Université d'Abomey-Calavi

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École Normale Supérieure (ENS)
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Campus de Porto-Novo

Option: Histoire et Géographie

13eme promotion

: LA SECONDE GUERRE
MONDIALE : LES GRANDES PHASES DU
CONFLIT.

MEMBRES DU GROUPE: CHARGÉ DU COURS :

1-ADEOSSI F. David A. Dr. GNIDEHOUE G. Achille

2-AHLEGNAN Isaac

3-KPATINVO Carmelle

4- HOUNDONOUGBO Philipiennne

5- CHABI M. Tertullien

Année académique : 2023-2024

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 PLAN
INTRODUCTION
1- L'OFFENSIVE DE L'AXE ( 1939-1942 )
1-1- Hitler conquiert l'Europe par une guerre-éclair
1-2- La guerre devient mondiale en 1941
2- GUERRE TOTALE ET VICTOIRE DES ALLIÉS ( 1942-1945 )
2-1- Le redressement des alliés commence à l'été 1942
2-2- Entre 1943 et 1945, l'Axe s'effondre
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE -WEBOGRAPHIE

INTRODUCTION

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La seconde guerre mondiale s'est déroulée du 1er septembre 1939 au 02
septembre 1945. Elle a opposé les fascistes aux démocraties,
précisément « l'Axe » aux « Alliés ». D'abord européenne, elle est
devenue mondiale avec l'implication de l'URSS et des États-Unis à partir
de 1941. L'Afrique a également pris à cette guerre qui a fait des dizaines
de millions de victimes. A la fin du conflit, les régimes fascistes sont
écrasés.

1- L'OFFENSIVE DE L'AXE ( 1939-1942 )

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 1-1- Hitler conquiert de l'Europe par une guerre-éclair
La cause de la seconde Guerre Mondiale est à chercher dans le diktat
imposé par le traité de Versailles. L'expansionnisme de plus en plus
affiché des puissances de l'Axe (Allemagne, Italie , et Japon ) et l'échec
de la Société des Nations sont les principales causes de la seconde
Guerre Mondiale.

 Campagne de Pologne et «drôle de guerre>> (septembre

1939-mai 1940)
Les forces en présence semblent équilibrées. La France et la Grande-
Bretagne, avec leurs empires coloniaux, ont des ressources
démographiques, économiques et une maîtrise des mers supérieures à
celles des Allemands. Les effectifs sont comparables (2 600 000
hommes environ de chaque côté), ainsi que le nombre de chars. En
revanche, l'aviation allemande (la Luftwaffe) est plus nombreuse et
l'armement allemand plus moderne.
La différence essentielle vient de l'emploi de ces forces. L'état-major
français s'en tient à une stratégie défensive, héritée de la Première
Guerre mondiale, et dont la pièce maîtresse est la ligne Maginot". Les
généraux allemands de leur côté, ont élaboré une nouvelle stratégie, la
Blitzkrieg. Compte tenu des faiblesses de l'économie allemande (manque
de certaines matières premières comme le fer), cette guerre-éclair doit,
selon Hitler, conduire à une victoire rapide, donc une guerre courte.
La campagne de Pologne démontre l'efficacité de la Blitzkrieg. En un
mois, la Pologne est conquise; conformément au pacte germano-
soviétique d'août 1939, elle est partagée entre l'Allemagne et l'URSS .

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La France et la Grande-Bretagne sont restées passives, à la grande
surprise des généraux allemands.
Suivent huit mois de «drôle de guerre»*, où l'essentiel des forces franco-
britanniques attend, sans combattre, le long de la ligne Maginot et de la
frontière belge. Leurs dirigeants envisagent des opérations périphériques
contre I'URSS, qui attaque la Finlande en novembre 1939. Mais, gagnés
de vitesse par la victoire soviétique, ils projettent une intervention en
Norvège pour couper la route du fer indispensable à l'industrie
allemande. En avril 1940, Hitler anticipe cette attaque en envahissant le
Danemark puis la Norvège. Français et Britanniques ne réussissent à
conquérir que le port de Narvik.

 La débâcle française ( Mai-Juin 1940 )

Le 10 mai 1940, les Allemands prennent l'initiative à l'ouest, en
envahissant les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg. Il ne s'agit, en
fait, que d'une diversion, la principale attaque étant lancée dans les
Ardennes car celles-ci, réputées naturellement infranchissables, ne sont
pas protégées par la ligne Maginot. L'avancée des blindés allemands est
foudroyante et prend à revers les troupes alliées, au nord, dont une
grande part est prise au piège. À Dunkerque cependant, 350 000 soldats
bri- tanniques et français parviennent à embarquer pour la Grande-
Bretagne. Le 14 juin, les Allemands sont à Paris et poursuivent vers le
sud les restes de l'armée française.
L'exode de millions de civils, fuyant l'avancée allemande, transforme la
retraite française en déroute. Le gouvernement, réfugié à Bordeaux, est
divisé entre ceux qui souhaitent continuer la guerre, depuis les

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possessions françaises d'Afrique du Nord (le président du Conseil
Reynaud, de Gaulle) et ceux qui veulent la paix avec l'Allemagne, à
n'importe quel prix (Pétain, Weygand). C'est cette dernière position qui
l'emporte: Pétain forme un nouveau gouvernement, siégeant à Vichy, et
demande l'armistice, qui est signé à Rethondes le 22 juin 1940.

 Le coup d'arrêt de la bataille d'Angleterre ( été-autonome

1940 )
Hitler se prépare alors à abattre la Grande-Bretagne. dont le chef du
gouvernement, Churchill, refuse tout compromis . Les faiblesses de la
marine allemande interdisant un débarquement, Hitler engage la
première bataille uniquement aérienne de l'histoire.
La Grande-Bretagne tient bon, malgré les bombardements massifs
(Blitz) sur des cibles militaires, mais aussi civiles (Coventry, Londres...).
Elle bénéficie de la mise au point du radar, qui permet de détecter et
d'abattre les avions allemands. La détermination des aviateurs
britanniques, la volonté de résistance d'une grande partie de la
population, galvanisée par Churchill, les hésitations tactiques de la
Luftwaffe expliquent aussi l'échec des Allemands, qui doivent désormais
se résoudre à une guerre longue.

1-2- LA GUERRE DEVIENT MONDIALE EN 1941

 L'extension du conflit et l'invasion de l'URSS (Juin 1941 )

La guerre gagne l'Atlantique, la Méditerranée et l'Europe centrale. Dans
l'Atlantique, l'Allemagne livre une « guerre de course » pour empêcher
le ravitaillement de la Grande- Bretagne. La guerre s'étend à l'Afrique du
Nord, où l'Afrikakorps de Rommel, venu à la rescousse des Italiens,
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s'oppose aux Britanniques en Égypte et en Libye. Au printemps 1941,
les Allemands conquièrent la Yougoslavie et la Grèce pour soutenir leur
allié italien, tenu en échec par les Grecs depuis l'automne 1940.

L'Allemagne attaque l'URSS le 22 juin 1941. La croisade contre le

bolchevisme est un des buts majeurs du nazisme. Le pacte germano-
soviétique n'a été, pour Hitler et Staline, qu'un moyen de gagner du
temps avant un conflit qu'ils préparent l'un et l'autre. L'assaut alle- mand
surprend malgré tout Staline, qui n'a pas achevé la modernisation de son
armée et le remplacement de ses cadres, décimés lors des purges des
années 30.Les Allemands avancent rapidement, s'emparent des riches
régions de l'Ouest soviétique (Ukraine) et sont aux portes de Moscou en
octobre. L'arrivée de l'hiver russe, l'éloignement croissant des troupes
allemandes de leurs bases, l'action des partisans (résistants) russes
interrompent cette offensive, qui reprend au printemps 1942. La guerre-
éclair est devenue une guerre d'usure, car, malgré d'incontestables
succès, Hitler n'a pu écraser l'URSS.

 L'assaut du Japon contre les Etats Unis ( décembre 1941 )

L'opinion américaine reste isolationniste, mais le président Roosevelt
s'engage progressivement. La loi prêt-bail de mars 1941 permet aux
États-Unis de prêter du matériel aux pays dont la défense leur apparaît
comme vitale. La Grande-Bretagne en est la grande bénéficiaire, suivie,
dès juin 1941, par l'URSS. Puis, en août 1941, Roosevelt signe avec
Churchill la charte de l'Atlantique, qui affirme les principes de la liberté
et de la démocratie .
C'est le raid des Japonais sur Pearl Harbor qui précipite les États-Unis
dans la guerre. En attaquant la Chine en 1937, le Japon avait révélé son
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impérialisme agressif. Ses visées sur l'Asie de l'Est et du Sud-Est se
précisent lors- qu'il profite de la défaite française de 1940 pour occuper
I'Indochine, et signe avec l'Allemagne et l'Italie l'accord tripartite de
septembre 1940. Les États-Unis constituent alors le principal obstacle à
cet expansionnisme. Le 7 décembre 1941, les Japonais détruisent par
surprise la flotte américaine de Pearl Harbor, dans les îles Hawaii . En
peu de temps, ils se rendent maître du Pacifique ouest, qu'ils vont
exploiter à leur seul profit.

2- GUERRE TOTALE ET VICTOIRE DES ALLIÉS ( 1942-

1945 )
2-1- Le redressement des Alliés commence à l'été 1942

 Une Mobilisation Totale

La Seconde Guerre mondiale, plus qu'une guerre entre nations, est une
guerre idéologique, où s'affrontent des valeurs antagonistes. Le but n'est
donc pas seulement de dominer l'adversaire, mais de le terroriser et
l'anéantir.
Les moyens de destructions atteignent une ampleur Inouïe et sont
employés selon des stratégies nouvelles. Si, dès le début de la guerre,
dans la Blitzkrieg, les chars sont rassemblés en divisions blindées au lieu
d'être dispersés en simples soutiens de l'infanterie, à partir de 1942 leur
utilisation est de plus en plus massive: 3.000 chars s'affrontent à la
bataille de Koursk, en juillet 1943. Les Alliés imitent aussi l'usage que
les Allemands ont fait, des 1939, des avions pour appuyer les offensives
terrestres. L'URSS retrouve la maîtrise des airs en produisant, à partir de
1942, un nombre considérable d'appareils. De même, les bombardements

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des Alliés occidentaux sont de plus en plus importants en 1943, trois
raids britanniques sur Hambourg provoquent 43 000 morts.
Les opérations amphibies caractérisent la guerre du Pacifique: les États-
Unis, comme le Japon, créent des forces aéronavales puissantes. La
Blitzkrieg a montré ses limites dès la campagne de Russie de 1941.
Ensuite, c'est le gigantisme des moyens, dans des espaces de plus en plus
vastes, qui emporte la décision.
Tout l'appareil technologique des belligérants est mobilisé. Près de 10
000 savants et techniciens travaillent à l'élaboration de nouvelles armes
pour l'Allemagne (mise au point des premiers missiles, V1 et V2). Le
projet américain Manhattan, dont le coût est énorme, aboutit à la mise au
point de la bombe atomique.
La mobilisation financière et économique est donc gigantesque, sous
l'autorité de l'État. À l'intérieur de chaque pays, et dans les zones
conquises, la main-d'œuvre, les ressources, la production sont des enjeux
essentiels. L'Allemagne exploite systématiquement les régions qu'elle
occupe, ainsi que leur main-d'œuvre. A partir de 1942, le ministre de
l'Armement Speer est chargé de développer la production de guerre. En
URSS, les usines de l'Ouest sont transférées vers l'Oural, la Sibérie,
l'Asie centrale, le Kazakhstan: entre juillet et novembre 1941, 1361
grandes usines sont ainsi déplacées avec leur main-d'œuvre, où le
nombre des femmes augmente. Aux États-Unis, l'arsenal des Alliés », la
géographie industrielle change aussi : la côt du Pacifique voit ses usines
aéronautiques et d'armement se multiplier, sous l'autorité du War
Production Board.
La production augmente, en particulier grâce à l'allongement de la durée
du travail et à l'amélioration de la productivité (standardisation,
taylorisation): entre 1939 et 1944, celle-ci croît de 25%. En Grande-

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Bretagne, la semaine de travail passe à 60 heures. Les Japonais mul-
tiplient par 10 leur production d'armes, entre 1939 et 1944. Partout, pour
financer l'effort de guerre, les États augmentent les impôts et recourent à
l'emprunt.

 Le Tournant de la Guerre
L'expansion japonaise est arrêtée en juin 1942 à Midway .. En avril, les
Américains ont pu bombarder Tokyo pour la première fois. En août
enfin, l'armée américaine débarque à Guadalcanal et en chasse les
Japonais, après six mois de combats. C'est la fin de la supériorité
aéronavale que les Japonais avaient acquise à Pearl Harbor.
En Afrique du Nord, la victoire (novembre 1942) du Britannique
Montgomery à El-Alamein (Égypte) oblige les forces germano-
italiennes à se retirer vers la Libye. Au même moment, les troupes
américaines, dirigées par Eisenhower, débarquent en Algérie et au
Maroc, jus- qu'alors sous l'autorité de Vichy. Allemands et Italiens, pris
dans un étau, refluent en Tunisie. L'Afrique du Nord peut désormais être
le point de départ d'opérations alliées en Europe. En réaction, les
Allemands, violant les conditions de l'armistice avec la France, occupent
la zone libre. En URSS, le mythe de l'invincibilité allemande s'effondre
à Stalingrad. Hitler, face à la détermination des Soviétiques, veut
s'approprier le pétrole du Caucase et couper une voie
d'approvisionnement essentielle pour l'URSS: celle qui achemine les
fournitures britanniques et américaines depuis l'Iran. En septembre 1942,
les Allemands atteignent Stalingrad, qu'ils doivent conquérir rue par rue,
maison par maison. Mais, en novembre, les Soviétiques encerclent
l'armée de von Paulus, à qui Hitler interdit toute retraite. À l'issue d'une
bataille acharnée, von Paulus capitule le 2 février 1943: 90000 soldats

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allemands sont faits prisonniers. L'impact de cette défaite allemande
n'est pas seulement militaire, il est aussi psychologique : il soulève un
immense espoir chez tous les ennemis du nazisme.

2-2- ENTRE 1943 ET 1945, L'AXE S'EFFONDRE

 La libération de l'Europe
Plusieurs facteurs sont favorables aux Alliés. À partir de 1943, ils
fabriquent plus d'armes que leurs adversaires. Les mouvements de
résistance se renforcent dans tous les pays occupés. Churchill, Roosevelt
et Staline coordonnent leur stratégie dans les conférences interalliées
(Téhéran en novembre 1943, Yalta en février 1945): priorité est donnée
à l'assaut de la forteresse Europe».
A l'est, l'Armée rouge prend l'offensive. Fin 1943, les deux tiers des
territoires occupés sont reconquis; au printemps 1944, c'est tout le
territoire soviétique qui est libéré . En juin 1944, les Soviétiques sont en
Pologne et dans les Balkans; à la fin de l'année, ils atteignent les
frontières de l'Allemagne.
Au sud, les Anglo-Américains débarquent en Italie (juillet 1943) après
une difficile bataille en Tunisie . Le régime fasciste s'effondre vite: le roi
d'Italie demande l'armistice, mais Mussolini, avec les Allemands, crée
une république fasciste au nord du pays. Les forces alliées, bloquées au
nord de Naples, n'entrent à Rome qu'en juin 1944; l'Italie du Nord n'est
libérée qu'au printemps 1945.
À l'ouest, le débarquement en Normandie (juin 1944) surprend les
Allemands, qui résistent toutefois äprement.À partir du mois d'août,
après la percée d'Avranches et le débarquement en Provence, l'avancée
alliée s'accélère. En septembre, presque toute la France est libérée.
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Malgré ces défaites et les bombardements des villes allemandes, Hitler
refuse de céder. Il lance même une contre- offensive à l'ouest en
décembre, repoussée par les Alliés qui finissent par franchir le Rhin en
mars 1945. En avril, Alliés occidentaux et soviétiques font leur jonction
sur l'Elbe. Berlin est prise par les Soviétiques. Hitler se suicide.
L'Allemagne capitule devant les Occidentaux à Reims le 7 mai 1945,
devant les Soviétiques à Berlin le 8 mai.

 L'offensive du Japon
Dans le Pacifique, les Japonais reculent, mais se défendent
désespérément (avions suicide, ou kamikazes). Les Américains
reconquièrent les Philippines en février 1945 et s'emparent en juin
d'Okinawa. Les villes japonaises sont alors bombardées chaque jour.
Le président Truman, qui remplace Roosevelt, décédé en avril, choisit
d'utiliser la bombe atomique. Truman veut ainsi abréger la guerre mais
aussi écarter de la victoire I'URSS qui, conformément aux décisions de
Yalta, devait déclarer la guerre au Japon en août. À la suite des
bombardements sur Hiroshima (6 août) et Nagasaki (9 août). le Japon
capitule le 2 septembre 1945.

Le bilan de la seconde guerre mondiale est extrêmement lourd: Pertes en

vie humaines et potentiel économique partiellement détruit.

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 CONCLUSION
La Seconde Guerre mondiale est l'aboutissement d'une agression
allemande en complicité avec l'Italie et le Japon. Les démocraties par
leur attitude passive ont favorisé l'éclatement de cette guerre. La
Seconde Guerre mondiale présente un caractère particulier au regard du
potentiel humain et économique mobilisé par les pays. Elle prit fin en
1945 avec la capitulation de l'Allemagne et du Japon, mais eut des
conséquences graves tant du côté des vaincus que du côté des
vainqueurs. Cette guerre a par ailleurs favorisé une bipolarisation du
monde, qui sera lourde de conséquences dans la suite des relations
internationales, malgré la création de l'ONU.

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Bibliographie :
- Histoire Terminale : Le monde de 1939 à nos jours
- William L Shirer (trad. non attribuée), Le Troisième Reich des origines
à la chute [« The Rise and Fall of the Third Reich »], Paris, Stock, 1961,
1275 p.
1re éd. originale 1960. 2 vol.

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