Exemple de Dissertation

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Exemple de dissertation

Exemple pris de : https://www.etudes-litteraires.com

Question qui inspire la dissertation :


Les textes littéraires et les formes d’argumentation souvent complexes qu’ils proposent vous
paraissent-ils être un moyen efficace de convaincre et persuader ?

Problématique de la dissertation fournie pour la réalisation de
l‘exercice :
Les textes littéraires s‘avèrent des manifestations directes de l‘argumentation. La littérature
est donc un mécanisme qui permet de convaincre et de persuader. Dans cet exercice de
rapprochement littéraire qui s‘ouvre à tout le monde sans restriction, la fin ultime de la
littérature est plutôt de rendre l‘art un mécanisme de certitude totale.

Commençons la réflexion :
À partir de la problématique, il convient de souligner les mots importants. Ici « textes
littéraires », « formes d’argumentation », « complexes », « de convaincre et persuader ». À
partir de ces mots importants, nous recherchons des synonymes ou des antonymes, plus
généralement des mots de ces champs sémantiques. Ainsi « textes littéraires » peut évoquer
pamphlet, apologie, satire, apologue, libelle, diatribe, critique, thèse, réquisitoire, défense,
genre littéraire… « Formes d’argumentation » appelle controverse, raisonnement,
démonstration, explication, discussions, déduction, méthode, causalité, synthèse, syllogisme,
spéculation, analogie, comparaison… « Complexes » peut suggérer intellectuel, culturel, subtil,
alambiqué, code, ensemble, figures de style, richesse du vocabulaire, registres, symbole…
« Moyen efficace » évoque l’existence d’autres moyens d’expression : images, discours oral,
quotidien, revue, radio, bandes dessinées, peinture, sculpture, cinéma… « Convaincre » nous
renvoie au champ lexical du rationnel, de la démonstration, de la construction intellectuelle. Il
existe alors une certaine distance, un certain recul entre l’auteur et le sujet dont il débat.
« Persuader », quant à lui, fait référence à l’émotion, à l’affectivité, à la modalisation, et même
à la manipulation comme à la propagande.

Voici la manière d‘aborder la problématique :
Les textes littéraires s‘avèrent des manifestations directes de l‘argumentation. La littérature
est donc un mécanisme qui permet de convaincre et de persuader. Dans cet exercice de
rapprochement littéraire qui s‘ouvre à tout le monde sans restriction, la fin ultime de la
littérature est plutôt de rendre l‘art un mécanisme de certitude totale.


L’organisation des idées :
À partir de ce moment, je vais chercher à organiser ma production par des regroupements en
parties. L’idéal en ce domaine est de pouvoir en définir trois, garantie d’un plan équilibré, en
particulier ce rythme ternaire autorise le dépassement de la contradiction, tout l’art de la
démonstration. Je me sers de la fiche « les plans », et je n’oublie pas qu’il s’agit d’un canevas
que j’aurai à habiller, à personnaliser, pour répondre au sujet précis. À l’intérieur de chaque
partie, je vais organiser mon argumentation par une progression du moins important au plus
important, sachant que les arguments les plus efficaces seront mieux retenus s’ils sont placés à
la fin. Chaque idée et les exemples qui l’illustrent constitueront un paragraphe. Les idées sont
reliées entre elles par des connecteurs de présentation : d’une part, d’autre part ; d’abord,
ensuite, enfin ; des connecteurs d’addition : de plus, en outre ; des connecteurs d’opposition
ou de nuance : cependant, toutefois… Je n’oublie pas que chaque partie est reliée à la suivante
par une transition, c’est-à-dire un résumé de la partie terminée et une annonce de la partie
suivante. C’est alors que je m’occupe de la conclusion et de l’introduction, pour être bien sûr
que ces deux parties essentielles soient en harmonie avec ma démonstration. L’introduction et
la conclusion sont rédigées entièrement au brouillon, alors que les parties n’ont fait l’objet que
d’un plan détaillé. L’introduction est rédigée selon trois parties : l’exposition, l’énoncé du sujet
ou la problématique, l’annonce du plan. La conclusion est rédigée en deux parties : la
conclusion proprement dite ou résumé de l’argumentation, l’élargissement. Au final, je
n’oublie pas de me relire pour éliminer les scories : les fautes d’orthographe, les répétitions ou
les mots passe-partout.

Introduction :
Exposition : Les écrivains sont d’abord des hommes qui appartiennent à leur époque, et
même, compte-tenu d’une sensibilité plus vive, qui participent plus étroitement aux affaires
marquantes de leur temps. Aussi n’est-il pas étonnant de voir ces témoins mettre leur art au
service d’une cause politique ou de courants de pensée. C’est ce que nous appelons la «
littérature engagée ».
Énoncé du sujet : Il est légitime de se demander si ce type de littérature est efficace, en
particulier si les textes qu’elle produit, malgré la complexité de leurs formes d’argumentation,
sont un bon moyen de convaincre et de persuader.
Annonce du plan : Il est vrai qu’habituellement un bon écrivain arrive à nous faire adhérer aux
idées qu’il défend. Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être un frein et
c’est souvent en dehors de la stricte argumentation que les hommes de lettres nous aident le
mieux à rejoindre leurs causes.

Développement :

Paragraphe POUR : Partons du fait que "Convaincre" s’emploie pour exprimer le fait que
l’auteur cherche à amener un lecteur à reconnaître qu’une proposition, qu’un point de vue est
véridique, irréfutable. En ce sens la conviction repose essentiellement sur l’exercice de la
raison qui avance des preuves. D‘ailleurs, "Persuader" s’utilise davantage pour dire que
l’auteur cherche à faire partager au lecteur son point de vue en jouant sur les émotions, sur la
subjectivité, sans forcément utiliser de preuves systématiques. Dans le corpus proposé, les
textes de La Bruyère et de L’Encyclopédie sont davantage des textes de conviction alors que
Voltaire et Giraudoux cherchent d’abord à persuader. La volonté de convaincre, donc de
construire un raisonnement, utilise la logique comme arme privilégiée. La Bruyère, comme
l’auteur de l’article Paix, énonce des faits que nul ne peut réfuter. La logique se voit également
dans l’opposition entre l’état de paix et la guerre. L’Encyclopédie utilise un autre procédé :
l’analogie qui consiste à comparer deux faits, deux situations pour en déduire une valeur
explicative, ici la guerre assimilée à la maladie et la paix à la bonne santé. De fait on peut
remarquer que l’auteur énonce une thèse subjective sous une forme apparemment
scientifique. Nous sommes proches de la persuasion et même de la manipulation du lecteur.
Or, si l’auteur veut davantage toucher le lecteur dans son âme, faire plus appel à ses
sentiments qu’à sa raison, il peut employer un ton plus lyrique. La Bruyère utilise la
dramatisation pour nous persuader avec les exclamations du début, l’accumulation des
qualités qui nous fait regretter un peu plus la disparition du jeune Soyecour, pour finir sur un
mode mineur et revenir à l’aridité de la logique : « malheur déplorable, mais ordinaire ! ». De
même, le texte théâtral, parce qu’il s’adresse très directement à des spectateurs présents dans
une salle, joue peut-être davantage sur la persuasion. En effet, le théâtre est un lieu où se
trouvent réunis des personnes qui éprouvent collectivement des émotions semblables. Un
autre procédé efficace pour convaincre ou persuader peut être relevé dans le corpus : il s’agit
de l’ironie. Lorsque Voltaire veut dénoncer la guerre, il construit une fiction dont le but est de
ridiculiser tout belligérant quelles que soient ses justifications. Dans Candide, il dénonce la
guerre entre les Abares et les Bulgares, en montrant une réalité horrible, mais surtout
absurde. Ainsi l’ironie est une composante essentielle de la stratégie argumentative.

Paragraphe CONTRE : Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être un frein.
Être efficace signifie que le lecteur (ou le spectateur) modifie son point de vue sur une
question précise ou commence à réfléchir sur un phénomène auquel il ne pensait pas
auparavant. De ce point de vue, il convient de relever que la littérature est plutôt élitiste : elle
s’adresse (et particulièrement au XVIIIe siècle) à un public cultivé. Écrire suppose un lectorat.
Un petit nombre seulement de personnes cultivées ont lu, en leur temps, les philosophes des
Lumières. On peut penser que le texte théâtral touche un nombre plus important de
personnes. Mais, là encore, seule une fraction bien précise de la société se rend plus ou moins
régulièrement dans une salle de théâtre. Les spectateurs de La Guerre de Troie n’aura pas lieu
ne sont pas légion. Enfin les procédés stylistiques de l’argumentation nécessitent une certaine
culture, une connaissance de la langue, de l’histoire, des idéologies. Que penser du lecteur qui
prendrait au pied de la lettre la fin du texte de Voltaire ? À quelles extrémités serait porté celui
qui lirait l’argumentaire de Montesquieu sur l’esclavage sans en saisir l’ironie ? L’article «
Guerre » nous paraît plus efficace que l’article « Paix ». Dans le second, l’auteur expose de
manière aride les avantages de l’état de paix alors que, dans le premier, Voltaire nous captive
par le charme d’une fable qui se termine d’ailleurs par un apologue. De la même manière, son
Candide, roman sentimental et roman d’aventure, nous touche plus que ses articles du
Dictionnaire philosophique. C’est si vrai que Voltaire, désireux de toucher un large public a
choisi la forme du conte philosophique pour diffuser ses idées subversives. De même Les
Misérables de Victor Hugo ont beaucoup plus contribué à faire avancer le socialisme militant
que les œuvres théoriques des penseurs sociaux. Et si les œuvres écrites ne connaissent pas
toujours une large diffusion dans le public, leur capacité à convaincre et à émouvoir
lorsqu’elles empruntent les canaux de la fiction, en font une source appréciée pour les
adaptations au cinéma ou à la télévision, ce qui leur donne la notoriété. Enfin certains
courants littéraires ont affirmé avec force que la vocation de la littérature n’était pas d’abord
de prouver, d’être utile ou morale. Pour des écrivains comme Baudelaire, Mallarmé, Gautier,
le Parnasse, le plus souvent des poètes il est vrai, la littérature n’a pas à rechercher l’utilité et
l’efficacité mais plutôt la beauté et le plaisir. Pour eux, d’une certaine manière, persuader ou
convaincre, c’est avilir l’art.

Conclusion :

Synthèse : Comme nous l’avons vu, les écrivains, souvent persuadés qu’ils avaient un rôle de
guide à assumer à l’égard de leurs contemporains, se sont naturellement servis de toutes les
ressources de leur art pour faire avancer leurs idées au risque de rebuter leurs lecteurs par la
complexité des formes d’argumentation employées. En fait les textes majeurs que nous
continuons de lire aujourd’hui sont ceux qui échappent aux règles strictes du genre
argumentatif par leur fantaisie, leur originalité, leur capacité à nous émouvoir, par les récits
auxquels ils nous convient. Dans la mesure, où le texte littéraire ne recherche pas seulement
une efficacité immédiate dans une démonstration rationnelle, mais qu’il est capable de nourrir
aussi le plaisir du lecteur, il peut devenir intemporel et continuer de nous intéresser.
Élargissement : Pourtant on peut regretter qu’aujourd’hui, la littérature, prisonnière de sa
complexité, ne soit plus le vecteur privilégié pour défendre une cause auprès du grand public.
Cinéma, chanson, bandes dessinées, d’un abord plus facile, ont désormais pris la relève.

ATTENTION : En reprenant toute les parties de la dissertation, vous devriez écrire une, telle
qu‘elle suit :



























Espace pour l‘information de l‘étudiant

Les textes littéraires s‘avèrent des manifestations directes de l‘argumentation. La littérature
est donc un mécanisme qui permet de convaincre et de persuader. Dans cet exercice de
rapprochement littéraire qui s‘ouvre à tout le monde sans restriction, la fin ultime de la
littérature est plutôt de rendre l‘art un mécanisme de certitude totale.


Les écrivains sont d’abord des hommes qui appartiennent à leur époque, et même, compte-
tenu d’une sensibilité plus vive, qui participent plus étroitement aux affaires marquantes de
leur temps. Aussi n’est-il pas étonnant de voir ces témoins mettre leur art au service d’une
cause politique ou de courants de pensée. C’est ce que nous appelons la « littérature engagée
». Il est légitime de se demander si ce type de littérature est efficace, en particulier si les textes
qu’elle produit, malgré la complexité de leurs formes d’argumentation, sont un bon moyen de
convaincre et de persuader. Il est vrai qu’habituellement un bon écrivain arrive à nous faire
adhérer aux idées qu’il défend. Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être
un frein et c’est souvent en dehors de la stricte argumentation que les hommes de lettres nous
aident le mieux à rejoindre leurs causes.

Partons du fait que "Convaincre" s’emploie pour exprimer le fait que l’auteur cherche à
amener un lecteur à reconnaître qu’une proposition, qu’un point de vue est véridique,
irréfutable. En ce sens la conviction repose essentiellement sur l’exercice de la raison qui
avance des preuves. D‘ailleurs, "Persuader" s’utilise davantage pour dire que l’auteur cherche
à faire partager au lecteur son point de vue en jouant sur les émotions, sur la subjectivité, sans
forcément utiliser de preuves systématiques. Dans le corpus proposé, les textes de La Bruyère
et de L’Encyclopédie sont davantage des textes de conviction alors que Voltaire et Giraudoux
cherchent d’abord à persuader. La volonté de convaincre, donc de construire un
raisonnement, utilise la logique comme arme privilégiée. La Bruyère, comme l’auteur de
l’article Paix, énonce des faits que nul ne peut réfuter. La logique se voit également dans
l’opposition entre l’état de paix et la guerre. L’Encyclopédie utilise un autre procédé :
l’analogie qui consiste à comparer deux faits, deux situations pour en déduire une valeur
explicative, ici la guerre assimilée à la maladie et la paix à la bonne santé. De fait on peut
remarquer que l’auteur énonce une thèse subjective sous une forme apparemment
scientifique. Nous sommes proches de la persuasion et même de la manipulation du lecteur.
Or, si l’auteur veut davantage toucher le lecteur dans son âme, faire plus appel à ses
sentiments qu’à sa raison, il peut employer un ton plus lyrique. La Bruyère utilise la
dramatisation pour nous persuader avec les exclamations du début, l’accumulation des
qualités qui nous fait regretter un peu plus la disparition du jeune Soyecour, pour finir sur un
mode mineur et revenir à l’aridité de la logique : « malheur déplorable, mais ordinaire ! ». De
même, le texte théâtral, parce qu’il s’adresse très directement à des spectateurs présents dans
une salle, joue peut-être davantage sur la persuasion. En effet, le théâtre est un lieu où se
trouvent réunis des personnes qui éprouvent collectivement des émotions semblables. Un
autre procédé efficace pour convaincre ou persuader peut être relevé dans le corpus : il s’agit
de l’ironie. Lorsque Voltaire veut dénoncer la guerre, il construit une fiction dont le but est de
ridiculiser tout belligérant quelles que soient ses justifications. Dans Candide, il dénonce la
guerre entre les Abares et les Bulgares, en montrant une réalité horrible, mais surtout
absurde. Ainsi l’ironie est une composante essentielle de la stratégie argumentative.

Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être un frein. Être efficace signifie
que le lecteur (ou le spectateur) modifie son point de vue sur une question précise ou
commence à réfléchir sur un phénomène auquel il ne pensait pas auparavant. De ce point de
vue, il convient de relever que la littérature est plutôt élitiste : elle s’adresse (et
particulièrement au XVIIIe siècle) à un public cultivé. Écrire suppose un lectorat. Un petit
nombre seulement de personnes cultivées ont lu, en leur temps, les philosophes des Lumières.
On peut penser que le texte théâtral touche un nombre plus important de personnes. Mais, là
encore, seule une fraction bien précise de la société se rend plus ou moins régulièrement dans
une salle de théâtre. Les spectateurs de La Guerre de Troie n’aura pas lieu ne sont pas légion.
Enfin les procédés stylistiques de l’argumentation nécessitent une certaine culture, une
connaissance de la langue, de l’histoire, des idéologies. Que penser du lecteur qui prendrait au
pied de la lettre la fin du texte de Voltaire ? À quelles extrémités serait porté celui qui lirait
l’argumentaire de Montesquieu sur l’esclavage sans en saisir l’ironie ? L’article « Guerre » nous
paraît plus efficace que l’article « Paix ». Dans le second, l’auteur expose de manière aride les
avantages de l’état de paix alors que, dans le premier, Voltaire nous captive par le charme
d’une fable qui se termine d’ailleurs par un apologue. De la même manière, son Candide,
roman sentimental et roman d’aventure, nous touche plus que ses articles du Dictionnaire
philosophique. C’est si vrai que Voltaire, désireux de toucher un large public a choisi la forme
du conte philosophique pour diffuser ses idées subversives. De même Les Misérables de Victor
Hugo ont beaucoup plus contribué à faire avancer le socialisme militant que les œuvres
théoriques des penseurs sociaux. Et si les œuvres écrites ne connaissent pas toujours une large
diffusion dans le public, leur capacité à convaincre et à émouvoir lorsqu’elles empruntent les
canaux de la fiction, en font une source appréciée pour les adaptations au cinéma ou à la
télévision, ce qui leur donne la notoriété. Enfin certains courants littéraires ont affirmé avec
force que la vocation de la littérature n’était pas d’abord de prouver, d’être utile ou morale.
Pour des écrivains comme Baudelaire, Mallarmé, Gautier, le Parnasse, le plus souvent des
poètes il est vrai, la littérature n’a pas à rechercher l’utilité et l’efficacité mais plutôt la beauté
et le plaisir. Pour eux, d’une certaine manière, persuader ou convaincre, c’est avilir l’art.

Comme nous l’avons vu, les écrivains, souvent persuadés qu’ils avaient un rôle de guide à
assumer à l’égard de leurs contemporains, se sont naturellement servis de toutes les
ressources de leur art pour faire avancer leurs idées au risque de rebuter leurs lecteurs par la
complexité des formes d’argumentation employées. En fait les textes majeurs que nous
continuons de lire aujourd’hui sont ceux qui échappent aux règles strictes du genre
argumentatif par leur fantaisie, leur originalité, leur capacité à nous émouvoir, par les récits
auxquels ils nous convient. Dans la mesure, où le texte littéraire ne recherche pas seulement
une efficacité immédiate dans une démonstration rationnelle, mais qu’il est capable de nourrir
aussi le plaisir du lecteur, il peut devenir intemporel et continuer de nous intéresser. Pourtant
on peut regretter qu’aujourd’hui, la littérature, prisonnière de sa complexité, ne soit plus le
vecteur privilégié pour défendre une cause auprès du grand public. Cinéma, chanson, bandes
dessinées, d’un abord plus facile, ont désormais pris la relève.

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