Maths

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 28

Sujet 1

Partie A :

1. Résoudre l’équation différentielle (𝐸) : 𝑦 + 2𝑦 + 𝑦 = 0


2. Déterminer la solution particulière 𝑓 de (𝐸) dont la courbe représentative passe par le point
de coordonnées (0; −3) et admet en ce point une tangente de pente 6.

Partie B :

On considère la fonction numérique 𝑓 définie par :

𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 − 2 ln 𝑥 ; 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]0; 1[ 


𝑓(𝑥) = (3𝑥 − 3)𝑒 ; 𝑠𝑖 𝑥 ∈ [1; +∞[

(𝐶) est la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé (0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗).

Unité graphique : 2 cm.

1. Quel est l’ensemble de définition (𝐸𝑓) de 𝑓 ?


2. Etudier :
a) La continuité de 𝑓 en 𝑥 0 = 1.
b) La dérivabilité de 𝑓 en 𝑥 0 = 1.
3. Etudier les variations de 𝑓 sur (𝐸𝑓)
4. Tracer la courbe (𝐶) et ses tangentes en 𝑥 0 = 1 dans le repère(0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗).
5. Calculer l’Aire A(𝜆) de la portion du plan limitée par la courbe(𝐶), l’axe des abscisses et les
droites d’équations 𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝜆, 𝜆 > 1.
6. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à l’intervalle 𝐼 = [2; +∞[
a) Montrer que 𝑔 réalise une bijection de 𝐼 vers un intervalle à préciser.
b) Dresser le tableau de variation de 𝑔 ; bijection réciproque de 𝑔.

Sujet 2 :

Exercice 1 :

Le plan affine est rapporté au repère orthonormé(0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗), on considère l’application 𝑓 de 𝑃 dans 𝑃
qui à tout point 𝑀(𝑥; 𝑦), fait correspondre le point 𝑀′(𝑥′; 𝑦′), tel que :

2𝑥 = 3𝑥 + 𝑦 − 1 
2𝑦 = 𝑥 + 3𝑦 − 1

1. 𝑓 est-elle une isométrie ?


2. Donner l’ensemble (𝛥) des points invariants par 𝑓.
3. Démontrer que le vecteur 𝑀𝑀′⃗ a une direction fixe 𝑢⃗ que l’on déterminera.
4. Déterminer en fonction de 𝑥 et 𝑦 les coordonnées du point 𝐻, projeté de 𝑀 sur (𝛥) suivant
la direction 𝑢⃗.
5. Trouver une relation entre les vecteurs 𝐻𝑀′⃗ et 𝐻𝑀⃗. En déduire la nature et les éléments
caractéristiques de 𝑓.
Exercice 2 :

Le plan est rapporté au repère orthonormé direct(0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗).

On considère l’application 𝑓 qui à tout point 𝑀(𝑥; 𝑦), associe le point 𝑀′(𝑥′; 𝑦′), tel que :

3 4 13
𝑥 = − 𝑥+ 𝑦+
5 5 5  
4 3 6
𝑦 = 𝑥+ 𝑦+
5 5 5

1.
a) Exprimer 𝑧′ = 𝑥 + 𝑖𝑦′ en fonction de 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 ou de 𝑧.
b) L’application 𝑓 est-elle un déplacement ou un antidéplacement ? Pourquoi ?
c) Quel est l’ensemble des points invariants par 𝑓 ? Conclure.
2.
a) Démontrer que 𝑓𝑜𝑓 est une translation. On désigne par 2𝑣⃗ le vecteur de la
translation.
b) Déterminer la droite (𝐷) telle que 𝑓 = 𝑆𝑜𝑡 = 𝑡𝑜𝑆 ; 𝑡 étant la translation de vecteur
𝑣⃗ et 𝑆 la symétrie orthogonale d’axe (𝐷).
c) Vérifier que 𝑣⃗ est un vecteur directeur de (𝐷).

Sujet 3 :

Exercice 1 :

1. Résoudre dans 𝐶 le système d’équation aux inconnues 𝑧 et 𝑤.

2𝑧 + 3𝑖𝑤 = −4 + 5𝑖  
1 − 𝑖)𝑧̅ + 3𝑤 = 3𝑖

Où 𝑧̅ et 𝑤 sont des conjugués respectifs de 𝑧 et de 𝑤.

2. Résoudre dans 𝐶 l’équation 𝑖𝑧 + 3(1 − 𝑖)𝑧 − 3 − 2𝑖 = 0

Exercice 2 :

Dans l’espace vectoriel 𝐸 de base 𝚤,⃗ 𝚥,⃗ 𝑘⃗ , on considère l’endomorphisme f qui à tout vecteur
𝑈⃗ (𝑥, 𝑦, 𝑧) associe le vecteur 𝑈′⃗ (𝑥′, 𝑦′, 𝑧′) tel que :

𝑥 = −2𝑥 + 4𝑦 + 2𝑧
𝑦 = −4𝑥 + 8𝑦 + 4𝑧 
𝑧 = 5𝑥 − 10𝑦 − 5𝑧

1. Déterminer ma matrice 𝑀 de f dans la base 𝚤,⃗ 𝚥,⃗ 𝑘⃗ .


2. Déterminer le noyau de f, puis en donner une base ( 𝑒 ⃗, 𝑒 ⃗).
3. Déterminer l’image de f, puis en donner une base ( 𝑒 ⃗).
4. Déterminer l’ensemble des vecteurs invariants par f, puis en donner une base ( 𝑒 ⃗).
5. Montrer que( 𝑒 ⃗, 𝑒 ⃗ , 𝑒 ⃗ ) est une base de 𝐸, puis écrire la matrice 𝑀′ de f dans la base
( 𝑒 ⃗, 𝑒 ⃗ , 𝑒 ⃗ )
Problème

Partie A

On considère la fonction numérique 𝑈 définie par : 𝑈( ) = √𝑥 + 1 − 𝑥 et (𝐶) sa courbe


représentative dan le plan muni d’un repère orthonormé (0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗), unité graphique 1 cm.

1. a. Déterminer la limite de 𝑈 en −∞
b. Montrer que pour tout réel 𝑥, on a 𝑈( ) = . En déduire la limite de 𝑈 en +∞

2. a. Montrer que 𝑈( ) + 2 𝑥 tend vers 0 quand 𝑥 tend vers −∞
b. Montrer que pour réel 𝑥, on a 𝑈( ) > 0 et étudie le signe de 𝑈( ) + 2 𝑥.
c. Interpréter graphiquement les résultats ci-dessous.
( )
3. a. Montrer que la dérivée de la fonction 𝑈 est définie sur 𝑅 par 𝑈′( ) = .

b. Etudier les variations de la fonction 𝑈.
c. Tracer (𝐶) ainsi que les asymptotes.

Partie B

On considère f définie sur 𝑅 par ∫ − 𝑑𝑡, et (𝛤) sa courbe représentative.


1. Montrer que pour tout réel 𝑥, on a f(𝑥) = ln 𝑈( ) (on utilisera la question 3.a de la partie A)
2. Déterminer les limites de f en −∞ , puis+∞.
3. Calculer la dérivée f′(𝑥) de f, puis dresser le tableau de variations de f .
4. a. Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝛤) au point d’abscisse 0.
b. on considère la fonction 𝜑 défini sur 𝑅 par :
𝜑 (𝑥) = f(𝑥) + 𝑥.

Montrer que 𝜑 est croissante sur 𝑅 et que 𝜑 (0) = 0.

c. En déduire la position de (𝑇) par rapport à (𝛤).

5. Tracer (𝛤) et (𝑇) sur un autre repère que (𝐶)

Sujet 4

Exercice 1 :

On considère le système d’équation (𝑆) défini par :

𝑥 ≡ 2 [36] 
(𝑆) ∶
𝑋 ≡ 3 [25]

1. Montrer que le système (𝑆) est équivalent à l’équation (𝐸) ∶ 36𝑎 − 25𝑏 = 1 où 𝑎 et 𝑏
désigne es entiers relatifs.
2. Vérifier le couple (−9, −13) est une solution de (𝐸).
3. Montrer que l’équation (𝐸) est équivalente à l’équation (𝐸′) ∶ 36𝑎 ≡ 1 [25] .
4. Donner l’inverse modulo 25 de 36.
5. En déduire les solutions de (𝐸′).
6. a. Déterminer les solutions de l’équation (𝐸)
b. En déduire les solutions du système (𝑆) telles que 0 < 𝑥 < 50

Exercice 2 :

Dans le plan orienté (𝑃), on considère un carré 𝐴𝐵𝐶𝐷 de centre 𝑂 tel que 𝐴𝐵,⃗ 𝐴𝐷⃗ = [2𝜋].
𝐸, 𝐹, 𝐺 𝑒𝑡 𝐻 désignent les milieux respectifs des segments [𝐴𝐵], [𝐵𝐶], [𝐶𝐷], [𝐷𝐴].

(𝐶 ) est le cercle circonscrit au triangle 𝐴𝐵𝐶 et 𝐼 le symétrique de 𝑂 par rapport à 𝐺.

1. Faire une figure que l’on complètera. On prendra 𝐴𝐵 = 4𝑐𝑚 et on placera (𝐴𝐵)
horizontalement.
2. Soit (𝛤) l’hyperbole de rectangle fondamental le carré 𝐴𝐵𝐶𝐷 et d’axe non focal la droite
(𝐸𝐺)
a) Préciser le foyer 𝐽 de (𝛤) situé sur la demi-droite [𝑂𝐹].
b) Préciser la directrice (𝐷) de (𝛤) associée au foyer 𝐽.
c) Construire le point 𝐾 et (𝛤) situé sur le segment [𝐽𝐵].
d) Déterminer la demi-droite asymptote de (𝛤) située dans la portion du plan délimitée
par les demi-droites [𝑂𝐹] et [𝑂𝐺].
e) Construire la branche (𝛤 ) et (𝛤) située dans la portion du plan délimitée par les
demi-droites [𝑂𝐹] et [𝑂𝐺].
3. Soit 𝑆 la similitude plane indirecte d’axe la droite (𝐴𝐶) de rapport 2, qui transforme le point
𝐹 en le point 𝐼.
Démontrer que son centre est 𝑂.
4. Soit (𝛤′) l’image de (𝛤) par 𝑆
a) Montrer que (𝛤′) est une hyperbole équilatérale.
b) Trouver l’excentricité de (𝛤 ).
c) Construire le cercle principal (𝐶 ) de (𝛤 ).
d) Démontrer que (𝛤) et (𝛤′) ont les mêmes asymptotes.
e) Déterminer l’axe focal de (𝛤′).
f) Construire l’image 𝐽 du foyer 𝐽 de (𝛤)
g) Construire l’image (𝐶 ′) du cercle (𝐶 ) par 𝑆.
h) Construire l’image (𝛤 ′) de (𝛤 ) par 𝑆.

Exercice 3 :

PARTIE A : Soit 𝑔 la fonction numérique définie sur ]0; +∞[ par de g(𝑥) = 𝑥𝑒 − 1.

1. Calculer la dérivée 𝑔′ de 𝑔.
2. Dresser le tableau de variation de 𝑔.
On admet que lim → g(𝑥) = + ∞
3. a. Montrer que l’équation g(𝑥) = 0 admet une solution unique ∝ appartenant à l’intervalle
] ; 1[.
b. En déduire le signe de g(𝑥) sur ]0; +∞[

PARTIE B : soit la 𝑓 la fonction définie sur ]0; +∞[ par f(𝑥) = 𝑒 − lnx
On désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé (0, 𝚤,⃗ 𝚥⃗)

4. Calculer les limites de 𝑓 en 0 et en +∞ .


( )
5. Montrer que la dérivée 𝑓′ de 𝑓 est f′(𝑥) = .
6. a. Dresser le tableau de variation de 𝑓.
On admet que la courbe (𝐶)une branche parabolique de direction (𝑂𝑌).
b. Montrer que 𝑓 admet un minimum f(∝) = ∝ + ∝
.
7. Tracer la courbe (𝐶). On prendra : ∝ = 0,6 et f(∝) = 2,3.

Exercice 4 :

Soit la série statistique à deux caractère (𝑋, 𝑌) donnée par le tableau à double entrée ci-dessous.

Y
X -1 2 3

2 2 0 3

3 1 3 4

1. Déterminer les séries marginales de 𝑋 et 𝑌.


2. Déterminer les coordonnées 𝑋 et 𝑌 du point moyen 𝐺du nuage statistique.
3. On admet que la variance de 𝑋 est et celle de 𝑌 est 2,59.
a) Montrer que la covariance de 𝑋 et 𝑌 est égale à .
b) Montrer que la droite de régression linéaire de 𝑌 en 𝑋 est : 𝑌 = 𝑋−

Sujet 5

Exercice 1 :

Soit (𝐸) l’espace affine associé à l’espace vectoriel (𝐸⃗ ), rapporté à un repère orthonormé 0, 𝚤,⃗ 𝚥,⃗ 𝑘⃗ ;
unité de longueur 2𝑐𝑚 .

1. Placer les points 𝑀 (1, 1, 1), 𝑀 (2, 3, 1) et 𝑀 (2, 0, 1) dans le repère orthonormé
0, 𝚤,⃗ 𝚥,⃗ 𝑘⃗ .
2. Démontrer que (𝑂, 𝑂𝑀⃗, 𝑂𝑀 ⃗, 𝑂𝑀⃗) est un repère de (𝐸).
3. On pose 𝑈⃗ = 𝑂𝑀⃗ , 𝑉⃗ = 𝑂𝑀⃗ , 𝑊⃗ = 𝑂𝑀⃗ . soit l’endomorphisme de (𝐸⃗ ) défini par :

f 𝑈⃗ = 𝑂⃗, f 𝑉⃗ = 𝑂⃗, f 𝑊⃗ = 𝑊⃗.

a) Déterminer une équation cartésienne du plan vectoriel engendré par les vecteurs
𝑈⃗ 𝑒𝑡 𝑉⃗
b) Déterminer un système paramétrique de la droite vectorielle engendrée par le vecteur
𝑊⃗
4. a) Démontrer que f est un projecteur.

b) Déterminer sa base et sa direction.

Exercice 2 :

On considère la série (𝑥, 𝑦) déterminée par le tableau ci-dessous :

x -3 -1 0 1 2 3 4 5 6

y 0 1 2 -3 -2 3 1 2 -4

1. représenter le nuage de points associé à cette série.


2. Déterminer le point moyen de ce nuage.
3. Calculer les variances en x, V(x), et en y, V(y).
4. Calculer les écart-types en x, 𝜎(x) et en y, 𝜎(y).
5. Calculer la covariance Cov(x, y) de cette série.
6. Déterminer la droite de régression de y en x.
7. Déterminer la valeur de x lorsque y = 1,3.
8. Calculer son coefficient de corrélation linéaire.

Sujet 6 :

Exercice 1 :

On considère la suit réelle (𝑈 ) définie par : 𝑈 = 𝑈 − 3 et 𝑈 = −4

Soit (𝑉 ) ≫ une suite définie par 𝑉 = 𝑈 + 𝑎 où a est un paramètre réel.

1. Déterminer le réel 𝑎 pour que (𝑉 ) soit une suite géométrique dont on déterminera la
raison et son premier terme.
2. Exprimer 𝑉 en fonction de 𝑛, puis 𝑈 en fonction de 𝑛.
3. En déduire la limite de la suite 𝑈 . La suite 𝑈 est-elle convergente ?
4. a) Déterminer 𝑆 = 𝑉 + 𝑉 + 𝑉 + … + 𝑉 en fonction de 𝑛.
b) En déduire 𝑆 ′ = 𝑈 + 𝑈 + 𝑈 + … + 𝑈 en fonction de 𝑛.

Exercice 2 :

On définit eux suites (𝑈 ) ≫ et (𝑉 ) ≫ par 𝑈 = 1 et 𝑉 = 12 et pour tout 𝑛 ≫ 1 :

1
𝑈 = (𝑈 + 2𝑉 )
3  
1
𝑉 = (𝑈 + 3𝑉 )
4

1. soit (𝑇 ) ≫ la suite de terme général 𝑇 = 𝑉 − 𝑈

Montrer que 𝑇 est une suite géométrique, puis calculer 𝑇 en fonction de 𝑛.


2. Montrer que (𝑈 ) ≫ est croissante et (𝑉 ) ≫ est décroissante
3. Soit (𝑊 ) ≫ la suite de terme général 𝑊 = 3𝑈 + 8𝑉
Montrer que cette suite est constante.
4. En déduire la limite de 𝑈 et de 𝑉 .

Exercice 3 :

On considère la suite (𝑈 ) de nombres réels définie par : 𝑈 = 2 ; 𝑈 = 𝑎 𝑈 + 4 et pour tout


entier naturel 𝑛, 𝑎 est un nombre réel non nul

1. On considère la suite (𝑉 ) définie par 𝑉 = 𝑈 +


a. Montrer que la suite 𝑉 est une suite géométrique dont on précisera la raison et son
premier terme.
b. Exprimer le terme général de 𝑉 , puis de 𝑈 en fonction de 𝑛 et de 𝑎.
2. On pose 𝑆 = 𝑈 + 𝑈 + 𝑈 + … + 𝑈 . Calculer 𝑆 en fonction de 𝑛 et de 𝑎.

Sujet 7 :

Exercice 1 :

Les caractères 𝑋 et 𝑌 sont distribués suivant le tableau à double entrée ci-après :

-1 0 2
X Y

-2 4 0 2

-1 3 5 0

0 2 1 2

1) Dresser la loi marginale de 𝑋 et celle de 𝑌


2) Trouver les coordonnées du point moyen (𝑋 ; 𝑌 )
3) Déterminer l’équation de la droite de régression de 𝑌 en 𝑋
4) Calculer le coefficient de corrélation linéaire de la série statistique

Exercice 2 :

Le plan (𝑃) est rapporté à un repère orthonormal,(𝑂, 𝑢⃗,𝑣⃗).

1) Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes, l’équation (𝑃) : 𝑍 + 8 = 0.


On donnera les solutions de (𝐸) sous la forme algébrique.
2) Soit 𝐴, 𝐵 et 𝐶 les points d’affixes des complexes : 𝑍 = 1 + i√3 ; 𝑍 = −2 ;
𝑍 =1 - i√3
a) Calculer le module et un argument de U, tel que : 𝑈 = ; en déduire la
nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
3) Soit 𝑆, la rotation définie dans (𝑃) telle que : 𝑆(𝐴) = 𝐶 et 𝑆(𝐶) = 𝐵
a) Déterminer l’expression complexe de 𝑆
b) Déterminer les éléments caractéristiques de 𝑆.

Sujet 8 :

Exercice 1 :

𝑥 et 𝑦 désignent des entiers relatifs.

1. Montrer que l’équation : (𝐸) 65𝑥 − 40 𝑦 = 1 n’a pas de solution.


2. Montrer que l’équation : (𝐸′) 17𝑥 − 40 𝑦 = 1 admet au moins une solution.
3. Déterminer, à l’aide de l’algorithme d’Euclide, un couple d’entiers relatifs solution de
l’équation (𝐸′).
4. Résoudre l’équation(𝐸′).
5. En déduire qu’il existe un unique entier naturel 𝑋 inférieur à 40 tel que 17𝑋 ≡ 1 [40].
6. Pour tout entier naturel 𝑎, démontrer que si 𝑎 ≡ b[55] et 𝑎 ≡ 1 1 [55], alors 𝑏 ≡
𝑎 [55].

Exercice 2 :

Dans le plan orienté, on considère un triangle équilatéral 𝐴𝐵𝐶, de centre de 𝑂, tel que

(𝐴𝐵⃗, 𝐴𝐶⃗ ) = [2𝜋] .On appelle (𝐶) le cercle circonscrit au triangle 𝐴𝐵𝐶. 𝐼 et 𝐽 sont les
respectifs des segments [𝐴𝐵] et [𝑂𝐼] . Les droites (𝑂𝐴) et (𝑂𝐶) recoupent le cercle (𝐶)
respectivement en 𝐷 et en 𝐸.

1. Placer ces points sur une figure (on prendra 𝑂𝐴 = 4𝑐𝑚).


2. On note 𝐺 l’isobarycentre des points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷 𝑒𝑡 𝐸.
a) Exprimer 𝑂𝐺⃗ en fonction de 𝑂𝐵⃗.
b) Exprimer 𝑂𝐺⃗ en fonction de 𝑂𝐽⃗ et 𝑂𝐷⃗.
c) En déduire que les droites (𝑂𝐵) et (𝐷𝐽) se coupent en 𝐺. Placer 𝐺.
3. A tout point 𝑀 du plan, on fait correspondre le pont 𝑀 = f(𝑀) tel que:

4𝑀𝑀⃗ = 𝑀𝐴⃗ + 𝑀𝐵⃗ + 𝑀𝐶⃗ + 𝑀𝐷⃗ + 𝑀𝐸⃗ .

a) Montrer que 𝑓 est une homothétie dont on précisera le centre et le rapport.


b) Quelles sont les images par 𝑓 des points 𝐵 et 𝐷 ?
4. Soit 𝑟 la rotation de centre 𝑂 et d’angle , et 𝑆 l’application définie par : 𝑆 = 𝑟 ° 𝑓
a) Démontrer que 𝑆 est une similitude plane directe. Préciser son rapport et son angle.
b) Construire le point 𝐻, image de 𝐺 par 𝑆.
c) Démontrons que le centre Ω de 𝑆 appartient aux cercles circonscrits respectivement aux
triangles 𝑂𝐺𝐻 et 𝐵𝑂𝐷. Construire Ω.
5. soit (𝐸) l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que : 𝑀𝐻 + 𝑀𝐵 = 𝐴𝐷.
a) Vérifier que (𝐸) est une ellipse. Préciser son axe focal.
b) Construire le point 𝑀 de (𝐸) situe sur la demi-droite [𝐵𝐴 ).
c) Placer les sommets de (𝐸) et ses directions
EXERCICE 3

PARTIE A

1. Résoudre, dans l’ensemble des fonctions deux fois dérivables, l’équation différentielle
(𝐸) : 𝑦 + 9𝑦 = 0
2. Déterminer la solution particulière 𝑓 de (𝐸) qui vérifie : 𝑓 = 0 et 𝑓′ = 6.

PARTIE B

On considère dans le plan rapporté au repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗,𝚥⃗), la courbe paramétrée (𝛤) dont
𝑥(𝑡) = 2 cos 3𝑡 
une représentation paramétrique est :
𝑦(𝑡) = 3 sin 2𝑡

1. Définir la fonction vectorielle 𝐹 associée à (𝛤).


2. Montrer que 𝐹 est périodique, de période 2𝜋.
3. Comparer 𝑀(𝑡) et 𝑀(−𝑡). En déduire que l’on peut restreindre le domaine d’étude à
l’intervalle 𝐼 = [0 ; 𝜋]
4. Etudier les variations de la fonction 𝑥 sur 𝐼.
5. Etudier les variations de la fonction 𝑦 sur 𝐼
6. Dresser le tableau conjoint des variations de 𝑥 et 𝑦 sur 𝐼

Exercice 4

KEVIN possède un lecteur 4 , dans lequel il a stocké 90 morceaux de rumba et 110 morceaux de
couper décaler. Un tiers des 90 morceaux de rumba est composé par les auteurs congolais. Un
dixième des 110 morceaux couper-décaler est composé par des auteurs congolais .

1. Afin d’écouter un morceau de musique, KEVIN lance une lecture aléatoire sur son lecteur
MP4 , on admet que cela revient à choisir un morceau de musique de manière
équiprobable.
On note
𝑅 L’événement « le morceau de musique écouté est un morceau de rumba » ;
𝐷 L’événement « le morceau de musique écouté est un morceau de couper-décaler » ;
𝐶 L’événement « l’auteur du morceau de musique écouté est un congolais »
a) Quelle est la probabilité que le morceau de musique écouté par KEVIN soit un
morceau de rumba
b) Sachant que KEVIN a écouté un morceau rumba, quelle est la probabilité que
l’auteur soit congolais
c) Calculer la probabilité que le morceau de musique écouté par KEVIN soit un
morceau de rumba composé par un auteur congolais
d) Quelle est la probabilité que le morceau de musique écouté par KEVIN soit
composé par un auteur congolais
2. Afin d’écouter trois morceaux de musique, KEVIN lance trois fois une lecture aléatoire sur
son lecteur MP4. Calculer la probabilité qu’il ait écouté au moins un morceau de rumba.
Sujet 9

Exercice 1 :

On définit la suite des nombres complexes (𝑍 ) suivante :

𝑍 = 1 et ∀ 𝑛 ∈ 𝑁 ; 𝑍 = 𝑍 + 𝑖

1. Pour tout entier naturel 𝑛, on considère la suite numérique (𝑈 ) telle que : 𝑈 = 𝑍 − 𝑖


a) Démontrer que la suite 𝑈 est géométrique
b) En déduire que l’on a : 𝑈 = (1 − 𝑖)( )
c) Exprimer en fonction de 𝑛 la partie réelle 𝑋 et la partie imaginaire 𝑌 du nombre
complexe 𝑈
d) Déterminer les limites des suites numériques (𝑋 ) et (𝑌 )
e) En déduire la convergence de la suite (𝑍 )
2. On considère le nombre complexe 𝑍 = ( 𝑈𝑜) , k est un entier naturel
a) Déterminer le module et un argument de 𝑍
b) En déduire le module et un argument de 𝑍

Exercice 2 :

On considère les vecteurs, 𝑈⃗ (1, 1, 0, 0) , 𝑈⃗ (0, 1, 1, 0) , 𝑈⃗ (0, 0, 1, 1) de l’espace vectoriel 𝑅

1. Montrer que la famille 𝐹 = 𝑈⃗ , 𝑈⃗, 𝑈⃗ des trois vecteurs de l’espace 𝑅 est libre.
2. Soit le vecteur 𝑈⃗(1, 2, 3, 2) de l’espace 𝑅 , déterminer les réels 𝑎, 𝑏 𝑒𝑡 𝑐 tels que l’on ait :
𝑈⃗(1, 2, 3, 2) = 𝑎 𝑈⃗ + 𝑏 𝑈⃗ + 𝑐 𝑈⃗ , c'est-à-dire que 𝑈⃗ soit une combinaison linéaire des
vecteurs de la famille 𝐹
3. Soit le vecteur 𝑉⃗(𝑥, 𝑦, 𝑧, 𝑡) du sous espace vectoriel 𝐸 de 𝑅 , trouver une relation entre les
coordonnées 𝑥, 𝑦, 𝑧 𝑒𝑡 𝑡 du vecteur 𝑉⃗de 𝐸 sachant que l’on : 𝑉⃗ = 𝛼 𝑈⃗ + 𝛽 𝑈⃗ +
𝛾 𝑈⃗ ; où 𝛼, 𝛽, 𝑒𝑡 𝛾 sont des réels.
4. Vérifier que le vecteur 𝑊⃗(20, 20, −15, −15) appartient à 𝐸.

Sujet 10 :

Exercice 1

1. On considère dans 𝑍 𝑥 𝑍 l’équation (𝐸) ∶ 3𝑥 + 4𝑦 = −8


a) Vérifier que (0; −2) est une solution de l’équation (𝐸).
b) Résoudre dans 𝑍 𝑥 𝑍 l’équation (𝐸).
2. Dans le plan rapporté à un repère orthonormé (𝑂, 𝚤⃗,𝚥⃗). On considère la droite (∆) dont une
équation est 3𝑥 + 4𝑦 − 8 = 0 et on désigne par 𝐴 le point de la droite (∆) d’abscisse 0.
a) Montrer que si 𝑀 est un point de la droite (∆) à coordonnées entières alors 𝐴𝑀 est
un multiple 5.
b) Soit 𝑁 un point de la droite (∆) de coordonnées (𝑥; 𝑦). Vérifier que 𝐴𝑁 = |𝑥|.
c) En déduire que si 𝐴𝑁 est un multiple de 5 alors 𝑥 et 𝑦 sont des entiers.
Exercice 2

Dans le plan orienté (𝑃), 𝐴𝐼𝐽 est un triangle quelconque, 𝐵𝐴𝐽 et 𝐶𝐼𝐽 sont des triangles isocèles
respectivement en 𝐵 et en 𝐶 tels que : 𝐵𝐴⃗ ; 𝐵𝐽⃗ = [2𝜋] et 𝐶𝐼⃗ ; 𝐶𝐽⃗ = [2𝜋]

On désigne par 𝑡 la translation de vecteur 𝐼𝐴⃗ et par 𝑅 et 𝑅 les rotations de même angle et
centres respectifs 𝐵 et 𝐶.

1. a) Déterminer 𝑅 (𝐼)
b) Montrer que 𝑅 𝑜𝑡 (𝐼) = 𝐽
c) En déduire 𝑅 𝑜𝑡 = 𝑅
2. Soit 𝐾 = 𝑡(0). Montrer que 𝐵𝐶 = 𝐵𝐾 et 𝐵𝐶⃗ ; 𝐵𝐾⃗ = [2𝜋].
3. Soit 𝐷 le point du plan tel que le triangle 𝐷𝐼𝐴 soit isocèle en 𝐷 et 𝐷𝐼⃗ ; 𝐷𝐴⃗ = [2𝜋].
a) Soit 𝑂 le milieu du segment [𝐴𝐶]. Montrer que l’image du triangle 𝐷𝐼𝐴 par la
symétrie centrale de centre 𝑂 est le triangle 𝐵𝐾𝐶.
b) Montrer que le quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 est parallélogramme.
4. Le plan (𝑃) est rapporté à un repère orthonormé direct (𝐸; 𝐸𝐼⃗ , 𝐸𝑃⃗), ave 𝐸 milieu du
segment [𝐴𝐼] et 𝑃 le point situé sur la médiatrice du segment [𝐴𝐼] tel que 𝐸𝐼 = 𝐸𝑃.

On considère l’ellipse (𝐸) d’équation 𝑥 + = 1 et on désigne par 𝑀 le point coordonnées


(cos 𝜃 ; 2 sin 𝜃) où 𝜃 est un réel de l’intervalle 0;

a) Déterminer par leurs coordonnées les sommets et les foyers de l’ellipse (𝐸).
b) Tracer l’ellipse (𝐸) et placer ses foyers.
c) Vérifier que le point 𝑀 appartient à l’ellipse (𝐸)
5. Soit (𝑇) la tangente à l’ellipse (𝐸) au point 𝑀. Montrer que l’équation de la tangente
(𝑇) dans le repère (𝐸; 𝐸𝐼⃗ , 𝐸𝑃⃗) est 2𝑥cos 𝜃 + 𝑦 sin 𝜃 − 2 = 0
6. On désigne respectivement par 𝐿 et 𝑄 les points d’intersection de la tangente (𝑇)avec l’axe
des abscisses et l’axes des ordonnées et on désigne par 𝐴 l’aire du triangle 𝑂𝐿𝑄.
a) Montrer que 𝐴 =
b) En déduire que l’aire 𝐴 est maximale si et seulement si 𝑀 est le milieu du segment
[𝐿𝑄].
7. Soit 𝑓 la similitude plane directe de centre D qui transforme 𝐸.
a) Déterminer l’angle et le rapport de 𝑓
b) Calculer l’aire 𝐴′ image de l’aire 𝐴 par 𝑓

Exercice 3 :

Partie A :

Soit 𝑓 la fonction défini par 𝑓 (𝑥) = 𝑥𝑒

Démontrer que ∀ 𝑥 > 0, 0 < 𝑓(𝑥) < 1

En déduire que, ∀ 𝑥 > 0, 0 < 𝑥𝑒 <𝑒


Partie B:

On considère la fonction 𝐹 définie par 𝐹(𝑥) = ∫ 𝑑𝑡, 𝑥 ∈ 𝑅

1. Soit ℎ la fonction définie par ℎ (𝑥) = 𝐹(𝑥) − 𝑙𝑛𝑥


a) Montrer que ℎ (𝑥) = ∫ 𝑑𝑡
b) Etudier l signe de ℎ (on distinguera les cas 𝑥 ∈ ]0; 1] et 𝑥 ∈ [1; +∞[ )
c) En déduire lim → 𝐹(𝑥) et lim → 𝐹(𝑥)
2. a) Etudier les variations de 𝐹
b) Démontrer que la courbe (𝐶) de 𝐹 admet un point d’inflexion 𝐴 dont on précisera
les coordonnées.
c) Etudier les branches infinies de(𝐶).
d) Tracer la courbe (𝐶).

Sujet 11

Exercice 1

Le but de l’exercice est de résoudre l’équation (𝐶) : 21𝑥 − 17𝑦 = 4

1. a) Montrer que cette équation admet au moins une solution.


b) Montrer l’équation (𝐸) est équivalente à l’équation (𝐸 ) : 21𝑥 = 4[17].
2. On propose de résoudre l’équation (𝐸 ). On rappelle que l’entier relatif 𝑎 est l’inverse
modulo 𝑛(𝑛 𝜖 𝑁) de l’entier relatif 𝑏 si 𝑎𝑏 = 1[𝑛].
a) Déterminer l’inverse modulo 17 𝑒𝑡 21.
b) Montrer que les solutions de l’équation (𝐸 ) sont les entiers relatifs 𝑥 tels que
𝑥 = 1 + 17𝑘 ; 𝑘 ∈ 𝑍
3. En déduire l’ensemble des solutions de (𝐸).

Exercice 2 :

Dans le plan orienté, on considère un carré 𝐴𝐵𝐶𝐷 de centre 𝑜 telque 𝐴𝐵⃗ ; 𝐴𝐷⃗ = [2𝜋]. soit 𝐼 et 𝐽
les milieux respectifs des segments [𝐷𝐶] et [𝐴𝐷]. On pendra 𝐴𝐵 = 4 𝑐𝑚.

1. Faire une figure


2. On considère l’ellipse (𝐸) de centre 𝛺, d’excentricité dont un foyer est 𝐵 et une directrice
(𝐴𝐷). Quel est l’axe focal de (𝐸).
3. Soit 𝑆 et 𝑆 les points de (𝐸) situés sur la droite (𝐴𝐵).
a) Montrer que 𝐵 𝑆⃗ = 𝐵𝐴⃗ et 𝐵𝑆⃗ = − 𝐵𝐴⃗
b) Placer 𝑆 et 𝑆
4. Tracer le cercle principal 𝐶 de (𝐸).
5. Tracer le cercle secondaire 𝐶 de (𝐸).
6. Tracer le cercle directeur 𝐶 de (𝐸) ayant pour le foyer 𝐵.
7. Construire le point (𝐸) situé sur la demi droite [𝐵𝐶). 
8. Tracer l’arc de (𝐸) balayé par l’angle 𝛺 𝑆 ⃗ ; 𝛺𝐵⃗ où 𝑆 est sommet de (𝐸) situé sur l’axe
non focal et du même coté que 𝐶.
9. Soit 𝑓 la transformation plane définie par : 𝑓 = 𝑆 0 𝑡 ⃗
a) Qu’appelle –t-on symétrie glissée ?
b) Montrer que 𝑓 est symétrie glissée. Déterminer son vecteur et son axe.
c) Tracer (𝐸′), l’image de (𝐸) par 𝑓

Exercice 3 :

Soit 𝑓 la fonction définie sur ]0; +∞[ par 𝑓(𝑥) =

On admet que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 sur l’intervalle 𝐼 = ;2 .

Le but de cet exercice est de donner une valeur approchée de 𝛼.

Soit 𝑔 la fonction définie sur ]0, +∞[ par (𝑥) = 𝑒 . on définit la numérique (𝑈 ) telle que :

𝑈 =2  
∀ 𝑛 ∈ 𝑁, 𝑈 = 𝑔( 𝑈 )

1. Sachant que 𝑓(𝛼) = 0, montrer que 𝛼 est une solution de l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥.
2. Montrer par récurrence que pour tout entier 𝑛, 𝑈 ∈ 𝐼.
3. On suppose que pour 𝑥 de 𝐼, 𝑔′(𝑥) ≤ . En appliquant le théorème d l’inégalité des
accroissements finis, montrer que : ∀ 𝑥 ∈ 𝐼. |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|
4. a) Montrer que : ∀ 𝑛 ≥ 0, | 𝑈 − 𝛼| ≤ | 𝑈 − 𝛼|
b) En déduire que ∀ 𝑛 ≥ 0, | 𝑈 − 𝛼| ≤ ( )
c) Montrer que la suite (𝑈 ) converge vers 𝛼.
5. a) Déterminer un entier 𝑛 tel que 𝑈 − 𝛼 ≤ 10
b) Déterminer la valeur approchée 𝑈 de 𝛼.

Exercice 4

Une maladie atteint 3% d’une population. Un test dépistage donne les résultats suivants :

Chez les individus malades, 95% de test sont positifs et 5% négatifs.

Chez les individus non malades, 1% de tests sont positifs et 99% négatifs

On note : 𝑀 l’événement : ≪ être malade ≫ et

𝑇 l’événement : ≪ le test est positif ≫.

1. Construire un arbre pondéré correspondant à cette expérience aléatoire.


2. Donner la probabilité de l’événement ≪ 𝑀 ∩ 𝑇 ≫, puis celle de ≪ 𝑀 ∩ 𝑇 ≫
3. Déterminer 𝑃(𝑇) et 𝑃( 𝑇)
4. Calculer la probabilité de ne pas être malade, sachant que le test est positif.
5. Calculer la probabilité d’être malade, sachant que le test est négatif.
Sujet 12

Partie A

1. Résoudre dans 𝑅 l’équation différentielle 𝑦 + 𝜋 𝑦 = 0.


2. Déterminer la solution particulière 𝑔 vérifiant 𝑔(0) = 0 et 𝑔 (0) = 2𝜋 .

Partie B

On considère la fonction numérique 𝑓 à variable réelle 𝑥 définie par :

𝑓(𝑥) = 2 sin 𝜋𝑥 , 𝑠𝑖 − 4 ≤ 𝑥 ≤ 0
1  
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑙𝑛𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 > 0
2

(𝐶) désigne la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑜, 𝚤,⃗ 𝚥⃗), unité graphique 2 𝑐𝑚

3. a) Déterminer l’ensemble de définition 𝐸 de 𝑓


b) Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓 en 𝑥 = 0
c) Montrer que l’étude de 𝑓 peut-être réduite sur l’intervalle 𝐼 = [−2, +∞[.
4. a) Etudier les variations de 𝑓 sur 𝐼, on dressera un tableau résumant les variations de 𝑓
b) Etudier la branche infinie de (𝐶) et tracer (𝐶) sur son ensemble de définition
5. Calculer l’aire 𝐴 du domaine plan (𝐷) limité par la courbe (𝐶), l’axe (𝑜𝑥) des abscisses et
les droites d’équations 𝑥 = 1, 𝑥 = √𝑒.

Partie C

6. Soit 𝑆 la similitude plane directe de centre 0 de rapport et d’angle − .
Pour 𝑥 > 0, construire de l’image (𝐶′) de (𝐶) par 𝑆.
7. On définit la suite (𝐷 ) par :
𝐷 =𝐷  
𝐷 = 𝑆(𝐷 )
a) Exprimer l’aire 𝐴 du domaine (𝐷 ) en fonction de 𝑛 et 𝐴
b) Exprimer la somme 𝑆 = 𝐴 + 𝐴 + 𝐴 + … + 𝐴 en fonction de 𝑛 et 𝐴
c) Calculer la limite 𝑆 quand 𝑛 tend vers +∞.

Sujet 13

Exercice 1 :

𝐸 est un espace vectoriel de base (𝚤,⃗ 𝚥⃗). 𝐻 et 𝐺 deux sous-ensemble de 𝐸 tels que :

𝐻= (𝑥, 𝑦 ) ∈ 𝐸 / 𝑥+ 𝑦 = 0 et 𝐺 = (𝑥, 𝑦 ) ∈ 𝐸 / 𝑥− 𝑦=0 .

1. Démontrer que (𝐻, +, . ) et (𝐺, +, . ) sont deux sous-espaces vectoriels supplémentaires de


l’espace vectoriel (𝐸, +, . )
2. Soit l’endomorphisme de 𝐸 tel que : 2𝑓 (𝚤⃗) = 𝚤⃗ − 𝚥⃗ et 2𝑓 (𝚥⃗) = − 𝚤⃗ + 𝚥⃗
a) Démontrer que 𝑓 est une projection vectorielle.
b) Déterminer sa base et sa direction.
Exercice 2 :

Soit la série statistique à deux caractères (𝑥 ; 𝑦) donnée par le tableau à double entrée ci-dessous :

-1 0 1 3
X Y

-1 2 5 3 0

2 2 4 1 1

3 0 2 0 0

0 3 2 1 4

1. représenter son nuage des points.


2. Déterminer ses séries marginales.
3. Déterminer son point moyen
4. Calculer les variances V(x) et V(y) de x et y.
5. Calculer les écart-types 𝜎(x) et 𝜎(y).
6. Calculer sa covariance Cov(x, y) .
7. Déterminer les droites de régression de y en x puis de x en y.
8. Situer son point moyen.
9. Tracer les deux droites.
10. Déterminer la valeur de y lorsque x = 2,3.
11. Calculer son coefficient de corrélation.

Sujet 14

Exercice 1 :

Dans le plan orienté, on considère un segment [𝐷𝐶] tel que 𝐷𝐶 = 5 cm

1. Construire le point Ω centre d la rotation R d’angle de mesure qui transforme D en C


2. Soit A et B deux points du plan tels que DABC soit un carré direct de centre 0. On désigne par
I,J,k et L le milieux respectifs des segments [𝐴𝐵], [𝐵𝐶], [𝐶𝐷] et [𝐷𝐴]. Reconnaitre et
caractériser les applications suivantes :

𝑓 = 𝑟( , ) 𝑜 𝑟( , ) et 𝑓 = 𝑡 ⃗ 𝑜 𝑆( )

3. On considère l’application complexe définie par :

𝑔 = 𝑟( , )𝑜 𝑡 ⃗ 𝑜 𝑟( , )

a) Calculer 𝑔(𝑐)
b) En déduire la nature et les éléments caractéristiques de 𝑔
4. Le point G est milieu du segment [𝑂𝐶]. On considère l’ellipse (𝐸) de centre 0 dont deux de
ses sommets sont 𝐵 sur le grand axe (axe focal) et 𝐺 sur le petit axe (axe non focal).

On rappelle que le cercle de centre 0 et de segment [𝑂𝐵] est principal, tandis que celui de centre
0 et de rayon [𝑂𝐺] est secondaire.

La parallèle à (𝐵𝐷) en 𝐺 coupe le cercle principal en 𝐻 sur l’arc de cercle contenant 𝐵. Soit 𝐹 le
projeté orthogonal de 𝐻 sur (𝐵𝐷).

a) Que représente le point 𝐹 pour l’ellipse (𝐸) ?


b) Tracer (𝐸) et ses directrices ( 𝐷 ) et ( 𝐷 ).
5. Le plan (𝑃) est maintenant rapporté à un repère orthonormé 0, 0𝐵⃗ , 0𝐶⃗ .

Déterminer les coordonnée du point 𝐹 et une équation cartésienne réduite de l’ellipse (𝐸) dans
ce repère.

6. a) Tracer l’hyperbole (𝐻) de sommets 𝐿 et 𝐽 d’asymptotes les droites (𝑂𝐶) et (𝑂𝐷)


b) Placer les foyers 𝐹 et 𝐹 , puis tracer les directrices ( 𝐷 ) et ( 𝐷 ).

Exercice 2 :

On donne l’application 𝑓 de 𝐸 dans 𝐸 qui au point 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) associe le point 𝑀′(𝑥′, 𝑦′, 𝑧′) définie
par :

𝑥 = −𝑧 + 𝛼
𝑦 = −𝑥   , 𝛼 𝑢𝑛 𝑟é𝑒𝑙 𝑑𝑜𝑛𝑛é
𝑧 =𝑦−2

1. Montrer que 𝑓 est un déplacement.


2. Pour quelle valeur de 𝛼 ce déplacement de 𝑓 est-il une rotation ? Préciser dans ce cas l’axe
de la rotation.
3. On suppose dans cette équation que 𝛼 = 1
Montrer que 𝑓 est un vissage dont-on précisera l’axe.

Sujet 15

Exercice 1 :

On considère une urne contenant 5 jetons 1, 2, 3, 4, 5. on tire au hasard deux jetons de l’urne.

Soit 𝑋 la variable aléatoire réelle définie par :

𝑋 = ≪ Moyenne arithmétique des deux numéros sortis ≫

1. On suppose que le tirage est successif avec remise.


a) Donner la loi de la probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique et l’écart type de 𝑋.
2. On suppose maintenant le tirage successif sans remise.
a) Donner la loi de la probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique et l’écart type de 𝑋.
c) Comparer ces résultats à ceux de 1. b)

Exercice 2 :

Le plan est orienté. On considère un triangle équilatéral 𝐴𝐵𝐶 de sens direct, de centre 𝐸 tel que :
𝜋
𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐶⃗ = [2𝜋]
3

Soit 𝑆 la similitude directe tell que : 𝑆 (𝐴) = 𝐴 et 𝑆 (𝐵) = 𝐸 et 𝑆 la similitude directe fixant 𝐸 et
qui transforme 𝐵 en 𝐷, où 𝐷 est le symétrique de 𝐴 par rapport à 𝐸.

1. Caractériser 𝑆 et 𝑆 .
2. Soit 𝐼 le milieu de [𝐴𝐵] et 𝐹 un point du plan tel que 𝐴𝐹 = 𝐴𝐵 et 𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐹⃗ = [2𝜋].
On considère le repère orthonormé 𝐴, 𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐹⃗ .
a) Déterminer les coordonnées de chacun des points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷, 𝐸 𝑒𝑡 𝐹 dans le repère
𝐴, 𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐹⃗
b) Donner l’écriture complexe de 𝑆 et 𝑆 .
3. Soit l’application 𝑓 = 𝑆 ° 𝑆
Déterminer la nature de 𝑓 et préciser ses éléments caractéristiques.

Sujet 16

Exercice 1 :

L’espace vectoriel 𝑅 étant rapporté à une base 𝚤⃗ , 𝚥⃗ , 𝑘⃗ , on considère l’application 𝑓 de 𝑅 dans


𝑅 , à tout vecteur 𝑢⃗ (𝑥, 𝑦, 𝑧) associe le vecteur 𝑢⃗ = 𝑓(𝑢⃗) dont les composantes (𝑥′, 𝑦′, 𝑧′) dans la
base 𝚤⃗ , 𝚥⃗ , 𝑘⃗ sont définies par :

𝑥 = −𝑥 + 𝑎 𝑦 + 2 𝑧
𝑦 =𝑥+2𝑦+𝑧   (𝑎 ∈ 𝑅)
𝑧 =𝑥+𝑦

1. Ecrire la matrice de l’application 𝑓 dans la base 𝚤⃗ , 𝚥⃗ , 𝑘⃗


2. Pour quelles valeur de 𝑎 𝑓 est-elle bijective ?
3. Dans la suite, on pose 𝑎 = 1
a) Déterminer l’ensemble 𝐸 des vecteurs de 𝑅 invariants par 𝑓.
b) Déterminer le noyau Kerf de 𝑓 et l’image𝐼𝑚𝑓 de 𝑓. En déduire une base pour chacun
des sous ensemble.
4. Soit 𝑢⃗ un vecteur de 𝑅 de composantes (1 , 𝛼 , 𝛽 ) dan la base 𝚤⃗ , 𝚥⃗ , 𝑘⃗
Calculer 𝛼 et 𝛽 pour que 𝑢⃗ ∈ Kerf.

Exercice 2 :

On considère dans l’ensemble 𝐶 des nombres complexes l’équation (𝐸) :

𝑍 − (1 + 3𝑖)𝑍 + 4 + 4𝑖 = 0
1. Résoudre dans 𝐶 ; l’équation (𝐸)
On appellera 𝑍 la solution imaginaire pure et 𝑍 l’autre solution
2. Dans le plan complexe (𝑃) rapporté au repère orthonormal direct (0 , 𝑢⃗ , 𝑣⃗), on considère
les quatre points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷 d’affixes respectives 3 ; 4𝑖 ; −2 + 3𝑖 ; 1 − 𝑖.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝑒𝑡 𝐷 dans le plan.
b) Calculer les affixes des vecteurs 𝐴𝐵⃗ , 𝐷𝐶⃗ , 𝐶𝐵⃗, 𝐷𝐴⃗
c) Déduire la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷

Sujet 17

Exercice 1 :

On lance un dé pipé à six faces numérotées de 1 à 6. On désigne par 𝑃 la probabilité de la face non
visible telle que 𝑃 𝜖 −2; −1; 0 ; ; 2; 3 ; 4 . Les réels 𝑃 sont en progression arithmétique.

1. Démontrer que 𝑃 = 0 ; déterminer la raison 𝑟 de cette progression.


2. Déterminer les probabilités 𝑃 ; 𝑃 ; 𝑃 ; 𝑃 ; 𝑃 .
3. On désigne par 𝑋 la variable aléatoire qui à chaque lancer du dé, on associe le numéro de la
face non visible.
a) Déterminer la loi de la probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) et la variance 𝑉(𝑋) de 𝑋.
c) Définir la fonction 𝐹 de répartition de 𝑋, puis la construire.

Exercice 2 :

𝐸 est un espace vectoriel de base ( 𝚤⃗ , 𝚥⃗). On considère l’endomorphisme 𝑓 qui à tout vecteur
𝑥 = 5𝑥 − 4𝑦  
𝑈⃗ = 𝑥𝑖 + 𝑦𝑗, associe le vecteur 𝑈′⃗ = 𝑥′𝑖 + 𝑦′𝑗 , tel que :
𝑦 = 6𝑥 − 5𝑦

1. Démontrer que 𝑓 est ne symétrie vectorielle.


2. Déterminer sa base 𝐸 et sa direction
3. Soit 𝑈⃗ = 2𝑖 + 2𝑗 et 𝑉⃗ = 2𝑖 + 3𝑗
a) Démontrer que 𝐵 = 𝑈⃗ , 𝑉⃗ , est une base de 𝐸.
b) Déterminer la matrice 𝑀de 𝑓 dans la base 𝐵

Sujet 18

Exercice 1 :

Soit (𝑃) un plan affine euclidien orienté rapporté au repère orthonormé direct (0 , 𝑢⃗ , 𝑣⃗). Soit 𝑇 la
transformation de (𝑃)qui, au point d’affixe 𝑧, associe le point d’affixe 𝑍 = (𝑖 − 1)𝑧 + 3

1. Quelle est la nature de 𝑇 ? préciser ses éléments caractéristiques.


2. Soit 𝑆 la symétrie orthogonale par rapport à la droite (0 , 𝑢⃗ ).
Quelle est la nature de la transformation 𝑇 𝑜𝑆 ? Préciser ses éléments caractéristiques.
3. Soit 𝑇 la similitude directe de centre le point 𝐵, d’affixe 3 + 𝑖 , de rapport et d’angle .

Soit 𝑂 l’image de 0 par 𝑇 et 𝑂 l’image de 𝑂 par 𝑇 . que peut-on dire du triangle
𝐵𝑂 𝑂 ? Caractériser la transformation 𝑇 𝑜 𝑇 𝑜𝑆.

Exercice 2 :

𝐴𝐵𝐶𝐷 est un carré de centre 0, tel que 𝐴𝐵⃗ , 𝐴𝐷⃗ = [2𝜋], on note 𝐼 le milieu de [𝐶𝐷], 𝐾 le
symétrique de 0 par rapport à 𝐷 et 𝐿 le symétrique de 0 par rapport à (𝐵𝐶).

Partie A :

1. Montrer qu’il existe un unique déplacement 𝑓 tel que 𝑓(𝐵) = 𝐷 et 𝑓(𝐿) = 𝑘.


2. Donner la nature et les éléments caractéristiques de 𝑓.
3. En déduire la nature du triangle 𝐴𝐾𝐿 puis du triangle 𝐴𝐼𝐿
4. Soit (𝐶) le cercle de diamètre [𝐴𝐿]
a) Construire le cercle (𝐶′) image de (𝐶) par 𝑓.
b) Soit (∆) passant par 𝐼 coupe (𝐶) en 𝑁 et (𝐶 ) en 𝑁 . Montrer que 𝑓(𝑁) = 𝑁 .

Partie B :

Soit 𝑔 = 𝑆 𝑜 𝑆

a) Déterminer 𝑔(𝑘) puis montrer que 𝑔 n’est pas une symétrie orthogonale.
b) Donner la forme réduite de g
5. Soit 𝑟 = 𝑔𝑜 𝑆
a) Montrer 𝑟 (𝑘) = 𝐿
b) Montrer que 𝑟 est une rotation d’angle et construire son centre Ω

Exercice 3 :

Le plan est rapporté à un repère orthonormé ( 0, 𝚤⃗ , 𝚥⃗) ; unité : 1 𝑐𝑚

1. Construire le cercle (𝐶) de centre 𝐴(0, −8) tangent en 0 à l’axe ( 0, 𝚤⃗ )


2. Construire le point 𝑀 image de 0 par la rotation de centre 𝐴 et d’angle −
3. Construire la tangente (𝑇) à (𝐶) en 𝑀.
4. Construire le projeté orthogonal 𝐻 de 𝑀 sur l’axe ( 0, 𝚤⃗ ).
5. On désigne par 𝑁 l’intersection des droites (𝑇) et ( 0, 𝚤⃗ ).
Démontrer que les points 0 , 𝑁, 𝑀 et A appartiennent à un cercle ( 𝐶 ) à construire.
6. Soit 𝑆 la similitude plane directe de centre O qui transforme (𝐶) en (𝐶 ). Déterminer son
rapport 𝑘 , et son angle 𝜃 .
7. Soit 𝑆 la similitude plane directe de centre 𝑁 qui transforme 𝑀 en 𝐻.
a) Déterminer son rapport 𝑘 et son angle 𝜃 .
b) Construire les images des points 𝐴 et 0 par 𝑆 𝑜𝑆 .
c) Déduire la reconstruction du centre 𝝮 de 𝑆 o𝑆 .
Sujet 19

Exercice 1 :

1. Résoudre dans 3, l’équation d’inconnue 𝑥 :


ln( 7 𝑥) = 2𝑛; Où 𝑛 𝜖 𝑍.
2. On considère la suite (𝑈 ) définie, pour tout entier naturel 𝑛 par : ln( 7 . 𝑈 ) = 2𝑛
Montrer que la suite 𝑈 est une suite géométrique dont on déterminera la raison et le
premier terme.
3. Calculer lim → 𝑈
4. Déterminer un entier 𝑛 tel que, pour tout entier 𝑛 strictement supérieur à 𝑛 ,on ait
𝑈 > 100.

Exercice 2 :

On considère l’application 𝑓 ∶ ∀ → ∀ définie par :

𝑓(𝑧) = 𝑍 + 9𝑖 𝑍 + 2(6𝑖 − 11)𝑧 − 3(4𝑖 + 12)

1. Montrer que 𝑓(𝑧) = 0 admet une solution réelle notée 𝑧 et une solution imaginaire pure 𝑧
2. Achever la résolution de 𝑓(𝑧) = 0, on notera 𝑧 l’autre solution.

Problème :

A. Soit 𝑓 la fonction définie par : 𝑓 (𝑥) = (𝑥 + 1) − 𝑥𝑒


1. Déterminer les limites de 𝑓 en +∞ et −∞
2. On note 𝑓′ la fonction de 𝑓 sur 𝑅. Montrer que pour tout nombre réel 𝑥,
𝑓 ′(𝑥) = (𝑥 + 1)(2 − 𝑒 )
Etudier le signe de 𝑓 ′(𝑥).
3. Dresser le tableau de variation ; on précisera les valeurs exactes de 𝑓 (−1) et 𝑓 (𝑙𝑛2)
4. Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑌 = 𝑥 + 1 est tangente à la courbe en son point
d’abscisse 0
5. A l’aide d’une intégration par partie, calculer l’intégrale : ∫ 𝑋𝑒 𝑑𝑥.
Montrer que ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = 4 3
6. On note 𝐴, aire exprimée en 𝑐𝑚 , de la parti du plan limité par la courbe (𝐶) ; l’axe des
abscisses, les droites d’équation 𝑋 = 0 et 𝑋 = 1
B. Soit l fonction 𝑔 définie sur ]0 ; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑥(1 − 𝑙𝑛𝑥).
1. Déterminer le sens de variation de 𝑔 et ses limites aux bornes de ]0 ; +∞[.
Dresser son tableau de variation.
2. a) Montrer qu’il existe un réel unique 𝑎, tel que : 𝑔(𝑎) = 0.
b) Préciser suivant les valeurs de 𝑥, le signe de 𝑔(𝑥)
c) Calculer 𝑔(3) et 𝑔(4) et montrer que 𝑎 ∈ ]3 ; 4[

Sujet 20

Exercice 1 :

1. Soit le nombre complexe 𝑍 = (√3) cos + i sin . n ∈ N.


Calculer 𝑧 , 𝑧 , 𝑧 sous la forme algébrique .

2. Soit (𝐸) l’équation à variable complexe 𝑧, définie par :

𝑧 + −1 + 1 − √3 𝑖 𝑧 + √3𝑖 + √3 = 0 . (𝐸)

a. Montrer 𝑧 est une solution unique de l’équation (𝐸).


b. Achever la résolution de l’équation (𝐸). On notera 𝑧 ’ l’autre solution. Mettre 𝑧 ’
sous la forme trigonométrique.
3. a. Donner le module et un argument du nombre complexe : 𝑢 = 𝑧 x 𝑧 ’
b. Calculer 𝑢

Exercice 2 :

Soit 𝐸 un espace vectoriel de dimension de dimension 3 et 𝚤⃗ , 𝚥⃗, 𝑘⃗ sa base. On note 𝑓


l’endomorphisme de 𝐸 défini par :

𝑓(𝚤⃗) = − 𝚥⃗ − 𝑘⃗ ; 𝑓(𝚥⃗) = − 𝚤⃗ − 𝑘⃗ ; 𝑓 𝚥⃗ − 𝑘⃗ = −2 𝚤⃗ − 𝚥⃗ − 3𝑘⃗ .

1. a) Déterminer le vecteur 𝑓 𝑘⃗
b) Ecrire la matrice de 𝑓 dans la base 𝚤⃗ , 𝚥⃗, 𝑘⃗
2. Ecrire l’expression analytique de 𝑓.
3. Déterminer la nature de 𝑓 puis préciser ses éléments caractéristiques.

Sujet 21

Exercice 1 :

Dans le plan vectoriel 𝐸 de base ( 𝚤⃗ , 𝚥⃗ ), on considère les droites vectorielles 𝐹 et 𝐺 engendrées


respectivement par les vecteurs : 𝑢⃗ = 2𝚤⃗ + 3𝚥⃗ et 𝑣⃗ = 𝚤⃗ − 𝚥⃗

1. Montrer que 𝐹 et 𝐺 sont deux sous-espaces vectoriels supplémentaires de 𝐸.


2. Soit 𝑓 l’endomorphisme de 𝐸 tel que 𝑓(𝑢⃗) = 𝑢⃗ et 𝑓(𝑣⃗) = − 𝑣⃗. Déterminer la matrice de 𝑓
dans la base ( 𝚤⃗ , 𝚥⃗ ).
3. a) Déterminer 𝑓𝑜𝑓. Quelle est la nature de 𝑓
b) En déduire les éléments caractéristiques de 𝑓.

Exercice 2 :

On considère la suite (𝑈 ) définie par :

𝑈 = ∫ t (𝑙𝑛𝑡) 𝑑𝑡 avec n ∈ N

1. Montrer que la suite (𝑈 ) est décroissante en N


2. Calculer 𝑈
3. a) Démontrer que : 𝑈 = – 𝑈
b) En déduire 𝑈 , 𝑈 , 𝑈
Problème :

Partie A

Soit 𝑔 la fonction numérique d’une variable réelle 𝑥 définie sur [1 ; +∞[ par :

𝑔 (𝑥) = −1 −

1. Etudier la variation de 𝑔
2. Déterminer le signe de 𝑔 (𝑥) pour tout réel ≥ 1.

Sujet 22 : Interrogation écrite

𝒛 désigne un nombre complexe. Entourer au stylo la bonne réponse.

𝒛 − 𝒛 est Positif Réel Nul Imaginaire pur


𝒛 × 𝒛 est Imaginaire pur Réel négatif Entier naturel Réel positif
|1 − 2𝑖| = √5 3 2 - 3
|−3𝑖𝑧| = −3 × |𝑧| √3𝑧 3𝑖𝑧 3 × |𝑧|
|(1 + 𝑖) + (3 − 2𝑖)| = √15 1 +1 + 3 √17 (1 + 𝑖) + (3 − 2𝑖)
+ (−2)
arg (−1 + 𝑖) = 3𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
+ 2𝑘𝜋 − + 2𝑘𝜋 + 2𝑘𝜋 − + 2𝑘𝜋
4 6 3 4
Si arg (𝑧) = 0 + 2 𝑘 𝜋, pour 𝒛 est nul 𝒛 est un réel 𝒛 est un reel 𝒛 est imaginaire pur
𝑘 entier relatif alors strictement positif négatif
Si arg (𝑧) = − + 2 𝑘 𝜋, 𝑘 Im (𝑧) > 0 Im (𝑧) < 0 Re (𝑧) < 0 Re (𝑧) > 0
entier relative alors
Si 𝒛 = − cos 𝜃 − 𝑖 sin 𝜃 𝜃+2𝑘𝜋 −𝜃+𝑘𝜋 𝜃+𝜋+2𝑘𝜋 −𝜃+2𝑘𝜋
𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 arg(𝑧) =
Si 𝒛 = cos(−𝜃) − 𝑖 sin(𝜃) 𝜃+2𝑘𝜋 −𝜃+2𝑘𝜋 𝜃+𝜋+2𝑘𝜋 −𝜃+ 𝑘𝜋
𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 arg(𝑧) =
Si 𝒛 = − sin 𝜃 − 𝑖𝑐𝑜𝑠 𝜃 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
− 𝜃+2𝑘𝜋 − − 𝜃+2𝑘𝜋 + 𝜃+2𝑘𝜋 − + 𝜃+2𝑘𝜋
𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 arg(𝑧) = 2 2 2 2
Si 𝒛 = −2 (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖 sin ) arg (𝑧) = + 2 𝑘 𝜋 arg (𝑧) = − + arg (𝑧) = − + arg (𝑧) = + 2 𝑘 𝜋
2𝑘𝜋 2𝑘𝜋
𝑒 𝜋 0 1
𝑒 +𝑒 =
2
2𝑒 = −1 − 𝑖√3 1 + 𝑖√3 √3 + 𝑖 −√3 − 𝑖
Im – 𝑖𝑧 = − 𝑅𝑒(𝑧) − 𝑖 𝐼𝑚 (𝑧) 𝑖 𝑅𝑒(𝑧) − 𝐼𝑚 (𝑧)
Si 𝒛 = − 2 + √2 + 2√2 −2𝑖 (2 + √2) 2 + √2 + 𝑖 (2 2√2 − 2𝑖√2
𝑖 2 + √2, alors 𝑧 = − √2)
L’ensemble des points 𝑀(𝑧) Une demi-droite Un cercle Un point Une droite
tels que
|𝑧 − 𝑖| = |𝑧| est
Si = 𝑖 alors ABC est un triangle ABC est un triangle ABC est un OABC est un
rectangle isocèle en isocèle en B triangle rectangle parallélogramme
A en B
L’ensemble des points 𝑀(𝑧) Une demi-droite Un cercle Un point Une droite
tels que
|𝑧| = 2 est
L’ensemble des points 𝑀(𝑧) Une demi-droite Un cercle Un point Une droite
tels que
arg (𝑧) = + 𝑘 𝜋 est

Sujet 23

Exercice 1

La plan complexe 𝐶 est muni de repère orthonormal direct ( 0 , 𝑢⃗, 𝑣⃗ ). On considère les points 𝐴, 𝐵, 𝐶
et 𝐷 d’affixes respectives : 𝑍 = 1 − 𝑖 ; 𝑍 = 3 − 2𝑖 ; 𝑍 = −1 + 2𝑖 et 𝑍 = − 3 + 2𝑖 .

1. Citez les éléments caractéristiques d’une similitude plane indirecte.


2. Soit l’application f définie dans 𝐶 telle que, f ∶ Z = a Z + b où Z désigne le nombre
complexe conjugué de z.
Déterminer les nombres a et b sachant que f (A) = C et f (B) = D
3. Donner la nature de l’application f.
4. Déterminer les éléments caractéristiques de l’application f.

Exercice 2

Dans le plan orienté, on considère le carré direct ABCD centré en 0. Les points I, J, k et L sont milieux
respectifs des segments des cotés [𝐴𝐵], [𝐵𝐶], [𝐶𝐷] et [𝐷𝐴].

1. Faire une figure que l’on complétera.


2. Déterminer et construire l’ensemble (𝐸) des points 𝑀du plan vérifiant la relation :
𝜋
𝑀𝐴⃗ , 𝑀𝐷⃗ = [2𝜋]
4

3. Soit 𝑅 la rotation de centre Ω, d’angle qui transforme le point 𝐴 en 𝐷

a) Prouver que le point Ω appartient à l’ensemble (𝐸)


b) Construire le point Ω
4. On considère les rotations 𝑅 et 𝑅′de centres respectifs Ω et 𝐴 de mesures d’angles
respectives et
a) Déterminer les droites (𝐷 ) et (𝐷 ) telles que l’on ait : 𝑅 = 𝑆 𝑜𝑆 et
𝑅 = 𝑆 𝑜𝑆
b) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’application f, définie par :
f = R𝑜𝑅′
5. On rappelle que les projetés orthogonaux du foyer d’une parabole sur les tangentes à cette
parabole appartiennent à la perpendiculaire à l’axe focal de la parabole en son sommet
Soit (𝑃) la parabole de sommet le point 𝐽, d’axe focal la droite (𝐽𝐵) dont une tangente est la
droite (𝑂𝐵)
a) Montrer que le point 𝐶 est le foyer de la parabole (𝑃).
b) Montrer que la droite (𝐴𝐵) est la directrice de la parabole (𝑃).
c) Montrer que le point 𝐷 appartient à la parabole (𝑃).
d) Construire le point 𝑁 appartient de la parabole (𝑃), situé sur la droite (𝐷𝐶) puis
préciser la tangente à la parabole (𝑃) en 𝑁.
e) Construire la parabole (𝑃)
6. Construire l’image (𝑃′) de la parabole (𝑃) par la similitude plane indirecte 𝑆 de centre 𝐵, de
rapport et d’axe l droite (𝐵𝐷)

Exercice 3

𝑛 désigne un entier naturel non nul et f est la fonction numérique à variable réel 𝑥, définie sur
l’intervalle ]0 ; +∞[ par f (𝑥) = + 𝑛 𝑙𝑛𝑥

On considère la fonction g définie sur l’intervalle [0; +∞[ par : g (𝑥) = (𝑥 − 1)𝑒 + 𝑙𝑛𝑥 + 1

1. Etudier les variations de la fonction g , on dressera le tableau des variations


2. Etudier le signe de la fonction g sur l’intervalle [0; +∞[
( )
3. Montrer que pour tout 𝑥 > 0, on a la dérivée : f (𝑥) =
4. En déduire le sens de variations de la fonction f
5. Calculer les limites de la fonction f en 0 et en +∞ puis dresser le tableau de variations de la
fonction f
6. a) Montrer que l’équation f (𝑥) = 0, admet une solution unique ∝ 𝜖 ]0 ; 1[
b) Montrer que pour tout entier 𝑛 ≥ 1, f (∝ ) = ln (∝ ), avec 0 <∝ < 1
c) En déduire que ∝ − ∝ > 0 et que la suite (∝ ) est convergente.

Exercice 4 :

1. Résoudre l’équation différentielle (𝐸) : 𝑦 + 2𝑦 + 5𝑦 = 0, on notera 𝑦 = f (x) la solution


générale de cette équation
2. Déterminer la solution particulière f de (𝐸) telle que : f (0) = 0 et f′ (0) = 2
3. Calculer l’intégrale ∫ f (𝑥)𝑑𝑥

Sujet 24

Exercice 1 :

L’espace vectoriel rapporté à une base 𝐵 = (𝚤⃗, 𝚥⃗, 𝑘⃗ ) et f un endomorphisme de 𝐼𝑅 définit par :

𝑓(𝚤⃗) = 3 𝚤⃗ + 𝚥⃗ + 2 𝑘⃗
𝑓(𝚥⃗) = 2 𝚤⃗ − 2 𝑘⃗  
𝑓 𝑘⃗ = 2 𝚤⃗ + 𝚥⃗ + 3 𝑘⃗

1. Donner la matrice 𝑀 de f dans la base 𝐵


2. Déterminer l’expression analytique de f
3. Soit le vecteur 𝑉⃗ (−2 ; 0 ; 1) de 𝐼𝑅 . Déterminer les coordonnées de 𝑉⃗ ′ image de du vecteur
𝑉⃗
4. Déterminer le noyau de Kerf et donner son vecteur de base u ⃗
5. Déterminer l’image 𝐼𝑚𝑓 et donner son vecteur de base u ⃗ et u ⃗
6. On donne u ⃗(−1 ; ; 1) ; u ⃗(5 ; 1 ; 0) et u ⃗(−1 ; 0 ; 1)
a) Montrer que (u ⃗ ; u ⃗ ; u ⃗) est une base de 𝐼𝑅
b) Exprimer 𝚤⃗ ; 𝚥⃗ et 𝑘⃗ en fonction de u ⃗ ; u ⃗ et u ⃗

Exercice 2 :

Soit un espace vectoriel de base (𝚤⃗, 𝚥⃗, 𝑘⃗ ), on définit une application f


de 𝐼𝑅 dans 𝐼𝑅 qui, à tout
vecteur 𝑢⃗ (𝑥, 𝑦, 𝑧) associe un vecteur 𝑢⃗ = 𝑓(𝑢⃗) dont les composantes (𝑥′, 𝑦′, 𝑧′) dans la base (𝚤⃗, 𝚥⃗, 𝑘⃗ )
sont définis par :
𝑥 = −𝑥 + 𝑦 + 2 𝑧
𝑦 =𝑥+ 2𝑦+𝑧  
𝑧 =𝑥+𝑦

1. Ecrire la matrice de l’application 𝑓 dans la base (𝚤⃗, 𝚥⃗, 𝑘⃗ )


2. 𝑓 est – elle bijective ?
3. 𝑎) Déterminer le noyau de Kerf et donner son vecteur de base
𝑏) Déterminer l’image 𝐼𝑚𝑓 et donner son vecteur de base e ⃗ et e ⃗

𝑐) Montrer que (e ⃗ ; e ⃗ ; e ⃗) est une base de 𝐼𝑅

4. Soit 𝑢⃗ un vecteur de 𝐼𝑅 de composantes (2 ; 𝑎 ; 𝑏) dans la base (𝚤⃗, 𝚥⃗, 𝑘⃗ ). Calculer 𝑎 et 𝑏


pour que 𝑢⃗ ∈ Kerf

Exercice 3 :

On considère le nombre complexe 𝑃 défini par 𝑃(𝑧) = 𝑧 − (6 + 6𝑖)𝑧 + 21𝑖𝑧 + 15 − 5𝑖

1. Résoudre dans 𝐶 l’équation 𝑧 − (6 + 5𝑖)𝑧 + 5 + 15𝑖 = 0


2. Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 tels que 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 𝑖)(𝑧 + 𝑎𝑧 + 𝑏)
3. En déduire dans 𝐶 la solution de l’équation 𝑃(𝑧) = 0
4. Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗), on considère les points
du plan 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives z = 𝑖 ; z = 3 + 𝑖 et z = 3 + 4𝑖
a) Calculer
b) En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶
c) Donner l’angle de rotation 𝑅 de centre 𝐵 qui transforme 𝐴 en 𝐶.
d) Déterminer l’écriture complexe de l’homothétie ℎ de centre 𝐵 t de rapport 2
5. Soit la similitude plane directe définie par 𝑆 = 𝑅𝑜ℎ
a) Démontrer que l’écriture complexe 𝑆 ∶ 𝑧 = 2𝑖𝑧 + 1 + 7𝑖
b) Déterminer l rapport, le centre, et l’angle de la similitude plane directe 𝑆
c) Exprimer x’ et y′ en fonction de x et de y

Exercice 4 :

On considère le nombre complexe 𝑃 défini par 𝑃(𝑧) = 𝑧 − 𝑖𝑧 + (1 − 𝑖)𝑧 − 2 + 2𝑖

1. Résoudre dans 𝐶 l’équation 𝑧 + (1 − 𝑖)𝑧 + 2 − 2𝑖 = 0


2. Montrer que l’équation que 𝑃(𝑧) = 0 admet une solution réelle
3. Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 tels que 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 1)(𝑧 + 𝑎𝑧 + 𝑏)
4. Résoudre dans 𝐶 l’équation 𝑃(𝑧) = 0
5. Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗), on considère les points
du plan 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives z = 1 ; z = −1 − 𝑖 et z = 2𝑖
a) Donner l’écriture complexe de la similitude plane directe 𝑆 qui transforme 𝐴 en 𝐵 et
𝐵 en 𝐶
b) Déterminer l rapport, le centre, et l’angle de la similitude plane directe 𝑆.
c) Soient les points 𝑀(𝑥, 𝑦) et 𝑀 (𝑥 , 𝑦 ) d’affixes respectives 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et
𝑧′ = 𝑥′ + 𝑖𝑦′. Exprimer 𝑥 et 𝑦 en fonction de 𝑥 et y

Exercice 5 :

1. Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé, on considère l’application f qui à


tout points 𝑀(𝑥, 𝑦) d’affixe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 associe le point 𝑀 (𝑥 , 𝑦 ) d’affixe 𝑧′ = 𝑥′ + 𝑖𝑦′ telle
𝑥 = −𝑥 + 𝑦 + 2 
que :
𝑦 = −𝑥 − 𝑦 + 1
a) Déterminer l’écriture complexe de l’application f.
b) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de 𝑆
c) Calculer 𝑠𝑜𝑠
2. a) Déterminer l’expression de la rotation 𝑅 de centre le point 𝐴 d’affixe z = 2 et
d’angle 𝜃 =
b) Déterminer l’affixe du point 𝐶, image du point 𝐵 d’affixe z = 2 + 2𝑖 par la rotation
𝑅
c) Déterminer l’affixe du point 𝐷 le symétrique du point 𝐴 par rapport à 𝐵
d) Calculer . que peut-on dire des points 𝐴𝐵𝐷 ?

Sujet 25

Exercice 1 :

Dans le plan complexe 𝑃 rapporté à un repère orthonormal direct (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗)

1. on considère les points du plan 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives z = −2 − 2𝑖 ; z = 2 et


z = −2 + 2𝑖
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶
b) Calculer l’affixe z tel que 𝐴𝐵𝐶𝐷 soit un parallélogramme, placer 𝐷
2. Soit 𝐸 l’image du point 𝐷 par la rotation 𝑅 de centre 𝐵 et d’angle − , et 𝐾 l’image du point
𝐷 par la rotation 𝐶 de centre 𝐵 et d’angle
a) Calculer les affixes z et z des points 𝐸 et 𝐾
3. a) Vérifier que =𝑖
b) En déduire la nature du triangle Calculer 𝐴𝐸𝐾

Exercice 2 :
1. Dans le plan muni d’un repère orthonormé direct (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗), on considère les points 𝐴 et 𝐵
d’affixes respectives, 2 − 2𝑖 et 2 + 2𝑖
a) Ecrire sous la forme algébrique le complexe 𝑍 =
b) En déduire la nature du triangle 𝑂𝐴𝐵
2. On considère l’application f du plan 𝑃 dans lui-même qui à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧 associe le
point 𝑀′ du plan d’affixe 𝑧′ tel que 𝑧 = 𝑒 𝑧
a) Préciser la nature de f
b) Ecrire sous trigonométrique puis sous la forme algébrique l’affixe Z , du point 𝐴′ tel
que 𝐴 = 𝑓(𝐴)
c) En déduire les valeurs exactes cos et sin

Exercice 3 :

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗), on prendra 2 𝑐𝑚 pour unité
graphique. Soit 𝐴 le point d’affixe 𝑖 et 𝐵 le point d’affixe 2.

1. a) Déterminer l’affixe du point B image de 𝐵 par l’homothétie de centre 𝐴 et de


rapport √2
b) Déterminer l’affixe du point 𝐵′ image de B par la rotation de centre 𝐴 et d’angle
c) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐵′ dans le plan complexe (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗)
2. On appelle f la transformation du plan dans lui-même qui à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧 associe le
point 𝑀′ du plan d’affixe 𝑧′ tel que 𝑧 = (1 + 𝑖)𝑧 + 1
a) Déterminer la nature de f
b) Déterminer les éléments caractéristiques de f
c) Montrer que 𝐵 à pour image 𝐵′ par f
d) Montrer que 𝐴 est le seul pont invariant par f
e) Déterminer l’expression analytique de f

Exercice 4 :

Dans le plan complexe 𝑃 rapporté à un repère orthonormal direct (0 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗). unité graphique cm. on
considère les points du plan 𝐴, 𝐵 𝐶 et 𝐷 d’affixes respectives z = −√3 − 𝑖 ; z = 1 − 𝑖√3 et
z = √3 + 𝑖 et z = − 1 + 𝑖√3

1. Former une équation complexe de degré 4


2. a) Donner le module et l’argument pour chacun des quatre nombres complexes
b) Placer les points 𝐴, 𝐵 𝐶 et 𝐷
c) Quelle est la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷
3. On considère la rotation 𝑟 de centre 𝐵 et d’angle − . soit 𝐸 et 𝐹 les points du plan définis
par 𝐸 = 𝑟(𝐴) et 𝐹 = 𝑟(𝐶)
a) Déterminer l’écriture complexe de 𝑟
b) Calculer l’affixe du point 𝐸 et l’affixe du point 𝐹
c) Exprimer x’et y’ en fonction de x et y
Exercice 5 :

Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct (𝐴 ; 𝑢⃗ ; 𝑣⃗) , on considère les points
𝐴 et 𝐷 tels que 𝐴𝐵⃗ = 2𝑢⃗ et 𝐴𝐷⃗ = 3𝑣⃗ et 𝐶 le point tel que le quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 soit un
parallélogramme. On fera une figure que l’on complétera au fur et à mesure.

1. Déterminer les affixes des points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝐷


2. Soit 𝐸 image de 𝐵 par la translation de vecteur 𝐷𝐵⃗. Déterminer l’affixe z de 𝐸.
3. Déterminer les nombres réels 𝑎 et b tels que le point 𝐹 d’affixe z = 6 − 𝑖 soit le barycentre
des points pondérés (𝐴, 𝑎) ; (𝐵, 𝑏) et (𝐶, 1)
4. On considère la similitude plane directe 𝑆 qui transforme 𝐴 en 𝐸 et 𝐵 en 𝐹
a) Définir les éléments caractéristiques d’une similitude plane directe
b) Donner l’écriture complexe de la similitude plane directe 𝑆
c) Déterminer les éléments caractéristiques
d) Déterminer l’affixe du point 𝐶′ image de 𝐶 et l’affixe du point 𝐷′ image de 𝐷
e) Déterminer l’écriture complexe 𝑑 f telle que 𝑓 = 𝑠𝑜𝑠
f) Déterminer l’expression analytique de 𝑠

Vous aimerez peut-être aussi