Corrigé - Série de T.D. N°2 Du TS 521
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Faculté de Technologie
Département de Télécommunications.
Solution de l’exercice1 :
𝐴⃗ = 𝑥 2 𝑦 𝑢
⃗⃗𝑥 + 𝑦 2 𝑥 𝑢⃗⃗𝑦 − 4𝑥𝑦𝑧 𝑢
⃗⃗𝑧
Le champ d’induction 𝐵 ⃗⃗ = 𝑟𝑜𝑡
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐴⃗ = ∇ × 𝐴⃗
𝑢
⃗⃗𝑥 𝑢
⃗⃗𝑦 𝑢
⃗⃗𝑧
𝜕 𝜕 𝜕 |
𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐴⃗ = ∇ × 𝐴⃗ = ||
⃗⃗ = 𝑟𝑜𝑡 =𝑢 ⃗⃗𝑥 (−4𝑥𝑧) + 𝑢 ⃗⃗𝑧 (𝑦 2 − 𝑥 2 )
⃗⃗𝑦 (+4𝑦𝑧) + 𝑢
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧 |
𝑥 2 𝑦 𝑦 2 𝑥 −4𝑥𝑦𝑧
⃗⃗ = −4𝑥𝑧 𝑢
D’où 𝐵 ⃗⃗𝑦 + (𝑦 2 − 𝑥 2 )𝑢
⃗⃗𝑥 + 4𝑦𝑧 𝑢 ⃗⃗𝑧
Solution de l’exercice2 :
a- Soit un système physique où𝐸⃗⃗ = 0. On se demande s’il existe un champ magnétique
dépendant du temps.
⃗⃗ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = − 𝜕𝐵 = 0 𝑐𝑎𝑟 𝐸⃗⃗ = 0, d’où𝜕𝐵 = 0.
L’équation de Maxwell Faraday précise𝑟𝑜𝑡 𝜕𝑡 𝜕𝑡
Ceci montre que 𝐵 ⃗⃗ est constant par rapport au temps. Donc, un champ magnétique
dépendant du temps ne peut exister en l’absence d’un champ électrique.
b- Il n’existe pas de champ magnétique :𝐻 ⃗⃗ = 0.Existe-t-il un champ électrique associé ?
⃗⃗ ⃗⃗
Si 𝐻⃗⃗ = 0 : l’équation de Maxwell Ampère⇒ 𝑟𝑜𝑡 ⃗⃗ = 𝜕𝐷 + 𝑗⃗ = 0 ⇒ 𝜕𝐷 = −𝐽⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐻
𝜕𝑡 𝜕𝑡
𝐽 ⃗
Si 𝐽⃗ ≠ 0 ⇒ 𝐸⃗⃗ = − ∫ 𝜀 𝑑𝑡 ≠ 0
Donc, s’il existe une densité de courant𝐽⃗, même si⃗⃗⃗⃗
𝐻 = 0, il existe alors un champ
électrique.
Cette condition peut être satisfaite dans les plasmas (gaz ionisés), et on a alors
propagation d’ondes électrocinétiques sans champ magnétique associé.
Solution de l’exercice 3 :
𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
𝐸⃗⃗ = 𝐴 sin 𝑎 cos 𝑎 𝑢⃗⃗⃗⃗⃗,
𝑥 A=Cste, c : vitesse de la lumière dans le vide.
𝜕𝐸 𝜕𝐸𝑦 𝜕𝐸
a. 𝑑𝑖𝑣𝐸⃗⃗ = ⃗∇⃗. 𝐸⃗⃗ = 𝜕𝑥𝑥 + 𝜕𝑦 + 𝜕𝑧𝑧
𝑑𝑖𝑣𝐸⃗⃗ = 0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = ∇
𝑟𝑜𝑡 ⃗⃗ ∧ 𝐸⃗⃗
𝑢𝑥 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑢𝑦 𝑢𝑧
⃗⃗⃗⃗⃗
𝜕 𝜕 𝜕 𝜕𝐸𝑥 𝜕𝐸𝑥 𝜕𝐸𝑥
=| |= 0𝑢
⃗⃗⃗⃗⃗𝑥 − ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑢𝑦 (0 − ) + ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑢𝑧 (0 − )= 𝑢𝑦
⃗⃗⃗⃗⃗
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧 𝜕𝑧 𝜕𝑦 𝜕𝑧
𝐸𝑥 0 0
𝐴𝜋 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ =
𝑟𝑜𝑡 cos cos 𝑢𝑦 ≠ ⃗0⃗
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑎 𝑎 𝑎
⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐸⃗⃗ = − 𝜕𝐵 et qu’il est ≠ ⃗0⃗, alors il existe un champ induction magnétique (donc un
Puisque 𝑟𝑜𝑡 𝜕𝑡
champ magnétique) variant dans le temps.
b. Est-ce qu’on peut dire que 𝐸⃗⃗ = 𝑔𝑟𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗𝑑 𝑆 ? S fonction scalaire :
⃗⃗
Si 𝐸 = 𝑔𝑟𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗𝑑 𝑆 alors 𝑟𝑜𝑡𝐸 = 𝑟𝑜𝑡(𝑔𝑟𝑎⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗𝑑 𝑆) et on sait que le ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑟𝑜𝑡(𝑔𝑟𝑎 ⃗⃗⃗⃗⃗𝑑) est toujours
nul.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐸⃗⃗ est ≠ ⃗0⃗. Dons, non, 𝐸⃗⃗ ne peut pas s’exprimer sous forme du gradient
Or, ici le 𝑟𝑜𝑡
d’une fonction scalaire.
⃗⃗ :
c. Calcul de 𝐻
⃗⃗ ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = − 𝜕𝐵 = −𝜇0 𝜕𝐻
𝑟𝑜𝑡 𝜕𝑡 𝜕𝑡
⟹𝐻 ⃗⃗ = − 1 ∫ 𝑟𝑜𝑡
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ 𝑑𝑡
𝜇0
1 𝐴𝜋 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
= −𝜇 ∫ cos cos 𝑑𝑡 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑢𝑦
0 𝑎 𝑎 𝑎
1 𝐴𝜋 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
= −𝜇 cos 𝑢𝑦 ∫ cos
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑑𝑡
0 𝑎 𝑎 𝑎
1 𝐴𝜋 𝑎 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
= −𝜇 cos sin 𝑢𝑦
⃗⃗⃗⃗⃗
0 𝑎 𝜋𝑐 𝑎 𝑎
𝐴 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
⃗⃗ = −
⟹𝐻 cos sin 𝑢𝑦
⃗⃗⃗⃗⃗
𝜇 𝑐 0 𝑎 𝑎
𝑛⃗⃗ : vecteur unitaire normal à la surface de séparation entre les deux milieux, dirigé du milieu 2
vers le milieu 1.
• Sur la plaque supérieure
z
⃗⃗1 = ⃗0⃗ (conducteur parfait)
𝐻 CP (1)
⃗⃗2 = 𝐻
Et 𝐻 ⃗⃗ , le champ régnant entre les deux y 𝐸⃗⃗
(2) :Air
plaques métalliques (dans l’air), calculé dans ⃗⃗
𝐻
x
la question précédente. (1)
𝑛⃗⃗ (dirigé du milieu 2 vers le milieu 1) est = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑢𝑧
⟹ 𝐽⃗𝑠1 = 𝑛⃗⃗ ∧ (𝐻
⃗⃗1 − 𝐻
⃗⃗2 ) = ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ − 𝐻
𝑢𝑧 ∧ (0 ⃗⃗ ) = −𝑢 ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗𝑧 ∧ 𝐻
𝐴 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
=+ cos sin (𝑢
⃗⃗⃗⃗⃗𝑧 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗)
𝑢𝑦
𝜇0 𝑐 𝑎 𝑎
𝑢𝑧 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑢𝑦 = −𝑢
⃗⃗⃗⃗⃗𝑥
𝐴 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
⟹ 𝐽⃗𝑠1 = − 𝜇 𝑐 cos sin 𝑢𝑥
⃗⃗⃗⃗⃗
0 𝑎 𝑎
𝐴 𝜋𝑧 𝜋𝑐𝑡
⟹ 𝐽⃗𝑠2 = + 𝜇 𝑐 cos sin 𝑢𝑥
⃗⃗⃗⃗⃗
0 𝑎 𝑎
Solution de l’exercice 4 :
Le champ électrique en coordonnées polaires est donné par :
2𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃
𝐸𝑟 = 𝑟3
𝐸⃗⃗ = 𝐸𝑟 𝑢 ⃗⃗𝜃 avec : {𝐸 = 𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃
⃗⃗𝑟 + 𝐸𝜃 𝑢
𝜃 𝑟3
𝐸𝑧 = 0
1. Equations des lignes de champs :
𝐸⃗⃗ = 𝜆 ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙
En coordonnées cylindriques : ⃗⃗⃗⃗ = 𝑑𝑟 𝑢
𝑑𝑙 ⃗⃗𝑟 + 𝑟 𝑑𝜃 𝑢
⃗⃗𝜃 + 𝑑𝑧 𝑢
⃗⃗𝑧
⟹ 𝐸𝑟 𝑢
⃗⃗𝑟 + 𝐸𝜃 𝑢
⃗⃗𝜃 + +0 𝑢
⃗⃗𝑧 = 𝜆 𝑑𝑟 𝑢
⃗⃗𝑟 + 𝜆 𝑟 𝑑𝜃 𝑢
⃗⃗𝜃 + 𝜆 𝑑𝑧 𝑢
⃗⃗𝑧
𝐸𝑟 = 𝜆 𝑑𝑟
⟹ { 𝐸𝜃 = 𝜆 𝑟 𝑑𝜃
𝐸𝑧 = 𝜆 𝑑𝑧 = 0 ⟹ 𝑑𝑧 = 0 𝑐𝑎𝑟 𝐸𝑧 = 0
𝑑𝑟 𝑟 𝑑𝜃 1
Donc : 𝐸 = =𝜆
𝑟 𝐸𝜃
2𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃
⟹ 𝑟 𝐸𝑟 𝑑𝜃 = 𝐸𝜃 𝑑𝑟 ⟹ 𝑟 𝑑𝜃 = 𝑑𝑟
𝑟3 𝑟3
2 𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑠𝑖𝑛𝜃
⟹ 𝑑𝜃 = 𝑑𝑟
𝑟2 𝑟3
2 𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑑𝑟
⟹ 𝑑𝜃 = (1)
𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑟
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ :
Il suffit donc de calculer 𝑟𝑜𝑡
En coordonnées polaires (cylindriques) :
1 ∂𝐸𝑧 ∂𝐸𝜃 ∂𝐸𝑟 ∂𝐸𝑧 1 ∂(𝑟 𝐸𝜃 ) 1 ∂𝐸𝑟
𝑟𝑜𝑡 𝐸⃗⃗ = u
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗r ( − )+u
⃗⃗θ ( − )+ u
⃗⃗z ( − )
r ∂θ ∂z ∂z ∂r r ∂r r ∂θ
𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃 2𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃
1 ∂ (𝑟 𝑟3 ) 1 ∂ ( 𝑟3 )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = 0 u
𝑟𝑜𝑡 ⃗⃗r + 0 u
⃗⃗θ + u
⃗⃗z ( − )
r ∂r r ∂θ
𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃 ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = (−2
𝑟𝑜𝑡 4
+2 )u
⃗⃗z = 0
𝑟 𝑟4
𝜕𝑉 1 𝜕𝑉 𝜕𝑉
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑉 ⟹ 𝐸𝑟 𝑢
𝐸⃗⃗ = −𝑔𝑟𝑎𝑑 ⃗⃗𝑟 + 𝐸𝜃 𝑢
⃗⃗𝜃 + +𝐸𝑧 𝑢
⃗⃗𝑧 = − 𝑢
⃗⃗𝑟 − 𝑢
⃗⃗𝜃 − 𝑢
⃗⃗
𝜕𝑟 𝑟 𝜕𝜃 𝜕𝑧 𝑧
𝜕𝑉
− 𝜕𝑟 = 𝐸𝑟
1 𝜕𝑉
⟹ −𝑟 = 𝐸𝜃 V n’est pas fonction de z.
𝜕𝜃
𝜕𝑉
{− 𝜕𝑧 = 𝐸𝑧 = 0
Ceci implique que :
𝑉 = − ∫ 𝐸𝑟 𝑑𝑟 ou 𝑉 = − ∫ 𝑟 𝐸𝜃 𝑑𝜃
1 𝑟 −2
𝑉 = − ∫ 𝐸𝑟 𝑑𝑟 = −2𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃 ∫ 𝑑𝑟 = −2 𝑘 cos 𝜃 ∫ 𝑟 −3 𝑑𝑟 = −2 𝑘𝑐𝑜𝑠𝜃 [ −2 ]
𝑟3
𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃
⟹𝑉=
𝑟2
Ou alors :
𝑘 𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑘
𝑉 = − ∫ 𝑟 𝐸𝜃 𝑑𝜃 = − ∫ 𝑟 3
𝑑𝜃 = − 2 ∫ 𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑑𝜃
𝑟 𝑟
𝑘 𝑐𝑜𝑠𝜃
⟹𝑉=
𝑟2
Solution de l’exercice 5 :
𝑉0
𝐸⃗⃗ (𝑥, 𝑦) = (𝑦 𝑢⃗⃗𝑥 + 𝑥 𝑢⃗⃗𝑦 )
𝑎2
𝐸⃗⃗ dérive-t-il d’un potentiel ?
𝑟𝑜𝑡 𝐸⃗⃗ :
Afin de le vérifier, nous calculons ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗𝑢⃗𝑥 ⃗𝑢⃗𝑦 ⃗𝑢⃗𝑧
𝜕 𝜕 𝜕
| | 𝑉0 𝑉0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ =
𝑟𝑜𝑡 𝜕𝑥 𝜕𝑦 ⃗⃗𝑥 − 0 𝑢
𝜕𝑧 = 0 𝑢 ⃗⃗𝑦 + ( 2 − ⃗⃗
)𝑢
| | 𝑎 𝑎2 𝑧
𝑉0 𝑉0
𝑦 𝑥 0
𝑎2 𝑎2
⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = 0
𝑟𝑜𝑡
Puisque le ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑟𝑜𝑡(𝑔𝑟𝑎𝑑⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) est toujours nul, alors nous pouvons dire que 𝐸⃗⃗ dérive d’une fonction
scalaire (qui représente le potentiel scalaire)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑉
𝐸⃗⃗ = −𝑔𝑟𝑎𝑑
a. On cherche à déterminer ce potentiel scalaire V :
𝑉0 𝑉0 ∂V ∂V ∂V
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑉 ⟹
𝐸⃗⃗ = −𝑔𝑟𝑎𝑑 𝑦 𝑢⃗⃗𝑥 + 2 𝑥 𝑢⃗⃗𝑦 + 0 𝑢⃗⃗𝑧 = − ⃗⃗x −
u ⃗⃗y −
u u
⃗⃗
𝑎 2 𝑎 ∂x ∂y ∂z z
∂V 𝑉0 𝑉0
−
= 2 𝑦 ⟹ 𝑉 = − ∫ 2 𝑦 𝑑𝑥
∂x 𝑎 𝑎
⟹
∂V 𝑉0 𝑉0
− = 2 𝑥 ⟹ 𝑉 = − ∫ 2 𝑥 𝑑𝑦
{ ∂y 𝑎 𝑎
• De O à A en passant par A2 :
𝐴 𝐴 𝐴
∫𝑂 𝐸⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙 = ∫𝑂 2 𝐸⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙2 + ∫𝐴 𝐸⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙1
(𝑦=0) 2 (𝑥=𝑎)
𝑎 𝑉0 𝑎 𝑉 𝑉
= ∫0 𝑎2
𝑥 𝑢⃗⃗𝑦 . 𝑑𝑥 𝑢⃗⃗𝑥 + ∫0 (𝑎20 𝑦 𝑢⃗⃗𝑥 + 𝑎20 𝑎 𝑢⃗⃗𝑦 ) . 𝑑𝑦 𝑢⃗⃗𝑦
𝐴 𝑎𝑉 𝑉0
∫𝑂 𝐸⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙 = ∫0 𝑎0 𝑑𝑦 = 𝑎
[𝑦]𝑎0 = 𝑉0
Nous trouvons le même résultat : l’intégration ne dépend pas du chemin suivi. Lorsque
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑉 (dérive d’un potentiel), alors :
𝐸⃗⃗ = −𝑔𝑟𝑎𝑑
𝐵
∮𝐴 𝐸⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑙 = 𝑉𝐴 − 𝑉𝐵 quel que soit le chemin suivi entre le point A et B.
Solution de l’exercice 6 :
⃗⃗ défini par :
On considère le champ 𝐸
𝐸𝑥 = 0, 𝐸𝑦 = 0, 𝐸𝑧 = 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦)
𝜕𝐸𝑦
⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = 𝜕𝐸𝑥 + 𝜕𝐸𝑧
1. 𝑑𝑖𝑣 𝐸⃗⃗ = ∇. +
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧
𝑑𝑖𝑣 𝐸⃗⃗ = 0
⃗𝑢⃗𝑥 ⃗⃗𝑦 𝑢⃗⃗𝑧
𝑢
𝜕 𝜕 𝜕 𝜕𝐸𝑧 𝜕𝐸𝑧
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = ⃗∇⃗ ∧ 𝐸⃗⃗ = |
𝑟𝑜𝑡 |= ⃗⃗𝑥
𝑢 − ⃗⃗𝑦
𝑢 + 0 𝑢⃗⃗𝑧
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧 𝜕𝑦 𝜕𝑥
0 0 𝐸𝑧
⃗⃗
𝑟𝑜𝑡 𝐸 = −𝛾 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑥 + 𝛽𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑦
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗ :
2. Calcul de 𝐵
⃗⃗
𝜕𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ = −
𝑟𝑜𝑡 ⃗⃗ = − ∫ 𝑟𝑜𝑡
⟹𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸⃗⃗ 𝑑𝑡
𝜕𝑡
𝛾 𝛽
⃗⃗ =
⟹𝐵 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑥 − 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑦
𝛼 𝛼
𝜕𝐵𝑦
⃗⃗ = 𝜕𝐵𝑥 + 𝜕𝐵𝑧
⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑖𝑣 𝐵 ∇. 𝐵 +
𝜕𝑥 𝜕𝑦 𝜕𝑧
𝛽𝛾 𝛽𝛾
=− 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) + 𝐸 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) = 0
𝛼 𝛼 0
⟹ 𝑑𝑖𝑣⃗⃗⃗⃗
𝐵=0
𝜕𝐸⃗⃗
⃗⃗ = 𝜀0 𝜇0
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐵
𝑟𝑜𝑡
𝜕𝑡
𝛽 2 +𝛾 2
⟹ 𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑧 = 𝜀0 𝜇0 𝛼𝐸0 𝑒 (𝛼𝑡−𝛽𝑥−𝛾𝑦) 𝑢⃗⃗𝑧
𝛼
𝛽 2 +𝛾 2
⟹ = 𝜀0 𝜇0 𝛼
𝛼
𝛽 2 +𝛾 2 1
⟹ =
𝛼2 𝑐2
1
Puisque 𝑐 = : vitesse de la lumière dans le vide.
√ 𝜀 0 𝜇0