Ouvrages Métalliques PDF
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Ouvrages métalliques
Notes de cours
Version : 1
Chapitre I :
Généralités sur les ouvrages métalliques
Généralités sur les ouvrages métalliques
1. Introduction
2. Domaines d’utilisation
Figure 1
Figure 2
Figure 3
Ponts et passerelles :
Figure 4
Figure 5
Figure 6
Châteaux d’eau
Figure 7
Autres structures …
Figure 8
• Légèreté
• Solidité
• Résistance mécanique :
• L’imperméabilité
• Possibilités architecturales
• Possibilités de modification
Flambage
Voilement
Déversement
Figure 9
5. Règlements
CM 66 et additif 80
Eurocode 3
CCM 97
D’une façon génale pour l’étude d’un projet en charpente métallique on aura
besoin de :
Figure 1
2. Terminologie
Les figures suivantes donnent les principaux termes utilisés pour les charpentes
et les bardages métalliques.
Figure 2
Figure 3
Tableau 1
Figure 4
Figure 5
3. Les assemblages
Cette technique autorise une grande rapidité de montage sur le chantier et ceci à
un coût très économique.
Figure 6
Les figures suivantes montrent les principales liaisons.
Figure 7
Ils sont destinés aux liaisons permanentes. On réalise une continuité de matière
entre les éléments à assembler.
Figure 8
4. Bardages
la résistance mécanique ;
l’étanchéité à l’air et à l’eau ;
l’isolation thermique et acoustique ;
l’esthétique.
Figure 9
Figure 1
La diversité des situations conduit à élaborer des techniques d’assemblage pour assurer
la continuité des éléments structurels ou leur intersection (Figure 2).
Figure 2
Figure 3
Note : La résistance d’un assemblage est toujours déterminée sur la base de la
résistance individuelle de ses composants.
- le rivetage,
- le boulonnage,
- le soudage,
- le collage,
Figure 4
C'est le cas des boulons ordinaires, non précontraints, dont les tiges reprennent les efforts
et fonctionnent en cisaillement.
Figure 5
2.2. Fonctionnement par adhérence
Dans ce cas, la transmission des efforts s'opère par adhérence des surfaces des pièces
en contact. Cela concerne le soudage, le collage, le boulonnage par boulons HR.
Figure 6
2.3. Fonctionnement mixte
C'est le cas du rivetage (et dans les cas extrêmes, du boulonnage HR), à savoir que les
rivets assurent la transmission des efforts par adhérence des pièces jusqu'à une certaine
limite, qui lorsqu'elle est dépassée, fait intervenir les rivets par obstacle, au cisaillement.
Figure 7
3. Types d’assemblages
Figure 8
Figure 9
Figure 10
Figure 11
Figure 12
Figure 12
Figure 13
Figure 14
4. Assemblages soudés
4.1. Définition
Le soudage est un procédé qui permet d'assembler des pièces par liaison intime de la
matière, obtenue par fusion ou plastification.
Les termes utilisés pour caractériser un cordon de soudure sont les suivants :
La zone affectée thermiquement (ou ZAT) est la partie du matériau de base qui
n'est pas rentrée en fusion avec le métal d'apport mais qui, par contre, a subi un
échauffement et un refroidissement très rapides au passage de l'arc de soudage.
Dans cette zone, le matériau de base est soumis à un durcissement et peut dès
lors acquérir un comportement fragile.
Figure 15
4.2.2. Terminologie suivant la position du cordon pendant le soudage
Suivant la position du cordon pendant le soudage, les différents cordons prennent des
noms différents.
Figure 16
Dans la construction soudée de bâtiments, 80 % environ des soudures sont des soudures
d'angle et 15 % des soudures bout à bout. Les 5 % restants sont des soudures en bouchon,
entenaillé et par points.
Figure 17
Figure 18
Un boulon traditionnel est un ensemble constitué d'une vis, d'un écrou et, le cas échéant,
d’une ou deux rondelles. En construction métallique, les têtes de vis sont généralement de
forme hexagonale.
Figure 19
Les boulons traditionnels peuvent être classés selon leur mode de mise en œuvre qui
conditionne également le mode de transmission des efforts. On distingue les boulons
ordinaires, mis en place par un serrage sans spécification particulière, et les boulons
précontraints pour lesquels le serrage est contrôlé.
Les boulons ordinaires sont encore appelés boulons normaux. Ce sont, par principe, des
boulons non précontraints.
Les caractéristiques mécaniques de leurs aciers constitutifs sont données dans le tableau
suivant :
La classe de qualité est telle que le premier nombre représente 1/100 de la limite de
rupture fub et que le produit des deux nombres est égal à 1/10 de la limite d’élasticité f yb; ces
deux quantités étant exprimées en MPa.
A titre d’exemple, un boulon de classe 6.8 possède une limite d’élasticité f yb = 6 × 8×10
= 480MPa et une résistance à la traction ultime fub = 6×100 = 600 MPa .
Ces caractéristiques mécaniques sont définies dans les normes EN ISO 898-1 pour la vis
et EN ISO 898-2 pour l'écrou. Elles peuvent être obtenues par écrouissage (Classe 6.8) ou
par traitement thermique (Classes 8.8 et 10.9).
Les classes 6.8, 8.8 et 10.9 sont les plus courantes, notamment parce qu’elles conduisent
à un nombre réduit de boulons.
Les boulons à haute résistance (ou boulons HR) sont des boulons aptes à être
précontraints lors de la mise en œuvre. On les appelle encore boulons « à serrage contrôlé
».Ils sont réalisés dans des aciers à haute limite d'élasticité de qualité 8.8 et 10.9 et ils
doivent comporter un marquage spécifique « HR » sur chaque élément du boulon (vis, écrou
et rondelle) ce qui n’est pas le cas des boulons ordinaires de classe de qualité identique.
Leurs caractéristiques dimensionnelles sont données dans le tableau suivant :
(1) les deux nombres a/b sont tels que a correspond aux boulons HR 8.8 et b aux
boulons HR 10.9.
La désignation d'un boulon se fait par la lettre M (pour métrique) suivie de la valeur du
diamètre nominal d en mm. La mention HR indique qu'il s'agit d'un boulon à haute
résistance.
Les distances entre axes des boulons ainsi qu'entre axes des boulons et bords des pièces
(pinces) sont limitées par :
• pour conserver un bon contact entre les pièces assemblées (ce qui augmente le
frottement et limite les risques de corrosion),
Figure 20