Bac 2019 CBSV STL
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La maladie de Parkinson
1.1 :
Légende document A :
1 : potentiel
2 : vésicule de stockage
(présynaptique)
3 : fente synaptique
4 : récepteur post synaptique
1.2
Fonction : acide carboxylique
Fonction :amino
1.3 Il s’agit d’un carbone asymétrique car c’est un atome de carbone tétravalent lié à quatre atomes
ou groupes d’atomes différents.
1.4 molécule de tyrosine notation de CRAM de la
molécule de tyrosine
1.7 Le dioxygène capte des électrons pour donner de l’eau : le dioxygène est l’espèce réduite.
La tyrosine libère des électrons pour donner la L-Dopa : la tyrosine est l’espèce oxydée.
1.8
1.9 Sur les photos, l’échelle étant que de l’ordre d’une centaine de micromètre, elle ne nous permet
pas de voir les cellules dans leur détails : le microscope est donc un microscope optique (ou
photonique).
2.2
Pour l’allèle normal
Séquence ARN messager du gène park2 :
UGC AUU ACG UGC ACA GAC GUC AGG
(pour passer de la séquence de l’ADN à celle de l’ARN, la tyrosine (T) est remplacée par l’uracile
(U))
(pour passer de la séquence de l’ADN à celle de l’ARN, la tyrosine (T) est remplacée par l’uracile
(U))
2.3 La séquence d’acides aminés pour les 2 allèles (normal et muté) diffèrent d’un acide aminé
2.5 L’homme I.3 (malade) et la femme I.4 (non malade) ont 3 enfants : 2 filles et un garçon.
Si le gène porté par l’homme 3 était dominant les 3 enfants auraient été malades or aucun des trois
enfants n’est atteint de la maladie, le gène est donc récessif.
2.7
II.2 et II.3 sont sains, mais ont des enfants malades : ils ont donc chacun un gène p et un gène P
(malade)
II.2 p P
II.3
p p/p P/p
P p/P P/P
Dans le tableau ci-dessus les possibilités pour les gènes d’un enfant.
Le gène étant récessif, pour être malade il faut avoir la combinaison P/P : il a donc une chance sur 4
soit 25 % de probabilité d’être atteint de la maladie.
2.8 Pour la souris homozygote (+/+) non atteinte non notons la présence de parkine. Pour la souris
homozygote (+/-) possédant un allèle non muté nous constatons la présence de parkine en quantité
moindre que dans la souris homozygote (+/+). Pour la souris homozygote (-/-) possédant deux
allèles mutés nous ne constatons pas la présence de parkine.
2.9 Le nombre de neurone dopaminergique dans la substance noire chez la souris homozygote +/+
est légèrement moins important que celui présent chez la souris homozygote + /- à l’âge de 12 mois.
La constatation est identique à l’âge de 18 mois, avec une légère augmentation du nombres de ces
cellules pour les deux souris. A 24 mois, la différence de neurone dopaminergiques est inversée : le
nombre est plus important chez la souris homozygote +/+ que chez la souris homozygote + /-. Entre
12 mois et 24 mois la souris homozygote + /- n’a pas vu son nombre de neurone dopaminergiques
diminués le modèle pour tester la stratégie thérapeutique n’est pas pertinent.
2.10 L’ajout d’une molécule inhibitrice sur la L-Dopa décarboxylase permet de ne pas transformer
la L-Dopa en Dopamine. Ainsi l’enzyme tyrosine hydroxylase ne voit pas son action diminué par
réaction avec la Dopamine.