BrochureInformatiqueDroit2018 2019
BrochureInformatiqueDroit2018 2019
BrochureInformatiqueDroit2018 2019
DROIT DU NUMÉRIQUE
Parcours Informatique et Droit
2018-2019
Ce document, et des compléments, est mis à jour régulièrement réel sur le site Web :
http://www.lacl.fr/cegielski/master/masterInfoDroit.html
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ÉDITORIAL
Le diplôme de master sanctionne l’acquisition, après la Licence, de 120 crédits
européens (ECTS). L’enseignement s’effectue en première année M1 et en deuxième année
M2. C’est, pour ce master Droit du numérique, au niveau du M1 que les étudiants se
spécialisent.
Le Master en droit à la Faculté de Droit de l’Université Paris – Est Créteil (UPEC) se
subdivise en plusieurs mentions : Droit de l’immobilier, Droit de la propriété intellectuelle,
Droit de la santé, Droit des affaires, Droit des assurances, Droit du numérique, Droit
européen, Droit fiscal, Droit notarial, Droit pénal et sciences criminelles, Justice procès
procédures, Droit privé et Droit public des affaires, comportant chacune un ou plusieurs
parcours.
La spécialité de Master a pour objectif de fournir une formation préprofessionnelle ou
de recherche aux étudiants titulaires d’une Licence. Le Master s’adresse également aux
personnes déjà engagées dans la vie professionnelle en leur permettant de mettre à jour ou de
perfectionner les connaissances acquises lorsqu’elles entrent dans le cadre de la formation
permanente.
L’État peut accorder une aide aux étudiants non salariés sous forme d’allocations de
recherche dont le nombre est malheureusement très faible et n’est pas en adéquation avec le
nombre de demandes.
Les candidats doivent adresser leur demande le plus tôt possible à la Faculté de Droit
en tout cas avant le 10 septembre (dernier délai).
Les candidats engagés dans la vie professionnelle et tout adulte en reprise d’études
(après un arrêt d’au moins deux ans) peuvent bénéficier d’une aide financière (Fongecif, AIF
par le Pôle emploi, CIF…).
Contacter le service formation continue de la faculté de droit au 01 56 72 60 63 ou
[email protected]
Il peut être procédé à la validation des acquis de l’expérience (VAE) après étude du
dossier. Le dossier de demande doit être déposé auprès de la commission de validation de
l’Université.
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GÉNÉRALITÉS ET OBJECTIFS
Le parcours Informatique et Droit, le seul existant, de la mention « Droit du
numérique » du master « Droit » s'adresse aux étudiants titulaires d’une licence de Droit,
d’une part, et véritablement intéressés par les sciences du numérique, d’autre part.
Le diplôme forme des juristes spécialisés en droit du numérique ayant acquis
suffisamment de technicité dans les sciences du numérique pour pouvoir dialoguer
efficacement avec les spécialistes de cette dernière discipline afin d’établir des contrats, d’une
part, et de défendre ou s’opposer à des contrats existants, d’autre part. Il permet également de
participer à la mise en œuvre, y compris d’un point de vue technique, des moyens de
protection des données à caractère personnel.
Ce parcours de Master permet d’accéder notamment aux professions suivantes :
correspondant informatique et libertés (CIL) dans un grand organisme public ou une grande
entreprise, DPO (Data Protection Officer, délégué à la protection des données) dans un grand
organisme public ou une grande entreprise, juriste Internet, avocat spécialisé en droit des
nouvelles technologies et d’occuper des fonctions d’expert juridique en technologie
numérique.
Cette formation, au vu de son originalité (2/3 d'enseignement de science du
numérique, 1/3 de complément de Droit) est tubulaire : les années (M1 et M2) sont
indissociables ; l'admission en M2 sans avoir validé le M1 de l'UPEC est très exceptionnelle.
L’étude des dossiers de candidature prend en considération les résultats obtenus en
Licence de Droit ainsi que la motivation pour étudier la partie des sciences du numérique
indispensable pour un dialogue fructueux avec les spécialistes de cette discipline, jugée lors
de l’examen du dossier et lors de l’entretien obligatoire.
Une maîtrise de l’anglais, tant écrit qu’oral, est indispensable pour suivre ce cycle
d’études (niveau B2, si possible C1 du référentiel européen). En effet l’anglais est de très loin
la langue de communication des sciences du numérique, la seule autre langue utilisée étant le
français.
Un ordinateur portable est indispensable pour les séances de travaux pratiques. Tout
ordinateur portable convient : il n’a pas besoin d’être puissant ; qu’importe le système
d’exploitation (Linux, MacOs ou Windows). Les logiciels (libres) nécessaires seront installés
lors des séances de travaux pratiques.
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CONDITIONS D’INSCRIPTION (EN M1)
1. – Prérequis – Les candidats doivent être titulaires d’une licence de Droit, ou d’un
diplôme jugé équivalent, français ou étranger, ou justifiant d'une expérience professionnelle
équivalente.
La demande d’équivalence est examinée au vu d’un dossier par une commission des
équivalences.
Le candidat peut être soumis par la commission à une ou plusieurs épreuves de
contrôle afin de vérifier le niveau de ses connaissances.
Une décision favorable intervenue en matière d’équivalence ne préjuge aucunement de
la décision concernant l’autorisation d’inscription.
Les photocopies des relevés de notes et des diplômes, autres titres ou certifications
dans l’ordre chronologique d’obtention (DUT, BTS, Licence…).
Un curriculum vitae (en deux pages) détaillant toutes les activités depuis l’obtention
du baccalauréat.
Pour les diplômes étrangers joindre une traduction des diplômes en français effectuée
par un traducteur agrée.
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Le dossier de candidature ainsi constitué est examiné par le Directeur de la mention de
Master.
Dans un premier temps, la candidature est, au vu du dossier, soit rejetée
définitivement, soit soumise à un examen complémentaire.
Le candidat est convoqué par courrier électronique. Sauf cas de force majeure dûment
justifié, son inscription ne peut être autorisée s'il ne s’est pas présenté.
3. – L’inscription universitaire
L’inscription pédagogique ne peut être prise que dans une seule spécialité de Master
par année universitaire.
TRÈS IMPORTANT : L'étudiant doit assister aux cours dès lors qu'il a reçu son
autorisation d'inscription, sans attendre son inscription administrative, qui peut intervenir avec
un certain retard.
Les étudiants étrangers utilisent l’un ou l’autre des sites suivants selon le cas pour
poser leur candidature :
- Étudiants internationaux relevant de la procédure Campus France : consultez le site
www.campusfrance.org
- Étudiants internationaux ne relevant pas de la procédure Campus France) :
candidature à partir du 4 juin 2018 sur : https://candidatures.u-pec.fr
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LES ENSEIGNEMENTS
Une réunion générale d'information est organisée en début d'année universitaire (le
vendredi 7 septembre 2018 pour l’année universitaire 2018-2019) pour présenter le
programme des différents enseignements et les modalités de contrôle des connaissances. La
présence à cette réunion est obligatoire.
Les enseignements sont assurés par des professeurs des universités, des maîtres de
conférences et des professionnels. Ils se composent de cours magistraux, de séances de
travaux dirigés, de séances de travaux pratiques (pour les sciences du numérique) et de
séminaires.
L’assistance à l’intégralité des activités d’enseignement (cours magistraux,
séances de travaux dirigés et de travaux pratiques, conférences) est obligatoire, sauf cas
de force majeure dûment justifié.
Ces activités d’enseignement se déroulent à la Faculté de Droit 83-85, avenue du
Général de Gaulle, 94000 CRÉTEIL.
1) Les enseignements
2) Le stage professionnel de M2
Il est obligatoire et donne lieu à la rédaction d'un rapport de stage et d’une soutenance
orale par l'étudiant. Le stage se déroule sur une période continue de 12 semaines minimum,
éventuellement à l’étranger. Il peut être prolongé si l’étudiant le souhaite.
Il a lieu impérativement après la fin des cours et des examens du troisième semestre.
En aucun cas, le stage ne peut dispenser de l’assiduité aux cours de la spécialité
de Master, de la soutenance du mémoire sur le cycle de conférence, de la soutenance du
mémoire professionnel et de la soutenance du rapport de stage.
Ce stage vise à familiariser l'étudiant avec son futur milieu professionnel et constitue
une expérience, absolument indispensable, pour trouver un premier emploi.
Il appartient aux étudiants d'obtenir par eux-mêmes un stage d'ordre juridique
agréé par le responsable de la spécialité (service juridique d'entreprise, avocat, conseil
juridique, etc.).
Les étudiants qui n’ont pas réussi à obtenir un engagement de stage peuvent s’adresser
au responsable de la spécialité et/ou aux enseignants de la spécialité, ainsi qu’au service
emploi - stage de l’Université (situé dans le hall de la Faculté), lesquels se chargeront alors de
leur fournir un stage.
Toutefois, cette possibilité n’est offerte qu’aux étudiants ayant eu un niveau de
participation jugé suffisant et une assiduité sans faille aux séances d’enseignement.
Les candidats au diplôme qui exercent une profession jugée par le responsable en
rapport avec la spécialité ont la possibilité de faire leur stage dans leur entreprise.
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PROGRAMME DES ENSEIGNEMENTS – Semestre 1
(30 ECTS) [1 ECTS = 7,5 h d’enseignement en présence d’enseignants]
Le volume horaire des cours magistraux (CM) est fixé à 33 heures – 11 semaines de cours et
les séances de travaux dirigés (TD) ou de travaux pratiques (TP) à 15 heures – 10 séances d’1h30.
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PROGRAMME DES ENSEIGNEMENTS – Semestre 3
(30 ECTS)
(30 ECTS)
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CONTRÔLE DES CONNAISSANCES
Le contrôle des connaissances s’effectue, pour chaque module, à l’issue de celui-ci
pour l’examen. Certains modules comportent, de plus, des épreuves intermédiaires.
Toute note égale à zéro est éliminatoire, sauf si le jury en décide autrement.
Il n'est pas possible de redoubler sauf autorisation exceptionnelle du jury (par exemple en cas
de maladie ou d’événement de force majeure).
3) Étudiants handicapés.
Les locaux de la Faculté de Droit sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Des places de parking sont spécialement prévues à leur intention et des ascenseurs permettent
l’accès aux étages supérieurs.
Certains étudiants atteints d’un handicap ne leur permettant pas de composer dans les
conditions d’examens habituelles peuvent bénéficier de certaines conditions lors des examens
(Décret n° 2013-756 du 19 août 2013 – art. 4 (V) et Circulaire ministérielle n° 2011-220 du
27 décembre 2011) :
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Procédure :
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DESCRIPTION DES MODULES
MODULES du Semestre 1
Module Logique
La logique a pour but le raisonnement valide, à comparer avec la rhétorique, c’est-à-dire l’art
de convaincre (y compris par des arguments fallacieux).
http://www.lacl.fr/cegielski/logique.html
o Calcul propositionnel
o Métalogique
o Application au droit :
Module Anglais I
L’anglais étant la langue largement prédominante des sciences du numérique (la seule autre
langue étant le français), un enseignement d’anglais de communication (lecture de documentation [y
compris technique] en anglais, conception de documentation en anglais, échange téléphonique avec
des collègues de langue maternelle autre, prise de note lors d’un exposé en anglais, exposé en anglais,
discussion générale lors de réunion) est présent lors des trois premiers semestres. La préparation du
TOEIC et le passage de l’examen du TOEIC ont lieu en M1.
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Module Bases des données
Programme
L'objet de ce module est d'étudier les manières dont les droits et libertés fondamentaux
sont mis à l'épreuve par le numérique. Si le numérique est un formidable vecteur de la liberté
d'expression et de l'accès à l'information, il n'en soulève pas moins des problèmes juridiques
complexes, en termes d'articulation avec les exigences de sécurité et les impératifs de
protection des droits de la personne.
Programme :
Bibliographie sommaire :
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Module Droit des données (aspects internationaux, européens et français)
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Chapitre II : OPEN DATA dans le contexte international
Section 1 : Qu’est-ce que l’OPEN DATA
Acteurs et fondamentaux de la collecte et de la réutilisation des données
publiques
Émergences de l’Open Data
Section 2 : Quelle utilité pour les entreprises
Licence Open Data
La plateforme et la réutilisation des données
Chapitre III : Conflits de loi
Section 1 : Droit de l’internet
Section 1 : Clause de compétence
http://www.lacl.fr/cegielski/C.html
Programme
o Structures de contrôle
o Programmation modulaire
o Langage formel (avec application pour, par exemple, la définition des « expressions
numériques » ; ambiguïté du langage comme dans « Le garçon lance un ballon. Il est
petit ».)
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Module Algorithmique I
Tris,
Algorithmique et société
MODULES du Semestre 2
Module Réseau et Normes
http://www.lacl.fr/cegielski/sec.html
Programme
o Calculabilité
o Complexité
Quelques classes
Le problème P = NP
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Importance des heuristiques
Module Algorithmique II
o Algorithmique de graphes
o Heuristiques et méta-heuristiques
o Apprentissage automatique
• Discussions sur la place des systèmes d'information dans le management des organisations
Module Anglais II
Préparation au TOEIC
Anglais juridique
Programme
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Partie 1 : Droit commun des contrats informatiques
Les règles communes à tous les contrats informatiques : application adaptée du droit
des contrats (illustrations jurisprudentielles).
Chapitre I : Formation des contrats
Négociation, rupture des pourparlers, avant-contrats, contrat-cadre. Clause de
confidentialité.
Consentement, contrats électroniques, CGU.
Qualité des parties.
Objet (ex. clauses de niveau de services).
Prix (clause de recette…).
Chapitre II : Exécution des contrats
Obligations des parties (ex. devoir d’information et de conseil, collaboration du
client, garanties, responsabilités), clauses (ex. de la clause des quatre coins, de la
clause pénale, des clauses limitatives ou exonératoires de responsabilité et/ou
d’obligation).
Interprétation du contrat (jurisprudence et ordonnance de 2016 en droit des
contrats sur l’interprétation commune des contrats indivisibles).
Caractère intuitu personae du contrat, revente, sous-contrat, cession de contrat.
Chapitre III : Fin des contrats
Fin normale (contrat à exécution successive ou instantanée).
Fin anticipée (contentieuse ou non contentieuse).
Jurisprudence et ordonnance sur le sort lié des contrats indivisibles.
Clause de réversibilité.
Partie 2 : Droit spécial des contrats informatiques
Les spécificités des principaux contrats de l’informatique.
Chapitre I : Les contrats portant sur un bien informatique
Section 1 : Contrats portant sur un bien informatique matériel
Contrats de vente, de location ou de crédit-bail de matériel informatique
Section 2 : Contrats portant sur un bien informatique immatériel
Contrats de licence ou de cession (propriété intellectuelle)
Contrat de licence de logiciel « on premise »
Contrat de Saas
Contrats portant sur une base de données
Licences creative commons
Chapitre II : Les contrats portant sur un service informatique
Contrats d’entreprise
Clauses relatives au traitement des données personnelles
Contrat de développement
Contrat d’hébergement
Contrat de cloud
Contrat de maintenance (TMA)
Contrat d’infogérance
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Bourdoiseau, J. et Roulet, V., L'essentiel du droit des contrats spéciaux 2015-2016, à jour de
la loi du 6 août 2015, dite loi Macron, Gualino, 2015
Chantepie, G. et Latina, M., La réforme du droit des obligations – Commentaire théorique et
pratique dans l’ordre du Code civil, Dalloz, 2016
Coll., Pratiques contractuelles, ce que change la réforme du droit des obligations, Éditions
législatives, 2016
Douville, Th. (dir), La réforme du droit des contrats, Commentaire article par article,
Gualino, 2016
Fages, B., Droit des obligations, 6ème éd., LGDJ, 2016
Houtcieff, D., Droit des contrats 2016-2017, Larcier, 2016
Mainguy, D., Contrats spéciaux, 10ème éd., Dalloz, 2016
Mercadal, B.A., Réforme du droit des contrats : ordonnance du 10 février 2016, Éd. Francis
Lefebvre, 2016
Puig, P., Contrats spéciaux, 6ème éd., Dalloz, 2015
Renault-Brahinsky, C., Nouveau droit des contrats, Gualino, 2016
II. Ouvrages spéciaux
Bitan, H., Droit et expertise des contrats informatiques, Lamy, 2010
Boisson, A., La licence de droit d’auteur, LexisNexis, 2013
Carneroli, S., Les contrats commentés du monde informatique : logiciels, bases de données,
multimédia, internet, 2ème éd., Larcier, 2013
Cohen, V.-D., Le contrat de maintenance informatique : un contrat bien verrouillé !, Afnor,
2013
Debras, J., Guide juridique des contrats en informatique, 2ème éd., Éditions ENI, 2015
Desgens-Pasanau, G., La protection des données personnelles, LexisNexis, 2016
Huet, J. et Bouche, N., Les contrats informatiques, LexisNexis, 2011
Fauchoux, V., Deprez P et Bruguière J.-M., Le droit de l’Internet : lois, contrats et usages,
2ème éd., LexisNexis, 2014
Gaudrat, Ph. et Sardain F., Traité de droit civil du numérique (tome 1 – droit des biens ; tome
2 – droit des obligations), Larcier, 2015
Le Tourneau, Ph., Contrats informatiques et électroniques 2016-2017, 9ème éd., Dalloz, 2016
Mattatia, F., Le droit des données personnelles, Eyrolles, 2016
III. Articles et encyclopédies
Bismuth, Y., « La clause de recette dans les contrats informatiques », Communication
Commerce Electronique, 2012, 5
Blanc-Jouvan, G. « Fourniture d’un logiciel ou d’un progiciel », fasc. 2440, Juris-Classeur
Contrats-Distribution, LexisNexis, 2009
Bourgeois, M. « Réforme européenne des données personnelles : le nouveau partage de
responsabilité entre les acteurs d'un traitement », La Semaine Juridique Entreprise et Affaires
2016, 1328
Chafiol-Chaumont, Fl. et David, A., « Les clauses limitatives ou exonératoires de
responsabilité dans les contrats informatiques », Cahiers de droit de l'entreprise, 2009, prat.
25
Chafiol-Chaumont, Fl. et Florence Ropion, Fl., « Les clauses de propriété intellectuelle dans
les contrats informatiques », Cahiers de droit de l'entreprise, 2010, prat. 15
Cordier, G. « Prévention et évolution de quelques difficultés pratiques du contrat de
maintenance », Cahiers de droit de l'entreprise, 2009, prat. 15
Dorchies, O., « La clause d'intégralité dans les contrats informatiques et télécoms »,
Communication Commerce Électronique 2016, 2 ; « La clause pénale dans les contrats
informatiques et télécoms », Communication Commerce Électronique 2014, 11 ; « Le
référentiel ITIL dans les contrats informatiques et télécoms », Communication Commerce
Électronique 2013, 7
Griguer, M., « Invalidation du Safe Harbor : quel impact pour les entreprises ? », Cahiers de
droit de l'entreprise 2015, prat. 30
18
Guillemain, M., « Contrat d’exploitation du droit d’auteur », fasc. 666, Juris-Classeur
commercial, LexisNexis, 2015 (actualisé en 2016) ; « La réforme du droit des contrats et le
droit d’auteur », La Semaine Juridique Entreprise et Affaires, 2016, 1368 ; « Les groupes de
contrats en droit d’auteur : études de clauses », Revue Dalloz IP/IT, n° 3, mars 2016, p. 133
Hassler, Th., « Conditions générales des réseaux sociaux versus la protection des personnes :
le choc de deux mondes antagonistes », Revue Lamy Droit de l’Immatériel, août 2015, p. 56
Huet, J., « Contrats informatiques, contenu et typologie », fasc. 2415, Juris-Classeur
Contrats-Distribution, LexisNexis, 2013
Lemarchand, St., « Le devoir général d'information : un impact majeur dans la formation des
contrats informatiques », Revue Dalloz IP/IT, mai 2016, p. 233
Lemarchand, St. et Lampe, A.-S., « Projet de réforme du droit des contrats et contrats
informatiques : la portée générale donnée à la jurisprudence Faurecia », AJ Contrats d'affaires
- Concurrence – Distribution, oct. 2015, p. 420
Le Tourneau, Ph., « Contrats informatiques », Rép. de droit commercial, Dalloz, 2012
Linant de Bellefonds, X., « Contrats de l’informatique et de l’internet – responsabilité », fasc.
2510, Juris-Classeur Contrats-Distribution, LexisNexis, 2003
Loiseau, G., « La portée du devoir de conseil du prestataire spécialisé en matière informatique
», Communication Commerce Électronique 2015, p. 30
Lucas-Puget, A.-S., « La clause d'intégralité », Responsabilité civile et assurances 2016,
form. 5
Marino L., « le big data bouscule le droit », Revue Lamy Droit de l’Immatériel, déc. 2013, p.
55.
Martin, M. « Les clauses de niveaux de services dans les contrats informatiques »,
Communication Commerce Électronique 2016, prat. 4 ; « La clause de réversibilité »,
Communication Commerce Électronique 2014, 4
Piette-Coudol, Th., « Les technologies de l'information et de la communication face à la
réforme du droit des obligations », Revue Lamy Droit de l’Immatériel, avril 2016, p. 46
Ravazi, M. et Vaissière, C., « Les innovations contractuelles du Big Data », Revues des
Juristes de Sciences Po, mars 2015, 116
Sordet, E et Milchior, R, « Le Cloud computing, un objet juridique non identifié ? »,
Communication Commerce Électronique 2011, étude 20
Vanuls, C., « Le devoir d'information et de conseil dans les contrats informatiques sous
influence de l'article 1135 du Code civil », La Semaine Juridique Entreprise et Affaires 2015,
1037
Varet, E, « Le contentieux des licences de logiciel dans tous ses états », La Semaine Juridique
Entreprise et Affaires 2012, 1173
Villedieu, A.-L. et Tamba, J., « Le droit, protecteur des données dans le Cloud », Revues des
Juristes de Sciences Po, mars 2015, 114
Vivant M., « Les contrats informatiques », Lamy droit du numérique, Lamy, 2016
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Focus sur le logiciel, le jeu vidéo et le site Internet
Chapitre 1 : La marque
o Section 1 : Les conditions de la protection
Les conditions de fond
La procédure d’enregistrement
o Section 2 : Le contenu de la protection
Les droits exclusifs
Les exceptions aux droits exclusifs
o Section 3 : La mise en œuvre d’actions contentieuses spécifiques
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o Section 1 : Les outils contractuels : Accord de confidentialité, clause de non-
concurrence
o Section 2 : Les outils légaux
La directive « secret des affaires »
Les pratiques sanctionnées
MODULES du Semestre 3
Module Systèmes d’information avancés
Programme
o Template
o HTML
o XML
o Javascript
Cryptographie
o Chiffrement symétrique
o MAC
o Signature
o Chiffrement asymétrique
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Protocoles cryptographiques
o Spécification
o Cryptographie
Préparation au TOEIC
Anglais juridique
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2.5 – les intervenants
a) l’expert judiciaire
b) les parties
c) les avocats des parties
d) les conseils techniques des parties
e) les assurances
f) les sapiteurs
g) les sachants
2.6 – le déroulement de l’expertise civile
a) la mission
b) l’organisation et la conduite des réunions
c) la première réunion d’expertise
d) l’organisation des opérations d’expertises
le planning et la gestion des délais
la prévision et le suivi des coûts
la consignation
e) les examens techniques
la charge de la preuve
la définition du référentiel
l’examen des pièces
l’examen des griefs
l’examen des préjudices
l’organisation des tests techniques
f) la note de synthèse
g) le rapport d’expertise en l’état
h) le rapport d’expertise
2.7 – le suivi des opérations
a) le contrôle et le suivi des mesures d’expertise
b) la récusation de l’expert
c) la nullité de l’expertise
2.8 – la rémunération de l’expert
2.9 – la dématérialisation de l’expertise : OPALEXE
Module 3 : L’expertise pénale
3.1 – le cadre juridique de l’expertise pénale
3.2 – les finalités de l’expertise pénale
3.3 – les différents modes de désignation de l’expert au pénal
3.4 – les obligations de l’expert au pénal
3.5 – présentation de l’investigation numérique
a) l’analyse des ordinateurs
b) l’analyse des supports de stockage
c) l’analyse des téléphones
d) l’analyse des autres équipements
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3.6 – les outils de l’expert au pénal
a) les logiciels
b) les matériels
3.7 – les intervenants
a) l’expert judiciaire
b) les laboratoires
3.8 – le déroulement de l’expertise pénale
a) la mission
b) l’ouverture des scellés
c) l’acquisition des informations
d) l’analyse des informations
e) le rapport d’expertise
f) la reconstitution des scellés
3.9 – le contrôle des opérations d’expertise pénale
3.10 – la rémunération de l’expert
a) la rémunération
b) CHORUS
Module 4 : L’expertise en Europe
4.1 - particularités de l’expertise en France
4.2 – les particularités de l’expertise dans des pays européens :
a) en Belgique
b) au Royaume-Uni
c) en Allemagne
d) en Espagne
e) en Italie
Ouvrages
Revues
Revue Experts
Expertises des systèmes d’information
L'objet de ce module est d'étudier – essentiellement sous l'angle du droit public – les
règles de droit encadrant les réseaux d'échanges internet et télécoms fixes et mobiles.
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Programme :
• Grands principes du droit des réseaux
• Les autorités de régulation (ARCEP, CSA, CNIL, HADOPI, ARJEL, ANFR) et
l'architecture juridique des réseaux (ouverture et organisation des marchés ;
interopérabilité ; service public des communications électroniques)
• La régulation d'internet : gouvernance d'internet ; « souveraineté numérique » ;
neutralité des opérateurs de communication électronique ; loyauté des plates-formes ;
lutte contre les contenus illicites
• Droit des réseaux mobiles et fixes
• Cybercriminalité
Bibliographie sommaire :
• Marc Bourreau (dir.), Régulation des communications électroniques, Lavoisier, 2016.
• Conseil d’État, Le numérique et les droits fondamentaux. Étude annuelle 2014, La
Documentation française, coll. Études et documents, 2014.
• Emmanuel Dreyer et Jérôme Huet, Droit de la communication numérique, LGDJ, coll.
Manuels, 2011.
• Benjamin Loveluck, Réseaux, libertés et contrôle, Armand Colin, 2015.
• Tim Wu, The Master Switch. The Rise and Fall of Information Empires, Knopf, 2010.
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MODULES du Semestre 4
Stage
Lors du stage, un problème est posé par un « client », qu’il faut résoudre par le droit
positif en vigueur, en ayant également recours aux connaissances des sciences du numérique
acquises dans le master. C’est la résolution de ce problème qui en est le travail principal.
Le stage (20 ECTS) de douze semaines minimum (mais le plus fréquemment de six
mois) s’effectue dans un cabinet d’avocats, une entreprise ou un organisme public. Les
qualités du maître de stages (côté entreprise) sont étudiées avec soin. Le tuteur (côté
université) entre en contact téléphonique avec le tuteur, suit le stage par courriels, et effectue
une visite sur place lorsque le stage est situé en Île-de-France. Le rapport d’une quarantaine
de pages décrit l’entreprise (et suivant l’importance de celle-ci, le service et le bureau), liste
les différentes missions abordées et en décrit une en détails : problématique, cahier des
charges, solutions choisies (en totale autonomie ou par choix imposé par l’entreprise), les
outils utilisés, la réalisation finale, la documentation produite et se termine par un résumé en
anglais. Le tuteur et le maître de stage remplissent un document de quatre pages sur la
progression du stagiaire lors de la visite à mi parcours, en présence du stagiaire, pour que ce
dernier prenne conscience de ses qualités et de ses faiblesses. Le rapport et la soutenance
devant un jury composé de trois personnes (maître de stage, tuteur, enseignant juriste ou
informaticien à l’opposé de la spécialité du tuteur) donne lieu à la note de stage, tenant
compte du travail effectué en entreprise, du rapport et de la soutenance.
Le responsable de la mention, et en fait tous les enseignants, conseille sur les
entreprises et organismes à contacter et diffuse les annonces spontanées. Le bureau des stages
de la Faculté de Droit s’occupe des retardataires. La convention de stage est formalisée au
niveau de l’UPEC (en portant une attention toute particulière à la gratification et aux
avantages accordés) avec signature obligatoire du doyen de la faculté de Droit et du
responsable de la mention.
Le stage peut être effectué à l’étranger. Le maître de stage doit pouvoir correspondre
en français ou en anglais avec le tuteur universitaire.
Mémoire professionnel
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Il existe de nombreuses brochures sur la façon de préparer un mémoire de master et
également quelques livres :
Second semestre
Troisième semestre
Systèmes d’information avancés : note de travaux dirigés (50 %) et examen terminal (50 %).
Fondements théoriques de la sécurité : un examen terminal.
Anglais : contrôle continu (50 % écrit et 50 % oral).
Procédures civiles et pénales : note de travaux dirigés et un examen terminal.
Droit des réseaux et de la communication : note de travaux dirigés et un examen terminal.
Programmation Web : note de travaux dirigés (50 %) et un examen terminal (50 %).
Dossier documentaire sur le cycle de conférences : rapport et soutenance.
Quatrième semestre
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