Un Souper Bien Attachant

Un souper bien attachant
Ce soir-là, Florence se sentait fébrile. Elle n'avait pas reçu d'homme chez elle depuis des
lustres et voilà que le beau Nicolas avait accepté son invitation à souper. Elle avait opté pour
la simplicité, une fondue avec des viandes, une patate au four et quelques crudités, le tout
accompagné de sauces et de trempettes maison, le tout accompagné d'une bonne bouteille
de vin rouge. Elle l'avait remarqué depuis le secondaire et il n'avait jamais su qu'elle existait
avant qu'ils ne se croisent à l'ouvrage. Quand elle y réfléchissait, elle se demandait si elle
n'avait pas choisi cette carrière uniquement pour lui... peut-être était-ce le cas mais si c'était
ça, c'était le soir où jamais... elle devait faire les choses en grand. Elle avait préparé un
vieux vinyle avec de la musique d'ambiance pour son tourne-disque, question de surprendre
Nicolas avec quelque chose d'un peu retro... elle s'était fait belle, ses longs cheveux roux
étaient détachés, elle était maquillée et un joli ensemble en dentelle rouge était camouflé
sous une robe de la même couleur à motifs de petits coeurs blanc, une robe tout à fait
estivale. Après s’être longtemps contemplée dans le miroir, elle se trouvait flamboyante.
// Je dois écrire le souper \\
Le vin avait fait son effet, Florence riait aux anecdotes de Nicolas et celui-ci semblait
l'écouter avec intérêt quand elle lui racontait ses petits faits de vie. La soirée progressait et
le dessert était entamé, une fondue au chocolat avec pleins de petits fruits. En mangeant
une fraise, du chocolat coula sur le menton du jeune homme. Florence trouve cela comique
et pouffa de rire.
-Attends, je vais t'essuyer ça, dit-elle avant de se lever pour s'approcher de Nicolas.
Elle s'accroupit devant lui avec un napkin dans les mains tout en le regardant comme une
mère regarde un enfant qui s'est tout barbouillé le visage et qui trouve le résultat assez
comique. Elle approchait le napkin de son menton lorsqu'il avança la tête et posa ses lèvres
sur les siennes. *Enfin!* Flo en oublia ce qu'elle faisait, elle laissa tomber le napkin par terre
et saisit son collègue par les épaules, lui rendant son langoureux baiser. Son menton se
salissait de chocolat mais elle s'en foutait, lui aussi s'en foutait. Ils tombèrent par terre aux
pieds de la table, elle lui lécha le menton et il fit de même.
Les choses évoluaient rapidement, les deux collègues avaient complètement oublié leur
fondue au chocolat, ils étaient bien trop concentrés à s'embrasser tandis que leurs mains
découvraient leurs corps. Ils roulaient sur le sol, Florence se retrouvait alors sur Nicolas,
puis Nicolas repassait par-dessus elle. Flo lui tenait fermement les fesses par-dessus son
pantalon de type jeans bleu marine tout en l'embrassant vigoureusement. Remontant ses
mains, elle sortit le t-shirt de Nicolas de son pantalon, son t-shirt qui bien que très moulant
cachait quelque chose que Florence désirait voir. Elle l'aida à enlever complètement son
t-shirt qu'il tira dans un coin de la pièce, découvrant son large torse bien découpé.
Nicolas se retrouva à nouveau sur le dos, Florence par-dessus lui, ses mains remontant
sous sa robe, découvrant ses jolies petites fesses rondes... Il sentait une main passer entre
ses jambes, sa verge se durcir, tandis que la main baladeuse essayait de s'en saisir malgré
l'obstacle qu'était le jeans. Il s'empara d'un sein des seins de la jeune femme et se mit à
jouer avec comme on le fait avec une balle anti-stress. Il posa un baiser dans son cou et
descendit doucement avant de remonter vers son menton. Il sentit un frisson parcourir le
corps de sa partenaire.
La jeune femme du faire un effort car elle se sentait complètement ailleurs, elle réussi à
reprendre ses esprits assez longtemps pour se relever et tendre une main à Nicolas pour
l'aider à se relever.
-Viens, lui dit-elle.
Nicolas prit la main de sa partenaire qui l'aida à se remettre sur ses jambes et la suivit
jusque dans la chambre à coucher où se trouvait un grand lit avec des barreaux.
***
Flo attendait Nicolas dans la chambre. Lorsqu'il arriva, elle le poussa sur le lit. Elle avait déjà
allumé quelques chandelles et les flammes mettaient une ambiance sensuelle dans la pièce.
La jeune femme s'agenouilla et commença à détacher la ceinture de son partenaire. Elle fit
ensuite glisser son pantalon et le jeta par terre. Elle retira sa robe et vint s'asseoir sur
Nicolas, le regard perdu au fond de ses yeux bleus.
Étendue sur son partenaire, Florence l'embrassait en lui tenant fermement les cheveux. Elle
pouvait sentir la dureté du jeune homme entre ses jambes. Elle fit descendre ses mains vers
les pectoraux musclés de Nicolas, lui embrassa le cou puis descendit vers ses mamelons
tandis que sa main droite lui saisissait le paquet. Elle poursuivit son chemin vers son
objectif, elle pouvait voir la queue gorgée de sang s'agiter dans ses sous-vêtements. Sa
main flattait délicatement le membre tandis que son autre main commençait à retirer les
boxers, révélant un soldat au garde-à-vous.
\\ Ajout - 8 avril //
Il était un peu incurvé vers le haut et n'était pas très long, loin de là mais la jeune femme
n'en avait jamais vu d'aussi gros. Sa langue lécha le gland de Nicolas, un petit coup de
langue, puis un autre et il disparut dans sa bouche tandis qu'elle faisait tourner sa langue
tout autour. Elle lécha le long du petit tuyau et l'engouffra entièrement dans sa bouche, elle
salivait comme jamais et son intimité devenait de plus en plus humide tandis qu’elle
continuait à sucer son partenaire comme elle l'aurait fait avec un popsicle.
Nicolas se laissait faire, étendu sur le lit, dominé par la jeune femme qui semblait prendre
les choses en mains. Il glissa ses mains à lui sous les oreillers et ses doigts rencontrèrent
quelque chose de métallique… *Des menottes?* Surpris mais intrigué, il sortit sa
découverte de sa cachette, deux paires de menottes attachées ensemble.
Alarmée par le son métallique, Florence releva les yeux pour tomber face-à-face avec ses
paires de menottes. Un peu gênée, elle sentit ses joues virer au rouge. *Oh non! Mes
menottes! Je dois avoir l’air d’une tomate!*
-Tu comptais m’attacher? demanda Nicolas en souriant.
-C’est pas ce que…
-Chacun son tour?
-Chacun son tour, s’entendit-elle lui répondre, surprise par la proposition mais aussi de
s’être entendue répondre sans même y avoir pensé.
-Mais c’est moi qui commence! ajouta-t-elle en reprenant son sang-froid et en s’emparant
des menottes.
Le jeune homme fit une petite moue approbatrice. *Elle n’a aucune idée de ce que je lui
réserve.* pensa-t-il en jetant un œil aux chandelles allumées dans la pièce. Tandis qu’il se
faisait menotter aux barreaux du lit, il songeait à tout ce qu’il ferait avec Florence une fois
son tour venu, sa verge déjà dure bougeant d'elle-même, excitée par la situation ainsi que
par l’imagination de Nicolas.

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-Viens, lui dit-elle.

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