CS Le Vente Commercial
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CS Le Vente Commercial
Semestre :5
Module: Contrats spéciaux
La vente commerciale
Introduction
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Semestre :5
Module: Contrats spéciaux
La vente commerciale
Introduction
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Semestre :5
Module: Contrats spéciaux
La vente commerciale
Introduction
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Semestre :5
Module: Contrats spéciaux
Le contrat de distribution
Plan :
Introduction
Il faut noter que le droit de distribution est le droit qui régit la distribution et qui
contractuelles ont été créées afin de commercialiser de manière plus efficace des
demeure ignoré juridiquement, il n’y a pas un texte de loi qui définit le contrat de
dans de nombreux textes dont chacun est lié soit directement soit indirectement
au domaine de la distribution.
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L’on peut ainsi faire allusion au dahir des obligations et des contrats du 12 Aout
En outre, d’autres lois plus spécifiques élargissent son cadre notamment la loi 15-
95 de 1ier Aout 1996 formant code de commerce, la loi 104-12 sur la liberté des
prix et de la concurrence qui dispose dans son article premier que «la présente loi
validité doit être appréciée tant au regard du droit civil qu’au regard du droit de la
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Nous allons essayer de répondre à toutes ces questions à travers deux parties : la
peut revêtir plusieurs formes. Aussi, les futures parties au contrat doivent, dès la phase
précontractuelle, veiller à négocier un contrat en toute transparence. Une fois le contrat conclu,
les parties seront tenues à des obligations variables selon le type de clause d’exclusivité
convenue. Mais, les obligations des contractants ne cessent pas une fois le contrat de
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distribution exclusive éteint. Ce sont ces différentes phases de la vie du contrat qu’il convient
d’envisager ci-après.
avant sa conclusion.
Les accords de distribution ne sont que rarement le résultat d’une négociation entre les parties :
c’est pourquoi la plupart des contrats de distribution sont ainsi qualifiés des contrats d’adhésion.
Lorsque le contrat se conclue dans ces conditions, la partie qui adhère ne dispose pas toujours
Mais à partir des années 70, une jurisprudence mettant à la charge du fournisseur une obligation
La loi française a distingué entre les obligations de droit commun et les informations d’ordre
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De manière générale, le distributeur a droit à une information précise sur les tenants et les
aboutissants du contrat de distribution qui dans la plupart des cas consiste en un contrat
d’adhésion.
En particulier, le fournisseur devra informer son cocontractant quant à l’étendue de son réseau
consentement.
juridique et de l'identité du chef d'entreprise s'il s'agit d'une personne physique ou des dirigeants
-La date de la création de l'entreprise avec un rappel des principales étapes de son évolution, y
compris celle du réseau d'exploitants, s'il y a lieu, ainsi que toutes indications permettant
-Présentation de l'état général et local du marché des produits ou services devant faire l'objet du
a) La liste des entreprises qui en font partie avec l'indication pour chacune d'elles du mode
d'exploitation convenu ;
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b) L'adresse des entreprises avec lesquelles la personne qui propose le contrat est liée par des
contrats de même nature que celui dont la conclusion est envisagée ; la date de conclusion ou
c) Le nombre d'entreprises qui, étant liées au réseau par des contrats de même nature que celui
d) S'il y a lieu, la présence, dans la zone d'activité de l'implantation prévue par le contrat
proposé, de tout établissement dans lequel sont offerts, avec l'accord exprès de la personne qui
L’avance d’une entreprise sur ses concurrentes suppose non seulement la conception d’idées
innovatrice, mais encore la sauvegarde des exclusivités de ces dernières. C’est ainsi que le
candidat distributeur est tenu de ne pas divulguer les informations confidentielles liées à la
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La divulgation n’est pas le seul danger qui guette le fournisseur. Tout aussi redoutable pouvait
être l’utilisation personnelle par le candidat distributeur des informations qui lui auront été
fournies. Il n’y a pas de difficulté lorsque le détenteur d’information a pris soin de conclure
avec son partenaire pour la période précontractuelle, une convention de non utilisation et de
non exploitation.
Comme n’importe quel contrat, l’accord de distribution doit être soumis à la même condition
l’objet et la cause. Toutefois il y a des points particuliers qui méritent un traitement à savoir
Paragraphe1 : l’écrit
Compte tenu de multiples obligation multiples engendrées par la plupart des accords de
distribution, ils font en général l’objet d’un acte sous seing privé, autant pour faciliter la preuve
enter les parties que pour préciser le contenu de leurs obligation respectives
Il faut noter que la rédaction d’un écrit est souvent exigée pour la validité de la convention
Paragraphe 2 : le prix
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Après avoir considéré pendant près 30ans que le prix des marchandises devait être détermine
un arrêt rendu en 1997 la cour de cassation a admis (qu’il n’était pas nécessaire que le prix des
Paragraphe 3 : l’objet
Il convient hors de la formation du contrat, de préciser les obligations mises à la charge des
parties et l’objet de ces obligations. Cette précaution doit permettre en particulier d’éviter une
interprétation trop restrictive ou une qualification différente donnée au contrat par le juge.
Donc, à la différence des contrats nommés dont le contenu est fixé par la loi. Le contenu des
concurrence
Si les parties sont en principe libres de déterminer le contenu des accords qui les lient. Elles
économique :
L’entente peut être définie comme l’action concertée ayant pour objet de limiter l’accès au
d’accéder normalement au marché des produits qui lui sont refusés aux conditions consenties à
ses concurrents.
Cet état pourra résulter d’une situation de monopole ou de la détention d’un avantage
Ex : l’exigence d’un prix de revente minimum, les clauses d’exclusivités non limitées dans le
fournisseur pour poursuivre son activité, cet état peut être constituée par quatre critères : la
part dans le chiffre d’affaires de la victime, l’impossibilité pour le distributeur de trouver une
La mise en œuvre d’un contrat de distribution mise à la charge des parties un certain nombre
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L’exécution d’un contrat de distribution fait naitre un certain nombre d’obligations à la charge
Le fournisseur est bien sûr obligé de respecter la clause d’exclusivité, élément fondamental
• Comme tout vendeur, le fournisseur doit livrer les produits et honorer son obligation de
garantie ; S’il concède ses droits ou une licence sur une marque, sur une enseigne ou tout autre
signe distinctif, le fournisseur doit détenir les droits ou licences y afférents et garantir leur
jouissance paisible ;
• Il est aussi tenu à l’égard des tiers de la garantie des vices cachés et de la responsabilité du fait
Là aussi, le distributeur ne doit pas méconnaître les termes de la clause d’exclusivité mettant
Pénétration (clause consistant plutôt en une obligation de moyens de pénétrer le marché sur un
territoire donné) ;
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• D’assurer, à condition qu’une clause soit prévue en ce sens, l’entretien, la réparation et le SAV
• De maintenir un stock minimal, si une clause le stipule, sans que le distributeur soit obligé de
reconstituer préalablement son stock afin de se procurer de nouveaux produits (dans ce cas, il
auquel cas le distributeur est tenu de se fournir exclusivement auprès de son fournisseur. Cette
Limitée dans le temps et ne peut être d’une durée supérieure à 10 ans (art. L330-1 du Code de
commerce). Elle doit aussi être très précise quant aux produits concernés
Les obligations des parties au regard de l’exclusivité stipulée au contrat varient selon la forme
de la Clause d’exclusivité :
Une telle clause prévoit que le fournisseur est tenu par une obligation de fournir exclusivement
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En revanche, cette stipulation n’interdit pas au distributeur d’exercer son activité en dehors du
territoire prévu au contrat. Enfin, le distributeur n’est pas tenu par une interdiction de
Ici aussi le fournisseur est tenu de ne pas fournir d’autres distributeurs dans le territoire
considéré.
et « concurrence passive ».
dehors du territoire qui lui a été concédé et il y a « concurrence passive » lorsque le distributeur
se borne à accepter les commandes spontanées émanant de clients installés hors de son
territoire. Le droit de la concurrence autorise les clauses qui interdisent la vente active mais il
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Si cette clause est stipulée au contrat, le fournisseur est dans l’obligation de ne pas fournir
d’autres distributeurs alors que le distributeur est dans l’obligation de ne pas se fournir auprès
Cette forme de clause est proche de la clause d’exclusivité territoriale renforcée à cette
différence près que le distributeur est tenu d’imposer à ses clients de ne pas exporter les produits
Comme cette clause aboutit à entraver la concurrence entre distributeurs et la libre circulation
Contractuelle s’applique.
Le non-respect de la clause d’exclusivité peut aussi être le fait du fournisseur. Dans ce cas, ce
dernier doit verser à son contractant des dommages et intérêts et le contrat de distribution risque
d’être résilié.
Le contrat de distribution est un contrat précaire, il peut à tout moment être éteint soit par
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a) La survenance du terme :
Le contrat de distribution s'éteint à son terme avec la plupart des obligations contenues. A
défaut de reconduction, les parties reprennent leur liberté sous réserve des obligations survivant
au contrat.
b) La rupture anticipée
La résiliation unilatérale du contrat avant l'arrivée du terme n’est en principe pas possible, sauf
plein droit.
* La clause résolutoire
d'inexécution d'une obligation, le contrat sera résolu de plein droit (c'est-à-dire sans intervention
des tribunaux pour faire prononcer la résolution du contrat mais rien n'empêche le créancier
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Si le contrat de distribution est conclu pour une durée indéterminée, chacune des parties peut
mettre fin au contrat à tout moment sous réserve de respecter un préavis contractuel ou d'usage.
Les tribunaux exigent ici le respect d'un préavis qu'il soit stipulé ou non dans le contrat. La
sanction de la brusque rupture (sans respect du préavis) est la condamnation de son auteur à des
dommages et intérêts
Lorsque le contrat de distribution prend fin, le distributeur restitue les matériels prêtés ou
Néanmoins, les causes d'extinction du contrat qui conduisent à la rupture des relations
contractuelles, ne font pas pour autant cesser toutes obligations entre les parties.
restitué. Il s'agit de connaissances définitivement assimilées par le distributeur qui pourra les
mettre en œuvre dans sa nouvelle activité, sous condition toutefois de ne pas exercer une
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une obligation de confidentialité à la charge du distributeur dont la durée peut être illimitée.
décembre 1999, la stipulation d’une clause de non-concurrence ne semble valable qu’à certaines
conditions.
Le contrat devra prévoir les modalités d'écoulement ou de reprise des stocks détenus par le
En l'absence d'une telle clause, l’ancien distributeur perd le droit de vendre les stocks restants
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Dans cette brève contribution, on laissera de coté les procédés de distribution relevant
du droit des sociétés (utilisation de succursales ou de filiales), pour ne retenir que ceux de
caractère uniquement contractuel. En d’autres termes, l’objet de cette partie est de dresser un
inventaire des contrats identifiés par la loi ou la pratique et de nature à assurer, par un
La classification qui suit reprend le critère de la répartition des risques, en distinguant les
contrats de distribution selon qu’ils sont destinés à lier directement le fabricant ou importateur
distributeur (chapitre3).
Deux contrats ont pour effet de faire du fabricant ou importateur le partenaire contractuel du
consommateur, soit de faire peser directement sur le premier, notamment, le risque de garantie :
Le contrat d’agence est celui par lequel l’agent s’oblige à titre permanent à négocier la
conclusion d’affaires pour un ou plusieurs mandants ou d’en conclure en leur nom et pour leur
compte, sans être lié envers eux par un contrat de travail. La rémunération de l’agent est appelée
provision.
Qu’il soit négociateur ou stimulateur, l’agent est un mandataire particulier sur lequel pèse une
obligation d’agir, qui le distingue notamment du courtier. L’en distingue aussi le caractère
durable du contrat, qui explique que le mandant de l’agent soit tenu envers lui par un certain
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devoir de fidélité. Quant aux affaires conclues, elles le sont toujours au nom et pour le compte
du mandant.
Le courtage est le contrat par lequel le courtier est chargé, moyennant un salaire, soit d’indiquer
à l’autre partie l’occasion de conclure une convention, soit de lui server d’intermédiaire pour la
Aux courtages d’indication et de négociation, la pratique et la doctrine ont ajouté une troisième
consiste à amener un tiers à entrer en relation avec le mandant en vue de négocier un contrat.
L’activité du courtier ne constitue qu’une incombance qui, en cas de succès seulement, soit en
cas de conclusion du contrat principal, ouvre au courtier son droit à la rémunération. Le contrat
principal est toujours conclu entre le mandant et la partie que lui a indiquée ou présentée le
courtier qui n’a, sauf clause expresse, pas de pouvoir de représentation. Ainsi, comme dans le
cas de l’agence, l’affaire conclue l’est aux risqué du mandant. Le courtier est cependant, comme
fabricant
Dans deux contrats, l’intermédiaire agit en son nom propre, mais pour le compte du fabricant,
contrat d’agence-commission.
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C’est le contrat par lequel une personne, le commissionnaire, se charge d’opérer en son nom,
mais pour le compte d’une autre, le commettant, la vente ou l’achat de choses mobilières ou de
La commission-vente porte sur des transactions isolées et ne constitue pas un contrat de durée.
La vente effectuée par le commissionnaire l’est en son nom propre, ce qui distingue cet
commettant, celui-ci doit, libérer le commissionnaire des obligations qu’il a assumés, par
contrairement à lui et à l’instar du commissionnaire, il agit en son nom et pour le compte de son
mandant. En d’autres termes, il s’agit d’un contrat identique à l’agence entre parties (mandat
distributeur
On trouve dans cette dernière catégorie les contrats de distribution attribuant à l’intermédiaire
la totalité des risques de l’opération. Là aussi, au-delà de ce point commun, les différences sont
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Appelé aussi contrat de consignation ou de soumission, le contrat estimatoire est celui par lequel
une personne, le consignateur, remet à une autre, le consignataire, des marchandises que celle-
ci vendra en son nom et pour son compte, contre l’engagement soit d’en payer le prix, soit de
les restituer.
contrat de consignation n’est rien d’autre qu’une vente sous condition suspensive. Pour
d’autres, plus nombreux, il s’agit d’un contrat sui generis. Quoi qu’il en soit ici de cette
controverse, il est certain que le contrat estimatoire doit être nettement distingué d’autres de
indirect, car il agit en son nom et pour son compte ; et contrairement au courtier, il ne se borne
pas à prêter son office à la conclusion d’un contrat, mais contracte lui-même avec le tiers
consommateur. On relèvera que cette forme de convention, initialement utilisée surtout pour
des biens nettement individualisés (tableaux, voitures d’occasion, etc.), est de plus en plus
présente dans la distribution d’articles de série, notamment pour des produits de marques encore
peu connues.
peut être défini comme «le contrat par lequel une personne (le concédant) promet à une autre
(le représentant ou concessionnaire) de lui livrer des biens déterminés à un certain prix et de lui
en assurer l’exclusivité dans un rayon déterminé, contre l’engagement de payer le prix et d’en
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- C’est enfin un contrat dans lequel le concessionnaire agit en son nom et pour son
compte, raison pour laquelle l’expression de contrat «de représentation » est trompeuse.
Très largement répandu dans la pratique, le contrat de concession de vente attribue le risque
C’est le contrat par lequel, un contractant concède à l’autre, le second étant indépendant du
marque, éventuellement son savoir-faire, pour fabriquer ou vendre des produits, ou offrir des
Cette définition met en relief trois éléments caractéristiques de toute franchise que sont la
marque, brevet, enseigne, symbole, etc.), l’obligation faite au franchisé de promouvoir les
produits ou services du franchiseur, et celle de lui verser une redevance (droit d’entrée et/ou
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Par rapport au contrat de concession de vente exclusive, le contrat de franchise présente trois
durée, et dans lequel il n’y a pas de rapport de représentation entre les parties, le concessionnaire
et le franchisé agissant pour leur compte et en leur nom (ce qui les distingue de l’agent). En
Pour être complet, il convient encore de mentionner ici les contrats de distribution particuliers
C’est le contrat par lequel une compagnie pétrolière, titulaire d’une station-service, en confie,
contre paiement d’une redevance, l’exploitation à son partenaire, conformément aux règles
qu’elle aura fixées. Dans ce type de convention, l’exploitant accepte de se soumettre à des règles
station ; la rémunération de l’exploitant est assurée par sa marge bénéficiaire sur les ventes,
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Il est défini comme étant, le contrat par lequel, le partenaire distributeur, titulaire d’une station-
auprès d’une compagnie pétrolière, celle-ci effectuant pour sa part les investissements
nécessaires au bon déroulement des activités du partenaire. Sous réserve de l’élément de bail à
ferme, ici absent et remplacé par les obligations d’aménagement assumes par la compagnie, ce
vente par livraisons successive, qui met le partenaire dans une position similaire à celle d’un
concessionnaire.
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Conclusion
indépendant dispose d’au moins huit types de conventions de distribution différents, dont plus
de la moitié sont des créations de la pratique. Cette large gamme de contrats disponibles autorise
des choix presque infinis, portant sur le caractère durable ou non de la relation avec
l’intermédiaire, sur la répartition des risques, ou sur l’intégration plus au moins accentuée du
distributeur dans le réseau de vente de l’entreprise. Ce constat est sans doute rassurant. Il
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