Rapport Laboratoire Sedimentation

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Rapport de laboratoire 1

Mécanique des sols GCI-1007

Analyse granulométrique par sédimentation

7 octobre 2022

Équipe no. 28

Alex Robitaille 536 821 058

Jade Pomerleau-Daigle 536 882 294

Alexis Roy 536 781 459

Présenté à:

Ariane Locat

Département de génie civil et de génie des eaux

Université Laval

17 octobre 2022
Laboratoire 1 Université Laval Équipe 28

Tables des matières


1 But de l’essai .......................................................... 3
2 Description du sol................................................... 3
3 Description de l’essai ............................................. 3
Préparation du sol testé................................................................................ 3
Préparation de la solution dispersante ......................................................... 4
Étalonnage de l’hydromètre ........................................................................ 4
Préparation de la suspension ....................................................................... 4
Sédimentation .............................................................................................. 4

4 Présentation des résultats........................................ 5


5 Analyse des résultats ............................................ 13
Annexe .................................................................... 15
Bibliographie ........................................................... 16

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1 But de l’essai
L’essai consiste à réaliser une analyse granulométrique par la méthode de sédimentation.
Elle permet de déterminer la granulométrie d’un sol fin dont les particules ont un
diamètre inférieur à 80 μm, d’où il est possible d’estimer plusieurs propriétés du sol tels
que la perméabilité, la gélivité et la résistance du sol.

2 Description du sol
L’échantillon de sol est un sol de type argileux, de couleur grisâtre foncé uniformément,
de consistance ferme et de texture fine, provenant du sondage (PS-10) et numéroté o3523,
prélevé à une profondeur de 27,30 à 27,40 mètres au cours du projet F22140 réalisé par
LVM le 12 octobre 2011. L’échantillon est enrobé d’une couche de cire et conservé dans
une pellicule plastique de sorte à lui permettre de conserver sa teneur en eau naturelle
jusqu’à l’essai. Une vue de l’échantillon est présentée en Annexe à la figure 1.

3 Description de l’essai
Tel que mentionné plus haut, la caractérisation granulométrique d’un sol à particules
fines (< 0,08 mm) est complétée par un essai de sédimentation. La théorie de la
sédimentation de particules fines dans un liquide, qui obéit à la loi de Stokes, montre
que la vitesse de chute d'une particule dans un liquide est proportionnelle à la différence
des masses volumiques entre la particule et le liquide et au carré de la dimension de la
particule, voir équation (1) [1]. Les particules nécessitent des temps de sédimentation
différents selon leurs diamètres, évalués à l’aide d’un hydromètre. Simultanément, la
température est mesurée puisque la densité du liquide standardisé varie selon celle-ci. Par
la suite, ces mesures permettent d’établir la quantité de particules encore en suspension.
C’est pourquoi la prise de données à l’hydromètre s’échelonne sur une période de 24
heures.

L’expérience se décompose essentiellement en cinq grandes étapes, soit la préparation du


sol, la préparation de la solution dispersante, l’étalonnage de l’hydromètre, la préparation
de la suspension et la sédimentation.

Préparation du sol testé


L’emballage multicouche du sol est déballé avec soin. Puis, les extrémités de
l’échantillon sont coupées, et un fragment au centre de celui-ci est prélevé et pesé. Aucun

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tamisage n’a été nécessaire, puisque l’échantillon sol, de type argileux, ne contient pas de
particules supérieures à 2 mm.

Préparation de la solution dispersante


La solution dispersante est constituée d’eau distillé et d’hexamétaphosphate de sodium,
un agent dispersant. Essentiellement, elle permet de séparer les grains de sol les uns des
autres afin de bien estimer leurs dimensions durant l’essai. Il est important de bien
mélangée la solution, à l’aide d’un appareil agitateur, durant environ 5 minutes, jusqu’à la
dissolution complète de l’agent dispersant.

Étalonnage de l’hydromètre
L’hydromètre est calibrée afin de corriger les lectures en fonction des températures et de
la présence de l’agent dispersant dans le mélange. L’idée est d’obtenir des lectures de
l’hydromètre à quatre températures différentes de la solution dispersante, comprise entre
15 et 25o C. La solution est refroidie dans un bain d’eau froide.

Préparation de la suspension
La préparation de la suspension consiste à mélanger un échantillon de sol à la solution
dispersante. Le mélange sol-eau-dispersant est versée dans le vase du mixeur et est agitée
pour une durée d’environ 5 minutes. La durée d’agitation est fonction du type de sol et
est spécifiée à la figure 2 de l’Annexe. Le contenu du vase est vidé dans un cylindre à
sédimentation jusqu’au trait de jauge. Il est important de bien rincer les accessoires lors
d’échange pour s’assurer d’avoir le moins de perte de sol possible.

Sédimentation
Après avoir agité le cylindre manuellement, durant 1 minute, les lectures à l’hydromètre
se font à des temps prédéfinis (voir Tableau 5). Ces lectures permettent d’estimer le
pourcentage de particule en suspension selon le temps. D’ailleurs, les prises de
température de la solution sont faites simultanément et permettent de déterminer la
viscosité de la solution à travers le temps. Des dépôts ont évidemment tendance à se
former au fond du cylindre durant le processus de sédimentation, et les prises de mesures
permettent d’estimer l’évolution de la masse volumique de la solution avec le temps.

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4 Présentation des résultats


Tel que mentionné précédemment, selon la loi de Stokes, la vitesse à laquelle une
particule se déplace dans un liquide au repos est fonction de son diamètre et de la
viscosité du liquide, soit l’équation suivante :

g ∙ 𝐷2 ∙ (𝜌𝑠 − 𝜌𝑤 )
ν = (1)
18h
Où :

ν : la vélocité de la particule

s : la masse volumique des particules

w : la masse volumique du liquide

 : la viscosité du liquide

g : l’accélération gravitationnelle

D : le diamètre des particules

Lors de l’essai de sédimentation, la masse totale du sol humide échantillonné est utilisé
en deux fragment. Le premier est utilisé afin de définir la masse totale du sol sec en
suspension dans la solution (mTS) et le deuxième est utilisé dans le but de déterminer la
teneur en eau du sol (w).

Les résultats pour les masses mesurés et calculés sont présentés dans le Tableau.

Tableau 1 – Masse du sol et teneur en eau


Mesure Masse (g)
mth Masse rec. + sol humide 6.65
mts Masse rec. + sol sec 4.69
mw Masse de l’eau 1.96
mt Masse du récipient 0.99
ms Masse du sol sec 3.70
mh Masse du sol humide 5.66

mTH Masse totale du sol humide 70.06


mTS Masse totale du sol sec 45.80

w Teneur en eau (%) 52.97


Tableau 1 : Masse du sol et teneur en eau

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Les masses présentées dans le Tableau 1 mesurées avec la balance sont :

Masse récipient (g) + Sol humide (g) = 6.65 g

Masse récipient (g) + Sol sec (g) = 4.69 g

Masse récipient (g) = 0.99 g

Masse totale sol humide (g) = 70.06 g

Les autres masses et la teneur en eau présentées au Tableau 2 sont calculées selon ces
relations :

Masse humide (g) = mTH – mT = 6.65 g – 0.99 g = 5.66 g (2)

Masse sol sec (g) = mTS – mT = 4.69 g – 0.99 g = 3.70 g (3)

Masse eau (g) = mH – mS = 5.66 g − 3.70 g = 1.96 g (4)

mw 1.96 g
Teneur en eau (%) = ∙ 100 = ∙ 100 = 52. ̅̅̅̅̅
972 % (5)
ms 3.70 g

mTH 70.06 g
Masse totale sec (g) = = = 45.80 g (6)
1+w 1 + 0.52972

Les données d’étalonnage de l’hydromètre sont présentées dans le Tableau 2 et la courbe


de correction à la Figure 1.

Tableau 2 - Étalonnage
Ri T (C°)
4.0 23.5
5.0 21.0
7.0 18.0
8.0 17.0
Tableau 2 : Coordonnées des points obtenus
lors de l’étalonnage de l’hydromètre

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Courbe de calibration de l'hydromètre


Courbe de tendance linéaire (C)

10
9
Lecture sur l'hydromètre

8
7
6
y = -0,611x + 18,143
5
4
3
2
1
0
15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
Température (C°)

Figure 1 : Courbe de calibration de l'hydromètre #3716

L’équation de la courbe de tendance linéaire C (y = -0.611x + 18.143) de l’hydromètre


#3716 de la Figure 1 permet de calculer un facteur de correction (C). Par exemple ;

C1 = 0.611 ∙ x1 + 18.143

C1 = 0.611 ∙ T1 + 18.143

C1 = 0.611 ∙ 26.5℃ + 18.143 = 1.95 cm

Par la suite, la relation ci-dessous permet de déterminer la lecture corrigée de


l’hydromètre :

R1 = R i1 − C1 (7)

R1 = 47.5 cm − 1.95 cm = 45.55 cm

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La viscosité (η) est déterminée par interpolation linéaire des valeurs C et D à partir du
Tableau 3.

A 26 0.000871
B 27 0.000852

Tableau 3 : Tableau de valeurs de viscosité de

l’eau à différentes températures

La viscosité est calculée comme suit :

TA − T1 TA − TB
= (8)
ηA − η𝟏 ηA − ηB

TA − T1
η𝟏 = ηA − ∙ (ηA − ηB )
TA − TB

26.0 ℃ − 26.5℃
η𝟏 = 0.000871 Pa ∙ s − ∙ (0.000871 − 0.000852)Pa ∙ s
26.0℃ − 27.0℃
η𝟏 = 8.62 × 10−4 Pa ∙ s

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La profondeur effective (H’) est calculée par l’équation suivante :

Vb
H1 ′ = H1 + 0.5 (H2 − ) (9)
A

67.0 cm3
H1 ′ = (8.4 cm + R1 ) + 0.5 (14,0 cm − )
27.8 cm2

67.0 cm3
H1 ′ = (8.4 cm + 45.55 cm) + 0.5 (14.0 cm − ) = 48.15 cm
27.8 cm2

Avec :

H1 : distance sur la tige entre la position de la lecture et le dessus de la bulbe (cm)

H2 : longueur totale de la bulbe (14,0 cm)

Vb : volume de la bulbe de l’hydromètre (67,0 cm3)

A : aire de la section du cylindre gradué de sédimentation (27,8 cm2)

La densité relative des grains sec (Drs) est de 2.65 et la densité relative de l’eau
est 1.00, donc le facteur de correction pour la densité des particules solides est de
1.00, selon le Tableau 4.

Tableau 4 : Tableau de valeurs de facteur de correction « a »

pour différentes densités de particules solides


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Le diamètre équivalent des particules est calculé selon l’équation suivante

3η𝟏 𝐻1 ′
𝐷1 = √ ∙( ) (10)
9.8(𝐷𝑟𝑠 − 𝐷𝑟𝑖 ) 𝑡1

3(8.62 × 10−4 𝑃𝑎 ∙ 𝑠) 48.65 𝑐𝑚


𝐷1 = √ ∙( )
9.8(2.65 − 1.00) 0.83 𝑚𝑖𝑛

𝐷1 = 0.097 𝑚𝑚

Avec :

D : diamètre équivalent des particules (mm)

η : viscosité de l’eau

Drs : densité relative des grains secs (2,65)

Dri : densité relative de l’eau (1,00)

H’ : profondeur effective (cm)

t : temps (min)

Pour chacune des lectures (i), les pourcentages de particules de diamètre inférieur au
diamètre équivalent ou le pourcentage de passant (P) sont calculés selon l’équation qui
suit :

𝑅1 × 𝑎
𝑃1 = × 100 (11)
𝑚 𝑇𝑆

45.55 ∙ 1.00
𝑃1 = × 100
45.80
𝑃1 = 99.45 %

Avec :

R : lecture de l’hydromètre corrigée

a : facteur de correction

mTS : masse totale du sol sec

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La courbe granulométrique obtenue est présentée à la Figure 2. Celle-ci démontre que


toutes les particules, soit 100%, passent le tamis de 0.002 mm et que le sol correspond
donc bien à une argile. C’est d’ailleurs pourquoi le pourcentage P’ est équivalent à P.

Figure 2 : Courbe granulométrique de l’échantillon

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Les lectures de l’hydromètre (Ri) et du thermomètre (T), ainsi que les résultats obtenus
selon les calculs présentées précédemment dans cette section, sont présentés dans le
Tableau 5.

Tableau 5A – Essai de sédimentation (Hydromètre)

Numéro Lecture Lecture


Correction Profondeur Diamètre
de la Temps hydromètre hydromètre
composée effective équivalent
lecture non corrigée corrigée
t (min) Ri (cm) C (cm) R (cm) H' (cm) D (mm)
1 0,83 47,5 1,95 45,55 48,15 0,096
2 2 46 1,95 44,05 46,65 0,060
3 5 44,5 1,95 42,55 45,15 0,037
4 15 42 1,95 40,05 42,65 0,021
5 30 40 2,26 37,74 40,35 0,014
6 60 36 2,99 33,01 35,61 0,010
7 120 34 3,48 30,52 33,13 0,007
8 240 32,5 3,17 29,33 31,93 0,005
9 485 30 3,17 26,83 29,43 0,003
10 1440 26 5,31 20,69 23,29 0,002

Tableau 5B – Essai de sédimentation (Viscosité)


Numéro
de la Temps Température Viscosité % de sol en suspension
lecture
t (min) T (°C) η (x10-4 P ∙ s) P (%) P’ (%)
1 0,83 26,5 8,62 99,45 99,45
2 2 26,5 8,62 96,18 96,18
3 5 26,5 8,62 92,90 92,90
4 15 26,5 8,62 87,44 87,44
5 30 26 8,71 82,41 82,41
6 60 24,8 8,94 72,07 72,07
7 120 24 9,11 66,64 66,64
8 240 24,5 9,01 64,03 64,03
9 485 24,5 9,01 58,57 58,57
10 1440 21 9,78 45,17 45,17

Tableau 5 : Tableau récapitulatif des données mesurées et calculées lors de l’essai de


sédimentation

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5 Analyse des résultats


La courbe granulométrique obtenue est principalement uniforme pour la majorité des
diamètres. Celle-ci est caractérisé par trois paliers représentant le passage entre deux
classes. Il est possible de remarquer que certaines particules ont un diamètre étant plus
élevée que 80μm. Ceci indique que le sol tester possède environ 4% de particule
comprise entre 0.08mm et 0.16mm. De plus, la courbe granulométrique illustre que 54%
des grain ont un diamètre compris entre 0.08mm et 0.002mm ce qui les classes comme
étant du silt. Puis, 42% des particules du sol à l’essai sont inférieur à 0.002mm ce qui
correspond au diamètre de l’argile. Ainsi, il est possible d’identifier le sol comme étant
du silt et de l’argile avec des traces de sable.

Dans l’ensemble, les résultats concordent avec les observations en laboratoire. Une
corrélation inverse entre le temps et le pourcentage de particule en suspensions est
observé. Ainsi, plus le temps augmentait, moins il y a des particules en suspension
visible. Ce phénomène est aussi observable avec l’augmentation du dépôt de sol au fond
du cylindre avec l’augmentation du temps. En effet, lors de la première minutes 99.45%
des particules étant en suspension comparé à 45.17% après 24h. De plus, la viscosité de
la solution augmente avec le temps passant de 8.62E-4 Pa∙s initialement à 9.78E-4 Pa∙s
contrairement à la température qui diminue de 26.5°C à 21°C en fonction du temps.

Puisque ce laboratoire est une première pour les membres de l’équipe, plusieurs sources
d’erreurs sont possibles. En effet, malgré qu’aucun problème majeur ne soit rencontré,
chaque étape peut causer son lot d’erreurs. Par exemple, afin de rentabiliser la solution du
défloculant, celle-ci a été préparée par d’autres équipes. Il nous est ainsi impossible de
déterminer l’exactitude de cette dernière, ce qui peux causer une erreur lors de
l’étalonnage de l’hydromètre. Ensuite, tout au long du laboratoire, plusieurs
manipulations d’argile et de transfert de contenant doit être effectué. Malgré qu’une
attention particulière est apportée afin de conserver la masse initiale d’argile, il est
possible de perde une quantité inconnue lors des manipulations. Cette perte de masse peut
affecter négativement l’exactitude des calculs en raison d’une différence possible entre la
masse initiale mesurer ainsi que la masse réelle lors de la dernière étape de manipulation.

Malgré le fait que l’argile peut causer des problèmes de tassement, ce type de sol peut
être employé lorsqu’un contrôle de l’imperméabilité du sol est voulue. Il est possible
d’avoir recours à de l’argile pour certains types de barrage. Un sol argileux peut apporter
un certain contrôle de la quantité d’eau présente dans ce dernier. De plus, la perméabilité
de l’argile peut également permettre de rediriger un flux d’eau dans une direction voulu
entre-autre par la construction de digues. Aussi, la compaction de l’argile permet de créer
une couche isolante. En effet, celle-ci peut être employée lorsqu’il y a un intérêt
particulier d’isoler une ou plusieurs substances d’un autre. Cependant, comment
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mentionner plus haut, la compaction d’argile peut engendrer des tassements non voulus,
il est donc important de l’employer avec précaution.

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Annexe

Figure 1 : Échantillon de sol intact

Figure 2 : Durée d’agitation pour la dispersion du sol

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Bibliographie

[1] ALLEN, Terry, ROUX, Nicole. « Analyse granulométrique par sédimentation


», dans Granulométrie, 1998, https://www.techniques-ingenieur.fr/base-
documentaire/archives-th12/archives-techniques-d-analyse-tiata/archive-1/granulometrie-
p1040/ (Page consulté le 15 octobre 2022).

Flavifny, E. 2019. Les argiles : un nanomatériau naturel et surprenant,


https://www.encyclopedie-environnement.org/sol/argiles-nanomateriau-naturel-
surprenant/ (consultée le 14 octobre 2022).

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