l’obligation naturelle
Elle est expressément visé dans l’ancien code
Art 1235 al 2 : en matière de répétition de l’indu
Art 1302 : on visait l’’obligation naturelles
Pour la définition il faut l’article 1100 al 2 : dans certain cas on vise le devoir de conscience envers autrui = une
obligation naturelle .
Le rapport au PDR le devoir de conscience envers autrui est l’obligation naturelle est défini aussi. c’est donc un devoir
de conscience.

Les obligations naturelles par exemples :


 Obligation civiles imparfaites :
 Obligations civiles éteinte ou dégénérés ( prescription , AVJ , dette non prouvée par écrit requis ad
probationem)
 Obligations civiles avortée ou nulles dans certain cas ( VC)
Les accomplissements de purs devoirs moraux indépendamment de toute obligation civil :
 Devoir réparer le préjudice d’autrui quand les conditions ne sont pas remplies( rupture de concubinage qui est
libre et dont seule la rupture abusive conduit à des DI
 devoir de ne pas s’enrichir au détriment d’autrui. Quand consistions de l’action de in rem verso non réunies
 devoir de reconnaissance ( ex : jurisprudence sur partage d’honoraire)
 devoir d’assistance entre frère et sœur en l’absence de devoir de secours

B) La montée de l’obligation naturelles à la vie civile


1) L’exécution volontairement
Paiement indu lorsque on a payé a tort ou à le droit à un remboursement ou restitution => art 1302
Lorsque on s’est exécuté volontairement une obligation naturelle on ne peut pas demander un paiement indu. Par le
paiement elle est devenue une obligation civile elle n’est donc pas restituable. Mais il y a un VC on peut le remettre en
question.
Il faut que le paiement soit volontaire donc en absence de vice de consentement. Ici pas de pvr de contrainte car vu
que déjà payé devient une O civile.
2) La promesse d’exécution
La promesse d’exécution : on a promis d’exécuter. Cela cause des problème probatoire.
Cass civ 10 oct 1995 c’est cense être consacré à l’article 1100-1. Lorsque les rédacteurs ont dit que les actes créateurs
d’obligation donc un engagement unilatéraux de la volonté du législateur d’après l’approbation du PDR.
Donc si on promet de s’exécuter à faire un engagement unilatéral de volonté on est tenu donc de l’obligation
naturelles c’est la transformation en obligation civile donc si on ne paye pas on a un pouvoir de contrainte. ( toujours
en argent ou soit par l’action en responsabilité civile qui se transforme en paiement)
L’obligation telle qu’on la conçoit en RGO est :
- une obligation civile est personnelle ,patrimoniale et qui est contraignante et obligatoire

PARTIE I : L’OBLIGATION COMME LIEN


TITRE I : L’identification de l’obligation
CHAPITRE I : La preuve de l’obligation
Il existe 2 acceptions :
 La démonstration de l’existence d’un fait ou d’un acte dans la forme admise par la loi. C’est la démonstration
d’une situation juridique qui a donné naissance à une obligation
 La technique est un moyen pour démontrer cette situation ce qu’on appelle le mode de preuve
Lorsqu’on évoque la démarche de prouver et le moyen d’emporter la conviction du juge. La preuve repose sur la
vraisemblance , c’est un moyen de manifesté la vérité civil. Le droit de la preuve est crucial.
« idem est non-esse aut non probari » : un fait n’existe pas et un fait qui n’est pas prouvé c’est la même chose.
Le droit de la preuve a été modifié par la réforme de 2016 , mais la loi de ratification ne modifie aucun texte du
droit de la preuve : on peut parler d’une réforme trompe l’œil en ce qui concerne le droit de la preuve.

Deux reproches importante sont adressés à cette réforme :


 La place des règles relative à la preuve dans le Code civil :n’exclue pas la preuve des droit subjectifs
 Reprise des anciens textes : ils ne sont pas utilisé mais qui sont toujours mentionnés dans le Code civil . Les
auteurs auraient préféré que le législateur traite de la question sur l’articulation sur le droit de la preuve et des
questions du droit de la preuve.

La CEDH a répondu dans un arrêt CEDH, LLc/ France 10 oct 2006 : il résulte de l’article 6§1 : un droit à un procès
équitable. On doit aider les parties et acceptés certain mode de preuve. Les droits des EM ne doit pas trop restreindre
les possibilités de ramener la preuve d’un droit. Ce ne doit pas porter une atteinte disproportionnée.
 Le droit de la preuve est venu primer au droit au respect de la vie privée
 Cass, Civ 5 avril 2016 : Elle a consacré au visa de l’article 6 de la CEDH un droit à la preuve
Lorsque le droit de la preuve s’oppose un droit comme celui de la vie privée=> on opère un contrôle de
proportionnalité : le juge admettra si elle indispensable et si elle ne porte pas une atteinte disproportionnée au droit au
respect de la vie privée.

En matière civil , on n’accepte pas une preuve obtenu de manière déloyale


 Cass, ass plèn, 7 janvier 2011 : vu le principe de loyauté dans l’administration de la preuve ( PGD)
 Cass, ass plèn, 22 dèc 2023 : revirement de jurisprudence . Tous les coups ne sont pas permis la limite c’est la
déloyalité c’est pour cela qu’on écarte la preuve. Mais dans le § suivant , il explique son revirement de jp
puisque on procèdera toujours à un contrôle de proportionnalité.
Comment les droit fondamentaux arbitre – elle avec le droit de la preuve ?
L’objet de la preuve : on doit prouver une situation juridique. Prouver les faits par opposition au droit. Les faits lato
sensu. Le droit est censé être connu par le juge.
Il faut faire la distinction entre fait constant ( pas contesté)≠ fait litigieux ( différent). Il ne faut prouver que les faits
litigieux. Dans le sens stricto sensu, il faut prouver aussi les faits stricto sensu.
La jp sur le droit antérieur nous dit que dans la majorité des cas les conventions sur la preuve sont licites. ( Cass, civ, 8
nov 1989 et reprise dans l’article 1356.
L’obligation doit avoir sa source dans le contrat. En matière contractuelle , on accepte les conventions.

Section 1 : La charge de la preuve


L’administration de la preuve pour certain auteur c’est un jeu de raquette ou comme un fardeau. L’enjeu est in fine , si
le juge n’est pas convaincu ou que le preuve n’est pas rapporté.
L’article 1353 : on ne peut pas renvoyer les parties sans la preuve car on appelle ça un déni de justice. Le juge est
obligé de statuer.
La loi nous dit qui doit en principe rapporter la preuve et en principe qui succombe si la preuve est mal rapportée,
mais il peut avoir un renversement de la charge de la preuve.

§ 1- La répartition par défaut


L’article 1353 du Code civil : Celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver. Réciproquement celui
qui se prétend libéré doit justifier le paiement ou le fait qu’il a produit l’extinction de son obligation. Tous les arrêts
produit sous l’ancien temps sont toujours applicables.=> art 9 du CPC
2 règles se sont posées :
 1al de l’art 1353 : le créancier est celui qui doit prouver qu’on nous doit quelque chose. Celui qui prétend doit
ramener la preuve de son obligation. Si c’est dans un contrat , on doit trouver la preuve dans le contrat.
 Al 2 de l’art 1353 : C’est le débiteur qui est le mieux placé pour prouver qu’il a payé ou exécuté son
obligation.
Il y a d’autre éléments qui sont visés par l’art 1353 mais il faut se fonder sur la jp et l’art 9 CPC.
La validité du contrat : C’est au débiteur pour échapper à l’exécution du contrat , qui va arguer qu’il est vicié ou que le
contenu n’est pas certain ou licite.
RCC : on estime que le contrat a été mal exécuté ou inexécuté. Il y a un préjudice et un lien de causalité, cela va être
au créancier de démontrer la faute contractuelle
Al 2nd joue que lorsque on veut faire obstacle à une exécution forcée
Pour les sanctions d’inexécutions c’est au créancier de prouver les conditions d’inexécutions

§2- Le renversement de la charge de la preuve


A) Le renversement fondé sur l’aptitude à rapporter la preuve
On désignerait les personnes qui ne peuvent pas faire la preuve de son allégation. Les personnes qui ne peuvent pas
préconstituer vont faire un écrit .
Les faits négatifs/ preuve diabolique : on ne peut prouver ce qui n’existe pas , mais on peut prouver que quelque chose
existe.
 Civ, 1er , 2 fev 1997 et l’article 1111-2 al ‘ : il y a un renversement de la charge de la preuve , c’est au
débiteur d’obligation d’information qu’incombe la charge de la preuve. C’est la même chose pour l’obligation
de conseil a forciori. En pratique on fait un écrit et on demande au créancier d’écrire une lettre de
reconnaissance de conseil donné. => écrit par un avocat ou un notaire

B) Le renversement fondé sur la présomption légales


Sous l’empire du droit ancien , on avait un texte qui définissait ce que sont les présomptions :
Art 1349 ancien article : sont des conséquences de la loi ou le magistrat tire d’un fait connus à un fait inconnus ( ex :
présomption de paternité). On va déduire l’existence du fait inconnu de la preuve , faite du fait connu. Les
présomptions reposent sur un jeu de probabilité , de vraisemblance.
 Dans le droit de la preuve , il n’y a pas un renversement on va plutôt dire qu’il y a un déplacement de l’objet
de la preuve. La présomption va alléger la charge de la preuve par exemple en DC avec les VC ou le vendeur
professionnel est censé connaitre les vices de la choses qui vend. Le fait inconnu peut être la mauvaise foi et
le fait connu le statut de professionnel.
 Il y a des présomptions qui repose sur aucun fait connu mais sur une généralité => Ex : on est présumé être
de bonne foi et donc celui qui invoque la mauvaise foi doit prouver que la personne est de mauvaise foi. La
présomption peut avoir 2 rôle : déplacer l’objet de la preuve et prouver le fait connu dont on va déduire les
faits inconnus
Il existe 2 catégorie : La présomption légale et la présomption judiciaire/ du fait de l’homme.
La présomption est une exceptions , ce qui signifie qu’elle va être d’interprétation stricte. Il y a 3 catégorie de
présomptions légales : art 1354
 Simple/ réfragable : la preuve contraire est possible. Ex : la présomption de paternité
 Mixte : elle peut être renverser à condition que la loi le précise l’objet de la preuve à rapporter soit elle va
préciser le mode de preuve. Gardien d’une chose cause un préjudice , pour renverser la charge de la preuve , il
doit ramener les éléments de FM.
 Irréfragable : lorsque aucune preuve contraire peut être rapporter. Pas e renversement de la preuve. On peut se
poser ? sur le droit de la preuve.
 Cass,1er civ, 5 juillet 2023 : la présomption irréfragable ne porte pas atteinte au droit à un procès équitable
Les parties n’ont pas le droit d’écarter des présomption irréfragables mais rien ne leur empêche de créer des
présomptions simples ou mixtes => art 1356
= > on ne sait pas toujours si la présomptions est irréfragable ou non

Section 2 : Les modes de preuves

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