Rapport Amine STG (LAMTI)
Rapport Amine STG (LAMTI)
Rapport Amine STG (LAMTI)
Remerciement 02
Résumé 03
INTRODUCTION 04
a. but de stage de fin de la première année 04
b. Le rôle du technicien 04
c. CNER / laboratoire en bref 05
ESSAIS DE LABORATOIRE 06
Ш- Essais spéciaux 24
Ш-1- Essai au bleu de méthylène (V.B.S) 26
Ш-2- Equivalent de sable 29
Ш-3- Teneur en Carbonate 32
Remercîment
Les sols et les roches dans la nature sont rencontrés soit comme support de
constructions soit comme matériaux de constructions (remblais, granulats,..) soit
comme milieu naturel soumis à des risques et/ou des pollutions.
Face à ces problèmes, le géotechnicien doit donc estimer l’état de comportement
mécanique du milieu naturel afin de définir les conditions de constructions et
d’exploitation de ses fondations.
Les sols sont des matériaux déformables formés de particules individualisées, qui
peuvent être liées ou non.
Afin d’en connaître les caractéristiques physico-chimiques ainsi son comportement
face a des contraintes, des essais géotechniques doivent être réalisés :
En laboratoire : pour identifier le matériau du point de vue physico-chimique puis
déterminer ses caractéristiques mécaniques et son comportement lorsqu’il sera dans
les conditions réelles imposées par l’ouvrage ;
In-situ pour étudier et identifier le comportement et la réaction du matériau dans
son état naturel.
Le Rôle du Technicien :
Le technicien est chargé de réaliser les essais qui lui sont demandés par le Responsable
du laboratoire d’essais. IL doit ensuite remplir une feuille d’essai qui constituera le
dossier remis au responsable. Le technicien peut aussi s’occuper des prélèvements ou
des contrôles (compactage ou béton).
Dans le premier cas il devra s’assurer de bonne réception des échantillons, dans le
second il sera chargé des mesures et de la rédaction du procès verbal.
ORGANIGRAMME :
Direction des Routes et de La circulation Routière
Service Conseiller
Administratif Chef du CNER En Gestion
Et Financier
Laboratoire D’Essais :
Le développement des études de recherche est tributaire d’un laboratoire d’essais qui
constitue un complément logique et indispensable pour que le CNER accomplisse les
missions qui lui sont assignées notamment en matière d’étude de matériaux et de la
maîtrise des essais routière.
des sols et matériaux (Analyse granulométrique, Limite d’Atterberg,
Equivalent de sable, PROCTOR, CBR VB…….) ;
des liants hydrocarbonés (TBA, Pénétrabilité, ductilité, vieillissement….) ;
I-1 Echantillonnage :
7 Etuvage
Essais
mécaniques
schéma de préparation de
l’échantillon avant essais
I-2- Lavage :
Les échantillons doivent être lavés avant de subir les différents essais
d’identification. Il faut noter l’importance de cette phase de lavage cruciale lors
de la préparation du sol aux essais. En effet, un échantillon mal lavé nous
induira en erreur lors de l’interprétation des analyses.
Sédimentométri Limites
Essai Granulométrie V.B.S.
e d’Atterberg
Ouverture Passant Passants
Refus 80m Passants 80m
tamis s 5mm 400µm
Les essais d’identification des sols sont les premiers essais à réaliser sur le sol. Ils
vont permettre de déterminer les caractéristiques élémentaires de ce dernier et établir
ainsi ses paramètres physiques.
Ces essais sont réalisés au laboratoire des essais d’identification, on entend par
essais d’identification les testes suivants :
teneur en eau ;
granulométrie par tamisage ;
détermination des limites d’atterberg ;
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Va
Vv
Vw Pw
Vt Pt
Vs
Ps
Notations:
11
La teneur en eau pondérale d’un sol (w) est le quotient de la masse de l’eau
interstitielle (mw) par la masse des grains solides (md).
w = m w / md
La teneur en eau naturelle d’un sol est déterminée lorsque les conditions de
prélèvement, de transport et de conservation de l’échantillon n’ont entraîné
aucune modification de sa teneur en eau.
La perte d’eau d’un échantillon de sol est déterminée par étuvage. On pèse
l’échantillon avant et après l’avoir étuvé et l’on calcule la différence des masses
humide et sèche afin d’obtenir la masse d’eau libérée. L’étuvage est réalisé dans
une étuve à 105°C pendant 4 heures (au minimum) dans le cas d’un sol
insensible à la chaleur, ou dans une étuve à 50°C pendant 8 heures (au
minimum) dans le cas d’un sol sensible à la chaleur (sol gypsifère, sol
contenant des matières organiques etc.).
m 200 D
Où:
m: masse de l’échantillon (grammes) ;
D: dimension maximale des plus gros éléments appréciée
visuellement (millimètres).
12
m 10 D2
Où:
m: masse de l’échantillon (grammes) ;
D2: dimension (millimètres) des mailles du tamis à travers lequel est
passé le matériau D2 0.4 mm.
Figure 18:
échantillon
après
dessiccation.
13
dessic
CNER/laboratoire Institut Spécialisé des Travaux Publics / OUJDA
a. Principe de l’essai:
L’essai consiste à séparer les grains agglomérés d’une masse connue du matériau
par brassage sous l’eau (lavage). Une fois séché ce sol est fractionné à l’aide d’une
série de tamis. Le refus cumulé sur chaque tamis est ensuite pesé. Cette masse de
refus cumulée sur chacun des tamis est enfin rapportée à la masse totale sèche de
l’échantillon soumis à l’analyse.
L’échantillon doit avoir été préparé selon les prescriptions des paragraphes
« Prélèvements et échantillonnage » et « Lavage ».
b. Détermination de la granularité
Tamisage à sec:
La totalité du matériau sec est versé au sommet d’une colonne d’au moins trois
tamis de mailles décroissantes du haut vers le bas. Le dernier tamis a des mailles
égales à celles sur lesquelles s’est fait le fractionnement ; sous ce dernier tamis on
dispose d’un fond de tamis pour recueillir les passants éventuels.
On agite manuellement la colonne de tamis, on termine le tamisage en remuant
le matériau à la main afin de s’assurer que plus aucun élément ne passe à travers les
mailles de chaque tamis.
Les refus sur chaque tamis sont pesés successivement puis cumulés.
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Le rapport entre la masse R des refus cumulés de matériau sec sur le tamis
d’ouverture d à la masse initiale d’échantillon de sol sec (notée ms) fournit le
pourcentage de refus:
(100 – p) = 100 R / ms
Où:
p est le pourcentage massique de tamisa ;
r est la masse cumulée des refus.
p = (r * 100) / ms
p = 100 (1 – R / ms)
d. Courbe granulométrique:
Coefficient d’uniformité:
Cu = d60 / d10
Coefficient de courbure
d30 ²
d 30²
Cc = = Cu
= d10 *d60 d60
16
17
Compte tenu de leur structure, les argiles ont la propriété d’absorber des
quantités d’eau très importantes ou, au contraire de se dessécher, ceci en fonction des
conditions d’humidité auxquelles elles sont soumises. Par exemple, les kaolinites
n’absorbent qu’une quantité d’eau modérée car celles-ci ont uniquement la possibilité
de se fixer entre les grains d’argile. Par contre elles peuvent se loger entre les feuillets
élémentaires des montmorillonites. Ceux-ci s’écartent alors les uns des autres et l’on
assiste au phénomène de gonflement. Inversement, s’il y a dessiccation, les feuillets
se rapprochent et le phénomène de retrait s’installe.
Quelle que soit la nature de l’argile, celle-ci malaxée avec des quantités d’eau de
plus en plus importantes finit par se transformer en boue: elle a un comportement
liquide.
Au contraire, si l’argile est suffisamment desséchée, les grains sont très resserrés,
les liaisons deviennent intenses: elle a un comportement solide.
Entre ces deux états extrêmes, l’argile est malléable: elle a un comportement
plastique.
b. Principe de l’essai:
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Teneur en eau
0 wP wL w
IP
Principe :
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Préparation de l’échantillon
Après échantillonnage du sol et homogénéisation par brassage, une masse de matériau (m)
est mise à imbiber dans un récipient d’eau à la température ambiante, pendant au moins
24 h ;
Cette masse (m), exprimée en grammes, doit être supérieure à 200 fois la dimension des
plus grands éléments de sol exprimée en millimètres ;
Une fois imbibé, le matériau est tamisé par voie humide au tamis de 400 m. l’eau de lavage
et tamisa sont recueillis dans un bac ;
Après une durée de décantation d’au moins 12h, l’eau claire du bac est siphonnée, sans entraîner
de particules solides. L’eau excédentaire est évaporée à une température ne dépasse pas 50°C.
d. Limite de liquidité :
L’essai consiste à mesurer l’enfoncement d’un cône sous l’effet de son propre poids (80 g),
après un temps fixé, dans le sol.
Dispositif de
mesure du
déplacement.
Figure :
pénétromètre à cône
Cône de
pénétration.
Dispositif de
blocage de la tige.
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Socle.
Mode opératoire :
W= [(mh – ms) /ms]100
Figure 24:
contact
cône-pâte
avant
pénétration
Figure 25:
enfoncement
du cône dans
la pâte.
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L’opération complète est effectuée au mois 4 fois sur la même pâte mais avec une
teneur en eau différente pour chaque essai.
La limite de liquidité correspond conventionnellement un enfoncement de 17mm du
cône, l’enfoncement doit être dans l’intervalle [12mm ; 25mm].
L’écart entre deux valeurs consécutives de l’enfoncement doit être compris entre
2mm et 5mm inclus.
e. Limite de plasticité :
On prélève une portion d’échantillon afin de former une boule. Celle-ci est
roulée à la main sur la plaque de marbre dans le but d’obtenir un rouleau qui est
aminci progressivement jusqu’à ce qu’il atteigne 3 mm de diamètre. Au moment où il
atteint 3 mm de diamètre, le rouleau doit mesurer environ 10 cm de long. La limite de
plasticité est atteinte lorsque simultanément le rouleau se fissure et que son diamètre
est de 3 mm 0.5 mm.
Une fois les fissures apparues, le centre du rouleau est prélevé et placé dans une
boîte afin de mesurer sa teneur en eau.
L’essai doit être répété au moins deux fois, et WP est la moyenne arithmétique des valeurs
obtenues pour les deux essais.
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I P = W L - WP
IC = [WL – W] / IP
AC = IP / W d
Quelques exemples :
Nature d’argile WL WP Ip
limon 24 17 7
Argile limoneux peu plastique 40 24 16
Argile très plastique 130 45 85
Ic Etat de sol
>1 Etat solide
0< Ic < 1 Etat plastique
Ic < 0 Etat liquide
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Les essais spéciaux sont réalises au laboratoire des essais spéciaux. On entend par
essais spéciaux les testes suivants :
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a. Principe de l’essai :
Si le Dmax du matériau est inférieur ou égal à 50 mm, une masse m est prélevée à
sa teneur en eau telle que m soit supérieur à 200 Dmax.
Si le Dmax du matériau est supérieur à 50 mm, on prélève 10 kg de sa fraction
0/50 mm.
Si le Dmax de l’échantillon prélevé est supérieur ou égal à 5 mm, on sépare par
tamisage et si nécessaire par lavage la fraction 0/5 mm contenue dans cet échantillon
puis on détermine la proportion pondérale C de la fraction sèche 0/5 mm contenue
dans le matériau. Cette fraction peut être lue sur la courbe granulométrique du
matériau si elle est connue ou déterminée sur un autre échantillon représentatif du
matériau.
On quarte et on homogénéise la fraction 0/5 mm ainsi séparée (ou la totalité de
l’échantillon dans le cas de Dmax < 5mm), de façon à préparer trois prises d’essais de
masses:
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On introduit la première prise d’essai dans un bécher de 3000 mL. On ajoute 500
mL d’eau distillée. Cette solution est homogénéisée par agitation mécanique pendant
5 minutes à 700 tours par minute.
La tâche ainsi formée se compose d’un dépôt central de matériau coloré bleu
sombre entouré d’une zone humide incolore.
26
27
B = V * 0.01
La Valeur au Bleu de méthylène du Sol (V.B.S.) (en grammes de bleu pour 100
g de sol sec) vaut donc:
Où:
m0: masse sèche de la prise d’essai:
m0 = m1 / (1 + w)
Avec
m1: masse humide de la prise d’essai
w: teneur en eau
Pour les matériaux dont le Dmax est supérieur à 5 mm, la VBS vaut :
Où:
m0: masse sèche de la prise d’essai:
m0= m1 / (1 + w)
C: proportion de la fraction 0/50 du sol sec.
Ordres de grandeur:
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a. Principe de l’essai:
Essai:
L’échantillon pour laboratoire doit être préparé selon les prescriptions des
paragraphes « Prélèvements et échantillonnage » et « Lavage ».L’échantillon doit
avoir une masse telle que la fraction passant au tamis de 5 mm pèse entre 500 et 700g.
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La prise d’essai humide est introduite dans l’éprouvette posée verticalement grâce à
un entonnoir. Il faut veiller à éliminer les bulles d’air éventuelles en frappant
l’éprouvette sur la paume de la main et ainsi favoriser le mouillage de l’échantillon.
Le tout est laissé au repos pendant 10 minutes. L’éprouvette est ensuite bouchée à
l’aide d’un bouchon de caoutchouc puis elle est fixée sur la machine d’agitation.
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Une fois ce temps de latence écoulé, on mesure à l’aide d’un réglet, la hauteur h 1
du niveau supérieur du floculat par rapport au fond de l’éprouvette, ainsi que la
hauteur h2 du niveau supérieur de la partie Sédimentée par rapport au fond de
l’éprouvette. On mesure également la hauteur h3 du sédiment.
De même, l’Equivalent de sable visuel, dans les mêmes conditions est donné par
la formule:
Ces résultats étant obtenus pour deux essais, la propreté du sable est égale à la
moyenne des deux valeurs.
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a. Bute de L’Essais :
b. Principe et Conditions :
%CaCO3
procuré <4 4à9 10à19 20à39 40à79 >80
c. Expression du Résultats :
1.2 .Vb .p
Teneur en CaCO3 =
M( ө+273)
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a. But de l’essai :
L’essai micro deval permet de mesurer la résistance à l’usure des roches et des granulats
d’origine naturel ou artificiel, utilisés dans le domaine du BTP, cette résistance à l’usure
pour certaines roches n’est pas la même à sec ou en présence d’eau.
b. Appareillage spécifique :
Cylindre
Deux arbres
horizontaux
Compte tours
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Balance ;
colonne de tamis de 1,6 ; 8 ; 10 ; 12,5 ; et 16 mm ;
Eprouvette graduée pour mesurer la quantité d’eau ;
Etuve a température de 105°c.
e. Exécution de l’essai :
Introduire dans chaque cylindre d’essai une éprouvette (500 g), puis ajouter une charge de
5000g de billes d’acier et une quantité de 2,5L d’eau.
Apres fixation du couvercle, on place chaque cylindre en rotation à une vitesse de
100tr/min pendant 2h ou 12000 rotations.
Apres l’essai recueillir le granulat dans un bac en ayant soin d’éviter les pertes d’éléments.
Laver soigneusement l’intérieur du cylindre en recueillant le tout dans un bac.
Tamiser l’ensemble d’eau propre sur le tamis de 1,6mm protégé par le tamis de 8mm.
Séparer soigneusement le matériau existant sur le tamis de 8mm des billes d’acier, il est
possible de les retirer à l’aide d’un aimant.
Mettre le refus à 8mm dans plateau et ajouter celui de 1,6mm sur le même plateau.
Sécher tout le refus à l’étuve à 105°c jusqu’à masse constante.
Peser ce refus aux grammes, soit (m) le résultat de la pesée.
500 – m
MDH = ×100
500
Avec :
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a. But de l’essai :
L’essai à pour but de mesurer la quantité d’éléments inférieures à 1,6 mm produite par
fragmentation, en soumettant le matériau à des chocs de boulets à l’intérieure d’un cylindre
en rotation afin de mesurer la résistance à la fragmentation de la matrice de la roche.
b. Appareillage spécifique :
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e. Exécution de l’essai :
25 – 50 12 5280 - 150
12
a) But de l’essai :
b) Principe :
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masse volumique sèche du matériau et on trace la courbe des variations de cette masse
volumique en fonction de la teneur en eau. Cette courbe est appelée courbe proctor
présente une valeur maximale de la masse volumique du matériau sec qui est obtenue pour
une valeur particulière de la teneur en eau se sont ces deux valeurs qui sont appelées
caractéristiques optimales de compactage proctor normal ou modifié suivant l’essai réalisé.
c) Mode opératoire :
W=Sr%×(1/γd-1/γs)×γw
d’où :
-W : la teneur en eau exprimée en pourcentage. -Sr : degré de saturation exprimée en
pourcentage. -γs :la masse volumique des particules solides du sol en T/m3 . -γd :la masse
volumique du sol sec en T/m3 . -γw : la masse volumique de l’eau T/m3 égale
conventionnellemen
a) But :
L’essai consiste à déterminer L’indice Portant immédiat (IPI), L’indice CBR immédiat et
L’indice CBR après immersion. D’un sol ou d’un matériau granulaire utilisé dans la
construction des ouvrages en terre ou des assises de chaussées.
Mesurer les forces à appliquer sur un poinçon cylindrique pour le faire pénetrer à une
vitesse constante dans une éprouvette de matériau. Les valeurs des forces ayant provoqué
deux enfoncements conventionnels sont respectivement rapportés aux valeurs des forces
observées sur un matériau de référence pour les mêmes enfoncements. L’indice recherché
est défini conventionnellement comme étant la plus grande valeur, exprimé en pourcentage,
des deux rapports ainsi calculés. Les indices IPI, CBR dépendent de la nature du sol
(granularité, plasticité...), de sa teneur en eau, de sa masse volumique séche et de son degré
de saturation. L’indication de toute valeur d’un indice IPI ou CBR d’un matériau n’a donc
40
de sens que si elle est assortie des caractéristiques d’état du sol prises en considération dans
la confection de l’éprouvette c’est à dire :
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1- Pénétrabilité
L’essai consiste à mesurer l’enfoncement en dixièmes de millimètres d’une aiguille
normalisée chargée en 100g dans un godet de bitume placé dans thermostaté
pendant une durée de 5 secondes.
La valeur de la pénétrabilité est d’autant plus importante que le bitume est mou.
Les bitumes sont classés via des fourchettes d’enfoncement. Pour un bitume 10/20,
l’enfoncement doit être compris entre 1 et 2mm.
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2- La TBA
C’est la température à laquelle s’enfonce une bille d’acier à travers bitume
remplissant le cercle intérieur d’un anneau de laiton placé dans un bain thermostaté.
Les conditions d’élévation de la température sont normalisées, évoluant de 5°C à la
TBA, dont la valeur est attachée aux comportements liés à des températures de
services élevées, notamment les déformations permanentes.
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CONCLUSION
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