Sechage de La Spiruline Et Utilisation de Capteur Solaire
Sechage de La Spiruline Et Utilisation de Capteur Solaire
Sechage de La Spiruline Et Utilisation de Capteur Solaire
1 Les bactéries
Les bactéries sont des micro-organismes unicellulaires invisibles à l’œil nu qui décomposent les
déchets et les corps des organismes morts. Certaines provoquent de graves maladies. Dans des
conditions microbiologiques favorables, la détérioration démarre vite dans les produits frais et non
acides ou basiques, d’autant plus vite que beaucoup de cellules ont été dégradées avant le séchage.
Elles se multiplient par 10 000 en 7 heures à 35°C
Elles se développent mieux à un pH entre 4,5 et 8,5-9. La température idéale est entre 7 et 55°C .
Les températures limites de croissance sont -10 et 70C. Le chauffage prolongé les détruit sauf
pour les spores. La contamination provient de matériel mal lavé, de poussière, de personne… Le
temps écoulé entre la contamination d’un produit et son traitement joue un rôle très important.
Observez les règles d’ hygiène pratiquées dans l’agro-alimentaire. Lavez-vous soigneusement les mains à l’eau chaude et au
savon après avoir fait un travail sale et avant de toucher les aliments. Changez souvent les torchons et lavez régulièrement
vos vêtements. Posez le produit sur des surfaces lisses facilement lavables (par exemple acier inoxydable, carreaux, pierre).
Tenez propres les endroits de stockage en les lavant régulièrement avec une solution de carbonate de sodium (soude
ménagère). Lavez régulièrement les instruments utilisés. Couvrez bien les aliments. Ne gardez jamais de restes à la
température ambiante. Utilisez de l’eau propre. Au besoin, faites-la bouillir
2 Les enzymes
Les enzymes sont des protéines qui contribuent à des réactions biologiques, notamment la
conversion de certaines substances organiques en d’autres. Après la mort des cyanobactéries, les
enzymes qu’elles contiennent sont toujours vivants et ils se mettent à décomposer ses composants
en unités plus petites, ce qui altère l’odeur, le goût et la texture. Un traitement thermique
(p.ex. la pasteurisation) permet l’inactivation des enzymes.
Nous allons passer décrire les procédés de séchage facilement accessible dans le but :
- de comprendre les points importants à vérifier pour obtenir un séchage de qualité
- de savoir comment dimensionner un séchoir solaire en fonction de la taille de la culture
- de savoir quelles sont les possibilités d’amélioration du séchoir
Le séchage
Le séchage est sans doute la méthode la plus facilement accessible aux populations des zones
géographiques de croissance naturelle de la spiruline, surtout lorsque l’on utilise le soleil
comme source d’énergie.
Elle permet en outre :
- des économies importantes de logistique lors de la diffusion ou commercialisation de la
spiruline (volume à emballer et masse à transporter)
- l’amélioration de la qualité sanitaire des produits par une stérilisation partielle (destruction
des agents de dégradation)
Processus du séchage
L’ébullition d’un liquide se produit lorsque sa température est telle que la pression de
vapeur P de l’eau de ce liquide est égale à la pression totale ambiante P t : P=Pt
Plus faible sera la pression ambiante, plus basse sera la température de vaporisation de l’eau.
Normalement, il faut porter le produit à 100°C pour obtenir l’ébullition, sous un vide poussée
l’eau boue en dessous de 20°C. ( processus utilisé dans la lyophilisation)
Lorsqu’un corps humide est placé dans un courant d’air (ou dans un autre gaz) suffisamment
chaud et sec, il s’établit spontanément entre ce corps et l’air un écart de température et de pression
partielle d’eau tels que :
Un transfert de chaleur s’effectue de l’air vers le produit sous l’effet de l’écart de température.
* Un transfert d’eau s’effectue en sens inverse du fait de l’écart de concentration en eau dans l’air.
L’air sert donc à la fois de fluide chauffant et de gaz vecteur pour l’eau enlevée :
entrant sec et chaud dans le séchoir, il en ressort humide et moins chaud.
Dans le cas de la
spiruline, on
n’observe que 2
phases : le
chauffage du produit (et du séchoir) puis la phase à vitesse décroissante. L’eau est de plus en
plus difficilement éliminée du fait de ses liaisons avec les autres constituants cellulaires et du
fait que l’eau doit passer du centre du spaghetti vers sa surface (disparition de l’eau libre en
surface du produit, épaisseur du produit et diffusivité de l’eau dans le produit qui varie avec la
teneur en eau du produit, résistance mécanique des parois cellulaires intactes, croutage
=cristallisation de sucre ou sel à la surface)
Capacité de séchage
Influence de la température et de
la charge sur le séchage de la
spiruline (50°C et 60°C et 4kg/m²
ou 6kg/m²) Oliveira 2006
Une augmentation de la
température de 10°C entraine une
diminution de la durée de séchage
de 190mn à 150mn, soit 20%.
Un exemple d’échangeur utilisé dans les systèmes de refroidissement solaire est constitué de
papier de fibre de verre imprégné de gel de silice (silica gel).
Dans notre expérience, nous souhaitons utiliser un autre silicate naturel ; la zéolithe qui nous a
été aimablement fournie par la société Somex de Montpellier.
Des études sur la forme des surfaces absorbantes ont permis d’améliorer l’efficacité des
capteurs à air:
- l’augmentation des surfaces d’échange par des rebords, un double passage de l’air (au
dessous puis au dessus des absorbeurs)
On doit y trouver :
- la radiation solaire journalière, qui peut être utilisée par le capteur au cours d’une
journée. En zone tempérée, elle varie beaucoup entre les différents mois de l’année.
En zone équatoriale elle est plus constante.
- L’humidité relative moyenne de l’air, qui varie beaucoup entre l’été et l’hiver pour
certains climats (voir Anapolis-Brésil)
- La température de l’air ambiant : plus elle sera élevée, meilleur sera le rendement du
capteur pour une température de fonctionnement de 50 ou 60°C. On peut voir que la
température et l’humidité relative varient beaucoup au cours d’une même journée
(15/09/09 au Brésil)
- jan fév mars avr mai juin juil août sep oct nov déc année
Déclinaison (°) -21 -12 -2.4 9.6 18.8 23.4 21.2 13.2 1.8 -10 -19 -23 0.0
Insolation (h) 4.87 5.5 6.67 8.59 9.56 10.93 12.32 10.54 8.31 7.18 5.2 5.03 7.73
IGH (kWh/m²) 1.86 2.92 4.08 5.47 6.28 7.44 8.03 6.5 5.11 3.25 2.22 1.64 4.57
T air moy (°C) 9.4 10 11.7 13.3 17.2 20.6 23.9 23.9 21.1 17.2 12.8 10.6 16
T eau moy (°C) 12 12 13 14 16 18 19 19 18 16 14 13 15.3
Humidité rel (%) 75 75 73 73 74 73 70 70 70 75 76 76 73.3
Une journée ensoleillée de mai à Hyères apportant environ 6,33 kWh /m² de capteur, dont
70% sont apportés au moment où nous souhaitons sécher.
Nous ne pourrons en récupérer de 1,4 à 2 kWh/m² (0,7 x 0,4 x 6,33) suivant les paramètres de
fonctionnement du capteur.
Ces 7,3 kWh seront obtenus grâce à 4 à 6 m² de capteurs solaires pour sécher en 5 heures de
fort rayonnement solaire de la journée (de 10h à 15h).
Si l’on veut sécher sur un intervalle de temps plus court, il faudra obtenir les 7,3 kWh
nécessaires sur un temps plus court, donc augmenter la surface de capteurs.
Le débit d’air minimum traversant le séchoir devra être capable d’évacuer l’eau évaporée sans
atteindre la condensation.
Débit d’air :
Le débit d’air doit permettre l’évacuation de toute l’eau évaporée et il doit éviter que ne se
forment des zones de séchage préférentielles dans le séchoir.
Connaissant (ou mesurant) la teneur en eau de l’air à l’entrée du séchoir en g d’eau / kg d’air
sec (Xe) et la teneur en eau de l’air à la sortie du séchoir en g d’eau / kg d’air sec (Xs), le
rendement du séchage, la masse d’eau à sécher, le temps de séchage désirée, on peut calculer
le débit d’air minimum nécessaire à partir de la formule
Da = 1000 . Me / ( ts . masse volumique air sec . ( Xe – Xs) . rendement du séchage )
Comme tout traitement thermique, le séchage entraîne des modifications de la composition et des
qualités nutritionnelles de la spiruline, se traduisant par une dénaturation des protéines et des
vitamines, des réactions de brunissement et une in-solubilisation plus ou moins marquée des
protéines.
1. La dénaturation des protéines est un processus complexe qui induit des changements de forme
de ces molécules tridimensionnelles. Les déformations peuvent être réversibles ou irréversibles et
ses effets sont variés comme la perte d’activité biologique, augmentation du risque de dégradation
chimique (exposition des liaisons peptidiques moins stables), modifications de la solubilité
(exposition différente des sites hydrophiles ou hydrophobes), du pouvoir de rétention d’eau, de la
viscosité des solutions.
2. La dégradation des protéines n’affecte pas seulement la forme mais la composition des
protéines. Elle aboutit par conséquent à la formation d’autres produits, parfois indésirables.
Les plus connues sont se réalisent suite au chauffage:
-la formation de nouveaux protéines dont certaines anormales : isopeptides (chauffage liant la
lysine à d’autres acides-aminés), de lysinoalanine (chauffage en milieu basique) qui sont moins
digestibles
-les réactions de Maillard : entre un sucre réducteur et un groupement aminé. Cette réaction et la
responsable principale de la production des odeurs, des aromes et des pigments caractéristiques
des aliments cuits. Elle peut aussi donner naissance à des composés cancérigènes ou réduire la
valeur nutritionnelle des aliments en dégradant les acides aminés essentiels.
Beaucoup d’études ont été menées dans le cas du lait. La sensibilité thermique de chaque
constituant protéique a été précisée (Larson et Rolleri, 1955). L’importance de nombreux facteurs
physiques et chimiques (pH,concentration, adition de sels ionisés, de cystéines,…) sur la stabilité
thermiques des protéines solubles a été déterminée (Nielsen et al, 1973 ; Townend et Gyuriseck
1974)
La dénaturation des protéines solubles de lait se produit essentiellement entre 65°C et 80°C
(Larson et Rolleri, 1955).
- la mesure de l’indice solubilité dans l’eau des protéines (rapport des protéines solubles par
rapport aux protéines totales) mesuré par la méthode de Morr (Elisangela Oliveira, 2005)
La majorité des protéines sont solubles dans l’eau dans la spiruline fraiche.
La solubilité tend à augmenter par chauffage jusqu’à 40°C -50°C puis au dessus de ces
températures, la solubilité diminue au fur et à mesure de la dénaturation des protéines
(Sgarbieri, 1996).
La Spiruline fraiche a une solubilité protéique de 25% alors que la solubilité varie de 26% à
37% après passage dans un séchoir à lit fluidisé à 70°C . (Elisangela Oliveira, 2006). Dans
cette étude, une mesure de la digestibilité in vitro de la spiruline a aussi été faite. La spiruline
fraiche ayant un digestibilité in vitro de 47%, alors que les spirulines séchées ont une
digestibilité moitié moindre (de 19 à 21%).
- la mesure des protéines totales et des sucres totaux (H. Desmorieux, 2004)
L’extraction des protéines est faite sur de la spiruline lavée et cassée par ultrason. Le contenu
est déterminé par l’utilisation de l’acide bicinchoninique (BCA). Les quantités sont mesurées
par comparaison avec la BSA (serum-albumine bovine) qui sert de standard au
spectrophotomètre à 562nm,
A l’étuve, la concentration en protéine en fonction de la température de séchage
température Masse fraiche 40°C 60°C 70°C
% de protéine 100% (témoin) 90% 88% 84%
séchage en étuve
% de protéine
séchage par 100% 75% 80%
convection
Les résultats obtenus montrent des pertes de 10% à 20%, avec une faible corrélation entre le
taux de perte et la température (il augmente pour le séchage à l’étuve mais il baisse pour le
séchage par convection) et une corrélation plus importante avec le système de séchage (étuve,
convection, radiation infra-rouge, spray dryer, lyophilisation)
La variabilité est importante entre les expériences de séchage pour le même protocole de
séchage (variations de ± 10%).
- la mesure des sucres totaux (H. Desmorieux, 2004) . La méthode de Herbert où l’acide
sulfurique concentré et le phénol sont mélangés au produit avant la mesure de l’absorbance à
480nm, et la comparaison à l’absorbance d’une solution de glucose de 0 à 100g/l.
Les pertes en sucres sont de 30% et varient peu avec la température.
- le test modifié de fixation du rouge de crésol (test de cuisson du soja, Zelter, 1971)
Le rouge de crésol a été utilisé comme test empirique pour évaluer la sur-cuisson des
tourteaux de soja et éviter la baisse de digestibilité de leur protéine pour l’alimentation
animale. Dans cette étude, la solubilité des protéines dans l’eau avait aussi été utilisée et son
altération était faible jusqu’à un seuil de 100°C à partir duquel elle baissait fortement.
La solubilité dans l’acide variait de manière plus régulière, de même que le test au rouge de
crésol.
- le contenu en phycocyanine en frais et après le séchage. Les méthodes industrielles de
séchage (spray dryer et convectifs) entrainent une perte de 50% (SARRADA et Al, 1999)
On met 40mg de spiruline sèche dans 10ml de tampon phosphate à 100mM. On agite jusqu’à
dissolution complète, puis on laisse la solution à 4°C pendant une nuit. On centrifuge à 3500
rpm pendant 5mn après agitation, avant la lecture de l’absorbance à 615 nm, en utilisant le
tampon phosphate comme base.
Méthode de séchage Solubilité protéique à l’eau Teneur en phycocyanine
frais 25,2 +- 3,7 65,1 +-0,1
Séchoir convectif à 60°C, 4kg/m² 37,8 +- 2,5 54,5 +-0,1
Séchoir lit fluidisé 70°C 35,1 +-4,5 60,7 +-0,1
Protéines solubles
180
y = 0,0057x 2 + 0,6012x + 9,7962
160 R2 = 0,9973
140
120
100
80
60
y = 0,6699x + 5,6064
40
R2 = 0,9973
20 Protéines totales
0
0 50 100 150
Temps d'incubation à 60°C
Pour obtenir des humidités relatives constantes dans une étuve, on utilise des solutions
salines saturées de KOH, (MgCl2, 6H2O), K2CO3, NaNO3, KCl et (BaCl2, 2h2O) qui
permettent d’obtenir des humidités relatives de 0,05 à 0,9.
Les études de Oliveira ont permis de vérifier la correspondance entre la courbe de
désorption de la spiruline et le modèle mathématique GAB de Van den Berg (1984), entre
10% et 90% d’humidité relative
• air de départ 15 °C et 60 % HR ;
• chauffage à 160 °C (à humidité constante – ligne verticale). Le diagramme de Mollier
permet de suivre les transformations et les besoins en énergie de façon typique ;
• dans le séchoir, l’air perd de la chaleur sensible et se charge d’humidité et l’état de
l’air se déplace sur une ligne isenthalpique ;
• l’air sort du séchoir ; il a une certaine température, par exemple 30 °C et il ne peut pas
être complètement saturé en humidité ;
• le séchoir est suffisamment grand (long) pour que les produits soient en équilibre avec
l’air final.
Dans ce cas, l’enthalpie théorique nécessaire est de 3100 kJ/kg eau (741 kcal/kg). Il y a donc
environ 40% de perte. Sur la figure 32, on a tracé les enthalpies minimales en fonction de la
température de l’air initial (son humidité ici est fixée à 60 %) et de la température de l’air
chaud fourni au séchoir. On voit, bien sûr que, l’été les consommations du séchoir sont plus
faibles et qu'elles sont plus importantes l’hiver. A la valeur précédente de 3100 kJ/kg eau, il
faut ajouter les pertes dues au chauffage des produits, les pertes à travers les parois du séchoir,
et l’énergie utilisée pour ventiler la charge, une forte ventilation améliore le rendement
thermodynamique mais augmente les puissances électriques des ventilateurs et leur
consommation. Par ailleurs, les séchoirs ne fonctionnent généralement pas de façon continue
mais ils ont un rythme journalier et hebdomadaire qui suit généralement le façonnage qui
souvent ne travaille pas de nuit ni le week end, ce qui limite les rendements thermiques. Pour
des séchoirs bien réglés, il faut donc compter une consommation variant de 3 500 à 4 000
kJ/kg d’eau évacuée. Une étude récente donne une valeur moyenne de 4 300 kJ/kg d’eau pour
l'industrie allemande. Les pertes représente 90% de l’énergie théorique de séchage ; le
rendement est de 53%.
L’eau sort généralement des séchoirs sous forme vapeur et donc toute la chaleur de
condensation est perdue. Il semblerait intéressant d’essayer de la récupérer. En pratique, il est
difficile de récupérer facilement de la chaleur à basse température et cette dernière n’est pas
récupérée sur les séchoirs conventionnels de la terre cuite. Jusqu'à présent, on a calculé les
énergies en fonction de la masse d'eau évaporée. On peut les rapporter à la masse d'argile
sèche. L'énergie de séchage dépend de l'humidité initiale de l'argile. Pour le séchage d’une
tonne de produits (en sec), dont l’humidité initiale était de 25 %, il faut 25 % de l’énergie
précédente soit environ 875 à 1 000 kJ/kg produit sec pour le même séchoir bien réglé. Les
consommations électriques des ventilateurs sont, elles, de l’ordre de 6 à 13 kWh/t produit sec
(22 à 47 kJ/kg produit sec). L’apport calorifique nécessaire au séchoir est d’abord fourni par
la récupération d’air chaud sur les fours (air préchauffé dans le four dans la zone de
refroidissement des produits). Le complément est fourni par des foyers directs à brûleurs (au
gaz, au fuel, au bois,..), des générateurs d’air chaud, des échangeurs ou des chaudières. Quand
on parlera du bilan thermique de la cuisson, on verra comment les besoins du séchage peuvent
en bonne partie être couverts par l’énergie de récupération disponible du four.
UTILISATION DE LA ZEOLITHE COMME AUXILIAIRE DE SECHAGE
PROTOCOLE D’ETUDES
Températures
- de l’air extérieur à l’entrée et à la sortie du séchoir
- du produit mis à sécher.
Humidités relatives
- de l’air extérieur à l’entrée et à la sortie du séchoir
Débit de l’air
Poids de la spiruline à sécher
Radiation solaire
Odeurs de 10 grammes de spiruline maintenue une semaine dans une boite en fer
hermétique.
Pour chaque cycle de séchage, mesure à l’étuve du pourcentage d’humidité résiduelle
de la spiruline. Pour se faire, nous prenons 10 grammes de spiruline placée dans
l’étuve à 150°C. Des que le poids sera stabilisé, nous serons de façon précise le
pourcentage d’humidité avant étuvage. L’objectif étant d’obtenir un résultat
inférieur à 7%.
SECHAGE Date
MESURE % HR
Poids 10g mis à étuver 24h
Mesure HR 10g boite
hermétique.
Graphique des différentes variables mesurées en fonction du temps au cours d’un cycle de
séchage
Nous pourrons comparer :
- 3 cycles de séchage avec une charge de 200 grammes de spiruline d’un bassin donné.
- 3 cycles de séchage avec des charges différentes. (100/200/300 grammes)
- 2 cycles de séchage avec débits d’air différents pour 200 grammes de spiruline.
- 3 cycles de séchage avec déshumidificateur.