Synthèse El P1
Synthèse El P1
Synthèse El P1
Avec le développement de l’informatique, les quantités de données à traiter n’ont cessé d’augmenter. Il
a donc fallu trouver des solutions pour assurer la persistance de ces données ainsi que la mise en place de
systèmes permettant de les exploiter de façon simple efficace et indépendante du matériel utilisé.
Avec le développement des réseaux, ces solutions ont dû rendre possible les accès concurrents par
plusieurs ordinateurs tout en garantissant l'intégrité des données en cas de modification, autrement dit leur
cohérence, leur fiabilité et leur pertinence. Ces évolutions ont donné naissance aux « Systèmes de Gestion de
Bases de Données Relationnelles » (SGBDR).
Or à l’heure actuelle il est courant que des données volumineuses et actualisées soient consultées en ligne
par plusieurs personnes, par exemple des réservations de billets de train ou de locations de vacances ou
encore des cartes (OpenstreetMap). On peut observer d’ailleurs cette "concurrence" dans la consultation des
données grâce à des messages affichées sur la page Web comme "il ne reste que 5 billets pour cette
destination" ou encore "plusieurs personnes consultent cette destination"
Définition :
Une base de données relationnelle est………………………………………………
……………………………………………………………………………
Un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR) est ………………………..
……………………………………………………………………………
On utilise la base de données relationnelle, qui va nous servir d’exemple : Mondial Data Base
Voici un extrait de la relation ou table :
country(NAME,CODE,CAPITAL,PROVINCE,AREA,POPULATION)
qui décrit un pays par son nom, sa capitale, la province de sa capitale, sa superficie et le nombre d’habitants
Remarque :
Lors de la création d’une relation, il sera nécessaire de renseigner le domaine de chaque attribut. C’est le
SGBD qui s’assurera qu’un élément rajouté ç une relation respecte bien le domaine de l’attribut
correspondant.
Exemple :
Voici le schéma relationnel d’une base de données Films :
Schéma de la base
Film(idFilm:INT, titre:TEXT, année:INT, genre:TEXT, #idréalisateur:INT )
Pays(code:TEXT, nom :TEXT , langue :TEXT)
Artiste(idArtiste:INT, nom:TEXT, prénom:TEXT, annéeNaiss:INT)
Rôle(idFilm:INT, nomRôle:TEXT)
Internaute(email:TEXT, nom:TEXT, prénom:TEXT, CodePostal:INT)
Notation(email:TEXT, IdFilm:INT, note:INT)
Les clés primaires des relations sont en gras et soulignés
Si on veut relier un film à un réalisateur, qui est aussi un artiste on va passer par l’attribut
idRéalisateur de la relation Film
Ainsi un film qui aura un attribut idRéalisateur égal à la clé primaire idArtiste d’un artiste, est un
film réalisé par cet artiste.
On dit alors que idRéalisateur est une …………………… de la relation idFilm
Exemple :
On considère les élèves d’un lycée, afin d’organiser les données un dresse le tableau suivant, qui définit une
relation qu’on nomme Elèves
Nom Prénom Âge Sexe Classe Ville
Ratif Luc 1
Diot Kelly 2
Rest Eve 1
…
Une colonne s’appelle ………………………………………………………
Une ligne s’appelle …………………………………………………………
Peut-on identifier une élève de manière unique seulement avec son nom ? ……………………
Que peut-on faire ? …………………………………………………………
………………………………………………………………………
………………………………………………………………………
Nom Prénom Âge Sexe Classe Ville
Ratif Luc 1
Diot Kelly 2
Rest Eve 1
… …
Pour éviter tout problème en cas d’éventuelles modifications, il est plus pratique d’utiliser un nombre entier
plutôt qu’une chaîne de caractères. On ajoute donc une colonne supplémentaire. Il s’agit d’une clé artificielle
ou clé de substitution qui permet d’identifier n’importe quelle ligne.
Classe Professeur Salle
…
… TNSI 1 L14
… TG2 2 L18
… 1G4 1
… …
Les valeurs de la clé étrangère Classe de la relation Elèves sont alors des valeurs de la clé primaire Id de
la relation Classes.
Remarque :
Avec ce système de représentation, les modifications sont plus simples à gérer.
Que faudrait-il faire si tous les élèves de la 1ère G4 changent de salle ? …………………………