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UNE INTRODUCTION À INTERNET ET AUX OUTILS


DE COMMUNICATION SUR MICRO-ORDINATEUR

Michel CARTEREAU

Cet article présente brièvement Internet et les principaux outils de


communication utilisables sur un micro-ordinateur via une ligne télépho-
nique. Il s'adresse à des personnes non nécessairement informaticiennes,
qui désirent connaître les possibilités de communication à partir de leur
micro-ordinateur. Le document ne prétend pas être exhaustif (ce domaine
est en plein essor actuellement) ; il est plus modestement destiné à
donner un premier aperçu sur l'univers de la communication électronique
(Cyberspace) qui préfigure les futures « autoroutes électroniques » [15, 17,
23].

1. QU'EST-CE QU'INTERNET ?

Le réseau Internet (Interconnection network) désigne un ensemble


de réseaux informatiques (nationaux ou régionaux) interconnectés à un
niveau international avec le protocole de communication TCP/IP
(transport control protocol/internet protocol). Créé initialement en 1969
par le ministère de la défense des Etats-Unis, il est actuellement en plein
développement (plus de 20 millions d'usagers dans le monde). En Europe,
il est surtout très utilisé par la communauté universitaire et le monde de
la recherche scientifique mais des associations et des sociétés
commerciales offrent depuis peu un accès aux particuliers.

1.1 Internet en France


En France, le réseau s'étend peu à peu à tous les centres
universitaires et de recherche (plus de 200 sites connectés à ce jour), sous
la houlette d'organismes gouvernementaux dans la cadre du réseau
Renater (réseau national de télécommunications pour la technologie,
l'enseignement et la recherche) [5]. Toutes les personnes disposant d'un
compte de travail sur un système informatique d'un des sites reliés, ont
automatiquement et gratuitement accès aux services du réseau
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(l'utilisation du réseau est prise en charge de manière forfaitaire, et non


selon l'utilisation réelle, sur le budget du centre).
Par ailleurs, toute personne peut s'adresser à des associations ou
des sociétés commerciales (FDN, Fnet, Oléane, FranceNet, Worldnet,
Calvacom, etc.) afin d'obtenir un accès payant au réseau Internet (via
une ligne téléphonique et un micro-ordinateur avec un modem), ou peut
utiliser un service télématique sous certaines contraintes
(36 15 INTERNET avec un minitel bi-standard, par exemple) [13].

1.2 Services disponibles


Internet offre de nombreux services dont les principaux sont
décrits ci-après [19, 20, 21, 22, 24].

a) Courrier électronique(E-mail, electronic mail)


C'est un outil de messagerie très puissant qui permet de joindre
toute personne ayant accès au réseau, à l'aide de l'adresse électronique
qui lui est automatiquement attribuée sur un site et qui commence à
émailler les cartes de visite professionnelles. Cette adresse se décompose
généralement en deux parties séparées par un symbole spécial (« @ », qui
représente « chez » en anglais) :
(i) l'identification de la personne : c'est le nom du compte de travail
qui lui est attribué sur le système informatique ou un synonyme
(alias) plus explicite ; exemple : gandalf ou Michel.Cartereau ;
(ii) l'adresse du système informatique dans le réseau : elle contient une
localisation hiérarchisée de cette machine par réseau et sous-
réseau (on parle de « domaine d'adressage ») ; exemple :
seine.inapg.inra.fr où fr désigne la France, inra le réseau de
l'Institut national de la recherche en agronomie, inapg le sous-
réseau pour l'école INA-PG et seine un des systèmes
informatiques de cet établissement ; dans certains cas, l'adresse
peut être abrégée par omission du nom du système ;
d'où les adresses complètes : [email protected] ou
[email protected]
La transmission est sûre (le système informatique signale tout
problème de communication) et rapide (de quelques secondes à quelques
heures au maximum). On peut ainsi échanger des messages (aussi long
que souhaité) et, éventuellement, des fichiers (textes notamment). Il
existe aussi des listes de distribution, qui par un système d'abonnement,
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permettent de recevoir automatiquement des messages d'informations


diffusés à l'intérieur du groupe des abonnés. Cet outil remplace
avantageusement dans beaucoup de cas le téléphone ou le courrier
postal. Il est en passe de devenir indispensable pour tous les personnels
de l'enseignement supérieur et de la recherche [16].

b) Forums (news, Usenet)


Ce service n'est pas toujours disponible, cela varie selon les centres
informatiques. Il permet de participer à des discussions sur des thèmes
très variés (informatiques, loisirs, sports etc.) en consultant les messages
échangés et en contribuant à la discussion par ajout d'un message au
forum. Ce système particulier centralise les informations sur un serveur
au lieu de les dupliquer pour chaque participant au forum.

c) Téléchargement (FTP, file transfert protocol)


Il s'agit de la récupération de fichiers (documents ou programmes
essentiellement) accessibles sur un serveur ad hoc connu par son adresse
sur le réseau (qui est soit un nom, soit le code « IP » ; exemple :
ftp.inria.fr ou 192.93.2.54) ; l'accès au serveur s'effectue soit avec son
identification personnelle quand on y dispose d'un compte de travail, soit
en anonyme (ftp anonymous) quand le serveur le permet.

d) Accès à un système distant (telnet)


Cet outil permet de travailler sur un système informatique à
distance et, dans certains cas, d'utiliser un service disponible sur un
serveur comme par exemple la consultation du catalogue d'une
bibliothèque.

e) Recherche d'information
L'ensemble des serveurs existants offre une masse d'information
colossale difficile à connaître ou retrouver. Plusieurs outils ont ainsi été
développés afin de faciliter cette recherche d'information (Mosaïc, Wais,
Gopher, WWW notamment), voire d'obtenir l'adresse électronique d'une
personne comme dans un annuaire.
Internet réunit des millions d'individus en dehors de toutes
frontières, recouvre un ensemble considérable de services et permet
d'accéder à une quantité inimaginable d'information. D'où le terme anglo-
saxon de « Cyberspace » (forgé par l'écrivain William Gibson dans sa
nouvelle intitulée « Neuromancer » pour désigner une société basée sur
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des ordinateurs, un « espace cybernétique ») ou de « paradis


informationnel ». Une communauté virtuelle se développe dans un cadre
pour le moins libertaire, avec ses us et ses coutumes et en l'absence de
hiérarchies et de structures contraignantes. Ceci n'est pas sans poser de
nombreux problèmes, comme ceux de la maîtrise de l'information, des
droits d'auteur, de la confidentialité ou de la sécurité. S'initier à la
manipulation des services d'Internet n'est pas facile (il faut s'imprégner
de la culture du système informatique Unix) mais ce réseau s'avère à
l'usage un formidable et irremplaçable outil de communication et d'accès
à l'information.

2. QUELS SONT LES SERVICES ACCESSIBLES À PARTIR DE


SON MICRO-ORDINATEUR ?

Plusieurs grands types de services coexistent. Ils correspondent


soit à un usage bureautique (la télécopie), soit à un usage universitaire
ou de recherche (accès à un site universitaire), soit à un usage individuel
(accès à des serveurs commerciaux). Ils sont rapidement décrits dans
cette partie.

2.1 Connexion à un serveur informatique ou télématique


Par simulation (ou « émulation ») d'un terminal informatique, il est
possible d'utiliser les services d'un ordinateur (un « serveur ») branché
sur le réseau téléphonique, ou de transformer le micro-ordinateur en un
minitel. De plus, des fonctions de téléchargement permettent d'échanger
des fichiers entre le micro-ordinateur et un serveur.
Il est ainsi possible :
a) de travailler à distance sur un centre informatique où on dispose
d'un compte de travail ;
b) de procéder à des interrogations de services télématiques avec la
gestion d'un répertoire télématique et avec la possibilité de
récupérer des informations par « capture d'écran » dans un fichier
de texte ;
c) de dialoguer avec des serveurs commerciaux (CompuServe entre
autres) ou d'associations (« BBS », bulletin board systems, appelés
« babillards ») [7], qui offrent essentiellement l'accès à la récupé-
ration de logiciels (notamment ceux gratuits, « freeware » ou à
contribution volontaire, « shareware ») et à des forums de
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discussion sur des thèmes variés ; les services sont alors


généralement payants (abonnement forfaitaire et heures de
connexion).
L'accès au réseau Internet s'effectue via un système informatique :
soit celui d'un centre informatique universitaire, soit un serveur
commercial.

2.2 Télécopie (fax)


Le micro-ordinateur se transforme en un télécopieur (partiel, car il
ne manipule pas directement une feuille de papier). Les documents
envoyés correspondent à un document informatique obtenu par
simulation d'une impression (comme si la feuille de papier passait
directement d'une imprimante à un télécopieur) à partir d'un traitement
de texte, un tableur etc. Il devient possible de télécopier une feuille de
papier, en passant par une étape de numérisation (scanner, 1 page A4
numérisée peut occuper 1 méga-octet sur disque). Certains logiciels
permettent d'ajouter automatiquement une page de garde lors de l'envoi,
de gérer un carnet de correspondants avec leurs numéros de télécopie, de
programmer l'envoi différé d'une télécopie ou d'effectuer des envois
multiples.
Si l'équipement le permet (c'est-à-dire le modem), la réception de
télécopie peut s'effectuer automatiquement (en « tâche de fond », sans
intervention humaine) ou manuellement. Les documents reçus peuvent
être imprimés ou, à l'aide d'un logiciel complémentaire de reconnaissance
de l'écriture (OCR, optical character recognition), transformés en texte
réutilisable dans un traitement de texte [1, 3].

3. QUEL EST L'ÉQUIPEMENT NÉCESSAIRE ?

Il se décompose en une partie matérielle (le modem) et une partie


logicielle (les logiciels de communication), présentées ci-après. Il est à
noter que l'installation d'un tel équipement n'est généralement pas
triviale, et que pour effectuer les réglages souvent inévitables, il vaut
mieux être soi-même informaticien ou profiter des bons offices d'un
spécialiste. Actuellement (en juin 1994), un équipement moyen coûte
environ 2 000 F TTC (modem rapide - V32bis - avec la télécopie et les
logiciels associés) [9, 10, 11, 14].

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3.1 Le modem
Pour pouvoir utiliser une ligne téléphonique ordinaire, il faut
installer un appareil, appelé « modem » (modulateur-démodulateur),
entre le micro-ordinateur et la prise téléphonique. Il se présente soit sous
la forme d'un boîtier externe se branchant sur une prise « série » du
micro-ordinateur, soit sous la forme d'une carte d'extension s'insérant
dans le micro-ordinateur ; par ailleurs, il existe un modèle sur carte
« PCMCIA » (format d'une carte de crédit) destiné aux micro-ordinateurs
portables. Son rôle consiste essentiellement à transformer les signaux
informatiques en signaux téléphoniques et vice-versa.
Ses principales caractéristiques sont :
• La vitesse de transmission de l'information sur la ligne
téléphonique : elle se mesure en bits transmis par seconde (« bps »,
il faut environ 8 bits pour transmettre un seul caractère d'un
texte) ; les valeurs possibles sont :

Norme V21 V22 V22bis V23 V32 V32bis V32ter V34


(« avis »)
vitesse 300 1 200 2 400 1 200/75 9 600 14 400 19 200 28 800
(bps) (minitel)

En vue d'un usage relativement important, il est conseillé de


s'équiper d'un modem pouvant fonctionner au moins en V32bis
(14 400 bps) ; l'investissement nécessaire, par rapport à un modem moins
puissant et moins cher, est rapidement récupéré par l'économie réalisée
sur la facture téléphonique. Par contre, pour un usage occasionnel, il est
à noter qu'on peut réutiliser le modem disponible dans les terminaux
minitel (V23, 1 200/75 bps) à l'aide d'un câble spécial qui se branche sur
une prise « série » et qui est peu coûteux (environ 100 F).
• Les fonctions d'amélioration de la transmission : Il s'agit de
fonctionnalités assurant soit la prise en charge d'erreurs de
transmission (par correction automatique des erreurs, normes V42,
MNP2, MNP3, MNP4), soit l'augmentation du débit de
transmission (par compression des informations, normes V42bis,
MNP5) ; ceci permet de faire des économies sur la facture de

• La possibilité de télécopie : certains modems peuvent envoyer et


téléphone.

recevoir des télécopies. On distingue plusieurs types selon le mode

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de communication entre le modem et le micro-ordinateur : classe 1,


classe 2 (réception de télécopie possible) ou CAS (communication
application spécification). Il existe trois groupes d'appareils de
télécopies (à ne pas confondre avec la classe du modem) ; les deux
premiers sont déjà anciens et le groupe III constitue le standard
actuel : transmission en V29 (9 600 bps) ou sinon, en V27ter

• La compatibilité « Hayes » : la reconnaissance du jeu de


(7 200 bps) avec compression des informations [4].

commandes dit « de Hayes » (ou « commandes AT ») est


indispensable pour pouvoir utiliser le modem avec la majorité des
logiciels associés ; cependant, ce jeu de commandes n'est pas

• L'agrément national : en France, tous les appareils de


normalisé et des différences existent selon les fabricants.

communication doivent être agréés par l'administration des postes


et des télécommunications. C'est théoriquement une garantie de
bon fonctionnement pour l'usager de l'appareil (notamment pour la
simulation du minitel en V23) par rapport aux appareils non
agréés (« réservés à l'exportation ») moins chers. Il est possible de
s'informer sur les agréments par le service télématique 36 14 PTT
(mot-clef : AGR).
Il est à noter que l'utilisation d'un modem entraîne l'occupation
d'une ligne téléphonique, et que cela est notamment incompatible avec la
présence d'un télécopieur ainsi qu'avec le service d'indication d'appel de
France Télécom.

3.2 Les logiciels de communication


La plupart des logiciels de communication pour un micro-
ordinateur sont fournis avec les modems. Ils offrent principalement :
(i) la simulation de terminal informatique (type « VT100 »
généralement) et de minitel ;
(ii) le téléchargement de documents et de logiciels à partir de serveurs
commerciaux (protocoles Kermit, Zmodem etc.) ;
(iii) l'envoi et la réception, de télécopie (si le modem offre cette
possibilité) [2, 8].
Il existent aussi des logiciels gratuits, notamment pour la
simulation de terminal et le téléchargement de logiciels. Attention aux
produits d'origine étrangère qui n'offrent pas toujours la simulation du
minitel.
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Certains logiciels de communication sont spécialisés dans la


connexion aux serveurs : ils offrent des possibilités d'automatisation (à
l'aide de la programmation d'un « script ») des étapes de connexion et de
récupération de logiciels [6].
Par ailleurs, des logiciels bureautiques (Claris Works, Microsoft
Works, Terminal de Windows par exemple) comportent des fonctions de
communication limitées (minitel, terminal informatique et
téléchargement).
De plus, il commence tout juste à apparaître des logiciels pour
utiliser le services d'Internet à partir de son micro-ordinateur. Ces
logiciels sont essentiellement gratuits (car du domaine public) mais ils
nécessitent la liaison à un site d'Internet permettant leur emploi : c'est-à-
dire un accès téléphonique avec les protocoles SLIP (serial line internet
protocol) ou PPP (point-to-point protocol) ainsi qu'un serveur POP (post
office protocol) pour transférer le courrier sur le micro-ordinateur. Sous
Windows, il faut installer une interface logicielle spéciale (bibliothèque
« WINSOCK.DLL ») pour pouvoir utiliser la simulation de terminal
(telnet), le téléchargement de fichiers (ftp), le courrier électronique (mail)
etc., avec des logiciels comme : Trumpet for Windows, Eudora, WinQVT,
NCSA Telnet, PathWay Access, PC/TCP etc. [12].

Michel CARTEREAU
assistant en informatique
INA PG mathématique-informatique
16 rue Claude Bernard
75231 Paris cedex
tél : (1) 44 08 16 80
Télécopie : (1) 44 08 16 66
Internet : Michel.Cartereau✠inapg.inra.fr

L'auteur tient ici à remercier Joël Marchand, de l'Ecole


Polytechnique, pour son amicale et précieuse collaboration.

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4. ANNEXES

4.1 Adresses
• Calvacom - 175 rue Jean-Jacques Rousseau - 92138 Issy-les-
Moulineaux - Téléphone : (1) 41 08 11 00.
• Compuserve (serveur commercial) - Centre ATRIA - Rueil 2000 - 21
av. Edouard Belin - 92 566 Rueil-Malmaison - Téléphones : 36.63.81.22
(n° vert-azur), (1) 47.14.21.60 - Télécopie : (1) 47.14.21.51
• FDN (association French data network) - 8 rue Belgrand - 75020 Paris -
Tél : (1) 44.62.90.64 - Télécopie : (1) 47.97.58.73 - Internet : [email protected]
• Fnet (association) - 11 rue Carnot - 94270 Le Kremlin-Bicêtre - Tél : (1)
45.21.04.04 - Télécopie : (1) 46.58.94.20 - Internet : [email protected]
• FranceNet - 49 rue du Faubourg Poissonière - 75009 Paris -
Téléphone : (1) 36.70.75.24 (service audiotel, 9 F/mn)
• Oleane (société commerciale) - 35 boulevard de la Libération - 94300
Vincennes - Téléphone : (1) 43.28.32.32 - Télécopie : (1) 43.28.46.21 -
Internet : [email protected]
• Renater (réseau national) - Université Pierre et Marie Curie - 4 place
Jussieu - 75253 Paris ced. 05 - Tél : (1) 44.24.73.34 - Fax : (1) 44.27.73.33.
• Worldnet - 20 av. Daguerre - 77500 Chelles - Tél : (1) 60 20 85 14.

4.2 Références bibliographiques


[1] « Boîtiers fax à reconnaissance : du texte au bout du fil », Science et
vie micro, février 1993, p. 74-78.
[2] « Forging a Business Tool : Three Fax Sofware Packages for
Windows », Byte, février 1993, p. 209-212.
[3] « Fax Plus OCR : More Than Meets the Eye », Byte, août 1993,
p. 130-139.
[4] « Le point sur les solutions Fax-modems informatiques », Télécoms
magazine, n° 25, octobre 1993, p. 62-67.
[5] J.L. Archimbaud, « Utilisation des nouveaux services d'accès à
l'information sur l'Internet (pour un laboratoire de recherche ou
une université) », Micro-bulletin du CNRS, n° 53, janvier-février
1994.
[6] « Advancing Communications », Byte, février 1994, p. 104-110.
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[7] « Bien débuter avec la connexion aux BBS », Science et vie micro,
février 1994, p. 154-157.
[8] « Fax en réseau : l'an 01 de la nouvelle télécopie », 01 Réseaux, n°1,
mars 1994, p. 97-104.
[9] « Comparatif : sept modems V32bis à moins de 2 800 F », Science et
vie micro, avril 1994, p. 108-113.
[10] « Dossier spécial : choisir et utiliser un modem », Soft & Micro, mai
1994, p. 46-61.
[11] « Mieux communiquer sous Windows », Windows plus, février 1994,
p. 149-155.
[12] H.M. Kriz, « Windows and TCP/IP for Internet Access », document
électronique [forum sur Usenet : comp.internet.library], janv. 1994.
[13] T. Besançon, « Accès à UUCP, USENET et l'Internet depuis la
France », document en cours de réalisation, mai 1994.
[14] « Banc d'essai : Smartcom de Hayes », Windows +, n°3, déc. 1993.
[15] « Au grand bazar des branchés », Le Monde, 15 juin 1994.
[16] J. Marchand, « A propos de la communication électronique », Guide
de l'étudiant-chercheur, mai 1994 [document disponible auprès de
l'association Etudiants et Chercheurs, c/o J. Marchand, 91, rue
Boucicaut, 92260 Fontenay-aux-Roses (envoyer une enveloppe
timbrée à 6 F 70)].
[17] « Nouvelles technologies et communication, des autoroutes pour
aller où ? », Politis, n° 18, mai-juin 1994.
[18] L'indispensable pour communiquer avec son micro-ordinateur,
Marabout.
[19] B.P. Kehoe, Zen and the Art of the Internet, document électronique
[serveur FTP archie.mcgill.ca], janvier 1992.
[20] E. Krol, The Whole Internet User's Guide & catalog, O'Reilly, 1994,
410 p., 265 F.
[21] LaQuey, The Internet Companion, a beginning's guide to global
networking, 1993, 190 p., 93 F.
[22] Internet pour les nuls, 1994, 98 F.
[23] « Internet vient chasser sur les terres su Minitel », Libération, juin
1994.
[24] « Branchez-vous ! » [Dossier sur Internet et les autoroutes de
l'information], Science et Vie Micro, juillet 1994, p. 72-92.

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