TD3 Corr
TD3 Corr
TD3 Corr
Dualité
Correction de l’exercice 1
b) Le dual:
c) Représentation graphique
1
La solution obtenue est donc : y1 = 1, y2 = 1.
C’est donc la variable x6 qui borne la croissance de x2 , c’est elle qui sort de la base. On obtient après pivot:
7 3 1 1
x2 = 2 − 2 x1 − x3 − 2 x4 − 2 x6
9 1 3 1
x5 = 2 − 2 x1 − 2x3 − 2 x4 + 2 x6
21 5 3 3
z = 2 − 2 x1 − x3 + 2 x4 − 2 x6
Correction de l’exercice 2
– 1ère contrainte 4 = 4
– 2e contrainte 0 < 2
2
– 3e contrainte −4 < 5
Les contraintes associées à y2 et y3 étant lâches (inégalités strictes), d’après le théorème des écarts
complémentaires, y2 = y3 = 0.
D’après ce même théorème, les contraintes du dual associées à une variable primale strictement posi-
tive sont vérifiées à l’égalité. On a donc, puisque x3 > 0:
y1 − y3 = 3
D’après le théorème 4.3, x∗ est optimale si et seulement si il existe y∗1 , y∗2 , y∗3 , y∗4 tels que :
3
Correction de l’exercice 3
• x2 est le nombre d’offres ’un téléphone + un kit mains libres + 3 cartes prépayées’ préparées.
Puisque la première offre rapporte 7 euros et la deuxième 9 euros, le profit réalisé par le vendeur est :
7x1 + 9x2 , c’est la fonction objectif que l’on désire maximiser.
De plus, le vendeur ne peut pas vendre plus d’offres que ne le permet son stock.
x1 + x2 ≤ 8 les téléphones,
2 x1 + 3 x2 ≤ 19 les cartes,
x2 ≤ 4 les kits mains libres,
Les variables sont positives, ainsi le programme linéaire à résoudre est le suivant.
Maximiser 7 x1 + 9 x2
sous : x1 + x2 ≤ 8
2 x1 + 3 x2 ≤ 19
x2 ≤ 4
x1 , x2 ≥ 0
Le prix d’achat du stock est donc : 8y1 + 19y2 + 4y3 . Pour que les prix proposés par la grande surface soient
intéressants pour le revendeur, il ne faut pas qu’il perde de l’argent par rapport aux offres qu’il aurait pu
écouler, c’est à dire :
y1 + 2 y3 ≥ 7
y1 + y2 + 3 y3 ≥ 9
Les prix sont évidemment positifs. Le programme que doit résoudre la grande surface pour décider des prix
qu’elle doit proposer correspond en fait au programme dual.