SC - Physiques Bac Blanc - Maths-2021 (Jlali Ammar)

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Lycée 20 Mars 1956 Essaida Devoir de synthèse N°2

⧝⧝⧝⧞⧝⧝⧝ Epreuve : Sciences physiques

Prof : Jlali Ammar Niveau : Bac Maths Durée:3h Coefficient :4

Le sujet comporte cinq pages numérotées de 1/5 à 5/5.La page 5/5 est à remettre avec la copie.

Chimie (7points)
Toutes les expériences sont réalisées à 25⁰C tel que le produit ionique de l’eau Ke=10 -14
Exercice 1 :(3.5 points)

On dispose de deux solutions aqueuses de deux bases B1 et B2 de même concentration molaire


C=0,1mol.L-1 et de pH respectifs pH1=13 et pH2=11,1.
1) a- Ecrire l’équation d’ionisation d’une base B faible dans l’eau.
b - Etablir l’expression du taux d’avancement final τf d’une base B.
2) Montrer que B1 est une base forte et que B2 est une base faiblement ionisée.
3) a- Montrer que la constante de basicité Kb du couple B2H+/B2 s’écrit sous la Forme : Kb = c.τf2
b-Montrer en précisant les approximations utilisées que l’expression du pH d’une solution
𝟏
Aqueuse(S) de la base B2 peut s’écrire sous la forme : pH =𝟐 (𝐩𝐊𝐚 + 𝐩𝐊𝐞 + 𝐥𝐨𝐠 𝐜)
4) On prépare différentes solutions de la base B2 dont les concentrations molaires sont inferieures
à 0,1mol.L-1 et supérieures à 6,3.10-3 mol.L-1.
On a déterminé le taux d’avancement final τf de chaque solution ce qui nous a permis de tracer la
courbe ci-contre :
a- Justifier l’allure de la courbe.
b- En exploitant la courbe :
b1-Déterminer l’équation de la courbe : log (τf)=f (-logc)
b2-Déterminé le pKa du couple B2H+/B2 .
b3-Montrer que la dilution favorise l’ionisation
D’une base faible.

5) Identifier la base B2 à partir du tableau ci-dessous :

Couple : C1 : C3H7NH3+/C3H7NH2 C2 : HCOOH/HCOO - C3 : NH4+/NH3


Acide/Base
pKa pKa1 =11,25 pKa2 = 3.8 pKa3 = 9.2

6) a-Comparer, en justifiant la réponse, la force des acides de deux couples acide/base (C2 et C3).
b-Ecrire l’équation de la réaction entre les espèces fortes des deux couples acide/base (C2 et C3).
C- Exprimer la constante d’équilibre K de cette réaction en fonction de pKa2 et de pKa3.
Calculer sa valeur.

1/5
Exercice 2 :(3.5 points)

Dans deux béchers différents, on introduit un volume VA=20mL d’une solution d’acide chlorhydrique
(H3O++Cl-) dans l’un et 20 mL d’une solution de CH3COOH dans l’autre. On réalise le dosage de
chaque Solution par une solution de soude (Na+, OH-) de concentration CB=2,5.10-2mol.L-1.On obtient
les deux courbes 1 et 2 : Figure1

𝒑𝑯
14

Figure 1
12

10

6
2

4
1
2 )
)
0
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 𝒗𝒃(𝒎𝒍)

1) Ecrire l’équation de réaction du dosage de chacun de ces deux acides.


Déduire que ces deux réactions sont pratiquement totales.
2) a- Définir l’équivalence acido-basique.
b-Déduire la valeur de la concentration CA des acides.
C- Identifier parmi les deux courbes (1) et (2) celle du dosage de l’acide faible ? Justifier.
d- Trouver graphiquement le pH de chaque solution à l’équivalence (pHE), justifier les valeurs
trouvées dans chaque cas en analysant les entités chimiques présentes à l’équivalence.
3) a-Montrer qu’à la demi-équivalence pour l’une de ces deux solutions, le pH 1/2 du mélange
réactionnel est égal au pKa du couple CH3COOH/CH3COO- .En déduire pKa de ce couple.
b- Nommer la solution obtenue à la demi- équivalence et préciser ses propriétés.
4) Pour quoi les deux courbes sont confondues pour un volume VB supérieur à VBE .
5) On dispose ces trois indicateurs colorés dont les zones de virage sont consignées dans le
tableau suivant et l’on désire d’effectuer ces dosages en présence de l’un d’eux.
Indicateur coloré Hélianthine Bleu de Bromothymol Phénolphtaléine
Zone de virage 3,1—4,4 6 ,7 —7,8 8—10

Préciser, en le justifiant, le quel des trois indicateurs colorés est le mieux approprié pour le
dosage de chaque solution acide étudié.

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Physique (13points)
Exercice 1 :(5 points)

Un circuit en série est composé d'un générateur délivrant une tension


Alternative u(t) de fréquence N réglable, d'un résistor de résistance
R=84 Ω, d'une bobine d'inductance L et de résistance interne r et un
Condensateur de capacité C.

1) Dans une première expérience on fixe la fréquence à une valeur N1 et à l’aide d’un oscilloscope
bi-courbe on visualise la tension u(t) aux bornes du (GBF) sur (la voie y 1 ) et la tension uR (t) aux
bornes du résistor sur ( la voie y2 )
On obtient l’oscillogramme suivant : figure2

 a est l’amplitude de la courbe C1.


 b est l’amplitude de la courbe C2.
𝑏
On remarque que : = 0.8
𝑎
a- Compléter le schéma du circuit en y indiquant les
Connexions nécessaires pour le branchement de
L’oscilloscope. (Feuille annexe figure1)
b- Identifier uR(t) et u(t). Justifier la réponse.
c- Calculer la fréquence N1.
d- Calculer le déphasage ⧍φ de u(t) par rapport
à l’intensité du courant i(t). Déduire la nature du circuit.
𝒂
e- Montrer que r = R ( 𝒃 𝒄𝒐𝒔⧍𝝋 − 𝟏) . Calculer r.
2) Dans une deuxième expérience on fixe la fréquence à la valeur N2 = 269 Hz et On branche trois
voltmètres (voir figure 3) pour mesurer les 3 tensions efficaces U1 =UG (aux bornes du générateur),
U2= UC (aux bornes du condensateur) et U3=UB,R ( aux bornes de l’association bobine-résistor)

On constate que : u1=u2=u3


a- Faire la construction de Fresnel relative à ce
Circuit.
On donne : Echelle u1 5cm
b- Déduire la relation suivante :

C- Calculer les valeurs de L et de C.


3) Dans une troisième expérience on désire de faire annuler le déphasage entre u(t) et i(t) (⧍φ =0),
Pour cela on fixe la fréquence du (GBF) à une nouvelle valeur N’.
a- Nommer ce phénomène.
b-Calculer N’.
C-Calculer le facteur de surtension Q , y’a-t-il phénomène de surtension ?

3/5
Exercice 2 :(6 points) : On négligera l’amortissement et toute réflexion des ondes.
I) Expérience1 : Une lame vibrante munie d’une pointe produit à la surface d’une nappe d’eau
Illimitée, en un point S des vibrations sinusoïdales de fréquence N1.
Le mouvement de la source S débute à l’instant t=0 et sa loi horaire est yS (t)=4.10-3sin (200t +S).
La figure ci-contre représente, à une date t1,
une coupe de cette nappe par un plan vertical
Passant par S.
La distance AB est égale à 9 cm.
1) Décrire l’aspect de la surface de la nappe
d’eau lorsque celle-ci est éclairée par une lumière stroboscopique de fréquence :
a- Ne= 25 Hz b- Ne= 51 Hz.
2) a- Définir la longueur d’onde et déterminer sa valeur 1 .
b- Déduire la célérité V1 de l’onde.
c- L’onde considérée est-elle transversale ou longitudinale. Justifier la réponse.
d- Calculer la date t1.
3) Etablir l’expression de l’élongation d’un point M d’abscisse x à fin de déterminer φS.
4) Trouver l’ensemble des points de la nappe d’eau qui, à l’instant t1, ont une élongation égale -2 mm
et qui se déplacent dans le sens négatif.
II) Expérience2 : Maintenant on remplace la pointe par une réglette et on fait varier la fréquence de
la lame vibrante à N2=50 Hz, la mesure de la distance qui sépare six crêtes consécutives d=10 cm.
1) Déterminer la longueur d’onde 2 et déduire la célérité V2 de l’onde.
2) Est –ce que l’eau est un milieu dispersif ? Justifier.
III) Expérience3 : on place à une certaine distance de la source une plaque plane munie d’une fente
de largeur a réglable divise la cuve à onde en deux parties :
1) Nommer ce phénomène.
2) Représenter la forme de l’onde après la plaque dans le cas ou (a =2) et (a˂2)
3) Déterminer le retard Ѳ du mouvement du point I Par rapport à la source S.
Exercice 3 :(2 points) : (Texte documentaire)

La dispersion est le phénomène qui affecte une onde dans un milieu dispersif. Dans ce milieu, les
différentes fréquences constituant l’onde ne se propage pas à la même célérité. On rencontre ce
phénomène pour tous types d’ondes, tels que les vagues, le son et la lumière, quand ils se propagent
dans un milieu dispersif. Onde dans un milieu dispersif Ainsi, pour les ondes lumineuses, l’arc en ciel
et une manifestation de la dispersion des rayons du soleil par les gouttes de pluie. Cependant, le vide
n’est pas un milieu dispersif pour ces ondes lumineuses. En effet, la célérité de la lumière dans le vide
ne dépend pas de sa fréquence. Pour les ondes sonores audibles (20Hz < N < 20kHz) l’air est un
milieu non dispersif. Ainsi, toutes les ondes sonores audibles se déplacent à la même célérité.
Cependant, pour des ondes sonores de très grande amplitude, l’air devient un milieu dispersif.

D’après : wiképidia.org/Dispersion
1) Relever du texte une définition d’un milieu dispersif.
2) a- Donner la raison pour laquelle le vide est considéré comme étant un milieu non dispersif pour
les ondes lumineuses.
b- L’onde sonore peut-elle se propager dans le vide? Justifier.
3) Préciser, dans le cas d’une onde sonore audible, la condition pour que l’air soit considéré comme
étant un milieu non dispersif.

4/5
Feuille annexe à rendre avec la copie

Nom :………………………….Prénom :…………………………….Classe :…………………………N° :………………

1ère cas :(a =2) 2ème cas :(a˂2)

5/5

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