Etude de Faisabilite Foyer-Auberge Municipal
Etude de Faisabilite Foyer-Auberge Municipal
Etude de Faisabilite Foyer-Auberge Municipal
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Date : 15Avril 2012
Désignation du projet : Construction du foyer-auberge communal d’Edzendouan.
Zone d’intervention : Domaine d’intervention : Type d’activité :
Région du Centre Bâtiment et Travaux Construction bâtiment
Publics
Groupe cible : Les populations de la Commune d’Edzendouan, Département de la
Mefou Afamba.
Maitre d’ouvrage : Maire de la Commune d’Edzendouan
Chef de Service du Marché : Coordonateur Régional du PNDP/Centre
Maitre d’œuvre : Consultant Individuel
Ingénieur du Marché : Délégué Départemental des Travaux Publics de la Mefou
Afamba
Agence d’Exécution et de Maintenance : Titulaire du Marché à déterminer
Objectif global :
Mise à la disposition de la commune d’un cadre approprié pour les activités
associatives, culturelles et autres manifestations publiques.
Objectifs spécifiques :
Construire un bâtiment comprenant :
Bâtiment construit ;
Hébergement des visiteurs améliorés ;
Valorisation des actions collectives.
Impact attendu :
Amélioration du cadre d’accueil des populations.
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Au terme du screening environnemental mené par l’agent de développement de la
commune et le consultant, ce micro projet a été classé dans la catégorie B1 pour
lequel des mesures simples d’atténuation seront suffisantes, à l’instar de la
construction des latrines.
Déplacement involontaire :
Pas de déplacement.
Mesures compensatoires :
Rien à signaler.
Peuples Pygmées :
Pas de peuple
Impacts et mesures coûts
En ce qui concerne les impacts signalés de part et d’autre notamment l’abattage des
arbres et le défrichage de l’emprise des travaux, la production des déchets et ordures
diverses, des mesures d’atténuation appropriées seront prises à cet effet. Il s’agira
notamment :
- Du reboisement ;
- Du traitement approprié des déchets et des eaux usées ;
Etant donné que ce site est déjà doté d’un acte de donation, aucun problème lié au
domaine foncier ne sera posé.
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I- PRESENTATION DE LA COMMUNE ET DU
SITE DU MICRO PROJET
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1. DONNEES DEMOGRAPHIQUES
Edzendouan -
05 100 150 250
ville
Edzendouan
06 250 300 550
village
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Akondok 05 80 120 200
Mebengandzam
07 90 120 210
a
Ngomban 07 90 60 150
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SITUATION DE
TYPOLOGIE REFERENCE
VILLAGE
Handicapé
moteur Handicap
orphelin problèmes atouts besoins
é visuel
AFANMVIE
1 2 3
EBOLKOK
1 2 2
AFAN ATEBINI
- 1 2
AKONDOK
1 1 4
EDZENDOUAN-
VILLAGE 2 2 -
EDZENDOUAN-
VILLE 1 - 3
NGOMBAN 1 1 -
MINKOE MIBE - - -
MEKA’A 1 - -
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MA
TOTAL
NKOAYOS
MEBENGANDZA
MVOMNDOUMBA
1
1
1
14
5
2
21
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2
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Matériel roulant pour les handicapés moteur, cannes pour les handicapés visuels et
fournitures scolaires pour les orphelins.
2. DONNEES ADMINISTRATIVES ET ORGANISATIONS SOCIALES
La commune d’Edzendouan a été crée le 24 Avril 1995 par décret n°
95/082 du Président de la République. Elle épousait alors les contours du
district du même nom ; District devenu Arrondissement de nos jours. Elle se
trouve au Nord-ouest du département de la MEFOU et AFAMBA, dans la
région du Centre Cameroun. Elle compte 13 villages et un espace urbain. Elle
couvre 5500km² et compte 11070 habitants dont 6290 femmes et 4750
hommes. Elle est limitée au Nord par la Commune de Mbandjock (haute
Sanaga), au Sud par la Commune de Soa, à l’Est par la Commune d’Esse
(Mefou et Afamba) à l’Ouest, par les Communes d’Obala et de Batschenga
(Lekié). Son chef-lieu se trouve à Edzendouan.
VILLAGE CLAN
Yendobo, Yetemanga,
Mvomndoumba Yetembuna,Yemeno’o, Ndom,
Yefada, Etom
Afanessele Yemvela
Akondok Mekomba
Ebolkok Yengoka
Meka’a Yemba’a
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Ngomban Fong (Akom)
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3. PROJET ET AUTRES ORGANISMES DE DEVELOPPEMENT EXISTANTS
AVEC LIEN SUR LE PROJET
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II- CONTEXTE ET JUSTIFICATION
1. CONTEXTE
2. OBJECTIFS SPECIFIQUES
Il s’agit de construire un bâtiment comprenant :
Le présent descriptif a pour but de définir le mode d’exécution des travaux à réaliser
suivant les standards et normes homologués.
PARTIE 1 – GÉNÉRALITÉ
ARTICLE 10 - a MAÇONNERIES
Murs en pierres sèches ou en maçonnerie
En cas d’utilisation éventuelle des moellons (ou pierres) le cocontractant devra
demander l’agreement du maitre d’œuvre. Ces moellons seront soit bruts ou taillés
par les riverains de la ville d’Edzendouan. Ils sont extraits de roches massives ou de
blocs rocheux durs, non altérés et dégagés de toute gangue ou terre végétale. Leur
coefficient Los Angeles est inférieur à 30.
Les dimensions minimum exigées (épaisseur : 10 cm, queue : 20 cm pour les massifs
et 30 cm pour les parements) permettent de les mettre en œuvre à la main.
Les faces de parement doivent être dressées soit naturellement, soit par retaillage.
Les moellons employés en parement sont choisis et dégrossis de manière à ne pas
présenter de saillie ou flache de plus de 3 cm par rapport au plan de l'ouvrage. Les
pierres d’assemblage pour boucher les interstices sont de même nature que les
moellons servant à constituer le squelette de l’ouvrage.
Pour les murs en maçonnerie, l’assemblage entre les pierres ou moellons est réalisé
au mortier de ciment dosé à 400 kilos de ciment CPJ 34 par mètre cube de mortier.
Perrés
Ces moellons ont au minimum 0,30 m de queue, et une dimension minimale en
parement de 0,20 m. Ils doivent être agréés par le Maître d’œuvre.
Constatations contradictoires
En vue de procéder aux constatations contradictoires de la nature et de la qualité des
terrains rencontrés, l´entrepreneur avertit le maître d´œuvre, au moins 24 heures à l
´avance, de la date à laquelle sera atteinte la cote prévue pour la fondation.
A l´issue de ces constatations, le maître d´œuvre arrête les conditions dans lesquelles
seront effectuées les opérations de préparation et d´acceptation de la fouille.
Préparation du fond de fouille
L´entrepreneur procède à l´enlèvement ou à la purge de tous les éléments, blocs,
poches ou lentilles, susceptibles de provoquer des désordres et au comblement des
vides dans les conditions fixées par le marché ou arrêtées par le maître d´œuvre à l
´issue des constatations contradictoires.
Acceptation du fond de fouille
Sauf dispositions contraires indiquées par le marché ou arrêtées à l´issue des
constatations contradictoires, l´acceptation du fond de fouille est faite après les
opérations de préparation décrites ci-dessus.
Finition du fond de fouille
La finition du fond de fouille est exécutée après les travaux de préparation.
Elle comprend :
- le décapage final jusqu´à la cote prévue dans des conditions permettant d´éviter l
´ameublissement du sol d´assise,
- s´il y a lieu, une amélioration temporaire du fond de fouille destinée à éviter sa
dégradation jusqu´à la mise en œuvre du dispositif de protection
Pour les sols meubles sensibles ou gonflants, cette finition doit suivre immédiatement
les travaux de terrassements et de préparation du fond de fouille
Protection du fond de fouille
La protection du fond de fouille est réalisée dès l´achèvement des travaux de finition
Elle peut être obtenue :
- par un béton de propreté pour les fouilles exécutées à sec,
- par le béton de la fondation dans le cas d´une fondation au rocher,
- par un béton mis en œuvre sous l´eau,
- par tout autre dispositif de protection agréé par le maître d´œuvre.
Les terres provenant des fouilles, dans le cas où elles ne seraient utilisables selon
l'appréciation de la Mission de contrôle pour d'autres emplois dans les travaux,
seront par les soins de l'Entrepreneur, amenées aux décharges publiques.
Il pourra être ordonné l’épandage de ces remblais dans l'emprise du chantier sans
qu'il y ait lieu d'indemnité spéciale. Les remblais autour des fouilles pourront être
exécutés avec les matériaux provenant des fouilles à la condition que ce matériau soit
approuvé par la Mission de contrôle. Les remblaiements autour des ouvrages seront
exécutés par couches successives de 30 cm maximum d’épaisseur, pilonnées,
arrosées et compactées. Au cas où un apport de terre serait nécessaire, il devra
parvenir d'endroits sains et en tous les cas d'emplacements agrées par la Mission de
contrôle. Il est défendu d'adosser les terres contre les maçonneries récentes, de
toute façon, ces remblaiements devront être exécutés à la main pour charger
uniformément les parois et éviter toutes contraintes qui pourraient résulter d'une
charge mal répartie.
FOUILLES EN PUITS
Les fouilles seront descendues jusqu’au bon sol, assurant une parfaite stabilité de
l’ouvrage. Pour les facilités de mise en œuvre, l’ouverture des fouilles ne sera pas
inférieure à 60cm x 60cm. Dans tous les cas la profondeur de ces fouilles ne sera pas
inférieure à 60 cm en tous points. Les parois de fouilles seront bien dressés et les
fonds parfaitement nivelés. Le réglage des fonds de fouilles aux côtes définitives sera
effectué à l’aide de la fiole.
L’exécution des fouilles sera subordonnée à l’approbation de l’implantation par le
Maître d’œuvre.
FOUILLES EN RIGOLES
Elles sont prévues pour l'exécution des fondations des semelles filantes ainsi que les
longrines, chaînages. Par contre, les fouilles pour canalisations enterrées sont exclues
de cet article et intégrées dans les lots spéciaux.
Si le marché le prescrit, les ouvrages de fondation sont bétonnés soit à pleine fouille,
soit entre blindages ou entre coffrages. Dans les autres cas, ils sont bétonnés selon
les dispositions proposées par l´entrepreneur et visées par le maître d´œuvre.
Les modalités d´exécution du bétonnage sont soumises par l´entrepreneur au visa du
maître d´œuvre.
ARTICLE 18 - CONDITIONS TECHNIQUES IMPREVUES
Si le caractère imprévu des conditions géotechniques ou hydrogéologiques
effectivement rencontrées impose une modification importante des conditions du
marché, l´entrepreneur en avise aussitôt le maître d´œuvre et lui soumet les
dispositions techniques nouvelles qu´il propose d´adopter ; les décisions prises par le
maître d´œuvre sur le vu de ces propositions font l´objet d´un ordre de service de la
part du maître de l´ouvrage. Si l´urgence ne permet pas à l´entrepreneur de se
conformer aux prescriptions ci-dessus, il prend les mesures nécessaires et en avise le
maître d´œuvre dans les 24 heures.
ARTICLE 19 - REMBLAIS
Il s'agit de remblaiement autour des fondations pour mise à niveau du sol sous
dallage et du terrain.
Les terres provenant des fouilles seront sous réserve de leur bonne qualité, utilisées
pour le remblai des fouilles. Dans le cas de la mauvaise qualité avérée des terres de
ces fouilles, les remblais seront faits avec du sable. Ceux –ci seront exécutés par
couches successives de 15 cm, arrosées et compactées.
Les terres excédentaires ainsi que celles de mauvaise qualité seront évacuées à la
décharge publique ou en des lieux agréés par l’Ingénieur du marché. De toutes les
manières, les remblais de fouilles seront purgés de tout détritus, racines, matières
végétales et gravas.
ARTICLE 20 - RECEPTION DE FERRAILLAGES
Avant bétonnage, l'Entreprise informera le maître d’œuvre de la finition des
ferraillages en vue de leur réception. Le terme "Bon à bétonner" sera précisé sur le
Journal de Chantier par la Mission de contrôle après cette réception et qui autorisera
l'Entreprise à effectuer le bétonnage des zones en objet.
BETON DE 3 seaux
150 1 sac de 50 kg 4 brouettes 3 brouettes
PROPRETE (30 litres)
BETON POUR 3seaux
350 1 sac de 50 kg 2 brouettes 1 brouette
SEMELLES (30 litres)
BETON POUR
3 seaux
POTEAU EN 350 1 sac de 50 kg 2 brouettes 1 brouette
(30 litres)
FONDATION
BETON POUR
3 seaux
POTEAU EN 350 1 sac de 50 kg 2 brouettes 1 brouette
(30 litres)
ELEVATION
BETON POUR
3 seaux
CHAINAGE ET 350 1 sac de 50 kg 2 brouettes 1 brouette
(30 litres)
LINTEAU
BETON POUR
3 seaux
DALLAGE 300 1 sac de 50 kg 2 brouettes 1,5 brouette
(30 litres)
EXTERIEUR
2. Dosage de ciment (CPJ 35) des mortiers
DOSAGE
CIMENT SABLE FIN EAU
EN kg/m3
Le respect du dosage en eau est très important. Un béton qui a trop d’eau est moins
résistant mais en contrepartie un béton qui ne contient pas assez d’eau se met
difficilement en place. On risque d’y trouver des zones sans mortier (nids de cailloux)
et des cavernes. Il est difficile de définir la quantité d’eau à ajouter pour obtenir le
dosage prescrit car celle-ci dépend de la quantité d’eau déjà contenue dans les
granulats (lorsque ceux-ci sont humides)
La quantité d’eau contenue dans les cailloux est négligeable. Celle contenue dans le
sable peut par contre être importante et il sera indispensable d’en tenir compte. Pour
cela il sera bon de procéder ainsi :
Mettre à la disposition du chantier
-une balance,
-une poêle,
-une boite dont le volume soit égale au 1/100e du volume de sable à introduire
La boite est remplie et son contenu est pesé
Le sable est ensuite placé dans la poêle et desséché en le mélangeant à de l’essence
que l’on fait alors brûler. On pèse à nouveau. La différence en grammes divisée par
10 donne le nombre de litres à retirer de la quantité d’eau prescrite pour une gâchée.
La fabrication du béton peut être à la bétonnière ou à la main. Le béton doit
normalement être fabriqué à la bétonnière. Les granulats sont introduits les
premiers. Ils sont d'abord malaxés à sec, puis l'eau est introduite.
La durée totale du malaxage est comprise entre une et deux minutes. Le béton doit
être bien homogène. Si le malaxage dure trop longtemps, une ségrégation peut se
produire (séparation des gros et des petits éléments) qui est nuisible à la bonne
qualité du béton.
Quand il s'agit de petites quantités d’un béton de catégorie inférieure (béton de
propreté par exemple), on peut envisager une fabrication à la main. L’aire de
fabrication doit être propre ; elle peut être constituée par un ensemble de tôles
métalliques, ou par une forme bétonnée plane.
Les granulats sont mélangés à la pelle ; l'eau est introduite progressivement dans un
cratère central pratiqué dans le tas de granulats ; le malaxage est poursuivi en
prenant soin d’éviter la ségrégation, jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Il ne faudra pas qu'à la mise en œuvre du béton, la composition soit modifiée. Il faut
donc que tous les constituants restent à l'intérieur du coffrage. Pour cela, deux
précautions sont à prendre :
-Les coffrages doivent être étanches. Dans le cas contraire, les éléments fins (ciment
+ eau + sable fin) peuvent s'écouler par les interstices de sorte que le béton situé à
proximité de la paroi n'a plus la composition requise.
-Les coffrages en bois, ou en matériaux poreux, doivent être longuement arrosés
avant la mise en place du béton. En l'absence de cette précaution, ces coffrages
absorbent l'eau de gâchage. Le béton situé à proximité de la paroi n'a plus la teneur
en eau requise. Dans le cas d'emploi de coffrages ayant déjà servi, il est essentiel de
les nettoyer soigneusement.
Le transport du béton doit être suffisamment rapide pour qu’il soit en place avant le
début de la prise. Un délai total de 20 minutes doit être respecté par temps
moyennement chaud (25 à 30'), entre la préparation et la fin de la mise en œuvre.
Il faudra éviter les trépidations, et surtout le déversement sur une grande hauteur à
cause des risques de ségrégation. Le béton doit être versé sans heurts à son
emplacement définitif.
S’agissant du compactage du béton, le damage du béton qui consiste à le frapper
avec une surface plane placée au bout d'un manche (dame) n'est efficace que pour
de faibles épaisseurs de béton non armé (0,20 m).
Le piquage du béton qui consiste à en faciliter la mise en place en y enfonçant une
tige de place en place peut être utilisé pour des pièces relativement minces ou
légèrement armées.
La vibration du béton est un des procédés de mise en place les plus simples et les
meilleurs. Elle peut s'effectuer soit par l'intermédiaire des coffrages (vibration
externe), soit à l’aide d'aiguilles vibrantes (vibration interne).
Les précautions suivantes seront prises en cours de vibration du béton :
Il faudra s'assurer que le retrait du pervibrateur ne laisse pas de trous et s’il s'en
produit, accroître légèrement la teneur en eau. Il vaut mieux, en effet, réaliser un
béton un peu moins résistant que prévu qu'un béton caverneux.
Il ne faudra pas vibrer le béton trop longuement à cause des risques de ségrégation.
La présence d'un excès de laitance en surface (plus de 2mm environ) peut signifier
que la vibration a trop duré.
L'aiguille devra être enfoncée et retirée suivant son axe. Elle ne devra pas être
déplacée horizontalement. La distance entre deux positions successives
d’enfoncement de l'aiguille sera de l’ordre de 30 centimètres.
Il ne faut pas trop approcher aiguille des coffrages (pas à moins de 10 à 15 cm si
possible).
L'exécution du béton ne se limite pas à l’achèvement de la mise en œuvre. Des soins
attentifs doivent encore être donnés pendant la période de prise (environ 15 jours). Il
s'agit alors essentiellement d'empêcher que l’eau ne s’évapore au lieu de se
combiner avec le ciment.
On peut soit enduire la surface avec un produit de cure, soit veiller
à ce qu'elle soit maintenue en permanence en atmosphère humide.
L’emploi des produits de cure a l'avantage de permettre une protection immédiate
du béton dès sa finition. Mais il présente un certain risque de mauvaise exécution qui
peut obliger, au moins en climat très sec, à le compléter par une cure à l'eau. Il
convient de noter que les produits de cure industriels sont surtout utilisés pour les
ouvrages importants.
S’il arrive que les résistances minimales demandées ne soient pas atteintes, ces essais
seront réputés à la charge du Cocontractant et le Maître d’œuvre décidera des
mesures à prendre concernant l’ouvrage incriminé.
La composition du béton B.150, pour le béton de propreté, sera telle que le volume
de granulats moyens et gros soit le double de celui du sable.
21.4-COFFRAGES ET ETAIEMENTS
Les coffrages constituent le moule dans lequel le béton va prendre la forme qu'on
désire lui donner.
Ils doivent donc satisfaire aux conditions suivantes :
- Ne pas se déformer ni se déplacer lors de la mise en œuvre et de la prise du béton.
- Donner un aspect satisfaisant au parement du béton.
Le respect de la première condition est obtenu en agissant d'une part sur la rigidité
du coffrage et d'autre part sur l'étaiement
La plus grande attention doit donc être portée à la rigidité des coffrages, et il y a lieu
pour cela de tenir compte des forces que leur applique le béton.
L’aspect des parements dépend du matériau dont est constitué le coffrage. Il y a des
coffrages en bois et des coffrages métalliques.
Coffrage en bois
Suivant la qualité de la surface que l'on désire obtenir, la surface du coffrage en
contact avec le béton sera plus ou moins soignée. Dans le cas général où l'on désire
laisser la surface brute de décoffrage, les planches devront être rabotées
soigneusement ou recouvertes de contreplaqué.
Le coffrage devra être réalisé en se préoccupant du réemploi ultérieur des bois
utilisés. Il faudra donc, dans la mesure du possible, utiliser des planches de
dimensions régulières et ne façonner que les éléments d'extrémité.
En outre, les assemblages devront être réalisés de préférence par brides, par coins,
par broches et agrafes, ou par boulons et, s'il faut utiliser des clous, ceux-ci ne
doivent pas être enfoncés complètement afin de pouvoir être arrachés facilement.
Les parois verticales peuvent être décoffrées au bout de 4 à 6 jours.
Les étaiements
Les étais sont des appuis provisoires destinés à supporter les coffrages jusqu'à la prise
du béton. Ce sont en général des madriers ou des bois ronds dont les dimensions
doivent être suffisantes pour qu’ils puissent supporter le poids du coffrage et du
béton qui le remplit.
Les étais doivent reposer sur des semelles pour assurer une bonne répartition de la
charge sur le sol. Règle générale, il convient de limiter la charge transmise au sol à 1
kg par centimètre carré.
Le plus grand soin doit être apporté à la rigidité des semelles. Dans le cas de semelles
en bois, il est bon de superposer deux planches en croisant les fibres pour éviter la
rupture par fente du bois.
Le réglage exact de la position des étais en hauteur se fait à l’aide des coins.
Les semelles, les coins, et d’une façon générale toutes les pièces d'appui des étais
doivent être en bois dur. L’utilisation de bois résineux est déconseillée car leur
résistance à la compression transversale est très faible.
On peut également utiliser des étais métalliques. Ceux-ci sont constitués par des
tubes coulissant l'un dans l'autre et équipés chacun à une extrémité par une plaque
de répartition.
Le tube supérieur comporte une série de trous axiaux espacés de 10 cm où il est
possible de passer une broche pour le bloquer à la longueur désirée. Des manchons
vissés assurant la liaison entre, les tubes et les plaques de répartition permettent de
parfaire l'ajustage.
Si les dimensions des plaques de répartition sont insuffisantes, on peut les faire
reposer sur des plaques en bois plus grandes.
Pour le calcul des charges à supporter par les étais, il faut considérer que le béton
pèse 2 500 kg par mètre cube
21.5 - SOINS AVANT BETONNAGE
a) Propreté
Les coffrages ne devront pas être tachés par des produits hydrocarbonés, tels que
graisse, cambouis, etc... Ni par la rouille. Les taches seront soigneusement enlevées si
besoin en est.
b) Nettoyage
Immédiatement avant mise en œuvre du béton, les coffrages seront nettoyés avec
soin de façon à les débarrasser des poussières et débris de toutes natures.
La finition du nettoyage sera assurée à l'air comprimé.
c) Humidification
Les coffrages en bois courant seront abondamment arrosés avant mise en œuvre du
béton.
L'arrosage sera conduit au besoin en plusieurs phases échelonnées de manière à
obtenir une humidification des bois aussi complète que possible, qui aura pour but de
resserrer les joints par gonflement du bois.
Les surfaces humides ne devront cependant pas être ruisselantes. L'eau en excès sera
évacuée à l'air comprimé.
d) Enduction d'huile
Seront huilés avant mise en œuvre du béton :
- tous les coffrages métalliques
- les coffrages soignés composés de panneaux en contre-plaqués ou en fibres de
bois agglomérés et tous les coffrages pour parements fins.
- L'huile en excès au fond des moules sera épongée avant bétonnage. Les huiles
employées seront des huiles spéciales dites de démoulage.
e) Avant le début de l'opération de bétonnage, les inspections, en fonction de leur
classe, doivent également concerner :
la géométrie des coffrages ;
la stabilité des coffrages et étaiements et de leur assise ;
l'étanchéité des coffrages et de leurs éléments ;
le traitement des faces des joints de construction ;
l'élimination de l'eau en fond de coffrage sauf dans le cas où un procédé
spécial de bétonnage sous l'eau ou d'évacuation de l'eau sans mélange avec la
pâte est mis en œuvre ;
les ouvertures et réservations.
INSPECTION DES ARMATURES DE BETON ARME
(1) Avant le début de l'opération de bétonnage, les inspections, en fonction de leur
classe, doivent confirmer que :
les armatures et leur espacement spécifié sont conformes aux plans ;
l'enrobage respecte les spécifications ;
les armatures ne sont pas souillées par de l'huile, de la graisse, de la peinture
ou autre substance nuisible ;
les armatures sont convenablement assemblées et fixées de façon à éviter
tout déplacement pendant le bétonnage ;
l'espacement entre les barres d'armature est suffisant pour permettre la mise
en place et le compactage du béton.
(1) Après, Les joints de reprise doivent être vérifiés afin d'assurer que les barres en
attente sont en position correcte.
- Le mortier desséché ou qui commence à faire prise ne sera pas utilisé pour la
fabrication des agglomérés.
Les agglomérés ne seront utilisés qu’après quinze (15) jours au minimum après la
fabrication. Dans le cas contraire, le maître d’œuvre aura le droit de démolir
l’ouvrage et le faire reconstruire aux frais de l’entrepreneur.
Ils devront présenter les faces sensiblement planes dont les tolérances maximum
seront de plus ou moins 2 mm sur les petites faces et de plus ou moins 4 mm sur les
grandes faces.
Les faces seront plus ou moins rugueuses pour assurer l'adhérence des enduits.
Dimensions utilisées : 0,20 x 0,40 , en épaisseur 0,10, 0,15 et 0,20 m.
Pendant la période de séchage fixée à quinze jours au minimum, les agglos seront
protégées des effets du soleil par abri provisoire et arrosés deux fois par jour dans la
1ère semaine et une fois par jour dans la 2ème semaine.
Des briques de production locale ou pierres pourront être utilisées en lieu et place
des agglomérés en béton pour l'exécution des maçonneries à la condition expresse
qu'elles soient agréées par le maitre d’œuvre et que leurs caractéristiques
mécaniques correspondent à la NFP 13.301 et 13.304. La résistance mécanique des
parpaings (blocs creux) devra répondre à une contrainte de rupture au moins égale à
60 bars (contrainte de rupture rapportée à la section brute minimale du bloc).
Les agglomérés seront posés en quinconce de manière à éviter la superposition de 2
joints verticaux. Par ailleurs, les joints de mortier horizontaux et verticaux ne devront
pas avoir plus 2 cm d’épaisseur.
Toutes les maçonneries seront hourdées au mortier de ciment dosé à 250 kg
de ciment. Les poteaux et raidisseurs en béton armé seront coulés après montage
des maçonneries de façon à assurer un harpage efficace. Les joints devront être
parfaitement bourrés. L’entrepreneur doit, selon les règles d’art et les conditions
climatiques, arroser la maçonnerie pendant au moins deux semaines.
Les murs porteurs seront en agglomérés de ciment creux 15 x 20 x 40 suivant les
indications des plans. Ces agglomérés devront offrir une résistance à l’écrasement
suffisante.
N.B : les murs de séparation de pièces contiguës seront identiques aux murs des
pignons.
Le mur de soubassement sera monté en agglomérés bourrés de 20cm d’épaisseur.
ARTICLE 25 – CLAUSTRAS
Les claustras seront confectionnés avec un mortier de ciment dosé à 400 kg / m 3.
Le moule utilisé est de forme carrée 40 cm x 40 cm, les trous d’aération sont
également carrés 13,5 cm x 13,5 cm. Toutefois cet ouvrage aura une pente de 45°
pour empêcher l’introduction des eaux de pluies dans la salle de classe en ce qui
concerne la façade arrière. L’épaisseur de la forme en + des cloisons de séparation de
ces trous est de 4 cm
Il ne sera admis dans ce domaine aucune improvisation sur le chantier. Les supports
importants seront préparés en atelier. Ceux qui seront exécutés sur le chantier
devront l'être d'après des plans approuvés par le Maître d'Œuvre. Les supports
réalisés par l'Entrepreneur recevront obligatoirement, avant pose, deux couches de
peinture antirouille.
31.1 FERMES
Les fermes seront exécutées avec du bois traités de 3 x 15 suivant les indications des
plans.
L’entrait et l’arbalétrier seront doublés.
Ces fermes seront solidement ancrées dans la maçonnerie à l’aide des fers d’attente
des poteaux ;
Les fermes de grande portée comme le cas du hangar seront contreventés pour
assurer une parfaite stabilité de la charpente. Le contreventement se fera dans le
sens longitudinal du bâtiment.
31.2 PANNES :
Elles seront en bois dur traités au xylamon, de section 8 x 8 suivant les indications des
plans.
Sur les pignons et les murs de séparation, elles seront fixées avec des pattes de
scellement en fer plat de 3 x 30 x 200
31.3 COUVERTURE :
La couverture sera réalisée en tôles aluminium d’épaisseur 6/10ème. La longueur
sera appréciée par l’entreprise en fonction du plan d’exécution de la toiture qu’elle
aura produit.
Cette couverture sera fixée sur les pannes par des tires fonds de 8 x 80 avec
accessoires. Un débord de toiture de 15 cm maximum est effectué.
- Le faîtage sera relevé et couvert avec des tôles faîtières de 50 cm de 6/10è;
- Les pignons recevront des rives de tôles bac en aluminium.
- Les trous des ondulations au droit du mur seront rembourrés de cotons (ou
d’éponges).
Le sens de montage des tôles sera fonction de la prédominance des vents. Cette
notion est très importante lorsque ce sont les pignons qui sont exposé. Lorsque le
vent souffle sur les façades, il sera préférable d’utiliser des tôles d’une seule
longueur. En outre il faudra exécuter un calfeutrement bitumineux (type AFRIC
MOUSSE) entre la tôle faitière et la partie haute de la dernière tôle.
Les gouttières seront métalliques et les descentes d’eau en PVC.
ARTICLE 33 - ASSEMBLAGES
Les assemblages seront de différents types selon la nature des ouvrages :
boulonnage, tirefonnage ou pointage
Le gobetis ou fouettage
L’épaisseur du gobetis variera de 3 à 5mm. Il sera destiné à rendre le support rugueux
pour un meilleur accrochage de l’enduit. Le fouettage s’opèrera avec un mortier
riche et liquide contenant de gros grains (500kg/m³). C’est au cours de cette
opération que le maçon bouchera tous les joints et creux laissés dans la maçonnerie.
La mise en place des règles de guidage
Des règles de guidage ou bandeaux verticaux devront être exécutés au préalable afin
d’obtenir des enduits parfaitement verticaux et plans. Ces bandeaux d’épaisseur
1.5cm seront réalisés avec du mortier et espacés de 2m environ. On en disposera à
chaque extrémité du mur et si nécessaire avec quelques bandeaux intermédiaires.
Le dégrossi
Cette opération s’effectuera après séchage du gobetis et des bandeaux. Le dégrossi
consistera à charger le mur jusqu’à l’épaisseur des bandeaux avec un mortier dosé à
400kg/m³). Avec une règle en bois, le maçon aplanira la surface du mur en enlevant
toutes les parties qui débordent. Après ce travail, les bandeaux seront cassées et
remplacés avec le mortier du dégrossi.
La phase de finition
Elle sera exécutée avant le séchage du dégrossi. On emploiera un mortier de
granulométrie plus fine pour les parois destinés à être peints(300kg/m³). Il suffira
d’utiliser une taloche et de combler tous les petits trous et rayures laissés après le
dégrossi
Chaque couche d'enduit ne sera appliquée qu'après séchage complet de la
précédente. Le support d'enduit devra être mouillé avant l'exécution et avant chaque
application d'une couche précédente.
ARTICLE 36. - CHAPES RAPPORTEES
36.1 - ETAT DU SUPPORT
Après nettoyage, la surface doit être rendue rugueuse par des moyens manuels ou
mécaniques.
Après ce traitement, la surface doit être à nouveau nettoyée soigneusement
notamment pour enlever la poussière dégagée par le traitement. Elle doit être
ensuite humidifiée ou traitée avec des produits d'accrochage.
36.2 - CONSTITUTION
- Le dosage du mortier est de 350 kg de ciment par mètre cube de mortier pour
chape sous grés ;
- Le dosage du mortier est de 350 kg de ciment par mètre cube de mortier pour
les salles d'eau ;
- Le dosage du mortier est de 350 kg de ciment par mètre cube de mortier pour
chape lissée ou bouchardée ;
- Le dosage du mortier est de 350 kg de ciment par mètre cube de mortier pour
chape avec un produit durcisseur.
36..3 - EPAISSEUR
L'épaisseur est de 2,5 cm à 4 cm suivant les cas.
36.4 - EXECUTION
Le mortier est étalé sur la surface du support, damé puis réglé et taloché. Une légère
pente d’au moins 0,5% devra être imposée vers les portes.
Finition lissage à la barbotine de ciment avec bouchardage.
La mise en œuvre de la chape n’interviendra qu’au cours des travaux de finition. La
chape sera mise en œuvre en deux couches comprenant la chape d’égalisation et la
couche de finition. Après la réalisation, la chape devra être maintenue humide
pendant trois jours pour être protégée contre le retrait. La chape ne sera chargée
qu’après sept jours.
ARTICLE 37 - APPUIS DE FENETRES
Les appuis de fenêtres seront préfabriqués ou coulés en place en béton dosé à 350 kg
de ciment/m³ d'une épaisseur moyenne de 0,06 m légèrement armés par des ronds
lisses de 8 mm. Ces dallettes une fois posées devront présenter une pente vers
l'extérieur, rejingot pièce d'appui, larmier, etc… L'étanchéité entre dormant et bâtis
doit être assurée au moyen de cordon de mastic étanche genre SIKAFLEX ou similaire
approuvé. Le dessus des appuis de fenêtres recevra une chape de 20 mm d'épaisseur.
ARTICLE 38 - POSE ET SCELLEMENT DES PRECADRES DE MENUISERIE BOIS
Avant toute mise en œuvre, l'entreprise devra vérifier que la couche d'impression
aura bien été effectuée sur les pré-cadres, toute mise en œuvre des pré-cadres non
protégés sera refusée et démonté aux frais de l'Entrepreneur. Tous les pré-cadres
seront munis des pattes à scellements, à raison d'une patte en acier doux, modèle du
commerce, vissée pour chaque 0,80 m de longueur. Dans chaque cas particulier, la
longueur des pattes à scellement variera à la demande. Les scellements seront faits
au mortier de ciment dosé à 500 kg/m3, ainsi que les garnissages.
ARTICLE 39 : ENDUITS INTERIEURS FROTASSES
Enduit intérieur sur murs avec couche de finition frottasse. Exécution des arêtes et
cueillis coupés et arrondis de raccordement. Sujétions pour embrasures.
ARTICLE 40 : ENDUIT EXTERIEUR
Enduit extérieur sur murs avec couche de finition finement talochée. Exécution arêtes
et cueillis, couplés et arrondis de raccordement.
Sujétions pour incorporation de grillage en jonction entre structure et maçonnerie.
ARTICLE 41 - SOLIVAGE :
En bois dur traité au Xylamon ou au carbonyle de section 4 x 8 mini. Les champs
seront rabotés. Les plaques des contre plaqué (ép. : 4 mm) doivent être mis en œuvre
en quinconce et en dimensions de 1.2m x 0,6 m
ARTICLE 42 - HABILLAGE :
En contre plaqués de 4 mm « Ayous » en panneaux de 60 x 120.
- Trappe de visite d’au moins 60x60.
- Trous de ventilation en tamis fait du grillage fin « anti moustique » sur des
plaque extérieures de 60 x 60 cm
- Les lattes de contour délimiteront la périphérie du faux-plafond.
RAPPEL DE REGLEMENT
Les travaux seront réalisés conformément au DTU 52-1 et 55 et à la norme AFNOR
NP.F 61.302 - 311-331 et 332 et aux recommandations des fabricants pour les
matériaux utilisés.
GENERALITES
En absence de prescriptions techniques relatives à certains produits, de fabrication
locale, les entreprises présenteront à l'appui de leur offre, les échantillons de
produits proposés. En cas de présentation de produits similaires aux produits
prescrits, les entrepreneurs auront l'obligation de :
• Spécifier le produit proposé
• accompagner leur offre d'échantillons
ARTICLE 48 -FAÏENCE
- Matériaux conforme à la norme NF.P. 61.331 et 332
- Dimensions 10 x 10 et 15 x 15
- Classement 1er choix
- Carreaux à bords arrondis
57.7- ASSEMBLAGES
Les modalités d'exécution des assemblages sont précisées à l'article 3.13 du D.T.U.
ARTICLE 58 - QUINCAILLERIE
La force, le type et le mode de fixation des différentes pièces de quincaillerie doivent
toujours être adaptés à leur emploi et leur emplacement. L'entrepreneur doit
éventuellement modifier le type de ferrage proposé et ce sans supplément de prix,
s'il le juge insuffisant ou inadapté à l'emploi pour lequel il est destiné. Toutes les
pièces de quincaillerie, chromées ou en aluminium doivent être protégées par film
pelade ou tout autre dispositif équivalent. Toutes les pièces de quincaillerie, ferrures,
ainsi que tous les accessoires en fer recevront avant pose une couche de minium de
plomb sur toutes leurs faces ou une protection par bi-chromatage selon description
des ouvrages. Les pièces mobiles des articles de quincaillerie doivent être graissées
ou huilées, s'il y a lieu avant la pose.
Une révision du bon fonctionnement des éléments mobiles doit être effectuée avant
la réception aux frais de l'entreprise. Les articles de quincaillerie qui, dans la
description des ouvrages, ne seraient pas définis de façon précise quant à la marque
de fabrication, qualité, dimensions, nature des métaux les composants seront
proposés à l'agrément du Maître d'Ouvrage. Ces articles seront de 1ère qualité et
estampillés
ARTICLE 59 - CLAUSES GENERALES RELATIVES AUX SERRURES
L'ensemble des serrures pour la menuiserie bois du bloc administratif et des
boutiques sera fourni sur présentation des factures. L’entreprise aura à sa charge la
pose et la fourniture des accessoires de pose. Elle sera responsable de toute perte ou
dégradation qui seraient produites sur ces serrures ou clés jusqu'à la réception des
ouvrages de menuiseries par la Mission de contrôle.
ARTICLE 60 - DOSSIER PLANS
Pour tous les ouvrages, l'entrepreneur doit établir, en conformité avec les pièces du
marché, les dessins d'ensemble et de détails nécessaires à l'exécution des ouvrages et
à leur pose. Les dessins doivent repréciser les emplacements et dimensions des
menuiseries, les axes et les dimensions des trous de scellements, les dimensions des
feuillures à réserver pour les bâtis.
L'Entreprise fournira au Maître d’œuvre ou son Représentant, ou, le cas échéant, au
maître d’œuvre délégué les plans d'exécution pour avis. Avant tout commencement
de fabrication ou d'exécution, l'entrepreneur devra soumettre ses épures à
l'approbation du Maître d'Ouvrage qui pourra apporter toute modification sans
donner lieu à un supplément aux prix de base.
ARTICLE 61 - GARANTIE
L'entrepreneur de menuiserie assurera durant la période de garantie jusqu'à la
réception définitive, l'entretien de ses ouvrages et devra chaque fois qu'il y sera
requis, donner les jeux et réglages qui seraient jugés nécessaires. Au cas où pendant
la période de garantie, des défectuosités apparaîtraient et notamment le
gauchissement des portes etc... L’entrepreneur devra remédier à ses frais aux
inconvénients signalés. Seront également à la charge de l'entrepreneur, tous les
travaux nécessités par la révision, l'entretien, la remise en état ou le remplacement
des menuiseries défectueuses.
ARTICLE 62 - PRESCRIPTIONS COMMUNES CONCERNANT LES PORTES
Les portes devront répondre aux prescriptions des Normes Françaises et être
attributaires du Label de qualité du centre Technique du bois (C.T.B.) ou équivalent.
Les portes comporteront toutes entailles et renforts nécessaires pour serrures,
paumelles, verrous, etc.. Les portes seront soigneusement ajustées pour qu'il y ait un
jeu régulier d'environ 5 mm avec le sol. Les calfeutrements rapportés sous la rive
inférieure ne seront pas acceptés. Pour les portes qui ne permettent pas d'ajustage
de finition, il sera fourni des calibres rigides et indéformables permettant d'araser
correctement l'huisserie et le sol.
62.1 – PORTES EN BOIS
Les cadres comporteront :
- rainure à briques et clous à bateau
- écharpe d'équerrage en contreplaqué
- traverse d'écartement en pied
- protection des arêtes
- dépose de ces éléments au moment de la pose des cadres
62.2 - LES PANNEAUX SERONT :
- en bois rouge de 1ère qualité destiné à être peint.
62.3 - PAUMELLES
Chaque vantail de porte sera équipé de 3 paumelles de :
- 110 mm pour les portes jusqu'à 0,60 m de largeur
- 140 mm cas général
Ces paumelles seront électriques en acier bleu à bague laiton, lames à bouts carrés,
livrées avec antirouille.
62.4 - SERRURES
- Toutes les portes intérieures seront équipées de serrures à larder à bec de cane et à
peine dormant, en acier inoxydable mat et deux poignées avec plaques de
propreté.
- Toutes les portes des sanitaires seront équipées de serrures à larder à bec de cane
et à condamnation, en acier inoxydable mat et deux poignées avec plaques de
propreté
- Toutes les portes extérieures seront équipées de serrures de sureté avec cylindre en
double action.
62.5 - PORTE PLACARDS :
- 1 bouton fixe par vantail
- Verrou automatique de placard, haut et bas
- Loqueteaux magnétiques
- Serrures de placard en applique avec rosaces.
62.6 - COMBINAISON DES SERRURES
L'organisation des clefs, et passes sera arrêtée en commun accord avec la Mission de
contrôle avant commande des serrures.
62.7 - PRESCRIPTIONS CONCERNANT LA POSE
Les articles de quincaillerie seront mis en place avec le plus grand soin, les entailles
nécessaires à leur pose auront la profondeur voulue pour ne pas altérer la force des
bois ; elles auront les dimensions précises de la ferrure en largeur et en longueur et
elles seront exécutées de telle sorte que les pièces affleurent exactement les bois.
Les vis seront toujours de force en rapport avec l'importance des objets qu'elles
devront fixer et seront de finition en rapport avec l'ouvrage fixé (laiton poli, chromé,
alu oxydé, etc...).
Les éléments métalliques tels qu'aiguilles, pattes à scellements, etc. seront protégés
contre la corrosion par une couche de peinture antirouille au minium ou à la poudre
de zinc. Les accessoires de quincaillerie tels qu'entrées de clés, rosettes, etc... seront
déposés et reposés si nécessaire pour permettre la peinture.
65.5 - ETANCHEITE
L'attention de l'entrepreneur est attirée sur l'étanchéité des ouvrages qui doit être
quasi totale : étanchéité à l'air et à l'eau. L'entrepreneur prévoit tous les accessoires
pour assurer une parfaite étanchéité, il est le seul responsable de l'étanchéité de ses
ouvrages et leur raccordement avec le gros œuvre. Pour les châssis un colmatage en
produit bitumineux genre SIKAFLEX ou produit similaire agréé sera réalisé entre le
bâti dormant et l'appui de fenêtre, de même la pose de vitrage des châssis sera
réalisée par un mastic aléo résineux appliqué en double bain avec fixation des pare
closes.
65.6 - QUINCAILLERIE
L'Entrepreneur est tenu de soumettre des échantillons à l'agrément de la Mission de
contrôle. Ces échantillons une fois approuvés seront fixés sur un panneau qui restera
déposé dans le bureau de chantier pendant toute la durée des travaux pour servir de
base de référence. Les vis de fixation seront toujours de force en rapport avec
l'importance des objets qu'elles devront fixer et seront de finition en rapport avec
l'ouvrage fixé. Les éléments accessoires - paumelles - pattes à scellement - platines,
etc... seront toujours protégés par protection anti-rouille comme indiqué ci-dessus.
Toutes les portes seront équipées de serrure en applique à bec de cane et à
condamnation, et de deux poignées chromées.
GENERALITES
Cette partie a pour objet l’ensemble des travaux d’électricité courants forts, courants
faibles nécessaires à l’exécution des ouvrages.
L’Entrepreneur aura à sa charge l’exécution de tous ces travaux, tels qu’ils figurent
sur les plans.
Les normes d’installation électriques à respecter sont les suivantes:
NFC 15 – 100 (décembre 2002) : Installations électriques à basse tension et les
guides pratiques
NFC 14 – 100 ‘Installations de branchement de 1er catégorie’ comprises ente le réseau
de distribution publique et l’origine des installations intérieures.
NFC 13 – 100 Poste de livraison HTA/BT raccordés à un réseau de distribution de 2 e
catégorie
ARTICLE 66 - CONSISTANCE DES TRAVAUX D’ELECTRICITE
Les travaux comprennent conformément aux plans et schémas, et selon les normes,
l’ensemble de la fourniture et la pose de :
Tous les appareillages électriques, interrupteurs, prises de courant, boutons
poussoirs...
Toutes les canalisations électriques principales et secondaires, gaines-chemin
de câble, fils et câbles y compris le branchement au réseau existant
Tout le matériel d’éclairage, luminaires et hublots.
Les armoires et coffrets de répartition et boîtes de raccordement.
Tout le matériel pour téléphone et les courants faibles.
Tout le matériel de climatisation
ARTICLE 66 – CANALISATIONS PRINCIPALES
Les canalisations principales seront en câble U 1000 RO2V, avec en bout une attente
de 1,5 mètre linéaire de câble dans une boite encastrée en attente équipée de bornes
calibrées.
ARTICLE 68 - CANALISATIONS SECONDAIRES
Les canalisations terminales (ou secondaires) seront en câble ou fils TH, passés sous
gaines ICD grises dans les faux plafonds, et sous gaines ICD orange noyées dans les
murs.
Pour ces canalisations, les sections minimales sont:
1,5 mm2 pour la lumière
2,5 mm2 pour les prises de courant.
4 mm2 pour les prises de courant dit force
6 mm2 pour les appareils dont la puissance absorbée est supérieure ou égale à 7kw.
ARTICLE 69 - QUALITE DU MATERIEL POUR L’ELECTRICITE
Tous les appareillages électriques seront de type tropicalisé. Les interrupteurs seront
du type “ normalisé ” calibré à 10 A. Ils seront étanches IP 44-7 dans les locaux
techniques et les locaux humides. Les prises de courant seront du type “ normalisé ”
calibré 10 - 16 A ou 20 - 32 A avec deux pôles plus terre (2 P+ T). Elles seront étanches
avec couvercle dans les locaux techniques et humides, et classées IP 44-7. Tous ces
appareils seront encastrés dans une boîte d’encastrement en plastique avec fixation à
vis, et seront munis de plaquettes enjoliveurs qui devront recouvrir largement les
boîtes encastrées. Les boîtes de dérivation seront de préférence encastrées avec les
entrées défonçables et couvercles vissables. A l’intérieur de ces boîtes, les
conducteurs seront obligatoirement raccordés par blocs de jonction.
ARTICLE 70 - REGIME DU NEUTRE
Le régime du neutre choisi est le régime neutre à la terre (T.T.) :
Le neutre est relié directement à la terre
Les masses d’utilisation sont interconnectées et reliées en un point à la terre
Les masses d’utilisation sont mises à la terre par conducteur PE distinct du
conducteur neutre.
ARTICLE 71- MISE A LA TERRE
La résistance de prise de terre de l’installation doit être inférieure ou égale à 4 ohms.
Les masses métalliques des bâtiments neufs (blocs sanitaires) sont reliées à la terre
par brasure ou soudure CADWELL au niveau des poteaux (1 poteau sur 2 ou 3 ). Les
masses des appareils et machines sont directement mises à la terre par
l’intermédiaire de conducteurs de protection ‘’ PE ‘’ distribués parallèlement aux
conducteurs phase ‘’L’’ et neutre ‘’N’’.
Sont mis à la terre :
- Les armoires et coffrets électriques ( y compris leurs portes)
- Les appareils et machines ainsi que les attentes électriques.
- Les charpentes métalliques et toutes masses métalliques susceptibles d’être
mises sous tension selon les normes C 15-100.
L’entrepreneur doit également assurer les liaisons équipotentielles au niveau des
salles d’eau.
Les câbles des alimentations principales comportent le conducteur de protection
vert-jaune.
73.2 - CABLES
Pour ces canalisations terminales, les sections minimales des câbles seront :
73.2.1 Fil TDH - HO7 1 x 1,5mm2 :
Liaisons sous gaine encastrée entre foyers lumineux et points de
commande ;
ARTICLE 78 - ECLAIRAGE
GENERALITES
Toutes les références s’entendent “ identique ou équivalent ”. L’éclairage des locaux
est assuré par point lumineux sur commande locale interrupteur simple allumage ou
interrupteur va et vient ou double allumage.
78.2 LUMINAIRES
Luminaire fluo 1x36 W
Réglette 1 x 36, IP 20, MAZDA RB ECO 136 IC
ARTICLE 79 APPAREILLAGE
GÉNÉRALITÉS
Tout l’appareillage sera à fixation a vis, les boites d’encastrement doivent être
choisies en conséquence. La marque LEGRAND est proposée, et sauf indications
contraires, dans la série MOSAÏC, avec des boîtes d’encastrement superbox de
profondeur 38 mm, réf. 89125 et cadre profondeur 40mm, réf. 89 320 et suivant.
D’autres solutions équivalentes pourront être proposées par l’Entrepreneur.
ARTICLE 80 - INTERRUPTEURS
L’axe des interrupteurs sera placé à 1,10m du sol et à 0,15m du cadre des portes, du
côté opposé à l’ouverture des portes. Chaque interrupteur sera posé de sorte que
l’allumage soit obtenu par la position basse du mécanisme.
80.1 - INTERRUPTEUR SIMPLE ALLUMAGE
Interrupteur simple allumage marque LEGRAND série NEPTUNE réf. 80500
80.2 - INTERRUPTEUR VA-ET-VIENT
Interrupteur va-et-vient marque LEGRAND série NEPTUNE réf. 74011
GENERALITES
L’Entrepreneur aura la charge de la réalisation des travaux de plomberie et
d’équipement sanitaire.
Les travaux comprennent :
- L’installation du réseau d’alimentation en eau potable à l’intérieur du bloc
administratif, à partir des vannes d’arrêt installées à l’entrée du site.
- L’installation du réseau d’évacuation des eaux usées et eaux vannes des toilettes
jusqu’à la fosse ventilée placée au coin extrême gauche du site.
- La fourniture, la pose et le raccordement des appareils sanitaires - robinetterie et
accessoires du bloc administratif.
83.1 LAVABOS
- Lavabo porcelaine vitrifiée modèle PORSAN, ou similaire, complet avec
robinet
- Dimensions approximatives : 650 x 540 mm
- Couleur blanche
- Vidage chrome
- Fixation sur console sans cache siphon
83.2 DOUCHES
83.2.1 RECEVEUR DE DOUCHE MAÇONNÉ (OPTION)
- Ensemble avec receveur de douche maçonné incorporé au dallage
83.2.2 EQUIPEMENT DE DOUCHE
- Mise en place siphon de sol et colonne de douche
87.1 - REFECTION
Les réfections doivent être effectuées de manière à éviter toute trace de reprise.
87.2 - NETTOYAGES DE MISE EN SERVICE
Ces nettoyages intéressent toutes les parties apparentes :
* Sols, chapes
* quincaillerie (boutons de porte, béquilles etc.)
* vitres et glaces
Sont compris dans les nettoyages, les balayages et l'évacuation des déchets résultants
des nettoyages eux-mêmes. Les nettoyages doivent faire disparaître les taches de
peinture ou de produit utilisés, etc. Les produits employés (solvants, décapants etc.)
les procédés mis en œuvre (grattage, ponçage) doivent être appropriés afin de ne pas
provoquer l'altération des matières elles mêmes ou de leur état de surface (poli
brillant etc.).
ARTICLE 88 - FOSSES SEPTIQUES
Généralités
Chaque fosse septique comprendra 2 compartiments A et B occupant respectivement
2/3 et 1/3 du volume théorique total. Le volume théorique total est fonction du
nombre d’usager, du taux d’accumulation des boues (estimé en fonction de chaque
région), et de la périodicité de vidange qui est fixée à 5 ans. La revanche de la fosse
sera au minimum de 30 cm. La hauteur de liquide dans le compartiment A devra être
supérieure ou égale à 1m.
Le filtre bactérien aérobie sera logé dans un compartiment qui peut être contigu aux
2 compartiments de la fosse proprement dite. Le compartiment du filtre bactérien
aura une longueur telle que le volume du filtre soit supérieur à 1,60 m3 au moins. Le
filtre aérien accueillera également les eaux usées après leur passage dans un bac
séparateur. L’effluent est réparti dans le filtre du haut vers le bas aussi
uniformément que possible grâce à une grille de répartition sur laquelle repose un
tuyau PVC recoupé et perforé qui reçoit l’effluent en provenance du compartiment B.
Une autre grille supporte le massif filtrant. Celui ci aura une granulométrie variant de
45 à 80 mm et une hauteur minimum de 80 cm. Le filtre et les grilles devront être
lavés au jet d’eau tous les 6 mois. Un regard assurant simultanément les fonctions de
contrôle et de prise d’air pour la ventilation du filtre bactérien et de l’ensemble de
l’ouvrage sera construit en aval du compartiment du filtre bactérien.
En aval de ce regard l’effluent sera rejeté dans un puisard ou puits filtrant. Ce regard
sera fermé par une grille métallique ajourée munie d’une grille anti-insecte de
maillage égale ou inférieur à 1.2 mm x 1.2 mm en acier inoxydable. La ventilation
haute de la fosse septique sera implantée dans le compartiment A et prolongée par
un tuyau PVC de diamètre 120 mm terminé en partie haute par un T muni sur ses 2
orifices d’une grille anti-insecte de maillage égale ou inférieur à 1.2 mm x 1.2 mm.
L’extrémité en T devra être au moins à la hauteur du chaînage haut de la construction
voisine.
Les circulations de l’effluent et de l’air entre les différents compartiments décrits ci-
dessus sont assurées par plusieurs tuyaux en PVC dont les caractéristiques (diamètres
et positions) devront impérativement être conformes à ceux indiqués sur les plans
d’exécution. En particulier, le tuyau d’amenée des eaux vannes aura sa génératrice
inférieure positionnée entre 7,5 et 10 cm au dessus du niveau d’eau nominal qui sur
le plan hydraulique correspond au niveau du passage du compartiment A vers le
compartiment B. Son extrémité aval sera calée à 40 cm environ de ce niveau nominal,
et un trou de décompression permettant l’échappement de l’air chassé par les chutes
d’eau sera ménagé au niveau du coude.
Les tuyaux assurant le passage de l’effluent entre les compartiments A et B et entre B
et le compartiment du filtre seront disposés à la même altitude (génératrice
supérieure au niveau nominal) et auront tous deux leur extrémité amont environ 30
cm plus bas.
La liaison entre le compartiment filtre et le regard aval sera disposé en partie basse et
permettra à la fois le passage de l’effluent vers l’aval et la remontée de l’air de
ventilation vers l’amont.
Des orifices de circulation d’air seront ménagés en partie haute entre le
compartiment du filtre, le compartiment B et le compartiment A. Le radier et la
couverture des ouvrages seront en béton armé de 12 cm minimum d’épaisseur,
béton dosé 350 kg/m3.
Les parois seront en maçonnerie d’agglomérés de ciment pleins de 20 cm
minimum d’épaisseur, compris chaînages verticaux et horizontaux en B.A., enduits au
mortier de ciment hydrofuge et toutes sujétions pour l’étanchéité de l’ensemble.
Dimensions exactes de la structure selon calculs et plans (afin de tenir
compte d’éventuelles carences dans l ‘entretien, les dimensions obtenues par calcul
ont été majorées d’environ 20%).
Les parois en contact avec la terre recevront deux couches croisées de
bitume fluidifié courant, type FLINTCOAT.
Tous les compartiments sont munis de tampons et de regard de visite
hermétiques établis au niveau du sol, judicieusement disposés et conçus pour
permettre le dégorgement des chutes et des tuyaux de communication, le nettoyage
des dispositifs de répartition et de filtration, les opérations d’entretien et l’exécution
des vidanges.
Le prix global s’applique à l’ensemble du dispositif décrit ci-dessus, y compris
toutes sujétions de terrassement, blindage de fouille, remblais ou autres. Dimensions
selon classe de la fosse septique et plane.
n’excédera pas 180 cm, sans pour autant descendre au-dessous de 120 cm. La surface
latérale du puits filtrant doit être étanche depuis la surface du sol jusqu’à 50 cm au
moins en dessous du tuyau d’amené d’eau.
Les parois verticales sur cette hauteur seront soit en béton armé, soit en maçonnerie
d’agglos pleins de 15cm, à condition que les dispositions puissent être prises pour en
assurer l’étanchéité (enduit ciment hydrofuge et deux couches croisées de bitume
fluidifié courant, type FLINTCOAT sur les parois en contact avec la terre).
Remblaiement de l’espace entre la paroi et la terre par un matériau peu perméable
du type sol argileux. La surface de contact dans la zone perméable de la partie
inférieure doit être au moins égale à 1 m² par usager. La profondeur et le diamètre
final du puits seront donc fonction de la perméabilité des couches de terrain
rencontré lors de l’exécution de la fouille.
Le puits filtrant sera garni jusqu’au niveau du tuyau d’amenée des eaux de matériaux
calibrés d’une granulométrie 40/80 ou approchant. Le tuyau d’amené des eaux
débordera d’environ 20 cm à l’intérieur du puits afin d’éviter le ruissellement le long
des parois. Le puits sera recouvert d’une dalle en béton armé dosé à 350 kg/m3
d’épaisseur minimum de 12 cm munie d’un tampon hermétique d’au moins 60 cm x
60 cm permettant les visites d’entretien.
Le prix global s’applique à l’ensemble du dispositif décrit ci-dessus, y compris toutes
sujétions de terrassement, blindage de fouille, remblais ou autres. Dimensions selon
le nombre d’usager, qui est estimé à partir du nombre de personnes hospitalisés dans
les différents standings, du nombre de personnels permanent et du nombre de
visiteurs ou malades externes, tous nombres affectés de coefficient correctifs en
fonction de l’incidence des différents groupes sur les installations.
Les puits perdus destinés à recevoir les eaux pluviales seront construits à
l’identique, mais sans qu’il soit nécessaire d’assurer l’imperméabilité de la
maçonnerie des parois verticales en tête de puits. Ils auront un diamètre de 180 cm.
Ils seront prévus creusés soit jusqu’à 8 mètres de profondeur maximum, soit jusqu’à
la rencontre d’un horizon rocheux infranchissable en terrassement manuel, soit
jusqu’à 2 mètres au dessus d’une nappe d’eau. En cas d’absence d’indication
préalable sur le niveau de la nappe d’eau et si le terrassement venait à rencontrer
cette nappe, il serait procédé au remblaiement du puits en matériaux imperméables
argileux compactés sur une hauteur minimum de 2 m.
Le chef chantier :
Il doit être titulaire d’un diplôme de Technicien Supérieur (Bac+2)
ou d’un Baccalauréat technique. Il assistera le conducteur des
travaux dans le suivi et la réalisation du chantier. En outre, il
rassemblera toutes les informations nécessaires à sa gestion. Il
animera enfin les équipes de travail dont il aura la responsabilité.
VII- MATERIEL ESSENTIEL DU CHANTIER
Le matériel suivant sera utilisé pendant la période de réalisation des travaux :
- Un camion benne ;
- Un pick-up ;
- Une dame sauteuse ;
- Du petit matériel de maçonnerie ;
- Du petit matériel de menuiserie ;
- Du petit matériel de plomberie ;
- Du petit matériel d’électricité.
VIII- ETUDE ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE
DU MICRO PROJET
1. ETAT DES LIEUX DU SITE DU MICRO PROJET
Le site des travaux de construction du Foyer-Auberge communal
d’Edzendouan est localisé sur le point GPS X = 117433°E, Y = 4.1964°N, Z =
589m. Il est caractérisé par un sol latéritique. Le site n’a pas de zone à
écologie fragile, ou de terres souillées à réhabiliter connue . Une végétation de
savane arbustive envahit pour le moment le site.
PHOTOGRAPHIE DU SITE DE CONSTRUCTION DU FOYER-AUBERGE COMMUNAL D’EDZENDOUAN
2. DETERMINATION DES IMPACTS SOCIO-ENVIRONNEMENTAUX
MESURES
N° ACTIVITES IMPACTS POTENTIELS
ENVISAGEES
-Se rassurer que l’acte de
donation de cet espace
AVANT LES -Risques de conflits sur les est effectif ;
1
TRAVAUX propriétés traditionnelles. -Immatriculer le site du
projet.
- 50 m de la route ;
- 100m d’un lac ou cours d’eau ;
- 100m des habitations ;
Le site devra être choisi afin de limiter le débroussaillement, l’arrachage d’arbustes,
l’abattage des arbres. Les arbres de qualité seront à préserver et à protéger.
Le site devra être choisi en dehors des zones sensibles notamment les zones
marécageuses, les zones humides, zones sacrées, les flancs de collines. Enfin, le site
devrait prévoir un drainage adéquat des eaux sur l’ensemble de sa superficie
Des réceptacles pour recevoir les déchets devront être installés à proximité
des diverses installations. Ces réceptacles seront vider périodiquement et les déchets
à déposer dans un bac pour récupération par la Mairie ou dans un dépotoir (fosse).
Cette fosse devra être située à au moins 100m des installations et en cas de présence
de cours d’eau ou de plan d’eau à au moins 150m de ces derniers. A la fin des travaux
la fosse sera comblée avec de la terre jusqu’au niveau du sol naturel.
Pendant les travaux, la signalisation mobile et fixe sera mise en place en vue
d’assurer la sécurité du personnel et des riverains. Elle veillera également à la
limitation des vitesses des différents véhicules et engins (moins de 40 Km/h). De
même, elle devra veiller à ce que toutes les déviations temporaires sont identifiées
en collaboration avec les riverains, et n’affectent pas les zones sensibles.
Il convient enfin de préciser que le site sur lequel se dérouleront les travaux
appartient à la Mairie d’Edzendouan. Des dispositions seront prises pour éviter toute
forme de dédommagement. Il n’y aura ni expropriation, ni atteinte à un quelconque
patrimoine, ni impact négatif environnemental important.
4. PLAN SIMPLIFIE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE
ACTEUR DE
IMPACT MESURE OBJECTIF DE LA INDICATEUR DE INDICATEUR DE ACTEUR DE
MISE EN CALENDRIER COUT
CONCERNE D’ATTENUATION MESURE SUIVI PERFORMANCE SUIVI
ŒUVRE
DECHETS
GENERES
-Placer des poubelles - Environnement -Service hygiène
PENDANT -Assainir le milieu -Gérant du foyer. Quotidien -Poubelles pleines
autour du bâtiment. assaini municipal
L’EXPLOITATION
DU FOYER.
-Empêcher aux usagers
-Excréments déposés -Déchets
DECHETS -Prévoir des latrines de déposer les
-Agent municipal Quotidien uniquement dans les domestiques -Concierge
DOMESTIQUES publiques. excréments en dehors
latrines. invisibles
des latrines.
-Concierge ;
STAGNATION -Prévoir un réseau
-Permettre aux eaux de -Fossés rectangulaires - Inexistence des -Service
DES EAUX DE d’assainissement des -Chef chantier Quotidien
ruisseler. construits eaux stagnantes d’hygiène
RUISSELLEMENT eaux.
municipal.
Le comité de gestion aura pour principale mission d’éclairer le maire dans ses
prises de décisions pour le bon fonctionnement de l’ouvrage, en particulier :
- D’améliorer les conditions de travail du personnel chargé de la
maintenance de l’ouvrage ;
- De mettre en œuvre un plan de formation conséquent de ce personnel ;
- De veiller à l’exécution des décisions du comité ;
- D’élaborer un programme d’entretien des infrastructures ;
- De sensibiliser et dynamiser les bénéficiaires des projets, en vue de les
inciter à participer à l’entretien des infrastructures ;
- De faire le point de l’état des infrastructures à intervalles de temps
raisonnables et réguliers ;
- D’organiser des collectes pour l’entretien des ouvrages ;
- De présenter un rapport annuel.
4. CONSULTANT INDIVIDUEL
5. L’ENTREPRENEUR
Il réalise les travaux.
XII- DEVIS ESTIMATIF DU MICRO PROJET ET
RECAPITULATION
1. DEVIS QUANTITATIF ET ESTIMATIF
Les frais destinés au Conseil Municipal Elargi aux Sectoriel (COMES) sont
de 1%, soit trois cent quinze mille soixante dix huit (315 078) francs CFA.
Quant aux frais bancaires, leur montant total s’élève à cinquante mille
(50 000) francs CFA.
1 Installation de chantier
2 Implantation du bâtiment
10 Charpente
21 Chape lisse
22 Peinture sur murs intérieurs et plafond
23 Peinture sur murs extérieurs
26 Repli du chantier
TABLEAU DU PLANNING PREVISIONNEL DES TRAVAUX DE REALISATION DE LA CONSTRUCTION DU FOYER-AUBERGE COMUNAL D’EDZENDOUAN
XV- ANNEXES
Page
117
REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON
------------ ---------
Paix – Travail – Patrie Peace – Work – Fatherland
----------- ----------
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE LA MINISTRY OF THE ECONOMY, PLANNING
PLANIFICATIONET DE L’AMENAGEMENT DU AND REGIONAL DEVELOPMENT
TERRITOIRE ----------
------------- SECRETARY GENERAL
SECRETARIAT GENERAL ----------
------------ NATIONAL COMMUNITY DRIVEN
PROGRAMME NATIONAL DE DEVELOPPEMENT DEVELOPMENT PROGRAM
PARTICIPATIF ______
------------
FORMULAIRE SOCIO ENVIRONNEMENTAL DES MICROPROJETS
A. INFORMATIONS DE BASE
3. Y’a-t-il un acte attestant la propriété, la location, la cession gratuite ou l’achat ? Oui X Non
Si oui, nature de l’acte : __________________________________
1. Le site est-il sur une zone sensible (marécage, zone de forte pente, flanc de colline, zone sacrée, aire
protégée, etc.) ? Oui Non X
Si oui, mesures à envisager : (Zone à éviter/Chercher un autre site) __________________________________
2. Le microprojet est-il susceptible d’entraîner le déplacement involontaire physique des
individus/familles?
Oui Non X
Si oui, combien de familles ?_________ combien d’individus ?___________
Pour quel motif ? __________________________________________________________________________
Si oui, se référer et se conformer au préalable aux dispositions du PDIR pour préparer un Plan d’Action et de
réinstallation abrégé qui sur la base du recensement des personnes affectées et des biens perdus, fixe le niveau
de compensation négociée et convenue avec les personnes touchées_______________
Si non, aller à la question suivante
3. Le microprojet va-t-il entraîner le déplacement involontaire des personnes, de façon temporaire ou
permanente des terres du domaine national pour son développement? Oui Non
X
Si oui, se référer et se conformer au préalable aux dispositions du PDIR (idem que
précédemment) :_____________________________
Si non, aller à question suivante
4. Le microprojet va-t-il causer la perte involontaire temporaire ou permanente de cultures, arbres
fruitiers ou des biens/ infrastructures domestiques (telles que des greniers, toilettes extérieures ou
cuisines, etc.) ?
Oui Non X
Si oui, se référer et se conformer au préalable aux dispositions du PDIR (idem que
précédemment) :_____________________________
________________________________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
6. Le microprojet risque t’il d’entraîner la dégradation ou la pollution des sols dans la zone pendant ou
après la construction? Oui Non
X
Si oui, mesures à envisager : _________________________________________________________________
________________________________________________________________________________________
7. Le micro projet risque t’il d’entraîner la dégradation ou la pollution des eaux de surface ou eaux
souterraines pendant ou après les travaux? Oui Non
X
Si oui, mesures à envisager : _________________________________________________________________
8. Le microprojet risque t’il d’entraîner la dégradation ou la perte de végétation dans la zone ?
Oui x Non
Si oui, mesures à envisager : Reboiser les alentours de l’infrastructure à la fin des travaux.
9. Le microprojet risque t’il d’entraîner la pollution de l’air dans la zone pendant ou après les travaux ?
Oui Non
x
Si oui, mesures à envisager :
Le microprojet risque t’il de générer des nuisances sonores, olfactives pendant ou après les travaux ?
Oui Non x
Si oui, mesures à envisager :
Le microprojet empêchera-t-il l’utilisation ou l’accès facile à certaines ressources naturelles ou
économiques dans la zone? Oui Non
X
Si oui, lesquelles_________________________________________________________________________
Mesures à envisager : _____________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
10. Le projet entraînera- t-il des risques pour la santé ou la sécurité humaine du personnel de chantier
ou des populations riveraines pendant et/ou après la construction ? Oui X Non
Si oui, lesquelles ? Accidents de travail pour les employés du chantier.
Mesures à envisager : Mise à la disposition du personnel le matériel de travail approprié, balisage de la zone
des travaux.
11. Le microprojet entrainera t-il des changements dans le mouvement des personnes et/ou des
animaux de la zone ? Oui Non X
Si oui, lesquelle__________________________________________________________________________
Mesures à envisager : _____________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
12. Le projet requiert-il de gros volumes de matériaux de construction ? Oui Non X
Si oui, quels matériaux ? (et en quelles quantités ?): _____________________________________________
______________________________________________________________________________________
_
Quelle est la provenance des matériaux ? _____________________________________________________
Mesures à envisager : _____________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
13. Le microprojet pourra-t-il altérer un quelconque site d'héritage culturel, historique, archéologique
ou requérir des excavations à côté de tels sites? Oui Non
X
Si oui, mesures à envisager : _______________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
Le projet va-t-il affecter ou perturber les habitats naturels, les aires protégées, les ressources en eau,
les zones sacrées ou le milieu de vie des populations riveraines ? Oui Non X
Si oui, mesures à envisager : _______________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
14. Le microprojet engendrera-t-il la production ou l’augmentation de la production de déchets solides /
liquides ou gazeux pouvant affecter le milieu physique pendant et/ou après les opérations ? (ex. eaux
usées, déchets médicaux, déchets domestiques et déchets de construction, déblai des travaux) :
Oui X Non
Si oui, mesures à envisager :
Pendant : Identifier les repreneurs de déchets et les leurs remettre et éviter de déposer les déchets dans les
cours d’eau.
Après les opérations : Prévision des bacs de récupération des déchets et prévoir des latrines modernes.
15. Si le microprojet nécessite la mise en place d’un dispsositf de traitement de déchets comme latrine,
décharge, incinérateur, comment en sera assurée la maintenance ? elle sera confiée à une société
spécialisée.
D. CONSIDERATIONS FINALES
1. Pour toutes les réponses « oui », vérifier qu’une section séparée synthétisant les impacts et les mesures
d’atténuation d’ordre social ou environnemental à mettre en œuvre obligatoirement dans le cadre du présent
microprojet a été fournie et budgétisée dans le document du microprojet (requête de financement). En
revanche, les détails des impacts et mesures à envisager peuvent être ajoutés au verso du présent formulaire.
2. Une fois, le formulaire d’examen socio-environnemental rempli, le bénéficiaire, avec l’appui du prestataire
(OAL, consultant) et éventuellement le cadre chargé des aspects socio-environnementaux de la Région
concernée devra déterminer la catégorie environnementale du microprojet, laquelle doit être approuvée par le
représentant local du MINEP
RECOMMANDATIONS:
(b) Catégorie B 1: Des mesures simples d’atténuation sont suffisantes et doivent être intégrées
dans la conception et le budget du microprojet (l’annexe 2 du CGES fournit une check-list des
mesures envisageables pour chaque type de microprojet).
(c) Catégorie B2 : Une étude d’impact sommaire sur l’environnement est requise pour la mise
en œuvre de ce microprojet (Le contenu des termes de référence à adapter est fourni en
Annexe 8)
_______________________________________________________________________________
DATE:……….. LIEU :………….
SIGNATURE DU REPRESENTANT ATTITRE
DU VOLET ENVIRONNEMENTAL
2. SOUS DETAILS DES PRIX
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
activité
100 0,5 1 FF 2
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 chef d'équipe 5 000 2 10 000
02 ouvriers spécialisés 7 000 2 14 000
02 manœuvres 1500 2 6 000
TOTAL A 30 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Autres 200000 1 200 000
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
activité
201 1 1 FF 1
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 chef d'équipe 5 000 1 5 000
02 ouvriers spécialisés 7 000 1 7 000
02 manœuvres 1500 1 3 000
TOTAL A 15 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 1 10 000
Autres 46120 1 46 120
TOTAL B 56 120
Prix unitaire Consommatio
TYPE Montant
Achat n
lattes 1800 30 54 000
pointes de 80 4 500 1 4 500
TOTAL C 58 500
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 129 620
E Frais Généraux de Chantier 10,00% Dx% 12 962
F Frais Généraux de Siège 10,00% D X% 12 962
G COUT DE REVIENT D +E+F 155 543
H Risques + Bénéfices 15,00% Gx% 23 332
SOUS - DETAIL DES PRIX
Désignation: Fouilles en rigoles et en puits
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
202 21,5 68,3 m3 4
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 chef d'équipe 5 000 4 20 000
04 manœuvres 6 000 4 96 000
TOTAL A 116 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 4 40 000
Autres 10000 1 10 000
TOTAL B 50 000
TYPE Prix unitaire Consommatio Montant
Achat n
TOTAL C
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 166 000
E Frais Généraux de Chantier 7,00% Dx% 11 620
F Frais Généraux de Siège 7,00% D X% 11 620
G COUT DE REVIENT D +E+F 189 240
H Risques + Bénéfices 7,59% Gx% 14 362
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
203 0,4 1,55 m2 1
CATEGORIE Salaire jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 1 5 000
2 ouvriers spécialisés 7 000 1 7 000
2 manœuvres 3 000 1 3 000
TOTAL A 15 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 1 10 000
TOTAL B 10 000
Prix unitaire Consommatio
TYPE Montant
Achat n
sable 8 000 2,2 17 600
Gravier 15/25 15 000 1,6 24 622
ciment 6 500 5 32 500
Eau 25 300 7 500
TOTAL C 82 222
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 107 222
E Frais Généraux de Chantier 5,00% Dx% 5 361
F Frais Généraux de Siège 5,00% D X% 5 361
G COUT DE REVIENT D +E+F 117 945
H Risques + Bénéfices 5,00% Gx% 5 897
SOUS - DETAIL DES PRIX
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
205 19 95,2 m2 5
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 5 25 000
3 ouvriers spécialisés 10 500 5 52 500
3 manœuvres 4500 5 22 500
TOTAL A 100 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 6 60 000
TOTAL B 60 000
TYPE Prix unitaire Consommatio Montant
Achat n
Agglos de 20x20x40 350 1238 433 300
Sable 8 000 4 32 000
Ciment 6 500 20 130 000
Gravier 16 000 2 32 000
Eau 25 700 17 500
TOTAL C 644 800
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 804 800
E Frais Généraux de Chantier 7,00% Dx% 56 336
F Frais Généraux de Siège 7,00% D X% 56 336
G COUT DE REVIENT D +E+F 917 472
H Risques + Bénéfices 5,17% Gx% 47 475
SOUS - DETAIL DES PRIX
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
206 3,05 6,1 m3 2
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 chef d'équipe 5 000 2 10 000
3 Ouvriers spécialisés 10 500 2 21 000
3 manœuvres 4 500 2 9 000
TOTAL A 40 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Bétonnière 50000 2 100 000
Vibreur 20000 2 40 000
Autres 10000 2 20 000
TOTAL B 160 000
Prix unitaire Consommatio
TYPE Montant
Achat n
Gravier 5/15 16 000 6,41 102 560
sable gros grain 8 000 3,7 29 600
ciment 6 500 43 279 500
Fer TOR de 8 2 700 49 133 168
Fer de 6 1 500 18 27 000
Fil d'attache 1 500 5 7 500
planche 2 500 20 50 000
pointes de 80 4500 3 13 500
TOTAL C 642 828
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 842 828
E Frais Généraux de Chantier 5,00% Dx% 42 141
F Frais Généraux de Siège 5,00% D X% 42 141
G COUT DE REVIENT D +E+F 927 110
H Risques + Bénéfices 2,00% Gx% 18 542
P PRIX DE VENTE TOTAL HORS TAXE G+H 945 653
SOUS - DETAIL DES PRIX
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
207 40,95 81,9 m3 2
CATEGORIE Salaire jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 2 10 000
2 Ouvriers spécialisés 3 500 2 14 000
4 Manœuvres 1500 2 12 000
TOTAL A 36 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 2 20 000
dame sauteuse 20000 2 40 000
Autres 24833 2 99 331
TOTAL B 159 331
Prix unitaire Consommatio
TYPE Montant
Achat n
TOTAL C
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 195 331
E Frais Généraux de Chantier 7,00% Dx% 13 673
F Frais Généraux de Siège 9,00% D X% 17 580
G COUT DE REVIENT D +E+F 226 584
H Risques + Bénéfices 7,75% Gx% 17 560
SOUS - DETAIL DES PRIX
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
208 3,63 21,8 m2 6
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 6 30 000
3 ouvriers spécialisés 10 500 6 63 000
4 manœuvres 6 000 6 36 000
TOTAL A 129 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 6 60 000
Autres 20000 6 120 000
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
301 32,6 391,2 m2 12
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 12 60 000
4 ouvriers spécialisés 14 000 12 168 000
4 manœuvres 6 000 12 72 000
TOTAL A 300 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 12 120 000
Autres 100000 1 100 000
TOTAL B 220 000
Prix unitaire Consommatio
TYPE Montant
Achat n
Agglos de 15x20x40 300 5085 1 525 500
Ciment 6 500 60 390 000
Sable fin 6 000 20 120 000
Eau 25 2 000 50 000
Autres 50 000 1 50 000
TOTAL C 2 135 500
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 2 655 500
E Frais Généraux de Chantier 8,00% Dx% 212 440
F Frais Généraux de Siège 10,00% D X% 265 550
3 133
G COUT DE REVIENT D +E+F
490
H Risques + Bénéfices 11,66% Gx% 365 403
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
401 0,9 12,04 m3 14
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 14 70 000
2 ouvriers spécialisés 7 000 14 98 000
3 manœuvres 4500 14 63 000
TOTAL A 231 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10 000 14 140 000
Autres 100000 1 100 000
TOTAL B 240 000
Prix unitaire
TYPE Consommation Montant
Achat
Bastaings 2 500 120 300 000
Lattes pour pannes 1 800 194 348 770
Pointes de 90 4 500 8 36 000
Xylamon 1 000 80 80 000
Autres 200 000 1 200 000
TOTAL C 964 770
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 1 435 770
Frais Généraux de
E 10,00% Dx% 143 577
Chantier
Frais Généraux de
F 15,00% D X% 215 366
Siège
G COUT DE REVIENT D +E+F 1 794 713
H Risques + Bénéfices 20,00% Gx% 358 943
P PRIX DE VENTE TOTAL HORS TAXE G+H 2 153 655
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
402 69,7 69,7 ml 1
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 1 5 000
1 ouvrier spécialisé 3 500 1 3 500
2 manœuvres 3 000 1 3 000
TOTAL A 11 500
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10000 1 10 000
TOTAL B 10 000
Prix unitaire
TYPE Consommation Montant
Achat
Planches de rive 7 500 14 105 000
Pointes de 80 4 500 2 9 000
Xylamon 1 000 10 10 000
TOTAL C 124 000
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 145 500
Frais Généraux de
E 5,00% Dx% 7 275
Chantier
Frais Généraux de
F 5,00% D X% 7 275
Siège
G COUT DE REVIENT D +E+F 160 050
H Risques + Bénéfices 3,86% Gx% 6 185
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
403 191,5 383 m2 2
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 2 10 000
2 ouvriers spécialisés 3 500 2 14 000
1 manœuvre 1 500 2 3 000
TOTAL A 27 000
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 5000 2 10 000
TOTAL B 10 000
TYPE Prix unitaire Montant
Consommation
Achat
Tôles bac alu 6/10è 27000 89 2 403 000
Accessoires 174125 1 174 125
TOTAL C 2 577 125
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 2 614 125
Frais Généraux de
E 7,00% Dx% 182 989
Chantier
Frais Généraux de
F 10,00% D X% 261 413
Siège
G COUT DE REVIENT D +E+F 3 058 526
H Risques + Bénéfices 12,00% Gx% 367 023
TOTAL B 70 000
TYPE Prix unitaire Consommation Montant
Achat
contre plaqué 6 000 95 570 000
Lattes 1 800 250 450 000
Pointes de 80 4 500 10 45 000
Pointes de 10 4 500 10 45 000
Xylamon 1 000 80 80 000
Echafaudage 65 000 1 65 000
TOTAL C 1 255 000
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 1 479 000
Frais Généraux de
E 8,00% Dx% 118 320
Chantier
Frais Généraux de
F 9,00% D X% 133 110
Siège
G COUT DE REVIENT D +E+F 1 730 430
H Risques + Bénéfices 9,13% Gx% 157 911
PRIX DE VENTE TOTAL HORS TAXE
P G+H 1 888 341
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
502 6,4 19,3 m2 3
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef chantier 5 000 3 15 000
1 ouvrier spécialisé 3 500 3 10 500
2 manœuvres 3 000 3 9 000
TOTAL A 34 500
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 10 000 6 60 000
TOTAL B 60 000
TYPE Prix unitaire Consommation Montant
Achat
Eléments métalliques 47 909 1 47 909
Autres 1 800 1 1 800
TOTAL C 49 709
D TOTAL COUTS DIRECTS A+B+C 144 209
Frais Généraux de
E 8,00% Dx% 11 537
Chantier
Frais Généraux de
F 9,00% D X% 12 979
Siège
G COUT DE REVIENT D +E+F 168 725
H Risques + Bénéfices 9,13% Gx% 15 397
Durée
N° Prix Rendement journalier Quantité totale Unité
d'activité
503 4 4 u 1
Salaire
CATEGORIE jours facturés Montant
journalier
1 Chef d'équipe 5 000 1 5 000
1 ouvrier spécialisé 3 500 1 3 500
2 manœuvres 1 500 1 3 000
-
TOTAL A 11 500
TYPE Taux journalier jours facturés Montant
Petit matériel 5000 1 5 000
TOTAL B 5 000
TYPE Prix unitaire Consommation Montant
Achat
Portes 120000 4 480 000
Autres 40000 1 40 000
TABLEAU RECAPITULATIF DES SOUS-DETAILS DES PRIX DES TRAVAUX DE CONSTRUCTION DU FOYER-AUBERGE COMMUNAL D’EDZENDOUAN