Chapitre 3 BD PDF
Chapitre 3 BD PDF
Chapitre 3 BD PDF
CHAPITRE 3
LE MODELE RELATIONNEL
1. MODELE DE DONNEES
Le schéma ou modèle de données, est la description de l'organisation des données. Il
renseigne sur les données et les relations entre les différentes données qui se trouvent dans la
base de données.
Une base de données hiérarchique est une collection d’enregistrements reliés eux par des
pointeurs.
Une base de données en réseau est une collection d’enregistrements reliés entre eux par des
pointeurs.
Une base de données relationnelle est un ensemble d’enregistrements reliés par des valeurs
Indépendance logique/physique
Standard
2. LE MODELE RELATIONNEL
CONCEPTS DE BASE
Attribut : C’est un identificateur (un nom) décrivant une information stockée dans une base.
Domaine : Le domaine d'un attribut est l'ensemble, fini ou infini, de ses valeurs possibles.
Clé candidate : Une clé candidate d'une relation est un ensemble minimal des attributs de la
relation dont les valeurs identifient à coup sûr une occurrence.
Clé primaire : La clé primaire d'une relation est une de ses clés candidates.
Clé étrangère : La clé étrangère d'une relation est formée d'un ou plusieurs de ses attributs
qui constituent une clé dans une autre relation.
Toute entité du modèle E/A devient une relation dont la clef est l'identifiant de cette entité.
Chaque propriété de l'entité devient un attribut de la relation correspondante, et l’identifiant
devient une clé primaire.
Entité Relation
PropriétéAttribut
IdentifiantClé primaire
La clé primaire de la table issue de l’entité côté cardinalités (0,N) ou (1,N) est dupliquée dans
la table issue de l’entité côté cardinalités (1,1) où elle devient clé étrangère.
Exemple :
E1(P1,P2,P3,….#P’1)
E2(P’1,P’2,P’3,…..)
La clé primaire de la table issue de l’entité côté cardinalités (0,1) est dupliquée dans la table
issue de l’entité côté cardinalités (1,1) où elle devient clé étrangère.
Une association ayant des cardinalités (0,N) ou (1,N) de part et d'autre devient une relation
dont la clef est constituée des identifiants des entités reliées par cette association. Ces
identifiants seront donc également des clefs étrangères respectives. On parle de relations
associatives.
Exemple :
E1(P1,P2,P3.)
E2(P’1,P’2,P’3)
ASSOCIATION(#P1, #P’1,PA)
Cette solution permet l'intégration des sous-types dans la relation sur-type (les sous-types
disparaissent). Avec un tel principe les propriétés spécifiques à chacun des sous-types ne
seront pas valorisées pour certaines occurrences de la relation sur-type.
Cette solution permet l’intégration des propriétés figurant dans le sur-type dans tous les sous-
types (le sur-type disparaît). Cette solution entraîne une redondance importante des données
du sur-type.
Dans cette solution on conserve de l’entité sur-type et des entités sous-types. Dans chacune
des relations sous-types, l’identifiant de l’entité sur-type est intégré. Il est à la fois clé
primaire de la relation et clé étrangère par rapport à l’entité sur-type.
E1 (P1, P2)
Exemple 1
PIECE (référence,libellé)
COMPOSITION(#référence_composé,#référence_composant,nombre)
Exercice d’application :
Solution
Client(No_ClientNom,Prenom,Adresse,Code_Postal,Localité)
Facture(No_Facture,Dtae, #No_Client)
Article(No_Article,Libelle,Prix_Unitaire)
Porter(#No_Facture, #No_Article,Quantite)