Protozoaires - Métazoaires
Protozoaires - Métazoaires
Protozoaires - Métazoaires
I. Introduction :
1) Plan d'organisation :
→ protozoaires
organisme unicellulaire : organisme constitué d'une cellule totipotente (a tous le spouvoirs de la
vie : fonctions végétatives et de reproduction). Cet organisme est une cellule eucaryote.
métazoaires simples = parazoaires : -para : ce qui prépare à ; -zoaire : animal. Ils préparent donc à
l'animal et ne sont pas sortis de l'eau.
Il y a plusieurs modèles :
– diploblastiques : ce sont des animaux qui au cours du développement embryonnaire ne vont
pas au delà de la gastrula, il possède 2 feuillets (ecto et endoderme)
– pseudocoelomates : continuité du
développement embryonnaire de telle
manière que le mésoderme va venir
s'associer à l'endoderme. Entre le mésoderme et le mésoderme associé à l'endoderme il y a
apparition d'une cavité.
– Coelomate : le 3ème feuillet s'est lui même creusé. La cavité coelomique correspond à la
cavité de réception pour les organes. Chez les coelomate il y a 2 types de modèles. A partir
de l'orifice initial (blastopore) il y a 2 possibilités : soit il génère la bouche soit il génère
l'anus. L'appareil digestif et respiratoire sont ouverts, l'appareil sanguin est clos.
→ protostomien : la bouche se fait en premier
→ deutérostomien : l'anus se fait en premier
Les coelomates :
Eumollusques : vrais mollusque, parce que les mollusques sont des animaux à corps mous doté
d'une coquille externe ou interne. Arthropodes : animaux qui ont des pattes articulées. -arthron :
articulation.
Echinoderme : ne sont pas sorti du milieu aquatique. Ont des épines sur la peau. -echinos : épine.
Cordés : animaux qui ont acquis la chorde, baguette en position dorsale au dessus du tube digestif,
a donné la colonne vertébrale.
La biosphère :
C'est la sphère du vivant, elle est constituée de 2 compartiments :
– ensemble des organismes vivants
– matière organique non décomposée (protéines, glucides, lipides), la matière organique est
liée au vivant, sur la planète elle est toujours associée à des bactéries
Il faut savoir que les biologistes sont tributaires des avancées technologiques. Il y a une diversité
des milieux (ex : sources hydrothermales).
Le vivant :
L'unité fondamentale est la cellule. Il existe une exception avec des organes non vivants → les
virus. Ce sont des parasites intracellulaires, il ne sont vivants que dans une cellule et s'ils activent la
machinerie cellulaire pour la dériver.
La division cellulaire :
Organismes diploïdes à N chromosomes. Ils peuvent se diviser par la mitose, copie de la cellule elle
se multiplie par la division. Les cellules filles issues du processus sont identiques à la cellule mère.
Reproduction asexuée : division par mitose, les cellules issues de ce mécanisme sont
rigoureusement identiques à la cellule mère.
Le concept d'espèce :
espèce : ensemble des êtres vivants qui partagent et échangent naturellement la même information
génétique. Capable de générer des descendants viables qui eux mêmes seront capable de se
reproduire.
L'espèce est une catégorie taxonomique répondant à une réalité
biologique (la reproduction) notion de taxons. L'espèce est l'unité
de base utilisée pour la classification des organismes. La biosphère
comprendrait 2,5 millions d'espèces animales. L'espèce est
qualifiée par un nom vulgaire ou un nom latin (nom scientifique).
La dénomination scientifique est appelée nomenclature binomiale
(genre, espèce). Ex : cabillaud, gadus morhua
2) La classification phylogénétique :
Principe : les organismes sont classés selon leur parenté évolutive :
– recherche d'ancêtres communs (généalogie)
– recherche de liens de parenté entre les groupes (phylogénie)
. Le taxon des oiseaux et celui des reptiles sont apparentés par leur
ascendance commune au taxon des archosaures. Le critère
morpho-anatomique de convergence phylogénétique : écaille –
plume. L'écaille et la plume sont constitués de la même protéine
qui est la quétaine.
II. Les protozoaires
→ Organites cellulaires :
– noyau
– mitochondrie
– appareil de Golgi
– RE
– vésicules intracytoplasmiques (peroxysome, lysosome)
– cytosquelette
– centrioles (point d'ancrage du cytosquelette)
– les corps basaux (blépharoplastes, cinétosomes)
→ Organites spécialisés :
– l'axostyle : -style : point. Organite ayant une forme de pointe qui détermine l'axe de la
cellule
– vacuoles pulsatiles : vivant dans le milieu aquatique, servent à maintenir une pression
osmotique
. Le Typanosome gambiense est un parasite. Il ne pénètre pas à l’intérieur des globules rouges : il
reste circulant. Cet organisme est un parasite redoutable : il circule rapidement dans un milieu
encombré tel que le sang qui contient plein de cellules. Il a la capacité de se déformer. Un parasite
redoutable se déplace vite et se reproduit vite. C’est une cellule eucaryote comme elle possède un
noyau. En revanche, l’axostyle est un organite en sorte de baguette intracellulaire qui a une forme
de pointe et qui détermine un axe dans la cellule, il détermine une séparation dans la cellule. C’est
un axe pointu. Exemple : chez les vertébrés, l’appareil digestif détermine aussi un axe : au-dessus,
on dit « partie dorsale » et en-dessous, on dit « partie ventrale ».
Principales caractéristiques :
Ces organismes se déplacent grâce à la présence d’un ou plusieurs flagelles qui
assurent la locomotion de la cellule. Ils ont un mouvement d’hélice/ mouvement
hélicoïdal (en 3 dimensions dans l’espace). Ce mouvement est très différent de celui
fait par les cils car ce dernier est fait en 2 dimensions. Ce mouvement en 3D est très
rapide. La reproduction peut être asexuée ou sexuée. La reproduction asexuée est
basée sur la mitose (= division cellulaire/processus conservatoire) et la reproduction
sexuée est basée sur la méiose (= fusion à la fin des gamètes ou des noyaux). La
reproduction sexuée est un mécanisme qui génère de la biodiversité.
Caractéristiques écologiques :
Parasitisme : association entre deux organismes mais c’est une association parasite pour
l’organisme hôte.
– Trichomonas vagilis → espèce humaine
– Tryponosoma gambiense → espèce humaine
– Opalinina ranarum → batraciens
Symbiose : on a des organismes qui peuvent être aussi symbioses. La symbiose est une association
bénéfique pour les deux organismes.
– Trichonympha agilis → termites : les termites se nourrissent de glucose. Pour utiliser la
cellulose, il faut avoir l’enzyme « cellulase », présente dans le tube digestif des termites
dégrade le bois. Sans la cellulase des Trichonympha agilis, les termites n’auraient pas de
cellulase et ne pourraient pas dégrader le bois.
Autotrophie - hétérotrophie
Les protophytes sont des organismes à affinité végétale.
Les euglènes sont des protophytes : ils sont autotrophes pour le carbone. Ils sont capables d’utiliser
le CO2 atmosphérique pour le transformer en sucre grâce à l’énergie de la lumière. Mais quand les
euglènes se retrouvent dans un milieu sans lumière : ils perdent de manière irréversible les
chloroplastes. Ainsi, les euglènes n’ont plus de chloroplastes, ils deviennent hétérotrophes du
carbone : ils utilisent le carbone. Chez les organismes unicellulaires, le basculement entre le monde
animal et le monde végétal peut se faire en fonction des variations.
Une fois chez l’homme : le trypanosome se multiplie dans le sang sans pénétrer dans les globules
rouges et pénètre dans les ganglions lymphatiques où il s’y multiplie également. Une fois dans les
ganglions lymphatiques, il passe dans le système nerveux central et la diffusion commence. Ainsi,
la maladie du sommeil apparaît.
Pour prévenir :
– Il faut dormir avec une moustiquaire
– Il faut éviter de dormir près des zones où il y a des eaux stagnantes
Le trypanosome existe sous deux formes : une forme non infectante qui correspond à la forme qui
se multiplie dans l’appareil digestif de la mouche tsé-tsé. Ensuite, on a la forme infectante qui se
multiplie dans le sang et les ganglions lymphatiques de l’homme. La forme non infectante s’appelle
épimastigotes (étapes 5 à 6). Une fois migré dans les glandes salivaires de la mouche : on a la
forme infectante qui est appelée les trypomastigotes (étapes 4 à 7). Ils sont aussi infectants chez
l’homme mais on les appelle les trypomastigotes sanguicoles car ils sont dans le sang (étapes 1 à
3).
La chitine est le constituent majeur de la coque des crabes des arthropodes. Le carbonate de
calcium est le calcaire. Les Amoebozoaires sont responsables des pseudopodes qui servent à
l’organisme à se déplacer. La formation de pseudopodes (lobés, filiformes, réticulés) servant à la
locomotion (mouvement amibien) et à la nutrition, la principale caractéristique des Amoebozoaires.
On trouve les Amoebozoaires dans des milieux liquides ou solides riches en matières organiques
(rivières polluées, boues, vasières) ou dans des milieux gorgés d’eau. Les amibes présentes dans
l’eau peuvent être parasites de l’être humain
La reproduction est une reproduction asexuée ou sexuée.
Principales caractéristiques :
Le Cilié est un organisme unicellulaire se caractérisant par la présence de cils
vibratoires et de 2 noyaux : Macronucleus (= macronoyau) et Micronucleus (=
micronoyau) (= constitution de l’appareil nucléaire). Ils ont une ciliature qui fait
tout le tour de la cellule (ou pas chez d’autres organismes). Ces organismes ont
deux noyaux : noyaux Macronucleus ou Micronucleus.
Le Micronucleus est le seul à être impliqué dans la reproduction sexuée entre les
ciliés. Lorsque les ciliés vont se reproduire de manière sexuée, il n’y a pas
d’échange de gamètes. Lorsqu’il y a conjugaison, il y a échange de noyaux haploïdes : les
micronucleus. On a ensuite le rétablissement de la diploïdie. Chaque noyau qui s’échange entre les
deux organites, il y en a qu’un seul qui va s’associer au micronucleus pour n’en faire qu’un.
La reproduction asexuée est basée sur une mitose et pour ces organismes, cette division se fait
transversalement.
Quel que soit le groupe que l'on évoque, les protozoaires sont inféodés/dépendent du milieu
aquatique :
→ Ecologie :
– eaux douces
– eaux saumâtres
– eaux marines
– parasites
– symbiotes (panse des ruminants)
Autres particularités : Vacuoles pulsatiles pour le maintien de la pression osmotique. Les deux
vacuoles pulsatiles fonctionnent de façon asynchrone.
Cet animal dispose d’organites de défense qui correspondent à des lances cellulaires : les
Trichocystes.
. L’opération de nutrition est basée sur l’association d’organites qui sont les trichocystes, le
cytopharynx, la vésicule digestive primaire, la vésicule digestive secondaire, … Les trichocystes
neutralisent la proie/l’aliment. Les cils amènent ensuite cette proie/cet aliment jusqu’au péristome.
L’aliment est ensuite ingéré par le cytostome et ensuite il est transféré dans le cytopharynx. Puis on
a les vésicules digestives et l’élimination par le cytoprocte. La phase de nutrition est faite par des
organites qui vont le faire de façon séquentielle. Aux deux pôles de la cellule, on a les
vacuoles/vésicules pulsatileselles ont un mouvement asynchrone : quand l’une est contractée,
l’autre est dilatée.
Chaque organisme doit réaliser des fonctions vitales. Au niveau des ciliés :
– La locomotion est basée sur le fonctionnement des cils
– La nutrition (Prise alimentaire, Digestion, Excrétion)
– La reproduction (asexuée, sexuée)
La locomotion :
L’ultrastructure du cil est différente sur la partie du cil qui sort de la membrane cellulaire (= partie
mise en mouvement) de la partie du cil qui sert à ancrer (cinétosome) dans la membrane cellulaire.
Le cil peut se décomposer en deux parties : partie extérieure pour le mouvement et partie interne
pour la fixation du cil :
– la partie externe est constituée de tubules sont constitués de protéines : les tubulines
appelées (tubuline α et β). Dans la partie extérieure, les tubules fonctionnent par paire : on a
des tubules centraux qui correspond à une paire du tubules (= la paire de tubules
centraux). Ces tubules centraux sont entourés d’autres tubules de même nature et organisés
en paire. Ils sont donc à la périphérie des tubules centraux et ils sont appelés tubules
périphériques : il y a 9 paires de tubules périphériques.
Les dynéines sont associées à ces tubules : protéines associées à des ATPase (cette enzyme
hydrolyse l’ATP, elle casse une des liaisons de l’ATP et elle libère l’énergie qui sera utilisée pour le
mouvement des tubules).
. Les ciliés sont sensibles aux variations de champ électrique, électrotactisme : ils fuient les milieux
où il y a un grand champ électrique. Un champ électrique est lié aux différences entres champs
négatifs et champs positifs. Les ciliés vont fuir les milieux à fortes concentrations d’ions positifs et
d’ions négatifs.
La nutrition :
Au niveau du trichocyste, on a des alvéoles qui permettent à la membrane plasmique de s’écarter et
au dard de sortir pour neutraliser la proie. La nutrition correspond à la capture des particules
alimentaires au niveau du péristome. On a ensuite un transfert au niveau du cytostome et du
cytopharynx. Après il y a formation d’une vacuole digestive primaire, fusion de la vdp avec les
lysosomes et enfin l’excrétion des déchets des vd au niveau du cytoprocte.
Le mécanisme :
– Phase 1 : Divisions par mitose des noyaux → caryocinèse : division du macronucleus et du
micronucleus par mitose.Une fois que le matériel génétique est copié, le reste de la cellule
est divisé dans le sens de la largeur.
. L’accouplement chez les ciliés est une association en paire (2 types sexuels complémentaires). La
deuxième étape est la formation de noyaux haploïdes. La troisième étape correspond à la fusion
qui rétablit la diploïdie au niveau de chaque conjuguant. Le noyau diploïde est différent du noyau
diploïde initial.
. Le contact initial, la fusion/l’association entre les deux partenaires se fait via le péristome, via le
sillon oral. Une fois que les ciliés sont appariés, les macronucleus dégénèrent. Chaque
micronucleus subit une méiose. Chaque micronucleus produit 4 micronucleis haploïdes. Cependant
il y en a 3 qui dégénèrent. Celui qui reste se dédouble par mitose, il donne deux micronucléis
haploïdes. Dans chaque partenaire, j’ai deux micronucleis. Chaque conjuguant récupère un
micronucleus qui vient de son partenaire. Les deux micronucleis haploïdes (un qui est resté et
l’autre venant de l’autre conjuguant) de chaque conjuguant vont fusionner pour devenir un
micronucleus diploïde. Le micronucleus diploïde va continuer à se diviser par mitose : on va avoir
de très nombreux micronucleus mais il n’en restera qu’un à la fin. Les ciliés dépensent beaucoup
d’énergie par reproduction sexuée. La reproduction sexuée est une reproduction de secours.
Déterminisme de la reproduction :
La reproduction sexuée par conjugaison est un mécanisme de défense des organismes : il se
produit lors de conditions défavorables ou du vieillissement de la population.
Quand tout va bien (O2, nourriturre abondante), on utilise la reproduction asexuée.
III. Les métazoaires simples
Chez les métazoaires, la cellule se spécialise. Les métazoaires sont des organismes pluricellulaires.
Chez les métazoaires on distingue :
→ métazoaires simples : les placozoaires (= animaux marins constitués de deux couches
cellulaires aplatis), les cnidaires (= animaux urticants), les spongiaires.
– Les animaux diblastiques ont arrêté leur développement à la mise en place de deux feuillets
cellulaires : ectoderme, feuillet externe et endoderme, feuillet interne.
. Les cellules constituent un tissu. Ces organismes ont donc acquis une organisation
tissulaire mais ils ne sont pas allés au-delà de la gastrula. Lorsqu’il y a reproduction
sexuée, on a production d’une cellule diploïde (= cellule
œuf, l’embryogenèse). Cette cellule œuf va se diviser par
mitose rapide, c’est la segmentation. Cela va créer un
amas cellulaire qui va ressembler à une mûre et cela
s’appelle une morula. Cette morula continue à se diviser
rapidement. Petit à petit les cellules commencent à
s’organiser en feuillets cellulaires. Elles forment un
feuillet fermé qui aboutit à la blastula. Une fois ce
feuillet fermé, on a la formation d’un tube. Puis on a la
gastrulation : la base de la blastula va s’internaliser à
l’intérieur de la cavité. Le feuillet vert enfoncé dans la
cavité porte le nom d’endoderme (= feuillet à l’intérieur,
futur tube digestif) et le feuillet bleu correspond à
l’ectoderme. L’orifice produit à l’intérieur de la gastrula
s’appelle le blastopore qui donnera chez les diblastiques
un orifice unique qui fera office de bouche et d’anus.
Les placozoaires :
Métazoaires simples du type parazoaire
Ce sont des organismes pluricellulaires, du phylum des eucaryotes et
du clade des placozoaires. Il y a une seule espèce qui s’appelle leTrichoplax adhaerens. C’est un
organisme marin de 1 à 2 mm en forme de disque. Le corps est constitué d’une couche dorsale et
d’une couche ventrale de cellules ciliées.
Les spongiaires :
On a la mise en place de la spécialisation cellulaire mais ne repose pas sur une
lame basale, cela fait que ces organismes n’ont pas réellement produits de
tissus. Ce sont des organismes pluricellulaires. Ils appartiennent au phylum
eucaryote, du clade des démosponges. On distingue les éponges
hexactinellides et les éponges calcaires.
L’éponge doit pousser sur un support, ce sont donc des organismes animaux qui ne sont pas dotés de
la capacité à se mouvoir. Les éponges sont des proies faciles pour les prédateurs. Donc ce sont les
seuls organismes qui sont capables de produire des molécules qui sont capable de se défendre vis-à-
vis des prédateurs.
Principales caractéristiques :
Ce sont des animaux fixés principalement filtreurs, ils se nourrissent par filtration de l’eau de mer
chargée de microorganismes, de microalgues et de débris alimentaires. Il y a 8.000 espèces marines
et 100 espèces dulçaquicoles (en eaux douces).
Ce sont des organismes anatomiques rudimentaires : une enveloppe extérieure et une enveloppe
intérieure. L’endoderme est appelé choanoderme car il est constitué de choanocytes. Ce sont des
organismes qui sont le résultat de plusieurs organismes (choanoflagéllés). Ça n’est donc pas le
résultat d’une reproduction sexuée. On retrouve l’enveloppe externe : l’ectoderme. Le spongocoele
est la cavité gastrique des éponges, il y a un orifice qui porte le nom d’oscule. L’éponge tient
debout sur son support appelé spicule.
- leucon : la cavité gastrique est très réduite, l'ectoderme a pénétré à l'intérieur de cette
cavité gastrique. Les chambres chanocytaires se sont regroupées entre elles pour former des
vésicules cad des structure fermées alimentées par des canaux aquifères (canal qui porte
l'eau).
- sycon : les choanocytes sont regroupés pour former des chambres choanocytaires, cela
forme des corbeilles vibratiles
- leucon : le seul contact avec la cavité gastrique se fait par les canaux aquifères
Les différents types de spicules (élements de soutient) :
- monactine : une seule pointe
- tricatine : 3 pointes
- tétractine : 4 pointes, port léger
Les différents types cellulaires chez les éponges. Il y a 5 types de cellules spécialisées mais ne
constituants pas de tissus :
Les cnidaires :
Lorsque l’on parlera de méduses cela fera référence à un mode de vie. -cnidos : ortie. Ce sont donc
des animaux qui ont la capacité d’inoculer un liquide piquant, urticant, paralysant ou mortel.
Les cnidaires sont retrouvés sous forme pélagique (libre en plumeau = méduse) ou sous forme
benthique (fixé au fond = polype). Ce sont des organismes pluricellulaires diploblastiques.
Le phylum est eucaryote et le clade appartient aux cnidaires. (Anthozoaires : anémones polypes,
Hydrozoaires : polype, Scyphozoaires : polype ou méduse…)
Modes de vie :
– Fixés (Forme polype)
– Libres (Forme méduse)
Les tentacules :
Un organe de défense et de capture des proies. Elles se caractérisent par
des petites boursouflures dues aux cnidoblastes. Les cnidoblastes qui, en
action seront ceux qui ont un filament urticant.
Le cnidoblaste : une cellule urticante spécifique des cnidaires, pécialisée
dans l’attaque et la défense. Il est internalisé dans un compartiment : le
cnidocyste. Il y a un filament replié, fermé à son sommet par un
couvercle appelé opercule, le cnidocil est la membrane qui s’est
déformée.
Tous les cnidoblastes sont mobilisés lors de l’arrivée d’une proie. Le
filament est constitué à sa surface de crochets qui vont attaquer la cible.
Le filament à son extrémité a un orifice, il est donc percé. C’est à travers
ce filmant qu’est éjecté le liquide urticant.
La reproduction :
La reproduction sexuée est basée sur la production de cellules sexuelles. Il y a donc des cnidaires
mâles et des cnidaires femelles. Les mâles sont les gonophores mâles (beaucoup de cellules), ils
produisent des spermatozoïdes. Les gonophores femelles produisent l’ovule (1 seule cellule). La
reproduction asexuée se fait par bourgeonnent : excroissance à partir du corps de l’hydre. Elle va
se différenciée et atteindre différents organes. Le résultat sera une cellule œuf qui va se développer
jusqu'à donner une larve planula. Il y a 2 types de larves : la larve planula (reproduction sexuée) et
l'ephyrula (reproduction asexuée).
a)
1- gonade
2- tentacules
3- rhopalies
4- taenioles
5- bras péribuccaux 6- cavité gastrale
b)
7- fossette chimioréceptrice
11- zone photoréceptrice
12- zone d'équilibration
- La locomotion
Les principaux types tissulaires :
(Ectoderme, Endoderme, début de la spécialisation tissulaire)
a) acoelomate
b) pseudo-coelomate
c) coelomate
1- ectoderme
2- endoderme
3- coelome
4- somatopleure
5- splanchnopleure
6- mésentère
7- pseudocoelome
→ pour le coelomate : entre l'ectoderme et l'endoderme on a le mésoderme qui est creusé de deux
larges cavités qui est délimité par deux mb. Ces mb sont appelées : somatopleure (vient du grec
-somato : mb tournées vers l'extérieur) et splanchnofleure ou splanchnopleure (en grec
-splancho : viscères: mb tournées vers l'intérieur)
. Les acoelomates correspondent à des vers plats → plathelminthes et les pseudo coelomate
correspondent aux vers ronds → némathelminthes.
L'évolution des cœlomates : protostomiens – deutérostomiens :
1- ectoderme
2- endoderme
3- mésoderme
4- coelome
5- archenteron
6- blastopore (bouche)
7- blastopore (anus)
. Les triblastiques coelomates ont un orifice original qu'on appelle le blastopore qui peut avoir deux
destinées différentes : la bouche ou l'anus. On a donc la lignée des protostomiens et des
deutérostomiens. La base de la blastula rentre à l'intérieur de la cavité qui a pour conséquence la
production de l'endoderme et la production de l'orifice qui est la blastopore qui devient soit un anus
dans le cas des deutérostomien soit une bouche pour les protostomiens.
– eumollusques sont des animaux qui ont un corps mou et qui sont garnis de coquilles sauf
les limaces. Ils ont un corps non métamérisé.
– épineuriens ont un système nerveux en position. Ils ont développé une structure particulière
appelée la chorde qui est au-dessus du système digestif.
Chez les vertébrés la chorde s’est transformée en colonne vertébrale. On retrouve les vertébrés, les
céphalocordés et les urocordés.
A partir des vers plats, on peut distinguer deux parties : une partie antérieure appelée la tête et une
partie postérieure appelée la partie caudale.
Les plathelminthes :
(Acquisition de la symétrie bilatérale et de l'organisation organes-appareils)
Le Fascioala hepatica est un parasite : il a une ventouse au niveau de la tête qui
permet de s’accrocher. Le plan d’organisation de cet animal est Triblastique
acoelomate. Classification Phylogénétique. Phylum :Eucaryote. Clades :
Plathelminthes ou Rhapditophores. La plupart de ces vers sont des parasites mais il existe une
catégorie qui n’est pas parasite, qui vit libre dans le milieu et elle est appelée les Turbellariés.
Principales caractéristiques :
Les embryons se développent au-delà de la gastrula. Le Blastopore est à l’origine de la bouche. Ce
ne sont pas des Protostomiens (produisent la bouche en premier) car ils n’ont pas d’anus. Ces
animaux n’ont pas de cavité corporelle : ils possèdent uniquement la cavité gastrique. Le
mésoderme donne un tissu de remplissage appelé le mésenchyme : les organes n’ont pas de liberté.
La tête possède un centre de coordination constitué de deux embryons appelée ganglions
cérébroïdes et de deux organes sensoriels qui correspondent aux yeux.
C’est le seul animal qui est capable de régénérer la tête quand on lui coupe la tête.
Certains parasites sont des vertébrés. On peut retrouver ces animaux au-delà du cercle polaire et
dans les milieux tropicaux (de -50 à 47°C). Ce sont des animaux carnivores ou détritivores : ils se
nourrissent de viande et de chair. Ils ont un mode de reproduction sexuée particulier : ils sont
hermaphrodites. Pour les parasites on a un mode de reproduction asexuée car ils libèrent des
anneaux.
Les planaires :
1- dendrocoelum lacteum
2- polycoelis felina
3- gugesia lugubris
4- dugesia gonocephela
Les Planaires sont des petits vers de 1 à 2 cm au corps très aplatis vivant dans les ruisseaux, étangs,
mais également en milieu marin ou terrestre.
Leur bouche n’est pas au niveau de la tête mais plutôt au niveau du ventre. L’intestin est une
impasse car il ne débouche pas sur un anus.
Autres caractéristiques :
– L’excrétion est réalisée via un appareil excréteur ou appareil protonéphridien.
– Ils sont constitués de cellules flammes qui servent à mettre en mouvement des tubes.
– La locomotion est assurée via des contractions musculaires et par les cils.
– Les fonctions sensorielles sont assurées par des cordons nerveux et des yeux constitués
d’une cupule de cellules pigmentaires et de cellules rétiniennes photosensibles. Dans les
yeux il y a un épiderme transparent (la lumière passe à travers), la lumière se réfléchi sur
une cupule = cupule réfléchissante, la lumière réfléchit va être récupérée par les cellules
rétiniennes qui constituent la rétine.
– La reproduction est sexuée, chaque individu est hermaphrodite (présence d’un appareil
génital mâle et d’un appareil génital femelle). La cellule œuf sera entourée de cellules
vitellines qui apportent des nutriments à la cellule œuf qui se divise.
– Un cocon chitineux (Œuf fécondé + cellules vitellines) est expulsé dans le milieu via le
pore génital.
. Il est composé des cellules flammes, des tubes collecteurs et des pores excréteurs. Les cellules
flammes disposent de filaments ou flagelles. Le mouvement de ces flagelles permet de faire circuler
les déchets à travers le tube collecteur. Ces déchets seront exportés à l’extérieur de l’animal qu’on
appelle pore excréteur.
1- protonéphridie
2- tube collecteur longitudinal
3- pores excréteurs
4- cellules protonéphridiales
5- flamme vibratile
6- lumière canal collecteur
. L’appareil est dédoublé de chaque côté de l’animale et fait toute sa longueur. On aura 2 cellules
flammes, 2 tubes collecteur et des pores excréteurs.
. Cet animal est un super parasite car il est plat et peu pénétrer partout, il se fixe une fois à
l’intérieur de son hôte. Il peut aussi résister aux enzymes de l’estomac de l’hôte car sa peau est
particulière. Les cellules épithéliales ont fusionné entre elles, c’est un continuum tissulaire quasi
hermétique. C’est un épithélium syncitial. Tégument très différent des planaires car adapté au
mode de vie de l’animal à savoir le parasitisme (cycle Hétéroxène)
1) Un épithélium syncitial avec une couche externe anuclée ; une couche moyenne avec
myofibrilles et une couche interne nuclée
a- miracidium
b- jeune sporocyste
c- sporocyste âgé
d- cercaires entourés de mucus
e- cercaire
f- adulte
. Dans chaque hôte il y a une partie du cycle du développement de la douve. Chez le mouton la
douve est présente sous a forme adulte. Au sein de l’escargot il y a aura le développement de l’œuf :
larve miracidium. Elle va évoluer en stade sporocyste jeune et stade sporocyste âgé. Cela
donnera une jeune larve : la cercaire. Il va s’associer à d’autres cercaires pour former des
métacercaires. Chez la fourmi on aura uniquement le stade cercaire.
Principale caractéristiques :
. Le corps est segmenté en unités anatomiques les unes à la suite des autres. Ce sont les métamères.
Présence d’un centre nerveux à fonction coordonnatrice et hormonale. Il y a présence d’un
prostonium. Les animaux au niveau de la tête auront un lobe qui est en avant de la bouche, c’est
dans ce lobe que l’on va retrouver le cerveau. Chaîne ganglionnaire ventrale traverse tout le corps
(hyponeuriens). La chaîne est constituée de nerfs et possédant des ganglions. Appareil circulatoire
clos. Tube digestif complet et différencié. Appareil excréteur métamérisé (métanéphridies)
sont parcourus par des ganglions. C’est donc un système nerveux ganglionnaire.
. Le tube digestif parcourt l’intégralité de l’animal, il traverse tous les métamères. Le dissépiment
est une cloison ouverte. Au travers des métamères circulent 2 vaisseaux : vaisseau ventral et
vaisseau dorsal. La néphridie est à cheval sur 2 métamères et porte le nom de métanéphridie. Un
pore collecteur est sur une néphridie et l’autre pore sur l’autre néphridie.
Dans les vieux livres de médecine on préconisait les sangsues pour faire des
saignées et éliminer les sangsues.
Mouvements péristaltiques :
Un oligochète se déplace par mouvement péristaltique,
c’est une succession de petits sauts.
On a affaire à une reproduction sexuée avec sexes séparés. Il peut se transformer pour se
reproduire très rapidement, peut passer d’un stade à un autre stade pour avoir plus de chance de
trouver un ou une partenaire.
Chez certaines Néreis (phase normal) modifications morphologiques et physiologiques de l’animal
préalablement à la reproduction : forme hétéronéreis. Il commence par modifier son mode de vie.
Modifications de comportement :
– néréis : benthique
– hétéronéréis : pélagique, on dit qu'il fait de l'essaimage
Il y a 2 régions :
– neuropode : région la plus basse, proche du système nerveux
– notopode : région haute
. Les prolongements, dilatations du parapode très fines sont appelées cires. Il y a une cire ventrale
et une cire dorsale. Entre les 2 cires il y a des dilatations plus grosses. Ici il y aura l’implantation
des filaments de soie. Les filaments de soie sont associés à des muscles transversaux aussi
associés aux parapodes. Ils permettent de faire bouger les parapodes donc les filaments de soie.
C’est la cuticule.
Modifications morphologiques des parapodes chez l'hétéronéréis :
Ac : acicule
Nt : notopode
Nr : neuropode
S: soie.c’est
EF : expansion foliacée
. Les dilatations sous la forme épitoque va augmenter de volume et le nombre de filaments de soie
va aussi augmenter. Les filaments de soie vont avoir une forme de soie-natatoire.
Eumollusque – euarthropodes :
. Les métazoaires complexes sont des triblastiques
. Les mollusques correspondent à un groupe d’évolution très intéressant. Ce sont des animaux qui
se caractérisent par un corps mou comme les vers par exemple. Ils se distinguent des autres par la
sécrétion à partir de leur corps mou d’une coquille.
Ex : La larve est un mollusque qui à partir de son évolution a perdu la capacité de générer sa
coquille.
. Les mollusques sont des animaux pluricellulaires, triblastiques (= le 3ème feuillet est le
cœlome) et coelomates. Les mollusques appartiennent à la lignée des eucaryotes et au groupe des
eumollusques. Les mollusques sont des animaux très anciens. Ils correspondent à un ensemble très
hétérogène. Ces organismes sont issus d’un ancêtre commun appelé l’Archétype. On a recensé
130.000 espèces mais il y en a 40 000 qui n’existent plus.
. La masse viscérale (= appareil digestif, appareil respiratoire, appareil circulatoire) est contenu
dans une cavité qui est la cavité cœlomique appelée la cavité palléale.
. Ils vivent dans les milieux marins, dans les eaux douces (= organisme dulcicole) et en milieu
terrestre. La reproduction est sexuée. On a quelques cas d’hermaphrodites. Le zygote donne
naissance à une larve qui peut être soit une larve trochophore (= larve nageuse et transparente),
soit une larve véligère (= la forme de la larve à un moment donné fait penser à une voile comme la
larve de l’huitre).
. L’ancêtre commun à tous les mollusques est l’Archétype. Il possède une coquille externe. Il a un
corps composé de 3 parties : une tête, un manteau et un corps. Le pied est dit pied ventral car il est
au-dessous du tube digestif. Il dispose aussi de cils : cette masse musculeuse ciliée lui sert à se
déplacer.
Les palpes servent à récupérer les micro-algues. Ensuite, la bouche va récupérer les micro-algues
puis elle va les transférer à l’estomac qui va les digérer. L’estomac est boursouflé car il est
constitué de diverticules digestifs. On a ensuite un intestin très replié. A proximité du muscle
adducteur, on a le cœur.
. Les Arthropodes sont des animaux pluricellulaire, tribalstiques et coelomates. Ils ont
comme lignée évolutive les eucaryotes et le clade correspond aux euarthropodes.
. Certains arthroprodes ont des antennes (= antennates). Ceux qui n’en ont pas correspondent aux
chelicérates.
Principales caractéristiques :
– les arthropodes correspondent à 1 million d’espèces (ce sont les plus nombreux). On trouve
des Arthropodes partout
– ils se caractérisent par la présence de pattes articulées et par la présence d’un exosquelette
(squelette d’extérieur). Chez les humains, le squelette est un endosquelette. Quand
l’animal grandit, il va devoir se débarrasser de sa carapace donc l’exosquelette est à
l’origine de la croissance discontinue (= la carapace ne peut pas grandir avant le corps). Ce
processus s’appelle la Mue.
– le carapace est une armure qui sert à protéger l’animal, elle
empêche la diffusion des gaz au travers de la peau donc ces
animaux ont dû mettre en place des mécanismes
d’adaptation pour améliorer leur capacité respiratoire : les
insectes ont développé le système trachéen qui est un
système de captation de l’air. Sur la carapace des insectes,
il y a des petits orifices qui sont appelés les spiracles et qui
sont en contact avec un système de trachée. L’air va être
transportée dans ce système et accumulée dans des sacs
aériens qui vont constituer une réserve d’air. En fonction
des besoins de l’animal, celui-ci va puiser dans ces sacs
aériens. L’air va être redistribuée dans les tissus et les
muscles par un système de trachéoles
. Cette cuticule est une carapace rigide mais les animaux sont mobiles, car la carapace recouvre les
métamères et entre les métamères on trouve des membranes articulaires. La cuticule est rigide et
non soluble dans l’eau. La chitine est un polymère de sucres or il n’y a rien de plus soluble que le
sucre. Chez la chitine (C8H13O5N)n la plupart des fonctions OH sont remplacées par des fonctions
amines et acétyl ce qui la rend non soluble. On retrouve aussi des scléroprotéines dans la cuticule
qui confère la rigidité à l’ensemble.
Appendice articulé :
Malgré la présence de la cuticule il y a une certaine mobilité entre les métamères. On retrouve cela
au niveau des pattes notamment. Chaque métamère est structuré de manière à avoir une rotation de
180° les unes par rapport aux autres. La patte d’un insecte est métamérisée, recouverte d’une
cuticule. Les métamères ont des longueurs et des tailles différentes. Les métamères proximaux
sont appelés des coxa, point d’attache. Le trochanter est un métamère intermédiaire, ensuite il y
a un grand métamère : le fémur, ensuite un autre : tibia et enfin le métamère tarse. Le tarse est
segmenté en tarsomères, à l’extrémité du tarsomère il y a des griffes.
Caractéristiques morphologiques d'un insecte (la drosophile) :
. Chez les arthropodes il y a la tagmation, tagmose qui
est la capacité à segmenter son corps (tête, thorax et
abdomen), chaque région corporelle ayant une
fonction.
. Les ailes présentent ds nervures. Au niveau du prothorax il y a des stigmates : orifices qui sont le
point d’entrée du système trachéen. Mésothorax : 2eme stigmates. Métathorax : 3 orifices : Les
scabellum, l’ensemble alll…
Euchinodermes – chordes :
Principales caractéristiques :
Biologie-Ecologie-Morphologie : on a répertorié 6000 espèces vivant toutes en milieu marin.
Les larves présentant une symétrie bilatérale mais les adultes ont une symétrie axiale d’ordre 5 ou
pentaradiée. Ces animaux ont une partie antérieure où il y a un cerveau et après avec une symétrie
bilatérale il n’y a plus de cerveau.
Le tégument (=peau) des adultes dispose d’un endosquelette dermique discontinu composé de
plaques minéralisées (Carbonate de Calcium et Carbonate de Magnésium) juxtaposées et portant
des épines fixes ou des piquants mobiles (pour la plupart).
Ce sont des triblastiques donc il y a présence d’un cœlome très complexe composé de plusieurs
cavités s’emboîtant les unes dans les autres (dont le système aquifère ou ambulacraire). Ici le
cœlome sert à la mobilité.
Les différents groupes d'échinodermes :
Conclusion :
La corde est un axe mécanique du corps qui est métamérisé et remplacé chez les vertébrés par les
vertèbres.
– chez les urochordés : à l’état larvaire la corde est seulement dans la queue
– chez les céphalochordés : la corde se prolonge en avant de la bouche
– chez les céphalochordés : à l’origine des vertébrés…?