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L’Adoption
Partie III
ceux qui aiment Dieu, pour qu’Il puisse, dans l’âge à venir,
réunir toutes choses dans un seul Corps, c’est-à-dire Jésus-
Christ.
†‚ Permettez-moi de vous illustrer ça un peu, ici. C’est beau.
Nous faisons un retour en arrière, _ je crois que j’en ai touché
un mot l’autre soir, que j’en ai parlé, _ dans la Genèse,
chapitre 1, 1:26, quand Dieu S’est donné pour Nom “Eternel
Dieu”, c’est le mot El, Elah, Elohim, qui veut dire “Celui qui
existe par Lui-même”. Rien d’autre n’existait, il n’y avait que
Lui. Il n’y avait pas d’air, il n’y avait pas de lumière, il n’y
avait pas d’étoiles, il n’y avait pas de monde, il n’y avait rien
d’autre. Il y avait Dieu, et Dieu seul, El, Elah, Elohim. Et c’est
Lui qui a produit cela.
†ƒ A l’intérieur, là, Il avait des attributs, c’est-à-dire qu’Il
était un^A l’intérieur de ce grand El, Elah, Elohim, il y avait
un attribut ou une^Vous savez ce qu’est un attribut, ou, je
vais le dire comme ceci, il y avait une “nature”. Ça, c’est pour
que les petits comprennent, et moi, je suis un de ces petits qui
le comprennent seulement quand c’est exprimé comme ça. A
l’intérieur de Lui, il y avait la nature d’être un Père, mais Il
existe par Lui-même, il n’y a rien pour lui permettre d’être un
Père. Et, là à l’intérieur, il y avait autre chose, Il était Dieu. Et
un dieu, c’est un objet d’adoration; mais Il existait par Lui-
même, El, Elah, Elah, Elohim, alors il n’y avait rien qui puisse
L’adorer. A l’intérieur, Il était un Sauveur, et il n’y avait rien
de perdu, qui puisse être sauvé. Voyez? A l’intérieur, Il était un
Guérisseur, voyez, mais il n’y avait rien de malade, qui puisse
être guéri, rien qui puisse être malade. Maintenant, vous voyez
la situation? Alors, ce sont Ses attributs, c’est Sa nature qui a
produit ce qu’on a aujourd’hui.
†„ Il y a des gens qui disent½: “Eh bien, pourquoi est-ce que
Dieu n’a pas arrêté ça dès le début?” “C’est une brute cruelle”,
a dit Joe Lewis, celui qui a condamné Joe, ou, Jack Coe, voyez.
Il a dit½: “Il n’est rien d’autre qu’une brute cruelle. Dieu, ça
n’existe pas. S’Il existait, Il serait^” Oh, je^ Il L’a traité de
tous les noms, vous voyez. Mais tout ça, c’est parce qu’il a beau
avoir beaucoup de connaissance ici en haut, seulement il n’a
rien ici en bas.
†… Or, c’est, c’est là que ça se trouve. Voyez? La Parole le dit,
ici, et Il l’a caché. Et ces mystères ont été cachés, maintenant,
souvenez-vous, la Bible dit, “depuis la fondation du monde, en
attendant les manifestations des fils de Dieu”, qu’ils les
démontrent à l’église. Oh! la la! Vous saisissez?
†† Bon, j’arrête mon récit un peu, ou je vais^je vais prendre
ma prochaine réflexion pour faire ressortir ceci. Maintenant,
souvenez-vous, tout au long des âges, de celui de Moïse, de
l’âge des prophètes, de tous les âges, ils ont attendu ces
L’ADOPTION, PARTIE III 69
péché), pour que nous puissions devenir Lui (la justice). Voyez?
Il est devenu moi, pour que je puisse devenir Lui, vous voyez;
cohéritiers avec Lui. Très bien, maintenant, souvenez-vous-en,
c’est pour chacun d’entre vous.
ƒ„† Maintenant, souvenez-vous, Dieu vous a prédestinés, par
Sa prescience, comme quoi vous alliez arriver à Ceci. Est-ce
que tout le monde comprend, levez la main. Vous voyez, Dieu,
par Sa prescience, vous a prédestinés à arriver au Pays promis.
Pour le chrétien, aujourd’hui, le Pays promis, qu’est-ce que
c’est? Levez donc la main, si vous le savez. “La promesse est
pour vous, pour vos enfants et pour ceux qui sont au loin. Dans
les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur
toute chair, vos fils et vos filles.” Et dans Esaïe 28:18 : “Il faut
que ce soit précepte sur précepte, règle sur règle; un peu ici, un
peu là. Retenez ce qui est bon. Car c’est par des lèvres
balbutiantes et d’autres langues que Je parlerai à ce peuple. Et
voici le repos (le_le Repos), le pays du sabbat, dans lequel Je
leur ai dit qu’ils devaient entrer. Mais malgré tout ça, ils n’ont
pas voulu écouter, ils ont hoché la tête et se sont éloignés, ils
ont refusé d’écouter.” Voyez? Exactement.
ƒ„‡ Qu’en était-il? C’est exactement comme ces gens qui
avaient fait tout le trajet à partir de Canaan, ou, à partir de
l’Egypte, qui avaient fait tout le trajet dans le désert, et qui
étaient arrivés tout près, assez près pour goûter aux raisins qui
venaient du pays. Frère, voilà, ces hommes qui veulent que je
retire ce que j’ai dit, là, au sujet de Hébreux 6. Comment le
pourrais-je? Ceux-là, ce sont des croyants frontaliers, ils ne
traverseront jamais! Ils ne peuvent pas traverser. Jésus a
dit^
Ils disaient½: “Nos pères ont mangé la manne dans le
désert.”
ƒ„ˆ Et Jésus a dit½: “Ils sont tous morts.” C’est ça, séparés. Ils
sont tous morts. C’est exact. Il a dit½: “Mais Je suis le Pain de
Vie qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu. L’homme qui
mange de ce Pain ne mourra jamais. C’est exact. Oui monsieur,
il a la Vie Eternelle, s’il mange de Ceci. Je suis l’Arbre de Vie
qui était dans le jardin d’Eden.”
ƒ„‰ Donc, vous voyez, ces gens, ils viennent si près. Voyez, si
vous remarquez, dans Hébreux 6, on ne va pas revenir là-
dessus, mais dans Hébreux 6, “ces gens qui, une fois, ont eu
part au Saint-Esprit, qui sont venus si près, et qui ont goûté le
don Céleste”. Ils étaient assis là, ils ont vu des guérisons
s’accomplir, ils ont vu des gens revêtus de la puissance de Dieu,
ils ont vu des vies changées, mais eux, ils ne veulent pas
toucher à Cela. Non monsieur. Non monsieur. “Et qui ont
goûté la puissance du siècle à venir; et, s’ils devaient essayer
d’être encore renouvelés et amenés à la repentance,
L’ADOPTION, PARTIE III 85
ƒ†‡ Alors, ils l’ont amenée là. Et quand elle est repartie tout à
l’heure, elle était en paix. Qu’est-ce qu’il y a eu? Nous avons
envoyé une prière à sa rescousse. Amen! Elle était tellement^
ƒ†ˆ Ils disaient½: “Voulez-vous faire venir un médecin?” Ils
disaient à son mari½: “Voulez-vous faire venir un médecin?”
ƒ†‰ Il a dit½: “Un médecin ne peut rien faire pour elle.” Et c’est
vrai. Elle a perdu la raison; le médecin ne peut rien faire pour
elle.
Il a dit½: “Notre seul espoir, c’est de nous rendre là-bas.”
Et il a dit½: “Billy, je ne comprends pas ça.”
J’ai dit½: “Je ne m’attends pas à ce que tu comprennes, tu
vois. Je ne m’attends pas à ce que tu comprennes.”
ƒ†Š Mais, oh! la la! moi non plus, je ne le comprends pas! Non.
Mais, frère, le Dieu du Ciel^j’étais égaré, là-bas, une fois,
Quelque Chose est venu me chercher. Amen! Ce n’est pas parce
que j’ai voulu venir, mais c’est parce que Quelque Chose est
venu me chercher. En effet, avant la fondation du monde, Dieu
avait prédestiné, alléluia, que nous serions à Lui, pour Son
honneur et Sa gloire. Ecoutez! Ceux qu’Il a connus d’avance, Il
les a quoi? Appelés. Pas vrai? Est-ce qu’Il vous a appelés? Oui!
Pourquoi vous a-t-Il appelés? Il vous a connus d’avance. Ceux
qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés; ceux qu’Il a appelés, Il
les a justifiés. Pas vrai? Et ceux qu’Il a justifiés, Il les a
glorifiés! Amen! C’est ce que la Bible dit. Ceux qu’Il a connus
d’avance, Il les a appelés. Chaque génération! Ceux qu’Il a
appelés, Il les a déjà glorifiés. Qu’est-ce? Je vais lire le verset
ici. Bien.
Les ayant prédestinés dans son amour à être ses
enfants d’adoption par Jésus-Christ, selon Son propre
plaisir^
A la louange de Sa gloire^
ƒ†‹ Oh! saisissez-vous? A la louange de Sa gloire! Pour qu’Il
puisse être là, au cours des âges Eternels à venir, et que Ses
enfants s’écrient½: “Abba, Père! Abba, Père!”
ƒ‡‚ Et les Anges diront½: “De quoi parlent-ils? De quoi est-ce
qu’ils parlent?”
ƒ‡ƒ Nous en avons une image tellement belle dans le fils
prodigue. “J’étais perdu.” “Celui-ci est mon fils. Il était perdu,
et voici qu’il est retrouvé. Il était mort, et il est revenu à la vie.
Amenez le veau gras, la plus belle robe, un anneau, et mettez-
le-lui au doigt. Et nous allons^” Ce n’est pas étonnant que
les étoiles du matin chantaient ensemble, que les fils de Dieu
poussaient des cris de joie, quand ils ont vu le plan du salut,
Dieu, qui avait mis votre nom dans le Livre avant la fondation
du monde.
L’ADOPTION, PARTIE III 89
ƒ‡„ Bon, vous dites½: “Calvin croyait quelque chose comme ça.”
Moi, je n’ai pas cru à Calvin. Calvin, c’était un meurtrier.
Calvin a mis un homme à mort parce qu’il baptisait au Nom de
Jésus. C’était une canaille, il avait lui-même besoin d’être
converti. Oui monsieur. Mais ce qu’il a dit, au sujet de
certaines choses, ce qu’il a dit, c’était juste. Ne^ Mais ce
qu’il^ Son geste, un homme qui tuerait un homme pour
quelque chose comme ça, c’est horrible, c’est un péché. Bien.
Que Dieu a répandue abondamment sur nous^
ƒ‡… Oh, attendez, je n’ai pas parlé de l’½“adoption”, là, n’est-ce
pas? Est-ce qu’il est trop tard? Voyons un peu ce que dit
l’horloge, là, quelle heure il est. Très bien. Prenons
seulement_seulement dix minutes, pour ces gens qui sont
venus de si loin. Regardez. Regardez.
ƒ‡† “L’adoption”, je vais vous montrer pourquoi c’est fait, là.
Un père possède un grand royaume, et il fait ses tournées.
Voilà qu’un fils lui naît. Oh, il est tellement heureux! (Ça, c’est
Dieu.) Alors, vous savez ce que ce père fait? Il trouve le
meilleur éducateur, le meilleur précepteur. Vous savez ce
qu’est un précepteur, n’est-ce pas? C’est un maître d’école. Il
trouve le meilleur maître d’école qu’il puisse trouver dans tout
le pays. (Et là, nous y allons, maintenant, écoutez.) Il trouve le
meilleur maître d’école qu’il puisse trouver. Il ne choisira pas
une espèce de bon à rien, il veut que son fils soit quelqu’un de
vraiment très bien.
ƒ‡‡ Vous désirez la même chose pour vos enfants, n’est-ce pas?
Bien sûr, ce que vous pouvez leur offrir de mieux! Oui
monsieur. Alors, si l’homme naturel a pu penser comme ça,
qu’est-ce que vous pensez que Dieu pense, quand il est
question de Ses enfants à Lui? Ce qu’il a pu trouver de mieux.
ƒ‡ˆ Alors, il veut un homme qui sera honnête. Donc, il ne, un
homme^ne veut pas un homme qui dirait½: “Bon, écoute,
je_je^Junior, tu peux faire tout ce que tu veux, là, trésor.”
“Oh, oui, père, oui-oui, il va vraiment bien, c’est un brave
garçon.” Pour se faire passer la main dans le dos et recevoir
une plume à son chapeau. Non, non. Ce gars-là se ferait mettre
à la porte tout de suite. C’est sûr. Il veut un homme qui dira la
vérité. Si ce garçon va bien, dites-lui. S’il ne va pas bien, dites-
lui ce qui ne va pas.
ƒ‡‰ Et si un père terrestre a pu penser comme ça^Vous
voudriez que l’homme soit honnête avec vous, que le maître
d’école soit honnête au sujet de vos enfants, n’est-ce pas? Bien
sûr. Eh bien, qu’est-ce que vous pensez que Dieu en pense? Et
Lui, Il sait; nous, nous ne savons pas, mais Lui, oui. Nous
sommes limités, nous ne pouvons pas savoir. Mais Lui, Il est
infini, et Il sait.
90 LA PAROLE PARLÉE
ƒ‡Š Alors, vous savez ce que le Père a fait? Il n’a jamais dit½:
“Je vais prendre un pape pour veiller sur Mes enfants.” Et Il
n’a pas dit non plus½: “Je vais prendre un_un évêque.” Non,
non. Il n’a pas fait ça, parce qu’Il savait que le pape serait dans
l’erreur, et l’évêque aussi. Voyez? Il n’a jamais dit½: “Je vais
prendre un surveillant général pour veiller sur Mes églises.”
Non, non.
ƒ‡‹ Il a pris le Saint-Esprit. C’était Lui, Son Précepteur, oui,
pour élever Ses enfants. Bien. Alors, comment allez-vous savoir
que le Saint-Esprit sait? Il parle par des lèvres humaines.
Alors, comment allez-vous savoir s’Il dit la Vérité? Quand vous
voyez le Saint-Esprit parler par des lèvres qui disent l’exacte
Vérité chaque fois, qu’Il prédit des choses, et qu’elles arrivent
parfaitement, comme Samuel l’avait dit, alors vous savez que
c’est la Vérité. Ça se passe comme il faut. En effet, Dieu a dit½:
“S’il parle, et que ce qu’il dit n’arrive pas, ne l’écoutez pas,
parce que Je ne suis pas avec lui. Mais si la chose arrive, alors
écoutez-le, parce que Je suis avec lui.” Voyez? Voilà. C’est
comme ça qu’Il fait.
ƒˆ‚ Bon, donc, Il fait Ses tournées. Maintenant, qu’est-ce que
vous pensez que ce Précepteur en dirait, s’il Lui fallait aller
voir le Père pour Lui dire½: “Tes_Tes enfants se conduisent
d’une façon épouvantable. Je vais Te dire, Ton garçon, là, c’est,
hum, c’est un renégat. C’est un coquin, je n’ai jamais rien vu de
semblable! Oh! la la! Tu sais ce qu’il fait? Et Ta fille, là? Oh,
fiou, elle, je ne sais vraiment pas ce que Tu vas faire d’elle.
Hum! Eh bien, sais-Tu quoi? Elle a la même allure^ Elle est
toute maquillée, comme de ces filles qu’il y a là-bas, chez les
Philistins. Oui, Monsieur, elle veut agir exactement comme
elles.
_½Ma fille?
ƒˆƒ _½Oui, Ta fille.” Voilà ce que le Saint-Esprit a à dire de
l’église d’aujourd’hui. Ce n’est pas étonnant que nous
n’arrivions pas à avoir un réveil. Voyez? C’est vrai, ça.
“Et Ton fils? Hmm? Même chose.
_½Quoi?
ƒˆ„ _½Eh bien, Tu sais, Tu as toujours dit que les moutons
devaient être rassemblés dans le pâturage, là-haut, se nourrir
de la Nourriture à moutons qu’il y a là. Oui, et Tu sais ce qu’il
a fait? Il les a conduits en bas, là, dans ce tas de mauvaises
herbes. Il les a simplement conduits là-bas, et les a tous
abandonnés là, dans le ruisseau; il les a laissés là, dans ce tas
de mauvaises herbes, à manger cette espèce d’osier, et ils sont
tellement maigres qu’ils ont toutes les peines du monde à sortir
de là.” Ça, ce sont les évêques, les pasteurs, qui renient ce qui
en fait la Force. “Eh bien, Je vais Te dire la vérité, jamais de
Ma vie je n’ai vu une bande de moutons aussi agités.” Il n’aime
L’ADOPTION, PARTIE III 91
pas ça. Non. “Et, sais-Tu quoi? Le bétail, là, Tu sais, que
Tu_Tu leur as dit de nourrir de_de luzerne, là-bas, Tu sais,
pour qu’il soit bien engraissé?
_½Oui.
_½Sais-Tu ce qu’il leur donne?
_½Non.
ƒˆ… _½Des vieux chardons. Oui. Il les fait adhérer à des
sociétés, et tout. Tu n’as jamais rien vu de semblable, de Ta vie.
Tu n’as jamais vu une affaire pareille, de toute Ta vie. Tu sais
ce qu’il fait? Il se promène, là, en fumant son gros cigare, la
tête bien haute. Il a sa femme avec lui, elle porte des shorts,
exactement comme le font les Philistines, là-bas. Oui.” Voilà le
genre de message que le Saint-Esprit doit transmettre, au sujet
de l’église d’aujourd’hui. Maintenant, qu’est-ce que vous
pensez de ça?
ƒˆ† C’est l’adoption. Ce qu’Il^qu’est-ce qu’Il a fait? Il
nous_nous a prédestinés à être adoptés. Il nous a donné le
Saint-Esprit, mais, un instant, là, l’adoption, voilà de quoi
nous parlons. L’adoption!
ƒˆ‡ “Eh bien, Tu sais ce qu’il fait? L’évêque est venu l’autre
jour, et il lui a dit. Il faisait un petit service de guérison, là-bas,
et l’évêque est venu. Un homme, un frère était venu, et il priait
pour les malades. Et il a dit½: ‘Arrête ça!
_½Oh, oh oui, mon père l’évêque, c’est ce que je vais faire.
_½Que je ne te voie pas collaborer.
_½Oh, non, non, mon père l’évêque, bien sûr que non.’
ƒˆˆ “Et Moi, qui viens lui dire la Vérité, directement de Ta
Parole. Tu vois, C’est ici même. Je lui fais lecture de Tes lois,
exactement ce qu’il faut faire, et il refuse de les écouter. Il dit½:
‘Oh, ça, c’était pour un autre âge, pour un autre fils, à une
autre époque. Ce n’est pas pour moi.’” Et voilà. C’est la Vérité,
ça, mes amis. Maintenant vous devez bien voir pourquoi
l’église ne reçoit pas son placement, n’est-ce pas, pourquoi
nous n’avons pas de réveils, pourquoi nous n’avons pas de
grandes choses qui se produisent? C’est à cause de ça.
ƒˆ‰ Josué, il dit½: “Gad, je veux que tu^c’est ici même que se
trouve ta place, selon le plan, ta place, c’est ici, ici même. Viens
te mettre ici, Gad, et restes-y. Benjamin, toi, va juste là. Et
maintenant, tenez-vous tous loin de la frontière des Philistins.”
Josué revient, et ils sont tous de l’autre côté, chez les Philistins,
c’est la super-fiesta, ils sont là, en train de danser, comme ça,
et toutes les femmes sont maquillées, et ça danse partout, ça
fait la noce. Josué se gratte la tête, et il dit½: “Maintenant
qu’est-ce que je vais faire?” Or, c’est exactement ça qui se
passe; pas tous, Dieu merci, pas tous, mais il y en a trop comme
ça. Bien.
92 LA PAROLE PARLÉE
pour celui qui veut, qu’il vienne, qu’il vienne et qu’il voie ce
que la Bible dit.’ Tu vois? Et ils passent des moments vraiment
bénis là-bas.
ƒŠ‡ _½Oh, ça, c’est Mon fils! Ça, c’est Mon garçon. Eh bien,
trouves-Tu qu’il a atteint sa pleine maturité?
ƒŠˆ _½Oui. Assurément, dit le Saint-Esprit. Je l’ai mis à
l’épreuve. Oh! la la! Je l’ai éprouvé ici, Je l’ai éprouvé là. Je l’ai
ravagé par la maladie, Je l’ai démoralisé. Je l’ai piétiné, J’ai
laissé le diable lui faire tout ce qu’il pouvait, il s’est relevé
chaque fois. Il est venu quand même. Tu vois, il s’est relevé. Je
l’ai rendu malade. J’ai fait ceci. Je l’ai envoyé à l’hôpital. Je l’ai
emmené ici et J’ai fait ceci, et J’ai fait cela. J’ai monté sa
femme contre lui, J’ai monté ses voisins contre lui, J’ai tout
monté. Ça n’a absolument rien changé. Il a dit½: ‘Qu’Il me tue,
j’espérerai quand même en Lui.’ J’ai tué sa famille. J’ai pris
ceci, J’ai fait ceci, J’ai fait tout ça, fait ceci, cela et autre chose.
Encore là, il s’est relevé½: ‘Qu’Il me tue, je Le servirai quand
même! Il est à moi!’
ƒŠ‰ _½Oh! Eh bien, Je crois que Nous devrions le faire venir
quelque part, dans un petit lieu spécial, pour faire une
adoption.”
ƒŠŠ Maintenant, dans l’Ancien Testament, quand le père
comprenait que son fils avait atteint la maturité, qu’il avait été
mûri par les expériences, pour arriver à l’adoption. Pour
arriver à! Ils sont ses enfants à la naissance, mais
quand^déjà là, ils sont fils. Mais alors, ils ne seront jamais
rien de plus qu’un simple enfant, qu’un simple fils comme les
autres, tant qu’ils n’auront pas mûri et qu’ils n’auront pas
montré ce qu’ils sont. Et là, il le fait venir, à ce moment-là.
ƒŠ‹ Maintenant nous y sommes, église. Etes-vous prêts? Bon, il
est un peu tard, que tout le monde se morde le doigt, se serre la
conscience et s’empoigne le coeur, pendant une petite minute.
Voyez? Maintenant nous allons placer l’église. Donc, quand
l’église en arrive à ce point-là, Il dit½: “Manassé, ta place, c’est
ici. Ephraïm, toi, c’est ici.”
ƒ‹‚ Ensuite il le conduit dans un certain lieu, le père le conduit
là, et il le place à un endroit élevé, comme ceci, et il y a une
cérémonie, et tous sont là, autour. Alors il dit½: “Je veux que
tous sachent que celui-ci est mon enfant, et que j’adopte mon
fils. Et je veux que tous sachent que dorénavant son nom^ Je
le revêts d’un vêtement spécial. Et je veux que vous sachiez que
son nom sur un chèque est aussi valable que mon nom. Il est
mon enfant, je l’adopte dans ma famille, bien qu’il ait été mon
fils depuis sa naissance. Depuis qu’il a reçu le Saint-Esprit, il
est Mon fils. Mais maintenant, Je vais le placer en position
d’autorité. Celui qu’il renvoie est renvoyé, celui qu’il engage est
engagé.
96 LA PAROLE PARLÉE
ƒ‹ˆ Oh, c’est Soeur Scott, je crois, qui est assise ici. N’est-ce
pas vous qui étiez chez nous aujourd’hui? Il y a un
enseignement qui circule, quelque part dans le monde, dans
différentes régions du pays, j’en ai beaucoup entendu parler, et
selon lequel Jésus serait ici sur terre, qu’Il marche dans un
corps, qu’Il se présente là et fait telle chose. Ça, c’est un
mensonge! Son Saint-Esprit est ici, et Il cherche à placer Son
Eglise, à mettre Son Eglise en ordre, à la placer dans le Pays
promis, pour qu’ils puissent entrer^pour que tous les
ennemis en soient chassés.
ƒ‹‰ Manassé ne peut pas prendre possession de son terrain. Je
ne peux pas faire un service de guérison, alors que la moitié
de^alors que^ Je vais là-bas prêcher le baptême au Nom
de Jésus-Christ, et les_et les frères trinitaires disent½: “Oh, ce
n’est qu’un Jésus Seul.” Et je ne peux pas aller ici avec la
guérison Divine, alors que la moitié d’entre eux disent½: “La
guérison Divine, c’est très bien”, beaucoup d’entre eux
apprécient les miracles du Seigneur, mais ils disent½: “Eh bien,
je crois que Frère Branham est prophète, mais je vais vous
dire quelque chose. Tant que l’Esprit est sur lui, et qu’il
pratique le discernement, il est le serviteur du Seigneur. Mais
son Enseignement est pourri, Ça ne vaut rien.” A-t-on déjà
entendu pareilles sornettes? Ou bien c’est de Dieu, ou bien ce
n’est pas de Dieu. C’est exact. Ou bien c’est tout Dieu, ou bien
ce n’est pas Dieu du tout. C’est comme ça. Mais comment
faire? Manassé ne veut pas rester sur son terrain, Ephraïm ne
veut pas rester sur son terrain, Gad ne veut pas rester sur son
terrain, Benjamin ne veut pas rester sur son terrain, ils
partent tous en courant se joindre aux Philistins, et c’est tout
mélangé. Comment allons-nous recevoir notre placement?
Seulement nous sommes nés du Saint-Esprit, tous. Pas vrai?
Nous sommes nés en vue de quoi? Prédestinés^ Ensuite,
après que nous sommes nés, nous sommes prédestinés à
l’adoption, à être placés dans le Corps de Christ. Vous voyez
ce que je veux dire?
ƒ‹Š Le Corps de Christ, qu’est-ce que c’est? Les uns sont
apôtres, les autres sont prophètes, les autres sont docteurs, les
autres sont évangélistes, et les autres sont pasteurs. Pas vrai?
Nous sommes appelés à ça. D’autres ont des dons, les langues,
l’interprétation des langues, la sagesse, la connaissance, les
miracles, opérer des miracles, toute cette diversité de dons. Et
là, qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils les ont exercés un peu.
Comment? Ils laissent aller ça n’importe comment. L’un se lève,
il parle en langues, et l’autre se met à parler [Frère Branham
imite un son confus, de désordre._N.D.E.], même chose. Le
prédicateur est en train de prêcher, il fait un appel à l’autel, et
quelqu’un se lève, parle en langues½: “Alléluia, gloire à Dieu.”
Si jamais le_si jamais le prédicateur continue, parce qu’il est
98 LA PAROLE PARLÉE
du genre? Non, vous voyez, je n’ai jamais fait ça. Ai-je déjà fait
autre chose que de faire de mon mieux pour vous conduire à
Christ? Exactement.
„ƒ‰ Maintenant ils veulent me faire passer pour un télépathe,
vous savez, dire que je fais de la perception psychosensorielle.
Evidemment, il faut s’attendre à ce que ces choses-là arrivent,
la Bible l’a dit. De même que Jambrès et Jannès s’opposèrent à
Moïse; ils faisaient pratiquement la même chose que Moïse,
jusqu’à ce que l’épreuve de force arrive. C’est exact. Mais
souvenez-vous, Jambrès et Jannès ne pouvaient pas guérir. Ils
ne pouvaient pas guérir. Ils pouvaient faire venir des plaies,
mais ils ne pouvaient pas les ôter. Voyez? Bien. Or, c’est Dieu
qui est le Guérisseur. La Parole de Dieu reste la Vérité.
„ƒŠ J’ai essayé d’être honnête avec vous. J’ai essayé de vous
dire la Vérité. Je_je^pendant environ trente et un ans, je me
suis tenu en chaire ici, régulièrement, pendant trente et un ans,
et il se peut qu’un jour je parte pour aller dans la gloire, que je
quitte cette chaire. Il y a eu une épouse, une fille, un père, un
frère, qui ont tous été enterrés de l’autre côté, là-bas, et des
amis précieux. J’ai regardé leurs cercueils, avec les fleurs,
déposés ici. Et je sais qu’un jour le mien y sera aussi. Et c’est
vrai, ça. Mais, sincèrement, de tout mon coeur, je vous le dis, de
tout mon coeur, je crois que je vous ai prêché le véritable
Evangile du Seigneur Jésus-Christ. Je crois que chacun de vous
doit être baptisé au Nom de Jésus-Christ et recevoir le baptême
du Saint-Esprit. Et quand vous le ferez, vous y trouverez la
joie, la paix, la longanimité, la bénignité, la douceur, la bonté,
la patience, la foi.
„ƒ‹ Et l’autre jour, ce qui m’est arrivé ce matin-là, je ne sais
pas. Je ne peux pas encore dire, si j’étais ici dans mon corps et
que j’ai simplement eu une vision, ou si j’ai été enlevé d’ici et
emporté là-bas. Je ne sais pas, je ne pourrais pas dire. Tout ce
que je sais, c’est que je_j’avais toujours eu peur de la mort, du
petit lieu de la piqûre. Mais je n’avais pas peur que Jésus ne
vienne pas me chercher, là, je n’avais pas peur de ça, parce que
je_je ne craignais pas ça; mais de vous rencontrer et que vous
soyez seulement une espèce de petit nuage qui flotte dans l’air.
Mais maintenant je vois. Quand j’ai vu ces gens, ils étaient
réels.
„„‚ Si jamais un homme a représenté le pentecôtisme et a été
un vrai apôtre, c’est bien F. F. Bosworth, _ propre, honnête, le
véritable Evangile, vous voyez, _ c’est bien Frère Bosworth. Et
quand je l’ai serré dans mes bras, et que je me suis écrié½: “Mon
père! mon père! Chars d’Israël et leur cavalerie!”
„„ƒ Il a dit½: “Fiston, reste sur le champ de travail.” Il a dit½:
“Va là-bas, sur les champs de mission, avant certains des
jeunes, si tu peux, avant qu’ils y fassent entrer plein de
L’ADOPTION, PARTIE III 103
Ces Messages de Frère William Marrion Branham ont été prêchés en anglais,
au Branham Tabernacle, à Jeffersonville, Indiana, U.S.A. Tous les efforts
possibles ont été fournis afin de transcrire intégralement et avec précision
le Message verbal enregistré sur bande magnétique. La présente traduction
française de ces Messages a été publiée en 1993 par Voice of God Recordings.