Filière Sciences de La Matière Physique
Filière Sciences de La Matière Physique
Filière Sciences de La Matière Physique
DÉPARTEMENT DE PHYSIQUE
CASABLANCA
AATIFI SAMIR
HAMDI HANANE
TIKARKAOUSSIT CHAIMAA
On conclure que :
1
R= ⃗
⃗ e ∧ ⃗L (e i)
2 i
3- Torseur cinématique :
A tout champ antisymétrique m ,on associe l’ensemble de vecteurs { R , m },qu’on
appelle torseur et que l’on noteτ .Tout torseur est défini en un point arbitraire Q ,
et on écrit alors :
τ ( Q )= { ⃗
R ,m
⃗ (Q) }
a- Torseur nul :
Il est défini par ⃗R =⃗0 ,et il existe un point Q de l’espace considéré tel que :
m (Q)=0⃗ . D’après la relation du champ antisymétrique, on déduit que le moment
⃗
est nul partout dans l’espace considéré.
b- Torseur couple :
Il est défini par ⃗R =⃗0 , Et s’il existe un point Q de l’espace considéré tel que :
m (Q)≠ ⃗0. D’après la relation du champ antisymétrique, on déduit que le moment
⃗
est uniforme dans l’espace considéré.
c- Torseur glisseur :
Il est défini par ⃗R ≠ ⃗0, et s’il existe un point Q de l’espace considéré tel que :
R=0, alors l’invariant scalaire est nul partout dans l’espace considéré.
m (Q). ⃗
⃗
Exemple :
τ V : Est un torseur nul Cas d’un solide au repos
τ V : Est un torseur couple Cas d’un solide en translation
pur
τ V : Est un torseur glisseur Cas d’un solide en rotation
pure.
4- La matrice d’inertie :
La matrice d’inertie d’un corps solide indéformable est définie par :
I xx I xy I xz
[
I (S / R0 )= I yx I yy I yz
I zx I zy I zz ]
Avec :
I xx = ∫ ( y ²+ z ²)dm I xy =−∫ xy dm I xz =− ∫ yx dm
I yy = ∫ ( x ²+ z ²) dm I xz =− ∫ xz dm I yz =−∫ yz dm
I zz = ∫ ( x ²+ y ²)dm I yz =−∫ yz dm I zx =− ∫ z x dm
m
Donc : dm= dl
l
m
Donc : dm= dS
σ
m
Donc : dm= dV
V
Le torseur cinétique :
τ C ( A) ≡ { ⃗ρ (S / R0 ); ⃗
σ A ( S /R0 ) }
D’où :
1
EC (S /R 0)= m¿ ¿
2
Avec : EC (S /R b) est l’énergie cinétique du corps solide indéformable dans le
repère barycentrique.
d⃗
σ A ( S /R 0)
M d ( A fixe )=
⃗
dt ]
R0
d⃗
σ (S /R 0)
M d ( A ≡G )= G
⃗
dt ]R0
III- Conclusion :
La mécanique d’un solide est une procédure qui facilité l’étude du mouvement
d’un solide indéformable par des expressions très simple et applicable.
Chapitre II : Rappel sur la méthode des
différences finis
I- Introduction :
La méthode des différences finies (MDF) est une méthode numérique simple,
qui a l’avantage d’avoir une grande simplicité d’écriture et un faible temps de
calcul. Elle a comme objectif la résolution des équations aux dérivées partielles
gouvernant des problèmes à géométrie régulière. Elle résulte de nombreux
travaux de mathématiciens du 18ème siècle (Euler, Taylor, Leibniz…).
Pour obtenir une solution numérique, il faut tout d’abord définir un domaine
numérique constitué par un ensemble de points discrets appelés nœuds du
maillage, puis approximer ou remplacer des dérivés partiels, par des schémas
discrets, afin de transformer les EDP en équation algébrique.
d2 u( x ) du ( x )
2 2
−3 +2 u ( x )−3=0
dx dx
a- La résolution analytique :
Avec :
3L −3 L
A1=
1
{ [
−1
det (S) 8
e 4
3 sin √ 7 L + √ 7 cos √ 7 L +2 e
(4) ( 4 )] 4
cos ( √
7L
4
)
}
3L −3 L
A2=
1
{ [
1
det (S) 8
e 4
3 sin √7 L −√7 cos √ 7 L +2 e
(4) ( 4 )] 4
cos ( √
7L
4
)
}
3
det ( S )= [sin
4 ( √ 72 L )+ √47 cos ( √74 L )]
b- La résolution par la MDF :
Discrétisation du domaine de résolution :
1 2 i N
du( x) ui +1−ui−1
dx ]i =2 ,… , N−1
≈
2h
+O( h2)
du( x) u N −uN −1
dx ] N
≈
2h
+O(h)
Discrétisation du problème :
o Pour2 ≤i ≤ N −1m :
ui −1−ui+ ui ∓1 ui+1 −ui−1
2 2
−3 +2 ui−3=0
h 2h
o Pour i=N
uN −u N−1
=2
2h
ui=1=1
On trouve que :
−1
{ u } =[ A ] . {SM }
Ecriture matricielle du problème pour N=5 :
1 0 0 0 0 u1 1
[ ]{ } { }
2
4 +3 h 4( h −2) 4−3 h 0 0 u2 6h²
2
0 4+3 h 4 (h −2) 4−3 h 0 u3 = 6 h ²
0 0 4+3 h 2
4 (h −2) 4−3 h u4 6h²
0 0 0 −1 1 u5 2h
Résultat de simulation :
L=3 ; N=51
a- Résolution analytique :
Alors :
π
uex ( x )=tg (x + )
4
1 2 3 i N
Avec :
2L
h=
N −1
Approximation de la dérivée :
o Schéma décentré à droite :
On sait que :
du( x) u i+1−ui−1
dx ]
i =2 ,… , N
≈
h
+ O(h)
u 1=1 pour≤noeud 1
{ui=h ( 1+u 2
i −1 )+u i−1 pour les noeuds i=2, … . N
En utilisant ici le schéma décentré à droite on n’a pas besoin d’inversion de
matrice. Le calcul se fait dans ce cas de manière itérative.
Résultat de simulation :
π π
L=0.9 ; N=25 L=0.9 ; N=50
4 4
π π
L=0.9 ; N=75 L=0.9 ; N=100
4 4
π π
L=0.9 ; N=200 L=0.9 ; N=300
4 4
π π
L=0.9 ; N=1000 L=0.9 ; N=1000
4 4
Chapitre III : Etude du mouvement du
solide sur une surface conique
I- Introduction :
L’étude du mouvement du solide sur une surface conique est un problème
académique de la mécanique classique. Afin de la simulation numérique du
mouvement d’une sphère pleine, nous avons considérée un corps solide
homogène et indéformable sur une surface conique par la méthode des
différences finies On admet dans cette étude que le mouvement du solide en
question se fait sans glissement pour simuler l’évolution des différents degrés de
liberté ainsi que la force de liaison en fonction du temps.
Figure
2
Ω ( S/ Ro ) =θ̇u . u⃗ + θ̇v . ⃗v + θ̇ z . k⃗
⃗
Le vecteur position ⃗
OG du centre de masse du solide ( S) s’écrit :
OG=⃗
⃗ OI + ⃗
IG=r ( t ) ⃗e 1+ R e⃗ 2
avec :
d’où :
d⃗
OG
V ( G/ Ro ) =
⃗
dt ] Ro
=[ ṙ ( t ) . sinα ] u⃗ + [ r ( t ) . sinα−R . cosα ] φ̇ ⃗v + [ ṙ ( t ) .cosα ] ⃗k
V ( I ∈ S /R o )=V
⃗ ⃗ ( I ∈ cône fixe /R o )
Donc :
( [ r ( t ) . sinα −R . cosα ] φ̇ .
ṙ ( t ) . cosα ) ( ) ( ) ()
{⃗u , ⃗v , ⃗k }
+ θ̇ v
θ̇ z {u⃗ , ⃗v , ⃗k }
⋀ 0
−Rsinα {⃗u , ⃗v , ⃗k }
=0
0 {u⃗ ,⃗v , ⃗k }
Alors, on trouve :
ṙ ( t ) . sinα −Rsinα . θ̇ v 0
( [ r ( t ) . sinα −R . cosα ] φ̇
ṙ ( t ) . cosα ) (
{u⃗ , ⃗v , k⃗ }
+ Rcosα . θ̇ z + Rsinα . θ̇u
−Rcosα . θ̇v ) ()
{⃗u , ⃗v , ⃗k }
=0
0 {u⃗ , ⃗v , k⃗ }
Π
0 rad <α < rad
2
Il vient :
ṙ ( t )=R θ̇ v
( S)
{[ r ( t ) . sinα−R . cosα ] φ̇=−R [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇u ]
Soit :
r ( t )=R θv +r o −R θ ov
1
V 2 ( G /R o ) + Ec ( S/ Rb )
Ec (S /R o)= m ⃗
2
Où Ec (S /R b) est l’énergie cinétique de la sphère par rapport au repère
barycentrique et qui est exprimée ici par :
1 ⃗
Ec (S /R b)= Ω ( S /R o ) ⟩ R . I ( S / RG ) . {⃗
Ω ( S/ Ro ) }R
2⟨ G G
1 0 0
2
I ( S /R G )= m R2 0 1 0
5
0 0 1 [ ] RG
D’où :
1 2 1
Ec ( S / Ro ) = m { ṙ 2 + [ r (t ) . sinα−R . cosα ] φ̇2 }+ m R 2 [ θ̇ 2u+ θ̇2v + θ̇2z ]
2 5
1 2 1
Ec ( S / Ro ) = m ( R . θ̇v )2+ [ Rcosα . θ̇ z + Rsinα . θ̇u ] + m R2 [ θ̇2u + θ̇ 2v + θ̇2z ]
{ }
2 5
Donc :
2
1 2 7 2 2 2 2
Ec ( S / Ro ) = m R
2 5 {
θ̇ v + [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇u ] + [ θ̇u + θ̇ z ]
5 }
Energie potentielle de la sphère :
D’où :
P( S/ R o)= { m ⃗g + ⃗
R ( I ); ⃗
IG ⋀ m ⃗g } {⃗ V ( I ∈ S /R o ) }
Ω ( S/ Ro ) ; ⃗
Soit :
P( S/ R o)= [ ⃗
IG ⋀ m ⃗g ] ⃗
Ω ( S /R o )=m ⃗g [ ⃗
Ω ( S / Ro ) ⋀ ⃗
IG ]=m ⃗g V
⃗ (G / Ro)
Finalement on trouve que la puissance est :
P ( S / Ro ) =−mg ż G
−d E p (S /R o )
P ( S / Ro ) = −mg ż G
dt
Em ( S /R o )=E c ( S/ Ro ) + E p (S / Ro )
2
1 2 7 2 2 2 2
Em ( S /R o )= m R
2 5 { 5 }
θ̇v + [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇ u ] + [ θ̇u + θ̇ z ] + mgR cosα .θ v +Cte
Comme le mouvement est conservatif alors cette énergie ne varie pas au cours
du mouvement.
C'est-à-dire :
2
1 2 7 2 2 2 2
2
mR
5 { 5 }
θ̇v + [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇u ] + [ θ̇ u+ θ̇z ] + mgR cosα .θ v =E o
Avec :
2
1 2 7 2 2 2
Eo = m R
2 5 { 5 }
2
θ̇ ov + [ cosα . θ̇oz + sinα . θ̇ou ] + [ θ̇ ou+ θ̇ oz ] +mgR cosα .θ ov
3- Application du théorème du moment dynamique au
point géométrique I G
Le théorème du moment dynamique au point géométrique I G se traduit par
la relation suivante :
M d ( I g ) =⃗
⃗ M ext ( I g )
Avec :
d ⃗σ I (S /R o)
M d ( I g)=
⃗ g
dt ]Ro
V (I g / Ro ) ⋀ m V
+⃗ ⃗ (G/R o)
Soit encore :
σ⃗ I ( S /R o)=⃗σ G (S /R b)+ m ⃗
g
V (G/ Ro ) ⋀ ⃗
GIg
Alors :
d ⃗σ (S / Rb )
M d ( I g)= G
⃗
dt ] Ro
+m ⃗γ (G/R o )⋀ ⃗
G I g +m ⃗
V (G/ Ro )⋀ [ ⃗
V (I g / Ro ) ⋀−⃗
V (G/ Ro ) ] + ⃗
V (I g / Ro ) ⋀ m V
⃗ (G/R o )
d ⃗σ (S / Rb )
M d ( I g)= G
⃗
dt ] Ro
+m ⃗γ (G/R o )⋀ ⃗
G Ig
1 0 0 θ̇ u
2
5 [ ]{}
σ⃗G (S / Rb )≡ m R2 0 1 0
0 0 1 RG
θ̇ v
θ̇ z RG
2
= m R2 [ θ̇u . u⃗ + θ̇ v . ⃗v + θ̇ z . ⃗k ]
5
D’où :
d σ⃗ G (S/ Rb ) 2
dt ] Ro
= m R2 [ ( θ̈ u−θ̇v φ̇ ) . ⃗u + ( θ̈ v + θ̇u φ̇ ) . ⃗v + θ̈ z . ⃗k ]
5
On sait que :
γ⃗ ( G/R o )= [ R sinα θ̈v ] ⃗u + [ R sinα . θ̇v ] φ̇ ⃗v −R [ cosα . θ̈ z+ sinα . θ̈u ] ⃗v + R [ cosα . θ̇ z +sinα . θ̇u ] φ̇ ⃗u + [ R cosα θ̈ v ] ⃗k
Alors :
γ⃗ ( G/R o )=R {sinα θ̈ v + [ cosα . θ̇ z+ sinα . θ̇u ] φ̇ } u⃗ + R { sinα . θ̇ v φ̇−[ cosα . θ̈z + sinα . θ̈ u ] } ⃗v + [ R cosα θ̈v ] ⃗k
Donc :
sinα θ̈v + [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇u ] φ̇ cosα
m ⃗γ ( G/ Ro ) ⋀ ⃗ 2
{
G I g ≡ m R sinα . θ̇ v φ̇−[ cosα . θ̈ z + sinα . θ̈u ]
R cosα θ̈v }{u⃗ , ⃗v , k⃗ }
⋀
{ }
0
−sinα {u⃗ , ⃗v , ⃗k }
D’où :
−sin2 α . θ̇v φ̇+ sinα [ cosα . θ̈ z +sinα . θ̈u ]
m ⃗γ ( G/ Ro ) ⋀ ⃗
{
G I g ≡ m R2 cos 2 α . θ̈ v + sin2 α . θ̈ v + φ̇ sinα [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇ u ]
−cosα . sinα . θ̇ v φ̇+cosα [ cosα . θ̈ z+ sinα . θ̈u ] }
{ ⃗u ,⃗v , ⃗k }
Finalement on trouve :
M ext ( I g )=−mgRcosα . ⃗v
⃗
{ }
m R θ̈ v + θ̇u φ̇
θ̈ z {⃗u ,⃗v , ⃗k }
+m R 2
{5
2
5
2
5
m R2 [ θ̈v + θ̇u φ̇ ]+ m R2 {θ̈ v + φ̇ sinα [ cosα . θ̇ z + sinα . θ̇u ] }=−mgRcosα ;
De même :
2 2
m R θ̈ z +m R {−cosα . sinα . θ̇ v φ̇+ cosα [ cosα . θ̈ z + sinα . θ̈ u ] }=0;
2
θ̈u−θ̇ v φ̇ ] + {−sin2 α . θ̇ v φ̇+ sinα [ cosα . θ̈ z + sinα . θ̈u ] }=0 ;
{
5
[
7 2 −g
( Σ) θ̈ v + θ̇u φ̇+ φ̇ sinα [ cosα . θ̇z + sinα . θ̇ u ]= cosα ;
5 5 R
2
θ̈ + −cosα . sinα . θ̇v φ̇+cosα [ cosα . θ̈ z + sinα . θ̈u ] }=0 ;
5 z {
Remarques
D’où :
θ̇ v φ̇=θ̈u−tgα . θ̈ z
θ̇ v φ̇=θ̈u−tgα . θ̈ z
Or si on pose :
OG=ρG u⃗ + z G ⃗u
⃗
On en déduit que :
ρG ( t )=Rsinα .θ v ( t ) +C1
????????????????????????????????????????????????????????????????????????
2
R [ θ̈u −θ̇v φ̇ ]−sinα [ 2 ρ̇G φ̇+ ρG φ̈ ]=0 ;❑'
( Σ' )
{ 2
5
5
R [ θ̈ v + θ̇ u φ̇ ] +cosα . z̈ G + sinα [ ρ̈G− ρG φ̇2 ]=−gcosα ;❑'
2
5
R θ̈ z−cosα [ 2 ρ̇G φ̇+ ρG φ̈ ]=0 ;❑'
C'est-à-dire avec :
1
θ̈ v = ρ̈
{
Rsinα G
−1 1 −Co C o
θ̇u φ̇=
sinα R[ ρG φ̇ 2+ cosα . θ̇z φ̇ = ]
sinα ρ3G R [
+cosα . θ̇ z ρG ]
z̈G =cotgα . ρ̈G
ρ2G φ̇=C o
On obtient :
2 1 1 1
5
R {
Rsinα
ρ̈G −
sinα R G [ ]}
ρ φ̇2+ cosα . θ̇ z φ̇ +cosα .cotgα . ρ̈G + sinα [ ρ̈G− ρG φ̇2 ]=−gcosα
En multipliant chaque membre de cette équation par ρ3G et en utilisant la loi des
aires, on obtient l’équation différentielle suivante :
2 cos2 α 3 2
[ 5 sinα
+ sinα +
sinα ]
ρG ρ̈G =−gcosα ρ3G +
5 sinα
[ C2o + Rcosα . θ̇ z C o ρG ] + sinα C2o
D’où :
7 2
[ 5 sinα G G]
ρ3 ρ̈ =−gcosα ρ3G + [ C 2+ Rcosα . θ̇ z C o ρG ]+ sinα C 2o
5 sinα o
avec :
7
[ ]
{ H ( ρG )=−gcosα ρ3G +
F ( ρG ) =
2
5 sinα
[
ρ3
5 sinα G
C 2o + Rcosα . θ̇ z C o ρG ] + sinα C 2o
Schéma de résolution :
o Résolution de l’équation (E) : ⟹ ρG (t n ≥3 )
o Utilisation de la loi des aires : ⟹ φ̇ ( t n ≥3 ) ⟹ φ ( t n ≥3 )
o Calcul de : θ v ( t n ≥3 ), z G (t n ≥3 ) et θu ( t n ≥3 )
Avec θ z ( t ) est une fonction connue
On sait que :
1
V 2 ( G /R o ) + Ec (S/ Rb )
Ec (S /R o)= m ⃗
2
Où Ec (S /R b) est l’énergie cinétique de la sphère par rapport au repère
barycentrique et qui est exprimée ici par :
1 ⃗
Ec (S /R b)= Ω ( S /R o ) ⟩ R . I ( S / RG ) . {⃗
Ω ( S/ Ro ) }R
2⟨ G G
1 0 0
2
I ( S /R G )= m R2 0 1 0
5
0 0 1[ ] RG
D’où :
1 2 1
Ec ( S / Ro ) = m { R2 θ̇ 2v + [ r ( t ) . sinα−R . cosα ] φ̇ 2 }+ m R 2 [ θ̇ 2u+ θ̇2v + θ̇2z ]
2 5
On sait que :
Avec :
r =R θ v +Co
Soit :
1 7 2
{ 2
}
L ( φ , θv , θ̇u , θ̇ v , θ̇ z ) = m R 2 θ̇ 2v + [ r ( t ) . sinα−R . cosα ] φ̇ 2+ R 2 [ θ̇2u + θ̇ 2z ] −mgR . θ v cosα
2 5 5
{
dt ∂ φ̇ ∂φ
d ∂L ∂L
[ ][ ]
dt ∂ θ̇u
−
∂ θu
=λ (R sinα );
d ∂L ∂L
[ ][ ]
dt ∂ θ̇v
−
∂ θv
=0;
d ∂L ∂L
[ ][ ]
dt ∂ θ̇z
−
∂ θz
=λ(R cosα );
On trouve :
2
m { [ r (t ) . sinα−R . cosα ] φ̈+ [ r ( t ) . sinα−R . cosα ] R θ̇ v φ̇ }=λ [ r ( t ) . sinα−R . cosα ] ;
{
D’où :
7
5
2
5
m R2 θ̈u=λ (R sinα );
{
2
m R2 θ̈u=λ (R sinα );
5
7
m R2 θ̈v −m [ r ( t ) . sinα −R . cosα ] ( R . sinα ) φ̇2 +mgR .cosα=0 ;
5
2
m R2 θ̈ z=λ (R cosα) ;
5
2 2 2
R θ̈ cosα= R2 θ̈ z sinα
5 u 5
Finalement :
θ̈u =tgα . θ̈ z
III- Etude numérique par la MDF :
1- Les conditions initiales :
rad
avec
ωo <0
{
φ ( t=0 s )=0 rad
Donc :
e⃗ 1 ( t=0 s )=sinα i⃗ + co sα ⃗k u⃗ ( t=0 s )=i⃗
Comme on a :
Ω (S /R o)=ωo [ sinα u⃗ + cosα ⃗k ] =ωo [ sinα i⃗ +cosα ⃗k ]
⃗
D’où :
θ̇u ( t=0 s )=ω o sinα
{θ̇ z ( t=0 s ) =ωo cosα
Donc :
V o =−R ωo >0
De même on a :
V G = ρ̇G ⃗u + ρG φ̇ ⃗v + ż G k⃗
⃗
Ce qui donne :
ρ̇G ( t=0 s ) =0 en m/s
Avec :
ρG ( t=0 s )=r o sinα−Rcosα
φ̇ ( t=0 s )=
Vo
r o sinα −Rcosα
Remarque :
t n=( n−1 ) Δt ; n ∈ N ¿
ρ̇nG− ρ̇n−1
G H ( ρnG−1 )
= n−1
Δt F (ρG )
Donc :
n≥ 3 H ( ρn−1
G ) n−1
ρ̇G =Δt n −1
+ ρ̇G
F (ρ G )
D’où :
H ( ρn−1
G )
ρ̇nG≥ 3=Δt n −1
+ ρ̇n−1
G
F ( ρG )
On sait que :
d ρG ρ2G− ρ 1G
dt t] 1
= ρ̇G ≈
1
Δt
; ρ2G = ρ̇1G Δt + ρ1G
Co
{
φ̇2= 2
( ρ2G )
φ 2=φ̇2 Δt +φ 1
2 2
θ =(ρG−C1 )/(Rsinα)
v
2
1 C 2− ρG . φ 2
θ= 2
u
sinα R[ −cosα . θ2z ]
b- L’utilisation de l’algorithme :
On pose :
R ( I ) =Ru . u⃗ + R v . ⃗v + R z . ⃗k
⃗
m ⃗γ ( G/ Ro ) =m ⃗g + ⃗
R (I )
Donc :
R ( I ) =m [ ⃗γ ( G/ Ro ) −⃗g ]
⃗
Avec :
D’où finalement :
Ru =m [ ρ̈G−ρG φ̇2 ]
{ Rv =m [ 2 ρ̇G φ̇+ ρG φ̈ ]
R z=m [ z̈ G + g ]
Résultats numériques :
R en m α en rad r o en m V o en m/s dt en s M
0.5 π 1 0.5 10−3 20 x 103
4
Tracage des
On sait que :
Donc :
C 2o
[( ) ]
{
2
R r=m μa −θ̇ − + g cosθ
sin2 θ
C 2o cosθ
Rθ=m μa θ̈−
[( 2
sin3 θ )
−g sinθ
]
1 d ( φ̇ sin θ)
Rφ =m μa
sinθ [dt
=0 ]
Alors :
Avec :
θ ( t n )−θ ( t n−1 )
θ̇ ( t n ) ≈ ;n≥ 2
∆t
Et
π
θo ( t 1 )= rad θ ; θ̇ ( t 1 ) =0 rad /s
2
θ̇ ( t 2) −θ̇ ( t 1)
θ̈ ( t 1 ) ≈
∆t
Résultats numériques :
R a M g ∆t M θo φo θ̇o φ̇ o
en m en m en kg en m/ s2 en s en rad en rad en rad/s en rad/s
1 0.05 0.200 9.8 10−4 105 π 0 0 Co
2
IV- Conclusion :
Dans ce chapitre, on a démontré les équations différentielles caractérisant le
mouvement de la sphère sur une surface matérielle fixe de type conique, pour
cela on a utilisé le théorème du moment dynamique et les équations de Lagrange
de deuxième espèce ainsi qu’on a utilisé la méthode de la différence finie pour
tracer les forces de liaison
Chapitre IV : Simulation numérique du
mouvement du solide sur une surface
sphérique
I- Introduction :
L’étude de la simulation numérique par la MDF du mouvement d’une sphère,
pleine considérée homogène et indéformable, sur une surface matérielle fixe de
type sphérique, Les équations différentielles qui gouvernent le mouvement du
solide sphérique seront établies par l’application du théorème du moment
dynamique. La résolution de ces équations différentielles permet d’étudier
l’évolution des différents degrés de liberté ainsi que la force de liaison en
fonction du temps.
Ro
Figure 2
Avec :
Ωr α̇ (t)
() ( )
Ωθ
Ωφ {e⃗r ,⃗e θ ,⃗e φ }
≡ β̇ (t)
γ̇ (t) {e⃗r ,⃗e θ ,⃗e φ }
Le vecteur position ⃗
OG du centre de masse du solide ( S) s’écrit :
On sait que :
d⃗
OG d e⃗ r
V ( G/ Ro ) =
⃗
dt ] Ro
=( R−a )
dt ]
Ro
Or
d e⃗ r
dt ] Ro
Ω ( R sph / Ro ) ⋀ ⃗e r
=⃗
Avec :
φ̇ cosθ
Ω ( R sph / Ro ) =φ̇ k + θ̇ e⃗ φ ≡ − φ̇ sinθ
⃗ ⃗
θ̇ { } Rsph
Il vient :
d⃗
OG
V ( G/ Ro ) =
⃗
dt ] Ro
=( R−a ) [ θ̇ ⃗e θ+ φ̇ sinθ ⃗e φ ]
On ‘a :
Ω n ( S/ Ro ) =⃗
Ω ( S/ Ro ) . ⃗n=0 avec n⃗ =⃗e r
Donc :
[ Ωr . ⃗e r +Ωθ . ⃗eθ + Ωφ . ⃗eφ ] ⃗er =0
Finalement :
Ωr =0
d- Etude énergétique :
Energie cinétique de la sphère :
1
V 2 ( G /R o ) + Ec (S/ Rb )
Ec (S /R o)= m ⃗
2
1 ⃗
Ec (S /R b)= Ω ( S /R o ) ⟩ R . I ( S / RG ) . {⃗
Ω ( S/ Ro ) }R
2⟨ G G
Avec : I ( S /R G ) est la matrice d’inertie du solide dans RG (G, e⃗ r , ⃗eθ , ⃗e φ ) donnée par :
1 0 0
2 2
I ( S /R G )= ma 0 1 0
5
0 0 1 [ ] RG
D’où :
1 1
Ec ( S / Ro ) = m ( R−a )2 [θ̇ 2+ φ̇2 sin 2 θ ] + ma2 [ Ω 2r +Ω 2θ + Ω2φ ]
2 5
1 1
Ec ( S / Ro ) = ma 2 μ2 [ θ̇2+ φ̇2 sin 2 θ ] + ma 2 μ2 [ θ̇2u + φ̇2 sin 2 θ ]
2 5
Donc :
7
Ec ( S / Ro ) = m a2 μ2 [ θ̇2 + φ̇2 sin 2 θ ]
10
P( S/ R o)= { m ⃗g + ⃗
R ( I ); ⃗
IG ⋀ m ⃗g } {⃗ V ( I ∈ S /R o ) }
Ω ( S/ Ro ) ; ⃗
Soit :
P( S/ R o)= [ ⃗
IG ⋀ m ⃗g ] ⃗
Ω ( S /R o )=m ⃗g [ ⃗
Ω ( S / Ro ) ⋀ ⃗
IG ]=m ⃗g V
⃗ (G / Ro)
Alors :
P ( S / Ro ) =−mg ż G
−d E p (S /R o )
P ( S / Ro ) = −mg ż G
dt
Donc :
D’où :
7
Em ( S /R o )=E c ( S/ Ro ) + E p ( S /R o )= ma2 μ2 [ θ̇ 2+ φ̇2 sin 2 θ ] + mgμa cosθ +Cte
10
Comme le mouvement est conservatif alors cette énergie ne varie pas au cours
du mouvement.
C'est-à-dire :
7
m a2 μ 2 [ θ̇2 + φ̇ 2 sin 2 θ ] +mgμa cosθ=Eo
10
Avec :
7
Eo = m a2 μ2 [ θ̇2o + φ̇2o sin 2 θ o ] +mgμa cos θo
10
Avec :
d ⃗σ I (S /R o)
M d ( I g)=
⃗ g
dt ]Ro
V (I g / Ro ) ⋀ m V
+⃗ ⃗ (G/R o)
σ⃗ I ( S /R o)=⃗σ G (S /R o)+ m ⃗
g
V (G/ Ro ) ⋀ ⃗
GIg
Soit encore :
σ⃗ I ( S /R o)=⃗σ G (S /R b)+ m ⃗
g
V (G/ Ro ) ⋀ ⃗
GIg
Donc :
d ⃗σ (S / Rb )
M d ( I g)= G
⃗
dt ] Ro
+m ⃗γ (G/R o )⋀ ⃗
G I g +m ⃗
V (G/ Ro )⋀ [ ⃗
V (I g / Ro ) ⋀−⃗
V (G/ Ro ) ] + ⃗
V (I g / Ro ) ⋀ m V
⃗ (G/R o )
d ⃗σ (S / Rb )
M d ( I g)= G
⃗
dt ] Ro
+m ⃗γ (G/R o )⋀ ⃗
G Ig
Et le moment cinétique :
1 0 0 Ωr
2
5 [ ]{ }
σ⃗G (S / Rb )≡ m R2 0 1 0
0 0 1 RG
Ωθ
Ωφ RG
2
= m R 2 [ Ωr . e⃗ r + Ωθ . ⃗e θ+ Ωφ . ⃗e φ ]
5
Alors :
σ⃗G (S / Rb )=m R 2 [ Ωθ . ⃗eθ + Ωφ . ⃗e φ ]
Or on a :
d e⃗ θ
dt ] Ro
Ω ( Rsph / Ro ) ⋀ ⃗eθ =−θ̇ ⃗e r + φ̇ cosθ ⃗eφ
=⃗
d e⃗ φ
dt ] Ro
Ω ( R sph /R o ) ⋀ e⃗ φ =−φ̇ sinθ ⃗er −φ̇ cosθ ⃗eθ
=⃗
Donc :
d σ⃗ G (S/ Rb ) 2
dt ] Ro
= m a2 { Ω̇θ . e⃗ θ +Ωθ [−θ̇ ⃗e r + φ̇ cosθ ⃗eφ ] + Ω̇φ . e⃗ φ + Ωφ [ − φ̇ sinθcosθ ⃗eθ ] }
5
D’où :
d σ⃗ G (S/ Rb ) 2
dt ] Ro
= m a2 { μ [ φ̈ sinθ + φ̇ θ̇ cosθ ] . ⃗e θ+ μ φ̇ sinθ [−θ̇ ⃗er + φ̇ cosθ ⃗eφ ] + [ −μ θ̈ ] ⃗eφ + [ −μ θ̇ ] [ − φ̇ sinθ ⃗er −
5
Alors :
d σ⃗ G (S/ Rb ) 2
dt ] Ro
= m μ a 2 { [ φ̈ sinθ +2 φ̇ θ̇ cosθ ] . ⃗eθ + [ −θ̈+ φ̇2 sinθ cosθ ] e⃗ φ }
5
d⃗
OG
V ( G/ Ro ) =
⃗
dt ] Ro
=( R−a ) [ θ̇ ⃗e θ+ φ̇ sinθ ⃗e φ ]=μa [ θ̇ ⃗eθ + φ̇ sinθ ⃗eφ ]
γ⃗ ( G/R o )=μa { θ̈ ⃗eθ + θ̇ [−θ̇ e⃗ r + φ̇ cosθ ⃗e φ ]+ [ φ̈ sinθ+ φ̇ θ̇ cosθ ] e⃗ φ + φ̇ sinθ ⃗e φ [−φ̇ sinθ ⃗er −φ̇ cosθ ⃗eθ ] }
d’où :
γ⃗ ( G/R o )=μa { [ −θ̇2− φ̇2 sin 2 θ ] ⃗e r + [ θ̈− φ̇2 sinθ cosθ ] e⃗ θ + [ φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ ] e⃗ φ }
Soit :
0
m γ⃗ ( G/ Ro ) ⋀ ⃗
{
G I g ≡ μ a 2 φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ
−θ̈+ φ̇ 2 sinθ cosθ }{⃗e r , ⃗eθ , ⃗eφ }
M ext ( I g )=⃗
⃗ I g G ⋀ m ⃗g =−a ⃗er ⋀ mg [− ⃗k ]=mga ⃗er ⋀ [ cosθ ⃗er −sinθ e⃗ θ ]
Finalement :
M ext ( I g )=−mgasinθ . ⃗e φ
⃗
0 0 0
2
5
2
{
m μ a [ φ̈ sinθ +2 φ̇ θ̇ cosθ ]
[−θ̈+ φ̇2 sinθ cosθ ] }{ ⃗e , e⃗ , ⃗e }
r θ φ
{
+m μ a 2 φ̈ sinθ +2 φ̇ θ̇ cosθ
−θ̈+ φ̇ 2 sinθcosθ } { =
{⃗e r , ⃗eθ , ⃗eφ }
0
−mgasinθ }
{ ⃗er ,⃗e θ , e⃗φ }
Alors :
2
{ 2
5
5
m μ a2 [ φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ ] + m μ a2 [ φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ ] =0 ;
D’où :
7 14
{−7
5
5
φ̈ sinθ+ φ̇ θ̇ cosθ=0 ;
7
5
θ̈+ φ̇2 sinθ cosθ=
5
−g
μa
sinθ ;
Finalement :
φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ=0 ;
{θ̈− φ̇2 sinθ cosθ=
5g
7 μa
sinθ ;
Remarque :
Si on multiplie l’équation par sin2 θ on obtient :
d [ φ̇ sin2 θ ]
=0
dt
Donc :
φ̇ sin 2 θ=Cte=Co
avec :
C o=φ̇ o sin2 θ o
cosθ 5 g
θ̈−C2o = sinθ ; '
sin 3 θ 7 μa
Ou encore :
θ̈=F ( θ ) ; '
Avec :
cosθ 5 g
F ( θ ) =C2o + sinθ
sin3 θ 7 μa
La solution de l’équation différentielle non linéaire ❑' est obtenue par la MDF.
La solution numérique θ(t n ) permet de déterminer φ̇ ( t n ) en utilisant l’intégrale
première. De même, on déduit φ ( t n ) en utilisant l’approximation de type gauche.
e- Force de liaison :
On pose :
R ( I ) =Rr . ⃗er + Rθ . e⃗ θ + Rφ . e⃗ φ
⃗
m ⃗γ ( G/ Ro ) =m ⃗g + ⃗
R (I )
Donc :
R ( I )=m [ ⃗γ ( G/ Ro )−⃗g ]
⃗
Alors :
R ( I ) =m {[ μa (−θ̇2− φ̇2 sin 2 θ ) + g cosθ ] ⃗e r + [ μa ( θ̈− φ̇2 sinθ cosθ ) −g sinθ ] ⃗e θ+ μa [ φ̈ sinθ+2 φ̇ θ̇ cosθ ] ⃗e φ }
⃗
avec :
cosθ 5 g
θ̈−C2o = sinθ ; '
sin 3 θ 7 μa
a- Condition initiale :
V G ( t=0 s )=V o . ⃗j
⃗
Or :
V ( G/ Ro ) =( R−a ) [ θ̇ e⃗ θ + φ̇ sinθ e⃗ φ ]
⃗
Donc :
π
θ̇o =0 rad /s 1et ( R−a ) φ̇o=V o car θ o= rad
2
Alors :
Vo
C o=φ̇ o=
( R−a )
b- Discrétisation du temps :
Le temps est discrétisé selon la formule :
t n=( n−1 ) Δt ; n ∈ N ¿
À l’instant t 1 on a :
dθ θ2−θ 1
dt t ]
=0≈
1
Δt
Donc :
π
θ2 ≈ θ1= rad
2
De même :
dφ φ 2−φ1
dt t]= φ̇o ≈
1
Δt
D’où :
φ 2=φ̇o Δt + φ1=φ̇ o Δt car φ 1=0 rad
cos θ n 5g
θ̈n =C2o 3
+ sin θn ; n ≥3
sin θ n 7 μa
Donc :
Alors :
cos θ n 5g
θn +1=( Δt )2 C2o
[ sin θn3
+
7 μa ]
sin θn + 2θ n−θn−1
ou encore :
cos θn−1 5g
θn =( Δt )2 C2o
[ 3
sin θ n−1
+
7 μa ]
sin θn−1 +2θ n−1−θn−2 ; n ≥3
Co
φ̇ n≥ 3=
sin 2 θ n
Or :
φn −φn−1
φ̇ n≥ 3 ≈
Δt
Donc :
Co
φ n≥ 3 ≈ Δt + φn−1
sin2 θ n
c- Utilisation de l’algorithme :
π
θ1 = rad
{
2
φ1 =0 rad
π
θ2 = rad
2
Vo
φ 2= Δt
( R−a )
cos θ 5g
2
[
θn ≥3= ( Δt ) C 2o 3 n−1 +
sin θ n−1 7 μa
sinθ n−1 +2θ n−1−θn−2
]
Co
φn ≥3 ≈ Δt +φn−1
sin 2 θn
Résultats numériques :
On a :
Donc :
C 2o
[( ) ]
{
2
R r=m μa −θ̇ − + g cosθ
sin2 θ
C 2o cosθ
Rθ=m μa θ̈−
[( sin3 θ )
−g sinθ
2
]
1 d ( φ̇ sin θ)
Rφ =m μa [ sinθ dt
=0 ]
Alors :
¿
Avec :
θ ( t n )−θ ( t n−1 )
θ̇ ( t n ) ≈ ;n≥ 2
∆t
Et :
π
θo ( t 1 )= rad θ ; θ̇ ( t 1 ) =0 rad /s
2
θ̇ ( t 2) −θ̇ ( t 1)
θ̈ ( t 1 ) ≈
∆t
Résultats numériques :
Tableau des données :
R a m g ∆t ∆t θo φo θ̇o φ̇ o
en m en m en kg en m/ s2 en s en s en en en en rad/
rad rad rad/s
1 0.05 0.200 9.8 10 −4
10 5
π 0 0 Co
2
III- Conclusion :
Au cours de ce chapitre, nous avons montré à l’aide du théorème de moment
dynamique les équations différentielles qui caractérisant le mouvement d’une
sphère pleine sur une surface matérielle fixe de type sphérique, nous avons
étudié les équations différentielles par les équations de Lagrange et théorème du
moment dynamique ainsi que les réactions en fonction du temps.
Conclusion générale :
Dans ce projet de fin d’étude on s’intéressé d’une parte à l’étude théorique et
expérimentale du mouvement d’une sphère pleine homogène et indéformable
sur une surface matérielle fixe de type conique ou sphérique.
Dans la première partie, nous avons établi les équations du mouvement d’une
sphère sur une surface matérielle fixe, de type conique en appliquant le
théorème de moment dynamique. Dans la suite nous avons tracé les forces de
liaison en fonction du temps.