Chapitre Un
Chapitre Un
Chapitre Un
Dédicace 8
Remerciement 9
Résumé 10
abstrat 11
Introduction générale 12
I Dossier technique 14
1 Étude bibliographique 15
1.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
1.2 Projectile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
1.2.1 Présentation du projectile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
1.2.2 Choix et caractéristique du projectile . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
1.3 Classification des impacts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
1.4 Impacte du projectile sur une structure en béton . . . . . . . . . . . . . . . 19
1.5 Modèles de calcul en dynamique rapide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
1.5.1 Méthode des éléments discrets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
1.5.2 Méthode des éléments finis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
1.6 Modèles de comportement des structures sous Impact . . . . . . . . . . . . 22
1.6.1 Modèle d’endommagement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
1.6.2 Modèles de plasticité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
1.6.3 Modèles couplés élasto-endommageable-plastique . . . . . . . . . . 27
1.7 Force du projectile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
1.8 Calcul de la résistance des structures (Béton)aux impacts de projectiles . 31
1.8.1 Généralité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
1.8.2 Corrélations Empiriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
1.8.3 Formule génériques (Béton/Acier) pour impact localisé . . . . . . . 32
1.8.3.1 Impact à vitesse supersonique . . . . . . . . . . . . . . . . 32
2
TABLE DES MATIÈRES
2 Simulation Numérique 35
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
2.2 Mise en œuvre des simulations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
2.2.1 Présentation de l’outil de simulation . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
2.2.2 Principaux paramètre de calcul d’impact . . . . . . . . . . . . . . . 36
2.2.2.1 généralité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
2.2.2.2 Caractéristique du projectile . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
2.2.2.3 Caractéristiques de l’objet impacté (paroi) . . . . . . . . . 37
2.2.2.4 Définition des paramètres pour la loi [8] . . . . . . . . . . 38
2.2.2.4.1 Détermination de la déformation équivalente ε̄ . . 38
2.2.2.4.2 Paramètre d’évolution de l’endommagement en
traction et en compression . . . . . . . . . . . . . 38
2.3 Analyse des résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
2.3.1 Les effets du projectile sur la paroi . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
2.3.1.1 MAILLAGE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
2.3.1.2 Chargement appliqué . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
2.3.1.3 Fissures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
2.3.2 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
II DOSSIER PÉDAGOGIQUE 42
3 Rapport du stage pédagogique 43
3.1 INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
3.2 Présentation de l’école d’accueil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
3.2.1 Historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
3.2.2 Situation géographique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
3.2.3 Organisation administrative (organigramme) . . . . . . . . . . . . . 44
3.2.3.1 L’organe suprême de gestion scolaire . . . . . . . . . . . . 44
3.2.3.2 Association des parents d’élèves . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.3.3 La direction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.3.4 Le conseil des maitres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.4 Organisation Pédagogique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.4.1 Groupe pédagogique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.4.2 Pédagogie et Didactique appliquées . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.4.3 Les filières de formation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3.2.4.4 Les emplois du temps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.2.4.5 Les effectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.2.4.6 Le fonctionnement des classes . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.3 Activités menées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.3.1 Activités pédagogiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.3.2 Activités parascolaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
3.4 Difficultés rencontrées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
3.4.1 Matérielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
3.4.2 Pédagogiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
3.4.3 Socioculturelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
Conclusion générale 55
5
Table des figures
2.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
2.2 Zone de localisation des déformations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
2.3 Mazars : Comportement en traction-compression. . . . . . . . . . . . . . . 39
2.4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
2.5 chargement surfacique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
2.6 Propagation des fissures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
2.7 Amplitude du déplacement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
6
Liste des symboles
g acceleration
hjj oppou
7
Dédicace
A mes chers parents qui m’ont guidé durant les moments les plus difficiles de ce long
chemin. Vos prières et vos bénédictions m’ont été un grand secours pour mener à bien
mes études. Aucun mot, aucune dédicace ne saurait être assez éloquente pour exprimer
ce que vous méritez pour tous les sacrifices que vous n’avez cessé de me donner depuis
ma naissance, durant mon enfance et même à l’âge adulte. Je vous dédie ce travail en
témoignage de mon profond amour.
8
Remerciement
Tout d’abord gloire au bon Dieu qui m’a donné la force et le courage d’accomplir ce
modeste travail.
Je tiens à remercier DR. Mamadou Toungara professeur de génie civil à l’école nor-
mal d’enseignement technique et professionnel (l’ENETP) et directeur de ce mémoire,
pour l’aide qu’il a fournie et les connaissances qu’il a su me transmettre. Je le remercie
également pour sa disponibilité et la qualité de ses conseils.
Je souhaite également remercier les membres du jury pour leur présence, pour leur
lecture attentive de mon mémoire ainsi que pour les remarques qu’ils m’adresseront lors
de cette soutenance afin d’améliore mon travail.
Mes sincères remerciements à tous mes camarades de classe de l’ENETP, pour leur
soutien inconditionnel et leurs encouragements qui ont été d’une grande aide.
Enfin, je remercie profondément tous mes parents, pour leur soutien constant et leurs
encouragements.
9
Résumé
Le travail présenté dans ce mémoire est constitué d’un dossier technique et d’un dos-
sier pédagogique.
Le dossier technique vise à mieux comprendre le comportement dynamique de structures
en béton armé lors d’un impact de projectile. Pour ce faire, une simulation numérique, par
élément finis, a été réalisé sur une paroi en béton armé avec deux couches d’acier sous l’im-
pact d’un projectile à une force de 42150Kn. Les résultats obtenus ont permis de prédire
le comportement dynamique de la structure à étudier. la simulation est modéliser par la
loi de comportement de mazars. De ce fait une analyse des résultats est effectué pour nous
montrer les dommages causés par le projectile sur la paroi impacté,des déformations et
l’apparition des fissures dans la zone d’impact.
Le dossier pédagogique est constitué d’un rapport de stage pédagogique avec une leçon
modèle. Le stage a été effectué au Centre de Formation en administration et aux métiers
(CFAM) au titre de l’année scolaire 2018-2019.La leçon modèle a porté sur l’assainisse-
ment, dispensée dans une classe de 3ème Année Dessin Bâtiment dans le même établissement.
L’objectif de ce stage était de lier la théorie à la pratique.
10
abstrat
The work presented in this thesis consists of a technical file and a pedagogical file.
The technical file aims to better understand the dynamic behavior of reinforced concrete
structures during a projectile impact. To do this, a numerical simulation, by finite element,
was carried out on a reinforced concrete wall with two layers of steel under the impact of
a projectile at a force of 42150Kn. The results obtained allowed to predict the dynamic
behavior of the structure to be studied. The simulation is modeled by the mazars behavior
law. Thus an analysis of the results is made to show us the damage caused by the projectile
on the impacted wall, deformations and the appearance of cracks in the impact zone. The
pedagogical file is constituted by a pedagogical internship report with a model lesson.
The training course was carried out in the Center of Training in Administration and in
the trades (CFAM) for the school year 2018-2019.
The model lesson was on sanitation, taught in a class of 3rd Year Design Building in the
same institution.
The objective of this course was to link theory to practice.
11
Introduction générale
12
TABLE DES FIGURES
béton dont nous nous apprêtions à étudier une structure à l’impact d’un projectile.
L’objectif de cette étude est de faire une simulation numérique sur une structure porteuse
d’un site industriel suite à une collision de projectile pour voir comment les fissures vont
se propager.
Le plan suivant est proposé pour ce manuscrit :
Dossier technique
14
Chapitre 1
Étude bibliographique
1.1 Introduction
Les structures en béton armé sont les ouvrages les plus fréquents pour la construction
d’ouvrages en Génie Civil. Cependant la connaissance de ses comportements en dyna-
mique rapide reste restreinte. Le béton est un matériau issue d’un milieu hétérogène, son
comportement est complexe à analyser. Plusieurs auteurs ont proposé des lois de compor-
tement avec un degré de complexité plus ou moins élevé pour prédire son comportement
en dynamique rapide.
L’objectif de ce chapitre est de présenter principalement les travaux de recherche sur le
comportement des structures sous l’impact et les modèles numériques capables de repro-
duire ces phénomènes.
1.2 Projectile
1.2.1 Présentation du projectile
Bien avant l’invention des armes à feu, les romains savaient produire des balles de
plomb percées de deux trous (qui sifflait en effrayant l’ennemi). Mais à partir de la fin
du XIXe siècle et pendant le début du XXe siècle, d’énormes progrès ont été faits sur le
matériel d’artillerie aussi bien en ce qui concerne les projectiles, la portée, la précision ou la
rapidité des tirs. Un projectile est un engin explosif conçu pour détruire ou endommager les
structures ou bien pour blesser, tuer ou limiter d’une autre manière les activités humaines.
Il peut provenir d’une arme de jet ou d’une arme à feu, ou bien être lancé à main nue
comme une pierre, un pavé, un marteau ou une lance.
Il existe plusieurs types de projectile à savoir :
- Lance-roquette
- Missile
- Bombe
- Grenade
- Cartouche
- Obus
- Balistique
- Cas accidentel (percutions de voiture, Avion)
- Fragments après l’explosion
15
CHAPITRE 1. ÉTUDE BIBLIOGRAPHIQUE
contre les chocs. Ce problème peut être réduit à une collision de deux masses m1 et m2.
Un ressort de contact avec une rigidité k1 est placé entre les deux masses pour simu-
ler la force contact. Un autre ressort avec une raideur k2 représente la relation entre la
déformation et la force résistante de la structure.
Figure 1.1 – Modèle mécanique simple d’un impact à travers un système de masse-
ressort(Eibl,1987) (CEB,1988)
Selon cet exemple de calcul, les équations différentielles représentant les mouvements
des 2 masses-ressorts sont écrites de manière suivante :
F (t) = k1 x1 (1.2)
n’est pas un élément clé pour bien distinguer les types d’impacts.
Pour pallier cet inconvénient,( Kœchlin et Potapov, 2009) ont proposé une autre définition
pour distinguer impact mou et impact dur,prenant en compte à la fois les caractéristiques
du matériau et la vitesse du projectile, valable dans le cas où le projectile s’écrase. Selon
cette méthode, elle peut être utilisée pour classifier le type d’impact entre deux corps.
L’idée est de comparer le seuil de rupture de la cible σc avec celui du projectile σp et
de vérifier si la cible va résister à l’impact. Si la cible résiste et le projectile s’écrase, on
considère que c’est un choc mou, et si le projectile pénètre la cible, c’est un choc dur. Lors
de l’impact, la cible est soumise à une contrainte qui a deux composantes, l’une venant
du matériau, l’autre de la vitesse du projectile :
σ = σp + ρp ν02 (1.4)
σc = σp + ρp ν02 (1.5)
C’est-à-dire :
σp ρp ν02
+ =1 (1.6)
σc σc
Selon le critère défini par la formule [1-6], si le terme gauche est inférieur à 1, le cas
est qualifié d’impact mou, et d’impact dur s’il est supérieur à 1.
Les méthodes discrètes, non fondées sur l’hypothèse d’un champ de déplacement
continu sont de plus en plus utilisées pour les problèmes de dynamique rapide.
utilisées pour traiter des milieux continus, l’apparition des discontinuités (fissure) dans
ces milieux est aisée à mettre en œuvre car il suffit de supprimer l’interaction entre les
points concernés. A l’échelle macroscopique, une structure peut être supposée homogène
et continue, mais son comportement à la rupture résulte de phénomènes discontinus (
[Figure 1-5]). Dans de tels cas, les méthodes discrètes sont plus adéquates que les ap-
proches continues classiques pour modéliser et reproduire les phénomènes. Les approches
aux éléments discrets ont initialement été introduites par (Cundall et Strack, 1979), pour
les matériaux granulaires. Les développements qui ont suivi ont eu pour but d’adapter ce
type de méthodes aux matériaux cohésifs et en particulier les géomatériaux (D’addetta,et
al.,2001). Ces méthodes sont difficiles à mettre en œuvre pour traiter des structures de
grandes tailles. En effet, pour prédire finement le comportement local, ces méthodes
doivent utiliser beaucoup d’éléments discrets ce qui conduit, à l’échelle de l’ouvrage, à
un nombre très important d’éléments et à des temps importants de calculs.
∂(ρψ )
σij = = (1 − D)Eijkl kl (1.8)
∂ij
∂(ρψ ) 1
Y =− = ij Eijkl kl (1.9)
∂D 2
Où ij sont les contraintes associées aux déformations ij, et Y le taux de restitution de
l’énergie associé à l’endommagement D. Le taux de dissipation d’énergie φ̇ doit satisfaire
le second principe de la thermodynamique (inégalité de Clausius Duhem) :
f = − k(D) (1.11)
p
Avec ε̄ = Σε1 (εj )2 la déformation équivalente calculée à partir des déformations prin-
cipales positives εi (< εi >= εi siεi > 0, sinon < εi >= 0siεi 0).
K(D) est la valeur maximale atteinte au cours de l’histoire de chargement, égale initiale-
ment à D0 le seuil d’endommagement (obtenu à la fin de la phase élastique du matériau).
Une fois que ce seuil initial est atteint, l’endommagement est activé, selon le modèle,
l’endommagement est développé seulement en présence de déformations positives dues
aux mécanismes de traction. Comme le comportement du béton est dissymétrique entre
la traction et la compression, les lois d’évolution sont également définies séparément mais
sous une même forme :
εD0 (1 − Ai ) Ai
Dj ε̄ = 1 − − Bi (1.12)
ε̄ e (ε − εD0 )
D = αtβ Dt + (1 − αt )β Dc (1.13)
du modèle de Mazars est qu’utiliser une seule variable scalaire D pour décrire l’état d’en-
dommagement du béton, même si cette variable comporte une part due à la traction et
une autre part due à la compression. Le caractère unilatéral de la structure (béton) se
traduit notamment par une restauration de la raideur due à la refermeture des fissures
lors du passage de l’état de traction à l’état de compression, selon le trajet de charge-
ment cela nécessite d’augmenter le nombre de variables où de mieux prendre en compte les
différents états possibles. En 1990 par Merabet cet aspect est bien modélisé dans le modèle
incrémenta proposé, ou le modèle d’endommagement de( Frémond et Nedjar, 1995).
Pour enrichir le modèle de Mazars, deux variables représentant des endommagements en
compression Dc ,comp et des endommagements en traction Dt ,tend sont utilisées (Mazars,
et al., 1990) et ( La Borderie, 1991).
Au départ de même potentiel d’énergie libre, mais le modèle d’endommagement proposé
par (Cervera et al., 1996) utilise un critère en contraintes pour définir l’évolution des
variables d’endommagement.
L’équation constitutive du modèle est exprimée en fonction de la contrainte effective σ̄
(sans endommagement) :
σ̄ = D0 : ε
Où D0 est un tenseur élastique linéaire d’ordre 4, ε est un tenseur des déformations. Dans
ce modèle, deux parties de compression et traction sont dissociées à l’aide des équations :
(Pour la partie en traction)
O
σ̄ + = <σ̄> = Σ31 <σ̄i >Pi Pi (1.14)
g + (τ̄ + , r+ ) = τ̄ + − r+ ≤ 0 (1.16)
g − (τ̄ − , r− ) = τ̄ − − r− ≤ 0 (1.17)
p
Où(τ̄ + = σ̄ + : D0−1 : σ̄ +
représente
q√la norme de la contrainte effective équivalente en traction, et
−
(τ̄ − = 3K(σ̄ −oct + τ̄oct )
représente la norme de la contrainte effective équivalente en compression.
− −
σ̄oct et τ̄oct sont respectivement des contraintes normale et de cisaillement octahédrale. K
est une propriété du matériau qui dépend du rapport entre les résistances à la compression
Partie en compression
−
−(1− r − )
r− r0
d− = 1 − 0− (1 − A− ) − AeB (1.20)
r
où C est un tenseur de rigidité élastique d’ordre 4 contenant les constantes d’élasticité du
matériau.
L’incrément de déformation plastique est obtenu par l’intermédiaire d’une fonction seuil
(ou critère) de plasticité ainsi qu’une loi d’écrouissage (isotrope, cinématique, ou mixte).Les
différents modèles de plasticité se distinguent par ces deux aspects.
Même si tous ces modèles couplés semblent disposer des ingrédients permettant de
décrire les phénomènes irréversibles sous chargements complexes, une difficulté demeure
à l’intersection des surfaces seuil, une solution pouvant ne pas être régulière (Hansen &
Willam, 2001). Ce dernier problème a été étudié par (Thabet & Haldane, 2000).
Dans le cas des chocs durs, l’Eurocode NF EN 1991-1-7 de février 2007 propose les
équations suivantes : p
F = V0 kMf (1.27)
avec
k : rigidité équivalente de l’objet
Mf : masse du projectile
V0 : vitesse de l’objet au moment du choc
Avec : r
Mf
F ∆t=Mf V0 et ∆t=
k
et
EA
k= et Mf = ρc EA
L
L étant la longueur de l’objet impactant, ρc sa masse volumique, A l’aire de la section
transversale et E le module d’élasticité. ∆t représente la durée de l’impact.
En introduisant un impacte dur localisé basé sur la force de pénétration, la demarche
adoptée consiste en la résolution de l’equation de mouvement d’un projectile rigide alors
gouvernée par la seconde loi de newton :
dV
Mf = FR (1.28)
dt
avec les conditions initales suivantes :
V = V0
X = 0 si t = 0
dxp
oùV = xp et v sont respectivement l’épaisseur de pénétration et V la vtesse du pro-
dt
jectile.
Mf :masse du projectile
FR :la force de resistance à la pénétration encore appelée force due à l’interaction projec-
tile/matériau cible durant l’impact.
Elle est généralement donnée sous la forme d’un polynome du second ordre en fonction
de la vitesse du projectile :
FR = FR (V ) = α + βV + γV 2 (1.29)
Elle peut aussi s’exprimer comme une fonction polynominale à deux variables :
x
p
FR = FR (xp ; V ) = g f (V ) (1.30)
d
Le mouvement dynamique du projectile rigide pendant le phénomène d’impact et de
pénétration peut alors être déterminé analytiquement permettant d’estimer l’épaisseur de
pénétration du projectile. Ces modèles peuvent également inclure la forme de la tête du
projectile.
Poncelet ou encore Wen ont proposé les expressions suivantes :
Dans ces formules,A représente la section du projectile, les coefficients (a, b, α, β) sont des
constantes à déterminer liées d’une part à la géométrie du projectile et, d’autre part, aux
propriétés mécaniques de la cible. Ces constantes sont, la plupart du temps, déterminées
expérimentalement.
Un des modèles analytiques force/pénétration les plus usités pour des cibles en béton est
basé sur les modèles de (Forrestal 1994) amélioré par la suite par (Li et Chen 2003) pour
des projectiles de formes diverses. Ce modèle force-pénétration est basé sur la théorie
d’expansion des cavités et décompose le phénomène de pénétration en deux temps.
Dans un premier temps, il considère une phase de pénétration de type cratère où FR
s’exprime comme :
xp πd N ∗ ρ V + Sfc
FR = C.xp pour <k avec C = c 0
d 4k (1 + πkd3 N ∗ ρ (1.33)
3Mf c
xp :profondeur de pénétration
S :facteur de pénétrabilité de la cible S = 72.0fc−0.5
d : diamètre du projectile
Mf :masse du projectile
fc :résistance à la compression du béton
N ∗ :facteur de forme de missile: 0 ≤ N ∗ ≤ 1
xp
pour <k
d
!
xp 2 1 + NI
= N ln 1 + kπ
+k
d pi 1 + 4N
xp
Pour ≥k
d
xp
Pour ≤ 0.5
d !1.395
4k
xp π
I
= 1.628 I
d 1+ N
Avec
Mf V02
1 1 Mf
I= etN = ∗
S d3 f c N ρ c d3
L’ensemble de ces formules a été validé par un large panel d’essais expérimentaux pour
des projectiles de formes diverses et différentes vitesses d’impact.
VP = 0, 3 × 10c1 (6, 1 × 104 H0 A)c2 (1, 55 × 104 Mf )c3 (sec(αi ))c4 (1.35)
5
Vr = V0 (1 − 10c (6, 1 × 104 H0 A)c6 (1, 55 × 104 Mf )c1 (sec(αi ))c8 (3, 3V0 )c9−1 ) (1.36)
L’épaisseur de juste perforation ep (en m) d’une cible en acier par un projectile en acier
massif est quant à elle donnée par TNO :
m1,063 × V01,103
ep = k(cos(αi )1,420 ) ; aveck = 1, 091 ∗ 10−7 kg −1,063 ∗ m1,897 ∗ S 1,103 (1.37)
A
V0 = vitesse d’impact (m/s)
Vr = vitesse résiduelle (m/s)
Vp = vitesse limite de perforation (m/s)
H0 = épaisseur de l’écran cible (m)
m = masse du projectile (kg)
A = surface d’impact moyenne ou surface exposée du projectile lors de l’impact (m2 ).
Lorsque la surface exposée du projectile lors de l’impact n’est pas connu, le TNO propose
de retenir pour A la valeur suivante correspondant à la surface d’un fragment standard
résultant de la fragmentation d’une bombe.
2/3
π m
A= (1.38)
4 0, 645ρacier
Avec ρacier :la masse volumique de l’acier
αi = angle de pénétration (par rapport à la normal de l’écran) (degré)
1
sec(αi ) = sécante de l’angle αi =
cos(αi )
C1 à C2 = coefficients fonction de la nature de la cible donnée.
Ces expressions sont valables pour des impacts à vitesse supersonique. Leur domaine de
validité est donné dans le tableau ci dessous ; il dépend de la nature du matériau consti-
tuant la cible, de son épaisseur, de la masse et la vitesse du projectile ainsi que de l’angle
d’impact du projectile sur la cible.
de pénétration dans l’acier allié et le béton armé pour des gammes de vitesse inférieure à
1000 m/s.
Pour des fragments de masse supérieure à 1 kg et dont le rapport longueur/diamètre est
supérieur à 1, l’épaisseur de pénétration xp (en m) est donnée par :
CM
xp = log(1 + 5.10−5 V02 ) (1.39)
A
avec M : masse du projectile (en kg)
V0 : vitesse du projectile (en m/s)
A : section apparente du projectile lors de l’impact (en m2 )
C : paramètre donné dans le tableau suivant :
[Micado 2002]relie les différents types de projectiles, satisfaisant aux conditions précédentes,à
des épaisseurs de perforation.
xp = KM n1 V0n2 (1.40)
Ces relations ont été établies dans le cadre du dimensionnement de protections d’équipements
et sont corrélées à diverses approches parmi lesquelles figure celle de Petry. Contrairement
aux équations de Thor, elles sont généralement utilisées pour des vitesses d’impact sub-
sonique. Elles sont de fait plus adaptées aux problématiques industrielles.
1.9 Conclusion
En génie civil les structures en béton armé sont les ouvrages les plus fréquents, ce-
pendant la connaissance de son comportement en dynamique rapide reste restreint. Pour
l’étude de son comportement il faut d’abord déterminer l’impact de projectile que la struc-
ture est soumise, vue la complexité des effets d’un tel impact, de ce type de sollicitation
amène à considérer deux cas limites, impact mou et impact dur. Koechlin et Potapov ont
donné une formule pour déterminer l’impact
σp ρp ν02
+ =1
σc σc
Selon leur critère si le terme gauche est inférieure à 1, le cas est qualifier d’impact mou et
impact dur s’il est supérieure à 1. Une fois le type d’impact est déterminé les modes de
rupture correspondant de la structure peuvent être prédits pour le dimensionnement de
la structure. Il existe plusieurs modèles de calculs en dynamique rapide dans ce présent
document les méthodes sont la méthode des éléments finis et la méthode des éléments dis-
crets. Pour calcul en dynamique des structures on étudie le comportement de la structure
sous impact. Avec l’hétérogénéité du béton le comportement est complexe et fortement
dépendant des conditions de chargement, il n’existe pas un modèle universel qui peut re-
produire tous les phénomènes physiques. Les modèles sont : le modèle d’endommagement
de Mazars, le modèle de plasticité et le modèle couplé élasto-endommageable-plastique.
Un point clé révélé par cette étude bibliographique concerne la nécessité de connaı̂tre
les modelés de calcul sous impact ainsi que son comportement dynamique. Différents
modèles de comportement du béton ont été proposés.Il semble qu’aucun modèle ne soit
capable de reproduire tous les phénomènes évoqués.
Les caractéristiques des projectiles sont considérées comme étant des variables aléatoires.
Les auteurs proposent un modèle permettant de d´écrire le mouvement du projectile dans
les deux cas. La résolution des diverses équations, renseigne sur la possibilité d’impact ou
non entre projectile et cible. Enfin, les formules ont été proposés, afin d’estimer la profon-
deur de pénétration de la cible impactée, puis parvenir a‘ l’estimation du risque d’accident.
Cette m´méthodologie permet de dégager une vue globale de l’effet Domino. Les résultats
obtenus soulignent l’importance de prédire cet effet dans le domaine industriel.
Simulation Numérique
2.1 Introduction
Un site industriel abrite diverses installations. Si une installation vient à exploser, les
fragments générés et projetés aux alentours peuvent impacter des installations voisines
tels que des canalisations, des réservoirs atmosphériques ou sous pression ou encore des
structures porteuses, ces installations peuvent aussi être percuter par une voiture. Ils
peuvent les pénétrer partiellement, les perforer entièrement ou écailler l’interface.
L’objectif de ce chapitre est de faire une simulation numérique sur une paroi porteuse
d’un site industriel suite à une collision de projectile.
35
CHAPITRE 2. SIMULATION NUMÉRIQUE
avec P = m × V
P :la quantité de mouvement
m :la masse du projectile
∆T :la durée d’impact
V :la vitesse du projectile
F :la force d’interaction sur la paroi impacté
L’impact d’un projectile sur une structure en béton armé peut générer simultanément
des dommages locaux et globaux. Un modèle d’éléments finis 2D où 3D éléments solides
en béton armé est le plus approprié pour reproduire la fissure et la pointe de déformation
complexe généré lors de l’impact sur la cible. De ce fait la cible est un matériau constituer
de béton plus de l’acier.
De sa capabilité de résistance à la compression, nous pouvons tirer et classer les bétons :
Dans le tableau si dessus La résistance en compression du béton est désignée par des
classes de résistances liées à la résistance caractéristique mesurée sur cylindre ou sur cube,
conformément à l’ EN 206-1 . Pour ce présent mémoire la simulation se basera pour un
béton de haute performance C45
- Caractéristique géométrique de la paroi :
La hauteur de la paroi rectangulaire de béton armé composant la cible est de 3 m.
L’épaisseur de la paroi est de 40 cm et la largeur est de 150 cm. L’armature est com-
posée de deux couches d’acier (une de chaque côté de la paroi de béton) avec des barres
de 16 mm de diamètre. D’autres barres de 10 mm de diamètre relient chaque nœud de la
maille d’armature des couches face à face.
- Caractéristique du béton :
La résistance caractéristique à la compression à 28 jours fc28 = 45M P a
La résistance caractéristique à la traction à 28 jours ft28 = 3.3M P a
Le coefficient partiel de sécurité pour le béton γb = 1.5
- Caractéristique de l’acier :
La limite d’élasticité garantie fe = 400MPa
Le coefficient partiel de sécurité pour l’acier γs = 1.15
Remarque : Le comportement mécanique du béton présente des caractéristiques va-
riables de déformation sous diverses conditions et niveaux de charge. Une grande part de la
connaissance des mécanismes de son comportement résulte d’observations expérimentales.
L’accumulation des connaissances empiriques et 1’expérience acquise sont des éléments
très important à prendre en considération lors de la modélisation numérique du compor-
tement du béton.
Figure 2.1 –
ft28 √
Avec ε0 = ; ε0c = 0.620E − 3 3 fc28
E
Le tableau récapitulatif des paramètres de la loi [8] :
2.3.1.1 MAILLAGE
le maillage est défini dans le tableau suivant :
Figure 2.4 –
2.3.1.3 Fissures
Lorsque le béton est doté d’une résistance normale est comprimé,les fissures d’adhérence
entre la matrice de mortier et la granulat se propageront autour des granulats.
Les motifs et la cinématique de l’apparition des fissures sont similaires à ceux issus de
l’endommagement. Dans la zone de localisation à l’interface de la paroi, la valeur de l’ou-
verture des fissures de la zone impacté est 5.73 ×10−7 m et à l’arrière face de la zone
impacté la valeur de l’ouverture de fissure est 3×10−7 m .
Lorsque le temps progresse, la fissure s’ouvre mais aucune nouvelle fissure n’apparaı̂t.
Au moment du rebond on remarque une forte dégradation locale du béton sous l’impact.
Avec la vitesse d’impact de projectile utilisé on sent qu’il a un déplacement plus ou moins
grand.
2.3.2 Conclusion
Ce dernier chapitre conclut donc ce travail par la validation de notre modèle numérique
par la simulation d’impact de projectile contre une paroi en béton armé avec le modèle
de Mazars. la simulation est fait avec un béton de haut performance, dont la classe de
résistance à la compression est 45MPa et la résistance à la traction est 3.3MPa.
DOSSIER PÉDAGOGIQUE
42
Chapitre 3
3.1 INTRODUCTION
L’Ecole Normale d’Enseignement Technique et Professionnel (ENETP) est un établissement
d’enseignement supérieur public situé à la cité universitaire de Kabala (Mali), créé par
ordonnance N° 0032/P-RM du 10 août 2010 à Bamako et ratifié par la loi N° 042 du
15 juillet 2011. L’école vise à donner plus de visibilité à la formation des professeurs
d’enseignements technique et professionnel et à pallier au manque d’enseignants dans ce
domaine, elle regroupe quatre (4) filières de formations qui sont :
— Génie Civil (GC) ;
— Génie Industrie (GI) ;
— Bureautique Communication (BUCO) ;
— Comptabilité Gestion (COGE).
L’École Normale d’Enseignement Technique et Professionnel (ENETP) a pour mission à
savoir :
La formation initiale des professeurs d’enseignement technique et professionnel ;
La formation et le perfectionnement des personnels d’encadrement de l’enseigne-
ment technique ;
La formation poste universitaire en sciences de l’éducation ;
L’élaboration et la production des supports pédagogiques ;
La formation professionnelle continue de formateurs d’organismes de formation
publics et privés ;
La promotion et le développement de la recherche pédagogique et technologique ;
La recherche scientifique.
En fin de cycle l’école prévoit un stage pédagogique pratique pour les élèves professeurs
dans des établissements de l’enseignement technique et professionnel en leur permettant
d’appliquer les théories apprises en classe sur le terrain.
Le stage pédagogique est une période pendant laquelle les élèves professeurs de l’Ecole
Normale d’Enseignement Technique et Professionnel de Bamako sont mis à la disposition
des professionnels de l’enseignement technique et professionnel afin que ceux-ci les ac-
compagnent à la construction des compétences individuelles et collectives. C’est donc une
occasion pour nous, de rencontrer de nombreuses situations apprises en classe, de déceler
les problèmes qui peuvent survenir sur le terrain et d’essayer de résoudre ces problèmes
par l’expérience théorique acquis au cours de notre formation.
C’est dans ce but que j’ai effectué mon stage pédagogique au Centre de Formation en
Administration et aux Métiers (CFAM) sise à Sébéninikoro Derrière le Commissariat de
43
CHAPITRE 3. RAPPORT DU STAGE PÉDAGOGIQUE
de la discipline, placée sous l’autorité du directeur des études. L’Econome, placé sous
l’autorité du Directeur général, il est chargé de la gestion financière et matérielle.
3.2.3.3 La direction
Le Centre de formation en administration et aux métiers est administré par :
— Un directeur général, qui est le chef de l’établissement ;
— Un directeur des études, qui est chargé des études et de la discipline ;
— Un chef des travaux, responsable des ateliers ;
— Un surveillant général, chargé de la discipline ;
— Un économe responsable de la gestion financière et matérielle au sein de l’établissement.
3.4.1 Matérielles
— Insuffisance de matériels didactiques ;
— Insuffisance de livre dans la bibliothèque ;
— Insuffisance de salle de classe.
3.4.2 Pédagogiques
Les connaissances théoriques et les méthodes d’enseignement que j’ai appris à l’ENETP
m’ont permis de dispenser les cours qu’on m’a confié sans avoir le stress devant les élèves.
Les difficultés rencontrées sont nombreuses, parmi lesquelles on peut citer :
— Les élèves ne font pas de révision avant de venir en classe ;
— La non maitrise du français par les élèves ;
— Les élèves ne font pas de travail individuel à la maison ;
— Les élèves ne s’exercent pas à la maison ;
— L’indiscipline des élèves ;
— La non implication de certains élèves à certaines disciplines ;
— A tout moment il peut effectuer un transfert.
3.4.3 Socioculturelles
Les difficultés rencontrées sont les suivantes :
— Le retard des élèves ;
— Le non suivi des élèves à la maison ;
— Le manque de respect envers les autres.
3.5.2 Autres
Lors de mon stage pédagogique, j’ai insinué à mon encadreur Mr. Sissoko si toute fois
après les cours, il pouvait faire une liste de présence de la classe pour la surveillance. Lors
du choix des sujets, j’aidais le professeur Sissoko en lui donnant mes avis et en l’aidant à
faire comprendre les élèves avec les dessins à l’aide du logiciel AutoCad.
réalités du terrain étaient différentes de celles apprise en classe. La pratique est plus
formative que la théorie, il faut que les autorités de l’état aient le courage et la volonté de
revoir le rapport entre la théorie et la pratique. La théorie est facile mais la pratique est
difficile. Dans les écoles techniques et professionnelles la préparation de la leçon est aussi
une dimension très importante.
PREAMBULE MOTIVANT
Questionnaire :
1. Les eaux de toilettes sont évacuées vert où ?
2. Après la pluie ou la lessive avec quoi l’eau est jetée dans le fleuve (milieu naturel) ?
DEROULEMENT DE LA SEQUENCE
Durée : 15 mn
Point clés : Stratégie :
Après avoir utilisé la toilette ou de faire les tâches ménagères
— Opérations dans vos familles vous verrez que l’eau et les déchets sont di-
— Traitement rigés dans un lieu qui s’appelle la fosse septique et si la fosse est
— Milieu remplie il y a une partie qui filtre l’eau pour que les déchets ne
récepteur passent pas pour aller dans le puisard et ce système est appelé
système de drainage.
Transition :
— 1 Pourquoi on fait tous ceci chez nous ?
— 2 Est ce qu’on peut laisser ces eaux stagner devant nos portes ?
Durée : 5 mn
Point clés : Stratégie :
C’est en faisant assainir nos familles et le quartier qu’on évite
— Nuisance plein de sinistre comme : l’inondation, les maladies infectieuses
— Ecologique etc. . .
— Milieu naturel
Transition :
Après avoir définis l’assainissement il Y a deux types d’assainissements
Micro-objectif 3 : Production élève :
Les différents types — L’assainissement dans l’ensemble et l’assainissement
d’assainissement dans la famille
Durée : 15 mn
Point clés : Stratégie :
je fais un exemple sur une famille et sur un ensemble de famille.
- L’assainissement in-
dividuel
- L’assainissement col-
lectif
I.Définition :
L’assainissement est l’ensemble des opérations permettant la collecte, l’évacuation des
eaux (pluviale, usées) ; ainsi que leur traitement et rejet dans le milieu récepteur.
a. Eau pluviale ou Eau de ruissellement :
Elle provient de la pluie, des eaux de lavage des voix publics, des eaux de drainages.
b. Eaux usées :
Elles proviennent des toilettes (eaux vannes), dans les cuisines (eaux ménagères).
c. Eaux usées industrielles :
Elles proviennent des diverses usines de fabrication et de transformation.
II. But de l’assainissement :
L’assainissement a pour but de :
Sauvegarder l’équilibre écologique du milieu naturel en particulier les eaux souter-
raines et les eaux de surface ;
D’éliminer la nuisance ;
Préserver la santé de la population.
III. Les différents types de l’assainissement :
a. L’assainissement individuel :
L’assainissement individuel consiste à éliminer les eaux usées et les excrétas à travers les
ouvrages d’assainissement qui sont le regard ou tampon de visite, la fosse septique, le
filtre bactérien, le puisard ou puit perdu, le plateau absorbant, les tranchés filtrant et la
latrine VIP.
b. L’assainissement collectif :
L’assainissement collectif consiste à évacuer et drainer les eaux usées et les excrétas à
travers un réseau appelé réseau de d’égout qui les acheminent vers la station d’épuration
avant le rejet dans le milieu naturel.
Schéma
1 Agglomération
2 Regard
3 Branchement
4 Réseau d’égout
5 Station d’épuration
6 Milieu naturel
3.9.3 Evaluation
1 DEFINIR l’assainissement ?
2 Citer les différents types de l’assainissement et expliquer les ?
3.9.4 Réponses
1 L’assainissement est l’ensemble des opérations permettant la collecte, l’évacuation
des eaux (pluviale, usées) ; ainsi que leur traitement et rejet dans le milieu récepteur.
2 Les différents types d’assainissement sont :
- L’assainissement individuel
- L’assainissement collectif
L’assainissement individuel :
L’assainissement individuel consiste à éliminer les eaux usées et les excrétas à travers les
ouvrages d’assainissement qui sont le regard ou tampon de visite, la fosse septique, le
filtre bactérien, le puisard ou puit perdu, le plateau absorbant, les tranchés filtrant et la
latrine VIP.
L’assainissement collectif :
L’assainissement collectif consiste à évacuer et drainer les eaux usées et les excrétas à
travers un réseau appelé réseau de d’égout qui les acheminent vers la station d’épuration
avant le rejet dans le milieu naturel.
3.10 Conclusion
Ce stage pédagogique a été un grand apport pour moi, car il m’a permis de mettre en
pratique les théories que j’ai apprises à l’ENETP, de mieux comprendre et d’acquérir des
nouvelles connaissances sur le terrain.
Durant ce stage j’ai pu mieux comprendre et améliorer plusieurs notions à savoir :
La procédure de préparation des cours ;
L’esprit d’équipe ;
La méthode de recherche ;
Le sens de responsabilité.
Je reconnais que ce stage m’a formé psychologiquement pour faire face aux différentes
tâches qui m’attendent dans ma vie professionnelle (futur). Force est de savoir que J’ai pu
progresser en termes de la responsabilité, de la ponctualité, de l’assiduité, de la discrétion
et de la courtoisie. Pour mettre fin à cette partie j’attirer l’attention des autorités admi-
nistratives et politiques du pays, qu’ils œuvrent en étroite collaboration afin de mettre
en application les résolutions d’accord avec les enseignants. Si rien n’est fait dans un
proche avenir dans l’amélioration des conditions de travail des enseignants, aussi d’avoir
une bonne politique en matière de système éducatif de l’enseignement fondamental, toute
une génération serait sacrifiée. Cela va affecter davantage l’administration publique en ce
qui concerne les ressources humaines qualifiées.
Nous avons préparé dans un premier temps le dossier technique qui portait sur la
résistance des structures à l’impact d’un projectile, en évaluant le comportement mécanique
du matériau avec le modèle de Mazars.
Dans la première partie du dossier technique nous avons effectué une étude bibliogra-
phique sur le projectile, sur la classification des impacts , sur les modèles de calcule en
dynamique rapide, sur les modèles de comportement des structures sous impact, sur la
force du projectile et sur le calcul de la résistance des structures aux impacts de projectile.
Dans la seconde partie du dossier technique nous avons effectué une simulation numérique
avec le logiciel COMSOL en utilisant le modèle de Mazars.
cette partie du dossier technique est constitué de deux parties dont nous avons la mise en
œuvre des simulations et l’analyse des résultats.
Ce stage a été pour moi une période d’apprentissage, d’écoute, de partage, de patience,
de coopération et de recherche.
55
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