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• Pour le Canada et les États-Unis:
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Longueuil, Québec J4G 1G4
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* filiale du Groupe Sogides inc.,
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11-11
ISBN 978-2-7619-3182-3
L’HISTOIRE DU ROI
PARADIGMES D’ONCOLOGIE
TABLEAU 1
Quelques facteurs de risque ciblés
par la prévention
Tabagisme
Consommation d’alcool
Régime alimentaire inadéquat
Inactivité physique
Exposition à des substances
cancérigènes – amiante, tein-
tures, produits chimiques, etc.
Infections et inflammations
chroniques
Immunosuppression
Reflux gastriques
Exposition aux radiations (ray-
ons X, rayons gamma, UV-C,
etc.)
Antécédents familiaux
TABLEAU 2
Autres données
2.1 Nous savons que cette maladie
existait bien avant notre ère. Par
exemple, Hippocrate (oui, celui
du serment que prêtent les mé-
decins) la traitait avec des pom-
mades en l’an 400 avant Jésus-
Christ.
2.2 Nous savons qu’elle peut se
développer chez les gens de
toute race, tout âge, tout sexe et
tout milieu social.
2.3 Nous savons que le cancer se
développe souvent dans un en-
droit du corps précédemment ir-
rité, où il y a déjà inflammation
et renouvellement cellulaire1.
Cela explique la répercussion
des facteurs de risque comme le
tabagisme, les infections chro-
niques, les radiations,
l’exposition prolongée à
l’acidité, les tatouages, les an-
ciennes brûlures ou cicatrices,
etc., bref, tout endroit où il y a
endommagement et réparation
cellulaire (s’il vous plaît, cessez
d’examiner vos cicatrices). Les
examens de dépistage, comme
le Pap test et les scopies, per-
mettent de détecter ces zones de
notre corps à risque de trans-
formation.
2.4 Nous savons que tout com-
mence par l’ADN d’une seule
cellule du corps (comme Minak)
qui se multiplie et envahit tout
ce qui l’entoure avant de mener
le combat à distance au moyen
de métastases. Contrairement à
ce qui se produit lors d’une in-
fection, c’est une des cellules de
notre corps qui nous attaque, et
non une bactérie venue de
l’extérieur.
2.5 Nous savons que la cellule can-
céreuse régresse à un stade an-
térieur de l’évolution, soit à un
stade enfantin ou indifférencié.
Au départ, nous naissons d’une
cellule formée par l’union d’un
spermatozoïde et d’un ovule de
nos parents. Cette première cel-
lule est à un stade enfantin et
elle est capable de se multiplier
pour former n’importe quelle
cellule du corps. Elle possède
un pouvoir de transformation et
de spécialisation. Elle se divise
rapidement pour former des cel-
lules matures qui se perfec-
tionnent en systèmes (par ex-
emple les cellules du foie, du
sein). La cellule négative, elle,
fait le trajet inverse. De cellule
mature, elle revient au stade en-
fantin. Elle passe alors incog-
nito et peut se multiplier rap-
idement. Plus elle régresse et
perd sa différenciation, plus elle
est difficile à traiter.
2.6 Nous savons que ces cellules
cancéreuses forment une masse
et n’obéissent aucunement aux
lois territoriales des tissus en-
vironnants. Normalement, les
cellules connaissent les
frontières et les limites
physiques de leur existence.
Mais pas les cellules négatives
qui, comme Napoléon, partent à
la conquête de tous les pays
voisins, détruisant tout ce qui se
trouve sur leur chemin et qui les
empêche d’établir leur empire.
De cette manière, elles attaquent
et prennent possession du roy-
aume.
2.7 Nous savons que le cancer a des
bases génétiques, mais n’est pas
une maladie héréditaire comme
l’hémophilie. Si les parents
l’ont eu, cela ne veut pas dire
que les enfants l’auront néces-
sairement. La génétique n’est
qu’un élément parmi tant
d’autres à considérer.
2.8 Nous savons que d’autres fac-
teurs sont en cause, en plus des
facteurs de risque connus,
puisqu’il arrive que des indi-
vidus ayant tous les facteurs de
risque (y compris la génétique)
ne développent JAMAIS le can-
cer, alors que d’autres, qui ne
présentent aucun facteur de
risque, le développent.
2.9 Nous savons que les cellules
cancéreuses sont intelligentes,
car elles sont capables de
s’adapter et de résister à nos
traitements. Elles réussissent à
déjouer les molécules pharma-
ceutiques, même celles de nos
médicaments les plus pro-
metteurs.
2.10 Nous savons que des cellules
négatives se développent
régulièrement dans notre
corps2-3, mais que le système im-
munitaire les reconnaît et les
détruit bien avant qu’elles se
multiplient. Par contre, lorsque
notre système de défense naturel
est affaibli, ces cellules négat-
ives peuvent le déjouer et se
développer en cancer.
Cancer = A + B + C
A = Susceptibilité génétique
B = Tous les facteurs de risque connus,
comme les habitudes de vie et les inflamma-
tions chroniques, auxquels correspondent les
recommandations médicales actuelles
C = (?)
La présence des facteurs A et B peut par-
fois suffire pour causer le cancer, mais ce n’est
pas une règle absolue. Il semble donc exister
un autre facteur (C) qui influe sur l’ADN et
sur l’équation. De nouvelles méthodes scien-
tifiques très sophistiquées semblent l’avoir
identifié, et cela change les paradigmes onco-
logiques actuels.
Ce que les anciens sages croyaient et ce
que la majorité des gens pensent instinctive-
ment peut-il être vrai?
Chapitre 3
TABLEAU 3
Impact de la dimension psycholo-
gique sur le développement ou la
gravité du cancer
1926, Evans (disciple de Carl Jung): Le
cancer est causé par une tristesse ex-
cessive ou par un deuil. Le cancer se
déclare chez ceux qui investissent leur
identité dans un objet ou un rôle29.
1954, Blumberg: Le cancer est relié à la
personnalité et à la relation individuelle
des gens avec leurs émotions30.
1955, Reznikoff: Le cancer et la per-
sonnalité sont liés31.
1957, Klopfer: La sphère psycholo-
gique (les mécanismes de défense de
l’ego) est liée à la carcinogenèse32.
1958, Greene: Un deuil important ou
une séparation causant un désespoir
sont reliés au cancer33.
1963-1969, Kissen: Certains fumeurs
développent le cancer, mais d’autres,
non. On explique cela par le fait que
ceux qui développent le cancer utilisent
la cigarette comme moyen d’évacuer
leurs émotions34.
1966, Schmale et Iker: Le cancer est lié
au désespoir. Ce sentiment peut être
utilisé comme outil pour prédire la mal-
adie cancéreuse35.
1965, Giovacchini et Muslin: Le cancer
et l’ego sont liés36.
1966, Bahnson: L’ego est un facteur
causal du cancer6.
1979, Derogatis: Le désespoir et le can-
cer sont liés. Une attitude positive di-
minue la mortalité du cancer37.
1980, Simonton: Le soutien émotionnel
diminue la mortalité du cancer28.
1980, Dattore: Les émotions et le can-
cer sont liés38.
1985, Greer: Le cancer et le désespoir
sont liés. Une attitude positive diminue
la mortalité du cancer39.
1985, Pettingale: Le cancer et le
désespoir sont liés. Une attitude posit-
ive diminue la mortalité du cancer40.
1987, Temoshok: Les éléments psycho-
logiques et le cancer sont liés. Exprimer
ses émotions et maîtriser le désespoir
(attitude positive) ont un impact im-
portant et diminuent les chances de
mourir de cette maladie41.
1988, Redd et Jacobsen: Le cancer et le
désespoir sont liés. Une attitude posit-
ive diminue les chances de mourir du
cancer42.
1988, Levy: Une attitude positive di-
minue les chances de mourir du can-
cer43.
1988, Smith: La personnalité et le can-
cer sont liés44.
1989, Gross: Les émotions et le cancer
sont liés45.
1989, Stein et al.: Le cancer et le
désespoir sont liés. Une attitude posit-
ive diminue les chances de mourir de
cette maladie46.
1990, Zevon et Corn: La personnalité et
le cancer sont liés47.
1990, Linkins et Comstock: La dépres-
sion et le cancer sont liés48.
1990, Jasmin et al.: Les traits psycholo-
giques sont liés au risque de cancer49.
1991, Brissette: Les émotions et le can-
cer sont liés50.
1991, Baltrusch et al.: Les émotions et
la personnalité sont liées au cancer51.
1993, Fawzy et al.: Le soutien émotion-
nel diminue de quatre fois la mortalité
du cancer52-53.
1994, Fox et al.: Le cancer est lié à
l’isolement social, à la répression des
émotions et à un deuil récent import-
ant54.
1996, Bryla: La personnalité et les
événements stressants de la vie sont liés
au cancer55.
1998, Penninx et al.: L’incidence du
cancer est augmentée par des émotions
négatives56.
1999, Faller: L’attitude positive
améliore la survie des cancéreux, con-
trairement à la dépression et à la
détresse émotionnelle57.
1999, Walker: Les émotions et le cancer
sont liés58.
1999, Watson: La dépression et le
désespoir sont liés au cancer59.
2000, Reynaert: Il existe un lien entre
émotions et cancer60.
2001, Price: Un traumatisme émotion-
nel augmente significativement
(jusqu’à neuf fois) le risque de cancer61.
2003, Brown: Dépression et cancer sont
liés62.
2003, Lillberg et al.: Le risque de
développer le cancer double chez les
personnes traversant une séparation ou
un divorce ou après la perte du conjoint
(étude menée auprès de 10 000 per-
sonnes)63.
2004, Reiche: Le cancer et la gestion du
stress sont liés64.
2004, Cunningham et Watson: Le can-
cer peut être influencé par une thérapie
psychologique65.
2005, Ornish: Un programme de santé
mentale peut réduire la gravité du can-
cer66.
2005, Ollonen et al.: Il existe un lien
entre l’ego et le développement du can-
cer67.
2006, Nakaya et al.: Les traits psycho-
logiques peuvent être utilisés afin de
prédire la gravité du cancer68.
2006, Beresford: L’ego et la gravité du
cancer sont liés69.
2006, Nagano: La personnalité et le
cancer sont liés70.
2008, Zozulya et al.: La personnalité et
le cancer sont liés. Les thérapies de
soutien peuvent avoir un effet
bénéfique sur le malade71.
2009, Tran et al.: La mortalité can-
céreuse est quatre fois plus élevée chez
les gens atteints de troubles mentaux
comme la schizophrénie72.
2010, Sanzo et al.: Les facteurs psycho-
logiques peuvent augmenter la gravité
du cancer73.
2010, Giese-Davis et al.: La dépression,
les émotions et le cancer sont liés74.
Effets de l’adrénaline
Nos émotions peuvent affecter de diverses
manières le corps et l’équation du cancer.
Beaucoup de ces processus sont identifiés
depuis de nombreuses années; d’autres ont été
révélés par des découvertes récentes. La sec-
tion suivante rapporte quelques-uns de ces li-
ens, alors que d’autres explications seront
données plus loin dans cet ouvrage.
Stress
Définition: Sentiment d’être débordé ou de
manquer de contrôle.
Besoin: Nous avons tous besoin de nous ac-
quitter de nos tâches. Le message livré par le
stress est: «Je sens que j’ai trop de choses à
faire ou que je ne suis pas en condition pour le
faire. J’ai besoin d’aide ou de ressources sup-
plémentaires pour m’acquitter de toutes mes
tâches.»
Rôle: Le stress indique qu’il faut revoir sa
méthode de travail ou sa façon de gérer ses
obligations. Ce sentiment peut résulter d’une
mauvaise gestion du temps ou d’une faible ca-
pacité organisationnelle. Il peut aussi être in-
duit par une incapacité de dire non aux de-
mandes des autres ou une difficulté à prioriser
l’essentiel.
Ennui
Définition: Sentiment de lassitude et de
léthargie. Manque d’intérêt pour la vie.
Besoin: Nous avons tous besoin de nous épan-
ouir. L’ennui est le message disant: «J’ai be-
soin d’avoir des défis et de vivre des choses
qui me feront grandir.»
Rôle: L’ennui nous indique qu’il faut tenter
de repousser nos limites, d’apprendre et de
nous dépasser. Souvent, la paresse ou la peur
de l’inconnu masque ce sentiment, mais il de-
meure présent.
Colère
Définition: Sentiment d’être furieux ou irrité.
Besoin: Nous possédons tous le sens de la
justice, selon notre morale et nos croyances
personnelles. La colère se manifeste quand
nous percevons une situation comme
INJUSTE pour nous-mêmes, pour d’autres
personnes ou pour des choses que nous ai-
mons.
Rôle: Quand nous devenons colériques, nous
sommes stimulés par une montée d’énergie
spectaculaire qui nous pousse à agir. La colère
est donc une pression qui permet de réparer
une situation injuste envers soi ou envers les
autres.
Culpabilité
Définition: Fait de se sentir fautif ou d’avoir
honte.
Besoin: La culpabilité s’apparente à la colère,
car elle provient du même besoin de justice.
Mais, contrairement à la colère, la culpabilité
est un message qui dit: «Je pense que J’AI été
injuste envers quelqu’un, envers moi-même
ou envers une situation.»
Rôle: La culpabilité est une pression qui nous
pousse à réparer une injustice que nous avons
commise.
Tristesse
Définition: Chagrin, sentiment d’avoir le
cœur brisé. On confond souvent la tristesse
avec la dépression.
Besoin: Nous sommes tous des êtres nostal-
giques et relationnels. Par sécurité, nous avons
besoin, chacun à notre manière, de nous at-
tacher à des objets, à des lieux, à des visages,
à des rôles et à des personnes. Parfois, cet at-
tachement est si inapproprié ou intense qu’il
nous prive de la satisfaction d’un besoin
primaire de liberté et de détachement.
Rôle: La tristesse apparaît lorsque nous vivons
une perte significative et indique notre degré
d’attachement à cet objet, à ce lieu, à cet anim-
al, à ce poste, à cette personne, etc. que nous
venons de perdre.
Solitude
Définition: Fait de se sentir isolé.
Besoin: Nous sommes des êtres sociables;
nous nous épanouissons en compagnie de per-
sonnes qui nous apprécient ou que nous ai-
mons. La solitude est le message disant: «J’ai
besoin d’être avec quelqu’un qui m’apprécie
et que j’aime» ou «J’ai besoin de sentir que je
suis relié et que je fais partie d’un tout.»
Rôle: La solitude est une émotion qui nous
pousse à socialiser, à partager, à interagir et à
faire partie d’un ensemble.
Inadéquation
Définition: Fait de se sentir stupide, inutile ou
inapte.
Besoin: Nous avons tous besoin de nous sentir
confiants, en pleine possession de nos moy-
ens. L’inadéquation est la voix disant: «J’ai
l’impression qu’il y a quelque chose qui
cloche en moi. J’ai besoin de me retrouver
et de m’aimer.» Rôle: L’inadéquation est une
volonté de se sentir pleinement confiant, une
énergie qui nous pousse à renouer avec notre
puissance intérieure.
Le déni émotionnel
La distraction
Ceux qui n’écoutent pas leurs émotions font
souvent appel à la distraction. La distraction,
c’est la sourde oreille que fait le capitaine en
présence du messager. C’est l’action de «noy-
er» les idées engendrées par l’émotion, sans
jamais y faire face. Boire de l’alcool, fumer,
courir les magasins, se goinfrer, regarder la
télé, travailler – voilà des exemples d’activités
de distraction qui permettent d’évacuer mo-
mentanément la pression. Mais un moyen de
distraction ne peut pas devenir une habitude
car, même s’il nous soulage temporairement,
le vrai problème reste entier, puisque le mes-
sage émotionnel – notre besoin – n’est pas
comblé. AGIR selon l’émotion ressentie et dé-
coder le message, cette nuance de couleur, est
la seule manière de régler la situation.
L’émotion qui revient constamment, comme
un cercle vicieux, peut conduire à un senti-
ment de vide, de frustration et de dépression.
La frustration
Quand un besoin reste inassouvi, le messager
s’énerve davantage et déclenche des systèmes
d’alarme beaucoup plus puissants. La douleur
de l’émotion négative augmente alors avec
l’arrivée de la FRUSTRATION. Ce sentiment
d’«être abattu» est un mécanisme de sécurité
normal. La frustration peut être ressentie
comme un état de carence avec toute émotion
persistante. Quand elle survient, c’est une de-
mande faite par le corps pour faire QUELQUE
CHOSE D’AUTRE, car votre comportement
ne comble pas le besoin inassouvi et ne répond
pas au message. C’est un appel à
l’imagination: il faut changer de tactique pour
percevoir la nuance de l’émotion qui ne fait
que resurgir. C’est le moment de demander de
l’aide, car si on ne trouve pas une solution à la
frustration, on peut passer à l’étape ultime: la
dépression.
La dépression ou l’anxiété
Lorsque le corps est entraîné dans une direc-
tion qui lui est nuisible, il cesse de coopérer.
La dépression, c’est comme un arrêt auto-
matique du système. De ce point de vue, elle
serait donc aussi bénéfique. Parfois, avec
l’aide d’un professionnel, on peut enrayer les
idées négatives (voire les pensées suicidaires)
et découvrir ce qui a causé la frustration en
premier lieu. Mais ceux qui n’aiment pas trop
se questionner ou s’analyser finissent souvent
par prendre des substances telles que des
anxiolytiques et des antidépresseurs. Ces
médicaments sont peut-être parfois néces-
saires quand les symptômes sont sévères, mais
ne constituent pas des remèdes miracles, en
raison de leurs effets secondaires. Beaucoup
d’autres conditions reconnues, telle que
l’anxiété généralisée, sont causées par des
émotions longtemps négligées.
Habitudes cancérigènes
Parfois, le mal psychique se traduit en mal
physique, car les gens qui gèrent mal leurs
émotions adoptent de mauvaises habitudes de
vie110-112. Un simple réflexe de distraction peut
alors aussi devenir une dépendance can-
cérigène. Par exemple, certaines personnes:
• fument la cigarette;
• boivent de l’alcool;
• mangent mal;
• prennent des drogues;
• dorment mal;
• etc.
Bref, elles endommagent leur corps et ad-
optent des comportements dangereux qui sont
des facteurs de risque du cancer.
La question à se poser maintenant est
celle-ci: l’œuf ou la poule?
Nous savons que l’usage de la cigarette est
lié au cancer.
Si cette habitude de vie dangereuse (poule)
est une conséquence d’une mauvaise gestion
des émotions (œuf), qu’est-ce qui se passe une
fois qu’on retire la poule? En d’autres mots,
que se passe-t-il avec des gens anxieux qui
cessent de fumer? Personnellement, je suis
certain que la cessation du tabagisme est très
bénéfique pour le corps, mais qu’est-ce qui
se passe avec ces émotions, cette peur et ces
changements physiologiques associés? Où
vont-ils, si les gens ne savent pas comment
les canaliser? Si les gens n’y font pas face, le
problème n’est alors solutionné qu’en partie.
Le vrai défi, par la suite, c’est de régler le
problème de l’œuf.
LES POINTS IMPORTANTS
Lecture suggérée
The Secret Language of Feelings, de Calvin
D. Banyan75.
Chapitre 4
ANTOINE DE SAINT-EXUPÉRY
Lectures suggérées
The Field, de Lynne McTaggart6.
Du cerveau à Dieu, de Mario Beauregard et
Denyse O’Leary2.
Chapitre 5
ÉPIGÉNÉTIQUE:
LES GÈNES NE FORMENT PAS
NOTRE DESTIN
ALBERT EINSTEIN
J ’ai quelque chose à vous confier. Je suis né
chrétien, d’où mon prénom, et j’ai pratiqué
cette religion jusqu’à l’adolescence. Bien sûr,
à cette époque, je priais Dieu sans rien com-
prendre à la spiritualité. Je ne faisais que ré-
citer bêtement, et par cœur, les textes que
j’avais appris en catéchèse. Je me rappelle
aussi le moment où j’ai abandonné la foi en
Jésus. J’étais alors en deuxième année de mé-
decine et j’assistais à un exposé sur la «théorie
de l’évolution de Darwin». J’ai réalisé à ce
moment-là que cette théorie allait à l’encontre
de l’existence d’un Dieu Tout-Puissant et liait
nos attributs, ainsi que notre intelligence, à des
mutations aléatoires dans l’ADN.
Des années ont passé. J’étais persuadé que
l’athéisme était la voie unique et que la re-
ligion était une bêtise. La spiritualité (que je
mettais dans le même bateau que la religion)
était selon moi un vestige du passé, tout
comme les sorcières et les dragons. Nous
savons tous que beaucoup d’atrocités ont été
commises dans ce monde au nom de «Dieu»,
y compris les croisades et le terrorisme.
Ajoutons à cela les histoires de prêtres pédo-
philes… et le tour est joué: vive l’ADN!
DIEU OU L’ÉVOLUTION
TABLEAU 4
Modulation des gènes
Influence du mental sur l’ADN
des cellules cancéreuses
Shahzad, M. M. et al. (2010): L’anxiété
chronique module les gènes liés au can-
cer et interfère avec le système immu-
nitaire, ce qui peut doubler, voire tripler
la vitesse de propagation des cellules
cancéreuses32.
Sanzo, M.et al. (2010): Les émotions
négatives augmentent l’expression de
gènes responsables de la progression du
cancer33.
Mathers, J. C. et al. (2010): L’anxiété et
la détresse psychologique sont des fac-
teurs modulateurs de nos gènes et
peuvent induire la manifestation des
cellules cancéreuses29.
Cwikel, J. G. et al. (2010): Les facteurs
psychologiques peuvent induire des
gènes négatifs et potentialiser les autres
facteurs de risque connus, augmentant
ainsi le risque de cancer28.
Williams, J.B. et al. (2009):
L’isolement social provoque des modi-
fications dans les gènes négatifs et dans
ceux du système immunitaire, augment-
ant ainsi les risques de développement
du cancer34.
Thaker, P. H. et al. (2008): L’anxiété
module l’expression des gènes négatifs
et augmente le potentiel de développe-
ment et de propagation du cancer35.
Landen fils, C. N. et al. (2007): Les
hormones de l’anxiété, par exemple
l’adrénaline, influent sur le système im-
munitaire, modulent les gènes et aug-
mentent la puissance des cellules can-
céreuses36.
Yang, E. V. et al. (2006): L’adrénaline
module l’ADN des cellules can-
céreuses, les rendant plus agressives37.
Sood, A. K. et al. (2006): L’anxiété
module l’expression de l’ADN et aug-
mente la malignité des cellules can-
céreuses38.
Yin, D. et al. (2006): L’anxiété chro-
nique induit des changements sur le
plan de l’expression de gènes qui in-
duisent le cancer39.
Rein, H. (2003, 1996): Les intentions
soutenues (positives ou négatives) ont
une influence sur l’ADN des cellules
cancéreuses40.
Influence du mental sur
l’expression des gènes
des systèmes immunitaire et in-
flammatoire
Johnstone, S. et al. (2010): Le stress
chronique induit des états inflam-
matoires, un renouvellement cellulaire
et des changements de l’ADN qui
peuvent provoquer le cancer23.
Mathews, H. L. et al. (2011): Les émo-
tions négatives induisent des change-
ments épigénétiques qui affaiblissent le
système immunitaire des malades, spé-
cifiquement les cellules NK qui com-
battent les cellules cancéreuses41.
Krukowski, K. et al. (2011): La
détresse psychologique modifie
l’expression des gènes du système im-
munitaire qui ciblent le cancer, y com-
pris ceux des cellules NK42.
Yehuda, Rachel (2009): Les événe-
ments traumatiques modifient
l’expression des gènes relatifs à la fonc-
tion immunitaire43.
Hayashi, T. et al. (2009): Le rire aug-
mente l’expression des gènes des cel-
lules NK44.
Cole, S. W. et al. (2007):
L’environnement social influence
l’expression génétique, y compris les
gènes du système immunitaire.
L’isolement social cause un état inflam-
matoire chronique45.
Adachi, S. et al. (1993): La souffrance
psychologique cause des changements
oxydatifs aux gènes et nuit à la répara-
tion de l’ADN46.
Autres influences du mental sur
l’ADN
Berton et al. (2006);Wilkinson et al.
(2009): L’isolement social et la dépres-
sion modifient l’expression des
gènes47-48.
Dusek, J. A. et al. (2008): La relaxation
a un effet positif sur l’expression des
gènes49.
Rossi, E. et al. (2008): L’hypnose théra-
peutique, la psychothérapie et la médit-
ation modulent l’expression de nos
gènes50.
McCraty, R. et al. (2003): Les émotions
accompagnées d’intentions soutenues
modifient la forme de l’ADN51.
En résumé
ÉPICTÈTE
Cerveau gauche
• Fonctionne comme un processeur
sérié ou un circuit en série. Ne peut
analyser qu’une donnée (idée) à la
fois.
• Orienté dans le temps de manière
linéaire, soit vers le passé, soit vers le
futur. Il examine les petits détails du
moment présent, les catégorise, les as-
socie à des informations passées, les
scrute et projette toutes les nouvelles
possibilités dans le futur.
• Pense avec le langage et nous parle.
C’est la petite voix qui dit: «Tu as
oublié de faire telle chose!»
• Ne voit aucune connexion entre
l’individu et son environnement.
C’est la voix qui dit: «Je suis.»
• Esprit cartésien, il réfléchit
méthodiquement. Il remarque tous les
détails et les imperfections, émet des
jugements et cherche constamment à
changer la réalité pour un meilleur
avenir.
Cerveau droit
• Fonctionne comme un processeur ou
un circuit parallèle. Peut analyser
plusieurs informations simultané-
ment.
• Uniquement orienté vers le présent.
Le concept du temps n’existe pas pour
lui.
• Bonne connexion entre l’individu, ses
cellules et son environnement.
• Voit la beauté des choses, cherche la
paix.
• Pense avec des images.
• Cerveau créatif et artistique.
En résumé
ALBERT EINSTEIN
Lectures suggérées
Le pouvoir du moment présent, d’Eckhart
Tolle14.
Nouvelle Terre, d’Eckhart Tolle15.
My stroke of insight, de Jill Bolte Taylor9.
Three Magic Words, de Uell Stanley Ander-
sen16.
The Body Electric, de Robert O. Becker et
Gary Selden13.
Chapitre 7
L’ÉQUILIBRE DE LA SANTÉ
L’ÉVEIL DES MIRACULÉS
REID HENSON4
LANCE ARMSTRONG2
MICHEL LEMEILLEUR
En résumé
LA SANTÉ ÉMOTIONNELLE
CHARLIE CHAPLIN
OSCAR WILDE
LES INTERACTIONS PERSONNELLES
Le cercle proche
Nous sommes, de prime abord, des êtres so-
ciaux. Nous avons besoin d’être entourés par
des gens que nous aimons et qui nous ap-
précient. Les meilleurs amis sont ceux avec
qui on peut être soi-même, sans devoir jouer
un rôle. Malheureusement, les personnes qui
gardent leurs vraies amitiés très longtemps
sont plutôt rares. Beaucoup d’adultes ayant at-
teint le «succès», tel que l’entend la société
actuelle (des directeurs d’entreprise, de bril-
lants médecins et avocats, etc.), disent leur vie
ennuyeuse et se sentent chagrinés en pensant
aux anciens amis oubliés33. Parfois, ce n’est
qu’après un divorce que certains réalisent à
quel point ils ont négligé de préserver leur
réseau. Plusieurs études montrent que
l’isolement social affaiblit le système immu-
nitaire et modifie l’expression des gènes. Il
peut conduire à la dépression et serait aussi
impliqué dans le cancer34-37.
Tout comme pour une relation intime, il
est préférable d’appliquer des efforts pour
garder ses amis proches. C’est maintenant
beaucoup plus facile avec les outils qu’offre
Internet. Par contre, il est aussi nécessaire
d’avoir certains moments de solitude pour se
retrouver. Quand on est toujours entouré de
gens ou qu’on se préoccupe trop de la vie
des autres, on peut avoir plus de difficulté
à subvenir à ses besoins propres. C’est une
question d’équilibre, après tout. De plus, le
fruit de ces interactions est important à con-
sidérer, car certaines personnes de notre en-
tourage contribuent à notre épanouissement,
alors que d’autres ralentissent notre évolution
personnelle. Les études comportementales
nous apprennent que les gens qui nous en-
tourent ont, à la longue, une grande influence
sur nous. L’environnement social influence le
mental et même les gènes34-37. Lors de l’éveil
de la conscience, notre vision peut changer
et nous pousser à reconsidérer la qualité de
certaines relations. Aimer, c’est respecter
l’espace de l’autre et ses choix. C’est aussi
s’octroyer son propre espace et sa propre
liberté. Or, certaines personnes pénètrent notre
espace et se plaignent, critiquent ou jouent le
rôle de la victime. Elles nous forcent toujours
à écouter leurs «mauvaises» histoires. Il ne
faut pas développer une relation d’écoute avec
elles, car cela ne ferait que les confiner dans
le même cercle vicieux. En revanche, on peut
leur demander simplement: «Et que comptes-
tu faire avec ce problème, maintenant?» Ou:
«Comment penses-tu le régler?» Cela permet
de les ramener au moment présent.
Au travail
Le sentiment que l’on ressent d’être «débor-
dé» est un facteur de stress qui provient
souvent de l’incapacité de dire non aux de-
mandes d’autrui. Personne ne connaît vos be-
soins autant que vous, de la même manière
que vous ne pouvez pas deviner non plus les
besoins des autres. Exprimez-les tout en de-
meurant attentif à ceux des gens de votre en-
vironnement professionnel.
Les conflits au travail surviennent lorsque
nous devenons défensifs, lorsque nous avons
peur de «perdre la face» ou lorsque nous
sommes trop attachés au respect «qu’on nous
doit». Or, les autres ont aussi des buts per-
sonnels à atteindre sur le plan professionnel,
ce qui peut engendrer des conflits. Une bonne
manière de favoriser la paix au travail est
d’aider les autres à atteindre leurs buts, tout en
demeurant concentrés sur les siens.
COMPRENDRE LES ÉMOTIONS
(retour au chapitre 3)
MIREILLE HUGUENIN
Stress
L’indication qu’il y a trop de choses à faire,
mais pas assez d’aide ou de ressources pour
les faire comme il faut.
Solution: Vérifiez si vous avez
vraiment trop de choses à faire ou si cela
n’est que votre perception de la réalité.
Avez-vous bu trop de café ce matin? Êtes-
vous perfectionniste? Avez-vous besoin de
contrôler excessivement votre vie? Si vous
n’arriviez pas à compléter vos tâches à
temps, quelles en seraient les conséquences
réelles?
Si votre perception est bonne, apprenez
à lâcher prise, à déléguer et à mieux gérer
votre temps. Parfois, vous devez simple-
ment dire: «Non, je ne peux pas mainten-
ant.» Finalement, n’hésitez pas à demander
de l’aide, quand vous en avez besoin.
Ennui
L’indication d’un besoin de vivre des défis
et de nouvelles expériences, de repousser
ses limites.
Solution: Manquez-vous de stimula-
tions? Si oui, vous devez AGIR pour re-
pousser vos limites ou faire des choses nou-
velles. Essayez quelque chose que vous
avez toujours rêvé de faire, comme appren-
dre à jouer d’un instrument de musique,
utiliser un nouvel ordinateur, danser,
cuisiner, faire du body painting, cultiver
des cactus, vous adonner à la photographie,
etc. Faites ce que vous voulez, pourvu que
cela vous stimule et que vous vous investis-
siez dans l’activité.
Colère
La perception qu’une situation est injuste
envers soi-même ou envers ceux qu’on
aime.
Solution: Vue avec du recul et au moy-
en d’une meilleure communication, la situ-
ation est-elle vraiment injuste? Y a-t-il
moyen de la rendre juste? Vient-elle d’une
mauvaise interprétation? Votre système de
croyances serait-il erroné? Si vous ne
pouvez corriger une situation injuste, par-
donnez. La rancune est une colère déguisée
qui conserve l’émotion négative dans le
corps. À la longue, elle nuit à la personne
rancunière et non à l’«ennemi», objet de la
rancune. En pardonnant, vous libérez cette
pression négative de votre corps.
Culpabilité
La peur qu’un de nos actes puisse causer
du mal à une autre personne. La honte est
plutôt la peur qu’un acte qui émane de nous
nuise à notre image personnelle.
Solution: Sous une autre perspective,
ce que vous avez fait est-il vraiment in-
juste? Si oui, tentez de corriger la situation.
Si cela est impossible, assumez vos actes
avec maturité. Demandez pardon, sincère-
ment, à vous-même ou à l’autre personne.
Le plus important, c’est d’apprendre sa
leçon et de se pardonner par la suite. La vie
est trop courte pour cultiver des regrets.
Tristesse
L’indication qu’une perte subie est signific-
ative.
Solution: Sous une autre perspective,
est-ce que cette perte est vraiment import-
ante? Ou est-ce votre degré d’attachement
qui est exagéré? Essayez de remplacer la
perte par un autre objet, par un autre poste
ou par une autre relation. Si cela est impos-
sible, essayez de combler ce besoin d’une
autre façon. Si la tristesse résulte de la perte
d’un être très cher, permettez-vous de vivre
le deuil. Nous sommes des êtres humains,
après tout. Les deuils sont inquiétants
quand ils dépassent une année, mais la
durée peut varier selon le lien avec la per-
sonne perdue et l’expérience individuelle.
Solitude
L’indication d’un besoin de partager du
temps avec un être cher.
Solution: Êtes-vous souvent seul? Ou
êtes-vous incapable d’être seul, ayant tou-
jours besoin d’être entouré? Si votre
solitude est véritable, appelez quelqu’un
que vous aimez, invitez des gens à souper,
travaillez à temps partiel, faites du béné-
volat, joignez-vous à un club où l’on
pratique votre activité favorite. Faites
n’importe quoi qui vous permettra
d’interagir, de socialiser et de vous sentir
apprécié des autres.
Inadéquation
Une voix intérieure nous disant que nous
ne faisons pas telle chose comme il faut.
Des commentaires méchants, des données
erronées par rapport à notre identité ou à
nos capacités peuvent s’incruster dans notre
inconscient. À cause de ces mauvaises in-
formations, nous pouvons finir par croire
que nous ne méritons pas d’être aimés.
Solution: Tout d’abord, assurez-vous
que vous n’êtes vraiment pas assez bon.
Avez-vous besoin d’un changement de per-
spective?
L’inadéquation nous empêche aussi de
lire les messages de manière objective.
Pouvez-vous faire mieux? Pouvez-vous
pratiquer une autre activité qui met davant-
age vos forces en valeur? Si vous devez
acquérir de nouvelles compétences, faites-
le. Autrement, exercez-vous à rejeter les
pensées négatives aussitôt que vous en êtes
conscient. Amusez-vous avec ça. Il est bon
d’apprendre à célébrer les petites victoires
de la vie. Comme le disait mère Teresa:
«On ne fait pas de grandes choses, mais
seulement des petites, avec un immense
amour.»
Quand on ne prête pas attention au
véritable contenu du message émotif, il re-
vient sans cesse et nuit au corps. Négliger
constamment ses émotions mène à un
cercle vicieux où règnent la frustration et la
dépression. AGIR selon l’émotion ressen-
tie et RÉPONDRE à ce besoin est la seule
manière de régler la situation. Ne tombez
donc pas dans le piège. N’ayez pas peur de
la peur. Affrontez-la car, le plus souvent,
elle n’est qu’un produit de l’ego. La peur
disparaît quand on l’affronte.
Le contraire de la peur est l’amour. On
ne peut chercher l’amour avec la raison.
L’amour, quand il est ressenti avec le cœur,
se canalise en ses propres branches:
l’accomplissement, la joie, l’excitation,
l’espoir, la sérénité, la reconnaissance,
l’extase, etc. Nous les connaissons tous,
car… nous ne les fuyons pas. Écouter ses
émotions quotidiennement est une habitude
de vie gratifiante, mais qui requiert une
bonne connaissance de soi et une connex-
ion avec sa conscience, son noyau interne.
LIMITER LES PENSÉES NÉGATIVES
Lectures suggérées
Light: Medicine of the Future, de Jacob Liber-
man53.
www.stress.org1
www.patchadams.org28
Chapitre 9
LA SANTÉ SPIRITUELLE
MAHATMA GANDHI
JULIEN GREEN
VOLTAIRE
ARTHUR SCHOPENHAUER
ALBERT EINSTEIN
Pyramide des besoins de Maslow
KHALIL GIBRAN
ALBERT EINSTEIN
MICHEL LEMEILLEUR
AFFRONTER SA MORT
ANTOINE LAVOISIER
MICHEL-ANGE
Lectures suggérées
Flow, de Mihaly Csikszentmihalyi23.
Mieux vivre avec le cancer, de Stéphane Ben-
soussan62.
You Can Conquer Cancer, de Ian Gawler50.
Chapitre 10
RÉAPPRENDRE À RESPIRER
Lectures suggérées
Les aliments contre le cancer, de Richard
Béliveau et Denis Gingras69.
Cuisiner avec les aliments contre le cancer, de
Richard Béliveau et Denis Gingras70.
Dr Boukaram
Réponse 1
MICHEL LEMEILLEUR
Réponse 2
MIREILLE HUGUENIN
Réponse 3
Lectures suggérées
Molecules of Emotion, de Candace Pert25.
The Field, de Lynne McTaggart12.
On peut se dire au revoir plusieurs fois, de
David Serban-Schreiber39.
Conclusion
HIPPOCRATE
Dr Christian Boukaram
INTERNET: drboukaram.com
TWITTER: https://twitter.com/
drboukaram
FACEBOOK: facebook.com/
drboukaram
TABLE DES MATIÈRES
Introduction
CHAPITRE 1
L’histoire du roi
CHAPITRE 2
Paradigmes d’oncologie
CHAPITRE 3
Le retour des émotions
Le lien manquant?
Le danger de l’adrénaline
Le rôle des émotions
La nature des émotions
Les émotions primaires négatives
Les points importants
L’inconnu universel
CHAPITRE 4
Au-delà des frontières
Briser les dogmes
La séparation corps/esprit est fictive
Lumière et matière
Les détecteurs partiels
La conscience se manifeste
CHAPITRE 5
Épigénétique: les gènes ne forment pas
notre destin
Dieu ou l’évolution
ADN – chef ou ouvrier?
CHAPITRE 6
Vous, moi et l’univers
Je suis l’environnement
La communication quantique
L’évolution de la conscience
La dualité en nous
La régénération de la salamandre
CHAPITRE 7
L’équilibre de la santé
L’éveil des miraculés
Les trois composantes de la santé
Mode d’emploi
Prévention médicale
CHAPITRE 8
La santé émotionnelle
Les arts créatifs
Sourire et rire
Les interactions personnelles
Comprendre les émotions
Limiter les pensées négatives
L’hypnose
La lumière
CHAPITRE 9
La santé spirituelle
Croire
Le moment présent
La nature
Méditer
Sortir de l’ordinaire
Redéfinir le bien et le mal
Affronter sa mort
Avoir des buts personnels
Le yoga
CHAPITRE 10
La santé physique et autres outils.
Écouter son corps
L’exercice physique
Le soleil
Le sommeil et les rêves
Respirer
Les massages thérapeutiques
Le régime alimentaire
CHAPITRE 11
Et si l’ennemi était soi-même?
Notre conscience est liée à nos cellules
Mode ego
Conclusion
Épilogue
RÉFÉRENCES
SCIENTIFIQUES
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