Mi06 L2lessons-Systemes Information
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Mi06 L2lessons-Systemes Information
Systèmes
d’Information
Cours, TD
Support destiné aux étudiants de Licence 2
Ce document est un support de cours destiné aux étudiants de la deuxième année licence
Informatique générale.
En guise d’Introduction
- identifier, collecter et diffuser les besoins d' informations des différentes activités,
- réduire les coûts de la collecte et du traitement des informations,
- actualiser les bases de données de l' entreprise,
- partager les informations entre les services et le personnel,
- rechercher et développer de nouvelles idées produites,
- connaître les clients d' un secteur d' activité donné,
- connaître les réglementations en cours.
Le système d'
information intègre plusieurs fonctions clés nécessaires à la réussite d'
une
entreprise.
4. La fonction humaine : les acteurs du système d' information sont nombreux. Ils sont
constitués du personnel de l'
entreprise et des acteurs externes (clients, partenaires,
fournisseurs …)
L'innovation du système informatique doit être quasi permanente. Elle doit à la fois exploiter
au mieux les nouvelles technologies et les nouveaux médias. Cependant, il faut éviter
d'
apporter d'incessants changements dans les modes de procédures souvent en cours
d'
acquisition par le personnel.
L'importance de l'efficacité du système informatique est donc devenue un atout majeur dans la
réussite d'
une entreprise. Les dysfonctionnements et les risques sont nombreux est peuvent
donc entraver le développement des organisations.
Table des matières
1 Entreprise et Organisation 10
4
2.1.4.1 Le coût de l’information . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
2.6 L’informatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.7 La bureautique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
2.8 La téléinformatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
3 Codification,Contrôles et Fichier 31
3.2 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.2.1 Codification . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
5
3.2.2 Code . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.8 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
3.9 Fichier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
6
3.9.5 Opération sur les articles d’un fichier . . . . . . . . . . . . . . . 41
3.10 Exercice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
4.1 Généralité : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
4.1.1 Rappel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
4.1.2.1 Analyse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
4.1.2.2 Conception : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
5.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
7
5.3.1.1 Entité : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
5.3.1.2 Association : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
5.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
5.5.1 Exercice n◦ 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
5.5.2 Exercice n◦ 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
5.5.3 Exercice n◦ 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
6.2.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
6.2.3 Le processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
6.3.2 Concepts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
8
6.3.2.1 Flux d’informations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
6.3.2.2 Acteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
6.4 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
6.4.1 Exercice n◦ 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
6.4.2 Exercice n◦ 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
6.4.3 Exercice n◦ 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
6.4.4 Exercice n◦ 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
7.2 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
7.2.1 Exercice n◦ 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
7.2.2 Exercice n◦ 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
Quelques examens 78
Bibliographie 84
9
Chapitre 1
Entreprise et Organisation
social, administratif,. . ..
– L’approche économique
– L’approche sociologique
– L’approche systémique
Selon l’approche économique, l’entreprise est une unité de production des biens
– Apporteurs de capitaux
– Dirigeants
10
– Salariés
Ces 3 acteurs ont des objectifs et des stratégies individuelles différentes. En effet,
en ce qui concerne les apporteurs de capitaux, leur logique est purement financière,
ils recherchent avant tout la rentabilité de leurs placements. Leur but est de garantir
leurs gains et si possible les augmenter. Les apporteurs de capitaux sont attirés par
des placements de plus en plus rentables. Leur source de pouvoir est le capital. Ils
élaborent ainsi une stratégie d’investissement ou alors de retrait (en cas de perte). En
ce qui concerne les dirigeants, leur logique est la maximisation des performances de
l’entreprise, évaluées par la rentabilité économique des capitaux. Leur but consiste à
garantir leur place et à élargir leur pouvoir (capital et organisation). En ce qui concerne
les salariés, leur logique est l’épanouissement et la sécurité de l’emploi. Ils ont pour but
Leur stratégie est celle de l’adhésion, c’estàdire de l’attrait de la carrière. Pour que
l’entreprise puisse fonctionner, compte tenu des stratégies individuelles élaborées par
Qu’est-ce qu’un système ? Un système peut être défini comme un ensemble com-
différentes fonctions, services, individus en permanente interaction, ayant tous des ob-
jectifs pouvant être contradictoires. L’entreprise en tant que système est ouverte sur son
11
saisir. L’entreprise doit s’y adapter en permanence pour sa survie et son développement.
La structure regroupe les différents organes et les relations entre eux (hiérarchiques
Il existe six types de structures, et aucune d’entre elles n’est transférable d’une
entreprise à une autre. On dit qu’à terme, ”on saura la structure qu’on mérite”.
Principe : Un subordonné ne reçoit d’ordre que d’un homme, à qui il doit rendre
compte.
Avantage :
. Inconvénients :
– Rigidité
– Lenteur de l’information
12
La structure fonctionnelle (Taylor)
lor, il est impossible qu’un contremaı̂tre possède toutes et toujours les connaissances
nécessaires au bon fonctionnement des opérations. Donc un subalterne ne doit pas avoir
Avantage :
– Qualité d’exécution,
Inconvénients :
– Risque de conflit,
– Rigidité,
– Pouvoir diluer
de la connaissance)
La structure divisionnelle
La division est basée sur les domaines d’activité. Exemple : Produits, technique,
distribution, type de clients... Chaque division dispose de ses ressources et est gérée
comme un système semi-autonome. Dans chaque division, on peut trouver une structure
fonctionnelle.
Avantages :
13
– Proximité des marchés entraı̂nant une souplesse et une capacité d’adaptation
Mais suppose :
Cette structure est la fusion des deux modèles (le modèle hiérarchique de FAYOL
Avantages :
stratégiques.
Inconvénients :
La structure matricielle réunit une structure temporaire par projets et une structure
Avantages :
– Très efficace pour développer les activités nouvelles et coordonner les activités
multiples et complexes
Inconvénients :
14
– Source de conflits,
mercialisation et la publicité,. . .
objectifs précis et quantifiés à court terme. La réalisation de ses objectifs est confiée
par délégation à des responsables qui ont à rendre périodiquement, et à corriger les
écarts constatés.
Avantages :
Inconvénients :
de la réalisation d’objectifs
– Risque de conflit entre les responsables qui se partagent les mêmes ressources et
– L’âge de l’entreprise
– La taille de l’entreprise
– Le système technique
15
– L’environnement
– La culture
– Le pouvoir
– Achats et Logistique,
– Production et Ingénierie,
– Marketing,
– Ventes,
– Ressources humaines,
– Gestion financière,
– Contrôle et comptabilité,
– Infrastructure et sécurité,
– Systèmes d’information,
– Qualité / environnement.
On peut alors définir l’entreprise comme étant un système ayant les caractéristiques
suivantes :
16
Organisé : c’est-à-dire doté d’une structure de fonctionnement permettant d’assurer
Finalisé : c’est-à-dire ayant un objectif qui nécessite la mise en place d’une stratégie.
Dynamique : en constante évolution, du fait entre autre des modifications de son en-
vironnement.
de décision.
Bien que l’entreprise dispose d’une totale liberté de structuration interne, on constate
mercialisation.
– Selon les flux échangés : soussystème physique (gère les flux réels de matières,. . .)
Ceci nous amène alors à distinguer trois sous-systèmes essentiels : Une entreprise est
des B & S,
– Il est relié à l’environnement par les flux externes et aux autres sous-systèmes
17
1.3.0.2 Le système de pilotage (ou de décision)
– Il est relié aux autres sous-systèmes par des flux d’informations internes.
– Il mémorise les informations, les traite et les communique aux autres sous-
Il est fondamental que la sortie S soit le résultat d’une certaine opération sur
l’entrée E. Exemple :
Entreprise de fabrication :
O : transformation de MP en PF
Moteur : E : carburant
S : Energie
O : combustion.
18
1.3.2 Décomposition systémique d’une organisation
personnel qui n’est pas enseignant, et qui est chargé de recevoir des informations et
automatisé (SIA) est un système d’information qui fait intervenir des moyens
19
automatiques de traitement notamment des ordinateurs. Les ordinateurs n’étant pas
capables de traiter les informations dans sa forme naturelle, il est nécessaire de faire
par l’ordinateur.
20
Chapitre 2
et système opérant).
Parmi tous les flux traversant l’entreprise, les flux d’information jouent un rôle
L’information transite par le système d’information aux finalités et aux fonctions bien
précises.
Si ces fonctions peuvent être assurées de manières très différentes selon le type de
imagée de la réalité.
L’information structurée est indispensable à l’entreprise car elle est plus concise, plus
21
rapidement communicable, souvent plus fiable, et peut être traitée
apportées par l’information), synthétique et précise. De plus elle est positionnée dans
le temps.
Exemple
La mise en place d’une politique de veille technologique pour s’informer sur les
des données techniques d’un prototype qui ne sera jamais commercialisé, engendrent
des dépenses en moyens humains, logistiques, technologiques, etc. Ces coûts ne sont
décision et d’éviter de commettre des erreurs. Cette valeur est appréciée sur la base
22
l’information. Une information est pertinente si elle fournit des éléments de réponse
Exemple Nos produits se sont mal vendus parce que les grandes surfaces leur
L’information est fiable si elle est exacte, précise, complète et à jour. Elle réduit
Exemple
Le mois dernier, une enquête de nos représentants dans toutes les grandes surfaces a
inférieur à celui accordé aux produits concurrents. Un sondage auprès des clients a
L’information est disponible si elle parvient au bon moment, au bon endroit et sous
une forme directement exploitable. Elle réduit l’incertitude, permet d’éviter des
Exemple
Le rapport d’enquête des représentants a fourni des données chiffrées détaillées par
région et par magasin ainsi que des données globales par région pour tous nos
plutôt que de revoir notre politique de produit et de production des emballages. Coût
23
2.1.5 Les rôles de l’information
Quel usage l’entreprise fait-elle de l’information ?
l’importance des risques et des opportunités qu’il génère. Pour ce faire, l’entreprise
l’entreprise et des moyens mis en oeuvre pour les gérer. Remarque : On utilise aussi le
d’information de l’entreprise.
24
2.2.1.1 Les informations
Toutes les informations, quelle que soit leur forme, font partie du SI. Cependant,
opérationnelles.
On distingue les moyens humains (Toutes les personnes d’une entreprise : les
utilisateurs, les décideurs, etc), les moyens matériels (ensemble des machines
etc.),
– ...
décideurs des informations portant sur le futur. Exemple : Les prévisions de ventes et
25
de CA pour les six mois à venir permettent d’apprécier les résultats attendus des
gardant une trace des informations portant sur le passé. Exemple : Les documents
Pour atteindre cet objectif, le SI fournit des informations portant sur le présent.
du service comptable, du service commercial, du service livraison, etc. par le biais des
livrée, etc.) Pour assurer ces trois finalités, le SI doit remplir plusieurs fonctions.
externes (les informations produites par l’OCDE, l’INSEE, les chambres de commerce
elle a aussi un coût, surtout quand elle est d’origine externe. La tâche d’écoute se
26
accessibles afin d’éliminer toute source d’information et toute information peu
jugées pertinentes pour l’entreprise. Il faut ensuite saisir ces informations. L’objectif
d’enregistrement) sont utilisés mais aussi des méthodes, notamment des méthodes de
facilement exploitables.
Une fois saisie, l’information doit être stockée de manière durable et stable. Le SI met
informations se fait au moyen de deux techniques principales les fichiers et les bases
de données.
Une fois mémorisée, on peut appliquer à l’information toute une série d’opérations.
– Mettre à jour les informations : les modifier (sur la forme et le contenu), les suppri-
mer, etc.
27
2.4.4 Quatrième fonction : diffuser l’information
La diffusion consiste à mettre à disposition de ceux qui en ont besoin, au moment où
ils en ont besoin et sous une forme directement exploitable, l’ensemble des
décision et du système opérant. Les supports de cette diffusion sont multiples : oral,
remplir les mêmes fonctions, il existe une grande variété de situations réelles. Pour
d’importance variable depuis une diffusion restreinte (système centralisé) jusqu’à une
2.6 L’informatique
des logiciels d’application, des logiciels spécifiques, ’. . .). L’informatique est utilisée
28
)
Les SIAD sont des outils informatiques d’aide à la décision dont la mise en oeuvre
passe par un dialogue entre l’être humain et la machine. Ils permettent aux décideurs
d’avoir accès à un volume élevé d’informations, de faire des simulations, des tests,
d’évaluer différentes solutions possibles, etc. Ils sont utilisables tant pour les décisions
données passées, de fournir des données calculées sur des choix d’investissement, de
Les systèmes experts sont des logiciels informatiques qui simulent le raisonnement
la gestion, les systèmes experts permettent de réaliser des diagnostics financiers, des
29
2.7 La bureautique
Parmi les principales évolutions, on peut citer celles liées au développement des
agenda électronique.
2.8 La téléinformatique
données, des images et des sons. Parmi les grandes évolutions liées au développement
30
Chapitre 3
Codification,Contrôles et Fichier
décrites dans les traitements. C’est une opération très délicate car ”un code mal
conçu” est une source de retards et d’erreurs. Pour cela on vise les objectifs suivants :
Chaque article ou donnée en mémoire affectée d’un code ne correspondra qu’à un seul
objet représenté
En effet, l’utilisation du code d’un objet au lieu de son nom souvent encombrant,
client ”société anonyme des nouvelles forces de chatillon- commentry”. Son code est
Les codes qui désignent des objets de même nature ont un format identique.
31
Exemple si tous les clients sont codifiées sur 4 chiffres, les codes ayant 5 ou 6 seront
permet de regrouper des individus selons leur code pour leur infliger des traitements
communs.
Exemple : la sixième position du code client indique si le client est (1→ Détaillant,
3.2 Définitions
3.2.1 Codification
3.2.2 Code
Application 2 : c’est le besoin de définir les règles que doit vérifier la valeur d’une
32
3.3 Caractéristique d’une codification
Non ambiguı̈té : une codification est non ambiguë si elle associe à chaque objet un
Insertion : les objets nouveaux peuvent s’insérer entre les objets existants sans
La concision : l’intérêt d’une codification est d’éviter d’avoir à manipuler des informa-
tions trop langue, pour être efficace un code doit donc comporter le moins de
caractères possibles.
à l’objet codifié, ceci est vrai pour : NumEtud qui codifie numéro Etudiant,
Remarque :
1. La longueur d’un code doit toujours être défini en fonction des possibilités d’évolution
3. La codification est avant tout, une convention d’écriture entre la personne chargée
33
3.4 Différents types de codification
Elle consiste à affecter des numéros consécutifs aux objets à codifier. Exemple : clé :
(0101,0102,..., . . .)
Avantages
– Simplicité
– Non-ambiguı̈té
– Possibilité d’extension
Inconvénients
– Non significatif
– Impossibilité d’insertion
Elle consiste à réserver des tranches de code à des catégories d’objets à l’intérieur
0001→0099 : Antalgique
Avantages
– Non ambiguı̈té
– Simplicité
34
Inconvénients
Chaque code est découpé en zones appelé descripteur, et chaque descripteur possède
Avantages
– Non ambiguë
– Très répondue
Inconvénients
– Risque de saturation
C’est un cas particulier de codification articulée, les descripteurs sont des niveaux
Avantages
Inconvénients
35
– Même inconvénients que la codification articulée.
Elle consiste à représenter le nom d’un objet par un petit nombre de caractère qui
travail→NumPastra
Avantages
Inconvénients
– Porte sur les noms des attributs et non pas sur leurs valeurs.
Remarques : la codification mnémonique est très utilisée pour désigner les variables
3. Statistique
utilisateurs qui sont correct, garantir la correction des informations nécessite de leur
36
Contrôle : vérification que les caractéristiques d’une information sont conformes à ce
Il consiste à vérifier que l’information figure bien ( est présente) sur le support dans
37
Remarque : ce contrôle est généralement assuré de manière automatique par le
logiciel.
C’est la vérification de la justesse de la valeur d’une partie d’une données par rapport
aux autres parties de la même donnée. Il est utilisé surtout dans le cas des données à
codification articulée.
Exemple :
N◦ Nom Date de naissance Date inscription
38
3.7 Ordre d’exécution des contrôles
– Contrôle de présence
– Contrôle de type
– Contrôle de cadrage
– Contrôle de vraisemblance
3.8 Conclusion
La codification est une étape clé dans la préparation des informations, elle doit être
soigneusement organisée et contrôlée car les erreurs à ce niveau sont souvent très
obtenus
3.9 Fichier
Un fichier est un ensemble d’article ayant la même structure pouvant se trouver sur
même individu.
39
3.9.1 Définition d’un enregistrement
Chaque colonne d’un fichier représentée sous forme d’un tableau est appelée : champ
patients précédent est composé de 6 champs (rubrique No, rubrique nom, rubrique
aussi donnée)
la clé d’un fichier est une rubrique (ou unité d’information) permettant d’identifier
d’une manière unique chaque article de ce fichier. Exemple : Dans le fichier des
appartements d’un immeuble, le numéro est une clé car un appartement ne peut pas
avoir deux numéros et deux appartements ne peuvent pas avoir le même numéro.
1. Création,
2. Suppression,
3. Tri,
4. Réunion,
5. Eclatement.
40
3.9.5 Opération sur les articles d’un fichier
1. Saisie,
2. Suppression,
3. Modification,
4. Consultation.
1. Fichier permanent,
2. Fichier de mouvement,
3. Fichier travail,
4. Fichier intermédiaire.
magnétique.
41
Accès
– Organisation aléatoire
3.10 Exercice
Dans un fichier étudiant défini par : numéro, Nom, date de naissance, lieu de
naissance, Code postal, ville, téléphone, Année d’inscription, cycle d’étude, diplôme
1. Proposer une codification pour le numéro d’étudiant qui tient compte de l’année
Master, doctorat)
2. Représenter par un tableau l’ensemble des contrôles que peut subir chaque ru-
brique de ce fichier
42
Chapitre 4
4.1 Généralité :
4.1.1 Rappel :
de traitement sur des dossiers reçus en entrée pour produire des résultats en sortie.
4.1.2.2 Conception :
Création d’un objet, d’un système : action qui donne naissance à quelque chose qui
correspondantes.
43
4.2 Différentes approches :
Exemple :
-Gestion du personnel.
4. Facilité de maintenance.
Avantages :
Inconvénients :
44
4. Pas de modification de la structure, alors qu’elle peut être source de dysfonction-
nement.
à considérer les sous systèmes aussi indépendants que possible et à les traiter en
Avantages :
Inconvénients :
45
4.3 Méthodes générales d’analyse et de conception d’un SI :
Selon le petit robert, une méthode est un ensemble de démarches raisonnées suivies
Exemple : Merise, Axial, E/R Chen,. . .. Quelque soit la méthode choisie celle-ci
1. Etude préalable
2. Etude détaillée
3. Conception
6. Maintenance
La méthode est faite donc d’une part pour pallier la démarche intuitive, et d’autre
part, pour maı̂triser la complexité des problèmes à résoudre. De plus, il faut réussir à
sortir de l’empirisme individuel pour la gestion de projet. Pour cela on dispose des
46
4.4.2 Familles de méthodes :
réalisation (avec, souvent, l’accent mis sur l’un de ces trois aspects) ; ” La conduite de
comme un système à part entière. Comme dans tout système, on distingue trois sous
ces méthodes se caractérisent par la description des relations entre informations, une
Les méthodes à objets (OMT, Grady Booch, UML, . . .) : l’approche objet est moins
” orienté objet ” signifie que le système est organisé comme une collection d’objets
47
Il est à noter que toutes ces familles de méthodes, ayant le même objectif, diffèrent
ciels,. . .
Répondre mieux et plus vite aux besoins des utilisateurs finaux en assurant la
maı̂trise des coûts, tout en garantissant la pérennité des investissements, voilà les
impératifs majeurs auxquels doivent répondre les décideurs dans tous les domaines.
L’informatique se caractérise de plus par une forte évolutivité des besoins et des
techniques qui conduit à une visibilité restreinte sur l’avenir. Il faut donc absolument
qualité.
– Les ressources pour satisfaire les demandes diminuent plus qu’elles n’augmentent.
d’information (SI) de l’entreprise ne peut être efficace que si celle ci est dirigée du
début à la fin par une méthode rationnelle et compréhensible par les différents
48
Chapitre 5
5.1 Introduction
données manipulées par celui-ci grâce à un formalisme de représentation ainsi que des
liens existants entre ces données. Pour représenter fidèlement les données du SI nous
Prenant l’exemple du SI lié au service de vente. Nous allons extraire toutes les
Le dictionnaire de donnée est un tableau qui regroupe toutes les données du SI, pour
49
5.2.1.1 Dictionnaire de donnée correspondant
Synonymes : des propriétés qui désigne la même donnée] : Les donnée Num-C et
Il faut éliminer tous les synonymes et ne garder qu’une seule donnée, dans ce
cas en garde Num-C et Mat-CL. Synonyme : des propriétés qui désigne la même
donnée.
50
Polysémie : La donnée qte désigne une quantité mais il y a deux quantité différentes :
Quantité-C et Quantité-F. Qte est une donnée qui a deux sens donc il est po-
Les données concaténées : La donnée Adr-CL est une donnée (composée) qu’il faut
Le modèle E/A a été élaboré par CHEN en 1976 pour la modélisation des données et
des liens existants entre elles avec des concepts simples et efficaces, c’est une
51
5.3.1 Concepts du modèle
5.3.1.1 Entité :
immatériel pourvu d’une existence propre. L’entité est schématisée comme suit :
5.3.1.2 Association :
C’est une relation qui représente un lien entre les entités, elle est dépourvue de
l’existence propre, son existence est liée à l’existence des entités qu ’elle met en
section.
Formalisme graphique
C’est une donnée élémentaire qui caractérise une entité ou une association.
52
5.3.1.4 Dimension d’une Association :
association. Exemples :
1. Soit la relation emprunter qui met en interaction 3 entités. Elle est dite ternaire.
2. La relation écrit par, lie deux entités livre et auteur donc elle est de dimension
3. La relation ” marier à ” lié l’entité personne avec elle-même, elle est dite de
Remarque :
– Une association qui lie une entité à elle-même est dite unaire ( réflexive )
53
5.3.1.5 les cardinalités :
La cardinalité entre l’entité X par rapport à une association avec l’entité Y, exprime
X est le nombre minimum d’occurrence de Y que l’on peut associer à une occurrence
de X.
Y est le nombre maximum d’occurrence de Y que l’on peut associer à X Les cas
Ces deux étudiants sont deux individus particuliers de l’ensemble des étudiants, ils
appartiennent à l’entité Etudiant donc ils sont appelés occurrence de l’entité étudiant.
cette entité, elle s’obtient par l’attribution de valeurs aux différentes propriétés qui
lie une occurrence de l’entité enseignant à une occurrence de l’entité Module est
Par définition, une occurrence d’une association est une association individuelle entre
54
une et une seule occurrence de chaque entité participant à l’association.
– Un produit peut figurer sur plusieurs commandes, comme il peut ne pas être com-
mandé.
Remarque :
– Il est interdit, de donner le même nom à deux entités ou (à deux associations
différentes),
55
– Il est interdit, de donner le même nom à une propriété qui intervient plusieurs fois
dans une même entité (ou une association) ou dans des entités (ou association)
différentes.
– Si l’entité possède plusieurs identifiants, il faudra en retenir celui qui répond le plus
L’identifiant d’une association est obtenue par la concaténation des identifiant des
ent ités qui participe à cette association. Cet identifiant est appelé identifiant
En plus de l’identifiant implicite, une association peut avoir son propre identifiant qui
56
5.4 Règles à respecter lors de l’élaboration du modèle E/A :
Règle2 : Les propriétés des entités doivent être élémentaires (type non-décomposé)
Si un assuré peut avoir plusieurs véhicules, alors La propriété, no, type, marque de
véhicule ne peuvent Appartenir à l’entité assurée, donc on doit faire appel À une
autre modélisation.
Règle 4 : Il faut éviter des propriétés vides pour certaine occurrence de l’entité.
association, il ne doit pas y avoir qu’une seule valeur pour chacune des propriétés
Règle 6 : Toute propriété portée par l’entité, doit dépendre de l’identifiant de cette
Règle 7 : Dépendance pleine des propriétés des associations de toutes les entités
concernées. Si l’on suppose que l’enseignant, enseigne un module dans la même salle.
57
5.5 Exercices
5.5.1 Exercice n◦ 1
Une agence immobilière, gère un parc d’appartement qu’elle obtient chez des
l’agent, par un propriétaire fait objet d’un contrat de mise à disposition (CMD), alors
58
que la location fat l’objet d’un contrat de location (CL). On enregistre bien
elles existent.
5.5.2 Exercice n◦ 2
L’Académie souhaite maintenant suivre les notes obtenues par les candidats à
5.5.3 Exercice n◦ 3
On vous donne le MCD ci-dessous représentant des visites dans un centre médical.
59
60
Chapitre 6
2. Cette représentation sert de base pour l’étude des différentes solutions d’organi-
6.2.1 Définition
Moins utilisé et plus difficile à mettre en œuvre que le MCD, le MCT permet de
l’organisation qui régira ces traitements Les éléments utilisés pour la formalisation
6.2.3 Le processus
61
Evénement Interne ou Externe au Système d’information il s’agitd’un déclencheur pour
le lancement d’une opération ou le résultat d’une opération à destination
du monde extérieur.
Synchronisation Règle indiquant les événements et l’enchaı̂nement de ces derniers nécessaires
au lancement d’une opération. Il s’agit d’une expression logique
composée essentiellement de OU et de ET
Opération Liste des actions à réaliser si la synchronisation associée est réalisée.
L’ensemble des actions de l’opération s’exécute sans interruption
ni attente d’événement.
Emission Expression logique indiquant selon le résultat de l’opération quels événements
internes au Système d’Information sont créés.
événements externes.
Règle1 : Une opération est une suite ininterruptible d’actions. Toute interruption
62
suivant : Les deux actions de L’opération de ce processus ne sont pas toujours
63
Règle4 : Une opération ne doit pas figurer plus d’une fois dans un processus.
Exemple : Correction :
Règle5 :
64
Lorsque le domaine d’activité comprend un grand nombre d’opérations, il est
65
Soient les règles de gestion suivantes :
3. Si le dossier n’est pas conforme, on établis une lettre de regret qui sera transmise
– Le champ de l’étude
– Les acteurs
66
Elles permettront d’établir le diagramme des flux qui est une reproduction
C’est une description graphique des flux échanges entre acteurs Il nous permet
d’avoir :
– Une vue d’ensemble de la circulation de l’information entre les acteurs qui participent
formation,
6.3.2 Concepts
6.3.2.1 Flux d’informations
6.3.2.2 Acteurs
correspond à une décomposition arbitraire mais cohérente du sujet étudié par rapport
à l’échange de flux.
67
3. Repérer les flux entre acteurs.
Exemple de diagramme des flux : Domaine d’étude ” Suivi des clients négligents La
négligents (clients ayant plus de 5 jours de retard dans le paiement d’une facture) au
Pour chacun de ces clients, une demande d’information est transmise au service
. Sur la base des informations recueillies, le service prend contact avec les clients pour
Si la situation financière du client ne lui apparaı̂t pas trop critique, elle met en place
créance.
68
6.4 Exercices
6.4.1 Exercice n◦ 1
service des achats envoie des demandes de prix aux fournisseurs possibles, pour les
envoient des offres, étudiées en détail et comparées par les acheteurs ; ces derniers
font ensuite un choix. Le choix est effectué au plus tard 10 jours après l’envoi des
retenu. Une copie est remise au magasin en vue de la réception. Quand la livraison
qualité est effectué. La livraison arrive généralement 2 jours après le choix définitif du
fournisseur. La livraison est renvoyée en bloc si l’un des contrôles est négatif. Les
le bon à payer aux services financiers. Quand les services financiers reçoivent la
facture du fournisseur (généralement 3 jours après la livraison), ils vérifient qu’il lui
6.4.2 Exercice n◦ 2
Le demandeur désirant obtenir une carte bleue doit en faire la demande auprès de
son agence. La carte bleue n’est pas accordée si le demandeur n’est pas un client de
l’agence. Chaque jour, l’agence transmet au centre de gestion des cartes bleues les
69
demandes de ses clients. Dès que l’agence a reçu la carte bleue en provenance du
centre (en général 4 jours après la demande), elle adresse au client un avis de mise à
retirer sa carte. Si au bout de 2 mois la carte n’a pas été retirée, elle est détruite.
6.4.3 Exercice n◦ 3
consulte le fichier central à partir de son terminal pour en contrôler la validité, puis
remboursement .les chèques sont envoyés chaque fin de semaine aux agents concernés
70
6.4.4 Exercice n◦ 4
demande au client de fournir son code client puis lui propose de choisir entre une
plupart des questions courantes, elle assure une assistance de premier niveau. En cas
71
Chapitre 7
directement manipulée et acceptée par un système informatique, car le MCD est une
représentation des données dans un formalisme compris par les concepteurs et pas
niveau plus proche des capacités des systèmes informatiques. Ce niveau, appelé
– Modèle réseau,
– Modèle relationnel
Chacun de ces modèles repose sur des techniques d’organisation des données
particulières que des logiciels seront capables de gérer, dans ce cours l’accent sera mis
Ces règles sont de type algorithmique et peuvent donc être mises en oeuvre par des
outils de génie logiciel (PowerAMC par exemple). La traduction des concepts de base
72
conceptuel au modèle logique au niveau des classes de relation (association) se fait
– Si une des classes d’entités possède une cardinalité faible : la table aura comme
attributs, les attributs de la classe ayant une cardinalité faible, puis le (ou les)
la classe
– Si les deux classes d’entités possèdent une cardinalité forte : la table aura comme
attributs, les attributs des deux classes de relation précédés des noms des classes
l’entité reliée par le segment portant la cardinalité 1,1 ou 0,1 et l’autre entité. Dans le
source et est marquée par un #. Une clé étrangère dans une relation est une
(elles sont clés étrangères) car elles sont clés primaires respectivement dans les
relations E1 et E2. L’exemple ci-dessous illustre l’application de ces trois règles sur le
73
Modèle logique de données MLD relationnel équivalent est le suivant :
Dans le MLD relationnel l’identifiant ident1 devient clé dans la table associée à la
relation (table) associé à l’objet 2. Il sera de même pour l’identifiant ident2 qui sera
Objet1 (ident1,p11,p12,...,ident2*)
74
Objet2 (ident2,p21,p22,...,ident1*)
Relations réflexives Nous appliquons les règles générales avec la seule différence que la
Exemple 1 : Comme il s’agit d’une relation (0,n)-(0,n), une table supplémentaire est
créée. Cette table contient comme clé primaire composée, la clé des ”deux” objets
reliés. Comme le même objet est lié 2 fois à la relation, on ne peut pas utiliser 2 fois
le même nom pour la clé. Dans ce cas il convient d’utiliser des rôles dans le MCD, et
d’intégrer le rôle dans le nom d’une des clés migrées dans le MLD.
Exemple 2 :
Comme il s’agit d’une relation (0,1)-(0,1), nous avons en général le choix en ce qui
concerne quel objet contiendra la clé étrangère. Comme cette relation est liée deux
fois au même objet, il est évident que nous devons dupliquer la clé primaire, tout en
75
veillant que le même nom de clé ne sera pas utilisé pour la clé primaire et la clé
étrangère. Dans notre exemple, tous les hommes mariés, ont comme valeur de la clé
étrangère la matricule de leur épouse actuelle. Pour les hommes non mariés et les
femmes, la clé étrangère est sans valeur. On pourrait bien sûr utiliser la modélisation
inverse avec une clé étrangère NO MATRICULE MARI, qui indique pour chaque
7.2 Exercices
7.2.1 Exercice n◦ 1
Gestion d’école
Transformez le MCD suivant, qui représente ”la gestion d’une école” en un MLD en
76
7.2.2 Exercice n◦ 2
n◦ candidat#, appréciation)
77
Université de Bejaia Février 2011
FSE, Dpt Informatique
Module SI, Niveau L2
Un étudiant envoie sa candidature pour s’inscrire à un cours dans une université. Les services
d’inscription de l’université vérifient dans la liste des cours si le cours demandé est disponible
actuellement et si le cours est disponible alors ces services inscrivent l’étudiant et lui envoient une
lettre d’acceptation. Sinon, les services d’inscription envoient une lettre de rejet.
TAF :
Vous effectuez un stage au secrétariat du département Informatique et vous êtes chargé de mettre en
place un système de gestion des étudiants en stage dans les entreprises de la région. Le chef du
département souhaite pouvoir obtenir rapidement divers renseignements, notamment :
• La liste des entreprises partenaires du département et plus précisément : leur raison sociale, leur
adresse, leur n° de téléphone, leur n° de fax, leur secteur d'
activité, le nom du directeur, le
montant de la dernière taxe d'
apprentissage versée au profit du département ainsi que le type de
versement (chèque ou virement).
• La liste des étudiants (Nom, prénom, date de naissance, niveau d’étude et cycle suivant les
années)
• La liste des étudiants qui effectuent ou ont effectué un stage au sein d'
une entreprise partenaire
du département. Pour chaque stagiaire, vous devez présenter : l'
année du stage, la date de début de
stage, la date de fin de stage, le nom de l'
entreprise, le secteur du stage (commerce, comptabilité,
informatique...), le lieu du stage, le nom du tuteur au sein de l'
entreprise, le nom du l’enseignant
responsable du stagiaire.
TAF
1. Etablir le modèle conceptuel des données. (04 pts)
2. Etablir le modèle logique des données. (03 pts)
I
Partie cours
1. Pourquoi un système d’information au sein d’une entreprise (rôles/ fonctions) ? (02 pts)
2. Quel usage l’entreprise fait elle de l’information ? (02 pts)
3. Qu’est ce que le modèle conceptuel des traitements (détailler la réponse) ? (02 pts)
4. Qu'
est-ce qu'
un système d’information? (01pt)
Remarque :
• la note obtenue dans les exercices 1,2 sera comptabilisée comme la note de l’interrogation.
• Les étudiants désirants refaire l’interrogation, doivent le mentionner sur la copie d’examen.
II
Université A.Mira de Bejaia, FSE, Dpt Informatique, Module SI, Durée 02 H,18/09/2011
Examen de rattrapage
Questions de cours : (04 pts)
1. L'entreprise est un système organisé et structuré, et la structure constitue un élément essentiel pour en
assurer le fonctionnement optimal, donner 4 structures d’entreprise de votre choix.
2. Citer les déterminants de la structure.
Exercice 1 (10 pts) : Le gestionnaire d’un complexe sportif associatif souhaite informatiser la gestion des
réservations de terrains et d’équipement sportifs. Il vous confie cette tâche.
Un terrain est caractérisé par un numéro de terrain, un nom, un type (salle ou extérieur) et une superficie. Un
terrain peut permettre la pratique de plusieurs sport (par exemple, hand-ball, basket-ball et volley-ball dans un
gymnase), éventuellement simultanément. Afin de gérer cela, on souhaite savoir pour chaque terrain combien
de « sous-terrains » il contient pour un sport donné (par exemple, il peut y avoir trois terrain dans un gymnase).
Un sport est identifié par un code unique composé de trois lettres ainsi que l’intitulé complet de la discipline en
question.
Divers équipement sont également à la disposition des adhérents de l’association (ballons, raquettes, dossards,
etc.). Ces équipements sont répartis en lots numérotés. Chaque lot est caractérisé par le type d’équipement
(ballons,…) et le nombre d’unités qui le composent. Pour des raisons de stockage, un lot d’équipement donné
est lié à un terrain et un seul. Il ne peut pas être utilisé ailleurs.
Finalement, un lot d’équipement peut être dédié à un seul sport (raquettes de tennis, etc.), mais pas
nécessairement (dossards, etc.).
Les adhérents sont identifiés par un numéro d’adhérent, un nom, un prénom, une adresse et un numéro de
téléphone. Lorsqu’ils passent une réservation, on note le jour désiré, l’heure de début et l’heure de fin. Une
réservation concerne un terrain, un sport précis et éventuellement divers équipement.
T.A.F
Donner le MCD correspondant ainsi que le MLD équivalent.
Exercice 2 (06 pts)
Dans une administration, les promotions des employés sont traitées selon les règles de gestion suivante :
1. toute demande doit subir un examen préalable pour savoir si elle est recevable ;
2. l’examen d’une demande recevable ne peut se faire qu’après rapport du supérieur hiérarchique ;
3. après examen du dossier, la demande sera accordée ou refusée.
T.A.F
Etablir le graphe des flux,
Etablir le MCT correspondant.
,
- Le tarif est fixé en fonction de la catégorie des emprunteurs.
T.A.F
Donner le MCD correspondant ainsi que le MLD équivalent.
T.A.F
Etablir le graphe des flux,
Etablir le MCT correspondant.
,
Université A.Mira de Bejaia Mars 2008
FSE, Dpt Informatique
Module SI
Niveau LMD2
EMD1 (Durée 02H)
Exercice 1:
Soit une entreprise qui fabrique des produits pour des clients. Le client demande un devis au
service commercial pour un ensemble de produits qu’il veut acheter. Le service commercial
transmet une demande d’étude au service technique. Ce dernier établit un dossier technique
qui va permettre au service commercial d’établir un devis estimatif qui sera alors transmet au
client.
Si le client refuse le devis, le dossier est classé, sinon il établit un bon de commande pour le
service commercial et verse un acompte. Le service commercial transmet l’acompte et un
double du devis à la comptabilité, et établit un ordre de fabrication qu’il envoie à l’usine pour
la fabrication des produits commandés. Lorsque la fabrication est terminée, l’usine transmet
les produits finis ainsi qu’un bon de livraison. Un double du bon de livraison est transmis à la
comptabilité pour établir la facture à la fin du mois et l’envoyer au client.
Soit la SAT suivante :
Quantité prix_unitaire
TAF:
1. Etablir le MCD, puis son MLD équivalent
2. Qu’est ce que le graphe des flux ? 01 pt
3. Construire le graphe des flux, 01 pt
4. Qu’est ce que un processus ? 02 pt
5. Construire le MCT 02 pt
6.
TAF :
Partie cours
d’Organisation,2000
nelle,Economica,2005.
Dunod,2004
84