Moteur CC
Moteur CC
Moteur CC
Le moteur à courant continu
I – Introduction
Le présent document s'inscrit dans le cadre de l'enseignement de la motorisation en BTS
Conception de Produits Industriels (C.P.I). Le référentiel de formation stipule de traiter du choix des
motorisations à un niveau d'expression pour les connaissances et à un niveau de maîtrise d'outil pour
le choix proprement dit. Le niveau d'expression est relatif à l'acquisition de moyens d'expression et
de communication, c'estàdire la capacité à utiliser les termes composants la discipline, dans ce cas
Cours
: le moteur courant continu. Cette indication justifie en partie la présentation à partir de la
constitution technologique, le but étant d'acquérir le vocabulaire spécifique.
Le niveau de maîtrise d'outil est relatif à la maîtrise de procédés et d'outils d'étude, c'estàdire la
capacité à utiliser, à manipuler des règles, des principes, en vue d'un résultat à atteindre. Cette
indication justifie l'apport succinct des relations et des lois qui régissent le moteur pour entrer dans
la compréhension des spécifications techniques fournies par les constructeurs.
Le but de cette partie du cours est d'élaborer une représentation mentale aussi claire et fidèle que
possible du moteur à courant continu.
II – Constitution du moteur
-
1. Le principe physique fondamental
Tous les moteurs électriques sont basés sur le principe physique du couplage magnétique entre deux
champs magnétiques. La transformation de l'énergie électrique en énergie mécanique s'opère à
travers ce couplage magnétique ou interaction magnétique. De ce principe il découle que tout
moteur comporte deux circuits magnétiques, appelés stator (partie fixe) et rotor (partie mobile).
Dans le cas du moteur à courant continu le stator, aussi appelé inducteur, crée un champ magnétique
Synthèse
Bs. Le rotor, aussi appelé induit, est alimenté par un courant continu. Les conducteurs du rotor
traversés par le courant sont immergés dans le champ Bs, or le physicien Laplace découvrit que le
conducteur est soumis à une force F = Bs^I (^ = produit vectoriel entre les deux vecteurs). C'est
cette force qui va faire tourner le rotor et créer le couple moteur.
La constitution technologique du moteur matérialise ce principe de fonctionnement.
2. Stator du moteur courant continu
Le stator est constitué de la carcasse du moteur et du circuit magnétique proprement dit. Un circuit
magnétique est constitué d'une structure ferromagnétique qui canalise le flux magnétique, créé par
une source de champ magnétique : aimant permanent ou électroaimant.
Le circuit magnétique du stator crée le champ magnétique appelé « champ inducteur » (Bs).
L'inducteur magnétise le moteur en créant un flux magnétique () dans l'entrefer. L'entrefer est
l'espace entre les pôles du stator et le rotor. Le flux magnétique est maximal au niveau des pôles
magnétiques.
Illustrons ce vocabulaire avec une photo.
Il s'agit du moteur courant continu qui assure l'entraînement du Scootelec de Peugeot.
Carcasse
du stator
Enroulement de
l'inducteur
Pôle magnétique de
l'inducteur, avec les
épanouissements
Cours
polaires
Epanouissement
-
polaire
Revenons à la photo d'ensemble pour la commenter d'un point de vue magnétique :
Pôle Sud
Pôle
Nord
Synthèse
Pôle
Nord
Pôle Sud
Ligne
neutre
Ce moteur possède 2 paires de pôles inducteurs (Nord – Sud) pour mieux répartir le flux
magnétique dans la machine. Les lignes de champ magnétique vont du pôle Nord vers le pôle Sud.
La configuration des pôles est donnée pour un sens du courant inducteur. Si le courant est inversé, le
pôle Sud devient un pôle Nord et inversement. C'est une possibilité pour inverser le sens de rotation
du moteur, mais elle est peu utilisée.
Lorsque la spire, ou section, de l'induit (paragraphe suivant) est sur la « ligne neutre », les forces
électromotrices induites dans les conducteurs sont nulles et la spire est en courtcircuit par les
balais.
3. Rotor du moteur courant continu
Enroulement
de l'induit
Roulement du Axe du
palier moteur
mécanique claveté
Cours
magnétique maintient un
“induit” qui est angle de 90°
feuilleté et entre le champ
réalisé par un magnétique
empilement de induit et le
tôles champ
magnétique
inducteur :
condition pour la
transmission
-
optimale du
couple.
Synthèse
Cours
Les deux figures cidessous représentent les deux types d'exécution des enroulements de l'induit.
Enroulement imbriqué
Enroulement
ondulé
-
Lame du
collecteur
Balais borne + de
l'alimentation
continue
Synthèse
4. Balais et porte balais
Porte balais relié
électriquement par une tresse
conductrice au câble
d'alimentation
Balais à base de graphite, ni
trop dur, ni trop tendre
Câble
d'alimentation en
16 mm2
Isolation électrique de
la carcasse du moteur
Cours
par un support
cartonné.
Câble d'alimentation du moteur
avec la cosse sertie.
-
Repère du câble présent sur le
schéma électrique et qui
identifie clairement le câble.
III – Relations électriques
1. Schéma équivalent Synthèse
R L
U E
1.1 Force électromotrice
La grandeur clé du moteur courant continu est la force contreélectromotrice E.
Son expression est :
p
E= N n flux
a
p : nombre de paires de pôles. Dans l'exemple du moteur du Scootelec p = 2.
a : nombre de paires de voies d'enroulement. Ce paramètre dépend de l'exécution du bobinage de
l'induit.
N : nombre de conducteur dans une section de l'enroulement induit.
n : vitesse de rotation du rotor en tr/s
flux : flux magnétique inducteur créé par un courant inducteur ou un aimant permanent. En
Cours
général, le flux est constant. L'unité du flux magnétique est le Weber (Wb).
E : force contreélectromotrice en Volt (V).
Le rapport Kv = pN/a est une donnée constructeur qui s'appelle en générale « constante de
vitesse » pour les moteurs de faible puissance.
La relation générale se réduit dans cette situation particulière à :
E=Kv.n
1.2 Les impédances équivalentes
R : C'est la résistance totale : câble, balais, lame de collecteur et enroulement d'induit. La résistance
-
s'exprime en Ohm ()
L : C'est l'inductance de l'enroulement d'induit. Elle intervient dans les régimes transitoires
d'alimentation du moteur. L'inductance s'exprime en Henri (H)
L/R : la constante de temps électrique du moteur courant continu. Elle intervient pour déterminer
les limites de fréquence lors d'une alimentation du moteur par une commande électronique de type
hacheur (commande qui sera développée dans un autre cours).
Synthèse
1.3 Application de la loi d'Ohm
U : tension d'alimentation du moteur en Volt (V)
U=E R.I en régime continu
Dans le cas d'un régime transitoire la relation devient :
L.dI
U=E R.I Voir le cours de physique appliquée sur les régimes transitoires.
dt
1.4 Application de la loi de la puissance
La puissance électromagnétique est :
Pe=E.I Pe s'exprime en Watt (W).
La puissance absorbée sur le réseau est :
Pa=U.I Pa s'exprime en Watt (W).
La puissance utile est la puissance disponible sur l'arbre moteur. C'est cette puissance qui est donnée
dans les catalogues constructeurs.
Pu=C. Pu s'exprime en Watt (W)
1.5 Relations du couple
A partir de la puissance électromagnétique il est possible de déduire la relation du couple
électromagnétique transmis dans l'entrefer du moteur.
Ce=Kc.I dans le cas d'un flux constant le coefficient Kc s'appelle « constante de couple » dans
la documentation constructeur.
Le couple utile sur l'arbre moteur peut être déduit de la relation de la puissance utile, soit :
Pu
Cu=
1.6 Rendement
Cours
Le rendement du moteur est donné par la relation :
Pu
=
Pa
2. Règlage de la vitesse
La relation de la vitesse de rotation déduite de l'expression de la force électromotrice indique les
deux possibilités de réglage de la vitesse.
U
n=
-
K.
K est une constante de construction du moteur : nombre de paires de pôles, nombre de voies
d'enroulement, nombre de conducteurs par section.
2.1 Action sur la tension d'alimentation
La relation cidessus montre que la vitesse est directement proportionnelle à la tension
d'alimentation (U) lorsque le flux magnétique () est constant.
La variation de la tension d'alimentation est obtenue par un montage redresseur d'électronique de
Synthèse
puissance. Ce montage sera approfondi lors de l'étude des variateurs de vitesse pour moteur courant
continu.
2.2 Action sur le flux
Lorsque le courant inducteur diminue, le flux magnétique dans le moteur diminue. Cette diminution
provoque une augmentation de la vitesse, pouvant aller jusqu'à l'emballement du moteur et sa
destruction.
Outre ce risque, la diminution du flux conduit aussi à une diminution du couple moteur qui est
directement proportionnel au flux, selon la relation :
Ce=K. . I
L'action sur le flux permet une légère survitesse avec une diminution du couple utile. Son utilisation
est très spécifique.
IV – Décodage de la documentation constructeur
1. Actigramme
L'actigramme fonctionnel d'un moteur électrique, rappelé cidessous, peut être utilisé pour un
décodage rapide de la documentation constructeur.
Cette présentation permet, en un coup d'oeil, de repérer les informations fournies par le constructeur
et d'apprécier l'adéquation à la situation étudiée.
L'actigramme est considéré dans ce contexte comme un outil de lecture.
Contraint
Cours
es
Energie Energie
électrique mécanique
Transformer
-
Constitution
technologique du
moteur
1.1 Energie électrique
L'énergie électrique se caractérise par les grandeurs physiques électriques génériques :
• le type de réseau électrique, indication sur la source de l'énergie électrique : piles,
alimentation continue, réseau redressé ...
Synthèse
• la tension ou différence de potentiel (V)
• le courant électrique ou intensité (I)
• la puissance absorbée (W)
La documentation constructeur peut spécifier différents courants suivant l'état de fonctionnement du
moteur.
Du côté électrique il faut inclure la dimension sécurité :
• sécurité des personnes : schémas de liaison à la terre TT, IT, TN
• sécurité des biens : protection contre les surcharges, les surintensités, les surtensions
1.2 Energie mécanique
L'énergie mécanique se caractérise par les grandeurs physiques mécaniques génériques :
• le type de charge : charge à couple constant, parabolique, hyperbolique ou linéaire en
fonction de la vitesse de rotation
• la vitesse de rotation (rd/s ou tr/s ou tr/min)
• le couple (Nm)
• la puissance utile (W)
Comme pour le courant électrique, la documentation constructeur peut spécifier différents couples
suivant l'état de fonctionnement du moteur. Rappelons qu'il existe une relation directe entre le
couple et le courant absorbé dans le cas du moteur à courant continu (paragraphe 1.5).
Il existe d'autres paramètres qui spécifient la sortie accouplée à la charge à entraîner :
• les quadrants de fonctionnement : charge entraînée – charge entraînante
• le facteur de marche
• le type de service : continu (S1) à intermittent (S8) conditionne l'échauffement du moteur
• le moment d'inertie ramené sur le rotor du moteur (kg.m2)
1.3 Contraintes
Les contraintes sont les conditions qui permettent de remplir la fonction dans les meilleurs
Cours
conditions. Nous trouvons :
• l'environnement : influences externes, encombrement ...
• la ventilation forcée pour les puissances importantes
1.4 Constitution technologique du moteur
Dans cette partie sont regroupés toutes les informations inhérentes à la construction du moteur :
• le rendement
• la résistance () ou Ohm
• l'inductance (H) ou Henri
• la position de montage
le nombre de lames au collecteur
-
•
• ...
2. Exemple pour un moteur courant continu de faible puissance
Extrait du catalogue du constructeur MDP (site : http://www.mdpmotor.com/)
Synthèse
Cours
-
Établissons l'actigramme pour ce moteur.
Contraintes
3. Caractéristique Couple – Vitesse
Il est possible à partir des informations cidessus de retrouver la modélisation du moteur à courant
continu. Nous laissons le soin à l'étudiant d'établir les schémas de la modélisation.
Nous limiterons l'exploitation des informations à la caractéristique Couple – Vitesse.
n (tr/min)
5000 nL (tr/min)
3100
Cours
n0 (tr/min)
nn (tr/min) à In
2857 Point de fonctionnement
nominal
Caractéristique
pour Ua 40 V
Cn (mNm) à In Cd (mNm)
-
714 6120 C (mNm)
Pente vitesse/couple
0,34 tr/mn/mNm
4. Exemple pour un moteur courant continu de forte puissance
Extrait du catalogue moteur courant continu du constructeur Siemens.
Synthèse
Établissons l'actigramme pour ces moteurs.
Énergie pour la
Contraintes ventilation forcée
Energie mécanique
Energie électrique
Transformer
Tension d'alimentation (V) Vitesse pour différentes
Courant max permanent (IN) tensions (nN) (rpm)
Cours
(A) Couple nominal (MN) (Nm)
Constitution Puissance nominale (PN) (kW)
technologique du Vitesse maximale (nFmax)
moteur (rpm)
Rendement ()(%)
Résistance aux bornes (Ra)
(Ohm)
Inductivité (La) (mH)
-
Nous constatons que les informations fournies sont moins nombreuses. En effet, les applications de
forte puissance nécessitent moins de détails. Les grandeurs génériques sont suffisantes.
5. Exemple d'application dans l'aciérie
Cahier des charges :
Le pont roulant lève une poche de fonte de 80 tonnes
maximum.
Synthèse
La vitesse linéaire de levage est de 0,05 m/s max. Dans
un premier temps nous négligeons la phase
d'accélération.
Les rendements mécaniques estimés sont :
● ensemble treuil – poulie – câble = 0,95
● réducteur = 0,85
Le diamètre primitif du treuil est de 30 cm.
Le réseau d'alimentation électrique est de 3 x 400 V et le schéma de liaison à la terre (SLT) : TN
Exploitation des informations du cahier des charges :
● Le moteur à courant continu doit être alimenté par un réseau de tension continue, or nous
sommes pour l'instant en présence d'un réseau alternatif : 3 x 400 V. Il faudra donc prévoir
un convertisseur alternatif/continu : variateur de vitesse.
● Le mouvement de translation linéaire est transformé en mouvement de rotation au niveau du
treuil. Là encore pour simplifier l'étude, nous considérerons seulement deux brins dont un
fixé au bâti du pont roulant.
Traduction du cahier des charges sous la forme d'un synoptique :
Treuil
Cours
Diamètre : Moteur
Réseau triphasé :
30 cm Réducteur courant
3x400 V
T= 0,95 = 0,85 continu
Variateur
? ? de vitesse
-
Vitesse linéaire :
5 cm/s
Poche de fonte :
80 tonnes
Synthèse
Détermination de la puissance au niveau de la charge :
La relation générique de la puissance pour un mouvement linéaire est P = F . v.
Soit Pcharge = Fcharge . vcharge = Mcharge . g . vcharge = 80000.9,81.0,05 = 39240 W
Détermination de la puissance au niveau du treuil :
La puissance au niveau du treuil est :
Pcharge
Ptreuil =
treuil
Soit l'application numérique :
39240
Ptreuil = =41305W
0,95
Détermination de la puissance au niveau du moteur :
La puissance au niveau du moteur est :
Ptreuil
Pmoteur=
réducteur
Soit l'application numérique :
41305
Pmoteur= =48595W
0,85
Détermination de la vitesse de rotation à la sortie du treuil :
La relation générique pour passer de la vitesse linéaire à la vitesse de rotation est : v = R
Dans la situation étudiée, la vitesse linéaire du brin mobile est 2 fois plus grande que la vitesse
linéaire de la charge, par le fait du point fixe relié au bâti.
2.v 4.v
Cours
treuil= =
Dtreuil Dtreuil
2
Soit l'application numérique :
0,05
treuil=4. =0,67rd /s
0,3
Transformons cette vitesse de rotation en tr/min, grandeur communément rencontrée dans les
catalogues constructeurs.
30. 30.0 ,67
Ntreuil = = =6,4 tr / min
-
Détermination du motoréducteur + variateur
A ce stade de la résolution nous sommes en présence de l'ordre de grandeur des puissances utiles et
de la vitesse de rotation à la sortie treuil.
Nous devons maintenant nous intéresser à l'aspect technologique pour poursuivre. Ce sont en effet
les caractéristiques constructeurs qui vont définir les possibles de réalisation.
Synthèse
somer.com/catalogueindustrie2005/
Pour un réseau d'alimentation triphasé de 3 x 400 V la tension maximale délivrée par un variateur
DMV 2322 ou DMV 2342 est de 460 V.
Cette tension va permettre de sélectionner la tension d'induit dans le tableau de choix du moteur
courant continu type LSK.
Afin de limiter le rapport de réduction du réducteur, nous allons choisir une vitesse de rotation du
moteur proche de 1000 tr/min.
Présélection du moteur :
Vous trouverez l'abaque de présélection dans le menu « SELECTION » à l'adresse :
http://www.leroysomer.com/catalogueindustrie2005/2_MotCC/B03_LSK/Cadres.html
Les informations issues de cet abaque de présélection pour une tension d'induit de 460 V sont :
un moteur type LSK 1604 directement supérieur au point d'intersection (1000 tr/min et 50 kW)
Choix du moteur type LSK 1604
Le choix continu avec le menu « SELECTION » pour les moteurs LSK 1604 à l'adresse :
http://www.leroysomer.com/catalogueindustrie2005/2_MotCC/B03_LSK/Cadres.html
Dans cette gamme il existe encore 4 modèles de construction. L'exploration des différents modèles
oriente le choix sur le modèle LSK 1604L – LSK 1604CL
Pour la colonne « 460 V » nous trouvons un moteur de « classe de construction = 05 » qui présente
les caractéristiques : Pu = 50,5 kW à une vitesse Nn = 1060 tr/min.
Cours
La désignation complète du moteur est :
LSK 1604 L05 460V 1060tr/min 50,5kW IM1001 260V IC06 IP23S
Détermination du réducteur
Pour le choix du réducteur il est possible de consulter le site du constructeur MERGER qui fabrique
des réducteurs pour fortes puissances et grand rapport de réduction, dans notre cas égal à
Nmoteur/Ntreuil = 1060/6,4 = 165,6 : http://www.merger.fr/html_fr/gamme/gamme.htm
Le présent exemple pourrait être complété par l'étude de l'implantation sur le pont roulant, le calcul
de la tension d'induit délivrée par le variateur de vitesse pour obtenir la vitesse désirée, ...
-
6. Bibliographie
Vous trouverez dans la bibliographie cidessous des compléments sur le moteur courant continu vus
par différents auteurs :
− http://fr.wikipedia.org/ : portail électricité et électronique
Synthèse
Complément sur les notions de base en magnétisme et électricité.
− Cours de physique appliqué BTS Électrotechnique 1ère année : machine à courant continu à
l'adresse : http://electrotechniquecouffignal.site2.acstrasbourg.fr/coursphysique.html
− Electrosystème 1ère STI de H.Ney – édition Nathan Technique, 290p Janvier 2000
− Electrotechnique : expérimentation et mesures de Freddy Ledoux et Patrick Tirfoin – édition
BertrandLacoste, 290p Août 2005
− Electrotechnique : equipements et installations électriques BEP Classe de Terminale –
édition Delagrave, 210p Août 2002
− CAP ProElec Préparation et réalisation d'ouvrages électriques – édition Casteilla, 580p
Février 2006