EdElRol O2
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1 author:
Hitoshi Ogurisu
Nagoya University
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Hitoshi Ogurisu
(小栗栖等)
Université de Nagoya
La geĆe francor 2
Nagoya
mmxxii
Informations bibliographiques sur ce livre
Autheur : Hitoshi Ogurisu
Éditeur : La Geste Francor 2
Lieu de publication : Nagoya (Japon)
Date de publication : 2022
ISBN : 9798353399728
iii
Introduction
v
vi INTRODUCTION
Pour 2), afin de rendre intelligibles autant de vers que possible, nous
sommes un peu plus audacieux que Mortier, quoi que beaucoup de vers in-
complets restent toujours inchangés. Pour compléter une lacune, nous avons
toujours adopté le(s) mot(s) qui est/sont déjà admis par beaucoup d’éditeurs.
Pour 3), il faut d’abord souligner que dans la plupart des cas les « cor-
rections» de la seconde main ne sont pas justifiables : tantôt elle rajeunit la
langue du copiste d’une façon très insatisfaisante, tantôt elle modifie le texte
sans aucun fondement sérieux, tantôt elle gâte purement et simplement le
texte original 7 . Il n’y a donc pas lieu de traiter ses remaniements comme des
parties du texte du manuscrit, comme le fait Mortier (et Dufournet).
Heureusement, les interventions de la seconde main sont dans la plupart
des cas faciles à écarter : lettre(s) ou mot(s) ajouté(s) dans l’interligne (son écri-
ture étant assez différente de celle du copiste), lettre(s) ou mot(s) du copiste
gratté(s) (souvent incomplètement et donc bien discernable(s)), etc. Il arrive
pourtant que la restitution soit trop risquée. Dans ce cas, nous nous résignons
à substituer des points de suspension à la partie endommagée en tant que
perte de texte accidentelle. Il est à noter que dans notre édition les retouches
de la seconde main sont en principe tout à fait négligées, comme les autres
accidents du parchemin (trou, déchirure, etc.). Pour savoir où se trouvent ses
modifications et quelles sont leurs natures, il faut consulter nos notes en bas
de page.
En ce qui concerne 2) et 3), nous devons justifier notre attitude à l’égard
des lectures obtenues au moyen des rayons ultraviolets par Samaran. Nous
les considérons toujours comme des leçons conjecturales, et nous en reje-
tons quelques-unes de temps en temps, croyant avoir une/des raison(s) suf-
fisant(es) pour le faire. En effet le paléographe lui-même reconnaît que « les
rayons ultra-violets [...] suggèrent souvent les lectures plus qu’il ne les im-
posent.» (SAM, pp. 41-42, n. 2).
Il convient aussi de justifier notre numérotation des vers et et des laisses
du texte. De même que Mortier, nous ne changeons pas l’ordre des vers du
manuscrit, sauf le vers 2242. Ce vers-ci se trouve inopportunément dans la
marge inférieure du folio 33 r° (qui présente les vv. 1796-1823, hormis le
vers en question). Sans aucun doute, il s’agit d’une inadvertance du copiste,
comme l’admettent unanimement les éditeurs 8 . Aussi nous pouvons légiti-
***
11. Nous encadrons la leçon dans le manuscrit avec ⟨ ⟩.
12. Il peut arriver que le copiste lui-même ait supprimé des mots ou des lettres et oublié d’en
combler la lacune.
INTRODUCTION xi
0.3.3 Divers
Nous avons préparé notre édition en premier lieu à l’intentions des utilisa-
teurs de nos logiciels. Ceux-ci peuvent rendre beaucoup de services : on peut
aisément trouver toutes les occurrences d’un mot dans le texte voire dans
le manuscrit, collationner le texte et le manuscrit, etc. Mais ils ne sont pas
exempts de défauts : ils n’affichent très souvent qu’une partie du texte (un ou
quelques vers). Comme on le prévoit facilement, l’interprétation d’un segment
de texte affiché sur l’écran peut poser des difficultés du fait que celui-ci est
isolé de son contexte. Pour suppléer une telle lacune contextuelle, nous avons
appliqué quelques traitements spéciaux à notre texte :
— nous employons le signe «·» , pour repérer les contractions qui ne
sont plus usitées (« ki· l» , « si· l» , etc., mais « del» , « àl» , etc.).
— l’accent grave est employé pour discriminer les homonymes : « la» (ar-
ticle, pronom) et « là» (adverbe) ; « en» (pronom adverbial) et « èn»
(préposition) ; « a» (< avoir) et « à» (préposition) ; « ou» (conjonction)
et « où» (relatif, etc.) 15 .
— les noms propres sont écrits entièrement en majuscules.
— Pour indiquer la relation de parataxe, nous avons adopté un signe spé-
cial : ¬ . Toutes les parataxes ne sont pas repérées, bien entendu. Le
signe est employé seulement pour souligner l’omission d’un relatif,
13. A dire vrai, les abréviations utilisées dans les mots autres que les noms propres ne sont
pas toujours marquées sans ambiguïté. Il arrive que le copiste utilise plusieurs abréviations pour
une même série de lettres (pour « que» , par exemple). Dans le texte encodé ces abréviations
sont distinguées à l’aide de numéros ajoutés (« \que|» , « \que1|» ...) Mais dans l’édition
critique ces numéros, qui brouilleraient trop la lecture, sont supprimés, tandis que dans l’édition
e
diplomatique, les abréviations numérotées sont interprétées convenablement : ⟨q⟩, ⟨q́⟩
14. Il est à noter que le soulignement a une autre valeur dans l’édition diplomatique. Là les
noms propres eux-même sont soulignés, tandis que le soulignement indique ici l’existence de
l’abréviation dans les noms propres. Cf. la section prochaine.
15. Pour distinguer la conjonction de coordination « e» et l’exclamatif « e» , nous marquons
celui-ci avec l’accent aigu : « é»
INTRODUCTION xiii
0.4 Notes
En ce qui concerne les notes, il faut commencer par avertir le lecteur de
deux choses. Premièrement, les notes sont, pour le présent, accessibles seule-
ment dans le livre-pdf : un logiciel pour la consultation de celles-ci est en
préparation. Secondement, dans les notes, nous n’avons pas toujours suffi-
samment justifié notre jugement, pour ne pas faire des notes démesurément
longues. Pour compenser ces insuffisances, nous publierons quelques articles.
L’expression « notre article» sans référence signifie qu’il s’agit d’un de ces ar-
ticles. L’expression « notre article-1» indique un article à paraître sous le titre
« De nouveau sur le texte du Roland d’Oxford : lectures» dans Zeitschrift für
romanische Philologie. Dans cet article, nous croyons avoir prouvé la légitimité
de certaines de nos leçons qui peuvent susciter la discussion 16 .
Il est à noter :
1) Les éditions dont le sigle est écrit entièrement en majuscules (BED, par
exemple) sont consultées constamment par nous (groupe A dans notre
bibliographie) : toutes les différences entre elles et notre édition sont
enregistrées dans les notes. Les autres éditions (Mich, par exemple)
sont consultées seulement pour les parties litigieuses du texte (groupe
B dans notre bibliographie) 17 .
2) Toutes les éditions ne signalent pas leurs corrections et les textes ori-
ginaux qui y correspondent, c’est pourquoi le nombre des éditions
consultés varie d’un cas à l’autre.
17. Chaque fois que nous modifions le texte du manuscrit, les éditions des deux groupes sont
toutes consultées.
INTRODUCTION xv
3) Les sigles d’édition sont classés suivant deux critères : les éditions
du groupe A précèdent celles du groupe B ; dans chaque groupe, les
membres sont arrangés dans l’ordre chronologique 18 .
4) L’ordre des corrections et des leçons proposées ne suit pas de règle
simple. Elles sont classées tantôt dans l’ordre chronologique, tantôt se-
lon leur ressemblance, mais toujours afin de garantir l’intelligibilité de
chaque liste.
5) Les éditeurs présentent leur texte suivant leur propre système. Le plus
souvent un texte cité suit le système adopté de l’éditeur qui apparaît le
premier dans la liste des éditeurs qui adoptent ce texte.
En ce qui concerne 2), l’utilisateur de notre base de données doit connaître
la nature de chaque édition. Pour lui faciliter la tâche, il serait souhaitable de
confectionner une bibliographie analytique des éditions. Mais pour le présent,
contentons-nous d’en présenter un aperçu :
— StenDip et Gröb présentent le texte du manuscrit aussi fidèlement que
possible : ce sont des éditions diplomatiques (mais, Gröb propose quelques
corrections qui ne sont aucunement systématiques, et StenDip change
souvent l’ordre de vers.)
— BED, MORT, WHD, BRLT, SEG, DUF, SHRT, Mül, Sten, Brtn, Ronc, Hlk
énumèrent exhaustivement (ou presque) leurs corrections.
— MOIG, Mich, Böhm, Gtr, Jks, Cal relèvent de temps en temps leurs
corrections.
— Jon, Riq, Cort, Shrt n’ont pas de notes éditoriales.
Pour les éditions des deux derniers groupes, nous n’avons donc fait men-
tion de leurs corrections que quand celles-ci était bien évidentes. Il y a pour-
tant une exception importante : MOIG est trop fameux et consulté par trop de
chercheurs pour nous contenter d’une consultation sporadique. Nous l’avons
donc intégré dans le Groupe A, et pour le rendre possible, faute de mieux,
nous avons formulé une hypothèse : en principe MOIG adopte tacitement les
corrections de BED, et s’il y a quelques différences entre eux, il s’agira d’une
décision que Moignet a prise à son compte (dans un tel cas, Moignet déclare
très souvent, mais pas toujours, que son jugement diffère de celui de Bédier.
cf. MOIG, vv. 541, 1491, 2265, 3593, etc.).
A propos de 5), les lecteurs doivent connaître le système adopté par chaque
éditeur :
— MORT, WHD, DUF, Gröb, Cal, Hlk emploient systématiquement [ ]
pour l’ajout et ( ) pour la suppression.
18. Pour les exceptions, cf. la bibliographie.
xvi INTRODUCTION
20. Pour les autres ouvrages, nous les avons cités au moyen des sigles donnés par DEAFBiblEl
(http ://www.deaf-page.de/fr/bibl_neu.htm), qui compensera donc les insuffisances de notre
maigre bibliographie.
21. Il faut ajouter que nous ne considérons pas Hmmg comme la dernière version de WHD,
parce que Hemming mutila l’œuvre de son prédécesseur en supprimant ses notes critiques. Les
notes que celui-là a ajoutées ne justifient pas ce vandalisme, parce qu’elles n’explicitent pas toutes
les modifications effectuées sur le texte, comme le font celles de Whitehead.
xx INTRODUCTION
aussi l’article suivant : Smaran, Charles, « Lectures sous les rayons ultra-violets
— Chanson de Roland (manuscrit d’Oxford) —» , Romania, 55, 1929, pp. 401-
410.
[2] BED(187) Joseph Bédier, La Chanson de Roland, publiée d’après le manuscrit
d’Oxford et traduite, L’Édition d’Art H. Piazza, Paris, 1955. — 1ère éd. 1921 ;
6ème éd. (édition définitive) 1937.
[3] BED2 Joseph Bédier, La Chanson de Roland, publiée d’après le manuscrit
d’Oxford et traduite, L’Édition d’Art H. Piazza, Paris, 1922. — imprimé à
tort « dixième édition» .
— [c.-r.] Hofer, Stephan, , 53, 1930, pp. 167-168 (pp. 168-178 pour BedCom).
— [c.-r.] Wilmotte, M., Moyen Age, 40, 1930, pp. 28-35.
[4] MORT Raoul Mortier, Les Textes de la Chanson de Roland, tome 1er : La version
d’Oxford, Gesta Francor, Paris, 1940.
[5] WHD(7) Frederic Whitehead, La Chanson de Roland, Basil Blackwell, Oxford,
1965.— 1ère éd., 1942.
[6] MOIG3 Gérard Moignet, La Chanson de Roland, Texte établi d’après le ma-
nuscrit d’Oxford, traduction, notes et commentaires, 1989. — 1ère éd. 1969.
[7] MOIG2 Gérard Moignet, La Chanson de Roland, Texte établi d’après le
manuscrit d’Oxford, traduction, notes et commentaires, Bordas, 1980. —
imprimé à tort « quatrième édition revue et corrigée» , il faut sans doute
lire « deuxième édition ...» .
— [c.-r.] Burgess, G. S., Modern Language Review, 66, 1971, pp 685-686.
— [c.-r.] Di Stefano, G., Studi Francesi, 40, 1970, p. 123.
— [c.-r.] Drzewicka, Kwartalnik Neofilologiczny, 20, 1973, 231-234.
— [c.-r.] Faigan, J., Australian Universities’ Modern Languages Association Journal,
35, 1971, p, 127.
— [c.-r.] Gardette, P., Revue de linguistique romane, 33, 1969, pp. 417.
— [c.-r.] Merk, Bulletin de la Faculté des Lettres de l’université de Strasbourg, 48,
1969-70, 415-417.
— [c.-r.] Moignet, L’information Littéraire, 23, 1971, 228-229.
— [c.-r.] Short, I., Romance Philology, 25, 1971 (1), pp. 131-135.
— [c.-r.] Wathelet-Willem, J., Marche Romane, 20, 1970, pp. 143-144.
— [c.-r.] Whitehead, F., French Studies, 26, 1972, p. 182.
[8] BRLT Gerard Brault, The Song of Roland, An Analytical Edition. II. Oxford
Text and English Translation, The Pennsylvania State University Press, Univer-
sity Park and London, 1981 (second printing), 1978.
— [c.-r.] Burgess, G. S., Zeitschrift für romanische Philologie, 97, 1981, pp. 427-432.
— [c.-r.] Calin, W. C., Olifant, 7, 1980, pp. 359-364.
— [c.-r.] Cormier, J., Choice, 16, 1979, p. 229.
— [c.-r.] Duggan, J. J., Speculum, 57, 1981, pp. 355-358.
— [c.-r.] Kibler, W., French Forum, 4, 1979, pp. 271-274.
INTRODUCTION xxi
[12] SHRT Ian Short, The Song of Roland : The French Corpus, Part 1, The Oxford
Version, General editor : Joseph J. Duggan, Brepols, 2005.
— [c.-r.] Boutet, D., Romania, 125, 2007, pp. 516-522.
[36] Cort Luis Cortés Vàzquez, La Chanson de Roland, édition établie d’après le
manuscrit d’Oxford. Traduction du poème, l’introduction et des notes par Pau-
lette Gabaudan, Nizet, Paris, 1994.
— [c.-r.] Segre, C., Cahiers de Civilisation Médiévale, 40 (160), 1997, pp. 385-386.
[37] Hlk(8) Max Pfister, Das altfranzösische Rolandslied nach der Oxforder Hand-
schrift herausgeben von Alfons Hilka, Achte, verbesserte Auflage, Max Nie-
meyer Verlag, "Sammlung Romanischer Übungstexte", band 3/4, Tübingen,
1997 — 2e éd., 1942 ; 4e éd., 1953 ; 6e éd., 1965.
[38] Hlk1 Alfons Hilka, Das altfranzösische Rolandslied nach der Oxforder
Handschrift, 1926.
[39] Hlk3 Gerhard Rohlfs, Das altfranzösische Rolandslied nach der Oxforder
Handschrift herausgeben von Alfons Hilka, 1948.
[40] Hlk5 Gerhard Rohlfs, Das altfranzösische Rolandslied nach der Oxforder
Handschrift herausgeben von Alfons Hilka, 1960.
[41] Hlk7 Gerhard Rohlfs, Das altfranzösische Rolandslied nach der Oxforder
Handschrift herausgeben von Alfons Hilka, 1974.
— [c.-r.] Hofer, Stephan, , 53, 1930, pp. 166-167.
— [c.-r.] Von Wartburg, W., Zeitschrift für romanische Philologie, 64, 1944, p. 185.
— [c.-r.] Aramon i Serra, R., Estudis Romànics, any 1951-2, 1949-1950, pp. 270-
272.
— [c.-r.] McMillan, D., Modern Language Review, 47, 1952, pp. 73-75.
— [c.-r.] Braet, H., Lettres romanes, 32, 1978, p. 94.
— [c.-r.] Horrent, Jq., Moyen Age, 82, 1977, pp. 364-365.
— [c.-r.] Menichetti, A., Studi medievali 3e serie, 19, 1978, pp. 1098-99.
— [c.-r.] Stimm, H., Zeitschrift für französisch Sprache und Literatur, 86, 1976, p.
94.
— [c.-r.] Van Emden, W. G., French Studies, 33, 1979, p. 518.
— [c.-r.] Verhuyck, P., Revue Belge de Philologie et d’Histoire, 60, 1982, p. 639.
— [c.-r.] Matsumura, T., Revue de linguistique romane, 62, 1998, p. 295.
— [c.-r.] Mickel, E., Romance Philology, 54, 2001, p. 413-416.
— [c.-r.] Thiry, Cl., Lettres romanes, 55, 2001, p. 405.
[44] Mortier Raoul Mortier, Les Textes de la Chanson de Roland, Geste Francor,
1940-1944. — Vol. 1, La version d’Oxford ; vol. 2, La version de Vecise IV ; vol. 3,
La Chronique de Turpin et les Grandes Chroniques de France, Carmen de pro-
dicione Guenonis ; Ronsasvals ; Vol. 4, Le Manuscrit de Châteauroux ; vol. 5 Le
Manuscrit de Venis VII ; vol. 6 Le Texte de Paris, vol. 7 Le Texte de Cambridge ;
vol. 8, Le Texte de Lyon ; vol. 9, Les Fragements lorrains ; vol. 10, Le Texte de
Conrad. — Source de nos citations des autres versions que celle d’Oxford..
[45] Duggan Joseph Duggan, The Song of Roland : French Corpus, Brepols, 2005, —
Vol. I, The Oxford Version, I. Short (éd) ; The Venice 4 Version, R. F. Cook (éd.)
— Volume II, The Châteauroux Venice7 version, J. Duggan (éd.) — Volume III,
The Paris Version, A. Rejhon (éd.) ; The Cambridge Version, W. Emden (éd.) ;
The Lyon Version, W. Kibler ; The Fragments W. Kibler (éd)..
[46] h-Van Dijk Hans Van Dijk, Het Roelantslied : Studie over de Middelneder-
landse vertaling van het Chanson de Roland, gevolgd dorr een diplomatische
uitgave van de overgeleverde teksten ; Etude sur la traduction en moyen néer-
landais de la Chanson de Roland, suivie d’une édition diplomatique des textes
conservés (avec un résumé en français), Deel I Studie ; Deel II Teksten, Hes
Publishers, Utrecht, 1981.
[47] K-Kartschoke Dieter Kartschoke, Das Rolandslied des Pfaffen Konrad, Mit-
telhochdeutsch/Neuhoch deutsch, Philipp Reclam jun., Stuttgart, 1993..
[48] n-Aebischer Paul Aebischer, Rolandiana Borealia, La Saga af Runzivals Bardaga
et ses dérivés scandivaves comparé à la Chanson de Roland. Essai de Restauration du
Manuscrit français utilisé par la traducteur norrois, F. Rouge & Cie, Université de
Lausanne Publication de la Faculté des Lettres, 11, Lausanne, 1954.
[49] n-Lacroix Daniel Lacroix, La Saga de Charlemagne, traduction française des
dix branches de la Karlamagnús saga norroise, Le Livre de Poche, coll. “Clas-
siques Modernes", 2000..
[50] w-Rejhon Annalee C Rejhon, Cân Rolant : The Medieval Welsh Version of
the Song of Roland, University of California Press, coll. "Modern Philology",
vol. 113, Berkeley-Los Angeles-London, 1983.
0.6.3 Divers
[51] Bédier 1927=BedC Joseph Bédier, La Chanson de Roland (commentaires), L’édi-
tion d’art H. Piazza, Paris, 1927.
[52] Bédier 1937 Joseph Bédier, « De l’édition princeps de la Chanson de Roland aux
éditions les plus récentes — nouvelles remarques sur l’art d’établir les anciens
textes : premier article» , in Romania, 63, 1937, pp. 433-469.
xxvi INTRODUCTION
Ce livre a été totalement revu par mon ami Jean-Philippe Chaillous, sauf cet aver-
tissement gracieusement relu par mon collègue Monsieur Christophe Garrabet.