Le Jour Où Dieu Pleure

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LE JOUR OU DIEU PLEURE.


Auteur:
Mehdi
Séneron

Sujets:
Noël
et
les
anniversaires
dans
le
contexte
biblique.


Les
fêtes
de
fins
d'années
approchent
et
alors
que
l'écrasante
majorité
du
monde

occidental
 et
 "chrétien"
 s'apprête
 à
 célébrer
 la
 naissance
 du
 Christ
 et
 la
 nouvel

année,
il
serait
pertinent
de
nous
pencher
sur
le
message
de
la
Bible
concernant

ces
 festivités
 et
 c'est
 tout
 le
 propos
 de
 cet
 article
 qui,
 je
 l'espère,
 saura
 vous

édifier.


Plan.

I)
Les
hauts
lieux
dans
la
Bible

II)
Noël
et
Dieu

III)
Les
anniversaires
et
Dieu


I)
A.
Les
hauts
lieux
dans
la
Bible


La
notion
de
"hauts
lieux"
développée
dans
la
bible
apparait
bien
éloignée
de
la

thématique
 choisie
 ici,
 toutefois,
 nous
 allons
 le
 voir,
 son
 étude
 permet
 de
 faire

ressortir
des
éléments
tout
à
fait
pertinent
concernant
la
saison
des
étrennes.


Le
 terme
 biblique
 "haut
 lieu"
 renvoie
 à
 la
 notion
 d'un
 endroit
 sacré,
 délimité

dans
l'espace
et
mis
à
part
afin
de
servir
à
l'adoration.
Les
hauts
lieux
situés
en

Israël
 existaient
 avant
 l'arriver
 du
 peuple
 juif,
 il
 s'agissait
 en
 fait
 d'endroits

dédiés
aux
culte
des
Baals,
d'Ishtar,
de
Moloch
ou
d'autres
divinités
adorées
par

les
 habitants
 du
 pays
 de
 Canaan.
 Le
 terme
 n'a
 donc
 pas
 un
 sens
 purement

topographique
comme
on
pourrait
être
amené
à
le
penser,
il
désigne
davantage

un
endroit
"élever"
dans
la
dimension
spirituelle
que
dans
la
dimension
spatiale.

Il
pouvait
toutefois
arriver
qu'un
"haut
lieu"
soit
situé
sur
une
colline
mais
il
y
en

avait
 aussi
 sous
 les
 arbres
 verts
 ou
 dans
 les
 vallées
 comme
 la
 vallée
 des
 fils

d'Hinnom
situé
à
Jérusalem
du
côté
de
la
porte
de
Jaffa.
Très
tôt,
dans
le
livre
des

nombres,
 la
 Bible
 nous
 parle
 des
 ces
 "hauts‐lieux"
 où
 les
 nations
 païennes

rendaient
gloire
à
leurs
divinités:


"Car
un
feu
est
sorti
de
Hesbon,
une
flamme,
de
la
cité
de
Sihon;
il
a
dévoré
Ar
de

Moab,
les
seigneurs
des
hauts
lieux¹
de
l’Arnon."
Nombres
21:28
J.N.D.

—
¹
ou:
de
Bamoth.
 


"Et
 il
 arriva,
 le
 matin,
 que
 Balak
 prit
 Balaam
 et
 le
 fit
 monter
 aux
 hauts
 lieux
 de

Baal¹,
et
de
là
il
vit
l’extrémité
du
peuple."
Nombres
22:41
J.N.D.

—
¹
ou:
à
Bamoth‐Baal.


Dieu
 donnera
 d'ailleurs
 de
 sévères
 recommandations
 au
 peuple
 d'Israël

concernant
ces
"hauts‐lieux",
en
disant
à
Moïse:


"Et
l’Éternel
parla
à
Moïse
(...)
disant:
Parle
aux
fils
d’Israël,
et
dis­leur:
Quand
vous

aurez
 passé
 le
 Jourdain
 [et
 que
 vous
 serez
 entrés]
 dans
 le
 pays
 de
 Canaan,
 vous

déposséderez
tous
les
habitants
du
pays
devant
vous,
et
vous
détruirez
toutes
leurs

figures
sculptées,
et
vous
détruirez
toutes
leurs
images
de
fonte,
et
vous
dévasterez

tous
leurs
hauts
lieux"
Nombres
33:52
J.N.D.


"Ce
 sont
 ici
 les
 statuts
 et
 les
 ordonnances
 que
 vous
 garderez
 pour
 les
 pratiquer

dans
le
pays
que
l’Éternel,
le
Dieu
de
tes
pères,
te
donne
pour
le
posséder,
tous
les

jours
que
vous
vivrez
sur
la
terre.
Vous
détruirez
entièrement
tous
les
lieux
où
les

nations
que
vous
déposséderez
auront
servi
leurs
dieux
sur
les
hautes
montagnes
et

sur
 les
 collines
 et
 sous
 tout
 arbre
 vert;
 et
 vous
 démolirez
 leurs
 autels,
 et
 vous

briserez
 leurs
 statues;
 et
 vous
 brûlerez
 au
 feu
 leurs
 ashères¹,
 et
 vous
 abattrez
 les

images
 taillées
 de
 leurs
 dieux,
 et
 vous
 ferez
 périr
 leur
 nom
 de
 ce
 lieu­là."

Deutéronome
12:1
J.N.D.



Ce
passage
de
deutéronome
est
très
intéressant
en
ce
que
ce
livre
constitue
"la

Loi
nommée
une
deuxième
fois"
or,
dans
cette
seconde
diction
des
ordonnances

divines
qui
commence
au
chapitre
12,
le
premier
statut
répété
par
Dieu
concerne

la
destruction
des
hauts‐lieux,
on
devine
ainsi
l'importance
toute
particulière
de

cette
recommandation
aux
yeux
de
l'Eternel.


Toutefois
malgré
tous
ces
avertissements,
le
peuple
d'Israël
agira
avec
les
hauts

lieux
 d'une
 manière
 tout
 à
 fait
 inattendue,
 non
 seulement
 les
 descendants
 de

Jacob
 ne
 détruiront
 pas
 ces
 lieux
 d'adoration
 comme
 l'Eternel
 le
 leur
 avait

demandé
 mais
 plus
 encore,
 ils
 s'en
 serviront
 de
 lieu
 de
 culte
 pour
 offrir
 des

sacrifices
et
adorer
YHWH
ce
qui
paraît
tout
à
fait
paradoxale.
Toutefois
il
y
a
une

logique
derrière
ce
choix
des
israélites
de
louer
Dieu
dans
les
hauts
lieux,
en
effet

ceux‐ci
 ne
 disposant
 pas
 encore
 d'un
 temple,
 d'un
 lieu
 sacré
 où
 adorer,
 ils

utilisèrent
la
sacralité
des
espaces
où
les
peuples
païens
avaient
pour
habitudes

de
 louer
 leur
 divinité
 afin
 de
 sacrifier
 au
 Dieu
 Créateur,
 bien
 que
 cette
 façon

d'opérer
lui
fût
en
abomination,
il
existe
dans
ces
circonstances
un
adage
très
à

propos
"l'Enfer
est
pavé
de
bonnes
intention".
Le
Saint‐Esprit
souligne
ce
fait
du

temps
de
Salomon:


"Et
Salomon
s’allia
par
mariage
avec
le
Pharaon,
roi
d’Égypte,
et
prit
[pour
femme]

la
fille
du
Pharaon;
et
il
l’amena
dans
la
ville
de
David,
jusqu’à
ce
qu’il
eût
achevé
de

bâtir
 sa
 maison,
 et
 la
 maison
 de
 l’Éternel,
 et
 la
 muraille
 de
 Jérusalem,
 tout
 à

l’entour.
 Seulement
le
 peuple
 sacrifiait
 sur
 les
 hauts
 lieux;
 car
 aucune
 maison
 ne

fut
bâtie
pour
le
nom
de
l’Éternel
jusqu’à
ces
jours­là.
Et
Salomon
aimait
l’Éternel,

marchant
dans
les
statuts
de
David,
son
père;
seulement
il
offrait
des
sacrifices
et

faisait
 fumer
 de
 l’encens
 sur
 les
 hauts
 lieux.
 Et
 le
 roi
 s’en
 alla
 à
 Gabaon
 pour
 y

sacrifier,
car
c’était
le
principal
haut
lieu;
Salomon
offrit
mille
holocaustes
sur
cet

autel."
1
Rois
3:1
J.N.D.


Notez
 comme
 le
 Saint‐Esprit
 marque
 par
 deux
 fois
 l'égarement
 de
 Salomon
 en

soulignant
par
l'adverbe
"seulement"
sa
façon
d'adorer
comme
pour
vouloir
dire:

"Il
était
presque
parfait
MAIS
cette
habitude
le
garder
imparfait".
Et
cette
effort

du
Saint‐Esprit
à
souligner
la
tâche
immonde
que
représente
dans
une
vie
pieuse

un
 tel
 égarement,
 il
 le
 répètera
 pour
 tous
 les
 rois
 ayant
 été
 fidèle
 à
 Dieu
 à

l'exception
d'Ezéchias
et
Josias
:


"Et
même
à
Maaca,
sa
mère,
il
ôta
sa
position
de
reine,
parce
qu’elle
avait
fait
un

simulacre
pour
Ashère¹;
et
Asa
abattit
son
simulacre,
et
le
brûla
dans
la
vallée
du

Cédron.
Mais
les
hauts
lieux
ne
furent
pas
ôtés;
cependant
le
cœur
d’Asa
fut
parfait

avec
l’Éternel,
tous
ses
jours."
1
Roi
15:13
J.N.D.


"Et
il
marcha
dans
toute
la
voie
d’Asa,
son
père;
il
ne
s’en
détourna
pas,
faisant
ce

qui
est
droit
aux
yeux
de
l’Éternel.
Seulement,
les
hauts
lieux
ne
furent
pas
ôtés:
le

peuple
sacrifiait
encore
et
faisait
fumer
de
l’encens
sur
les
hauts
lieux.
Et
Josaphat

fut
en
paix
avec
le
roi
d’Israël."
1
Rois
22:43


"Et
 Joas
 fit
 ce
 qui
 est
 droit
 aux
 yeux
 de
 l’Éternel,
 tous
 les
 jours
 que
 Jehoïada,
 le

sacrificateur,
 l’instruisit.
 Seulement
 les
 hauts
 lieux
 ne
 furent
 pas
 ôtés;
 le
 peuple

sacrifiait
encore
et
faisait
fumer
de
l’encens
sur
les
hauts
lieux."
2
Rois
12:2


"Amatsia
 (...)
 fit
 ce
 qui
 est
 droit
 aux
 yeux
 de
 l’Éternel,
 non
 pas
 toutefois
 comme

David,
 son
 père;
 il
 fit
 selon
 tout
 ce
 que
 son
 père,
 Joas,
 avait
 fait;
 seulement,
 les

hauts
lieux
ne
furent
pas
ôtés:
le
peuple
sacrifiait
encore
et
faisait
fumer
de
l’encens

sur
les
hauts
lieux."
2
Rois
14:1


"Azaria
 (...)
 fit
 ce
 qui
 est
 droit
 au
 yeux
 de
 l’Éternel,
 selon
 tout
 ce
 qu’avait
 fait

Amatsia,
son
père;
seulement
les
hauts
lieux
ne
furent
pas
ôtés;
le
peuple
sacrifiait

encore
et
faisait
fumer
de
l’encens
sur
les
hauts
lieux.
Et
l’Éternel
frappa
le
roi,
et
il

fut
 lépreux
 jusqu’au
 jour
 de
 sa
 mort,
 et
 il
 habita
 dans
 une
 maison
 d’isolement."
 2

Rois
15:1


"Jotham
(...)
fit
ce
qui
est
droit
aux
yeux
de
l’Éternel,
il
fit
selon
tout
ce
qu’avait
fait

Ozias,
 son
 père;
 seulement
 les
 hauts
 lieux
 ne
 furent
 pas
 ôtés;
 le
 peuple
 sacrifiait

encore
et
faisait
fumer
de
l’encens
sur
les
hauts
lieux."
2
Rois
15:32


Si
comme
Paul
nous
croyons
que
"toute
écriture
est
inspirée
de
Dieu"
2
Tim
3:16,

alors
 il
 est
 certain
 que
 dans
 cette
 structure
 répétitive
 adoptée
 par
 Dieu
 pour

définir
 le
 règne
 des
 rois
 qui
 lui
 furent
 fidèle
 il
 y
 a
 un
 message
 à
 trouver.
 La

pensée
 chrétienne
 postmoderne
 nous
 amènerait
 à
 dire
 que
 peu
 importe
 le
 lieu

où
 ils
 adoraient
 puisqu'ils
 adoraient
 le
 seul
 Dieu,
 l'unique.
 Toutefois
 nous

constatons
que
le
Saint‐Esprit
ne
le
voie
pas
de
cet
œil
là
et
la
raison
est
simple

non
 seulement
 l'adoration
 sur
 les
 hauts
 lieux
 était
 "hors
 la
 loi"
 (Deutéronome

12:1
 ;
 Nombres
 33:52)
 mais
 plus
 encore
 elle
 amena
 le
 peuple
 d'Israël
 sur
 une

plante
glissante.
En
effet
si
ces
derniers
commencèrent
par
adorer
Dieu
dans
les

places
où
les
païens
avaient
pour
coutumes
d'adorer
leurs
dieux,
Astarté,
Moloch

et
 consort,
 ils
 finirent
 par
 y
 adorer
 non
 plus
 Dieu
 mais
 ces
 mêmes
 idoles

païennes
pour
lesquelles
ces
places
avaient
originellement
étaient
sanctifiées.


C'est
 d'ailleurs
 ce
 schème
 que
 Salomon
 suivi
 durant
 sa
 vie.
 Nous
 l'avons
 vu
 un

peu
 plus
 haut,
 au
 début
 de
 son
 règne
 (1
 Rois
 3:1)
 c'est
 à
 YHWH
 qu'il
 rendait

gloire
en
sacrifiant
sur
les
hauts
lieux
toutefois
quelques
années
plus
tard
(1
Rois

11:7)
c'est
à
Moloch
et
Kemosh
qu'il
commença
à
sacrifier.


Ainsi
l'Eternel
ira
jusqu'à
dire
ceux‐ci
des
hauts
lieux
par
la
bouche
du
prophète

Osée
"Les
lieux
sacrés
sont
dévastés
—
ils
étaient
le
crime,
la
faute
d'Israël
—.Les

broussailles
 et
 les
 épines
 envahissent
 les
 autels."
 Osée
 10:8
 Français
 Courant.

Dieu
présente
les
hauts
lieux,
les
lieux
sacrés
comme
LE
crime
d'Israël
et
en
effet

le
 plus
 grand
 péché
 d'une
 nation
 n'est
 pas
 forcément
 le
 plus
 flagrant
 de
 même

que
le
plus
grand
péché
d'un
homme
n'est
forcément
le
plus
voyant,
non,
le
plus

grand
péché
d'un
homme
c'est
le
petit
péché
qu'il
garde
après
s'être
débarrassé

de
tout
les
autres
car
c'est
ce
péché
là
qui
le
tient
séparé
de
Dieu.


I)
B.
Les
hauts
lieux
dans
la
Bible
/
Conclusion.


Il
est
difficile
à
l'homme
d'appréhender
avec
justesse
la
raison
des
exigences
de

Dieu
et
l'importance
qu'Il
y
donne
d'autant
plus
quand
on
en
vient
au
domaine

de
 l'adoration.
 Pour
 cette
 raison
 l'Eternel
 utilise
 un
 concept
 pédagogique

puissant,
celui
de
l'allégorie,
tout
au
long
des
écritures,
Dieu
compare
son
peuple

à
 une
 épouse,
 son
 épouse,
 et
 l'accuse
 lorsqu'elle
 s'abandonne
 à
 d'autres
 dieux

d'être
 adultère,
 infidèle.
 "As­tu
 vu
 ce
 qu'a
 fait
 l'infidèle
 Israël
 ?
 Elle
 est
 allée
 sur

tout
 arbre
 vert,
 et
 là
 elle
 s'est
 prostituée."
 Jérémie
 3:6
 Segond
 1910.
 L'infidélité

d'une
femme
dans
un
couple
consiste
à
ce
qu'elle
ait
des
relations
sexuelles
avec

un
autre
homme
que
son
époux.
Avec
cette
figure
de
style
il
y
a
deux
choses
que

Dieu
 souhaite
 nous
 faire
 comprendre
 et
 même
 trois,
 premièrement,
 l'adoration

est
à
la
relation
homme‐Dieu
ce
que
l'acte
sexuel
est
à
la
relation
femme‐homme

c'est
 à
 dire
 jouissive,
 primordiale
 en
 constante
 évolution
 et
 bien
 évidemment

totalement
 exclusive.
 Deuxièmement,
 l'idôlatrie
 et
 la
 désobéissance
 aux
 ordres

divins
 est
 à
 la
 relation
 homme‐Dieu
 ce
 que
 l'adultère
 est
 à
 la
 relation
 femme‐
homme
c'est
à
dire,
immonde,
humiliante
et
catastrophique.
Dans
cette
optique,

il
 est
 aisé
 de
 comprendre
 la
 raison
 pour
 laquelle
 Dieu
 est
 blessé
 lorsque
 son

peuple
 le
 loue
 sur
 les
 hauts
 lieux.
 Que
 penseriez‐vous
 si
 votre
 épouse/époux

vous
 proposait
 de
 passer
 votre
 nuit
 de
 noces
 ou
 tout
 autre
 nuit
 dans
 une

chambre
d'un
bordel
espagnol,
sur
un
lit
et
dans
des
draps
ayant
été
souillés
par

des
centaines
d'autres
avant
vous
?
Et
imaginez
que
votre
jeune
épouse
soit
une

ancienne
prostituée
qui
vous
ait
rencontré
après
s'être
repentie
de
sa
vie
passée,

même
si
vous
l'aimez
il
est
difficile
pour
un
homme
de
s'unir
à
une
femme
qui
a

un
 telle
 historique
 mais
 l'amour
 supporte
 tout.
 Toutefois,
 il
 n'est
 pas
 sûr
 que

vous
supportiez
le
fait
de
vivre
votre
nuit
de
noces
avec
elle
dans
le
même
lieu
où

elle
avait
pour
habitude
de
connaître
ses
clients.
Si
nous,
qui
sommes
souillés
par

le
 péché,
 jugeons
 ainsi
 les
 choses
 combien
 plus
 Dieu
 qui
 est
 exempt
 de
 tous

péchés.
Israël
était
un
peuple
idolâtre,
prostitué,
que
Dieu
a
racheté
ainsi
lorsque

cette
nation
va
l'adorer
là
où
elle
avait
pour
habitude
de
connaître
les
boucs
et

les
ashères
l'Eternel
est
meurtrie
comme
l'homme
à
qui
sa
femme
propose
de
le

connaître
là
où
elle
en
a
connu
d'autres
avant
lui.


In
 fine,
 il
 est
 un
 point
 important
 que
 met
 en
 exergue
 le
 parallèle
 fait
 par
 Dieu

entre
 la
 relation
 qui
 l'unie
 à
 nous
 et
 celle
 qui
 nous
 unie
 à
 la
 femme;
 lorsque

adultère
il
y
a,
peu
importe
la
forme
de
celui‐ci,
qu'il
se
soit
fait
dans
des
délires

de
 sadomasochisme,
 d'orgies
 ou
 avec
 de
 multiples
 partenaires
 la
 réaction
 de

l'homme
trompée
est
la
même...
"L'homme
qui
rend
une
femme
adultère
a
la
tête

vide.
 En
 agissant
 ainsi,
 il
 cause
 sa
 propre
 perte.
 Il
 récoltera
 des
 coups,
 il
 sera

déshonoré,
sa
honte
ne
le
quittera
plus.
Car
la
jalousie
rendra
le
mari
furieux,
et
le

jour
 venu
 celui­ci
 se
 vengera
 sans
 pitié.
 Il
 n'acceptera
 aucune
 indemnité,
 il
 ne

fléchira
pas,
même
si
on
le
couvre
de
cadeaux."
Proverbes
6:32
Français
Courant.

Là
 encore,
 il
 en
 est
 de
 même
 pour
 Dieu,
 l'Eternel
 ne
 fait
 pas
 de
 grandes

différences
entre
un
culte
dédié
aux
arbres
et
un
cultes
accompagné
de
sacrifices

humains,
pour
lui,
l'un
et
l'autre
sont
adultères
et
enflamme
sa
colère.
Le
passage

ci‐après
nous
en
donne
l'illustration:



15.




Mais
tu
t’assures
en
ta
beauté,
tu
putasses
avec
ton
renom,

tu
répands
tes
putasseries
sur
tout
passant:
‹
Qu’elle
soit
à
lui
!
›

16.




Tu
prends
de
tes
habits,
tu
t’en
fais
des
tertres
tachetés

et
tu
y
putasses.
Non
advenu,
cela
ne
sera
pas
!

17.




Tu
prends
les
atours
de
ta
splendeur,

de
mon
or,
de
mon
argent
que
je
t’ai
donnés.

Tu
t’en
fais
des
répliques
de
mâle
et
tu
putasses
avec
elles.

18.




Tu
prends
des
habits
brodés
et
t’en
couvres.

Mon
huile,
mon
encens,
tu
les
donnes
en
face
d’elles.

19.




Mon
pain
que
je
t’ai
donné,

la
semoule,
l’huile,
le
miel
dont
je
t’ai
fait
manger,

tu
les
donnes
en
face
d’elles
en
odeur
agréable.

Et
c’est
ainsi,
harangue
d’Adonaï
IHVH­Elohîms.

20.




Tu
prends
tes
fils,
tes
filles,
que
tu
as
enfantés
pour
moi,

et
tu
les
sacrifies
pour
qu’ils
les
mangent:

la
moindre
de
tes
putasseries
!

21.




Tu
égorges
mes
fils
et
les
leur
donnes
en
les
passant
au
feu,
pour
eux
!

22.




Avec
toutes
tes
abominations,
tes
puteries,

tu
ne
te
souviens
plus
des
jours
de
ta
jeunesse,

quand
tu
étais
nudité,
sexe,

et
te
tordais
dans
ton
sang.

23.




Et
c’est
après
tout
ton
malheur,
oïe,
oïe,
toi
!


harangue
d’Adonaï
IHVH
Elohîms,

24.




tu
te
bâtis
une
hauteur,
tu
te
fais
une
butte
en
chaque
place;

25.




tu
bâtis
ta
butte
en
tête
de
toute
route,

tu
rends
abominable
ta
beauté

et
tu
écartes
tes
cuisses
pour
chaque
passant
!

Tu
multiplies
tes
puteries.

26.




Tu
putasses
avec
les
Benéi
Misraîm,
ta
voisine:
des
éleveurs
de
chair
!

Tu
multiplies
tes
puteries
pour
m’irriter.

27.




Et
voici,
je
tends
ma
main
contre
toi,
je
te
retire
ta
part,

je
te
donne
à
l’être
de
tes
haineuses,
les
filles
des
Pelishtîm,

dans
l’opprobre,
pour
la
débauche
de
ta
route.

28.




Tu
putasses
avec
les
Benéi
Ashour
sans
te
rassasier;

tu
putasses
avec
eux
sans
même
te
rassasier
!

29.




Tu
multiplies
tes
puteries
en
terre
de
Kena‘ân,
vers
les
Kasdîm;

et
même
en
cela,
tu
n’es
pas
rassasiée
!

Ezechiel
16:16
Chouraqui.


La
violence
de
cette
diatribe
de
Dieu
contre
Israël
n'a
d'égale
que
la
violence
d'un

homme
trompé
par
son
épouse
et
tandis
que
nous
aurions
tendance
à
dédier
des

pages
 entières
 pour
 rapporter
 les
 immondes
 sacrifices
 d'enfants
 perpétués
 par

les
fils
de
Jacob,
Dieu,
lui,
n'y
consacre
qu'un
verset
et
demi
(v.
20‐21)
et
s'étale

en
revanche
sur
plusieurs
versets
pour
expliquer
comment
son
peuple
décore
les

arbres
de
ses
hauts
lieux
et
offrent
des
libations
de
miel
et
d'huile
à
des
dieux
qui

ne
 parlent
 point
 (v.
 16
 à
 20).
 Ce
 qui
 choque
 le
 plus
 l'homme
 n'est
 pas
 ce
 qui

choque
le
plus
Dieu.


I)
B.
Les
hauts
lieux
dans
la
Bible
/
Transition.


Les
 hauts
 lieux
 était
 des
 places
 mises
 à
 part
 (sanctifiées)
 dans
 l'espace
 (c'est
 à

dire
au
niveau
géographique)
pour
un
service
particulier,
un
service
d'adoration,

un
 service
 d'adoration
 païen.
 Et
 nous
 l'avons
 vu
 Dieu
 ne
 posait
 pas
 un
 regard

favorable
sur
l'utilisation
de
ces
lieux
pour
son
adoration
comme
il
n'a
pas
posé

un
regard
favorable
sur
l'offrande
que
Caïn
lui
dédia.
Pour
faire
simple,
un
lieu

sanctifier
dans
l'espace
pour
des
idôles
ne
peut
être
utilisé
par
la
suite
pour
louer

YHWH.
 Or,
 il
 existe
 deux
 dimensions
 dans
 lesquelles
 une
 choses
 peut‐être

délimitée,
 mise
 à
 part,
 sanctifier,
 l'espace,
 oui,
 mais
 aussi..?
 ...LE
 TEMPS!!!
 Il
 y
 a

l'espace
 et
 le
 temps,
 on
 parle
 d'ailleurs
 d'
 "espace‐temps".
 Selon
 vous,
 si
 Dieu

n'accepte
 pas
 l'utilisation
 pour
 son
 service
 des
 lieux
 qui
 furent
 utilisés
 pour

d'autres
dieux
avant
lui
dans
la
dimension
espace,
applique‐t‐il
la
même
logique

à
 la
 dimension
 temps
 ?
 Si
 un
 peuple
 avait
 l'habitude
 de
 célébrer
 un
 dieu
 à
 une

certaine
date
de
l'année,
Osiris
par
exemple,
et
que,
abandonnant
le
culte
de
cette

idoles
il
choisisse
d'adorer
YHWH,
penser
vous
que
l'Eternel
verra
d'un
bon
œil

qu'à
la
même
date
où
les
cultes
païens
avaient
lieux
ce
soit
désormais
lui
qu'on

adore
de
la
même
façon
qu'on
adorait
les
dieux
païens
?



II)
A.
Noël
et
Dieu.


Voilà
 bientôt
 1600
 ans
 que
 le
 monde
 "chrétien"
 célèbre
 à
 chaque
 25
 décembre

l'anniversaire
 de
 naissance
 du
 messie,
 Jésus
 de
 Nazareth.
 Le
 choix
 d'une
 date

marquant
 la
 naissance
 du
 Christ
 est
 étonnant
 car
 la
 Bible
 ne
 donne
 aucune

indication
concernant
le
jour
où
naquît
Yeshua.
Les
seules
indications
que
nous

ayons
sont
bucoliques
et
mentionnent
clairement
qu'à
la
naissance
de
Jésus
les

troupeaux
 et
les
bergers
dormaient
dehors
 "Il
y
 avait,
 dans
 cette
 même
 contrée,

des
 bergers
 qui
 passaient
 dans
 les
 champs
 les
 veilles
 de
 la
 nuit
 pour
 garder
 leurs

troupeaux."
Luc
2
verset
8
Segond.
Or,
durant
le
mois
de
décembre
les
pâturages

sont
raz
en
Israël
et
les
bêtes
sont
dans
les
étables,
il
arrive
même
qu'il
neige,
si

bien
que
Jésus
n'a
pas
pu
naître
un
25
décembre.
Les
spécialistes
s'accorde
pour

dire
que
Jésus
serait
naît
en
Automne
au
alentours
du
shabbat
annuel
de
la
fête

des
 trompettes.
 D'où
 vient
 donc
 que
 l'on
 célèbre
 la
 naissance
 de
 Jésus
 de

Nazareth
un
25
décembre
?


Catholic
Encyclopædia
:
«
Noël
ne
faisait
pas
partie
des
fêtes
originales
de
l’Eglise.

Irénée
(IIème
siècle)
et
Tertullien
(IIème
siècle)

ne
la
mentionnent
pas
sur
leurs

listes
 des
 fêtes
;
 Origène,
 visant
 peut‐être
 le
 déshonorant
 Natalitia
 impérial,

soutient
(Lev.
Hom.
viii
en
Migne,
P.G.,
XII,
495)
que,
dans
les
Ecritures,
seuls
les

pécheurs,
 pas
 les
 saints,
 célébraient
 leur
 anniversaire
 de
 naissance
 […]
 En

Angleterre,
Noël
fut
interdit
par
acte
du
parlement
en
1644
;
le
jour
devait
être

jeûné
et
ouvré
;
les
magasins
devaient
être
obligatoirement
ouverts,
les
puddings

et
les
quiches
de
viande
émincée
étaient
condamnés
en
tant
que
mets
païens.
Les

conservateurs
 résistèrent
;
 à
 Canterbury,
 le
 sang
 coula.
»
 (volume
 3,
 pages
 724,

728).


Encyclopædia
Britannica
:
«
[…]
dans
l’Eglise
chrétienne,
la
fête
de
la
nativité
de

Jésus‐Christ
 […]
 l’histoire
 de
 cette
 fête
 est
 tellement
 liée
 à
 celle
 de
 l’Epiphanie,

que
ce
qui
suit
doit
être
lu
en
rapport
avec
l’article
qui
traite
de
ce
sujet
[…]
La

grande
Eglise
adopta
Noël
beaucoup
plus
tard
que
l’Epiphanie
;
et,
avant
le
5ème

siècle,
il
n’y
avait
pas
d’opinion
consensuelle
pour
l’intercaler
dans
le
calendrier,

soit
le
6
janvier,
soit
le
25
mars,
soit
le
25
décembre
[…]
En
1644,
les
puritains

anglais
 firent
 interdire
 toute
 festivité
 ou
 service
 religieux
par
 un
 acte
 du

parlement,
au
motif
qu’il
s’agissait
d’une
fête
païenne,
et
ils
ordonnèrent
que
ce

jour
fut
jeûné.
Charles
II
rétablit
la
fête,
mais
les
Ecossais
adoptèrent
le
point
de

vue
des
puritains
»
(volume
6,
11ème
édition,
pages
293‐294)


C'est
 en
 faite
 en
 440
 après
 Jésus‐Christ
 que
 la
 date
 du
 25
 décembre
 sera

officiellement
choisie
par
l'église
de
Rome
comme
étant
celle
devant
marquer
la

naissance
du
Christ
et
il
n'y
a
aucun
hasard
là
dedans.
La
Rome
païenne
avait
en

effet
l'habitude
de
fêter
le
Soleil
Invaincu
(Sol
Invictus)
symbole
du
Dieu
Mithra,

venu
 d'Iran,
 dans
 la
 nuit
 du
 25
 au
 26
 décembre
 qu'ils
 considéraient
 (à
 tord)

comme
étant
la
date
du
solstice
d'hiver
dû
à
une
erreur
calendaire
de
Sosigène

en
 46
 avant
 Jésus‐Christ
 qui
 plaça
 le
 solstice
 au
 25
 quand
 celui‐ci
 a,
 en
 réalité,

lieu
 le
 21.
 Toujours
 est‐il
 que
 dans
 le
 culte
 solaire
 du
 Dieu
 Mithra
 le
 solstice

d'hiver
avait
une
importance
capitale
car
il
symbolisait
la
victoire
de
la
lumière

sur
 les
 ténèbres,
 la
 journée
 du
 25
 décembre
 était
 vu
 comme
 la
 plus
 courte
 de

l'année
et
dès
le
26
les
jours
commençant
à
rallonger,
on
y
voyait
une
nouvelle

guerre
remporté
par
le
Soleil
sur
les
ténèbres.
Macrobe
(370‐4??)
rapporte
qu'à

l'occasion
de
cette
fête
les
adeptes
du
mithraïsme
sortaient
d'un
sanctuaire
une

idole
 sous
 forme
 de
 nouveau
 née
 symbolisant
 la
 renaissance
 du
 Soleil
 (cf.
 les

crèches
 contemporaines).
 La
 période
 du
 25
 décembre
 était
 aussi
 celle
 des

saturnales,
 un
 grand
 festival
 durant
 lequel
 les
 romains
 
 avaient
 pour
 habitudes

de
s'échanger
des
cadeaux.


Mithra
n'est
pas
le
seul
dieu
qui
se
voyait
fêté
le
25
des
jours
épagomènes,
Osiris

aussi
était
célébré
à
cette
date
dans
l'antiquité
et
on
utilisait
d'ailleurs
un
sapin

pour
 le
 représenter
 en
 effet,
 et
 selon
 la
 légende,
 après
 que
 Seth
 lui
 ai
 joué
 un

mauvais
coup
Osiris
se
retrouva
enfermé
dans
un
sarcophage
qui
échoua
sur
les

bords
 de
 la
 Phénicie,
 il
 y
 mourût
 et
 avant
 qu'il
 ressuscite,
 un
 sapin
 poussa
 au‐
dessus
de
sa
tombe.
Chez
les
grecs
c'est
le
dieu
Attis
qui
mourût
en
se
castrant

sous
 un
 sapin
 (cf.
 les
 boules
 de
 Noël).
 Cet
 arbre
 qui
 est
 toujours
 vert
 même

lorsque
 l'hiver
 tous
 les
 autres
 ont
 perdu
 leurs
 feuillages
 était
 donc
 utilisé
 pour

symboliser
la
fertilité,
la
résurrection
ou
encore
l'immortalité
et
déjà
aux
temps

des
patriarches
et
des
prophètes
Dieu
reprochait
à
son
peuple
cette
habitude
:


"Reconnais
seulement
ton
iniquité,
Reconnais
que
tu
as
été
infidèle
à
l'Eternel,
ton

Dieu,
Que
tu
as
dirigé
çà
et
là
tes
pas
vers
les
dieux
étrangers,
Sous
tout
arbre
vert,

Et
que
tu
n'as
pas
écouté
ma
voix,
dit
l'Eternel."
Jérémie
3:13
Segond
1910.


"Tu
 as
 choisi
 certains
 de
 tes
 vêtements
 aux
 riches
 couleurs
 pour
 orner
 tes
 lieux

sacrés
 et
 tu
 t'es
 prostituée
 dessus
 —
 ce
 n'était
 jamais
 arrivé
 et
 cela
 n'arrivera

jamais
plus
—."
Ezechiel
16:16
Français
Courant.


"Entendez
la
parole
dont
IHVH­Adonaï
parle
contre
vous,
maison
d’Israël.
Ainsi
dit

IHVH­Adonaï:
Sur
la
route
des
nations
n’apprenez
pas;
des
signes
des
ciels,
ne
vous

effarez
pas.
Oui,
elles
s’en
effarent,
les
nations.
Oui,
les
règles
des
peuples
sont
une

fumée.
Oui,
ils
tranchent
un
arbre
de
la
forêt,
ouvrage
des
mains
du
bûcheron,
avec

une
 cognée.
 D’argent
 et
 d’or,
 ils
 l’embellissent;
 de
 clous,
 avec
 des
 marteaux,
 ils
 le

consolident,
et
il
ne
bouge
pas.
Comme
un
épouvantail
dans
une
melonnière,
ils
ne

parlent
pas."
Jérémie
10:1
Chouraqui.


“Lors
 de
 la
 fête
 d’Ashéra,
 on
 mettait
 en
 valeur
 son
 “Arbre
 de
 Vie”
 auquel
 étaient

pendus
 de
 l’or
 et
 de
 l’argent,
 des
 images
 et
 figurines
 d’animaux,
 ainsi
 que
 des

décorations
de
rubans
et
de
fleurs.
C’est
de
cette
coutume
que
provient
la
coutume

de
 l’arbre
 de
 Noël
 de
 nos
 contemporains.
 […]
 On
 allumait
 ensuite
 plusieurs

chandelles
que
l’on
plaçait
en
cercle
tout
autour
de
l’arbre,
puis
on
fêtait
et
dansait,

se
réjouissait
et
jouait
autour
de
l’arbre,
en
laissant
brûler
les
chandelles
jusqu’au

lever
 du
 soleil.“
 Extrait
 de
 “365
 Goddess
 :
 A
 Daily
 Guide
 to
 the
 Magic
 and

Inspiration
of
the
Goddess”
by
Patricia
Telesco


«
Le
péché
de
Juda
est
écrit
avec
un
burin
de
fer,
avec

une
pointe
de
diamant;
il
est

gravé
 sur
 la
 table
 de
 leurs
 cœurs
 et
 sur
 les
 cornes
 de
 leurs
 autels.
 Comme
 ils

pensent
à
leurs
enfants,
ainsi
pensent­ils
à
leurs
autels
et
à
leurs
images
d’Ashéra

auprès
des
arbres
verts
et
sur
les
hautes
collines.
»
Jérémie
17:1
Ostervald.
(Dans

d’autres
versions
Ashéra
est
appelé
Astarté
ou
Ishtar).


II)
B.
Noël
et
Dieu
/
Conclusion.


Devant
une
telle
clarté
des
écritures,
il
est
étonnant
que
ceux
la
mêmes
qui
disent

suivrent
 l'enseignement
 de
 la
 Bible,
 nous,
 les
 chrétiens,
 soyons
 justement
 ceux

qui
 perpétue
 une
 telle
 tradition...
 peut‐être
 en
 faite
 ne
 sommes
 nous
 pas

réellement
chrétiens.
Une
chose
est
sûre
le
25
décembre
et
certainement
le
jour

où
Dieu
pleure
car
c'est
en
ce
jour
que
l'écrasante
majorité
de
ceux
réclamant
le

suivre
vont
se
prostituer
aux
idôles
et
coutûmes
païennes
tout
en
professant
le

servir,
de
la
même
manière
que
les
israélites
dans
le
désert
croyaient
voir
Dieu

sous
 les
 traits
 d'un
 veau
 d'or.
 Il
 est
 même
 certains
 leaders,
 pasteurs
 et

prophétesse
qui
encouragent
la
mise
en
place
de
sapin
dans
les
églises
alors
que

la
loi
de
Dieu
dit
expressément
"Vous
ne
planterez
ni
poteau
sacré
ni
arbre
sacré
à

côté
de
l'autel
que
vous
construirez
pour
le
Seigneur
votre
Dieu.
Vous
ne
dresserez

pas
 non
 plus
 à
 cet
 endroit
 de
 pierre
 sacrée,
 car
 le
 Seigneur
 déteste
 de
 telles

pratiques"
 Deutéronome
 16:21
 Français
 Courant.
 Et
 qu'est‐ce
 qu'un
 sapin
 de

Noël
sinon
un
arbre
sacré
?


Lisons
le
commentaire
de
Philipe
Conrad,
historien,
sur
la
fête
de
Noël:
"Il
semble

en
 effet
 que
 les
 tenants
 de
 la
 foi
 nouvelle
 venue
 d'Orient,
 de
 même
 qu'ils

«
christianiseront
»
la
fête
celtique
des
morts
du
début
novembre,
ont
«
récupéré
»

la
 puissante
 sacralité
 qui
 accompagnait
 traditionnellement
 les
 fêtes
 du
 solstice

pour
 en
 faire
 le
 moment
 de
 la
 naissance
 du
 Sauveur."
 Origines
 et
 traditions
 de

Noël,
décembre
2001.


En
bref,
de
même
que
les
israélites
utilisèrent
la
sacralité
préexistante
des
hauts

lieux
pour
louer
Dieu,
ce
qui
lui
était
en
abomination,
les
chrétiens
utilisèrent
la

sacralité
 préexistante
 du
 25
 décembre
 pour
 célébrer
 Jésus,
 notre
 question
 est

donc,
 celui
 qui
 est
 sensé
 être
 au
 centre
 de
 cet
 évènement,
 Yeshua,
 y
 prend‐il

plaisir
?


Avant
d'en
finir
avec
la
célébration
de
Noël,
il
me
semble
intéressant
d'intégrer

cette
 variable
 dans
 l'équation
 allégorique
 que
 Dieu
 nous
 donne
 (adoration
 de

l'homme
 à
 Dieu)
 =
 (relation
 de
 la
 femme
 à
 l'homme).
 Supposons
 que
 vous

choisissiez
d'épouser
une
femme
divorcé
(dont
le
mari
est
décédé
car
autrement

celà
 est
 interdit
 par
 Dieu
 cf.
 1
 Cor.
 7:39)
 et
 qu'une
 fois
 mariée
 celle‐ci
 vous

propose
de
célébrer
votre
anniversaire,
enchanté
vous
la
couvrez
de
baisers,
elle

vous
dit
alors
vous
aimer
plus
que
tout
et
vous
annonce
qu'elle
fêtera
donc
votre

anniversaire
 chaque
 année...
 à
 la
 date
 de
 naissance
 de
 son
 défunt
 mari!
 Quelle

serez
 votre
 réaction
 ?
 Qu'en
 concluriez
 vous
 quant
 à
 ses
 sentiments
 pour
 son

défunt
mari
?
Si
vous
avez
su
répondre
à
ses
questions
vous
savez
désormais
ce

que
 pense
 Jésus,
 d'hommes
 et
 de
 femmes
 qui
 confessent
 l'aimer
 plus
 que
 tout

mais
 célèbrent
 son
 anniversaires
 à
 la
 date
 de
 naissance
 de
 leurs
 ‐ex,
 Osiris,

Mithra,
 Attis...
 à
 cette
 remarque
 certains
 répondent
 que
 nous
 qui
 vivons
 au

21ème
 siècle
 n'avons
 pas
 connu
 ces
 dieux
 païens
 et
 que
 le
 propos
 est
 donc

obsolète.
Il
n'en
est
rien,
en
effet
lorsque
Dieu
parle
de
son
peuple,
il
en
parle
de

manière
solidaire
dans
l'espace
et
dans
le
temps,
les
chrétiens
d'aujourd'hui
sont

membres
du
même
Israël
que
les
hébreux
qui
rentrèrent
en
Canaan
ainsi
donc
à

travers
 eux,
 en
 eux,
 étant
 un
 seul
 corps,
 nous
 avons
 connu
 ces
 dieux
 païens
 de

l'antiquité
et
continuons
de
les
connaître
par
nos
rites
et
nos
coutumes
idolâtres.

Cette
même
logique
l'apôtre
Paul,
supposé
auteur
d'Hébreux,
l'applique
lorsqu'il

traite
de
la
prêtrise
aronique
dans
Hébreux
7:9
et
explique
que
Lévi
en
Abraham

(son
ancêtre
de
plus
de
4
siècles)
a
dimé
Melchisédek.


II)
Noël
et
Dieu
/
Transition.


Mais
au
fait,
nous
parlons
depuis
déjà
quelques
pages
de
la
date
de
célébration

de

l'anniversaire
de
Jésus
et
du
regard
que
Dieu
pose
dessus,
mais
quand
est‐il

des
anniversaires,
mêmes
ceux
fêté
à
bonnes
dates,
sont‐il
agréables
à
Dieu
?
Si

Jésus
souhaitait
que
l'on
célébrâtes
sa
naissance
pourquoi
avoir
gardé
cette
date

secrète
?


III)
Les
anniversaires
et
Dieu.


Connaissez‐vous
 la
 date
 de
 naissance
 de
 Napoléon
 ?
 Oui
 me
 direz‐vous,

wikipédia
indique
le
15
Aout
1769,
très
bien.
Jules
César
?
12
ou
13
Juillet
de
l'an

100
 avant
 J‐C.
 Alexandre
 le
 Grand
 ?
 21
 Juillet
 ‐356.
 Et
 quand
 est‐il
 de
 Jean
 le

baptiste
?
...de
David
?
...de
Moïse
?
...d'Abraham
?
...de
Noé
?
Nous
ne
connaissons

pas
 leurs
 dates
 d'anniversaires,
 les
 célébraient‐ils
 ?
 Aucun
 texte
 biblique
 n'en

parle,
les
traces
historiques
nous
disent
que
non,
plus
encore
elle
rapporte
que

ces
festivités
étaient
regardées
comme
païennes
par
les
Juifs.


Origène
(185‐253),
théologien
de
la
période
"patristique"
soutient
que
dans
les

écritures,
 seuls
 les
 pécheurs,
 pas
 les
 saints,
 célébraient
 leurs
 anniversaires
 de

naissances
 (Lev.
 Hom.
 viii
 en
 Migne,
 P.G.,
 XII,
 495)
 et
 il
 est
 vrai
 qu'il
 n'est
 nul

trace
du
début
à
la
fin
de
la
Bible
d'un
homme
pieux
qui
fît
le
choix
de
célébrer
sa

naissance,
 en
 revanche
 deux
 exemples
 existent
 d'hommes
 qui
 étaient
 en

abomination
au
yeux
de
Dieu
et
qui
firent
ce
choix,
le
roi
Hérodes
et
le
Pharaon

d'Egypte
mais
nous
y
reviendront
un
peu
plus
bas.


Quelles
 sont
 les
 origines
 des
 anniversaires
 tels
 que
 nous
 les
 connaissons

aujourd'hui
?


«
Les
 Grecs
 croyaient
 qu'à
 chaque
 humain
 s'attachait
 un
 esprit
 protecteur
 ou

daimôn
qui
assistait
à
sa
naissance
et
veillait
sur
lui
durant
sa
vie.
Cet
esprit
était

en
 relation
 mystique
 avec
 le
 dieu
 dont
 l'anniversaire
 correspondait
 au
 jour
 de

naissance
 de
 l'individu.
 Les
 Romains
 aussi
 souscrivaient
 à
 cette
 idée.
 (...)
 Cette

croyance
 a
 fait
 son
 chemin
 et
 se
 retrouve
 dans
 les
 notions
 d'ange
 gardien,
 de

marraine
 fée
 et
 de
 saint
 patron.
 (...)
 Les
 souhaits
 d'anniversaire
 et
 les
 vœux
 de

bonheur
font
partie
intégrante
de
la
fête.
(...)
Cette
croyance
prend
ses
racines
dans

la
magie.
(...)
Les
souhaits
d'anniversaire
peuvent
faire
du
bien
ou
du
mal
parce
que

l'on
 est
 plus
 proche
 du
 monde
 des
 esprits
 à
 ce
 moment
 précis.
»
 The
 Lore
 of

Birthdays
(New
York,
1952)
de
Ralph
et
Adelin
Linton,
pp.
8,
18‐20.


Ainsi
 l'observation
 des
 anniversaires
 tire
 son
 origine
 du
 spiritisme
 et
 de

l'astrologie,
 c'est‐à‐dire
 des
 signes
 du
 ciel
 qui
 permettent
 de
 repérer
 le
 jour,
 le

mois
et
l'année
par
rapport
auxquels
Dieu
dit
:


"Ne
vous
mettez
pas
à
l'école
des
païens
;
ne
vous
laissez
pas
troubler
par
des
signes

inhabituels
apparaissant
dans
le
ciel.
Laissez
cela
aux
païens.
La
religion
des
autres

peuples,
c'est
du
vent,
rien
de
plus."
Jérémie
10:2
Français
Courant.


"Qu'on
ne
trouve
chez
toi
(...)
personne
qui
exerce
le
métier
de
devin,
d'astrologue,

d'augure,
 de
 magicien,
d'enchanteur,
 personne
 qui
 consulte
 ceux
 qui
 évoquent
 les

esprits
 ou
 disent
 la
 bonne
 aventure,
 personne
 qui
 interroge
 les
 morts.
Car

quiconque
 fait
 ces
 choses
 est
 en
 abomination
 à
 l'Éternel;
 et
 c'est
 à
 cause
 de
 ces

abominations
 que
 l'Éternel,
 ton
 Dieu,
 va
 chasser
 ces
 nations
 devant
 toi."

Deutéronome
18:10
Segond
1910.


L'élément
 incontournable
 de
 l'anniversaire,
 le
 gâteau
 d'anniversaire,
 a
 lui
 aussi

une
origine
toute
particulière
:


"Si
 le
 gâteau
 d'anniversaire
 est
 maintenant
 confectionné
 pour
 l'enfant,
 il
 a
 tout

d'abord
été
dédié
aux
dieux,
puis
aux
rois.
(...)
Les
Grecs
plaçaient
des
gâteaux
au

miel,
 avec
 des
 bougies
 allumées,
 sur
 l'autel
 d'Artémis,
 la
 déesse
 de
 la
 Lune.
 Puis

utilisé
au
temps
des
romains
il
était
placé
sur
l'autel
des
dieux
Lares."
Les
délices

de
l'anniversaire,
une
mise
en
représentation
de
l'enfance.
Régine
Sirota
p.11.


"La
coutume
consistant
à
allumer
des
bougies
sur
les
gâteaux
a
commencé
avec
les

Grecs.
Des
gâteaux
de
miel,
ronds
comme
la
lune
et
éclairés
par
des
cierges,
étaient

déposés
sur
les
autels
du
temple
d'Artémis.
(...)
La
croyance
populaire
attribue
aux

bougies
 d'anniversaire
 le
 pouvoir
 magique
 d'exaucer
 les
 souhaits.
 (...)
 Les
 cierges

allumés
 et
 les
 feux
 sacrificiels
 ont
 toujours
 eu
 une
 signification
 mystique

particulière
depuis
que
l'homme
a
commencé
à
dresser
des
autels
à
ses
dieux.
Les

bougies
 sont
 donc
 un
 hommage
 à
 l'enfant
 qui
 fête
 son
 anniversaire;
 elles
 lui
 font

honneur
et
lui
portent
chance."
The
Lore
of
Birthdays
(New
York,
1952)
de
Ralph

et
Adelin
Linton,
pp.
8,
18‐20.


Ce
qui
est
très
intéressant
dans
l'histoire
c'est
que
la
Bible,
le
nouveau
testament,

nous
 parle
 d'Artémis,
 appelée
 "Diane"
 chez
 les
 romains,
 en
 effet,
 l'apôtre
 Paul

travailla
 dure
 afin
 que
 son
 culte
 prenne
 fin
 dans
 la
 ville
 d'Ephèse
 et
 que
 seul

Jésus
y
soit
sujet
d'adoration
mais
les
éphésiens
ne
l'entendaient
pas
ainsi:


"23.




Et
c’est,
à
cette
époque,
un
trouble
surgit,

non
sans
gravité,
à
propos
de
la
route.

24.




Oui,
un
ciseleur
d’argent
nommé
Dèmètrios

faisait
des
temples
d’Artémis
en
argent

et
procurait
un
travail
non
négligeable
aux
artisans.

25.




Il
les
réunit,
ainsi
que
les
ouvriers
des
métiers
similaires,
et
dit:

«
Hommes,
vous
savez
que
de
ce
travail
provient
notre
richesse.

26.




Et,
vous
le
voyez
et
l’entendez,

non
seulement
à
Éphèse,
mais
dans
presque
toute
l’Asie,

ce
Paulos
persuade
et
écarte
à
sa
suite
une
grande
foule

en
disant:
‹
Ce
ne
sont
pas
des
dieux,
ceux
qui
sont
faits
par
des
mains.
›

27.




Non
seulement
cela
menace
pour
nous
notre
part,

qui
risque
de
faire
faillite,

mais
encore
le
sanctuaire
de
la
grande
déesse
Artémis

serait
compté
pour
rien
et
son
prestige
serait
abattu,

elle
que
l’Asie
et
l’univers
adorent.
»

28.




Quand
ils
entendent,
ils
se
remplissent
d’écume,
ils
crient
et
disent:

«
Elle
est
grande,
l’Artémis
des
Éphésiens.
»

29.




Toute
la
ville
se
remplit
d’une
grande
confusion.

Ils
se
ruent
d’un
seul
élan
au
théâtre,

en
entraînant
avec
eux
Gaius
et
Aristarchos,
originaires
de
Macédoine:

ce
sont
des
compagnons
de
voyage
de
Paulos.

30.




Paulos
veut
pénétrer
au
milieu
du
peuple;

mais
les
adeptes
ne
le
lui
permettent
pas.

31.




Plusieurs
asiarques
aussi,
qui
étaient
ses
amis,

envoient
le
supplier
de
ne
pas
s’exposer
au
théâtre.

32.




Là,
les
uns
criaient
ceci,
les
autres
cela.

Oui,
c’était
une
grande
confusion
dans
l’assemblée.

La
plupart
ne
savaient
pas
pourquoi
ils
s’étaient
réunis.

33.




Ils
font
sortir
de
la
foule
Alexandros:
les
Iehoudîm
le
poussaient
en
avant.

Alexandros
fait
un
signe
de
la
main.

Il
cherche
à
se
justifier
devant
le
peuple.

34.




Mais
ils
savent
qu’il
est
un
Iehoudi.

Et
c’est,
tous,
d’une
seule
voix,
pendant
près
de
deux
heures,
ils
crient:

«
Elle
est
grande,
l’Artémis
des
Éphésiens.
»"

Actes
19:23
Chouraqui.


Que
dirait
l'apôtre
Paul,
qui
mit,
il
y
a
de
çà
deux
milles
ans,
sa
vie
en
danger
pour

l'évangile
 de
 Jésus‐Christ
 et
 contre
 la
 folie
 du
 culte
 d'Artémis,
 s'il
 constatait

qu'aujourd'hui
 ceux
 qui
 affirment
 être
 héritiers
 de
 son
 messages
 récupèrent
 à

leurs
comptes
ces
mêmes
coutumes
qu'il
combattait
?
Il
nous
dirait
certainement

ceci

"Autrefois,
ne
connaissant
pas
Dieu,
vous
serviez
des
dieux
qui
ne
le
sont
pas

de
leur
nature;
mais
à
présent
que
vous
avez
connu
Dieu,
ou
plutôt
que
vous
avez

été
 connus
 de
 Dieu,
 comment
 retournez­vous
 à
 ces
 faibles
 et
 pauvres
 rudiments,

auxquels
de
nouveau
vous
voulez
vous
asservir
encore
?
Vous
observez
les
jours,
les

mois,
 les
 temps
 et
 les
 années!
 Je
 crains
 d'avoir
 inutilement
 travaillé
 pour
 vous.

Soyez
 comme
 moi,
 car
 moi
 aussi
 je
 suis
 comme
 vous.
 Frères,
 je
 vous
 en
 supplie."

Galates
4:9
Segond
1910.


Paul
était
un
homme
versé
dans
les
écritures
et
parce
qu'elle
condamne
une
telle

pratique,
 Paul
 l'aurait
 aussi
 sévèrement
 condamné.
 La
 Bible
 ne
 traite
 que
 deux

fois
d'anniversaire
de
naissance,
la
première
fois
il
s'agît
de
celui
de
Pharaon
et
la

seconde
de
celui
d'Hérode.


"Le
chef
des
panetiers,
voyant
que
Joseph
avait
donné
une
explication
favorable,
dit:

Voici,
 il
 y
 avait
 aussi,
 dans
 mon
 songe,
 trois
 corbeilles
 de
 pain
 blanc
 sur
 ma

tête.
Dans
 la
 corbeille
 la
 plus
 élevée
 il
 y
 avait
 pour
 Pharaon
 des
 mets
 de
 toute

espèce,
 cuits
 au
 four;
 et
 les
 oiseaux
 les
 mangeaient
 dans
 la
 corbeille
 au­dessus
 de

ma
tête.
Joseph
répondit,
et
dit:
En
voici
l'explication.
Les
trois
corbeilles
sont
trois

jours.
Encore
trois
jours,
et
Pharaon
enlèvera
ta
tête
de
dessus
toi,
te
fera
pendre
à

un
bois,
et
les
oiseaux
mangeront
ta
chair.
Le
troisième
jour,
jour
de
la
naissance
de

Pharaon,
il
fit
un
festin
à
tous
ses
serviteurs;
et
il
éleva
la
tête
du
chef
des
échansons

et
 la
 tête
 du
 chef
 des
 panetiers,
 au
 milieu
 de
 ses
 serviteurs:
il
 rétablit
 le
 chef
 des

échansons
 dans
 sa
 charge
 d'échanson,
 pour
 qu'il
 mît
 la
 coupe
 dans
 la
 main
 de

Pharaon;
mais
il
fit
pendre
le
chef
des
panetiers,
selon
l'explication
que
Joseph
leur

avait
 donnée.
Le
 chef
 des
 échansons
 ne
 pensa
 plus
 à
 Joseph.
 Il
 l'oublia."
 Genèse

40:16
Segond
1910.


"Hérodias
était
irritée
contre
Jean,
et
voulait
le
faire
mourir.
Mais
elle
ne
le
pouvait;

car
 Hérode
 craignait
 Jean,
 le
 connaissant
 pour
 un
 homme
 juste
 et
 saint;
 il
 le

protégeait,
 et,
 après
 l'avoir
 entendu,
 il
 était
 souvent
 perplexe,
 et
 l'écoutait
 avec

plaisir.
 Cependant,
 un
 jour
 propice
 arriva,
 lorsque
 Hérode,
 à
 l'anniversaire
 de
 sa

naissance,
donna
un
festin
à
ses
grands,
aux
chefs
militaires
et
aux
principaux
de
la

Galilée.
La
fille
d'Hérodias
entra
dans
la
salle;
elle
dansa,
et
plut
à
Hérode
et
à
ses

convives.
 Le
 roi
 dit
 à
 la
 jeune
 fille:
 Demande­moi
 ce
 que
 tu
 voudras,
 et
 je
 te
 le

donnerai.
Il
ajouta
avec
serment:
Ce
que
tu
me
demanderas,
je
te
le
donnerai,
fût­ce

la
moitié
de
mon
royaume.
Étant
sortie,
elle
dit
à
sa
mère:
Que
demanderais­je?
Et

sa
mère
répondit:
La
tête
de
Jean
Baptiste.
Elle
s'empressa
de
rentrer
aussitôt
vers

le
roi,
et
lui
fit
cette
demande:
Je
veux
que
tu
me
donnes
à
l'instant,
sur
un
plat,
la

tête
 de
 Jean
 Baptiste.
 Le
 roi
 fut
 attristé;
 mais,
 à
 cause
 de
 ses
 serments
 et
 des

convives,
il
ne
voulut
pas
lui
faire
un
refus.
Il
envoya
sur­le­champ
un
garde,
avec

ordre
 d'apporter
 la
 tête
 de
 Jean
 Baptiste.
 Le
 garde
 alla
 décapiter
 Jean
 dans
 la

prison,
et
apporta
la
tête
sur
un
plat.
Il
la
donna
à
la
jeune
fille,
et
la
jeune
fille
la

donna
à
sa
mère."
Marc
6:19
Segond
1910.


La
Bile
 est
 La
Parole
 de
Dieu,
 si
elle
évoque
 par
deux
 fois
 un
 anniversaire,
cela

n'est
 pas
 un
 hasard,
 il
 y
 un
 message
 de
 l'Eternel
 à
 y
 saisir,
 analysons
 ces
 deux

passages
en
parallèle:




 Genèse
40:16

 Marc
6:19


Sujet
 Anniversaire
 Anniversaire

Personnage
central
 Pharaon
 Hérode

Relation
avec
Dieu
 Idolâtre
 Homme
 impie
 qui

mourût
 foudroyé
 par

Dieu
 à
 cause
 de
 son

orgueil.
Actes
12
:22

Événement
 Meurtre
par
décapitation
 Meurtre
par
décapitation

Statut
de
la
victime
 Prisonnier
 Prisonnier

Nom
de
la
victime
 Inconnu
 Jean‐Baptiste

Occupation
de
la
victime
 Panetier
 «
…celui
 qui
 crie
 dans
 le

désert
 préparez
 le

chemin
 du
 seigneur,
»

Matt
3:3

Détails
 sur
 l’occupation
 Le
 panetier
 est
 celui
 qui
 Jean‐Baptiste
 avait
 pour

de
la
victime
 dans
 les
 grands
 mission
 de
 préparer
 les

établissements
 est
israélites
au
ministère
de

chargé
 de
 la
 garde
 et
 de
 Jésus
 symboliquement

la
 distribution
 du
 pain,
 nommé,
 «pain
 de
 vie
»

pour
 résumer,
 le
Jean
 6:35,
 Jean‐Baptiste

panetier
 était
 celui
 qui
 était
 donc
 celui
 qui

préparait
 la
 venu
 du
 préparait
 la
 venue
 du

pain.
 pain.




En
 conclusion
 les
 deux
 passage
 de
 la
 Bible
 qui
 traite
 d’anniversaires
 nous

permettent
de
conclure
sur
la
seule
base
des
écritures
que
cet
évènement
déplait

à
 Dieu
 en
 effet,
 non
 seulement
 les
 deux
 occurrences
 de
 cet
 évènement
 dans
 la

Bible
 sont
 le
 fruit
 d’homme
 pensant
 être
 égal
 ou
 supérieurs
 à
 Dieu
 et
 se

traduisent
 par
 un
 malheureux
 incident,
 la
 mort,
 le
 salaire
 du
 péché
 mais
 plus

encore
 les
 deux
 victimes
 ont
 littéralement
 ou
 symboliquement
 un
 lien
 direct

avec
le
pain,
lien
d’importance
puisqu'
elles
étaient
en
charge
de
la
préparation

de
 sa
 venue.
 Le
 message
 est
 ici
 très
 clair
 les
 anniversaires
 se
 célèbrent
 au

détriment
du
pain
de
Dieu,
Yeshua,
la
Parole
faite
chair,
celui
là
même
par
qui
et

en
qui
nous
avons
le
Salut,
en
célébrant
cette
fête
nous
renions
donc
le
Christ
et

refusons
la
vie
éternelle
qu’il
nous
offre
car
il
est
dit
en
Jean
6:51
concernant
ce

fameux
pain
«
Je
suis
le
pain
vivant
qui
est
descendu
du
ciel.
Si
quelqu'un
mange
de

ce
 pain,
 il
 vivra
 éternellement;
 et
 le
 pain
 que
 je
 donnerai,
 c'est
 ma
 chair,
 que
 je

donnerai
pour
la
vie
du
monde.»
Segond
1910.


Pourquoi
 Dieu
 désapprouve‐t‐il
 la
 célébration
 des
 anniversaires
?
 De
 multiples

raisons
 existes,
 premièrement
 il
 est
 d’origine
 païenne
 et
 Dieu
 nous
 interdit
 de

nous
conformer
à
leurs
festivités,
il
est
une
porte
ouverte
à
nombre
de
traditions

impies
 et
 de
 superstitions,
 soufflage
 des
 bougies,
 vœux…
 mais
 plus
 encore

l’anniversaire
 est
 l’occasion
 d’une
 glorification
 de
 l’égo,
 celui‐là
 même
 qui
 doit

mourir
 afin
 de
 laisser
 vivre
 Christ
 en
 nous.
 Lors
 d’un
 anniversaire,
 le
 célébrant

prend
la
place
de
Dieu
en
devenant
le
sujet
centrale
de
la
festivité
et
cette
fête
en

vient
 à
 prendre
 plus
 d’importance
 que
 les
 jours
 saints
 mis
 à
 part
 par
 Dieu
 afin

que
nous
le
célébrions
et
que
nous
nous
réjouissions
en
sa
présence.
Lisons
les

propos
d’Anton
Sandzor
Lavey
(1930‐1997),
fondateur
de
la
Church
of
Satan
de

Los
Angeles,
sur
le
sujet
:


«
Le
 plus
 grand
 de
 tous
 les
 saints
 jours
 dans
 la
 religion
 Satanique
 est
 le
 jour
 de

notre
 naissance.
 C’est
 en
 contradiction
 directe
 avec
 les
 jours
 les
 plus
 saints
 des

autres
 religions,
 qui
 déifient
 un
 Dieu
 particulier
 qui
 a
 été
 crée
 dans
 une
 forme

anthropomorphique
 à
 leur
 propre
 image,
 montrant
 ainsi
 que
 l’ego
 n’est
 pas

réellement
 enterré.
 Le
 sataniste
 voit
 les
 choses
 ainsi
:
 «
Pourquoi
 ne
 pas
 être

vraiment
honnête
et
si
vous
créez
un
dieu
à
votre
image,
pourquoi
ce
dieu
ne
serait­
il
 pas
 vous­même
?
»
 Tout
 homme
 est
 un
 dieu
 s’il
 choisi
 de
 se
 reconnaître
 comme

tel.
 Ainsi,
 le
 sataniste
 célèbre
 son
 propre
 anniversaire
 comme
 le
 jour
 saint
 le
 plus

important
de
l’année.
Après
tout,
n’êtes­vous
pas
plus
heureux
à
propos
du
fait
que

vous
 soyez
 né
 que
 vous
 ne
 l’êtes
 à
 propos
 de
 la
 naissance
 de
 quelqu’un
 que
 vous

n’avez
jamais
rencontré
?
À
ce
sujet
et
en
dehors
des
jours
saints
religieux,
pourquoi

célébrer
 davantage
 l’anniversaire
 d’un
 président
 ou
 d’une
 date
 historique
 que
 le

jour
où
nous
fûmes
amenés
dans
le
plus
grand
de
tous
les
mondes
?
En
dehors
du

fait
que
certains
d’entre
nous
n’ont
peut­être
pas
été
désirés
ou
au
moins
planifiés,

nous
 sommes
 heureux
 même
 si
 personne
 d’autre
 ne
 l’est,
 nous
 sommes
heureux

d’être
ici
!
Vous
devriez
vous
donner
une
tape
dans
le
dos,
vous
acheter
tous
ce
que

vous
 voulez,
 vous
 traiter
 vous
 comme
 le
 roi
 (ou
 le
 dieu)
 que
 vous
 êtes,
 et

généralement
 célébrer
 votre
 anniversaire
 avec
 autant
 de
 fastes
 et
 de
 cérémonies

que
 possible.
 Après
 l’anniversaire,
 les
 deux
 jours
 saints
 Sataniques
 majeurs
 sont

Walpurgisnacht
(1er
Mai)
et
Halloween
(ou
Toussaints).
»

Anton
Szandor
LaVey,

(Air)
 Book
 of
 Lucifer
 –
 The
 Enlightenment,
 Avon
 Books,
 1969,
 Ch
 XI,
 Religious

Holidays,
p.
96‐98


Sur
le
plan
spirituel,
un
élément
de
l’anniversaire
prend
une
importance
capitale

tant
 il
 s’oppose
 à
 la
 notion
 de
 nouvelle
 naissance,
 passage
 obligé
 vers
 le
 salut,

«
En
vérité,
en
vérité,
je
te
le
dis,
si
un
homme
ne
naît
de
nouveau,
il
ne
peut
voir
le

royaume
de
Dieu.
»
Jean
3:3.
En
effet,
comme
le
dira
l’apôtre
Paul,
pour
compter

parmi
 les
 élus
 de
 Dieu
 nous
 devons
 devenir
 une
 «
nouvelle
 créature
»
 et
 faire

mourir
 le
 «
vieil
 homme
»,
 nous
 obtenons
 ainsi
 une
 nouvelle
 naissance
 et

déclarons
la
première
abolie.
Or
si
nous
continuons
de
célébrer
notre
première

naissance
nous
renions
par
la
même
la
nouvelle
et
affirmons
que
le
vieil
homme

n’est
 pas
 mort
 et
 nous
 regardons
 en
 arrière
 ce
 à
 propos
 de
 quoi
 Jésus
 a
 dit

«
Quiconque
 met
 la
 main
 à
 la
 charrue,
 et
 regarde
 en
 arrière,
 n'est
 pas
 propre
 au

royaume
de
Dieu.»

Luc
9:61
Segond
1910.
Mais
plus
encore,
si
nous
avons
besoin

d’une
 nouvelle
 naissance
 pour
 obtenir
 la
 vie
 éternelle,
 une
 naissance
 à
 la
 vie

éternelle,
 c’est
 que
 notre
 première
 naissance
 était
 une
 naissance
 à
 la
 mort,

salaire
 du
 péché,
 une
 naissance
 au
 péché
 ainsi
 quiconque
 célèbre
 son

anniversaire,
célèbre
le
péché
en
ce
qu’il
se
célèbre
lui‐même,
un
être
pêcheur
à

cause
de
qui
le
Christ
est
mort.


Bien
 conscients
 des
 aspects
 maléfiques
 de
 cette
 fête
 païenne,
 beaucoup
 de

chrétiens
 mettent
 en
 avant
 le
 fait
 qu’ils
 profitent
 de
 cet
 évènement
 pour

remercier
 Dieu
 de
 leur
 avoir
 renouvelé
 le
 souffle
 de
 vie
 pour
 une
 autre
 année,

l’intention
 est
 louable,
 oui,
 mais
 d’intentions
 louables
 l’Enfer
 est
 pavé.
 En
 effet

l’adoration
est
tournée
vers
Dieu
et
il
en
est
le
récipiendaire,
ainsi
donc
si
Dieu

souhaitait
être
loué
de
la
sorte
ne
nous
l’aurait‐il
pas
demandé
expressément
?
Si

l’Éternel
 a
 pris
 la
 peine
 de
 souligner
 par
 deux
 anecdotes
 espacées
 de
 deux

millénaires
 ce
 en
 quoi
 il
 abhorrait
 cette
 fête,
 n’aurait‐il
 pas
 pris
 le
 temps
 d’y

joindre
 les
 «
exceptions
»
 justifiant
 sa
 célébration
?
 Il
 n’est
 pas
 nouveau
 que
 les

hommes,
charmés
par
leurs
sens,
souhaitent
rendre
gloire
à
Dieu,
non
selon
ses

préceptes
 divins
 mais
 selon
 les
 voies
 de
 leurs
 cœurs,
 Caïn
 fût
 le
 premier
 à
 s’y

risquer
 et
 par
 cette
 faute
 le
 premier
 meurtre
 fût
 commis
 sur
 la
 Terre.
 Voici
 ce

que
 Dieu
 dit
 à
 ceux
 et
 celles
 qui
 souhaitent
 l’«honorer»
 tout
 en
 dérogeant

expressément
 à
 ses
 commandements
 et
 recommandations
 "Hypocrites,
 Esaïe
 a

bien
prophétisé
sur
vous,
ainsi
qu'il
est
écrit:
Ce
peuple
m'honore
des
lèvres,
Mais

son
 coeur
 est
 éloigné
 de
 moi.
 C'est
 en
 vain
 qu'ils
 m'honorent,
 En
 donnant
 des

préceptes
 qui
 sont
 des
 commandements
 d'hommes.
 Vous
 abandonnez
 le

commandement
 de
 Dieu,
 et
 vous
 observez
 la
 tradition
 des
 hommes."
 Marc
 7:6

Segond
 1910
 Notez
 que
 dans
 le
 contexte,
 les
 pharisiens
 n'abandonnent
 pas
 le

commandement
 de
 Dieu
 pour
 tué
 ou
 violé
 mais
 pour
 faire
 du
 bien,
 à
 savoir

donner
 des
 offrandes
 au
 Temple,
 seulement
 c'est
 en
 abattant
 un
 autre

commandement
 qu'ils
 y
 parviennent,
 "honore
 ton
 père
 et
 ta
 mère".
 Il
 en
 est
 de

même
de
ceux
et
celles
qui
disent
rendre
gloire
à
Dieu
par
leur
anniversaire
ou

utiliser
Noël
pour
évangéliser...
Notre
Dieu
est‐il
si
faible
qu'il
ait
besoin
d'utiliser

des
 fêtes
 mises
 en
 place
 par
 Satan
 ?
 Certainement
 Dieu
 n'est
 pas
 faible
 en

revanche
 notre
 foi
 doit
 l'être,
 au
 vu
 de
 telles
 méthodes,
 c'est
 certain.
 La

puissance
 de
 l'évangile
 n'a
 nul
 besoin
 de
 l'ennemi
 et
 de
 ses
 festivités
 pour
 se

réaliser
!


Avant
 d’en
 finir
 avec
 les
 anniversaires,
 incrémentons
 cette
 variable
 dans

l’équation
formidable
que
Dieu
nous
a
donné
pour
mieux
comprendre
le
lien
qui

l’unit
à
nous
:
(adoration
de
l'homme
à
Dieu)
=
(relation
de
la
femme
à
l'homme).

Si
l’adoration
d’autre
dieux
est
comparé
par
Dieu
à
de
l’adultère
c’est
à
dire
une

relation
sexuelle
avec
un
autre
que
l’époux,
alors
qu’en
est‐il
de
l’anniversaire
où

l’adoration
 est
 tournée
 vers
 soi‐même,
 à
 quelle
 acte
 sexuel
 cette
 fête
 païenne

correspondrait‐elle
?
 Effectivement,
 oui,
 de
 l’onanisme
 acte
 définie
 par
 Dieu

comme
un
péché.


In
 fine,
 sur
 un
 plan
 purement
 technique,
 Dieu
 nous
 a
 donné
 des
 «
temps
»,
 un

calendrier
 dont
 certains
 détails
 apparaissent
 en
 Lévitique
 23
 et
 dans
 d’autres

passages
de
la
Bible…
et
où
a‐t‐il
dit
que
ce
calendrier
n’était
plus
valide
?
Jésus

n’a‐t‐il
 pas
 dit
 que
 «
l'Ecriture
 ne
 peut
 être
 anéantie
»
 ?
 Dieu
 avait
 prévu
 que

l’homme
essaierait
de
le
changer
lorsque
par
la
bouche
de
l’’ange
Gabriel
parlant

de
l’antéchrist
il
dit
:
«
il
espérera
changer
les
temps
et
la
loi
»
Daniel
7:25
Segond

1910,
(et
il
est
question
ici
de
bien
plus
que
du
simple
shabbat.)
Depuis
la
venue

de
 Jésus
 la
 «
petite
 corne»
 a
 effectivement
 essayé
 d’imposer
 un
 nouveau

calendrier,
 le
 Julien
 puis
 le
 Grégorien.
 Ainsi,
 en
 respectant
 le
 calendrier
 de
 la

Bête,
c’est
près
d’une
personne
sur
1460
(ceux
nés
le
29
février)
qui
éprouve
des

difficultés
à
célébrer
son
anniversaire
mais
si
nous
respections
le
calendrier
de

Dieu
 qui
 intercale
 selon
 un
 cycle
 métonique
non
 pas
 1
 jour
 mais
 1
 mois
 (adar‐
bet)
 à
 peu
 près
 tout
 les
 trois
 ans,
 c’est
 environ
 une
 personne
 sur
 33
 qui

rencontrerait
cette
difficulté
!!!




«
Vous
célébrez
les
festivals
solennels
des
gentils…
et
comme
à
leurs
manières
vous

les
 avez
 gardé
 sans
 aucune
 altération.
 Rien
 ne
 vous
 distingue
 des
 païens,
 excepté

que
 vous
 tenez
 vos
 assemblées
 à
 leur
 écart
»
 —
 Faustus
 (auteur
 non‐chrétien)
 à

Saint
 Augustin
 (IV
 siècle),
 cité
 dans
 History
 of
 the
 Intellectual
 Development
 of

Europe,
John
William
Draper,
M.D.,
LL.D.,
vol.
1,
p.
310.


«
Car
 l'amour
 de
 Dieu
 consiste
 à
 garder
 ses
 commandements.
 Et
 ses

commandements
 ne
 sont
 pas
 pénibles,
 parce
 que
 tout
 ce
 qui
 est
 né
 de
 Dieu

triomphe
du
monde;
et
la
victoire
qui
triomphe
du
monde,
c'est
notre
foi.
»
1
Jean

5:3
Segond
1910.


Le
 prochain
 article,
 si
 Dieu
 me
 le
 permet,
 traitera
 de
 la
 fête
 du
 «
nouvelle
 an
»

célébré
par
un
grand
nombre
de
chrétien
le
31
décembre
de
chaque
année.
Que

l’Éternel
 vous
 guide
 d’ici
 là
 par
 la
 puissance
 de
 son
 Saint‐Esprit
 dans
 toute
 la

vérité
selon
les
mérite
de
Yeshua
mort
pour
nous
sur
le
bois
infâme,
c’est
dans

son
nom
que
je
vous
ai
écrit,
soyez
bénis,


Mehdi
Séneron.


Précisions
:
 à
 ceux
 et
 celles
 qui
 en
 douterai,
 j’aime
 faire
 la
 fête
 !!!
 Oui,
 danser,

boire
et
faire
bonne
chère
mais
plus
que
célébrer,
j’aime
Dieu…
et
çà
tombe
bien

car
 lui
 aussi
 aime
 faire
 la
 fête
 et
 plus
 encore,
 il
 aime
 que
 nous
 fêtions
 !!!
 Après

tout
 n’a‐t‐il
 pas
 commencé
 sont
 ministère
 lorsqu’il
 était
 parmi
 nous
 par
 un

«
party
»
de
mariage,
les
noces
de
Cana
?
Et
n’a‐t‐il
pas
dit…



«
Peut­être
 lorsque
 l'Eternel,
 ton
 Dieu,
 t'aura
 béni,
 le
 chemin
 sera­t­il
 trop
 long

pour
 que
 tu
 puisses
 transporter
 ta
 dîme,
 à
 cause
 de
 ton
 éloignement
 du
 lieu

qu'aura
choisi
l'Eternel,
ton
Dieu,
pour
y
faire
résider
son
nom.
Alors,
tu
échangeras

ta
 dîme
 contre
 de
 l'argent,
 tu
 serreras
 cet
 argent
 dans
 ta
 main,
 et
 tu
 iras
 au
 lieu

que
 l'Eternel,
 ton
 Dieu,
 aura
 choisi.
 Là,
 tu
 achèteras
 avec
 l'argent
 tout
 ce
 que
 tu

désireras,
 des
 boeufs,
 des
 brebis,
 du
 vin
 et
 des
 liqueurs
 fortes,
 tout
 ce
 qui
 te
 fera

plaisir,
tu
mangeras
devant
l'Eternel,
ton
Dieu,
et
tu
te
réjouiras,
toi
et
ta
famille.
»

Deutéronome
14:24
Segond
1910.


«
Je
 te
 rétablirai
 encore,
 et
 tu
 seras
 rétablie,
 Vierge
 d'Israël!
 Tu
 auras
 encore
 tes

tambourins
pour
parure,
Et
tu
sortiras
au
milieu
des
danses
joyeuses.
Tu
planteras

encore
 des
 vignes
 sur
 les
 montagnes
 de
 Samarie;
 Les
 planteurs
 planteront,
 et

cueilleront
les
fruits.
»
Jérémie
31:4
Segond
1910.


«
N'est­ce
 donc
 pas
 un
 bien
 pour
 l'homme
 de
 manger,
 et
 de
 boire,
 et
 de
 faire
 que

son
âme
jouisse
du
bien
dans
son
travail?
J'ai
vu
aussi
que
cela
vient
de
la
main
de

Dieu.
»
Écclésiaste
2
:24
Martin.


«
Réjouissez­vous
 toujours
 dans
 le
 Seigneur;
 je
 le
 répète,
 réjouissez­vous.
»



Philipiens
4:4
Segond
1910.


…Dieu
souhaite
que
nous
fêtions,
que
nous
dansions,
buvions
et
mangions
et
il
a

appointé
des
temps
à
cet
effet
dont
nous
parlerons
une
autre
fois,
Satan
aussi
a

appointé
les
siens,
faites
votre
choix.


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