LORS Nathanael
LORS Nathanael
LORS Nathanael
-Bonjour monsieur Klink. Assis à côté de son divan illustre, le rouge psychologue Jean Daguerre me
salut. Il me prit de m’allonger ; je massois et croise les jambes.
- Veuillez excusez si je ne réponds pas à vos prières, je n’en ai pas la prétention… et je suis plus à
l’aise assis. Expliquais-je posant au passage ma longue canne à mes cotées.
De ce que j’en voyais, mes pauvres manières ne l’offusquèrent guère. Peut-être était-ce dû à la sobre
richesse de mes vêtements. Après quelques politesses, qui était devenues d’un triste automatisme
chez moi, nous entrâmes dans le vif du sujet.
- De ce que vous m’avez dit au téléphone, vous venez me voir suite à quelques éléments
traumatisants. Je ne vous demande pas de m’en parler directement. Parlez-moi simplement de ce qui
vous passe par l’esprit ou, si vous n’avez pas d’idées, raconté moi un peu votre vie.
Effectivement ma conscience fuillait ces souvenirs qui étaient combattues par mon esprit.
- Je suivrais vos précieux conseils ; la réflexion bénéficie de ce que chacun lui apporte, comme l’on
dit. A la réaction du psychologue je devinait qu’il ne devait point souvent dire cela. Je commençais
donc mon récit. Il fut une époque où tout était beau, où le moindre chagrin qui pue m’époindre de
quelque mauvaises pensées n’avait d’importance que celle que je lui attribuais subjectivement et
injustement. Le bonheur de cuisiner avec son père, la joie d’apprendre à chevaucher avec sa mère…
tant de souvenirs plein de soleils. Pour tout dire je n’imagine pas d’enfance plus heureuse que celle-
ci. Notre famille vivait recluse de la société et cela m’arrangeais bien, car je pouvais passer du temps
avec celle-ci.
Je fit une pause songeuse qui fut peut-être trop longue car à un moment le Dr Daguerre me relança.
- Isabella Iribarne et Samuel Klint. Elle prit celui de son marie mais j’aime appeler ma mère par son
nom de jeune fille.
-Y a-t-il d’autre personnes qui sont ou qui furent importantes dans votre vie ? Enchaîna-t-il.
- Bien que reclus les membres de notre famille n’étaient pas des ermites. J’ai bien rencontré
quelques personnes dans cette longue vie. Il y eu Emma la gouvernante, qui me gardais lors que mes
parents devaient s’absenter pour certaines affaire… disons familial. Je l’aidais pour les taches
ménagères et nous jouaillons parfois ensemble dans le jardin dont prenait soin ma mère et Paxi
Goyenaga le majordome qui s’occupais des plantes et de la gestion de la maison. C’étais lui aussi qui
conduisais la roll’s lors de nos rare sorties. Il avait se stoïcisme que l’on attribue à tout les majordome
de film et la fidélité qui allais avec. Mes parents appelais Paxi Mr Goyenaga et Emma Ms Jouvencelle.
Après mes 15 ans je finis par me plier à cette étiquette. Il y eu aussi mes maitres ; Tomas Garcia et
Matilde Burguet. Durent cette enfance j’appris l’art de la table, de la valse, de la tenue, du parlé, des
salutations, je devins aussi pratiquant de l’escrime, des échecs, de la chevauché, du golf, de l’aviron…
mais je ne pratiquais pas en équipe si ce n’est avec mes maitres ou ma famille. Même l’avirons ce
faisait sur notre lac. De temps en temps Paxi faisait appel à des société privé pour certains gros
œuvre tel que la réparation de la serre ou l’élagage de la haie de Cyprès de Leyland qui entourais la
propriété. Alors je m’extirpais de la surveillance d’Emma pour aller voir les travailleur qui suaient
sous la chaleur de jour et de leur labeur. Je m’amusais beaucoup.
Encore un silence. Cette fois il ne me relança pas. Ainsi passa le temps sans que rien ne se passe.
-Il y’a bien eu quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui marqua mon enfance et qui y eu peut-être la plus
grande des influences. Du moins la plus grande des importances. En prononçant ces mots je perdais
de la droiture sans m’en rendre compte.
- Nous nous rencontrions au club d’escrime. C’était atypique car mes cours étaient particuliers. Le
maitre Fabien Delacour me devait son attention sans faille durant deux heure entière ce qui ne
laissait donc pas la place à un autre éléve ni à une rencontre. Cependant le maitre Delacour était
toujours imprévisible. Déjà quand il avait refusé de venir me donner cour à domicile cela m’avait
interloqué et je l’avoue peut-être offusqué.
Quand cet enfant arriva il avait les cheveux ébouriffé, portait une tenue d’escrime qui avait l’air
ancienne, et avait de la terre sous les ongles. Il était habillé en marron et moi en blanc. Je lui tendais
la main comme on me l’avait appris et il me la pris de la même manière. Il avait manifestement une
grande éducation qui ne se voyait juste pas sur sa façon de présenté. Delacour ne nous laissa pas le
temps de palabré si tôt j’appris qu’il s’appelait Antoine Isabal.
A la fin du premier cour nous fime un match qu’il gagna. Je n’avait pas l’habitude de perdre contre un
adversaire de mon age et cela était… rafraichissant. Je pris la main qu’il me tendait et c’est sur ce
geste que commença notre presque indéfectible amitié
Malheureusement alors que je parlais à mes parent de la rencontre ils furent choqué et m’interdire
de fréquenté ou même d’approché Antoine en dehors des cours d’escrime car il appartenait à une
maison rival.
Malgré tout nous arrivions à nous voir au cimetière d’Ainhoa. J’avais trouvé l’excuse d’aller me
recueillir sur la tombe de membre de notre famille qui y étaient enterré. Ainsi il nous arrivait de
passé des après-midi ensemble sans jamais que nos familles ne soient au courant, ou si elles l’étaient
– ce que je suspecte aujourd’hui- sans jamais qu’elles ne nous fassent de remarque à ce propos.
L’heure de la fin du rendez vous c’était écoulé et je n’avait pas envie d’en dire plus je m’en allais
alors, il était l’heure d’une de mes rencontre hebdomadaire avec le sage Sho Dhen à la Médiathèque
François Rospide.
En sortant je pensais aux choses que je n’avait pas pus dire au docteur Daguerre.
Comment la famille d’Antoine faisait partie des Verdenas, une des neuf traditions qui réunisse des
Mages. Comment mes parent et les sien était censé, de par leur affiliation et leurs passif, être
belliqueux l’un envers l’autre et comment un événement tragique avait mis le feu aux poudres…
Chapitre 2 : Antoine
Mon père et ma mère mon appris tout ce qu’il y avait à savoir sur l’alchimie. Je me suis éveillé depuis
ma tendre enfance à 11 ans en lisant un livre sur l’alchimie que mes parent m’avaient mis à
disposition. Je sais transformé le plomb en or depuis mes 13 ans en théorie et 17 ans en pratique,
passant donc à cette âge au rang d’orichalque de la maison Solificati.
Vie de noble reclus oblige, je n’ai pas beaucoup de contacts sociaux mais j’ai un amis que je me suis
fait à l’escrime : Antoine Isabal
Nos famille sont ennemis mais on s’en fiche, on est pote. On aime parler de philosophie ensemble.
On à adopté une vipère qui trainait dans le cimetière où l’on se voyais. On décide à nos 18 ans pour
la farce mais aussi et surtout pour en apprendre plus sur la vie de l’autre, que je prendrais
l’apparence d’un de ses amis de l’école pour qu’il puisse me montrer ou il vie.
Malheureusement je me fis prendre par ses parent aussi tôt que je rentrait dans la maison. Ils faillir
me tuer pensant que j’était un espions qui aurait pus tuer leurs fils. J’en ai encore une cicatrice au
ventre. Heureusement qu’Antoine intervient, me sauvant la vie. Je m’enfuit alors en courant, et
Antoine me suivit. A un moment nous arrivions au cimetière et pendant un répit nous réfléchissons à
la suite des événements. On prévoit de s’enfuir, de quitter nos famille pour vivre tout les deux. On
vas piqué une voiture aller en Afrique et aider les gens dans le besoin comme on l’as toujours voulu !
Première étape de notre plan changé de visage. C’est la première fois que je vais le tenté sur
quelqu’un d’autre -Antoine n’as pas ses outils sur lui pour le faire lui-même- mais la situation est
autoritaire. Cependant cela ne se passe pas comme prévus, aussitôt l’émeraude dans sa bouche qu’il
s’évanouit. Mince ! Nos beaux plans peuvent attendent plus tard sa famille me rattrape et le
malentendus n’étant pas dissipé ils risquent de me tuer. Je m’enfuis.
En entendent mon histoire mes parent son estomaqué. La communication non verbale qui apparait
sur leur corp de par mes mots me fait regretter de ne pas être aveugle. Aujourd’hui encore je me
rappel de leurs regards, je me rappel du regret, de la déception, de la peur ainsi que de la fureur de
me voir blessé.
Ils vont en quatrième vitesse vers la maison d’Antoine, après que je leur en ai indiqué la localisation,
afin de réglé cette affaire. Ils ne veulent pas que je vienne. Je les suis quand même.
Quand j’arrive en vue de la maison, notre rolls est garé précipitamment et mes parents approche de
l’entrée des Isabal… Je ne sais pas qui à attaqué en premier mais je me souviens de la pluie et du
tonner de cette nuit. Dans ce ciel sombre la lumière jailli abruptement et un épais éclaire frappa le
porche comme un marteau titanesque, faisant chancelé le sol. Les coups qui suivirent eux, firent
chancelé la réalité.
La lumière rougeâtre de l’aube révéla le noir des cendres, seule réminiscence de ce qui fut là, au
seule témoin que j’étais. J’avais tout perdu. A tout jamais.
Il est plus que certain que les Isabal avait du ramener le corp endormis d’Antoine chez eux car je ne
le trouvais pas au cimetière. Cela m’attrista, je crois, plus que tout car après avoir perdu mon passé je
perdait mon avenir.
Chapitre 3 : Léa
Stephane housset était un amis de ma mère et un membre de la maison Solificati. Il devint mon
mentor à sa mort. Il n’était pas méchant, mais nous ne pûmes jamais vraiment partagé un lien
affectif conséquent. Lors des événements j’avais l’âge de raison et le grade d’orichalque chez les
Solificati ; après avoir hérité des biens de mes parents je devin très vite autonome
J’ai rencontré ma future femme lors d’une session de jazz, dans le bar la fenêtre bleu. C’était
vraiment chouette. Le courant est très bien passé. Elle était pianiste.
Quand Léa Rausart jouait du piano, une énergie qui n’avait rien à devoir (et rien à envier) aux sphère
emplissait la pièce. L’humeur du publique était réglé par une étrange machinerie qu’actionnait les
doigts de Léa en appuyant sur les touches noires et blanches.
Je l’abordais pour la féliciter et nous discutâmes assidument, j’étais néophyte en musique mais le
sujet dériva petit à petit pour devenir plus personnel. Nous ne tardâmes pas à sortir ensemble et 7
année plus tard nous nous mariâmes un peu avant de donner naissance à Lena, notre magnifique
fille.
Lena est un petit ange et nous vivons au paradis. Cependant en 2014 elle mourus. Je ne sais pas si
c’est car la vie était devenue trop banal, si je ne la stimulais plus assez, si un élément de sa vie la
peinait, j’ai longtemps cherché, mais je n’ai jamais trouvé qu’est-ce qui l’avait poussé à retombé dans
la drogue. Elle avait freiné à notre rencontre et totalement arrêté lors de sa grossesse.
C’est Léna qui l’a trouvé après son overdose. Elle rentrait à la maison en se plaignant qu’on ai oublié
d’allé la cherché à la fac d’art. Le traumatisme a été gigantesque. Elle quitta la fac et commença une
tourné avec son groupe de Métal « Pogo car crash contrôle » avec son nouvel album « ta guelle et
crève »
Quant à moi je sombre dans une grande dépression et fait partir les employés après la mort de Léa.
Je lit les.
Je porte encore l’alliance de Léa à coté de la mienne. Et un portrait d’elle dans ma chambre. Son
corps est préservé dans le labo.
Famille de Léa :
- Léo (frère),
- Bernard (père), bon gros basque paysan producteur de piment et éleveur de brebis.
1967 je née
Il est un descendant de Flamel dont le nom reste secret. Ils possèdent le livre de Flos florum (La
Fleur des fleurs).
un adolescent Alector, transformé en fontaine naturelle dans la foret à côté (node) (légende)
Possession :
Maison à : Catatumbo, sete cidades açores, Paris
Sur lui :
-monocle
-canne épée
-cathéter 2.0
-carnet alchimique
-épée (dégâts = trait de force+ 2) (et pour touché dex + mélée)
Sacoche :
Chez lui :
Armes : haches, harpons pour la chasse sous marine, explosifs en tout genres, fusil de chasse, fusil
de précision, fusils d’assaults, fusil à pompe, lance grenade, bazooka, sarbacane, mine antipersonel,
nunchaku, coup de point américain, couteau de chasse, couteau de lancé, machette, sabre, catana,
épée, fleret, hache à double tranchant, arc, arbalette, shuriken, lance flamme. Lance, halbarde,
fléaut, pistolet et fulsil hypodermique, mortier, masse d’arme
Outils : scies, tondeuse à pétrole, lampes, cordes, chaines, perceuses, marteau, visseuse, échelle,
grappin, lampe à soudé, chalumeau, marteau piqueur, tractopelle, rations de suirvies pelleteuse,
menotte lunette infrarouges , drones de reconnaissance, drone de combat, fumigènes, grenade flash,
boite d’allumette, gaze soporifique, masque à gaze, gaze moutarde, bombe nucléaire, radar… ect
Chiens entrainés, tourelles, viseur laser, grenade. Tank, helicoptères apaches, tentes militaires, sacs,
gourdes, filtre à eau, récupérateur d’eau, piscine gouflable, mine anti tank, balles explosives, virus
zombie… armure de combat assisté, aigles de combats. Jeep militaire avec tourelle à l’arrière, pickup
avec tourelle montable à l’arrière. Couteau suisse, wingsuits, parachute. Sacs de ciments, sous marin,
jet pack, jeu de carte, barre à mine, C4, catapulte, trébuché, canon, 50 litre d’alcool à brulé, gaz
halucinogène, napalme, bouclier anti èmeute. Montre d’espion avec cyanure et flechette
hypodermique, masque changeur de voix PS3, combinaison de plongés, kit médicale, gilet parballe
coudière et genouillére, collier de protection ballsitique, oreillette de comunication, lunette
balistique. Ballise, système de suivie gps avec balise. Gand renforcé, pelle pioche, déteteur de mine,
chargeur solaires, combinaison de camouflage. Montre tactique (fonction altimètre baromètre et
bousole) fausse carte d’identité,de la sécurité interieur, de l’inspection des impot, enseignement
militaire, unité de coordination de la lute antiterroriste de police, poudre de ricine (40 kilo),
nitroglycérine, de la peinture de toute les couleurs, peinture de guerre. Bombe sale. Conserve en
grand quantité dans on abris anti aérien (trois ans de victuaille) briquet *4, déodorant, serviette,
matériel de cuisine, bombone de gaz, plancha, four traditionel, piscine creusé, frondes, matèriel
d’escalade. Tenue de capouera, petite radio,
Modification de la solidité d’un matériau -> solidificatum -> concoction + formule pour préciser si
durci ou ramolli.
Fumigène -> fiole de brume -> concoction+ formule pour précisé si toxique ou somnifère.
Augmenter résistance -> mytrification -> alphabet alchimique +langue des oiseaux pour augmenter
la concentration de l’élément constituant l’objet ou l’être.
pierres précieuses (garder dans la bouche) : augmentation attribut, autres modification corporelles
Outils :
-monocle
-canne épée
-carnet
-laboratoir
-potions et cataplasme
- tatoo
-formules latines