Chapitre1 TIC Et MANG
Chapitre1 TIC Et MANG
Chapitre1 TIC Et MANG
Objectif cours : Ce cours permet aux étudiants de connaître l’organisation des ressources
nécessaires à une gestion efficace des services informatiques de l’entreprise et à la réussite des
projets dans les meilleures conditions (coûts, délais, qualité)
Introduction
La révolution numérique prend sa source en 1971 avec la création par Intel du premier micro-
processeur mais elle ne s’est réellement révélée qu’au début des années 1980 avec le micro-
ordinateur Apple II et surtout grâce à l’avènement de l’IBM PC muni du système d’exploitation MS-
DOS, qui avec Microsoft va engendrer un standard mondial et consacrer une nouvelle informatique,
individuelle, mise en réseau et non propriétaire. Concomitamment, les télécommunications se
numérisent et le réseau américain Arpanet permet aux chercheurs d’échanger des fichiers et des
informations par courrier électronique, de même que se développent en France le Minitel, son
annuaire et son courrier électroniques. Au début des années 1990, Arpanet devient Internet et
s’ouvre au commerce mondial et au grand public. L’application World Wide Web du Cern, ses sites
Web et ses browsers se greffent sur ce réseau. Simultanément, en attendant la croissance des débits
d’Internet et des capacités mémoires des ordinateurs, de nouveaux supports amovibles et donc
transmissibles se développent tels les CD-Rom, les DVD-Rom, les Hard Disks puis les clés USB.
Les années 2000 consacrent l’utilisation mondiale (et les censures) d’Internet, un accès individualisé
plus confortable et des applications de haut niveau telles « Google Maps » (le symbole du Web 2.0)
et demain la fusion ordinateur/télévision, l’Internet Des Objets (IDO), les applications interactives
en trois dimensions (3D media) et le sensoriel.
Les TIC sont un ensemble des technologies qui permettent le traitement, la modification et
l’échange de l’information. Il s’agit d’une convergence entre la télécommunication,
l’informatique et l’audiovisuel, qui facilite la coordination, la coopération et la communication
entre les membres d’un groupe.
Les TIC sont donc un outil de coordination, un outil de coopération et un outil de
communication.
Les TIC contribuent à modifier les structures et processus organisationnels des entreprises, dont
le but est de s'adapter à ces évolutions et mettre en place un management adéquat, pour une
meilleure communication autant interne (circulation de l'information) qu'externe (diffusion de
l'information) au public par le biais de nouveaux moyens de communication).
1. Définitions
Techniques : Ensemble des procédés, des moyens pratiques et des méthodes propres à une
activité, fondée sur la connaissance scientifique, employés à la production, à la communication…
La technologie est l'étude des outils et des techniques. Elle désigne tout ce qui peut être dit aux
diverses périodes historiques sur l'état de l'art en matière d'outils et de savoir-faire. Elle inclut
l'art, l'artisanat, les métiers, les sciences appliquées et éventuellement les connaissances.
L’information est l’ensemble organisé de données, qui constitue un message sur un phénomène
ou un évènement donné. Elle permet de résoudre des problèmes et de prendre des décisions, étant
donné que son usage rationnel est la base de la connaissance.
NB : Une autre perspective nous indique que l’information est un phénomène qui donne un sens
aux choses puisqu’elle forme les modèles de la pensée humaine moyennant des codes et des
ensembles de données
Les TIC sont de plus en plus utilisées, non plus comme de simples supports de communication ou
des outils de facilitation du travail, mais comme de réels facteurs de développement et de
promotion d’un territoire.
Le concept « les TIC au service du développement » fait référence à l'utilisation des TIC à des
fins de développement socioéconomique. Entre autres Intervenir dans les TIC pour le
développement consiste à Penser, à concevoir et à utiliser les technologies pour qu’elles
contribuent de manière optimale aux objectifs de développement formulés par les États, les
organisations internationales, les ONG…
Dans cette perspective, il vise à encourager l’intégration de ces outils dans les différentes
activités humaines, qu’il s’agisse de l’introduction de l’informatique dans les entreprises, dans les
secteurs de l'éducation, de la santé ou qu’il s’agisse des grands projets innovants de
développement tels que l’administration électronique, l’aménagement numérique du territoire, la
production et la diffusion des biens culturels etc. En raison de l'importance croissante prise par
l'information dans tous les types d’activités, les TIC s'affirment désormais, dans les pays
développés et émergents, comme des outils d’aide à la formalisation des stratégies de
développement (à l’échelle nationale comme à l’échelle locale). En effet, l'information, dont les
TIC sont le vecteur, est devenue une ressource stratégique.
Pour atteindre les objectifs justifiant son introduction dans un secteur du développement, le domaine
des TIC doit avoir impérativement les six (06) caractéristiques suivantes :
Plus d’ouverture : les TIC nous apportent des moyens nouveaux en plus de ceux que nous avions
déjà ; de nouveaux moyens de communiquer, de s’exprimer, de créer, de travailler, d’apprendre ; et
ce phénomène se perpétue à une vitesse qui semble toujours aller en s’accélérant.
Plus rapide : ce que l’on pouvait faire avant sans les TIC, on peut le faire dorénavant beaucoup plus
rapidement avec les TIC, et encore toujours de plus en plus rapidement.
Plus petit : la miniaturisation est une caractéristique importante des TIC ; cela se manifeste tant au
niveau des appareils que des supports d’information, par exemple.
Plus abordable (coût, convivialité) : le coût de l’acquisition et de l’utilisation des TIC est, semble-
t-il, constamment à la baisse pour un niveau d’utilisation donné, ce qui les rend accessible à une
partie toujours croissante de la population, donnant ainsi à chacun des moyens puissants
(démocratisation des médias) ; leur utilisation est également, pour la plupart, de plus en plus aisée,
ce qui en facilite évidemment l’expansion
Plus puissant, plus grand : les possibilités des outils TIC (appareils et logiciels) vont constamment
en s’accroissant, permettant un maximum d’effet, d'”output”.
Multicanales : les TIC utilisent trois canaux à savoir le canal textuel, le canal image et le canal son.
Le dernier étant moins répandu.
De nombreuses personnes ignorent qu’ils font partir du secteur des TIC. Certains acteurs notoires, tels
que des développeurs de logiciels ou des fabricants de hardware, indiquent ne pas en faire partie. Ce
pendant ce secteur a des contours mouvants à savoir :
Il s'agit donc de ne pas confondre les activités productrices ou de déploiement des TIC avec celles
faisant un usage intensif de ces technologies. Par exemple, l'e-learning relève-t-il des services TIC et en
même temps du secteur de l'éducation et de la formation.
Selon l'OCDE, les TIC comprennent toutes les activités qui permettent de produire, traiter et
transformer l'information et la communication, en utilisant un procédé électronique. En
conséquence, le secteur TIC rassemble les entreprises qui contribuent à produire et/ou distribuer ces
technologies, ainsi que celles qui proposent des services facilitant leur mise en œuvre par les citoyens ou
les organisations.
Télécommunications,
Activités informatiques pures,
Conseil dans les matières informatiques,
Réalisation de logiciels,
Traitement de données,
Banques de données,
Entretien et réparation de matériel informatique,
Autres activités rattachées à l'informatique.
Ainsi que :
Recherche et développement,
Recherche et développement en sciences physiques et naturelles,
Recherche et développement en sciences humaines et sociales,
Activités cinématographiques et vidéo,
Radio et télévision,
Agences de presse.
Ainsi le secteur des TIC est la somme de trois secteurs : le secteur informatique, le secteur
électronique et le secteur des télécommunications. On distingue donc les catégories suivantes
relatives au secteur des TIC :
1- Définitions
Entreprise
Toute activité qui consiste à produire et à vendre des biens et/ou des services destinés à être vendus
sur le marché afin d’en tirer un profit.
Gestion
La gestion désigne l'action de gérer quelque chose. Le terme est utilisé dans de nombreux domaines
comme celui de l'entreprise, de l'administration, de l'immobilier, etc. La gestion se caractérise dans ces
situations par le fait de confier à autrui, ou à soi-même, des affaires à gérer.
Management d’entreprise
Le management de l'entreprise englobe toutes les notions nécessaires (connaissances, méthodes,
techniques) pour gérer une organisation, selon une direction donnée, tout en assurant le niveau de
performance prévu. Etymologie : de l'anglais to manage, "manier", "diriger", un terme probablement
lui-même d'origine italienne : "maneggiare" dans le sens de contrôler un cheval.
Diriger : consiste à fixer des objectifs et choisir les voies pour les atteindre
Contrôler : consiste à vérifier si les objectifs ont été atteints et décider, si nécessaire, de
prendre des mesures correctives appropriées
a. Management stratégique
b. Management opérationnel
La distinction entre ces deux dimensions n'est pas toujours facile à appréhender. Les
décisions ne sont pas complètement stratégiques ou complètement opérationnelles.
Exemple : Une campagne de publicité est une décision opérationnelle qui peut avoir des
conséquences à long terme.
Une décision peut être qualifiée différemment selon le type d'entreprise qui la prendra.
Exemple : le dépôt d'un brevet est une décision opérationnelle pour une grande entreprise
alors que pour une PME cela concerne le management stratégique.
Dans les PME, décisions stratégiques et décisions opérationnelles sont souvent assurées
par les mêmes personnes, ce qui facilite l'articulation entre le management stratégique et le
management opérationnel. En revanche, dans les grandes entreprises, il n'est pas toujours
aisé d'articuler ces deux composantes.
3- Qualités managériales
Cependant la pratique des ces qualités est définis par chaque entreprise tout en respectant
l’esprit des qualités d’un bon manager, nous prendrons ici le cas de Faceboock
N’est pas manager qui veut… Chez Facebook la philosophie pourrait se résumer ainsi : il n’est
pas nécessaire de devenir manager pour réussir. Et « la chose la plus importante c’est que nous
choisissons des personnes qui ont vraiment envie d’être des managers », explique Lori Goler, la
DRH du réseau social fondé par Marck Zuckerberg. Dans une interview accordée à Business
Insider, elle détaille les 7 bonnes pratiques indispensables pour devenir un bon manager.
Pour la RH de Facebook il faut en premier lieu faire la différence entre ceux qui ont envie de
manager et ceux qui en ont besoin pour faire progresser leur carrière. Les bons managers sont
ceux qui ont la passion de l’esprit d’équipe et qui sont capables d’être connecté à chacun de ses
membres. Ils ont surtout envie de les voir réussir. Pour Lori Goler, trouver ces personnes est plus
difficile qu’il n’y paraît.
Selon le service RH de Facebook, les employés qui sont satisfaits de leurs relations avec la
hiérarchie (leur manager ou même le boss) sont plus à même de développer leurs compétences et
en position d’apprentissage permanent. Ça paraît évident !
Chez Facebook, les managés ont des évaluations deux fois par an. Qu’elles soient positives ou
négatives, ça ne devrait jamais être une surprise. Les employés doivent en effet savoir où ils vont,
avoir des objectifs clairs, que ce soit à titre individuel ou au niveau de l’équipe. Si ce n’est pas le
cas cela signifie que leur manager a échoué.
D’après la DRH, donner un feedback régulier est devenu une seconde nature dans la culture de
l’entreprise. Le plus important c’est que cela fonctionne dans les deux sens. Les managers font en
sorte de créer une atmosphère favorable à la transparence et à la franchise pour que les employés
n’aient pas peur de donner leur avis.
Le point de vue peut paraître « banal » mais nécessaire : le bon manager est avant tout un
facilitateur. Il ne fait pas dans le micro management mais reste attentif à ce que fait chaque
membre de l’équipe pour l’aider en cas de besoins à surmonter une difficulté ou un blocage dans
sa conduite de projet.
Pour que les employés restent motivés, ils ont besoin de savoir que leurs responsabilités seront
proportionnelles à leur performance.
De nombreuses études le prouvent, les salariés sont nettement plus engagés lorsque la réussite
d’un projet est célébrée comme il se doit. Des comportements ou des phrases simples qui
paraîtront évidents pour les managers expérimentés mais qui fonctionnent toujours pour motiver
des équipes autour d'un projet.
Ce pendant nous nous attarderons sur les deux principaux types de management dans le domaine
des TIC à savoir le management collaboratif et le management Cellulaire.
a. Collaboratif
Il s'agit d'un nouveau mode de management émergent de plus en plus adopter dans les
entreprises, notamment celles élaborées sur le modèle des starts up, qui casse les codes et
l'organisation hiérarchique pyramidale en partant du principe que les avis, points de vue et
connaissances de l'ensemble des membres d'une équipe sont intéressants. Ce type de management
place le salarié au centre de l'entreprise pour aller vers une démarche de complémentarité et de
gain d'efficacité. Il est aussi appelé management consensuel. Il permet notamment de travailler
sur la cohésion d'équipe et donc sur une optimisation des résultats et de l'efficacité.
On assiste à l'émergence de l'holacratie, système d'organisation de la gouvernance fondé sur la
mise en œuvre formalisée de l’intelligence collective. Cette nouvelle méthode de management
horizontal, issue des start-ups techs de la Silicon Valley, et qui transforme complètement les
méthodes de management traditionnelles, commence à être adoptée par de plus en plus de grands
groupes.
Le management collaboratif repose sur les 4C :
b. Cellulaire
Il s'agit d'une manière de gérer une entreprise sans hiérarchie. C'est un management sans
managers à proprement parler. Tous les collaborateurs sont sur un pied d'égalité. Les
recrutements se font de manière collaborative et une personne choisie par l'équipe est nommée en
qualité de référent. Ce nouveau management, assez populaire aux États-Unis permettrait
notamment aux différents collaborateurs de gagner en responsabilisation et prise d'initiative.
5- Styles de managements
Lorsqu’on parle du problème des relations hiérarchiques c’est déterminer le mode ou le style
managérial qui s’instaure entre un cadre et ses collaborateurs.
En effet, il existe plusieurs styles managériaux. Kurt Lewin (psychologue à l’origine de la théorie
de la « dynamique de groupe » à travers laquelle il met l’accent sur l’amélioration de l’efficacité
individuelle et sociale par le groupe) a analysé les différentes formes de leadership.
En soi, il n’y a pas de bon ou de mauvais style d’animation d’équipe contrairement à ce que le
langage commun pourrait laisser croire. Il existe un style de management qu’il convient d’adapter
en fonction des situations ou en fonction des individus auxquels il s’adresse.
Nous distinguons quatre grands styles de managements à savoir :
Le management directif
Le management persuasif
Le management participatif
Le management délégatif
a. Le management directif
Historiquement, c’est le mode de management le plus répandu dans la fonction publique.
Il constitue une déclinaison de la vision taylorienne de l’organisation et de la fonction de cadre.
Les comportements du manager directif sont très organisationnels et faiblement relationnels. Sa
mission principale consiste à structurer et à organiser les relations de travail.
Ce type de management se caractérise par les aspects suivants :
Oriente, dirige, donne des instructions,
N’explique pas ou peu,
Limite les initiatives,
Est peu centré sur la personne,
Programme, planifie, indique les procédures,
Surveille et contrôle,
Organise une communication descendante,
Intérêts Limites
Le responsable hiérarchique Le contrôle des activités diminue les La centralisation peut être « lourde » à
risques d’erreurs assumer
S’ils sont peu compétents, ce style va S’ils sont très autonomes, ils risquent de
Les collaborateurs accroître leur productivité et les se sentir déresponsabilisés
rassurer
b. Le management persuasif
Ce mode de management est à la fois très organisationnel et très relationnel. Le cadre s’ouvre
davantage à l’écoute de ses collaborateurs. Le manager ici essaie de convaincre ses
collaborateurs, et ne cherche pas systématiquement à imposer des comportements par
l’application de règles et procédures.
Le manager persuasif :
Parle beaucoup et argumente,
Cherche à influencer plus qu’à imposer,
Donne de nombreuses explications,
Apporte assistance lorsque le collaborateur est en difficulté,
Donne de la légitimité aux objectifs,
Fédère et encourage,
Valorise les résultats positifs,
Échange beaucoup, suscite la réflexion, les propositions, les questions,
Est attentif aux indicateurs de motivation et de démotivation,
Veille à ce que chacun ait bien compris ce qui est attendu.
Ce style correspond soit aux équipes ou aux collaborateurs qui manquent encore de
professionnalisme et qui ne sont pas très impliqués dans l’activité. Ils ont donc besoin d’être
encadrés et dynamisés.
Il correspond aussi à des gens motivés mais n’ayant pas toutes les compétences ni l’expérience
leur permettant d’agir de façon autonome.
Intérêts Limites
Le responsable hiérarchique L’exemplarité du « chef » source L’énergie nécessaire et le risque
d’énergie et d’apprentissage collectif d’épuisement
(Si le style est adapté) (si le style n’est pas adapté)
Les collaborateurs Le développement du relationnel entre le L’empêchement de l’affirmation des
chef et son équipe capacités des collaborateurs
c. Le management participatif
Le manager participatif adopte peu de comportements organisationnels, il est très relationnel. Il a
pour souci de développer une ambiance de convivialité et de recherche d’harmonie ; il favorise
une collaboration de son équipe à la définition des objectifs et encourage les prises d’initiatives.
Il correspond aussi à la nécessité de motiver et de faire s’impliquer les gens, de leur faire
s’approprier une démarche en la concevant par eux-mêmes (nécessité de donner les règles du jeu,
le cadre et les marges de manœuvre au préalable).
Par exemple :
Intérêts Limites
Il montre son « soutien », sa défense La prise de décision est lente.
Le responsable hiérarchique des intérêts de l’équipe Le manque d’autorité peut provoquer des
conflits au sein de l’équipe
Les collaborateurs L’intérêt manifesté du responsable L’insécurité née du partage des problèmes
pour les individus
Aujourd'hui, la mise en place de système de Management s'inscrit dans un cadre plus général où
d'autres sujets tels que l'environnement, la sécurité, la responsabilité sociétale doivent être pris
en compte.
Objectif :
Un référentiel sert de guide pour la construction et la vérification d'un système. C’est un
modèle d’exigences.
Les principes :
Quelques exemple de référentiels de management :
Pour parler des avantages des TIC il est primordial de faire ressortir les conditions de TIC. Ainsi
les conditions exigées par les TIC sont :
– avantages concurrentiels ;
– avantages dans les économies d’échelles ;
– avantages dus à la rationalité de la production
– avantages à l’augmentation des qualités des biens et services ;
– avantages dans l’entrée dans d’autres marchés ;
– avantages de l’utilisation des hautes technologies.
Avantages :
• Au niveau du système d’information, elle permet la délocalisation de la production,
• Au niveau de la structure de l’entreprise et de la gestion du personnel.
• Au niveau commercial, de nouveaux circuits de distribution.
• Hausse de la productivité du travail pour la saisie de l’information,
• Organisation moins hiérarchisée, partage d’information et une meilleure gestion des
ressources humaines.
• Nouveau circuit de production grâce à l’extension du marché potentiel (commerce
électronique).
Inconvénients :
• le coût du matériel, du logiciel, de la maintenance,
• Phénomène de suréquipement, et donc coût de sous-utilisation,
• Coût de la formation du personnel,
• Réorganisation structurelle du travail,
• Coût de l’amélioration plus important car innovations plus fréquentes,
• Rentabilité de l’investissement difficilement quantifiable, problèmes éthiques.
D’un point de vue plus général les avantages des TIC peuvent être définis à 3 niveaux :
REF
http://journals.openedition.org/ticetsociete/1047
https://ticanalyse01.wordpress.com/2013/06/14/les-6-caracteristiques-essentielles-
des-tic-pour-le-developpement/
http://www.awt.be/web/dem/index.aspx?page=dem,fr,tic,100,020
http://sabbar.fr/management/le-management-strategique-et-le-management-
operationnel/