8 Energie Presentation Agence

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 46

Eco comportements et Ecogestes

Quelques pistes pour réduire ses


consommations énergétiques et
émissions de CO2
Emprunté à JM JANCOVICI
Evolution de la consommation d’énergie mondiale
Réduction des consommations d’énergie et des
émissions de Gaz à Effet de Serre

Du GLOBAL

Planète
Région (UE)
Pays

Au LOCAL

Région / Département
Commune / Communauté de communes
Ménage / foyer / individu
Réduction des consommations d’énergie et des
émissions de Gaz à Effet de Serre

Au niveau de son foyer / individuel :

 S’informer , s’informer, s’informer …. (multiplier les sources)

Evaluer l’impact de (mesurer)


 son patrimoine (son logement, ses moyens de déplacements)
 ses actes et décisions d’achats
 ses comportements
 Définir des priorités (faire des choix) en fonction
 de l’importance des sources de consommation et des usages
d’énergie, et de ses émissions de Gaz à Effet de Serre
 de ses possibilités financières et de ses possibilités d’action
Réduction des consommations d’énergie et des
émissions de Gaz à Effet de Serre

Priorités : d’une manière générale


(démarche Négawatt)

 D’abord chercher à améliorer l’Efficacité


Energétique (réductions des besoins et des
consommations)
 Une fois que c’est fait penser aux énergies
renouvelables
 Mais, si faisable techniquement et/ou financièrement,
ne pas faire le 2 sans le 1
Le Réchauffement climatique et les émissions de GES d’origine
anthropique
Enjeu : Division par 4 d’ici 2050 (Facteur 4)
 Pour stabiliser à 450 ppm, il faut avoir réduit les émissions annuelles
en 2050 à 0,5 – 0,6 t de carbone par habitant et par an.

En France , les 9 tonnes équivalent (teq) CO2 par habitant


devraient passer à 2 teq en 2050.

Plus de détails :
http://www.industrie.gouv.fr/energie/prospect/f1e_prosFact4.htm
Monde : Répartition des émissions de GES / secteurs,
utilisation (données 2000/2006)

 La consommation d’énergie représente 62 % des émission de GES, sous


forme de CO2 quasi exclusivement

Source : World Resources Institute


France : Origine des émissions de CO2
La répartition de l’impact CO2 des ménages
Emissions GES (source IFEN)

Émissions nationales de GES* :


une part plus importante pour
les transports et l'habitat

Nota Bene : les derniers chiffres (pour 2005, révisés en 02/2007) confirment les
grandes tendances malgré tassement des émissions du Transport routier et du
résidentiel (hiver doux). Hors « captures », évolution 1990  2005 : -1,9 %
Source DGEMP - 2000
La précarité énergétique
Définitions
- Déf. française : « Est en précarité énergétique une personne qui éprouve
dans son logement des difficultés particulières à disposer de la fourniture
d’énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison
notamment de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions
d’habitat ».
- Déf. anglaise : facture énergétique > 10 % des revenus des ménages.

3 facteurs influencent la précarité énergétique :

coût de l’énergie Impossibilité de payer

mauvaise qualité
énergétique du logement
Quelques chiffres

Selon l’INSEE :
3 400 000 ménages (13 % des ménages) consacrent plus de 10 %
de leurs ressources à payer leurs factures énergétiques.

Sur ces ménages :


- 87 % logent dans le parc privé
- 62 % sont propriétaires
- 55 % ont plus de 60 ans
Quelques chiffres

Environ 150 millions d’euros sont dépensés annuellement par les services
sociaux (Conseils Généraux, CAF, CCAS…) pour aider les familles en situation
d’impayés, avec un rythme de progression de 10 à 15 % par an.
La précarité énergétique
L’augmentation du prix de l’énergie accélère la progression de la précarité
énergétique et ses conséquences à la fois :

- Economiques : impayés, endettement progressif, coupures d’énergie

- Techniques : calfeutrage, restriction, humidité et moisissures

- Sanitaires : problèmes de santé (maladies respiratoires, surmortalité


hivernale)

- Sociales : repli chez soi, isolement social

- Environnementales : consommations énergétiques et émissions de gaz à


effet de serre importantes
Comportements – Bâtiments et transports
Les émissions CO2 des secteurs du transport et du bâtiment dépassent
désormais 50% du total des émissions françaises. Ces émissions résultent
d’une multitude de décisions individuelles sur lesquelles il importe d’influer.

Il importe, en matière de gestion des comportements,

de passer d’une logique :

[croissance du plaisir de vivre, attente de confort ]


nécessite
[croissance du besoin de chaleur, d’électricité, de transport]

à une logique :
[croissance du plaisir de vivre, attente de confort]
compatible avec
[efficacité énergétique + maîtrise du besoin de chaleur, d’électricité, de transport]

GT Facteur 4 – Rapport 2007


Evaluer ses consommations d’énergie
et ses émissions de CO2
• Bilan Energétique et Carbonne du ménage:
 Coach Carbone (www.coachcarbone.org/ )
• Diagnostic Energétique de son logement
 Faire ou faire faire un DPE de son logement
 Relever ses consommations (factures)
 Installer des compteurs intérieurs (chauffage
électrique, … )
 ….
• Habitudes et achats alimentaires
• Déplacements
Quelques moyens d’action pour réduire les
consommations et coûts d’énergie liées au chauffage
et à l’ECS (sobriété et efficacité)
 Améliorer l’isolation des parois « opaques », en priorité combles &
toiture – Combles perdues : >>>> isolation sur plancher des combles
 Préférer quand c’est possible l’isolation par l’extérieur
 Si actuellement simples vitrages  double / triple vitrage à isolation
renforcée et fenêtres (attention à l’aération et la ventilation ! )
 Robinets thermostatiques + thermostat - horloge
 Si votre chaudière est ancienne (ou amortie) la remplacer par une
chaudière à condensation (gaz de préférence)
Aujourd’hui, le
 En profiter pour remplacer certains radiateurs par des radiateurs
rendement de
global
grande taille (température « douce »)  les émetteursdesbasse température
systèmes de
augmentent le rendement de l’ensemble de l’installation (et permettent
chauffage à eau de
bénéficier pleinement des avantages des chaudières à est
condensation)
de l’ordre deet
améliorent le confort (le mieux en terme d’éfficacité énergétique
60 à 65%et de
confort c’est le chauffage basse température (25-27°C) par les parois)
Quelques moyens d’action pour réduire les
consommations et coûts d’énergie liées au chauffage
et à l’ECS (sobriété et efficacité)
 Laissez entrer le soleil (d’hiver) : apports passifs et gratuits

Eau chaude sanitaire (ECS) : 55 – 60°C


 au-delà de 65°C risques de brûlure
 en dessous de 50°C risque légionellose
 Plus la T°de l’ECS est élevée, plus les pertes sont élevées pour une
même consommation d’eau chaude en volume

 Réduire les longueurs de tuyauterie (ECS)

 Eviter, si possible, le chauffage électrique . Si pas le choix, panneaux


rayonnants
Economiser l’énergie sur le chauffage

Respecter les températures de consigne

- 1°C de moins = 7% de moins sur sa facture

Quelques outils juridiques


Décret n°79-907 du 22 octobre 1979

- 19°C dans les pièces de vie


- 16-17°C dans les chambres
- 16°C en cas d’inoccupation des lieux pour une durée égale ou supérieure à 24h
et inférieure à 48h
- 8°C en cas d’inoccupation des lieux pour une durée supérieure ou égale à 48h
- 22°C dans la salle de bains

Décret n°91-999 du 30 septembre 1991


- Obligation de compteurs individuels dans les logements collectifs
Usages et Impacts de l’électricité
L’électricité contient aussi du carbone
L’électricité a un contenu en carbone variable selon l’usage et le moment.

Chauffage électrique :
En hiver, le chauffage électrique se cumule aux autres emplois de l’électricité
sur les quelques heures de présence des ménages chez eux. Durant ces
pointes bi-quotidiennes , les centrales thermiques classiques qui fonctionnent
Attention : cesau
au gaz, chiffres
fioul sont descharbon,
ou au « valeursdoivent
historiques moyennes
suppléer »
la production
Si vous passez au chauffage
électronucléaire électrique, il faut alors raisonner en
ou hydroélectrique.
« contribution auxleémissions
C’est pourquoi de CO2 marginale
chauffage électrique représente »en moyenne nationale 180
Soit : g CO2/kWh mais avec une plage de variation de 129 à 261 g CO2/kWh.
 550 à 700 g cO2/kWh pour l’électricité (source RTE Ademe)
 Idem Parvaleur
comparaison, le gaz
historique émet 205pour
moyenne – 234
lesg autres
CO2/kWh (source s IFEN et Ademe)
sources.

De plus, sur le plan de l’efficacité énergétique le chauffage électrique


« classique » a un très mauvais rendement global lié au rendement des
centrales et du réseau de transport :
Energie Finale (celle mesurée au compteur) =
# 1/3 de l’Energie Primaire (celle contenue dans le combustible)
Usages et Impacts de l’électricité
Un faux ami potentiel : la Pompe à Chaleur (PAC)

Principe de la PAC:
Une partie de l’énergie nécessaire est (quasi) inépuisable (fournie
par l’air, le sol), donc renouvelable.
L’autre partie est fournie par une source d’énergie « classique »
en général l’électricité.

Le rapport entre l’NRJ totale et l’NRJ non renouvelable est


- le COP (mesuré en condition « usine »)
- Le COE (rapport mesuré en exploitation dans les conditions
réelles)
Usages et Impacts de l’électricité
Un faux ami potentiel : la Pompe à Chaleur (PAC)
ATTENTION
Dans la très grande majorité des cas les fournisseurs et
installateurs vendent du COP (théorique).

La réalité (le COE) est en général loin du COP et des résultats


annoncés.

Quelques principes et précaution :


- PAC air/air à éviter sauf en remplacement chauffage électrique
direct
- PAC air/eau ou PAC géothermique : COP > 5 à 6 et COE > 3 à 3,5
- Ne pas surdimensionner (la puissance de la PAC)
- Dimensionner les émetteurs (les remplacer si besoin) de façon à
avoir des émetteurs Température douce ou Basse Température
(T°< ou = 45°C)
Usages et Impacts de l’électricité
La consommation dans le résidentiel a doublé entre 1982 et 2004.
Source IFEN –Novembre 2006

Les produits bruns (TV, magnétoscopes, multimédia, bureautique) ont


consommé 18 fois plus d’énergie en 1998 qu’en 1973 et les divers « petits »
équipements électroménagers 29 fois plus.

Au total, des actes portant sur la maîtrise de l’énergie peuvent contribuer aussi à
réduire les émissions :
emploi d’ampoules basse consommation pour l’éclairage,
programmes froids la nuit pour le lavage du linge,
programme Lave Vaisselle sans séchage
équipements électroménagers avec l’étiquette énergie A+ / A++...
Gestion de l’alimentation des ordinateurs (passage en veille automatique,
utilisation de la « veille renforcée »)

Mais la responsabilité des industriels et fournisseurs est aussi engagée:

 veille des appareils électroniques


 consommation des modems (xxx box)
Les usages spécifiques de l’électricité
La consommation dans le résidentiel a doublé entre 1982 et 2004.

Les produits bruns (TV, magnétoscopes, multimédia, bureautique) ont consommé 18 fois plus
d’énergie en 1998 qu’en 1973 et les divers « petits » équipements électroménagers 29 fois plus.
Source IFEN –
Novembre 2006

Répartition de la consommation électrique des


ménages

44 € - 11 %
Réfrigérateur/congélateur
128 € - 32 % Eclairage
28 € - 7 %
Lave vaisselle
48 € - 14 %
Sèche-linge
Audiovisuel
56 € - 12 % 56 € - 14 % Lave linge
Autres
56 € - 14 %

Total : 400 € par ménage en moyenne par an


Les veilles correspondent à 11% de la consommation des ménages soient 44 €
Les usages spécifiques de l’électricité
L’étiquette énergie des appareils électroménagers

Préférer les appareils les plus économes de classe A, A+

250 € Coût annuel des appareils de froid


197 €

200 €

150 €
73 €
100 €
27€

50 €

0€
Appareil éco Appareil moyen Appareil gaspi
Les usages spécifiques de l’électricité
L’éclairage

Comparatif du coût de l'éclairage pour un particulier.


Lampe à Lampe basse
incandescence consommation
Puissance 75 W 15 W
Durée de vie 1000 h 10 000 h
Flux lumineux (en lumens) 960 lm 900 lm
Coût à l'achat 1,20 € 11,00 €
Coût d'utilisation
75,00 € 15,00 €
(Pour 10 000h d'utilisation)

Comportements :

Mettre des ampoules basse consommation


Proscrire les lampes halogènes
Eteindre dans les pièces inoccupées
Bénéficier au maximum des apports lumineux naturel
Les usages spécifiques de l’électricité

Les appareils de froid

- Inutile d’abaisser la température en dessous de 5°C


- Ne pas placer à côté d’une source de chaleur
- Ne pas y mettre de plats chauds
- Décongeler vos aliments dans le réfrigérateur plutôt que dans
votre four à micro-onde.
- Bien fermer la porte du frigo
- Dégivrer fréquemment : + 30 % de consommation
- L’absence de porte au bac de glaçons : + 50 % de consommation
- Penser à vérifier l’étanchéité des joints de fermeture
Les appareils électroménagers

Le sèche-linge
Le lave-linge

Les comportements économes :


- Bien remplir les machines
- Laver de préférence à basse température
- Essorer à la plus grande vitesse possible
- Éviter le plus possible le sèche linge

Jean-Pierre Moya & Denis Chamonin


Les appareils électroménagers

Les comportements économes :


- Bien remplir les machines
- Laver de préférence à basse température
90% de l’électricité est utilisé pour chauffer l’eau
- Raccorder, si possible, le lave-vaisselle directement sur l’eau chaude
- Utiliser la touche ECO
- Essorer à la plus grande vitesse possible
- Éviter le plus possible le sèche linge
Les appareils de cuisson

Les comportements économes :


- Couvrir toujours vos plats : jusqu’à 30% d’économie réalisée.
- Arrêter les plaques électriques et le four quelques minutes avant la fin de la
cuisson.
- Utiliser des plats adaptés à la taille des plaques.
- Réserver le micro-onde à la cuisson de petites quantités.
Les usages spécifiques de l’électricité
Veilles et bureautique

Appareils veille min/max (W) Consommation Coût moyen (€/an)


(kWh/an)

Télévision 8 à 13 66 7€

Magnétoscope 5 à 19 92 10 €

Décodeur 10 à 15 96 10 €
Parabole 15 à 20 118 12,50 €
Chaîne hi-fi 0 à 21 66 7€
TOTAL 438 46.50€

3 heures d’utilisation d’un téléviseur = 21 de veille


→ 50% de la consommation part dans la veille

- Ne pas utiliser la télécommande pour éteindre le téléviseur


- Installer une multiprise munie d’un interrupteur
- Débrancher les appareils rarement utilisés
- Gestion de l’alimentation des ordinateurs (passage en veille automatique,
utilisation de la « veille renforcée »)
- Faire attention aux consommations des modems (box)
Améliorer le bilan énergétique de son logement et réduire les
émissions de C02 par les Energies Renouvelables (ENR)

 Eau chaude solaire ( solaire thermique)


 Chauffage bois
• foyer fermé, poêles à haut rendement, chaudières bûches,
plaquettes, granulés
 Pompe à chaleur
• Sol / eau / air – eau
 Solaire photovoltaïque (PV)
• avec revente de l’électricité à EDF
 Ou encore
Acheter de l’électricité verte
Le solaire PV (photovoltaïque)

Petites installations sur l’existant (Maison


individuelle, petit collectif) :
 C’est avant tout aujourd’hui encore un investissement
financièrement (très) rentable

 Vu le coût actuel pour la collectivité et l’ensemble des


consommateurs (tarif de rachat, CI, aides diverses) et
le coût des émissions de CO2 économisées c’est un
investissement (très ?) discutable au regard de
l’ensemble des enjeux du Développement Durable
L’éco-consommation
L’impact CO2 de nos déchets
L’éco-consommation commence par nos achats et nos poubelles

- Stockage des déchets ménagers : 100 à 1000 kgeqCO2/t

- Incinération déchets ménagers : 250 à 400 kg eqCO2/t

- Valorisation énergétique : - 60 kgeqCO2/MWh électricité


- 264 kgeqCO2/MWh thermique

Quelques recommandations
Eviter les produits :
- Sur emballés
- En portions individuelles
- Jetables

Trier les déchets pour alimenter collecte la sélective


- Le papier recyclé nécessite :
• 20 fois moins d’arbres
• 100 fois moins d’eau
• 3 fois moins d’énergie
Centre de tri d’Ivry-sur-Seine
L’éco-consommation
L’impact CO2 de notre alimentation
- 1/3 des gaz a effet de serre que nous dégageons passent dans notre assiette.
- Nous jetons 26% de notre nourriture à la poubelle
- 1kg de fraises acheté en en hiver = près de 5 l. de gasoil
- Les tomates cultivées « hors sol » nécessitent 10 à 20 fois plus d’énergie qu’en plein champ
- Remplacer 2 steaks de bœufs par de la volaille. Economie : 50 kgeq carbone/an

JM Jancovici – www.manicore.com
L’éco-consommation
L’impact CO2 de notre alimentation
Les impacts de notre alimentation

JM Jancovici – www.manicore.com
L’éco-consommation

Quelques recommandations

• Favoriser les produits issus de l’agriculture biologique (moins d’engrais et de pesticides


très consommateurs d’énergie)
• Favoriser les produits de saison
• Favoriser les produits locaux
• Eviter les produits congelés (maintien à -18°C et gaz frigorigène)
• Eviter les plats préparés
• Moins manger de viande et privilégier les viandes blanches
• Favoriser le commerce de proximité
• Acheter des produits non calibrés
• Maîtriser la consommation énergétique durant la préparation de nos aliments
• Impulser des initiatives locales (AMAP - Association de Maintien de l’Agriculture
Paysanne)
Usage de la voiture particulière
Alors que les émissions nationales totales ont diminué de 0,8 %, celles induites
par les véhicules particuliers ont augmenté de 17 % entre 1990 et 2004.
Les diminutions réalisées dans d’autres secteurs sont ainsi annihilées par un usage
de plus en plus important de la voiture : la distance annuelle parcourue par
l’ensemble du parc automobile a augmenté de 30 % sur la période.
149 gCO2/km en
moyenne pour les
véhicules vendues
en France en 2006
(source Ademe)

En savoir plus : consulter la page


http://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Autodiagnostic/accueil.asp
Le transport de personnes
Les solutions techniques

- Voitures hybrides
- Gaz Naturel pour Véhicules , GPL
- Voiture électrique

La technologie ne résout pas tous les problèmes…

L’auto-partage
Les solutions comportementales
Recommandations :
• Favoriser le transport en commun
• Favoriser les déplacements alternatifs (vélo, marche…) dès
que cela est possible
• Favoriser l’auto-partage dès que cela est possible
• Réfléchir en temps de trajet de porte à porte
• Stimuler des initiatives locales
Le triporteur

Vous aimerez peut-être aussi