QCM Socio
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Les stigmates
( physique, sociaux, tribaux ) Go man « stigmate » 1975. Pour go man un stigmate sert
« à designer un attribut qui jette un discrédit profond ». Cet attribut non attrayant qui rend
l’individu di érent des autres membres constitue un stigmate. Il distingue 3 types de
stigmates : physique « les monstruosité du corps » —> di ormités physiques dont le
handicap physique.
Puis il y a les stigmates sociaux « les tares du caractères » cette catégorie rassemble les
comportements dérangés les drogués, alcooliques, homo, chômeurs et pleins d’autres
types d’individus. Ils sont stigmatisés mais presque par choix.
En n il ya les « stigmates tribaux que sont la race, la nationalité et la religion » —> sont
souvent transmis de g en g car proviennent de l’instance familiale, première instance de
socialisation.
• Merton : Comportements qui s’écartent des normes sociales établies dans une société.
Il développe l’anomie qui expliquerait les causes de la déviance dans les sociétés ou les
individus ont des aspirations culturelles élevées mais moyens limités. + les 5 modes
d’adaptation de l’individu.
• Becker : Comportements s'écartant des normes sociales établies, dé nie par la société
et ses réactions plutôt que par des caractéristiques innées de l’individu.
• Go man
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Qu’est-ce que la culture des pauvres ?
Les enfants de Sanchez 1961
Pour O.Lewis la culture de la pauvreté est un ensemble de normes et de valeur qui se
perpétuent de génération en génération sans espoir d’ascension sociale. Selon lui ce
n’est pas un phénomène réservé à une région du monde mais est un fait existant au sein
d’endroit divergents culturellement parlant. Situés en bas de l’échelle socio-économique
mais ne limite pas cette culture à une catégorie sociale. La culture du pauvre se transmet
de g en g. Ses principales caractéristiques sont le manque d’instruction, le repli sur le
présent ou comme il le dira plus tard une dévaluation de l’ambition. Ainsi les enfants
assimilent à leur tour cette culture et s’écarte d’une perspective d’évolution et de
changement de classe sociale.
• l’innovation : renvoie à une situation où quand une société ne donne pas aux
individus les moyens de réaliser leurs ambitions, ils innovent. Cela peut conduire
certains individus à utiliser des moyens interdits pour atteindre leurs objectifs. Il y a
donc un respect des objectifs mais par des moyens illégaux. Ce mode
d’adaptation peut di érer aussi selon le groupe social de l’individu. En référence à
des auteurs comme Veblen, Dickens, Merton souligne la manière dont la société
peut tolérer voire encourager des comportements déviants chez ceux qui
réussissent matériellement. Il aborde la notion de "crime en col blanc" où de
nombreux criminels ne sont pas poursuivis car soit le crime n’a pas été découvert,
soit car du fait de leur position (souvent des hommes d’a aires), ils ne sont pas
punis par la loi.
Il est donc possible d’établir un lien entre déviance, criminalité et pauvreté. En
e et, la déviance peut être une réponse "normale" pour la plupart des individus
des classes inférieures, qui ne possèdent pas les moyens légitimes pour atteindre
leurs objectifs tels que la réussite nancière.
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• ritualisme : renvoie à une situation où si les objectifs sont inadaptés, les individus
peuvent continuer à respecter les normes. L’attachement trop important aux normes
conduit les individus à n’envisager leur existence que dans le cadre très restreint
que ces normes xent, en renonçant à tout e ort en vue de satisfaire des buts
légitimes. Cette forme d’adaptation est surtout répandue dans une société où la
position sociale de chacun dépend en grande partie de sa réussite Car la
compétition incessante provoque l’anxiété, qu’on soulage en réduisant ses
aspirations. Les individus estiment que des aspirations modestes procurent de la
satisfaction et de la sécurité alors que de trop hautes ambitions provoquent des
déceptions, des dangers, des échecs. (C’est le cas plus chez les classes moyennes
inférieures, car c’est dans cette classe que les parents exercent une forte pression
sur leurs enfants pour qu’ils respectent bien les règles de la société).
l’évasion : c’est un comportement plus rare qui re ète une non-adhésion aux ns et aux
moyens. Elle est le propre de ceux qui ne se soumettent pas non plus aux normes en
vigueur. La non-adhésion aux buts peut alors être un choix et non le signe d’un échec.
Merton parle également de « retrait » pour décrire la situation des malades mentaux, des
parias, des vagabonds …Ce con it entre l'obligation morale de recourir à des moyens
institutionnels et les pressions en faveur de moyens illicites mais e caces conduit à
l’évasion. Si l'individu abandonne à la fois les buts et les moyens, il devient alors un
asocial. Contrairement au comportement conformiste, innovateur ou ritualiste, l'évadé est
perçu comme improductif, et ne se conforme pas aux normes sociales.
rébellion : Il s’agit ici de remplacer ou d’adapter tant les ns que les moyens. Ce type
d’adaptation est caractéristique d’individus étrangers aux valeurs et normes de la société.
Ils sont rejetés de la structure sociale et sont encourager à en faire une nouvelle. Lorsque
les institutions sont considérées comme un obstacle à la réalisation des buts légitimes,
on peut s’attendre à voir certains individus se rebeller.
Le travail
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