EXO BD WANONKOU RODRIGUE IDA2 - Compresser

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NOM & PRENOM : WANONKOU RODRIGUE HOUELETE IDA2 (ISTM)

NOTE OBSERVATION

EXERCICE DE MAISON

1. DÉFINIR UN FICHIER .

En informatique, un fichier est un lot d'informations portant un nom et


conservé dans une mémoire.
Les fichiers sont la plupart du temps conservés sur des mémoires de
masse tels que les disques durs. Les mémoires de masse permettent de
conserver à long terme une très grande quantité de fichiers.
Les fichiers sont classés dans des groupes appelés répertoires, chaque
répertoire peut contenir d'autres répertoires, formant ainsi une
organisation arborescente appelée système de fichiers.

2. DÉFINIR SYSTÈME DE GESTION DE FICHIER .

Le système de gestion de fichiers est un outil de manipulation des fichiers


et de la structure d'arborescence des fichiers sur disque

3. DONNEZ LES LIMITES DE FICHIER .

La taille maximale du système de fichiers était limitée à 32 To pour ext3,


mais pour ext4, elle est bien plus élevée : 1 exabyte (soit environ 1 million
de Téraoctets)
4. DÉFINIR D’UNE BASE DE DONNÉES .

Une base de données est un ensemble d'informations qui est organisé de


manière à être facilement accessible, géré et mis à jour. Elle est utilisée
par les organisations comme méthode de stockage, de gestion et de
récupération de l'informations

5. DONNEZ LES DIFFÉRENTS TYPES D ’UTILISATEUR DE BASE DE DONNÉES .

Il existe différents types d'utilisateurs de bases de données (SGBD), tels


que :
• Administrateur de base de données (DBA)
• Utilisateur final
• System Analyste
• Programmeur d'applications
• Concepteur de base de données

6. DONNEZ L’UTILITÉ D’UNE BASE DE DONNÉES .

Les bases de données permettent aux utilisateurs de centraliser et


partagés leurs informations à tout moment.

7. QU’ELLE DIFFÉRENCE FAIT -VOUS ENTRE BASE DE DONNÉES ET BANQUE DE DONNÉES .

La base de données décrit la structure informatique, le contenant, tandis


que la banque de données représente le contenu de la base, c'est à dire
un ensemble de données relatif à un domaine de connaissance.

8. DÉFINIR UN SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNÉES .

Un système de gestion de base de données (SGBD) est le logiciel qui


permet à un ordinateur de stocker, récupérer, ajouter, supprimer et
modifier des données. Un SGBD gère tous les aspects primaires d'une
base de données, y compris la gestion de la manipulation des données,
comme l'authentification des utilisateurs, ainsi que l'insertion ou
l'extraction des données.

9. DONNEZ LES OBJECTIFS D ’UN SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNÉES .


Le principal objectif d'un SGBD est d'assurer l'indépendance des
programmes aux données, c'est-à-dire la possibilité de modifier les
schémas conceptuel et interne des données sans modifier les
programmes d'applications, et donc les schémas externes vus par ces
programmes

10. DONNEZ LA FONCTION DE SYSTÈME DES GESTIONS DES BASES DE DONNÉES .

Un système de gestion de base de données (SGBD) est le logiciel qui


permet à un ordinateur de stocker, récupérer, ajouter, supprimer et
modifier des données

11.DONNEZ 06 EXEMPLES DE SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNÉES.

• Microsoft Access – relationnel.


• Microsoft SQL Server – relationnel.
• MySQL – relationnel.
• Oracle Database – relationnel.
• OrientDB – orienté documents.
• CouchDB – orienté documents.

12. EXPLIQUEZ L’ARCHITECTURE D ’UN SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNÉES .

13. CITEZ ET EXPLIQUEZ LES DIFFÉRENTS MODÈLES DE BASE DE DONNÉES .

Il existe de nombreux types de modèles de bases de données. Parmi les plus


courants :
• Modèle de base de données hiérarchique
• Modèle relationnel
• Modèle réseau
• Modèle de base de données orientée objet
• Modèle entité-association
• Modèle document
• Modèle entité-attribut-valeur
• Schéma en étoile
• Le modèle relationnel-objet, qui associe les deux éléments qui
composent son nom
Vous pouvez choisir de représenter une base de données selon l'un de ces
modèles en fonction de plusieurs facteurs. Le plus important est de savoir si le
système de gestion de base de données que vous utilisez prend en charge un
modèle particulier. En effet, la plupart sont pensés pour un modèle de base de
données particulier et exigent des utilisateurs qu'ils adoptent ce modèle, mais
certains prennent en charge plusieurs modèles.
En outre, tous les modèles ne s'appliquent pas à toutes les étapes du processus
de conception d'une base de données. Les modèles de bases de données
conceptuelles généralistes sont les plus indiqués pour cartographier les
relations entre les données de façon à faciliter la compréhension de ces
données. Les modèles logiques basés sur les enregistrements sont eux
davantage axés sur la manière dont les données sont stockées sur le serveur.
Vous devez également choisir un modèle dont les points forts correspondent à
vos priorités pour la base de données, que ces priorités soient la rapidité, la
réduction des coûts, la simplicité d'utilisation ou autre chose.
Examinons de plus près certains des modèles de bases de données les plus
courants.
Modèle relationnel
Le modèle le plus courant, appelé modèle relationnel, trie les données dans des
tables, que l'on appelle aussi des relations, dont chacune se compose de
colonnes et de lignes. Chaque colonne contient un attribut de l'entité en
question, comme le prix, le code postal ou la date de naissance. L'ensemble des
attributs d'une relation est appelé domaine. La clé primaire est constituée par
un attribut spécifique ou une combinaison d'attributs. On peut y faire
référence dans d'autres tables : elle est alors appelée clé étrangère.
Chaque ligne, également appelée tuple, comprend des données sur une
instance spécifique de l'entité en question, comme un employé en particulier.
Le modèle tient également compte des types de relations entre ces tables,
notamment les relations un-à-un, un-à-plusieurs et plusieurs-à-plusieurs. Voici
un exemple :

Dans la base de données, les tables peuvent être normalisées ou amenées à se


conformer aux règles de normalisation dans une optique d'amélioration de sa
flexibilité, de sa polyvalence et de son évolutivité. Dans une base de données
normalisée, chaque donnée est atomique, ou éclatée en morceaux utiles les
plus petits possibles.
Les bases de données relationnelles sont généralement écrites en langage SQL
(Structured Query Language). Ce modèle a été introduit en 1970 par E.F. Codd.
Modèle hiérarchique
Le modèle hiérarchique organise les données dans une structure arborescente,
où chaque enregistrement dispose d'un seul parent (racine). Les
enregistrements frères et sœurs sont triés dans un ordre particulier. Cet ordre
est suivi pour le stockage physique de la base de données. Ce modèle convient
à la description de nombreuses relations du monde réel.

Il a surtout été utilisé par les systèmes de gestion d'information d'IBM dans les
années 60 et 70, qui ont aujourd'hui majoritairement disparu en raison de
certaines inefficacités opérationnelles.
Modèle réseau
Le modèle réseau est une extension du modèle hiérarchique qui autorise des
relations plusieurs-à-plusieurs entre des enregistrements liés, ce qui implique
plusieurs enregistrements parents. Basé sur la théorie mathématique des
ensembles, ce modèle s'articule autour d'ensembles d'enregistrements
connexes. Chaque ensemble se compose d'un enregistrement propriétaire (ou
enregistrement parent) et d'un ou plusieurs enregistrements membres (ou
enfants). Un enregistrement peut être un membre ou un enfant dans plusieurs
ensembles, ce qui permet à ce modèle de traduire des relations complexes.
Son pic de popularité remonte aux années 70, après qu'il a été officiellement
défini par la conférence sur les langages de systèmes de traitement de données
(Conference on Data Systems Languages, CODASYL)

Modèle de base de données orientée objet


Ce modèle définit une base de données comme une collection d'objets, ou
d'éléments logiciels réutilisables, associés à des caractéristiques et des
méthodes. Il existe plusieurs types de bases de données orientées objet :
Une base de données multimédia réunit des médias, tels que des images, qui
ne peuvent pas être stockés dans une base de données relationnelle.
Une base de données hypertextuelle permet à n'importe quel objet d'être relié
à un autre. Elle est utile pour organiser de nombreuses données disparates,
mais peu adaptée à l'analyse numérique.
Le modèle de base de données orienté objet est le modèle de base de données
post-relationnelle le plus connu, car il intègre des tables, sans toutefois s'y
limiter. Ces modèles sont aussi connus sous le nom de modèles de bases de
données hybrides.
Modèle relationnel-objet
Ce modèle de base de données hybride associe la simplicité du modèle
relationnel à certaines des fonctionnalités avancées du modèle de la base de
données orientée objet. En substance, il permet aux concepteurs d'intégrer des
objets dans la structure bien connue des tables.
Les langages et interfaces d'appel comprennent SQL3, les langages des
fournisseurs, ODBC, JDBC et les interfaces d'appel propriétaires qui sont des
extensions des langages et des interfaces utilisés par le modèle relationnel.
Modèle entité-association
Ce modèle reproduit les relations entre les entités du monde réel de façon très
similaire au modèle réseau, mais il n'est pas lié aussi directement à la structure
physique de la base de données. Il est souvent utilisé pour la création d'une
base de données d'un point de vue conceptuel.
Ici, les personnes, les lieux et les objets à propos desquels les points de
données sont stockés sont appelés entités, chacune d'entre elles possédant
certains attributs qui, ensemble, composent leur domaine. On schématise aussi
la cardinalité (relations entre les entités).

L'une des formes courantes du diagramme entité-association est le schéma en


étoile, dans lequel une table centrale des faits se connecte à plusieurs tables
dimensionnelles.
Autres modèles de bases de données
Divers autres modèles de bases de données ont été ou sont encore utilisés
aujourd'hui.
Modèle de fichier inversé
Une base de données créée selon une structure de fichier inversé est conçue
pour accélérer les recherches en texte intégral. Dans ce modèle, le contenu des
données est indexé sous la forme d'une série de clés dans une table de
recherche, dont les valeurs indiquent l'emplacement des fichiers associés.
Cette structure peut fournir des rapports quasi instantanés dans le domaine
des Big Data ou de l'analytique, par exemple.
Ce modèle est utilisé par le système de gestion de base de données ADABAS de
Software AG depuis 1970, et il est encore pris en charge aujourd'hui.
Modèle de base de données orientée texte
Le modèle de base de données orientée texte est le plus ancien et le plus
simple. Il énumère simplement toutes les données dans une seule table,
composée de colonnes et de lignes. Pour accéder aux données ou les
manipuler, l'ordinateur doit lire l'intégralité du fichier plat dans la mémoire, ce
qui rend ce modèle inefficace, sauf pour les ensembles de données les plus
petits.
Modèle multidimensionnel
Il s'agit d'une variante du modèle relationnel conçue pour améliorer le
traitement analytique. Alors que le modèle relationnel est optimisé pour le
traitement transactionnel en ligne (OLTP), ce modèle est conçu pour le
traitement analytique en ligne (OLAP).
Chaque cellule d'une base de données dimensionnelle contient des données
sur les dimensions suivies par la base de données. Visuellement, elle ressemble
à un ensemble de cubes plutôt qu'à des tables en deux dimensions.
Modèle semi-structuré
Dans ce modèle, les données structurelles habituellement contenues dans le
schéma de base de données sont intégrées aux données elles-mêmes. La
distinction entre les données et le schéma est donc pour le moins vague. Ce
modèle est utile pour décrire les systèmes, comme certaines sources de
données sur le Web, que l'on traite comme des bases de données, mais qui ne
peuvent pas s'adapter à un schéma. Il est également utile pour décrire des
interactions entre des bases de données qui ne respectent pas le même
schéma.
Modèle contextuel
Ce modèle peut incorporer des éléments provenant d'autres modèles de bases
de données selon les besoins. Il réunit des éléments des modèles orienté objet,
semi-structuré et réseau.
Modèle d'association
Ce modèle divise tous les points de données selon qu'ils décrivent une entité
ou une association. Dans ce modèle, une entité désigne tout élément qui existe
de façon indépendante, alors qu'une association désigne tout élément qui
n'existe que par rapport à un autre élément.
Le modèle d'association structure les données en deux ensembles :
• Un ensemble d'éléments, chacun ayant un identificateur unique, un nom
et un type
• Un ensemble de liens, chacun ayant un identificateur unique et les
identificateurs uniques d'une source, d'un verbe et d'une cible. Le fait stocké
est en lien avec la source, et chacun des trois identificateurs peut faire
référence soit à un lien, soit à un élément.
Parmi les autres modèles de bases de données moins courants :
• Le modèle sémantique, qui comprend des informations sur la façon dont
les données stockées sont rattachées au monde réel
• La base de données XML, qui permet aux données d'être spécifiées et
même stockées au format XML
• Le graphe nommé
• Le triplestore
Modèles de bases de données NoSQL
Outre le modèle de base de données orienté objet, d'autres modèles non SQL
sont venus s'opposer au modèle relationnel :
Le modèle de base de données orienté graphe, qui est encore plus flexible
qu'un modèle réseau, car il permet la connexion entre tous les nœuds, quels
qu'ils soient.
Le modèle multi valeur, qui se distingue du modèle relationnel en permettant
aux attributs de contenir une liste de données plutôt qu'un seul point de
données.
Le modèle orienté document, qui est conçu pour stocker et gérer des
documents ou des données semi-structurées plutôt que des données
atomiques.
Bases de données sur le Web
La plupart des sites Web s'appuient sur un type de base de données pour
organiser et présenter des données aux utilisateurs. Chaque fois qu'un visiteur
utilise les fonctions de recherche sur ces sites, ses termes de recherche sont
transformés en requêtes qu'un serveur de base de données va traiter. En règle
générale, un middleware (ou intergiciel) connecte le serveur Web à la base de
données.
L'omniprésence des bases de données leur permet d'être utilisées dans
presque tous les domaines, des boutiques en ligne au microciblage d'un
segment des électeurs dans le cadre d'une campagne politique. Divers secteurs
ont développé leurs propres normes pour la conception de bases de données,
des transports aériens aux constructeurs automobiles.

14. EXPLIQUEZ L’HISTORIQUE D’UN SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNÉES .


15. DONNEZ ET EXPLIQUE LES CONCEPTS DE BASE DU MODÈLE RELATIONNEL.

Le modèle relationnel définit (05) cinq operateurs de base qui sont :

o L’UNION : l’opérateur d’UNION permet de combiner deux relations


(ou table) de même schéma (attribut) et renvoie une relation de
même schéma que les relations initiales et dont l’ensemble des n-
uplets (ligne de tableau) est l’union ensembliste des n-uplets.
(Ensembliste signifie qu’il n’y pas d’ordre dans la présentation des
lignes du tableau et qu’il ne peut pas y avoir de doublons.)

o LA DIFFERENCE : l’opérateur de DIFFERENCE est similaire (mais non


symétrique) et retourne les n-uplets qui figurent dans la première
relation mais pas dans la seconde.

o LA SELECTION (OU RESTRICTION) : l’opérateur de SELECTION


(unaire) permet de retourner un sous-ensemble des n-uplets de la
relation initiale. Ils doivent vérifier un critère construit sur la base
d’une conjonction (et), d’une disjonction (ou), d’une négation de
triplets (attribut, comparateur, valeur). Le comparateur peut être >,
<, =, <>, … La notion de valeur peut être soit une constante de type
valeur numérique, chaine de caractère, … Soit un attribut (mais
alors la comparaison a lieu sur le même n-uplets). Il y a alors
nombre de colonnes reste identique.

o LA PROJECTION : l’opérateur de PROJECTION permet de réduire le


nombre d’attributs retenus dans la sélection. Le nombre
d’opération peut est alors réduit. Cette opération peut entrainer
une réduction du nombre de ligne (en cas d’absence d’un
identifiant de ligne-clé).

o LE PRODUIT CARTESIEN :
Il permet de construire une relation dont le schéma est constitué
des attributs (libellés des colonnes de la table) des deux relations.
Les n-uplets fournis sont construits sur la base du produit cartésien
(toutes les combinaisons possibles entre chaque ligne de la
première relation et chacune des lignes de la deuxième relation).
16. CITEZ ET EXPLIQUEZ LES CONTRAINTES D ’INTÉGRITÉ.

o Définition : Les contraintes d’intégrité sont des règles qui édictent


les propriétés que doivent respecter les champs de la base de
données (les champs correspondent aux attributs du modèle
relationnel) afin de garantir leur cohérence, leur pertinence et leur
validité.

Il existe (03) contraintes d’intégrité qui sont :

o LA CONTRAINTE DE DOMAINE :
Toute valeur prise par un attribut dans le modèle relationnel (ou
champ dans la base de données) doit appartenir à un domaine
défini pour cet attribut. Cela revient à dire que charque attribut
doit prendre une valeur dans le domaine de valeurs.

o LA CONTRAITE DE RELATION :
Chaque relation dans le modèle relationnel (ou champ dans la base
de données) est identifiée par une clé primaire qui doit être unique
et non nulle. Donc, chaque tuple (ou enregistrement dans la base
de données) est également identifié par une clé primaire.

o LA CONTRAINTE DE REFERENCE / D’INTEGRITE REFERENTIELLE :


Les clés étrangères permettent de relier les tables (ou relations)
entre elles. Les valeurs de ces clés étrangères sont incluses dans le
domaine de valeur de la clé primaire dont elles sont issues.

17. DÉFINIR ET EXPLIQUEZ LA DÉPENDANCE FONCTIONNELLE (AVEC DES EXEMPLES ).

Dans l’étude des bases de données, les dépendances fonctionnelles sont


les liens existants entre deux propriétés présentes dans la base de
données.

Exemple : il existe une dépendance fonctionnelle entre le numéro d’un


candidat et son nom et prénom.
18. CITEZ ET EXPLIQUEZ LES DIFFÉRENTES FORMES DE NORMALISATION .

19. DÉFINIR UNE REQUÊTE .

Une est une interrogation d’une base de données.

20. QU’ELLE DIFFÉRENCE FAIT -VOUS ENTRE ALGÈBRE RELATIONNEL ET LE LANGAGE SQL.

Un algèbre relationnel est un ensemble d’opération permettant de


manipuler des relations et produisant comme résulta de nouvelles
relations.

SQL permet de définir un ensemble de colonnes d’une table comme clé


primaire. S’il existe plusieurs clés candidates, SQL permet de définir une
seule comme étant primary key.

21. CITEZ LES DIFFÉRENTS TYPES D ’OPÉRATION RELATIONNEL .

- Renommage.
- Union, intersection et différence.
- Produit cartésien.
- Sélection.
- Projection.
- Jointure : interne, externe, naturelle.
- Division.

22. CITEZ LES DIFFÉRENTS TYPES DE LANGAGE SQL.

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