Les Travaux Mém
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Introduction :
A la fin de chaque exercice, et pour présenter l’image fidèle des entreprises, les entités sont tenues
d’arrêter leurs comptes à l’effet de préparer leurs états financiers et remplir leurs obligations légales
et réglementaires envers leurs associés, l’administration fiscale et les autres tiers. Pour les besoins de
clôture des comptes, elles effectuent des travaux d’évaluation, de vérification, de réévaluation,
d’ajustement, de régularisation, d’estimation, de révision, d’examen physique, de
recensement/comptage, d’analyse de travaux préparatoires, etc.… en vue de l’établissement, la
présentation et la publication de leurs états financiers. Donc quels sont ces états financiers ? Et
quelles sont les étapes à accomplir pour les élaborer ?
Fondements juridiques :
La loi 07-11 du 25 novembre 2007 portant Système Comptable Financier constitue la loi
Fondamentale en matière de préparation et de présentation des états financiers par les entités
concernées. Elle comprend différentes dispositions sur les travaux de fin d’exercice ou travaux
d’inventaire. Ainsi, les dispositions de l’article 14 stipulent que ‘’ les actifs et les passifs des entités
soumises à la présente loi doivent faire l’objet, au moins une fois par an, d’inventaire en quantité et
en valeur sur la base d’examens physiques et recensements de documents justificatifs. Ces
inventaires doivent refléter la situation réelle de ces actifs et passifs ‘’.
Le Code de commerce :
Prévoit plusieurs dispositions ayant tait directement ou indirectement aux travaux de fin d’exercice
que les dirigeants sociaux des entités soumises au système comptable financier sont tenues
d’accomplir afin de se conformer à l’obligation de présenter des états financiers sincères, réguliers et
qui remplissent l’objectif de l’image fidèle. Il s’agit notamment des dispositions des articles 10 et 716
qui stipulent ce qui suit :
Article 10 : ‘’ elle (personne physique ou morale) doit également faire tous les ans un
inventaire des éléments actifs et passifs de son entreprise …’’
Article 716 : ‘’ à la clôture de chaque exercice le conseil administratif ou les gérants dressent
l’inventaire des divers éléments de l’actif et du passif existant à cette date ‘’.
Le défaut de respecter certaines dispositions du code de commerce peut constituer un fait délictueux
Définition de l’inventaire :
L'inventaire est un relevé de tous les éléments d'actif et de passif au regard desquels sont
mentionnées la quantité et la valeur de chacun d'eux à la date d’inventaire. -article 6 du PCG-
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- Dénombrer consiste à procéder soit à un comptage physique (cas des immobilisations
corporelles, incorporelle et stock), soit à étudier les comptes concernés (cas des titres, des
créances, des dettes et des comptes bancaires).
- Evaluer consiste, pour chaque élément de patrimoine, à comparer sa valeur comptable
(valeur d’entrée) à sa valeur d’inventaire et à chiffrer les éventuels amoindrissements ou
augmentations de valeur.
a. L’inventaire des immobilisations
Deux préalables doivent être prévus pour faciliter et permettre même cette opération. Il s’agit
de:
♦ L’établissement à partir des fichiers (ou des dossiers) des états par nature de bien.
L’inventaire physique des stocks est un recensement exhaustif et qualitatif de tous les biens en
stock existant à une date déterminée.
Préparation de
l’inventaire :
Inventaire physique Etablissement d’instructions
d’inventaire
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L’opération de l’inventaire physique est suivie de l’opération de valorisation permettant de
dégager la valeur des stocks qui seront portés dans les états financiers de fin d’exercice.
L’opération d’inventaire ne peut être réussie que lorsque les modalités de réalisation pratique
ont été soigneusement mises au point à l’avance. Ces modalités sont consignées dans un
document appelé « Instructions d’inventaire ». Celles-ci doivent notamment préciser :
- Les stocks à inventorier et ceux qui ne le seront pas. Parmi ces derniers figureront, par exemple,
les articles qui ont fait l’objet des comptages tournants, ou encore les stocks de très faible valeur
qui sont imputés directement en charges de l’exercice,
- Les vérifications à opérer pour détecter les omissions et déterminer que tous les articles
inventoriés ont bien été collationnées sur les listes d’inventaire,
- Les précautions à prendre pour maintenir, immédiatement avant et après l’inventaire, les
corrélations entre les entrées et les sorties de marchandises et la comptabilisation des achats et
des ventes,
- La nécessité d’indiquer sur les imprimés d’inventaire, les articles qui paraissent usagés, anciens
ou à rotation lente.
Opération de comptage
L’opération de comptage peut être assurée selon différents procédés : Etiquetage, listing, code à
barre, etc….L’entreprise est appelée à utiliser le procédé qui lui parait le plus approprié compte
tenu de la nature des stocks, de leur importance et des aires de stockage. L’essentiel est de
prendre les mesures nécessaires pour s’assurer :
- que les références de l’article correspondent à celles qui ont été reproduites sur les feuilles de
comptage.
Il convient de préciser qu’il est souhaitable de paralyser les mouvements de stocks aussi
longtemps de dure l’opération d’inventaire (réception, expéditions, mouvements internes). Si de
tels mouvements ne peuvent être évités, il importe d’en tenir un enregistrement précis et
détaillé afin d’apporter, par la suite, à l’inventaire de base les corrections nécessaires.
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Lorsque l’inventaire se déroule à une date différente de celle de la clôture des comptes, des
mesures doivent être prises pour réajuster les résultats de comptage, en tenant compte des
mouvements intervenus entre les deux dates.
Aussi, les résultats du comptage doivent faire l’objet de contrôle à travers des recoupements
avec les données de la comptabilité matière. Par ailleurs, il est recommandé de procéder à des
contrôles de vraisemblance des résultats du comptage. Ces contrôles, opérés de manière
systématique ou par sondage, consistent par exemple à rapprocher ces résultats aux achats de
l’exercice, aux consommations habituelles…..
L’inventaire physique des effets et des titres doit faire l’objet d’une récapitulation de toutes ces
valeurs dans un état mentionnant l’organisme émetteur, ou le tireur (lorsqu’il s’agit d’effet), le
nombre de titres ou d’effets, leur valeur nominale ainsi que des rubriques pour l’évaluation à la
clôture de l’exercice.
Les créances et dettes doivent être ventilées dans un état détaillé et nominatif dont les soldes
doivent être validés par le biais de la circularisassions.
Pour les créances, l’établissement d’une balance par âge présente une grande utilité pour
identifier les créances anciennes présentant un risque latent de non recouvrement. Le relevé des
dettes permet entre autre de cerner les intérêts courus et non payés ainsi que les intérêts payés
mais non totalement courus
e. L’inventaire de la caisse
Les espèces en caisse et le cas échéant les bons équivalents espèces, doivent être comptés par
une personne indépendante et en présence du caissier. Ce comptage doit donner lieu à
l’établissement d’un procès – verbal d’arrêté de caisse signé par les personnes concernées et
servant de justification du solde comptable de la caisse.
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Dettes Valeur nominale Valeur actuelle
f. L’inventaire de banque :
L’état de rapprochement est un document extra- comptable qui permet de vérifier la concordance
des opérations comptabilisées dans e compte ‘’banque’’ avec celles enregistrées par la banque.
-Il permet à l’entreprise de relever les règlements et les encaissements non enregistrés et d’identifier
toutes les erreurs d’imputation ou d’arrondi.-!!!!
Comptabilité Banque
Rapprochement du mois de: N de compte
D'après notre journal de banque D'après relevé de notre banque
Libellé Débit Crédit Libellé Débit Crédit
Solde fin de mois Solde fin de mois
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Totaux Totaux
Solde rapproché Solde rapproché
512 Banque X
411 Clients X
76 Produits financiers X
5113 Effet à l’encaissement X
5114 Effet à l’escompte X
…
Etat de rapprochement du mois de ….
Opérations relatives aux décaissements : Le compte < 512 Banques > est crédité du montant
total des opérations portées dans la colonne crédit du tableau « compte banque au grand-
livre » par le débit des comptes concernés.
L’inventaire comptable :
* la date de fin d’exercice ne correspond pas nécessairement à la fin de l’année civile, tout dépend
de la nature de l’activité de l’entreprise.
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Ouverture des comptes Fermeture des comptes
INVENTAIRE EXTRACOMPTABLE
Etat de rapprochement
Etat des stocks
Etat des charges et des produits
Etat des amortissements
Etat des provisions
ECRITURES DE REGULARISATION
du compte banque
des stocks
des charges et des produits
des amortissements
des provisions
ECRITURES DE REGROUPEMENT
Détermination du résultat L’annexe
BALANCE D’INVENTAIRE
-Comptes de bilan seulement Bilan
- Comptes de charges et de produits soldés Actif Passif
La provision : La provision d’une façon simple c’est de mettre de l’argent à côté pour faire face à un
besoin future; En comptabilité elle résulte du principe de la prudence, elle est donc le constat d’un
risque probable et mesurable mais incertain à court ou moyen terme (exemple : un litige avec un
client); elle impacte le bilan en augmentant le passif donc dans le bilan est une dette et dans le
compte résultat c’est une charges qui déduit le résultat. . Elles sont nées au cour de l’exercice et sont
estimées et comptabilisés à la fin de l’exercice comptable pour que le résultat obtenu aussi exact que
possible (objectif d’image fidèle).
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Un rôle financier : la comptabilisation d’une provision permet d’augmenter les charges, donc
de diminuer le résultat donc de déduire l’impôt, donc une économie de trésorerie ce qui
contribue à l’autofinancement.
1. La provision pour risques et charges : Une provision pour charges est un passif dont l’échéance ou
le montant est incertain. Elle est comptabilisée lorsque :
* une entité a une obligation actuelle (juridique ou implicite) résultant d’un événement passé ;
* il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour éteindre cette obligation ;
* une estimation fiable du montant de cette obligation peut être faite. Article 125-1 du journal
officiel
‘’ Les charges nettement précisées quant à leur objet, que des événements survenus ou en cours
rendent probables, entrainent la constitution de provisions.
Les provisions sont rapportées aux résultats quand les raisons qui les ont motivées ont cessé
d’exister ‘’.
La constitution de provision peut concerner des passifs non courants ou des passifs courants :
1. Provisions pour charges-passifs non courants : sont enregistrées au crédit du compte « 15
– provisions pour charges-passif non courant »
Lors de la constitution d’une provision pour charges, le compte de provisions est crédité
par le débit d’un compte de dotation.
Lors de la survenance de la charge, la provision antérieurement constituée est soldée par
imputation directe des couts correspondant à la charge.
L’excédent éventuel du montant de provision fait l’objet d’une annulation par le crédit
d’un compte de reprise (78).
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Le compte de provision est réajusté, en tout état à la fin de chaque exercice par :
Le débit des comptes de dotations correspondant, lorsque le montant de la provision est
augmenté.
Le crédit d’un compte -78- de reprise (produit), de même niveau que celui utilisé pour la
dotation, lorsque le montant de la provision est diminué ou annulé (provision devenue, en
tout ou partie, sans objet).
2. Provision pour charges-passifs courants : a la clôture des comptes de l’exercice, les passifs
dont le montant est incertain est l’échéance se suite probablement dans douze mois (12)
Font l’objet d’un enregistrement comptable au crédit du compte -481- « provisions-passifs
non courants » par le débit du compte de charges -686- « dotations aux amortissements,
provisions et pertes de valeur, éléments financiers ».
Lorsque la charge qui a fait l’objet de la provision se réalise, les couts correspondants sont
imputés directement sur le montant de la provision, et le compte -481- sera soldé par :
Le crédit d’un compte de produit -786- « reprise financières sur pertes de valeur et
provisions » si le montant de la provision est supérieur à celui de la charge.
Le débit du compte de charge correspondante dans le cas où la provision est insuffisante
et doit être augmentée.
La provision est reprise par le crédit du compte de produit -786- s’elle est en totalité ou en
partie sans objet.
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L’inventaire comptable :
Des écritures d’ajustement des comptes pour les mettre en équation avec les résultats des
inventaires physiques.
La constations des dotations aux amortissements.
La constations des dotations pour pertes de valeur éventuelles.
Les immobilisations sont des biens (ou des droits) identifiables ayant une valeur économique positive
pour l’entité, conservés à long terme dans le patrimoine de l’entreprise, ils sont destinés à servir
l’activité durablement, elles figurent dans la classe (2) du Système Comptable Financier. À leur entrée
dans le patrimoine, les immobilisations font l’objet d’une évaluation qui permet leur enregistrement
en comptabilité.
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L’évaluation des immobilisations :
Le cout d’une mobilisation produite par l’entité elle mémé inclut le cout des matériaux, la main
d’œuvre, et les autres charges de production.
Les amortissements :
Le but de l’amortissement :
Donc l’amortissement a pour but de donner l’image fidèle de l’entité ; et cela peut être expliqué par :
« Lors de la comptabilisation de la facture d’acquisition d’une immobilisation, l’enregistrement se fait
dans un compte de la classe deux (2) ; cette écritures n’a aucun impact sur le résultat comptable. Au
cours du temps, à la clôture des comptes, l’immobilisation en question se figure toujours à l’actif
pour sa valeur d’acquisition, alors qu’elle est partiellement consommée et cette consommation se
poursuivra sur les années suivantes ; et c’est pourquoi il va falloir, chaque année, faire apparaitre une
charge correspondant à l’usure de l’immobilisation durant l’exercice. »
Comptabilité Pour Les Nuls, Laurence Thibault-le Gallo, First Edition 2009 page 272
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L’amortissement a plusieurs fonctions, il permet de corriger les valeurs des immobilisations au bilan,
il permet à l’entité de récupérer le cout d’acquisition de ses immobilisations et il constitue une
ressource d’autofinancement.
Pas toute immobilisation s’amortie, uniquement celles qui perdent de valeur de façon irréversible en
raison de l’usure ou de l’obsolescence : machines, mobilier, logiciel, etc. Mais on amorti pas ni les
terrains de constructions, les fonds de commerces, ni les placements financiers à long terme. Si ces
derniers perdent de la valeur, ce phénomène n’est pas irréversible. Comptabilité Pour Les Nuls,
Laurence Thibault-le Gallo, First Edition 2009 page 272
Terminologie :
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100
T=
Nombre d' années
Si durée de vie = 20 ans, t = 100/20 = 5 %
Amortissements cumulés (AC) : total des amortissements pratiqués depuis l’acquisition des
immobilisations.
Valeur nette comptable (VNC) : différence, à une date donnée, entre la valeur d’entrée et les
amortissements cumulés.
Plan d’amortissement : tableau préétabli qui donne pour chaque immobilisation,
l’amortissement annuel, les amortissements cumulés et la valeur nette comptable à la fin de
chaque exercice, le plan d’amortissement se présente comme suit :
Le calcul de l'amortissement :
Pour pratiquer l'amortissement, il faut, bien sûr, évaluer chaque année la dépréciation subie par
les immobilisations. Cette évaluation est en fonction des anticipations faites sur trois points :
Durée de vie utile du bien: l'amortissement s'étend normalement sur toute la vie utile du
bien; on détermine cette durée en se fondant sur l'expérience, et sa mesure, de ce fait,
est empreinte d'imprécision. Par suite, dans les faits, un bien totalement amorti peut être
encore utilisé de façon productive; l'inverse peut également se produire, mais les
entreprises n'ont pas (fiscalement) intérêt à minorer leurs amortissements.
Valeur totale à amortir: elle est théoriquement égale à la différence entre la valeur
d'origine du bien et la valeur résiduelle prévue à la fin de sa vie ; le plus souvent,
concrètement, on considère implicitement que la valeur résiduelle sera nulle et la base de
calcul de l'amortissement est la valeur d'origine du bien.
Rythme de l'amortissement: il doit refléter autant que possible le rythme réel de
dépréciation. En fonction de leurs prévisions, les entreprises font un choix parmi les
méthodes disponibles pour le calcul des annuités et établissent un plan d'amortissement.
COMPTABILITE GENERALE SYSTEME COMPTA, Daniel GOUADAIN et Mohamed El Bachir
Wade, 2002, Édition ESTEM page 228
Le mode d’amortissement doit refléter le rythme selon lequel sont consommés les avantages
économiques futurs liés à l’actif amortissable.
L’amortissement linéaire : il consiste à répartir le montant amortissable par fractions égales sur toute
la durée d’utilisation prévisible du bien par l‘entreprise. Ce procédé suppose une uniformité dans
l’utilisation du bien pendant toute sa durée de vie et une progressivité régulière de l’obsolescence.
« L’amortissement linéaire conduit à une charge constante sur la durée d’utilité de l’actif. » article
121-7 du journal officiel.
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La Base amortissable = VE - VR
100
Le taux constant d’amortissement =
N
L’annuité de l’amortissent =
BA * T
BA / N
Si N = 5 :
L’amortissement dégressif :
Il repose sur l'idée que la dépréciation est plus importante en début de vie de
l’immobilisation; on pratique donc des amortissements plus forts les premières années.
Donc dans le cas où le matériel deviendrait prématurément périmé, l'entreprise aurait
déjà récupéré une bonne partie de sa valeur et serait mieux à même de procéder au
remplacement, il s’applique essentiellement aux immobilisations liées directement à la
production et aux immobilisations des entreprises du secteur touristique.
L’amortissement dégressif est caractérisé par l’application d’un taux constant majoré par
un coefficient à une valeur dégressive, d’abord la base amortissable de l’immobilisation
puis, à partir de la deuxième année, sa valeur nette comptable. « Le mode dégressif
conduit à une charge décroissante sur la durée d’utilité de l’actif. » article 121-7 du
journal officiel.
Le coefficient de majoration (du taux linéaire) dépend de la durée de vie de
l’immobilisation
De 3 à 4 ans ……. 1,5
De 5 à 6 ans ……. 2
Supérieure à 6 ans ……. 2,5
Taux d égressif = T constant * coefficient
Annuité = VNC * T
L’application du (T) dégressif s’arrête a l‘avant dernière année ; dans cette année on
divise la VNC restante de l’année précédente (N-3) sur deux (2) ou bien la multiplier fois
50%.
A la dernière année (N) la VNC s’obtient en divisant la VNC de (N-1) sur un (1) ou en la
multipliant fois 100%.
L’amortissement progressif :
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Contrairement au mode dégressif le principe de ce mode est une consommation progressive des
avantages économiques sur la durée d’utilité, donc ce type d’amortissement offre des possibilités
d’autofinancement réduites pendant les premières années. Comme il est précisé dans l’article 121-7
du le journal officiel : « le mode progressif qui conduit à une charge croissante sur la durée d’utilité
de l’actif. »
Le mode de calcul est complétement différent car le taux d’amortissement est une fonction dont :
L’annuité complémentaire :
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