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Table of Contents

INTRODUCTION .................................................................................................................................. 2

Définition ................................................................................................................................................. 3

A. Catégories des modèles de propagation .......................................................................................... 3

I. Modèle Macro-cellule ..................................................................................................................... 3

II. Modèle Micro-cellule..................................................................................................................... 4

B . Types des modèles de propagation .................................................................................................. 4

I. Les modèles empiriques.................................................................................................................. 4

1. Modèle d’Okumura-Hat ........................................................................................................ 5

2. Modèle de COST231-Hata ..................................................................................................... 6

3. Modèle SPM (Standard Propagation Model) ...................................................................... 7

II. Les modèles déterministes ............................................................................................................ 8

1. Le modèle de lancer de rayon ................................................................................................ 8

III. Les modèles semi-empiriques ..................................................................................................... 9

1. Le Modèle de LEE ................................................................................................................ 10

2. Le modèle COST-CNET ...................................................................................................... 10

C. Tableau comparative ....................................................................................................................... 13

CONCLUSION ..................................................................................................................................... 14

REFERENCES BIBIOGRAPHIQUES .............................................................................................. 15

1
INTRODUCTION

La planification du réseau mobile est la prédiction faite pour


réduire le coût du système. La propagation des ondes quant à elle est un phénomène physique
dont découle l’évolution d’une onde au sein d’un milieu, ou encore certains mouvements d’une
particule dans l’espace et le temps. Plusieurs éléments influent sur la qualité du signal lors de
sa propagation parmi lesquels le bruit, les interférences, l’environnement, le model de
propagation etc… Il sera donc question pour nous dans la suite de notre devoir de faire une étude
bibliographique comparative des modèles de propagations utilisés dans la 2G, 3G et 4G. Pour
cela nous allons tout d’abord présenter les différentes catégories des modèles de propagation,
ensuite les types de modèles de propagation avec exemple à l’appuis et en fin de donner les
différentes générations dans lesquels ils sont utilisés.
Définition

Un modèle de propagation des ondes radio est un modèle mathématique, qui permet de simuler
le canal de propagation entre un émetteur et un récepteur. Le modèle de propagation est une
procédure essentielle au début de déploiement du réseau car elle permet des prédictions précises
sur la couverture. Le modèle mathématique est ensuite mis en œuvre dans un algorithme, puis
dans un programme informatique. Il permet de prédire le niveau moyen du signal radio que l’on
reçoit en n’importe quel point à partir d’un certain nombre de paramètres (caractéristiques
techniques, type d’environnement géographique traversé le long de la liaison…). Il modélise
donc les variations dues aux obstacles rencontrés par les ondes le long du canal radio mobile
(effet de masques) auxquelles il faudra rajouter ensuite un algorithme pour tenir compte des
variations rapides (fading). On peut distinguer donc deux catégories et trois grands types de
modèles des prédictions de propagation des ondes radioélectriques.

A. Catégories des modèles de propagation

En se basant sur l’environnement radio, les modèles de prédiction peuvent etre classés en deux
principales catégories :

Modèle Macro-cellule
Modèle Micro-cellule

I. Modèle Macro-cellule
Les modèles Macro-cellules sont des modèles généralement fondés sur l’analyse des obstacles
qui s’y trouvent (colline, foret, etc…). Ils s’appuient généralement sur des données
géographiques de type maillé de sol et sursol. Une mise au point par ajustement de variables est
est opérée à l’aide de mesures expérimentales du fait de la pauvreté des informations
géographiques fournies et de la simplicité des algorithmes de calcul.Ces modèles sont
essentiellement destinés aux installations de réseaux mobiles en environnement rural.On
distingue deux types de modèles :

 Les modèles ruraux : Le modèle rural prend uniquement en compte la coupe de terrain
verticale entre l’émetteur et le récepteur pour déterminer les affaiblissements et
notamment ceux dus à la diffraction par les obstacles.
 Le modèle montagne : Le modèle montagneux prend en compte, outre le trajet direct,
les trajets réfléchis sur le flanc des montagnes.

3
II. Modèle Micro-cellule
Contrairement aux modèles statistiques Macro-cellules qui prédisent une couverture radio
moyenne et pas très précise essentiellement en milieu ouvert, les modèles Micro-cellules
essaient de prédire une zone de couverture moins plus précise. Ces modèles sont essentiellement
des tinés aux installateurs de réseaux mobiles en environnement urbain ou semi-urbain.

B . Types des modèles de propagation


On distingue alors trois grands types de modèles de prédiction de propagation des ondes
radioélectriques à savoir :

 Les modèles empiriques


 Le modèles semi-empiriques
 Le modèles déterministes ou exacts

I. Les modèles empiriques


Les modèles empiriques de prédiction de propagation sont, en réalité, des formulations
mathématiques exprimant l’atténuation en fonction de plusieurs paramètres tels que la fréquence
d’émission, le degré d’urbanisation, la hauteur des terminaux, etc. Leur qualification
d’empirique vient du fait que ces modèles sont élaborés à partir des statistiques effectuées sur
un ensemble de mesures. La classification des modèles empiriques se fait selon leurs distances
d’application, ainsi nous pouvons distinguer les modèles macro cellulaire et les modèles micro-
cellulaire.

Figure 1 : Plan de travail des modèles empiriques [2]


1. Modèle d’Okumura-Hat
Le choix du modèle de propagation est un compromis entre la révision de la prévision et
l’efficacité de calcul. C’est le modèle le plus utilisé. Il tient compte de fréquence, de la radiosité,
de la distance entre l’émetteur et le récepteur et de la hauteur de la station de base et du mobile.
Ce modèle est fondé sur :

 Le modèle standard pour les macro-cellules


 Les mesures faites en 60-70 pour f entre 200MHz et 2GHz

La formule d’Okumur-Hata est la formule la plus utilisée à l’heure actuelle au niveau des outils
de planification cellulaire. Cette formule est définie par Hata à partir des mesures effectuées par
Okumura dans les environs de TOKYO. Le principe de base de cette méthode repose sur le
calcul de l’affaiblissement en espace libre et ajouter un facteur d’atténuation selon le degré
d’urbanisation. Ce modèle est fait sur 3 catégories de terrain :

Zone ouverte : pas de grand obstacle avec comme affaiblissement parrcours(Path Loss) :
LdB= A+BlogR-E
 Zone sub-urbaine : quelques obsacles (village, autoroutes)
LdB= A+BlogR-C
 Zone urbaine : beaucoup d’obstacles(ville)
LdB= A+BlogR-D

Avec:

A=69.55+26.16log fc-13.82log hb

B=44.9 -6.55log hb

C = 2(log(fc / 28))2 +5.4

D =4.78(log fc )2 +18.33logfc +40.94

E = 3.2(log(11.7 hm ))2 - 4.97 pour des grandes villes. fc ≥ 300MHz

E = 8.29(log(1.54 hm ))2 - 1.1 pour des grandes villes. fc <300MHz

E = (1.1log f – 0.7 )hm –(1.56logfc – 0.8) pour petites et moyennes villes

R = d.10-3 , fc = f. 10-3

5
Nous avons alors :

L : Affaiblissement (Path Loss)

hm: hauteur locale de l’antenne mobile en m(environ 1,5m)

hb: hauteur locale de l’antenne émetrice en m

d: distance mobile/BS en km

f: fréquence porteuse du signal (ou λ)

Conditions de validité du modèle

 f : entre 150MHz et 1.5GHz


 hb : entre 30m et 200m
 hm : entre 1m et 20m
 d : entre1km et 30km

Le modèle d’Okumura-Hata ne tient toutefois pas compte des reliefs précis tels que les masques
de diffraction, d’où la nécessité d’adapter le modèle à l’environnement considéré. De plus la
bande de fréquence interdit son utilisation pour des applications comme la planification du DCS
ou de l’UMTS. A cet effet un modèle amélioré a été proposé, c’est celui de COST231 de HATA.

2. Modèle de COST231-Hata
Le modèle COST 231 de Hata a les mêmes conditions que le modèle d’Okumura-Hata sauf qu’il
a été développé pour étendre l’utilisation de ce modèle pour les bandes de 1500 à 2000 MHz.
Ce modèle est adapté pour petites et moyennes villes avec une frequence f comprise entre
1.5GHz et 2GHz. L’affaiblissement de parcours (Path Loss : L) est donné par l’expression
suivante :

L = F + B log R – E + G

Avec :

 F = 46 .3 + 33.9 log fc – 13.82log hb


 G = 0dB pour des villes moyennes et zones sub- urbaines
 G = 3dB pour zones urbaines
3. Modèle SPM (Standard Propagation Model)
Le modèle SPM est un modèle ayant des paramètres variables, il est basé sur la formule du
modèle Cost231-Hata. Mais il a les fonctionnalités plus que le Cost231-Hata suivantes :

 Les facteurs sont variables ;


 La diffraction est prise en considération ;

Grace aux nouvelles fonctionnalités précédentes, SPM est plus souple et s’applique à d’autres
scénarios. L’affaiblissement du parcours est donné par :

L model = K1 + K2 log(d) + K3 log(HTxeff) + K4 *Diffraction loss + K5 log |d| * log (HTxeff


) + K6 (HRxeff) + K7log(HRxeff) + K clutter * f( clutter)

Avec :

K1 : décalage constant (dB) ;

K2 : facteur de multiplicateur pour log(d) ;

d : distance entre le récepteur et l’émetteur(m) ;

K3 : facteur de multiplication pour log (HTxeff) ;

HTxeff : hauteur effective de l’antenne d’émission(m) ;

Diffraction loss : perte due à la diffraction sur un chemin obstrué (Db ;

K5 ; facteur de multiplication pour log(d) * (HTxeff) ;

K6 : facteur de multiplication pour log (HRxeff) ;

HRxeff : efficace hauteur de l’antenne mobile (m) ;

K clutter : facteur de multiplication de f (clutter).

Remarque : Il est à noter à ce stade que les modèles de propagation empiriques sont obtenues à
partir de statistiques sur un très grand nombre de mesures couteuses et longues pour différentes
positions Emission Réception. Ils manquent par conséquent de précision. Mous abordons dans
ce qui suit les modèles déterministes qui sont caractérisés par une bonne précision mais en
entreprise en temps de calcul excessif.

7
II. Les modèles déterministes
Les modèles déterministes donnent des résultats beaucoup plus précis mais requièrent une
quantité importante d’information sur la zone où ils vont être appliqués. De plus ils demandent
beaucoup de temps de calcul. Ils sont généralement réservés à des lieux particuliers ou les autres
modèles ne peuvent être utilisés. Parmi ces modèles nous pouvons avoir :

1. Le modèle de lancer de rayon


C’est une technique entièrement déterministe basée sur une approche dérivée de
l’optique géométrique dont le principe est :

 Lancement à partir de l’émetteur, de lignes directrices (rayons) dans toutes


les directions.
 Rayons espacés régulièrement à partir de l’émetteur et tracés au fur et à
mesure de leur propagation.
 Trajets émetteur-récepteur recherches.

La condition d’arrêt est atteinte si :

 Puissance du rayon en dessous d’un seuil,


 Rayon qui a quitté la zone de simulation,
 Rayon qui a subi un nombre maximal de réflexions (5 à 10)
III. Les modèles semi-empiriques

Par opposition aux modèles empiriques, les modèles semi empiriques s’appuient sur une
caractérisation plus précise de la zone à couvrir. Ils font un compromis entre la complexité et la
précision. En effet, ils font intervenir à la fois les aspects théoriques et des mesures. Ce qui
donne des résultats plus précis que des modèles empiriques.

Figure 2 : Plan de travail des modèles semi-empiriques [2]

Les modèles semi-empiriques se basent sur une partie théorique assez simplifiée pour tenir
compte des phénomènes de propagation influents (calcul de diffraction multiple, réflexion…).
Puis à partir de cela, un certain nombre de corrections statistiques sont effectuées sur l’ensemble
des variables calculées par le modèle ce qui permet de l’ajuster par rapport aux situations réelles
Pour développer ce type de modèles, il faut donc disposer de données assez précises sur
l’environnement en présence (données géographiques numériques) et de données
expérimentales (campagnes de mesures sur le terrain) rencontrées sur le terrain.

9
1. Le Modèle de LEE

Le modèle de Lee (LEE, 1982) est basé sur des mesures réalisées dans différents environnements
(espace libre, espace ouvert, périurbain, urbain) ainsi que sur le calcul de la hauteur effective de
l’antenne d’émission. L’affaiblissement total est donné par la relation suivante :

PL = 10nlog10(d) ) – 20log10(hte)(eff) – p0 – 10log10(hre) + 29

Avec :

𝑃L : affaiblissement total.

d : longueur de la liaison (en km),

n et p0 : paramètres déduits à partir de mesures faites sur le terrain et dont la valeur est fonction
du milieu géographique.

hre : hauteur de l'antenne de la station mobile.

hte(eff) : hauteur effective de l’antenne d’émission

2. Le modèle COST-CNET

L’amélioration des modèles de propagation purement statistiques pour les petites cellules en
milieu périurbain et urbain est obtenue par l’intégration du mode profil et de différents
algorithmes de diffraction multiple sur une succession d’arêtes.

Le modèle COST-CNET est un modèle semi empirique en 2D qui a été développé pour
modéliser le signal radio pour les petites cellules (méso cellules) d’un réseau radio mobile. Il
convient plus particulièrement à l’ingénierie du GSM à 900 MHz et du DECT156 à 1800 MHz,
avec une émission de 5 à 15 mètres au-dessus des toits. Il a été élaboré par FTR&D
(anciennement CNET : Centre National d’Etude des Télécommunications) dans le cadre du
programme européen COST 231. Il correspond en fait à la synthèse de deux approches célèbres
dans la modélisation radio en milieu urbain, celle de Walfisch-Bertoni pour le calcul de la
diffraction multiple (WALFISH, 1988), et celle d’Ikegami pour le calcul de la diffraction sur la
dernière arête et la réflexion sur la façade de l’immeuble situé en face dans la rue où est localisé
le mobile (IKEGAMI, 1984).
Figure 3 : Profil E-R considéré par le modèle COST-CENT [2]

Avec : :
ℎ : hauteur des bâtiments.

b : distance entre les bâtiments.

W: largeur de la rue dans laquelle est localisé le mobile.

w1 : distance entre le mobile et le bâtiment sur lequel l’onde radio est diffractée.

w2 : distance entre le mobile et le bâtiment sur lequel l’onde radio est réfléchie.

n : arêtes des bâtiments (façades, coins de bâtiment).

t1 : trajet de l’onde diffractée par la dernière arête au niveau du toit.

t2 : trajet de l’onde réfléchie sur la façade de l’immeuble opposé.

α : angle formé entre l’horizontale et la direction de propagation de l’onde radio émise depuis
l’émetteur.

M : le mobile.

E : l’émetteur.

11
Le profil considéré comme idéal par le modèle COST-CNET suppose que tous les bâtiments
sont de la même hauteur h et sont espacés de la même distance b. Dans la rue où est localisé le
mobile, rue de largeur W, on suppose que l’on reçoit le trajet diffracté seul (trajet 1) ainsi que
la composante réfléchie sur la façade de l’immeuble opposé (trajet 2). Les formules de calcul
permettent alors de calculer l’affaiblissement total de la liaison qui est en fait la somme de 3
composantes :

PL = L0 + Lmsd + Lrts + Ldeg

PL : Affaiblissement total.

L0 : Affaiblissement d’espace libre.

Lmsd : Affaiblissement de diffraction multiple sur les n-1 arêtes.

Lrts : Affaiblissement dans la rue du mobile (superposition du trajet 1 et du trajet.

Ldeg : Affaiblissement lié à la diffraction sur l’arête principal.

Le problème principal du modèle COST-CNET est bien entendu de savoir comment passer d’un
environnement réel, tel qu’il est extrait des bases de données géographiques vectorielles
(contours de bases des bâtiments) et d’un MNT au pas de 25 mètres, au profil idéalisé (figure
I.5) d’où sont extraits les paramètres nécessaires pour le calcul de l’affaiblissement
radioélectrique par le modèle COST-CNET. De ce profil théorique sont alors extraites les
variables morphologiques (largeur moyenne des rues, largeur de la rue où se trouve le mobile,
hauteur des bâtiments, etc.) mais aussi des variables qualitatives (récepteur en visibilité ou non
de l’émetteur, présence de végétation, zone de bâti dense, zone pavillonnaire, etc.)
caractéristiques du milieu géographique en présence
C. Tableau comparative

Technologies
Modèles 2G 3G 4G
De propagations
Modèle d’Okumura- GSM ________ ________
Hat

Modèle de COST231- GSM DCS, UMTS ________


Hata

GSM _________ ________


Modèle de LEE

GSM UMTS LTE


Modèle COST-CNET

13
CONCLUSION

En somme, il était question pour nous dans notre devoir de faire une étude bibliographique
comparative des modèles de propagation utilisés dans la 2G, 3G et 4g. Il en ressort donc qu’en
se basant sur l’environnement radio , les modèles de prédiction peuvent être classés en deux
principales catégories(Model macro-cellule et le model micro-cellule) ; Il en ressort aussi qu’il
existe plusieurs types de modèles de propagation parmi lesquels les modèles empirique
(exemples Modèle d’Okumura-Hata utilisé dans la 2G, Modèle de COST231-Hata utilisé dans
la 2G et 3G Modèle SPM (Standard Propagation Model) … ; le model semi-empirique(exemple
Model COST-CENT utilisé dans la 2G, le model LEE) et le model déterministe(exemple le
model de lancer de rayon).
REFERENCES BIBIOGRAPHIQUES

[1] H. Terdayet, M. Boujnah, « Calibration de modèles de propagation pour les réseaux GSM,
WCDMA et LTE » , mémoire de master , Sciences et technologies de l’Information et de
la Communication - Option RST ,Tunisie, 2012-2013 ;

[2] ZAIZ Arbia, « Optimisation des modèles de perte dans un canal physique pour la
communication mobiles » mémoire de master, Télécommunications, - option Système des
télécommunications, Université Echahid Hamma Lakhdar El-Oued 2018-20119 ;

[3] R. Steele and L. Hanzo,Mobile Radio Comunications, Second and Third Generation
Cellular and WATM Systems, 2nd ed., John Wiley and Sons, Ltd, New York, 1999

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