Exo de Vacances

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Cas des Bulles

La surpression entre la pression intérieure et la pression extérieure d'une bulle d'eau de savon de
rayon R est donnée par la relation : p ipe = 4· / R dans laquelle  est la tension superficielle de l'eau
savonneuse. On gonfle une bulle B avec une eau de savon ( = 30,010-3 Nm1), en exerçant une
surpression de 5 Pa.
1- Quel est le rayon de la bulle ?
2- Comment varie le rayon de la bulle lorsque la surpression augmente ?
3- Lorsqu'on souffle de l'air dans une bulle de savon pour la faire grossir, comment varie la pression à
l'intérieur de la bulle ?
4- À l'aide d'un dispositif muni d'un robinet à trois voies, on gonfle deux bulles de savon B et B' de
rayon, respectivement R et R', avec R<R' (voir schéma). On met en communication les deux bulles.
Que se passe-t-il ?

Viscosité d’une huile

Pour mesurer la viscosité d'une huile, on utilise le dispositif schématisé


ci-contre. On fait couler l'huile dans un tube horizontal de 7,0 mm de
diamètre et comportant deux tubes manométriques verticaux situés à L
= 600 mm de l'un de l'autre. On règle le débit-volume de cet
écoulement à 4,0106 m3/s. La dénivellation de l'huile entre ces deux
tubes est alors h = 267 mm. La masse volumique de l'huile est de 910
kg/m3. On suppose que l'écoulement est de type laminaire.

Calculer la viscosité dynamique de l'huile.

Lavage d’un tissu


L’efficacité du lavage d’une fibre synthétique ou naturelle dépend de l’imprégnation de la solution
utilisée et donc de la mouillabilité de celle-ci sur la fibre.

1- Donner 2 exemples de la vie courante mettant en évidence la mouillabilité d’un liquide.


2- Comment peut-on améliorer ce phénomène et par la même l’efficacité du lavage ?
3- Sur un tissu synthétique on dépose 3 gouttes de différents liquides :

Mercure Eau froide Eau chaude

On donne 3 mesures de tension superficielles γ1=4,20.10-1 N.m-1 ; γ2= 6.10-3 N.m-1 ; γ2= 7.10-3 N.m-1
Associez Chaque valeur à un liquide en justifiant votre raisonnement.
Chaleur latente de la paraffine avec les moyens du bord :
Afin de retrouver cette valeur, on cherche tout d’abord à déterminer l’enthalpie molaire de fusion de la
paraffine (ou acide stéarique C18H36O2). Pour cela on prend une boite de conserve de 50 g que l’on
vide préalablement en perçant 2 orifices. Ceux-ci vous nous servir à introduire agitateur et
thermomètre (au dixième de degré).
Une rapide recherche sur internet nous donne la capacité thermique massique de l’aluminium
Calu = 897 J.K-1.kg-1 ; on connait celle de l’eau Ceau = 4185 J.K-1.kg-1 
On pèse une bougie neuve m = 53g. On enferme la bougie et le « calorimètre » dans un petit
aquarium permettant de simuler une enceinte fermée. On supposera que toute la chaleur de la bougie
est transmise au calorimètre.
On verse 200 mL d’eau à 6,3°C dans le calorimètre. On attend un premier équilibre thermique ou le
calorimètre et l’eau sont à 10,0°C. On allume la bougie. Lorsque la température atteint 40,0°C, on
éteint la bougie que l’on pèse à nouveau : m’ = 52 g.

1- Déterminer la masse molaire de la paraffine. En déduire la quantité de matière mise en jeu


dans l’expérience.
M(C)= 12 g.mol-1 ; M(O)= 16 g.mol-1 ; M(H)= 1 g.mol-1
2- Calculer la quantité de chaleur captée par l’eau puis par le calorimètre.
3- Déterminer la chaleur cédée par la bougie. En déduire l’enthalpie de fusion de la paraffine
puis l’enthalpie molaire.
4- Calculer la valeur de la chaleur latente de la paraffine.

Bonnes Vacances !!

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