HOLOGRAPHIE

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TP OPTIQUE 1: HOLOGRAPHIE

B. AMANA et J.-L. LEMAIRE


Licence de Physique Holographie -Speckles Page 2

I - PARTIE THEORIQUE

Toute la partie théorique est extraite du livre HOLOGRAPHIE de M.


FRANÇON, édition Masson (1987). Pour répondre aux questions posées on
peut consulter ce livre et bien d'autres sur ce sujet à la bibliothèque de
l'université.
I-1 CONDITIONS D'UTILISATION D'UNE PLAQUE PHOTOGRAPHIQUE.
AMPLITUDE TRANSMISE PAR UNE PLAQUE PHOTOGRAPHIQUE APRES
DEVELOPPEMENT.

On donne ici un certain nombre de définitions concernant les propriétés


d'une plaque photographique "idéale" convenablement développée.
Une plaque photographique a été impressionnée. Après développement, le
négatif est éclairé par une onde plane d'intensité Io, sous incidence normale.

- le facteur de transmission en intensité est défini par :

I(x, y)
T(x, y) = (1)
Io

x
où I(x,y) représente l'intensité transmise par le point M  du négatif éclairé
y
par l'onde d'intensité Io. On a toujours T< 1

- la densité D du négatif s'obtient par la relation suivante :

1 1
D= Log T(x,y) = Log t 2 (x, y) (2)

où t(x,y) désigne le coefficient de transmission en amplitude.

- on appelle "courbe de noircissement" la courbe donnant les variations de la


densité D en fonction du logarithme de l'énergie W reçue par la plaque
(W = I(x,y). τ ) avec τ temps de pose et I(x,y) l'intensité reçue par la plaque
avant développement.
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2
D=Log (1/t )
F

B
A
Log W

Figure I.1.

La courbe de noircissement possède une partie rectiligne BC de pente γ dite


d'exposition normale, une partie AB correspondant à la sous-exposition et une
partie CF de surexposition (Remarque: les phénomènes de solarisation ne sont
pas représentés sur la courbe de la figure I.1).

Dans la région BC on a :
w
D = γLog (4)
wo

où Wo représente une constante.

Dans les expériences envisagées dans ce TP, la relation intéressante est celle
qui existe entre l'amplitude t (x,y) transmise par le négatif et l'énergie reçue
W(x,y) par la plaque avant développement.

1
t0

W
W0

Figure I.2.
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La courbe t = f(W) possède également une partie rectiligne de pente


β correspondant à la région de sous-exposition de la courbe de noircissement.
On supposera dans toute la suite que l'énergie moyenne Wo reçue par la
plaque et que le contraste des objets photographiés sont suffisamment faibles
pour que l'on puisse considérer que la plaque est utilisée dans ces conditions.

t(x,y)) = to - β (W(x,y) - Wo) (5)

On supposera également que les grains de la plaque (plaque "idéale") sont


infiniment fins, ce qui permet d'enregistrer des détails aussi petits qu'on le
désire.

I-2 HOLOGRAPHIE

La théorie de l'holographie fut développée par Dennis Gabor en 1947.


L'invention du LASER donna une impulsion nouvelle à la recherche sur
l'holographie à partir des années 60. En 1964, Leith et Upatnieks parvinrent à
une amélioration sensible et spectaculaire en réalisant des hologrammes
d'objets diffusants avec pour conséquence que tout objet peut être vu à travers
chaque point de l'hologramme. Depuis 1964 les progrès en holographie ont été
rapides et de nombreux chercheurs ont travaillé à l'amélioration des diverses
techniques. Nous renvoyons le lecteur aux nombreux ouvrages spécialisés
pour ces applications (imagerie tridimensionnelle - stockage optique
d'informations - interféromètrie holographique - composants optiques...).

Un hologramme est l'enregistrement photographique des interférences


produites entre un faisceau de référence cohérent et un faisceau objet.

On étudie ici le cas d'un fond cohérent incliné (hologramme type Leith et
Upatnieks) séparé du faisceau objet.
La plaque photo reçoit la lumière diffusée par l'objet et le faisceau de
référence (fond cohérent). Dans le cas présent la figure d'interférence est
complexe et il est nécessaire que la plaque photographique soit capable
d'enregistrer tous les détails: on utilisera donc une plaque très résolvante
(plaque holographique) à grain très fin et donc à faible sensibilité (ce qui se
traduit par un faible nombre ASA). Si G est la taille moyenne d'un grain, on
montre que la condition sur l'angle des deux faisceaux interférant s'écrit sin
Θ < λ / G compte tenu du grain très fin utilisé (Cf. les caractéristiques des
plaques) cette condition n'est pas contraignante.
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a) Cas d'un objet ponctuel

Soit Ao une source ponctuelle monochromatique qui éclaire le plan η,ξ


contenant la plaque photographique. Le point lumineux Ao constitue l'objet
qui émet une onde sphérique.(faisceau objet)

Σ
R

M
θ c
A0

En un point M situé à la distance ρ(η, ξ) du point O l'onde sphérique Σ a


l'amplitude complexe:
ρ2
F(η,ξ)= b e − jk 2 D où k est le vecteur d'onde, D la distance AO et b l'amplitude
en O.
ρ2
En effet, en prenant l'origine des phases en O, représente la différence de
2D
marche entre Σ et le plan de la plaque (au second ordre près).

Par ailleurs, l'onde plane cohérente Σ R constitue le faisceau de référence


d'amplitude a. Son amplitude de complexe en M vaut ae − jkΘξ (avec Θ petit
et ξ algébrique).

L'amplitude résultante en M s'écrit = ae − jkΘξ + F (η,ξ )

1) Montrer que après développement de la plaque photographique l'amplitude


transmise a pour expression:

[
t( x, y) = to − βτ F2 + aFe jkξ Θ + aF*e − jkξ Θ ]

- Observer un hologramme c'est observer la figure de diffraction de la


plaque enregistrée en l'éclairant par la seule onde de référence.
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On éclaire par une onde e − jkΘξ de même orientation que celle qui a servi à
l'enregistrement. L'amplitude transmise s'écrit alors :

te − jkΘ ξ = (t o − βτ F )e − jkΘξ − βτaF − βτaF*e − jk2Θξ


2

θ
A θ
0

A
0

Figure I.3.

2) Identifier dans l'expression du second membre les termes correspondants:

- à une onde plane directement transmise


- à une onde sphérique divergente semblant provenir de A'o
- à une onde reconstituant une image réelle A"o.

On voit donc que si l'hologramme est éclairé dans les mêmes


conditions que lors de l'enregistrement, l'image virtuelle A'o occupe par
rapport au plan holographique la même position que "l'objet" Ao.

b) Cas d'un objet étendu :

Un objet étendu, peut être considéré comme formé par un grand nombre de
points lumineux. Si l'objet est éclairé par une source ponctuelle
monochromatique, les points de l'objet se comportent à leur tour comme des
sources ponctuelles d'amplitudes et de phases déterminées.

N.B. - On a étudié ici un hologramme type Leit et Upatnieks. Il existe d'autres


types d'hologrammes que le lecteur pourra trouver dans les ouvrages
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fondamentaux (hologramme de Gabor - de Fourier ainsi que les


hologrammes "couleurs" ou encore hologrammes synthétiques (CAO).

I-3 - INTERFEROMETRIE PAR HOLOGRAPHIE

Le but ici est de montrer qu'il est possible de faire interférer deux signaux pris à
des instants différents.

Commençons par un cas très simple. Soit un objet transparent A éclairé en


faisceau parallèle:

ΣR ΣR
P P
N
Α Σ Σ2
1

Première pose, Deuxième pose,


l'objet déphasant A est l'objet est
en place. enlevé.

1) La plaque photographique P est éclairée par la lumière traversant A et par


l'onde de référence ΣR comme dans le cas du 1er T.P.(il s'agit donc de deux
faisceaux issus d'une même source). Soit F1(η,ξ) l'amplitude complexe de
l'onde qui traverse A reçue en un point (η,ξ) de P. L'onde cohérente ΣR produit
au même point l'amplitude a(η,ξ). La plaque reçoit donc une onde d'amplitude
a+F1.

1) Montrer que si on effectue une première pose d'une durée t1, l'énergie reçue
2 2
par la plaque vaut : W1 = t1 a + t1a * F1 + t 1aF1 * +t1 F1

2) Sans développer la plaque on effectue une 2ème pose sans l'objet A tout en
gardant l'onde de référence ΣR. La plaque reçoit alors les ondes Σ2 et ΣR. Soit
F2(η,ξ) l'amplitude produit en un point (η,ξ) par Σ2.

Si la 2ème pose est de durée t2, quelle est alors l'énergie totale reçue par la
plaque.
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3) En se plaçant dans la région linéaire de la courbe Tn=f(W), montrer qu'après


développement, l'e facteur Tn transmis par la plaque vaut :

Tn = T0 − β t1 F1 + t 2 F2 + a * ( t1F1 + t2F2 ) + a(t 1F1 * +t 2F2*) + ( t1 + t 2 ) a 


2 2 2
 
Supposons que les deux temps de pose sont égaux : t1 = t2 =t

 2
2 2
Tn = T0 − β t  F1 + F2 + a * ( F1 + F2 ) + a(F1 * + F2*) + 2t a 
 

Si on éclaire la plaque par une onde d'amplitude a(η,ξ),le terme central entre
crochets va reconstruire la somme t F 1+F 2 2 correspondant à l'interférence entre
les images correspondantes. Si l'objet A est une lame d'épaisseur variable e et
d'indice n, on observera les variations du chemin optique (n-1)e. Le fait
important ici est qu'on a pu faire interférer deux ondes F1 et F2 alors qu'elles
ont été enregistrées à des instants différents.

L'holographie permet d'étudier par interférométrie des objets diffusants, ce qui


n'est pas possible avec les autres méthodes. Considérons un objet A
quelconque, par exemple une canette de bière recouverte d'une peinture
diffusante. Prenons l'hologramme de l'objet A. On fait une première exposition
de l'objet. On déforme cet objet légèrement (A'). On enregistre sur la même
plaque l'onde produite par A'.

A l'observation, l'hologramme restitue deux images. Ces deux images


interfèrent et les franges d'interférence caractéristiques de la déformation
apparaissent.
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II - PARTIE EXPERIMENTALE

Vous disposez d'un matériel "optique" fragile et coûteux. Manipulez


avec attention et soin. Les deux types de laser Hélium-Néon mis à votre
disposition ont des puissances de 0,8 et 7 mW .Attention... Ne jamais
interposer son oeil sur le faisceau et prendre garde à la lumière diffusée.

II-1 REALISATION EXPERIMENTALE D'UN HOLOGRAMME

On va réaliser l'enregistrement holographique d'un petit objet diffusant


en l'éclairant suivant le montage optique ci-après:

- M1 et M2 miroirs de renvoi
- L'1 et L'2 sont des objectifs de microscopes à très courte focale; (compte
tenu de la géométrie du système L'1 sera choisi de plus courte focale que
L'2.
- BS-5% désigne une lame séparatrice de faisceau à 5% de réflexion
- PH support de plaque holographique.
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II-1.1 Procédure de Montage.

1- Monter les éléments selon le schéma en suivant la procédure de centrage


donnée ci-après :

2- L'objet est positionné de telle sorte que la face visible (celle faisant face au
porte-film) se situe sur les X indiqués sur le schéma. Pour les grands objets,
les fixer directement sur la plate-forme avec quelques gouttes de colle. Pour
les petits objets, prévoir un support.

3- Il existe 3 sortes de lames séparatrices de faisceaux BS (5%, 50%, et 100%


réfléchissantes) pour les supports BS. Utilisez la lame 5% réfléchissante pour
diviser le faisceau initial en deux faisceaux : le faisceau objet et le faisceau
référence.
Ne pas monter L'1 et L'2 pour l'instant

Centrer le faisceau réfléchi utilisé comme référence au milieu du miroir M2.

4- Le faisceau réfléchi M2 devra à son tour frapper le centre du porte-plaque


(PH).

5. Ajuster le miroir M1 pour que le faisceau frappe l'objet près de son centre
pour avoir une divergence rapide du faisceau.

6. Positionner l'objectif L'1 au centre du faisceau laser pour faire diverger le


faisceau. Positionner L'1 pour adapter la taille du faisceau à l'objet (plus
proche pour les objets petits et plus loin pour les objets plus grands) et
l'orienter pour couvrir tout l'objet.

7. Placer un carton blanc (de même taille que la plaque holographique) 6,35 x
6,35 cm2 sur le porte plaque pour estimer à l'oeil la quantité de lumière
réfléchie par l'objet qui atteint la plaque.

8. Utiliser l'objectif L'2 pour étendre le faisceau de référence. Déplacer L'2 en


avant et en arrière jusqu'à obtenir une intensité de lumière de référence
environ 2 à 3 fois plus importante que celle de la lumière réfléchie par l'objet.

9. Vérifier que les 2 chemins optiques sont quasiment les mêmes.

10. Eteindre toutes les lumières et mettre le cache en bas de la porte. Dans
l'obscurité absolue, sortir la plaque du bocal, la placer sur son support sans
toucher la face sensible ni aucun autre élément optique. La plaque est disposée
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dans le bocal la face sensible dirigée vers le haut, l'orienter correctement sur
son support, face sensible vers les faisceaux laser.

11. Exposer la plaque à la lumière laser pendant 1 minute environ avec le


laser 0,8 mW (Le choix du temps de pose sera fait avec l'enseignant et ajusté à
vos conditions expérimentales). Toujours dans l'obscurité complète, retirer la
plaque du support et la placer dans son bocal face sensible vers le haut, et bien
fermer celui-ci. On peut alors rallumer la lumière dans la salle.

II-1.2 Développement des plaques holographiques

- Révélateur 5 mn dans l'obscurité.


- Rinçage dans l'obscurité 1 mn
- Fixateur 4 mn dans l'obscurité
- Rinçage à l'eau courante (lumière en marche)
- Faire sécher la plaque

II-1.3. Observation de l'hologramme

Placer de nouveau la plaque holographique sur son support, exactement à la


place qu'elle avait pour l'exposition. Remplacer la lame 5% réfléchissante par
la 100% réfléchissante pour ne conserver que le faisceau de référence.

Ajuster M2 finement pour bien centrer le faisceau sur la plaque.

Retirer l'objet de son support et se placer derrière la plaque. Qu'observe-t-on


en regardant à travers cette plaque dans la direction où était placé l'objet ?
Faire varier l'angle d'observation en déplaçant son oeil. Que constatez-vous ?

Tourner maintenant légèrement la plaque et optimiser la position de l'oeil:


qu'observe-t-on? Pourquoi doit-on regarder dans la direction où était placé
l'objet?

II-2 INTERFEROMETRIE SUR UN OBJET REFLECHISSANT.

Nous allons voir ici que l'interféromètre holographique est une technique
visuelle très impressionnante. Elle permet d'observer les très faibles
déformations subies par un objet lorsque de faibles contraintes lui sont
appliquées. La technique est extrêmement sensible, au point de permettre de
relever des défauts dans la structure interne des objets telles que les fissures.
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Cette expérience illustre le principe de base de l'interférométrie holographique:


rendre apparente sur un objet toute déformation (même légère) de sa surface.
Nous allons étudier la déformation d'une canette de bière comprimée par un
ruban de plastique (ici du scotch) collé sur sa surface externe. Nous allons
effectuer, ainsi qu'il est décrit dans la partie théorique, une double exposition
holographique. L'observation de l'hologramme résultant montrera comment le
ruban de scotch a déformé la canette de bière.

II.2.1. Manipulation

Le montage à réaliser

1 - Faire le montage tel qu'il est indiqué sur la figure ci-dessus.


L1 et L2: objectifs de microscope.
L3: lentilles divergente;
M1 et m2: miroirs plans;
BS-5% ("beam splitter 5%"): lame 5% réfléchissante;
PH("plate holder"): porte-plaque holographique.
La face exposée de la canette doit se situer à 20 cm environ de la plaque

2 - La canette en aluminium (qui ne doit pas bouger entre 2 poses) est fixée à
demeure sur la plate-forme.

3 - Réaliser un hologramme à double exposition d'une durée de 25 secondes


par exposition. Avant la seconde exposition, coller avec précaution un mince
ruban de scotch au milieu de la surface externe de la canette. Ceci doit être fait
dans l'obscurité, sans toucher quoi que ce soit (ni la plaque, ni les objectifs ...).
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Le ruban de scotch autour de la canette induit des contraintes qui entraînent à


leur tour des déformations infinitésimales de la surface. Attendre quelques
secondes avant la deuxième exposition pour que les contraintes soient
entièrement relaxées.
Remarque: le temps de 25 secondes est indicatif, voir les consignes dans la salle
en fonction de la plaque choisie et du laser utilisé.

II-2.2. Développement de la plaque

Dans l'obscurité totale:

- Révélateur 5 mn
- Rinçage
- Fixateur 4 mn

A la lumière
- Rinçage 1 mn à l'eau courante (lumière en marche)
- Faire sécher la plaque

II-2.3. Observation de l'hologramme

Placer ensuite à côté de la canette la plaque sur son support avec la face
exposée tournée vers le laser.

Sur l'image holographique de la canette, on observe une figure formée de raies


curvilignes et d'anneaux irréguliers appelées franges d'interférence. Ces franges
traduisent les déformations subies par la surface de la canette entre la première
et la 2ème exposition.

Le taux de déformation d'un point spécifique de la canette peut être déterminé


par le nombre de franges comptées juste au-dessus de ce point en partant de la
base de la canette.

Dire alors quelles sont les régions les plus déformées. Sachant que le passage
d'une frange claire à une frange sombre ou l'inverse, représente un déplacement
égal à λ/2 (Cf. cours sur les interférences) soit 3,210-4 mm avec un laser
Hélium-Néon à 632,8 nm. Evaluer le plus grand déplacement subi par la surface
de la canette.

En se déplaçant autour de la canette on peut dire que certaines régions sont


bombées et d'autres rentrantes. Les identifier. Argumenter.
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Bien qu'il soit plus démonstratif et spectaculaire pour observer le résultat de


remplacer dans le montage précédent la canette par la plaque, pour des raisons
de commodité, on garde la canette en place. On déplacera le laser et L1 pour
avoir un faisceau de référence à côté de la canette.

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