Chapitre 3
Chapitre 3
Chapitre 3
1 Introduction
Les planchers sont des éléments horizontaux qui s’appuient sur les éléments porteurs (poutres, murs
porteurs,). Ils sont considérés comme des éléments infiniment rigides (éléments indéformables).
– Reprise des efforts horizontaux dus au vent, séisme ou à la poussée des terres sur les murs en
périphérie du sous-sol et à la répartition de ces efforts aux éléments porteurs,
Cette méthode est applicable aux éléments fléchis tel que (poutre, poutrelle), pour l’appliquer nous
devons vérifier les conditions suivantes :
– La surcharge d’exploitation doit être inférieure ou égale à deux fois la charge permanente ou
– Le rapport entre deux portées successives doit être compris entre (0, 8 et 1, 25),
Pour appliquer la méthode forfaitaire en a pris un plancher terrasse avec corps creux en béton
comme exemple de calcul.
– Les moments d’inertie des sections transversales sont les mêmes dans toutes les travées C.V
– Les portées successives sont dans un rapport compris entre 0,8 et 1,25
La 4 éme et 2 éme condition de la méthode forfaitaire n’est pas vérifiée donc le calcul se fait par la
méthode des trois moments.
C’est une méthode basée sur la résolution d’un système d’équation, afin d’obtenir les moments en
appuis en suite en travée.
La résolution d’un système par la méthode des trois moments est définie par l’équation (4.1).
avec :
Les différents types des poutrelles à étudier pour notre structure sont représenter dans la figure
(4.3).
Schéma statique
Les moments en travées et les efforts tranchants sont déterminer par la méthode des sections.
E.L.S
Avec la même méthodes de calcul on a abouti aux résultat représenter dans la figure(3.5).
Pour chaque plancher on prendra les sollicitations maximales en travée et en appuis. et le calcul du
ferraillage sera fait selon l’organigramme de Flexion simple N˚3 et N˚4 donnés dans l’annexe(D).
pour le Calcul d’ancrage des armatures, Chaque barre doit être ancrée individuellement.
Pour assurer un ancrage correct il faut limiter la contrainte d’adhérence. Sur la longueur d’ancrage,
cette contrainte est supposée constante est égale à sa valeur ultime.