Identification de Dégradation
Identification de Dégradation
Identification de Dégradation
Identification de
dégradation
Outils et méthodes
collecte (revelé) Etendue ou gravelé
La décision
1
La description de la dégradation :
Les ornières affaissement localisés apparaissant sous le passage des
véhicules et pouvant affaisser rutibrement de couche de roulement.
Traverse : écoulement transversal qui coupe la chaussée
Rôle ondulé : suites d’ondulations de faible largeur d’onde
perpludiculaire l’axe de route ;
Ravinement : saignés ou ravine de plus ou moins grandes
dimensions, longitudinales ou transversales ;
Nids de poule : cavité de forme arrondie à bords plus au moins
francs à la surface de la couche de roulement.
LES REMONTES DES MATERIAUX (route)
Ce sont des phénomènes de rupture d’adhésion entre arrachement parties
de la route suivie généralement de leur disparition. Ce type de dégradation
n’affiche que la couche de roulement au début de son apparition mais peut
s’aggraver en effectuant les couches sous-jacentes.
C’est l’apparition aussi de matériaux ou d’eau à la surface du revêtement
en en l’affecte ce phénomène peut provenir soit de couches inférieure ou
soit se manifester à partir même de la couche de roulement (ces du
ressuage).
II.4.
LES REMONTES DES MATERIAUX (Rouse)
Ce sont de phénomènes de rupture d’adhésion litre arrachement partis de
Larousse suivie génialement de leur disparition ce type de dégradations
n’affiche que la couche déroulement au début de son apparition mais plut
s’aggraver en effectuent les coules sous-jaculation.
C’est l’apparition aussi de matériaux ou d’eau à la surface du revêtement en
l’affection ce phénomènes peut prévenir soit de couches infirmières ou soit
se manifester à partir même de la couche de roulement (ces du ressuage).
II.4. LES USURES DE LA COUCHE DE RENVELEMENT
Le couche déroulement et la couche supérieure de la structure de chaussée
sur la grille l’agrément directement les agressions conjuguées du trafic et du
climent. 04 Novembre 2007. http:///WWW.planete-tp.com
Usure ou perte de la coche déroulement sors l’effet conjugué du trafic et de
l’entretien (reprofilage en déblais)
Les autres types de dégradations
Suivi nous avons retenir pour les chaussés à revêtement quatre grandes
famille de dégradation à savoir :
- La déformation
- Les arrachements et
- Les mouvements de matériaux
- Les fissurations
Pour les routes non revêtues, deux grandes familles ont été retenues :
Les déformations et les arrachements
DIAGNOSTIC
II. 8. LA METHODE UTILISEE
Causes :
Causes :
EVOLUTION :
5. RAVINNEMENT :
6. NIDS DE POULE :
Causes :
EVOLUTION :
Causes :
Les remèdes que nous venons de visualiser sont d’ordre curatif. Cependant
il nous sera utile de construire la structure de la route en chaussée souple
et l’entretenir pendant une période bien définit. Une surveillance
permanente de la chaussée.
LE COMPACTAGE
Un rouleau compresseur appelé également un compacteur est un engin de
compactage anciennement en traction animale, aujourd’hui motorisé,
caractérisé par des roues cylindriques lisses ou relief dit « Pied de mouton »
servant à tasser le sol support ou …….. autre couche d’une voie
carrossable.
Selon WIKIPEDIA, le compactage est aussi une opération qui consiste à
réduire les vides contenus dans un matériau foisonné afin d’augmenter sa
cohésion et par conséquent d’assurer la stabilité de l’ouvrage dans le
temps.
Il est réalisé soit au moyen des compacteurs statiques (à pneu ou à pieds
dameurs) qui agissent uniquement par leurs poids, soit à l’aide des
compacteurs vibrants (à balle lisse ou à pieds dameurs) qui agissent par
leurs poids ou par leurs vibrations (amplitude et fréquence qu’ils génèrent,
soit au moyen des deux types des compacteurs. En fonction de la nature
des matériaux et de l’objectif de compactibilité recherchée. Ou détermine le
type de compacteur (Avec la vitesse et le nombre de passes) et l’épaisseur
maximale de la couche à compacter.
II.11.1 DEFAUT DE COMPACTAGE
Les défauts de compactage peuvent se produire par des fissures, des
flèches, des glissements de torseurs différentiels dans la rapidité
d’apparition dépend de l’importance des anomalies. Par conséquent,
l’opération de compactage des matériaux est encadrée par un objectif fixe
en terme des taux de compactage à atteindre par rapport à une valeur de
référence déterminée en laboratoire à l’aide de l’essais Proctor.
Pdm
Pd
Ces trois objectifs sont définis en référence a une valeur cible qui est celle
obtenue par l’essai Proctor normal. Cet essai réalisé en laboratoire sur la
fraction de 20 mm de matériau. (En général) et avec une énergie de
compactage normale, permet de déterminer le couple de valeurs optimales
de teneurs en eau WOPN (en %) et de masse volumique sèche Pd OPN (en
t/m3).
L’objectif est visé ensuite vérifié … par rapport e deux mesures :
- La mesure de la masse volumique moyenne obtenue sur toute la
hauteur de la couche compactée dénommée Pdm, cette valeur est la
plus facile à mesurer sur chemin ;
- La mesure de la masse volumique moyenne en fond de la couche sur
les 8 cm constitués par la base de la couche Pdfc. Cette dernière
mesure est considérée comme la principale performance à obtenir
pour garantir l’objectif de compactage ;
- Protection de talus.
L’entretien est indispensable d’une part pour éviter que l’eau ne pénètre
dans la structure routière et d’autre part pour ne pas entraver son
évacuation.
La protection contre l’eau
La présence de l’eau sur le niveau de la route peut causer des nombreux
inconvénients et dégâts trop abondants en surface, elle performe la
visibilité et la sécurité des usagers et provoque l’érosion des talus. En
pénétrant dans la surface routière, elle provoque des dégâts qui, dès qu’ils
sont unifiés, s’amplifient rapidement.
Comment évacuer l’eau de la surface et du corps de la chaussée afin de
garantir la stabilité de la route et la sécurité de ses usagers ?
La réponse à cette question est dans le code de bonne pratique CRSS :
- Les recommandations nécessaires à la collecte et évacuation des eaux
en surface (surface revêtues) et accolements, bornes et talus, et à
l’évacuation des venues d’eau dans le talus (masques et éperons
drainant ainsi que les dispositifs nécessaires au drainage du corps de
chaussée). Les ouvrages de stockage d’eau, prévenant tant dans le
traitement des eaux polluées sont décrits.
- Les mesures à prendre durant ces travaux de terrassement.
- Les dispositions à prendre pour l’entretien des différents types des
points et la réparation des fissures sont décrites ainsi que les
dispositions pour entretenir les fossés, avaloirs, canalisations,
accolements, branchées et bassins d’orage. L’entretien est
indispensable d’une part pour éviter que l’eau ne pénètre la structure
routière et d’autre part pour ne pas entraver son évacuation.
- Les dispositions à prendre lors de traitement des travaux tels que la
mise en place d’un inlayou overlay, l’élargissement de la route ou la
mise en place d’éléments linéaires en insistant sur les erreurs à ne
pas commettre relatives à la maitrise de l’eau (infiltration, piège, …)
enfin quelques exemples de structure à problèmes sont décrits.
Source d’information
1. structure routière à chaussée souple
C’est une structure de chaussée dans laquelle l’ensemble des couches liées
qui la constituent sont traitées aux liants hydrocarbonés. La couche de
fondation et la couche de base peuvent être constituées de grave non-
traitées. 6 sept 2017.
2. Le comportement des chaussées souples
Le bulldozer
Les bulldozers sont considérés comme l’un des engins les plus robustes et
les plus fiables utilisé dans la construction. Un bulldozer est une machine
puissante et extrêmement lourde utilisée pour déplacer de la terre sur des
grandes étendues dégagées. Les bulldozers ont une lame large et plate à
l’avant qui peut être actionnée à l’aide de deux pistons hydrauliques.
Les niveleuses
Elle est principalement utilisée pour niveler le sol ou la surface de sol. Elle
contient une ligne horizontale entre les roues.
CHAP. III. DIMENSIONNEMENT DU CORPS DE LA CHAUSSEE
1. INTRODUCTION
Jusqu’aux années 1950, le dimensionnement des chaussées souples, la
quasi-totalité des chaussées françaises, procédait d’une démarche
empirique menée par analogie avec les structures déjà construites. C’est en
fait à la fin de la seconde guerre mondiale que l’intérêt des ingénieurs
français pour une approche mécanique du dimensionnement des chaussées
s’est affirmée.
2. Aperçu générale sur le dimensionnement
Les chaussées sont dimensionnées par rapport aux trafic dont le trafic
exprime pour une voie de circulation le nombre des passages des véhicules
dans une période déterminée et pour une voie de circulation, on considère
les poids lourds (PL, les véhicules lourds plus de 50KN ou 5 Tonnes de
charge utiles (C.U) soit environ plus de 90KN ou 13Tonnes de poids total
de charge autorisée (PTCA), ont un effet significatif sur la fatigue de la
chaussée.
Cet effet est très largement fonction de la charge par essier des véhicules,
ils provoquent uniquement une usure de la couche de roulement et
éventuellement une pollution de celle-ci.
3. Action d’un véhicule sur le sol
L’objectif à rechercher dans la conception d’une route et celle de leurs
chaussées est d’assurer aux usagers un bon niveau de confort et de
sécurité.
Les mouvements, les vibrations et les bruits engendrés dans les véhicules
doivent être limités. L’adhérence mobilisable au cours des manœuvres et
dans les différentes situations de conduite doit correspondre à ce qu’on
attend le conducteur.
A l’inverse, le véhicule exerce sur la chaussée des forces et actions qui la
détériorent progressivement. Son dimensionnement et le choix des
matériaux qui la constituent doivent être tels que cette détérioration et la
diminution corrélative au niveau de service ne soit pas trop rapide.
3.1 sollicitation verticale
Le confort des usagers dépend en premier lieu du véhicule (coussins et
sièges; aménagement intérieur sous pulsion, pneumatique, etc…) Mais
il dépend aussi de la route, caractéristique par ce qu’il est convenu
d’appeler « uni » qui se différencie du profil en long par les échelles mises
en jeu.
III.3 Les principales méthodes de dimensionnement
Des millions des conducteurs roulent chaque jour sur une chaussée qui
n’est pas pour eux qu’un simple ruban de bitume. Or cette couche de
surface doit assurer la sécurité et le confort (adhérence de la structure pour
en limiter les couts d’entretien et de réfection.
Pour cela une chaussée doit reposer sur une assise-face cachée de la route
et avoir un revêtement propre apte à résister à des sollicitations (gel,
infiltration des eaux) et à la nature et l’intensité de trafic à supporter.
Ces principales méthodes de dimensionnement sont :
- CBR ;
- HASHO ;
- ASPHALT INSTITUTE ;
- Catalogue des structures
- CEBTP : cette méthode est le résultat des travaux effectués par des
ingénieurs du centre expérimental de recherche et d’étude du
bâtiment et des travaux publics (CEBTP), sur étude de
comportement et le renforcement de 7000km de chaussée bitumeuse.
100+150√𝑝
𝑒= (Equation 2)
𝐼𝐶𝐵𝑅 +5
En tenant compte le couple de l’influence du trafic, on a :
𝑁
100+150√𝑝[75+(50𝑥 log )]
𝑒= 10
(Equation 2)
𝐼𝐶𝐵𝑅 +5
Cette méthode est le résultat des travaux effectués par les ingénieurs du
centre expérimental de recherche et d’études du bâtiment et des travaux
publics. Sur l’étude du comportement et le renforcement de 7.000 km de
chaussées bitumeuses.
Elle tient compte de deux critères :
- L’intensité du trafic et la portance de la plateforme et donne
l’épaisseur de la couche de fondation, de la couche de base et de celle
de revêtement ;
- L’intensité du trafic et de la nature des méthodes des différentes
couches afin de vérifier les spécifications et leurs possibilités
d’utilisation.