Psychologie Generale
Psychologie Generale
Psychologie Generale
PRENOM : Fabiola
MATRICULE : 16D782
FILIERE : PSYCOLOGIE
NIVEAU : LICENCE 2
SUPERVISE PAR :
Pr. Edouard Adrien Mvessomba
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE 2 : La motivation
2. Emergence de la motivation
4. Motivation au travail
1. La mémoire
1.1. Définition
1.5. La modélisation
2. L’attention
2.1. Définition
3. Le raisonnement
3.1. Définition
La psychologie générale peut être définie comme une science qui cherche à élaborer des
connaissances psychologiques vraies de tout individu humain, quelle que soit son
appartenance a une sous- catégorie. C’est-à-dire qu’elle a établi des lois générales ou
universelles du psychisme. La psychologie cognitive étudie les grandes fonctions
psychologiques de l’être humain que sont la mémoire, le langage, l’intelligence, le
raisonnement, la résolution des problèmes, la perception ou l’attention. L’objet d’étude de la
psychologie générale est les fonctions psychologiques et celle cognitive fait appelle à la
perception prise dans sa forme la plus élémentaire. Ces deux disciplines ont en commun
plusieurs fonctions psychologiques telles que : La sensation, la perception, le langage,
l’intelligence, la mémoire, le conditionnement, l’apprentissage, la personnalité, le
raisonnement, les émotions. Quel serait donc l’intérêt de la psychologie générale et cognitive
dans l’histoire de la psychologie ? Dans la suite de notre devoir, nous aborderons plusieurs
points essentiels : Du behaviorisme au cognitivisme, ensuite la motivation, troisièmement les
émotions, enfin on verra quelques processus cognitifs.
CHAPITRE 1 : Du behaviorisme au cognitivisme
Le behaviorisme s’est développé dans les années 1920 et 1950.Son postulat est que les
comportements des êtres humains sont déterminés par leurs environnements (stimulus) ce qui
implique donc des expériences réalisées par PAVLOV en 1927 sur le conditionnement
animal. Cette expérience qui implique donc des expériences réalisées par PAVLOV en 1927
sur le conditionnement animal. Cette expérience montre que l’association d’un stimulus
adéquat (nourriture), Provoque la salivation au même titre qu’un stimulus non adéquat
(sonnerie, provoque aussi la salivation). Autrement dit, la sonnerie a tendance à provoquer la
salivation en lieu et place de la nourriture, d ; ou le paradigme S-R (stimulus- organisme-
comportement).
En 1919, WATSON, soutient qu’il est possible de moduler le comportement des enfants
selon la volonté de la société et en fonction des bénéfices de cette société, grâce à la
manipulation des récompenses et punitions appropriées Il s’agit-là de version radicale du
behaviorisme. Ce radicalisme s’est poursuivi avec les recherches menées par HENRY
ALLPORT .Pour celui-ci, il est possible d’envisager l’idée du contrôle total des lois qui
régissent le comportement et l’environnement. Par la suite, le behaviorisme a été
progressivement abandonne par beaucoup de chercheurs qui l’on trouve simpliste et radical,
au profit du comportementalisme. Ces derniers pensent pour leur part que nos comportements
sont influences certes par l’environnement, mais aussi par les processus internes de l’individu
(la motivation, les sentiments, les affects, les attitudes). Et par l’environnement (stimulus-
psychisme- comportement). Les recherches s’orientent vers les processus internes d’où
l’émergence du cognitivisme.
JOHN BROADUS WATSON (1878- 1958), est né à Greenville dans le sud des états unis,
dans une famille de fermiers pauvres. Il entreprend des études de philosophie, de psychologie
et de physiologie a l’université de Chicago. En 1903, il soutient une thèse de psychologie
animale intitulée ANIMAL EDUCATION, thèse dirigée par J.R ANGELL. Cette thèse traite
du rôle de la maturation neurologique dans l’apprentissage des rats blancs places dans les
BYRINTHES. Suite à sa thèse, il obtient un poste d’assistant charge du laboratoire de
psychologie de la même université. En 1908, à la demande de J.M.BALDWIN, qui lui offrait
un meilleur statut.il devient professeur de psychologie a l’université JOHN HOPKINS de
ALTIMORE et diriger le laboratoire de psychologie comparée. Durant cette période, il
développé l’essentiel du behaviorisme ainsi que quelques relations intimes avec son
assistante, ROSALINE RAYNER. Ces relations rendues publiques par son époque,
WATSON est congédie en 1920 l’institution universitaire. Suite à ce renvoi, il alla exercer ses
talents dans le monde des affaires, notamment dans la publicité, ou il devient vice-président
de l’Agence publicitaire J.W THOMPSON COMPANY. Après son départ de l’université,
WATSON s’est attache à diffuser le behaviorisme dans la société américaine, notamment en
matière d’éducation.
En 1919, Watson soutient qu’il est possible de moduler le comportement des enfants selon la
volonté de la société et en fonction des bénéfices de cette société, grâce à la manipulation des
récompenses et punitions appropriées.
Cette théorie a été développée a partir des travaux des psychologues gestaltistes comme
WOLFGANG KOHLER (1947) et (Kurt Koffka (1935). Elle s’intéresse à la façon donc les
processus internes de l’individu lui imposent sa vision du monde.
L’objet du cognitivisme c’est l’étude des conduites. Le concept de conduite est classiquement
attribue à PIAGGET (1851- 1947).en effet contrairement au behaviorisme qui focalise ses
études sur le concept de la bite noire, le cognitivisme à travers son objet d’étude, montre que
pour rendre compte du comportement il est nécessaire d’étudier les mécanismes sous-jacente
organisateurs de comportements… Le travail du psychologue est donc d’entre dans la boite
noire, d’étudier comment elle est faite et comment elle fonctionne. Ce projet n’est pas
contradictoire avec celui d’autres sciences. Méthodologiquement, le cognitivisme et le
behaviorisme partagent une même démarche de production des connaissances. Seules les
méthodes scientifiques fournissant des données publiques sont utilisables, ce qui explique les
recours à des méthodes fondées sur ses propres sentiments ou intuitions.
Plusieurs psychologues ont développé des théories relatives aux structures et processus
internes organisateurs des comportements. Pour illustrer cette perspective, nous situerons les
recherches structuralistes européennes de l’école allemande gestalttiste, l’œuvre de
PIAGET(nationalité suisse) et les propositions théoriques de FREDERIC BARTLETT(
nationalité anglaise).Pareillement, aux états unis, va progressivement s’imposer la nécessite
d’introduire des variables intermédiaires de neurocognitive dans le schéma d’étude du
comportement. A des titres différents, cette évolution doit beaucoup à l’approche cognitiviste
de l’apprentissage de TOLMAN et a l’approche fonctionnaliste des activités perceptives et de
catégorisation développée par RUNER.
Ce modèle élaboré initialement aux états unis et considère actuellement comme modèle
dominant en psychologie cognitive a émerge au contact de diverses disciplines extérieures la
psychologie. Un premier apport provient de la linguistique qui va attaquer le behaviorisme sur
un des points faibles, l’explication du langage. L’autre apport est issus des mathématiques et
d3 la technologie donc les avantages conceptuelles vont en fait légitimer ou rendre possible
une conception du fonctionnement humain différente de celle proposée par le behaviorisme. Il
s’agit de la cybernétique, de la théorie mathématique de communication et de l’intelligence
artificielle. En résumé, la linguistique CHOMSKIENNE propose une formalisation du
système de règles d’une langue. Si ce système constitue un des facteurs déterminants du
comportement langagier, il n’a pour ambition de prédire la production ou la compréhension
d’un énoncé dans une situation particulière.
CHAPITRE 2.La motivation
1. Emergence de la motivation.
Comme la psychologie, toute entière, la motivation a également une révolution mais les
sources se trouvent chez les anciens philosophes grecs (400 av.J.C) le terme motivation
est devenu aujourd’hui extrêmement populaire. Pourtant cette popularité marque une
utilisation très ressente puisqu’il n’est couramment employé que depuis la seconde moitié du
20eme siècle. L’engouement que connait la motivation est en partie lie à son odeur de soufre.
En effet, derrière ce terme se cache les raisons qui poussent tout un chacun à agir, mais aussi
qui explique pourquoi de manière énigmatique, certains réussissent et d’autres échouent.
Depuis les années 80, ALBERT BANDURA s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle.
Ce concept sincère dans le cadre de la théorie, sociocognitive, selon cette théorie, le
fonctionnement et le développement psychologique doivent être compris en considérant trois
facteurs interaction : le comportement, l’environnement et la personne. Ces facteurs
s’influencent réciproquement mais n’ont pas forcément le même impact. On parle alors de
causalité triadique réciproque. Cette théorie considère les individus comme les agents actifs
de leurs actes. La notion d’agressivité qui exerce un contrôle et une régulation de leurs actes.
Le système de soi est une des composantes de la personne, il est constitué de cognitions qui
reflètent histoire du sujet. Un élément central du système de soi est le sentiment d’efficacité
personnelle.
-étant donne les entités telles que des procédures ou des représentations cognitives, on peut
supposer que celle-ci peuvent exister en étant dans deux états différents : un état inactif ou un
état actif.
- on ajoute généralement hypothèse que, dans le cas l’état est actif, il peut exister des niveaux
plus ou moins élevés d’activités : de fait, on n’a pas seulement deux états, mais une
multiplicité. La théorie de l’activation est proposée en 1951 par DONALD ENJAMIN
LINDSLEY.
3.2. Motivation intrinsèque et extrinsèque
Depuis les années 1980. L’histoire des émotions c’est considérablement développée. L’article
évalue les quatre thèses principales, chacune étant reliée à une psychologique. La première
thèse historique s’inspire de la théorie <hydraulique> des émotions, une pensée traditionnelle
qui considère les émotions comme des énergies poussant à leur libération. Ces recherches sont
très influencées par la thèse du <Processus de civilisation> de Norbert Elias. La deuxième et
la troisième thèse s’appuient sur la théorie cognitive des émotions, qui considère celle-ci
comme une sorte d’évaluation, et sur le obstructionnisme social. Qui envisage les émotions
comme formées ou, du moins, très influencées par la culture. Les travaux de Peter Stearns et
de WILLIAM REDDY sont d’une grande importance ici, même si leurs contributions sont
différentes. Enfin, la thèse évolutionniste a influence deux historiens majeurs, DANIEL
SMAIL et PAUL HYAMS tous deux spécialiste du droit médiévale.
Chapitre 4 : quelques processus cognitifs
La psychologie générale et cognitive est très vaste et largement utilisée de façon hypothétique
la paternité étant attribue au philosophe allemand CHRISTIAN WOLFF, cette science est un
tronc commun à la psychologie. La tendance à la spécialisation des chercheurs et
l’exploitation des travaux en psychologie cognitive et générale, ne favorise pas actuellement
la constitution des modèles de synthèse.
Références bibliographiques
Wikipédia
www.somabec.com les émotions
https:\\ www.logique-emotionnelle.com
https:\\ fr.. Wikipedia.org wiki emotion
Google