TFC Victoire Sikuli
TFC Victoire Sikuli
TFC Victoire Sikuli
ANNEE ACADEMIQUE
2020-2021
i
ÉPIGRAPHE
Seronsnous capable de choisir les elements de la technologie qui ameliorent la
qualite de vie et d’eviter ceux qui la deteriorent ?
David Baltimore
ii
DEDICACE
A
Ma très cher mère MASIKA PASCALINE, aucun hommage ne pourrait
être à la hauteur de l’amour et sacrifices que vous m’avez témoignés
jusqu’aujourd’hui, vous alimentez mon optimisme continuellement. Aux
personnes qui m’ont aidé à gagner peu à peu d’assurance, qui m’avait
un jour ou un autre permis de faire mon chemin, de me blinder contre les
affronts et les outrage que je ne manquerais pas d’essuyer dans les milieux qui m’attendent. A
tous ceux qui sont toujours à mes cotes et qui m’ont accompagné durant mon chemin d’études
supérieures, mes aimables amis.
REMERCIEMENTS
Je rends grâce à Dieu de gloire qui m’a permis à ce que je puisse être là, réussir mon
parcours et matérialiser le peu qui m’es permis d’apprendre dans l’humilité. Je n’aurais pas
abouti à la fin de ce projet de ce travail si je n'avais pas eu un Directeur incroyablement
talentueux, des personnalités qui m'inspirent, purement et simplement. J’adresse des
remerciements envers le corps enseignant qui s'est voué corps et âme à nous instruire durant
notre parcours et dont leurs efforts ont débouché aujourd'hui à la rédaction de ce travail. Je ne
serais pas celui que je suis aujourd'hui sans la solidité et l'amour inconditionnel de ma mère.
Elle a toujours été un roc pour moi : Elle m’a offertes la possibilité d'être celui que je suis, tout
en m'obligeant à garder les pieds sur terre. Je continuerai à vous remercier éternellement.
A ma très chère Sagesse KAYNO pour son soutien et encouragement ainsi que ses
conseils. Mes remerciements sont adresses à ma tante maternelle Joëlle KATUNGU
pour ses prières et ses sacrifices. A tous mes camarades de promotion : PATIENT
TEMBEA, AUDRINE HARAKA, ERICK, Je tiens de tout cœur à remercier TANTE ASTRID,
tous les gens dont je n'ai pas pu citer les noms qu'ils sachent que je ne les ai pas oubliés mais ils
ont leurs places au fond de mon cœur et que d'une façon ou d’un autre apport était très capital.
iv
SIGLES ET ABREVIETIONS
PC : Personal Computer
AP : Access Point
Bibliographie
[6] J. LAURAT, transmisson aves fibre, paris: universitte pierre et marie curie,
-.
RESUME
Ce travail vise à étudier la transmission multimédia dans un réseau local avec la fibre
optique comme support de transmission, les différentes analyses sur le réseau, les différentes
sortes de réseau notamment le LAN, MAN, WAN sont. Les différente caractéristiques et
avantage de la fibre par rapport à d’autres support de transmission, le traitement de la
simulation du réseau local à fibre optique est aussi prévu.
La visualisation des paramètres liés à la transmission optique du message numérique, un
émetteur optique qui permet de moduler un message numérique NRZ avec une lumière
provenant d’une diode CW Laser ainsi que la détection de la lumière par une photodiode PIN
sont aussi prévus.
Notre étude a visée à étudier les performances de la transmission de données sur la fibre
optique.
Mots clés : Transmission MultiMedia a fibre optique, conception d’un réseau local.
xi
4.1 Introduction...............................................................................................................................21
4.2 Eléments D’une Liaison..............................................................................................................21
4.3 Mode d’exploitation..................................................................................................................22
4.4 L’organisation fonctionnelle et physique des échanges............................................................23
II.5 LA TRANSMISSION EN BANDE DE BASE.........................................................................................26
5.1 Principes....................................................................................................................................26
5.2 Principaux Codages....................................................................................................................26
CHAP.III. TRANSMISSION PAR FIBRE OPTIQUE........................................................................................29
III.1 LES RESEAUX OPTIQUES...............................................................................................................29
III.2 SUPPORTS DE TRANSMISSION......................................................................................................29
III.3 FIBRE OPTIQUE.............................................................................................................................30
3 .1 Caractéristique de la Fibre Optique..........................................................................................31
3.1 Lois de Descartes.......................................................................................................................31
3.2 Principe de l’ouverture numérique (on)....................................................................................32
3.1 Les différents types de fibre optique.........................................................................................32
3.2 Problèmes de transmission par fibre optique............................................................................35
3.2 Les Dispersions..........................................................................................................................35
3.4 Types de Fibres les plus utilisées, caractéristiques et portées...................................................36
3.5 Système de communication par fibre optique...........................................................................36
III.4 Les émetteurs optique..................................................................................................................36
4.1 Les LED.......................................................................................................................................37
4.2 Le Laser (LD)..............................................................................................................................37
4.3 La lumière..................................................................................................................................40
III.5 DÉTECTEUR OPTIQUE...................................................................................................................41
5.1 Diode PIN...................................................................................................................................42
5.2 Photo diode...............................................................................................................................42
CHAP.IV : CONCEPTION D’UN RESEAU MULTIMEDIA PAR FIBRE OPTIQUE.............................................44
IV.1 INTRODUCTION............................................................................................................................44
IV.2 PRÉSENTATION DU RÉSEAU.........................................................................................................44
2.1 SERVEUR....................................................................................................................................44
2.2 Configurations du serveur.........................................................................................................45
2.3 Paramètres Du Serveur..............................................................................................................45
IV.2 Topologie du réseau.....................................................................................................................56
xiii
INTRODUCTION
1. ARRIERE PLAN
Plusieurs décennies après sa première fabrication, la fibre optique est enfin utilisée pour
connecter différents appareils. Ce support de transmission va transformer l’environnement de la
télécommunication à travers le monde. Cette évolution technologique aura un impact sur les
fournisseurs et les opérateurs de réseau de grand débit.
2. PROBLEMATHIQUE
La diffusion à distance de l’information se fait uniquement sous forme analogique ; les
canaux étaient alors spécifiques, le téléphone véhicule la parole, la radio le son, la télévision
porte la vidéo. Les canaux sont toujours soumis aux contraintes de transmission.
La problématique est en même temps les principales questions que l’on se pose et
auxquelles on se force d’apporter les éléments de réponse dans le travail.
Pour mieux aborder le sujet nous avons trouvé quelques questions suivantes qui méritent
d’attirer notre attention.
Quel est l’avantage de transmission par fibre optique par rapport aux autres supports de
transmission ?
Comment peut-on réaliser la transmission de donnée vidéo, audio et la voix par fibre
optique tout en améliorant la qualité ?
3. HYPOTHESE DE SOLUTION
Les hypothèses d’un travail sont des propositions avancées provisoirement dans l’objet
de répondre à la problématique qui sera vérifié par les recherches au cours du travail en utilisant
les techniques et les méthodes.
Nous pensons que pour faire le partage du multimédia par le réseau local, il est
souhaitable d’étudier et de réaliser la transmission par fibre optique avec de méthodes et de
techniques en vue d’apporter une solution dans la problématique.
Ces réponses récapitulatives sont les suivantes :
L’avantage de la transmission (multimédia par fibre optique) a une importance capitale
car n’ayant pas accès aux perturbations.
Les choix du partage de la transmission multimédia par fibre optique est nécessaire par
rapport aux autres transmissions par leurs propriétés de conduire la lumière aussi à
cause de son haut débit qui est le mieux adapter.
4. OBJECTIF DU TRAVAIL
La fibre optique est le support désigné pour le réseau en haut débit. Les réseaux
numériques à intégration de services sont scindés en deux catégories.
2
I.1 INTRODUCTION
1.1 Réseau Informatique :
C’est un ensemble d’équipements informatiques interconnectés géré par des logiciels et
échangeant des informations sous forme des données binaires.
L’interconnexion : Permet de transmettre des données d’un nœud à un autre
La communication : Permet d’échanger des informations et des données.
reliés entre eux par le support physique, elle est donc caractérisée par la figure géométrique que
réalisent les liaisons établies entre les équipements,
Les trois topologies possibles sont l’Etoile, Bus et l’Anneau :
1.3.1Topologie en Etoile
Tous les équipements sont reliés directement à un concentrateur qui constitue le nœud
central par lequel transitent toutes les transmissions (figure I.1)
Dans un réseau en étoile, chaque nœud du réseau est relié à un contrôleur (ou hub) par
un câble différent. Le contrôleur est un appareil qui, recevant un signal de données par une de
ses entrées, va retransmettre ce signal à chacune des autres entrées sur lesquelles sont connectés
des ordinateurs ou périphériques, voir d'autres contrôleurs.
Cette topologie permet d’ajouter aisément des équipements (un câble par équipement)
dans la limite de la capacité du concentrateur.
La gestion du réseau se trouve facilitée par le fait que toutes les transmissions passent
par le concentrateur ; par ailleurs, une défaillance d’un équipement terminal ne met pas en
cause le fonctionnement du reste. En revanche, elle peut entraîner des longueurs importantes
des câbles et surtout une panne sur le concentrateur immobilise tout le réseau.
La topologie en Bus est celle adoptée par la plupart des réseaux locaux industriels.
o Les ponts d’Accès (AP, Access Point) qui coordonnent les transmissions servante pont
entre les réseaux câble et le WLAN
o L’organisation du réseau sans fil es basse sur une topologie cellulaire (le system est
subdivise en cellules) où chaque cellule (BSS, Basic Service Set) est contrôlée par un
AP.
La norme 802.11 implante deux modes de fonctionnement.
o Le mode infrastructure :
Illustre (figure I.6) dans la plupart des installations, le WLAN et compose de plusieurs
cellules ou chaque AP de la cellule est interconnecté aux autres par une dorsale (backbone)
câblée TDS (Distribution System) cette interconnexion correspond à un ensemble étendu de
cellule (ESS. Extended Service Set)
selon le format défini par TCP/IP, alors que l’échange des données dans les sous-réseaux
physiques réels se réalise selon le format propre à chaque sous-réseau. Aujourd’hui, TCP/IP est
le protocole standard de tous les réseaux, du LAN au WAN. De récentes adaptations autorisent
les flux multimédias et, en particulier, les services voix sur IP (ToIP, Telephony over TCP/IP).
C’est donc le TCP qui apporte la fiabilité sur internet en veillant à c que tous les paquets
arrivent à destination et sont retransmis en cas de perte ou de saturation d’un routeur.
Précédant le modèle OSI, TCP en diffère fortement, non seulement par le nombre de
couches, mais aussi par l’approche. Le modèle OSI spécifie des services (approche formaliste),
TCP/IP. Des protocoles (approche pragmatique). Développé au-dessus d’un environnement
existant, CP/IP ne décrit, à l’origine, ni de couche physique ni de couche liaison de données.
Les applications s’appuient directement sur le service de transport. Aussi l’architecture TCP/IP
ne comprend que deux couches : la couche transport (TCP) et la couche inter-réseau (IP). La
figure I.11 compare les deux architectures.
Pour un même contenu sémantique, ce temps sera d’autant plus faible que la longueur
du message sera petite ou que le débit sera élevé. L’augmentation du débit se heurte à des
problèmes technologiques et de coûts. Il peut donc être intéressant de réduire la longueur du
message sans en altérer le contenu (la sémantique) : c’est la compression de données.
Les techniques de compressions répartissent en deux familles : les algorithmes
réversibles ou sans perte, dits aussi sans bruit, et les algorithmes irréversibles, dits avec perte.
16
Les premiers restituent à l’identique les données originelles. Ils s’appliquent aux données
informatiques. Le taux de compression obtenu est voisin de 2. Les seconds, dits aussi codes
réduction de bande, autorisent des taux de compression pouvant atteindre plusieurs centaines au
détriment de la Fidélité de restitution. Utilisés pour la voix, l’image et la vidéo, ils s’apparentent
plus à des procédés de codage qu’à des techniques de compression. [2]
3.2 La quantification de la compression
La compression se quantifie selon trois grandeurs : le quotient de compression, le taux
de compression et le gain de compression.
Le quotient de compression (Q ) exprime le rapport entre la taille des données non compressées
à la taille des données compressées.
taille avant compression
Q=
taille après compression
Le taux de compression (T) est l’inverse du quotient de compression
1
T=
Q
50 paires dont 32 sont utilisées pour la transmission de données (Transmission parallèle par mot
de 32 bits). HiPPI est limitée à 25m. La transmission parallèle pose de nombreuses difficultés
dont les principales sont le rayonnement des conducteurs l’un sur l’autre (diaphonie) et la
différence de vitesse de propagation entre les différents conducteurs (DeLay skew) qui
nécessitent la réalisation d’une électronique coûteuse.
Un coût élevé (nombre de conducteurs) et une distance franchissable limitée par la
désynchronisation du train de bits (DeLay skew) réservent la transmission parallèle aux liaisons
de processeur à processeur ou d’hôte à hôte (ordinateur central). Des techniques apparentées
sont mises en œuvre dans les réseaux locaux. [4]
4.4.3Transmission série
En transmission série (figure II.16), tous les bits d’un mot ou d’un message sont
transmis successivement sur une même ligne.
Inverted) Présente les mêmes caractéristiques mais pour éviter les successions de 0, le signal
reste dans le même Etat pour coder un 0 et changer d’état pour un 1.
Revêtement
n1 sin i1 = n2 sin i2
Avec n1 et n2 sont les indices des deux milieux.
32
La lumière injectée en entrée arrivera donc en sortie sans aucune atténuation. On définit
alors l'ouverture numérique d'une fibre optique en fonction de l'angle d'incidence limite i iL qui
permet d'assurer une transmission sans pertes théoriques.
utilisées uniquement pour des bas débits et de courtes distances. La dispersion modale peut
cependant être minimisée (à une longueur d'onde donnée) en réalisant un gradient d'indice dans
le cœur de la fibre. Elles sont caractérisées par un diamètre de cœur de plusieurs dizaines à
plusieurs centaines de micromètres.
Parmi les fibres multimodes, on distingue les fibres à faible indice ou saut d’indice
(débit limité à 50 Mbps) et les fibres à gradient d’indice (débit limité à 1 Gbps). Les longueurs
d’onde les plus utilisées sont 850nm et 1300 nm.
Les modes étant l'expression de différents chemins optiques que peut suivre le signal
dans la fibre. Pour ce type de fibre le nombre de mode m est donné par :
2
v
m= , v : Fréquence
2
La fibre multimode à saut d’indice possède une région du cœur uniforme relativement
large comparé à la gaine et qui représente près de 96% du diamètre total de la fibre (Figure
III.6). Le cœur est composé de verre (SiO2) dopé. Elle est le support privilégié pour des
applications des réseaux informatiques courte distance, sa bande passante est alors limitée. Le
faisceau laser se propage en ligne droite et se réfléchit sur les parois de la gaine qui a un indice
de réfraction inférieur au cœur.
Figure
III. 6-Fibre multimode à saut d’indice
La fibre à gradient d'indice dont le cœur est constituée de couches de verre successives
ayant un indice de réfraction proche. La variation de cet indice de réfraction cœur/gaine
présente une courbe parabolique avec un maximum au niveau de l’axe (Figure III.7). Les
rayons lumineux suivent un parcours sinusoïdal. La bande passante est comprise entre 600 et
3000 MHz/km. Les diamètres les plus fréquents sont 62.5 µm et 50 µm. Ce type de fibre est le
plus utilisé pour les moyennes distances. Un des avantages est que la dispersion modale est
diminuée avec cette fibre. Il y a donc une meilleure réception du signal.
2d
m= oN
λ
Ces pertes s'ajoutent directement aux pertes intrinsèques. Elles sont toutefois
négligeables pour la fibre standard des télécommunications dans des conditions d'emploi
normales. Enfin, les fibres sont toujours utilisées par tronçons de longueur finie, raccordés entre
eux. Chaque jonction peut provoquer une perte de raccordement. La Figure III.10 montre
l'atténuation spectrale d'une fibre en silice, pour les télécommunications.
La dispersion intermodale est la cause principale de l'élargissement des impulsions dans les
fibres optiques multimodes. Cet élargissement est provoqué par les différences de temps de
parcours des rayons (ou des modes).
La dispersion intermodale est l'élargissement temporel maximum d'une impulsion par unité de
longueur de fibre. L'obtention d'une dispersion intermodale réduite se fait en utilisant une fibre
à gradient d'indice. Dans le cas d'une fibre optique monomode, cette dispersion est nulle et ne
sera donc pas prise en compte.
Quant à la dispersion chromatique, qui est la cause principale de l'élargissement des impulsions
dans les fibres optiques monomodes dont le profil est à symétrie de révolution.
Deux effets physiques contribuent à la variation de l’indice de groupe avec la longueur d’onde,
d’une part la dépendance de l’indice de la silice avec la longueur d’onde (dispersion du
matériau) et d’autre part, le fait que, à profil d’indice fixé, l’indice effectif du mode
fondamental dépend des dimensions du guide par rapport à la longueur d’onde (dispersion du
guide)
3.4 Types de Fibres les plus utilisées, caractéristiques et portées
Les types de fibres les plus utilisés dans les réseaux de télécommunications sur fibres
optiques sont la fibre multimode à gradient d'indice (50/125 µm et 62,5/125 µm) et la fibre
monomode (9/125 µm). Cette dernière est la fibre de référence utilisée par les opérateurs car
elle offre la meilleure évolutivité vers les débits élevés. En effet, grâce à son affaiblissement
linéique faible et à sa bande passante élevée, elle permet la réalisation de liaisons longues à très
haut débit ; mais elle est beaucoup plus chère que la fibre multimode à gradient d’indice qui est
le plus pratique pour les courtes distances.
3.5 Système de communication par fibre optique
Comme le montre la figure III.11, l’information (données, voix, vidéo, …) venant de la
source est transmise sous forme codée en signal électrique pour que l’émetteur l’envoie, la fibre
agit comme une guide d’onde optique afin que les photons puissent traverser le chemin optique
vers le récepteur. Arrivée au détecteur, le signal subit une conversion optique-en électrique,
décodé, et envoyé vers sa destination. [6]
données binaires émises par la source d’information. La source optique doit pouvoir générer
assez de puissance optique telle que l’atténuation attendue sur le chemin soit respectée. La
source optique doit aussi être facile à moduler par un signal électrique et capable d’une haute
rapidité de modulation. Deux types de jonction photoémettrice peuvent être utilisés comme
source optique d’un émetteur :
Les LED (Light-Emitting diode)
Les LED sont simples, et ont une assez bonne linéarité et coûtent moins cher, mais
génèrent une faible puissance.
Les LD (Laser Diodes)
Le laser génère une lumière cohérente, puissante ; mais il coûte cher
4.1 Les LED
Les premières sources de lumière « solides », sous forme de diodes émettrices de
lumière ont utilisé des semi-conducteurs inorganiques connus sous le nom de « diodes
électroluminescentes », en abrégé les « LED ».
Les LED possèdent les avantages suivants :
. Ce sont des sources de lumière très efficaces, ceci étant essentiellement dû à ce que les
LED n’émettent pas de rayonnements infra-rouges ou ultra-violets inutiles en éclairage courant,
. La durée de vie des LED est élevée (15000 à 20000 h) et leur maintenance facile et peu
coûteuse,
. Les LED ne contiennent pas de mercure, au contraire de la majorité des autres sources
actuelles.
. Les LED transforment de l’ordre de 15 à 25 % de l’énergie électrique fournie en
énergie lumineuse, leur efficacité, aujourd’hui encore de l’ordre de 70 à 75 lm/W pourrait être
portée (avec de nouvelles diodes) aux alentours de 130 lm/W.
4.1.1 Les caractéristiques Lumineuses des LED
Alors que le rayonnement lumineux, avec les lampes classiques, se répartit plus ou
moins dans toutes les directions, les LED fournissent normalement un flux lumineux très
directionnel. Mais ce flux lumineux n’est pas naturellement « blanc ». Pour obtenir une lumière
de couleur acceptable il faut généralement combiner plusieurs couches luminescentes : une
diode bleue, une diode verte et une diode rouge. L’ennui est que les trois puces de couleurs
différentes n’ont pas exactement le même comportement dans le temps, ce qui entraîne une
certaine évolution de la couleur dans le temps, le blanc ne restant pas strictement identique.
4.2 Le Laser (LD)
Depuis le début des télécommunications par fibre optique, le choix des sources optiques
s’est porté sur les émetteurs à semi-conducteur à cause de leurs petites dimensions en rapport
avec celles du cœur des fibres optiques, de la relative facilitée que l’on a à moduler directement
la lumière émise en agissant sur le courant, de leur spectre optique relativement étroit et de leur
faible consommation énergétique. Ainsi la diode laser est la source la mieux adaptée pour les
38
télécommunications optiques car elle permet d’avoir la meilleure efficacité de couplage optique
avec la fibre. C’est pour ces raisons que nous ne parlerons dans la suite que des diodes lasers et
que nous n’aborderons pas les diodes électroluminescentes.
La diode laser à semi-conducteur émet de la lumière monochromatique cohérente (une
puissance optique) destinée, entre autres, à transporter un signal contenant des informations sur
de longues distances (dans le cas d'un système de télécommunications) ou à apporter de
l'énergie lumineuse pour le pompage de certains lasers (lasers à fibre, laser DPSS) et
amplificateurs optiques (OFA, Optical Fiber Amplifier).
4.2.1 Caractéristique
Les lasers à semi-conducteurs se caractérisent par leur seuil de courant et leur efficacité
de perte. Un laser a semi-conducteur typique optimisée pour les applications de communication
à grande vitesse peut avoir un courant de seuil de 5 mA et une efficacité de de la pente de 5
MW/mW a la température ambiante. Cela signifie qu’il commencera à générer de la lumière
dès que le courant qui le circule dépasse 5mA.
Les diodes lasers sont utilisées dans plusieurs domaines, particulièrement dans :
- Les télécommunications optiques.
- La lecture de CD, le stockage de l’information dans les disques optiques (CD ou DVD
pour la musique comme pour l’informatique).
-La photocopie ou l’impression laser,
- les applications médicales et industrielles... (Lecteurs code barre).
Elle trouve également son application dans les dispositifs électroniques de mesure de
distance, de vitesse, de guidage et de pointage précis.
Du point de vue électrique, un laser a semi-conducteur est une diode, et enfin de générer
de la lumière, il doit être polarisé en directe.
Il suffit de connecter une diode laser à une source de courant bien suffisante pour allume
le laser et le polariser à un point de fonctionnement. La figure III.12 montre la courbe
Caractéristique d'une diode laser (la courbe L.I ; Luminosité en fonction du Courant) standard
d’un laser typique qui se compose d’une sous-région de seuil, d’une région linéaire au-dessus
du seuil et d’une région de saturation.
Le laser est polariser normalement dans la région linaire ,une source de courant
commandé a tension est également représenter étant que circuit de polarisation, l’entrée du
pilote se compose de deux composants :un signal de polarisation et un signal de modulation
fournies par deux convertisseurs numérique (CNA ) la raison d’utiliser le CNA est que dans
presque tout le circuit moderne ,la polarisation et la modulation doit être contrôlée de manière
très précise et cela se fait le plus souvent via de CNA .
Le courant d’attaque d’un laser peut généralement être divisé en deux parties : un
courant de polarisation et du courant de modulation.
39
Le courant de polarisation : peut-être pense sous forme de courant continu qui définit
le point de fonctionnement dans la région cycle de la courbe L.I correspondant de la puissance
optique continue.
Le courant de modulation : correspond aux variations des courants autours du point de
polarisation conforme aux données à transmettre. [1]
La caractéristique d'une diode laser ressemble à celle d'une diode. En dessous d'une
valeur d'intensité seuil, la diode est absorbante, au-delà, l'émission stimulée est proportionnelle
à l'intensité du courant électrique.
5.1.1 Caractéristiques
Par rapport à une diode PN standard, la diode PIN (de taille similaire) présentent une
meilleure tenue en tension et une capacité de jonction plus fable.
Une diode PIN polarisée en directe (dans le sens passant), se comporte comme une
résistance, est fonction de la largeur de la zone non dopée et est inversement proportionnelle au
courant de polarisation.
Cette caractéristique fait que ces diodes sont utilisées comme atténuateur et interrupteur
radiofréquence : on commande le passage des hautes fréquences par le courant de polarisation.
photodiode est que sa caractéristique courant/tension dépend du flux lumineux qu'elle reçoit
(Figure 16). Notez les conventions de signe choisies.
Word Wide Web sur un réseau public ou prive en utilisant le protocole http,
Hypertexte transfert Protocol qui est l’ensemble des règles réagissant
Le transfert des fichiers (texte, image, son, vidéo et autre fichiers multimédia)
sur le web.
2.2 Configurations du serveur
Un serveur informatique travaille selon les différents paramètres choisis lors de sa
configuration. Qui est faite par l’installation de logiciel serveur.
Différents paramètres entre enjeu pour un bon fonctionnement du serveur notamment
DHCP : Attribution automatique D’adresse IP (Dynamic Host Configuration
Protocol)
FTP : protocole de transfert de fichiers (File Transfert Protocol)
Un réseau en soit doit avoir une adresse IP, l’adresse que l’on attribuer au serveur lors de sa
configuration, 2 types d’adresse IP sont avoir :
Adresse réseau : Adresse du serveur
Adresse physique : Appeler adresse Mac (Media Accès Control)
Cette adresse est de 48 bits soit 6 octets, elle est physiquement liée aux matériels (carte
réseau).
2.3 Paramètres Du Serveur
Lors de la configuration c’est au technicien de choisir un des paramètres à attribuer au serveur
soit le DHCP ou FTP.
2.3.1 Configuration d’un serveur DHCP
Le DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) qui est un protocole réseau qui a pour
but de stoker les informations de configuration dans une base de données qui comprend le
paramètre de configuration TCP/IP validées pour tous clients sur le réseau.
Chaque appareil sur un réseau TCP/IP doit avoir une adresse IP pour accéder au réseau.
Le serveur DHCP lors de sa configuration ou après avoir été configuré a pour rôle de fournir
des informations de la configuration associée que le masque de sous-réseau et la passerelle par
défaut, tout cela après téléchargement et installation du logiciel Windows server 2012.
46
Sur le tableau de bord du serveur, le rôle et des fonctionnalités du serveur seront ajoutées, le
serveur DHCP sera sélectionné.
47
Après avoir cliqué sur le bouton suivant, installons maintenant le rôle DHCP en cliquent sur le
bouton installé pour confirmer l’installation.
Pour terminer la configuration du serveur DHCP, allons sur le petit drapeau situé au coin à
droite du tableau de bord pour terminer, cliquons sur suivant pour valider, par après ajoutons le
nom de l’administrateur.
48
Une fois installé, il faut configurer le serveur DHCP en créant une étendue qui est une
plage d’adresse IP qui peuvent être alloué aux clients DHCP sur le réseau.
L’étendue constitue également pour un serveur principal un moyen de gérer la
distribution et l’attribution des adresses IP.
Les propriétés d’une étendue sont les suivantes : Nom de l’étendue, identificateur du
réseau, plage d’adresse IP, Masque sous-réseau, durée du bail.
Pour créer une nouvelle étendue dans la console DHCP, faisons clic droit dans la partie IPv4
puis sur nouvelle étendue.
L’IPv4 (Internet Protocol version 4) est la première version d’Internet Protocol (IP) à avoir été
largement déployée, et qui forme encore en 2022 la base de la majorité des communications sur
internet, par rapport à IPv6
La plage d’adresse qui sera allouée aux ordinateurs clients du serveur DHCP, doit être
renseignée ainsi que le masque sous-réseau.
49
Configurer la durée du bail qui correspond à la durée pendant laquelle un client peut utiliser une
adresse IP de l’étendue.
L’adresse de la passerelle qui est un point du réseau qui fonctionne comme une entrée vers un
autre réseau qui utilise un Protocol diffère.
Renseigner ici le nom du serveur ainsi que son adresse IP en cliquant sur le bouton ajouté pour
l’inclure dans la liste de DNS affecte aux clients puis cliquer sur e bouton suivant.
50
L’étendue qui vient d’être crée doit être activée en cliquant sur le bouton suivant pour terminer,
si l’étendue DHCP n’est activée les clients ne pourront pas obtenir l’adresse.
Toute adresse est définie par un nom de rue et un numéro de maison. De même, une
adresse IP est constituée d'un élément réseau et d'un élément hôte. Prenons par exemple
dernier octet identifie un appareil sur votre réseau. Les adresses IP sont constituées de 32 bits
binaire (4 x 8), mais comme elles sont longues et complexes, nous utilisons un système décimal
à points.
51
192.168.123.132 = 11000000.10101000.01111011.10000100
Le masque de sous-réseau reflète la partie réseau dans une adresse IP. Il peut ressembler à
192.168.123.0 est votre sous-réseau, tandis que 192.168.123.132 est une adresse de destination
Une possibilité de crée un mot de passe de passe d’administration est offerte au tableau de bord
ci-dessous.
53
Aller sur user puis sur Add pour ajouter un dossier FTP et donner à l’utilisateur le droit d’accès
au dossier FTP en y ajoutant le mont de passe.
Deux dossiers déjà créent dans le disque de la machine nommé privat et public ou l’admin
victoire accède, puis lui donner la permission de lecture en cliquant sur Read+write puis sur
Read only.
55
Par après on crée l’utilisateur Admin, même schéma avec le premier en cliquant sur Add en
ajoutant le mot de passe qui sera demandé à chaque fois lors de la connexion puis on applique.
Par après on crée un autre utilisateur nomme user toujours sur Add même mot de passe mais au
niveau de dossier c:\privat qui a été créé avant puis la permission de lire et écrire.
Puis on télécharge Filezilla client, une fois téléchargé on l’exécute et accepter la licence et
l’installé en cliquant sur Next.
56
Fin de la configuration du serveur FTP ,par la nos client sont prêt a envoyer et recevoir des
fichiers et sont prise en charge par le FTP qui permet le transfert de fichiers. [10]
d
C=L +nk
V
Pour ce projet, la fibre optique a utilisé, est une fibre optique de type multimode a
gradient d’indice a dispersion chromatique de 20 PS/nm.km avec une longueur de 10 m ;
l’atténuation de 0,2 dB/km avec de variation d’indice ∆ entre le cœur et la gaine est toujours
faible de 10-2
n 1−n 2
∆= <1
n1
La fibre a gradient d’indice est généralement utilisée à la distance modérée (10~20 km).
La vitesse relativement élevée (34~140).
Pour dimensionner le réseau à fibre optique, il faut d'abord connaître la longueur d'onde
utilisée pour la transmission afin de déterminer l'atténuation dans la liaison.
Dans une fibre optique, on montre que le produit bande passante par la distance est une
constante. De ce fait, on exprime la bande passante par kilomètre. Compte tenu de la réponse en
fréquence des fibres et des coupleurs optoélectroniques, on définit trois plages d'utilisation
appelées fenêtres optiques proches d'infrarouge.
La première fenêtre à 850 nm (3,53 x 105 GHz) correspond à l’utilisation de coupleurs à
coût minimal. Ce n’est pas l’optimum d’utilisation des fibres, mais dans des liaisons à faible
distance, comme dans les réseaux locaux, cette fenêtre est parfaitement adaptée. Généralement,
on lui préfère la fenêtre de 1 300 nm (2,3 x 105 GHz), l’atténuation n’est alors que d’environ 0,5
dB/km. La fenêtre située à 1 550 nm (1,93 x 10 5 GHz) a l’avantage de ne présenter qu’une
atténuation d’environ 0,2 dB/km, mais les coupleurs sont plus coûteux.
59
Les performances d’un système numérique en onde luminescente est caractérises par les
taux d’erreurs sur les bits (BER ou TEB ; Taux d’Erreur Binaire)
64
Pour relier deux équipements, il faut choisir la catégorie “Connections” puis cliquer sur
la connexion désirée. Dans nos différents travaux pratiques, nous n’utiliserons que 2 sortes de
connexions : les câbles droits (Copper StraightThrough) et les câbles croisés (Copper Cross-
Over). Ils sont en position 3 et 4 sur la partie droite de la figure 2.
Dans l’onglet Config, il est possible de configurer la passerelle par défaut, ainsi que
l’adresse du serveur DNS (cliquez pour cela sur le bouton Settings en-dessous du bouton
Global). Il est possible aussi de configurer l’adresse IP et le masque de sous-réseau (cliquez
pour cela sur le bouton FastEthernet en dessous du bouton INTERFACE).
4.1Mode simulation
Une fois le réseau créé et prêt à fonctionner, il est possible de passer en mode
simulation, ce qui permet de visualiser tous les messages échangés dans le réseau. En mode
simulation, la fenêtre principale est scindée en deux, la partie de droite permettant de gérer
68
4.3 Topologies
Les topologies utilisée dans notre réseau LAN est telle que,
Le réseau local a été scindé en diffèrent réseau virtuel que nous appelons
communément VLAN (Virtual Lan), c’est donc un réseau local virtuel que nous allons créer
pour des raisons d’optimisation mais également pour la sécurité du réseau, le VLAN a
plusieurs avantages comme celui de réduire le nombre des équipements à utiliser qui réduit
également le cout des matériels. Nous avons ainsi créé 3 Vlan.
69
Le premier Vlan est le Vlan 10 que nous avons nommé GESTION, ce réseau Virtuel
comporte en son sein comme tous les autres vlan d’ailleurs, différents ordinateur qui devront
communiquer entre eux au travers le media de transmission qui est la fibre optique.
Le principe de fonctionnement d’un réseau local virtuel, est tel que seul les
équipements appartenant à un même vlan peuvent communiquer ou s’échanger des
informations, il existe un second principe qui permettrait de faire communiquer deux
équipements des vlan différents grâce à la technique dite Routage InterVlans.
En ce qui concerne de routage Inter-vlan, il y’a un routeur qui se charge de relier les
différents réseaux virtuels entre eux, ceci rend directement la communication beaucoup plus
intéressante.
4.4 Equipements
Les équipements présents dans notre réseau local, ont été choisis ans le but de
montrer comment la transmission des multimédia (audio, vidéo…) se passe en utilisant la fibre
optique comme canal de transmission. Nous avons donc mis en place différents équipement
pour rendre tout cela plus explicite. Nous avons utilisé un routeur dit Routeur-PT pour le
routage des échanges entre différents vlan, 3 switch reliant physiquement diffèrent vlan par
fibre optique.
Sur la figure si dessus vous pouvez remarquer que nous avons 3 Vlan, le vlan10 en rouge, le
vlan20 en bleu et le vlan30 en vert.
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4.5.1 Switch
Tout d’abord nous allons créer les diffèrent vlan
– SWITCH> en
– SWITCH #configure terminal
– SWITCH (config)#vlan 10
– SWITCH (config-if) #name GESTION
– SWITCH (config-if) #exit
– SWITCH (config)#vlan 20
– SWITCH(config-if) #name ADMINISTRATION
– SWITCH (config-if) #exit
– SWITCH (config)#vlan 30
– SWITCH(config-if) #name FINANCE
– SWITCH (config-if) #exit
Cette configuration créer les diffèrent vlan avec leur diffèrent noms, ces commandes sont à
exécuter sur tous les switch pour y créer les diffèrent vlan.
Après cela nous devons configurer le switch1 qui interconnecte le switch2 et le switch3. Le
switch2 est connecter au switch1 sur l’interface Gig4/1, ce port nous devons le configurer en
mode trunk pour permettre au diffèrent Traffic venant d’un vlan d’être acheminer vers un autre
vlan diffèrent
– SWITCH (config)#interface gig4/1
– SWITCH(config-if) #switchport mode trunk
– SWITCH(config-if) #switchport trunk vlan 10,20,30
– SWITCH (config-if) #exit
Cette configuration permet de faire passer tous les Traffic des différents vlan, ce qui permettrait
de faire communiquer les différents ordinateurs du réseau entre eux. Cette commande est à
répéter sur tout le port du switch1.
4.5.2 Routeur
Nous allons maintenant configurer le routeur pour qu’il puisse router les échanges entre
diffèrent vlan. Nous l’avons dit dans les chapitre précèdent que le routeur joue le rôle
d’interconnexion entre diffèrent réseau, c’est un équipement de la couche Réseau du modèle
OSI/TCP
– Router>en
– Router # configure terminal
– Router (config) # interface gig6/0.10
– Router (config-subif) # encapsulation
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Sur cette figure nous pouvons remarquer que l’échange qui se passe entre les différents
ordinateurs est entrain de parcourir les 7 couches du modèle OSI tel que le démontre l’image.
La description
Afficher des informations détaillées sur le projet en cours (voir Figure V.12).
Le signal généré qui constitue notre message est un signal numérique, voici la forme du
signal généré par le générateur pseudo-aléatoire, sur la Figure V.14.