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Et de la Recherche scientifique
Faculté privé de droit, d’économie et de gestion
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crédits bancaires
Je tiens à remercier tout d’abord Madame El Ouni Anissa, mon encadrant pour son
aide, son soutien, ses conseils judicieux et sa disponibilité tout au long du projet.
Mes sincères remerciements aux membres du jury qui ont accepté d’évaluer ce travail.
Introduction génerale
Introduction :
La Société Tunisienne de Banque (STB) est une banque tunisienne fondée en 18
janvier 1957. Entrée en activité le 26 mars 1958, c’est le premier établissement bancaire
spécifiquement tunisien conçu afin de contribuer efficacement au développement économique
et social du jeune État indépendant. Son capital s’élève à 776,875 millions de dinars tunisiens
dont l’État détient 81,83% d’une façon directe et indirecte.
Téléphone (216)71340477
Fax (216)71348400
Durée 58 ans
Le crédit de campagne
Le crédit de campagne est accordé dans le cas où sont saisonniers soit le cycle de
fabrication, soit le cycle de vente de l’entreprise, soit les deux successivement. Le plan de
financement de la campagne agricole, industrielle, ou commerciale est le document essentiel
qui permet au banquier de bien cerner le risque avant de se décider. Ce plan doit faire ressortir
un besoin de financement qui va en diminuant selon les perspectives de vente. A l’issu de la
campagne, le crédit de campagne doit être totalement remboursé par les recettes réalisées.
Le crédit d’embouche
Le crédit d’embouche est un crédit de campagne particulier. Il permet à une
exploitation d’élevage, d’acheter du bétail et de procédera son engraissement pour sa revente.
Le risque du crédit d’embouche tient à la durée de l’opération, aux fluctuations des prix de la
viande ainsi qu’aux possibilités de mortalité élevée, mortalité due aux maladies.
L’avance sur facture
L’avance sur facture est un crédit par caisse consenti contre remis de factures visées
par des administrations ou par des entreprises publiques généralement domiciliées aux
guichets de la banque prêteuse. Le montant de l’avance ne dépasse pas, généralement, 70% du
montant de chaque facture.
L’avance sur créances nées de l’exploitation
L’avance sur créances nées de l’exploitation est un crédit par caisse consenti aux
exportateurs contre présentation des documents d’expédition. Le montant de cette avance ne
dépasse pas, généralement, 80% du montant de l’expédition.
La mobilisation des crédits à court terme
Les crédits à court terme mobilisable sont des crédits qui ont fait l’objet d’un accord
préalable de la Banque d’Algérie, et d’une souscription de billets à ordre.
B) Financement des valeurs d’exploitation
L’avance sur marchandise
L’avance sur marchandise est un crédit par caisse qui finance un stock, financement
garanti par des marchandises remises en gage au banquier.
Le financement des marchés publics
Un marché public est un contrat passé entre un entrepreneur et une administration
publique pour la réalisation de biens ou l’exécution de travaux.
Les entrepreneurs qui détiennent des marchés publics, surtout dans le domaine des
travaux réalisés au secteur du bâtiment, ne reçoivent leurs tranches qu’après un grand retard,
trouver les financements nécessaires et prétendre à :
Des crédits par signature (caution marchés) ;
Des crédits de préfinancement ;
Des avances sur délégation de marchés, créances nées non constatées ;
Des avances sur délégation de marchés, créances nées constatées.
La remise documentaire :
Il s’agit d’opérations où l’importateur a besoin d’être rassuré sur la réalité de
l’expédition des marchandises sans qu'’il soit nécessaire de faire un paiement d’avance ou de
fournir une garantie de paiement.
L’exportateur cherche une sécurité minimum, les documents ne seront délivrés que
contre paiement ou acceptation d’effet de la part de l’importateur.
La remise documentaire est très avantageuse car le recouvrement est mieux assuré,
mieux suivi que s’il s’agissait d’un simple virement. Dans le cas de remise contre acceptation,
l’exportateur peut également demander que l’effet soit avalisé par la banque de l’importateur.
Si celle-ci est d’accord, il bénéfice d’une réelle garantie bancaire. Pour l’importateur, sa
banque n’a pas à lui octroyer de ligne de crédit, sauf dans le cas d’une demande d’aval de la
traite.
1.3.2 Le financement de l’exportation
Il regroupe le crédit fournisseur, le crédit acheteur et le Factoring.
Le crédit fournisseur :
C’est un crédit généralement à taux fixe qui peut être refinancé par une banque par
l’escompte de la créance irrévocable sur l’acheteur étranger sous certaines conditions et
suivant des modalités déterminées.
Ce type de crédit s’applique surtout à l’exportation de biens d’équipement et
prestations de services liés généralement à la livraison ou l’installation de cet équipement. La
créance financée doit être une créance commerciale résultant d’un contrat d’exportation
réalisé par une entreprise nationale avec un acheteur d’un pays étranger.
Le crédit acheteur :
Le crédit acheteur est un crédit financier accordé directement à un acheteur étranger
par une institution de crédit dans le pays de l’exportateur dont les fonds doivent être utilisés
pour régler l’importation stipulée. Un crédit acheteur comporte deux contrats, un contrat
commercial entre l’exportateur et l’acheteur et un contrat de crédit qui lie la banque à
l’acheteur. Le crédit acheteur a pour but de décharger le fournisseur de tout souci de
financement. Il va donc se libérer à la fois du risque commercial et des charges financières.
Le factoring :
Cette technique a été déjà abordée mais seulement dans le cadre du financement de
l’économie nationale. Au niveau international, elle repose sur les mêmes principes, mais cette
fois-ci, c’est le poste « client étranger » de l’entreprise qui va être mobilisé, elle consiste donc
en l’achat définitif de créances commerciales à court terme détenues par l’entreprise sur ses
acheteurs étrangers.
2. Limites liés aux contraintes de gestion de la banque
Il s’agit essentiellement des contraintes liées à la mobilisation des ressources et au
refinancement…etc. La démarche à privilégier est celle qui favorise la rentabilité de la banque
et réduit les risques de non remboursement à échéance. A ce titre, il est préconisé d’adosser
les crédits à chaque type d’actif à financer. Suite à la diversification des crédits accordés, les
banques ont imposé ces limites afin de se prévenir des risques liés à l’activité bancaire.
Section 3 : Notion sur le risque de crédit et la démarche de sa maitrise
Le risque est présent dans toutes les activités de l’économie. Il peut être important ou
néglige, selon l’activité. Contrairement aux entreprises, les banques sont confrontées à des
risques divers. L’étude de ces risques ne peut d’ailleurs être dissociée de celle de
règlementation bancaire qui, pour une large part, a comme objet d’imposer aux banques un
comportement de prudence.
1. Base théorique sur le risque de crédit
L’environnement bancaire est devenu très instable et très vulnérable face aux
différentes fluctuations de la sphère monétaire, face à ces différentes perturbations les
banques sont de plus menaces par une diversité de risque nuisant à son activité et à sa position
sur le marché financier. Donc le risque apparait comme l’un des défis actuels des dirigeants
pour le définir, le mesurer et le gérer pour améliorer la performance.
Définition du risque de crédit
Le risque de crédit est défini comme étant le résultat de l’incertitude qu’à la possibilité
ou la volonté des contreparties ou des clients de remplir leurs obligations. Très
prosaïquement, il existe donc un risque pour la banque des lors qu’elle se met en situation
d’attendre une entrée de fonds de la part d’un client ou d’une contrepartie de marché.
Le risque de crédit est le risque que le débiteur ne réponde pas à son obligation initiale
qui est de rembourser un crédit. En fait, dès que le client débite son compte, la banque est
appelée à supporter un risque de crédit. Ce qui né du fait que la banque collecte des fonds
auprès du public quelle doit être en mesure de restituer en temps ou selon les conditions de
retrait fixées, puisque les banque ne sont pas à l’abri des fluctuations économiques, elles
doivent juger les demandes de crédit avec minutie pour minimiser le risque de crédit.
Il faut noter que dans les affaires de crédit, les banques sont tenues de respecter la
règle d’or des banques. Cette règle dite « principe de l’adossement » ne stipule que « les
banques financent les prêts à court termes avec des fonds à court terme et les prêts à long
terme avec les passifs à long termes ».
2. Les differents catégories du risque de crédit
Les risques liées au crédit sont multipleset multidimensionnels car en plus des risque
généraux que court la banque (risque commerciaux, risque de gestion interne, risque
opérationnel et technique…), cette dernière est confrontée à une typologie spécifique
inhérante à son activité.
Il existe une multitude des risques des crédits bancaires. Leur classification se diffère selon
les auteurs à causedes fortes indépendances qui existent entre eux, les uns pouvant entrainer
les autres.
Le risque de contrepartie :
Le risque est caractérisé par la probabilité de défaillance du client relative,
principalementn à deux facteurs qui sont la qualité du débiteeur et la maturité du crédit.
Le risque politique :
Le risque politique réside dans les révolutions, les guerres civiles et étrangères. les
guerres entrainent des fermetures d’entreprises, des réquisitions, des destructions .elles
peuvent être à délais moratoires qui paralysent les règlements.
Le risque social :
Le risque social est caractérisé par les troubles sociaux. Les troubles sociaux peuvent
s’accompagner de grèves, d’émeutes, de pillage, et sont parfois aussi préjudiciables à telle ou
telle entreprise que les guerres étrangères.
Le risque naturel :
Il faut noter également les conséquences d’événements naturels tels que des
inondations, des sécheresses, des incendies, des épidémies, des invasions de parasites, qui
peuvent frapper des régions plus ou moins étendues.
Le risques financières :
Sont les risques liés aux variations de prix des actifs financiers (actions, obligations,
taux de change). On distingue :
Risque de liquidité :
Ce type de risque désigne l’insuffisance de liquidité bancaire pour bancaire pour faire
face à ces besoins inattendus. En effet, ce risque peut conduire à la faillite de la banque suite à
un mouvement de panique des déposants, qui peuvent demander leurs dépôts au même temps.
Le recoure aux retraits massifs des fonds par les épargnants, ainsi que leurs inquiétudes sur la
solvabilité de l’établissement bancaire, peut aggraver la situation de cette dernière et entraîne
ce qu’on appelle « une crise de liquidité brutale ».
Risque de crédit :
Le risque de crédit est le risque le plus important et le plus dangereux auquel est
exposée une banque. Cette dernière doit accorder une attention particulière à sa gestion afin
de ne pas être en proie à ses conséquences. Le risque de crédit peut être défini comme la perte
potentielle consécutive à l’incapacité par un débiteur d’honorer ses engagements. Il désigne
également, d’une façon plus large, le risque de perte lié à la dégradation de la qualité de la
contrepartie qui se traduit par une dégradation de sa note. Le risque de crédit peut prendre
plusieurs appellations : on parle de risque de contrepartie dans les transactions de prêt sur le
marché interbancaire et financier.
Risque de taux d’intérêt :
Le risque de taux d’intérêt représente pour un établissement financier, l’éventualité de
voir sa rentabilité affectée par les fluctuations des taux d’intérêt. Il peut s’appréhender
différemment selon qu’il menace la marge de transformation (les résultats courants) ou la
valeur patrimoniale. Mais dans les deux cas le risque obère les fonds propres. Il est important
que les banques aient un bon système de gestion du risque de taux, vu que leur activité est
basée sur la transformation, en général de ressources à court terme en emplois à long terme.
Il résulte du risque de taux trois types de risques :
Risque de type 1 : est dû à l’écart des montants entre passifs et actifs à taux variable ;
Risque de type 2 : est dû à l’écart des échéances entre les passifs et les actifs à taux
fixe ;
Risque de type 3 : est dû à l’existence d’options cachées dans le bilan.
Risque de change :
Ce type de risque trouve sa naissance dans les établissements financiers, à partir des
opérations de prêts et d’emprunts à plus d’un an, en monnaie étrangère. En d’autres termes la
banque supporte cette catégorie de risque lorsqu’elle se trouve face à une évolution
défavorable du taux de change. En outre, il est aussi remarquable qu’il existe une interaction
entre le risque du taux et celui de change.
Risque de marché :
C’est une probabilité que la banque prête sur une opération d’octroi du crédit.
Généralement et de façon assez globale, les risques de marché font référence aux risques qui
résultent d’une volatilité des rendements, des taux d’intérêt, des cours de change et de la
valeur des titres ou de matières premières. Autrement dit ; Le risque de marché correspond
aux pertes susceptibles de prévenir la diminution de la valeur des portefeuilles bancaire
investis en actions ou en obligation dont la valeur est volatile. On distingue entre : le risque de
taux d’intérêt, le risque de change et le risque de prix.
Les risuqes non financiers
Si le BFR est positif, l’entreprise n’arrive pas à couvrir ses besoins cycliques par des
ressources cycliques. Un besoin de financement de cycle d’exploitation est ressenti. C’est le
genre de situation que l’on trouve dans les grandes entreprises industrielles ayant de gros
stocks ou des entreprises évoluant dans un secteur fortement concurrentiel les obligeant à
accorder de longs détails de paiements.
Si le BFR est négatif, cette entreprise dispose alors de peu de stocks et/ou se fait régler au
comptant tout en obtenant des crédits fournisseurs. Exemple : Les grandes surfaces se font
payer comptant, ont des stocks qui tournent vite, tout en obtenant des crédits fournisseurs.
Cette situation est celle qui doit être recherchée par l’entreprise.
La trésorerie :
La trésorerie de l’entreprise est égale à la différence entre les disponibilités et les concours
bancaires à court terme, c’est- à- dire entre emplois et ressources financières à court terme. La
relation fondamentale de trésorerie est une relation comptable qui relie les notions de fonds de
roulement, besoin en fonds de roulement et trésorerie.
Elle s’exprime ainsi : TR = FR – BFR ou = valeurs disponibles −DCT Bancaires
La notion de trésorerie calculée à partir du bilan est trop étroite, car elle ne renseigne pas
véritablement sur la capacité de l’entreprise à faire face à ses échéances. Ainsi celles qui
disposent de lignes de crédits non encore utilisées auprès de leurs banques bénéficient de ce
fait d’une marge de sécurité, d’une « trésorerie potentielle » immédiatement mobilisable que
n’appréhende pas le concept de trésorerie. La trésorerie potentielle est constituée de la
trésorerie majorée des crédits disponibles, non utilisés auprès des banques, ainsi que, le cas
échéant des crédits non utilisés auprès des fournisseurs lorsque l’alternative règlement au
comptant, règlement à échéance est possible.
4.1.2. La méthode des ratios
L’analyse par les ratios connaît un développement remarquable dans ses domaines
d’application, en particulier avec l’utilisation des méthodes de score. Elles permettent
d’évaluer le risque de défaillance des entreprises en utilisant une combinaison de ratios
comptables.
4.1.2.1. Définition
Les ratios sont des instruments traditionnels de l’analyse financière. La définition d’un
ratio est simple, c’est un rapport entre deux grandeurs financières ou économiques de
l’entreprise dans un domaine bien précis comme ; l’actif du bilan, le passif du bilan, la
trésorerie, l’actif immobilisé, les capitaux propres, les dettes à long et moyen terme, le chiffre
d’affaires… ; ces grandeurs sont aptes à rendre compte de la situation et de la gestion d’une
entreprise.
Evalué pour une certaine durée bien déterminée, le ratio indique une évaluation qui
prend en compte le passé de l’entreprise et trace une tendance par rapport à des projections
faites par les dirigeants de l’entreprise. Un ratio pris séparément ne donne aucune explication ;
pris avec d’autres ratios, il peut servir d’indicateur de comparaison avec d’autres entreprises
de la même taille, et de la même activité, et plus au moins de la même structure financière.
- Dans l’espace, le ratio permet à l’entreprise de se situer dans son propre secteur
d’activité ou dans l’environnement économique global.
- Dans le temps, il permet de suivre l’évolution d’un certain nombre d’indicateurs, tant
internes qu’externes.
A partir d’un ensemble de ratios, on peut confectionner le tableau de bord de
l’entreprise qui synthétisera les informations dans le but de prendre des décisions. Les ratios
peuvent être exprimés par un nombre, un pourcentage, ou encore par une durée (nombre
d’années, de mois, ou de jours), ils doivent être simples, significatifs, compréhensibles, peu
nombreux, honnêtes et d’un coût de confection raisonnable.
4.1.2.2. Différents types des ratios
Compte tenu de toutes les combinaisons possibles, il existe une infinité de ratios. Il
faut donc sélectionner une batterie de ratios représentative et adaptée aux objectifs recherchés
par les utilisateurs.
Les ratios sont habituellement regroupés en quatre grandes catégories :
Les ratios de structure ;
Les ratios de liquidité ;
Les ratios de rotation ;
Les ratios de rentabilité.
a) Les ratios de structure : Les ratios de structure analysent principalement les grandes
masses du haut du bilan. Ils expriment les conditions dans lesquelles l’entreprise assure son
équilibre financier à partir des opérations du cycle de financement et des opérations du cycle
d’investissement. Les ratios retenus peuvent être appliqués soit dans une analyse liquidité, soit
dans une analyse fonctionnelle.
Le tableau ci-dessous recense les ratios les plus fréquemment utilisés
Tableau N°07 : Les principaux ratios de structure dans l’analyse Liquidité/Exigibilité
b) les ratios de liquidité : Les ratios de liquidité fontl’intermediaire dans une relation entre
deux éléments du bilan afin de quantifier les liquidités en pourcentage dont une entreprise
dispose à un moment donné. Ils sont utilisés par les analystes pour savoir si une entreprise est
capable de faire face à ses échéances à court terme et donc de maintenir son exploitation.
Pour estimer la liquidation d’une entreprise, on peut utiliser trois ratios principaux qui sont :
le ratio de liquidité génerale, de liquidité restreinte et de liquidité immédiate.
Le tableau ci-dessous recense les ratios les plus fréquemment utilisés
Tableau N°08 : Les principaux ratios de liquidité dans l’analyse Liquidité/Exigibilité
Ce ratio sert à déterminer la
capacité de l'entreprise à
Ratio de rentabilité Bénéfice net après impôts / rembourser ses dettes. Il
financière Capitaux propres indique combien de fois les
intérêts sont couverts par le
résultat d'exploitation
pouvant servir à les acquitter.
C'est un indicateur de la
marge de sécurité dont
dispose l'entreprise.
Dans le cadre de ses besoins personnels, un client qu’on citera sous le nom de Mr X,
s’est présenté auprès de l’agence Stb adin de solliciter un crédit direct. Après son entretien
avec le chargé clientèle, celui-ci s’est avéré éligible au prét désiré.
1. Conditons d’éligibilités
Il est éligible à un crédit toute personne remplissantles conditions suivantes :
Avoir la nationalité Tunisienne
Avoir a capacité juridique de contracter un prêt, étre majeu ou émancipé
Avoir la solvabilité justificative d’une capacité de remboursement suffisante
Justifier d’un revenu stable
Etre agé de 70 ans au maximum.