Psychologie Generale

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Exposé : UE PSY 211 : psychologie générale et cognitive.

NOM DE LETUDIANTE : MAKEMTE

PRENOM : Fabiola

MATRICULE : 16D782

FILIERE : PSYCOLOGIE

NIVEAU : LICENCE 2

SUPERVISE PAR :
Pr. Edouard Adrien Mvessomba

Dr. Ngah Essomba Hélène Chantal.

ANNEE ACADEMIQUE : 2018\ 2019


PLAN DE L’EXPOSE

INTRODUCTION GENERALE

CHAPITRE 1 : du behaviorisme au cognitivisme

1. Le behaviorisme 1er paradigme de la psychologie générale


1.1.Quelques mots sur Watson et son époque
1.2. La conception watsonnienne de la psychologie
1.3.La méthode d’étude du behaviorisme
2. Cognitivisme second paradigme de la psychologie
2.1.Cognitivisme : Objet et méthode
2.2. Emergence et développement de la psychologie cognitive
2.3.Emergence du model de traitement de l’information

CHAPITRE 2 : La motivation

2. Emergence de la motivation

2.2. Premières approches motivationnelles

2.3. La résignation apprise

2.3. L’auto efficacité

3. Motivation du libre choix

3.1. Niveau d’activation

3.2. Motivation intrinsèque et extrinsèque

3.3. Réactance psychologique

4. Motivation au travail

4.1. Théorie V.I.E

4.2. La pyramide de MASLOW

4.3. La théorie bi-factorielle


CHAPITRE 3. Les émotions

3.1. Qu’est-ce qu’une émotion ?

3.1.1. Histoire des concepts émotionnels

3.1.2. De l’illogisme a la logique émotionnelle

3.2. Quelques modèles émotionnels en psychologie

3.2.1. Développement des émotions

3.2.2. Emotions primaire et universelle

3.3. Les circonstances d’apparition des émotions

3.3.1. Les modèles pathologiques

3.4. Soigner ses émotions

3.4.1. Faut-il vivre avec ses émotions ?

3.4.2. Comment soigner des émotions ?

CHAPITRE 4 : Quelques processus cognitifs

1. La mémoire

1.1. Définition

1.2. Méthode d’étude de la mémoire

1.3. Registre mnésique

1.4. Traitement en mémoire

1.5. La modélisation

2. L’attention

2.1. Définition

2.2. Différentes formes d’attention


2.3. Processus auto et contrôle

2.4. Modélisation de l’attention

3. Le raisonnement

3.1. Définition

3.2. Le raisonnement démonstratif (inductif)

3.3. Le raisonnement démonstratif

3.4. Modélisation du raisonnement

3.5. Les biais du raisonnement


INTRODUCTION

La psychologie générale peut être définie comme une science qui cherche à élaborer des
connaissances psychologiques vraies de tout individu humain, quelle que soit son
appartenance a une sous- catégorie. C’est-à-dire qu’elle a établi des lois générales ou
universelles du psychisme. La psychologie cognitive étudie les grandes fonctions
psychologiques de l’être humain que sont la mémoire, le langage, l’intelligence, le
raisonnement, la résolution des problèmes, la perception ou l’attention. L’objet d’étude de la
psychologie générale est les fonctions psychologiques et celle cognitive fait appelle à la
perception prise dans sa forme la plus élémentaire. Ces deux disciplines ont en commun
plusieurs fonctions psychologiques telles que : La sensation, la perception, le langage,
l’intelligence, la mémoire, le conditionnement, l’apprentissage, la personnalité, le
raisonnement, les émotions. Quel serait donc l’intérêt de la psychologie générale et cognitive
dans l’histoire de la psychologie ? Dans la suite de notre devoir, nous aborderons plusieurs
points essentiels : Du behaviorisme au cognitivisme, ensuite la motivation, troisièmement les
émotions, enfin on verra quelques processus cognitifs.
CHAPITRE 1 : Du behaviorisme au cognitivisme

Le behaviorisme s’est développé dans les années 1920 et 1950.Son postulat est que les
comportements des êtres humains sont déterminés par leurs environnements (stimulus) ce qui
implique donc des expériences réalisées par PAVLOV en 1927 sur le conditionnement
animal. Cette expérience qui implique donc des expériences réalisées par PAVLOV en 1927
sur le conditionnement animal. Cette expérience montre que l’association d’un stimulus
adéquat (nourriture), Provoque la salivation au même titre qu’un stimulus non adéquat
(sonnerie, provoque aussi la salivation). Autrement dit, la sonnerie a tendance à provoquer la
salivation en lieu et place de la nourriture, d ; ou le paradigme S-R (stimulus- organisme-
comportement).

En 1919, WATSON, soutient qu’il est possible de moduler le comportement des enfants
selon la volonté de la société et en fonction des bénéfices de cette société, grâce à la
manipulation des récompenses et punitions appropriées Il s’agit-là de version radicale du
behaviorisme. Ce radicalisme s’est poursuivi avec les recherches menées par HENRY
ALLPORT .Pour celui-ci, il est possible d’envisager l’idée du contrôle total des lois qui
régissent le comportement et l’environnement. Par la suite, le behaviorisme a été
progressivement abandonne par beaucoup de chercheurs qui l’on trouve simpliste et radical,
au profit du comportementalisme. Ces derniers pensent pour leur part que nos comportements
sont influences certes par l’environnement, mais aussi par les processus internes de l’individu
(la motivation, les sentiments, les affects, les attitudes). Et par l’environnement (stimulus-
psychisme- comportement). Les recherches s’orientent vers les processus internes d’où
l’émergence du cognitivisme.

1.1. Quelques mots sur WATSON et son époque

JOHN BROADUS WATSON (1878- 1958), est né à Greenville dans le sud des états unis,
dans une famille de fermiers pauvres. Il entreprend des études de philosophie, de psychologie
et de physiologie a l’université de Chicago. En 1903, il soutient une thèse de psychologie
animale intitulée ANIMAL EDUCATION, thèse dirigée par J.R ANGELL. Cette thèse traite
du rôle de la maturation neurologique dans l’apprentissage des rats blancs places dans les
BYRINTHES. Suite à sa thèse, il obtient un poste d’assistant charge du laboratoire de
psychologie de la même université. En 1908, à la demande de J.M.BALDWIN, qui lui offrait
un meilleur statut.il devient professeur de psychologie a l’université JOHN HOPKINS de
ALTIMORE et diriger le laboratoire de psychologie comparée. Durant cette période, il
développé l’essentiel du behaviorisme ainsi que quelques relations intimes avec son
assistante, ROSALINE RAYNER. Ces relations rendues publiques par son époque,
WATSON est congédie en 1920 l’institution universitaire. Suite à ce renvoi, il alla exercer ses
talents dans le monde des affaires, notamment dans la publicité, ou il devient vice-président
de l’Agence publicitaire J.W THOMPSON COMPANY. Après son départ de l’université,
WATSON s’est attache à diffuser le behaviorisme dans la société américaine, notamment en
matière d’éducation.

1.2. La conception Watsonnienne de la psychologie.

En 1919, Watson soutient qu’il est possible de moduler le comportement des enfants selon la
volonté de la société et en fonction des bénéfices de cette société, grâce à la manipulation des
récompenses et punitions appropriées.

1.3. La méthode d’étude du behaviorisme

Le conditionnement envisage comme principale méthode d’étude de la psychologie


scientifique par WATSON, laisse transparaitre deux types de variables qui sont à la base de la
méthode expérimentale : S (STIMULUS) et R (réaction). A partir de ces deux variables,
Watson a proposé la formule mathématique (Y=F(X)).On définit x en fonction de F(X) qui
permet d’étudier le comportement en prévoyant d’un cote : les stimuli (objectivement
observable) et de l’autre cote les réactions objectivement observable.

2. Cognitivisme second paradigme de la psychologie générale

Cette théorie a été développée a partir des travaux des psychologues gestaltistes comme
WOLFGANG KOHLER (1947) et (Kurt Koffka (1935). Elle s’intéresse à la façon donc les
processus internes de l’individu lui imposent sa vision du monde.

2.1. Cognitivisme : objet et méthode

L’objet du cognitivisme c’est l’étude des conduites. Le concept de conduite est classiquement
attribue à PIAGGET (1851- 1947).en effet contrairement au behaviorisme qui focalise ses
études sur le concept de la bite noire, le cognitivisme à travers son objet d’étude, montre que
pour rendre compte du comportement il est nécessaire d’étudier les mécanismes sous-jacente
organisateurs de comportements… Le travail du psychologue est donc d’entre dans la boite
noire, d’étudier comment elle est faite et comment elle fonctionne. Ce projet n’est pas
contradictoire avec celui d’autres sciences. Méthodologiquement, le cognitivisme et le
behaviorisme partagent une même démarche de production des connaissances. Seules les
méthodes scientifiques fournissant des données publiques sont utilisables, ce qui explique les
recours à des méthodes fondées sur ses propres sentiments ou intuitions.

2.2. Emergence et développement de la psychologie cognitive.

Plusieurs psychologues ont développé des théories relatives aux structures et processus
internes organisateurs des comportements. Pour illustrer cette perspective, nous situerons les
recherches structuralistes européennes de l’école allemande gestalttiste, l’œuvre de
PIAGET(nationalité suisse) et les propositions théoriques de FREDERIC BARTLETT(
nationalité anglaise).Pareillement, aux états unis, va progressivement s’imposer la nécessite
d’introduire des variables intermédiaires de neurocognitive dans le schéma d’étude du
comportement. A des titres différents, cette évolution doit beaucoup à l’approche cognitiviste
de l’apprentissage de TOLMAN et a l’approche fonctionnaliste des activités perceptives et de
catégorisation développée par RUNER.

2.3. Emergence du model de traitement de l’information

Ce modèle élaboré initialement aux états unis et considère actuellement comme modèle
dominant en psychologie cognitive a émerge au contact de diverses disciplines extérieures la
psychologie. Un premier apport provient de la linguistique qui va attaquer le behaviorisme sur
un des points faibles, l’explication du langage. L’autre apport est issus des mathématiques et
d3 la technologie donc les avantages conceptuelles vont en fait légitimer ou rendre possible
une conception du fonctionnement humain différente de celle proposée par le behaviorisme. Il
s’agit de la cybernétique, de la théorie mathématique de communication et de l’intelligence
artificielle. En résumé, la linguistique CHOMSKIENNE propose une formalisation du
système de règles d’une langue. Si ce système constitue un des facteurs déterminants du
comportement langagier, il n’a pour ambition de prédire la production ou la compréhension
d’un énoncé dans une situation particulière.
CHAPITRE 2.La motivation

La motivation peut être définie comme le processus psychologique responsable du


déclenchement, du maintien, de l’entretien ou de la cessation d’une conduite.

1. Emergence de la motivation.

Comme la psychologie, toute entière, la motivation a également une révolution mais les
sources se trouvent chez les anciens philosophes grecs (400 av.J.C) le terme motivation
est devenu aujourd’hui extrêmement populaire. Pourtant cette popularité marque une
utilisation très ressente puisqu’il n’est couramment employé que depuis la seconde moitié du
20eme siècle. L’engouement que connait la motivation est en partie lie à son odeur de soufre.
En effet, derrière ce terme se cache les raisons qui poussent tout un chacun à agir, mais aussi
qui explique pourquoi de manière énigmatique, certains réussissent et d’autres échouent.

1.1. Premières approches motivationnelle

Parler de motivation, pour expliquer le comportement revient à se demander pourquoi


l’individu agit. Cette recherche à des causes du comportement humain a d’abord été l’objet
des différentes conceptions philosophiques avant de devenir celui des théories
psychologiques. Tous les grands philosophes ont tente de comprendre les raisons qui forgent
l’action de l’individu. ARISTOTE évoque l’idée qu’il existe des passions qui vont guider le
comportement. Pour PLATON, lame serait composer de l’appétit, du cœur et de la raison, qui
ensemble gouvernent dans un rapport complexe les actions humaines. L’épicurisme se
distingue des deux conceptions précédentes car il fait du plaisir les causes centrales du
comportement. Pour Epicure, les besoins sont hiérarchisés et le plaisir est le fruit d’un savant
calcul permettant de réduire au minimum le déplaisir. Cette conception, de même que celle
de hédonisme, se retrouvent en filigrane dans certaines théories modernes de la motivation.
Pour l’hédonisme, le comportement s’explique principalement par la recherche de plaisir et de
l’évitement de la douleur. Cette explication suppose donc que les réactions du comportement
sont purement personnelles. Ainsi, les individus les plus rationnels vont essayer en
permanence de choisir le comportement qui maximisent les résultats positifs et qui dans le
même temps minimisent les résultats négatifs.

2.4. L’auto efficacité

Depuis les années 80, ALBERT BANDURA s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle.
Ce concept sincère dans le cadre de la théorie, sociocognitive, selon cette théorie, le
fonctionnement et le développement psychologique doivent être compris en considérant trois
facteurs interaction : le comportement, l’environnement et la personne. Ces facteurs
s’influencent réciproquement mais n’ont pas forcément le même impact. On parle alors de
causalité triadique réciproque. Cette théorie considère les individus comme les agents actifs
de leurs actes. La notion d’agressivité qui exerce un contrôle et une régulation de leurs actes.
Le système de soi est une des composantes de la personne, il est constitué de cognitions qui
reflètent histoire du sujet. Un élément central du système de soi est le sentiment d’efficacité
personnelle.

3. Motivation du libre choix

Le comportement ne se laisse jamais totalement expliquer par la motivation. Toutefois, un


comportement est motivé quand il est consciemment voulu, quand il a un objectif et un sens.
La motivation est un processus psychologique qui cause le déclanchement , l’orientation
et le maintien d’un comportement. Elle est donc basée sur deux postulats : l’homme est lire de
ce qu’il fait ou ne fait pas ; ses actions sont toujours orientées vers un objectif, qu’il soit
conscient ou non. Dans la mesure où il incombe a l’encadrement de veiller à ce que ses
collaborateurs ne se relâche pas mais redoublent même leurs efforts, il est indispensable que
tout cadre ait des idées aussi exactes que possible sur ce qui motive et stimule les gens
au travail.

3.1 Niveau d’activation

En psychologie générale, la notion d’activation est largement utilisée de façon hypothétique


dans les modèles de la psychologie cognitive. Cette modélisation repose sur les idées
suivantes :

-étant donne les entités telles que des procédures ou des représentations cognitives, on peut
supposer que celle-ci peuvent exister en étant dans deux états différents : un état inactif ou un
état actif.

- on ajoute généralement hypothèse que, dans le cas l’état est actif, il peut exister des niveaux
plus ou moins élevés d’activités : de fait, on n’a pas seulement deux états, mais une
multiplicité. La théorie de l’activation est proposée en 1951 par DONALD ENJAMIN
LINDSLEY.
3.2. Motivation intrinsèque et extrinsèque

La motivation qui favorise le développement de l’autonomie est intrinsèque, c’est à dire


lorsque ce qui pousse l’apprenant à s’engager et à persévérer dans ses apprentissages un
avantage qu’il trouve dans l’apprentissage lui-même. Pour le dire plus simplement, la
motivation intrinsèque est une forme de curiosité qui pousse à vouloir apprendre parce que
l’objet de l’apprentissage suscite un intérêt. l’oppose de la motivation intrinsèque se trouve
dans la motivation extrinsèque, ainsi qualifiée parce que ce qui suscite l’étudiant a réussir
n’est pas ce qu’il apprend, mais plutôt l’attrait d’une conséquence de sa réussite, par exemple,
le désir d’obtenir telle récompense ou la peur de subir telle punition.

3.3. Réactance psychologique.


La théorie de la réactance psychologique de Brehm 1966, explique le comportement les
personnes lorsque leur liberté de choix se trouve réduite. Ainsi lorsque les clients sentent que
les entreprises essayent de les contrôler ou de les menacer, ils se retirent ou rejettent le
programme de fidélisation pour se défendre contre cette agression.
4. Motivation au travail.
4.1. La théorie VIE
La théorie VIE ou valence instrumentalité exception, est la théorie de VROOM, contrairement
à ma slow ou Herzberg, ne se focalise par sur les besoin, mais relie la motivation d’un
individu a ses attentes et les chances qu’il possède de les atteindre.
- L’exception c’est la réponse a la question suis-je capable ? quelles sont mes chances
de réussir. La motivation dépend de la confiance qua l’individu dans ses capacités à
Atteindre l’objectif
- C’est la réponse a la question que vais obtenir par ma performance ? la motivation
dépend du niveau de récompense obtenue par effort
- La valence : c’est la réponse a la question quelle valeur accorder aux avantages
obtenus ? la motivation dépend ici de la valeur attribuée à la récompense par
l’individu.
4.2. La pyramide de maslow
Selon maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses
besoins. Les travaux de maslow 1954 permettent de classer les besoins humains par ordre
d’importance en 5 niveaux. Ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à
l’individu ; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant.
Ces 5 niveaux sont : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins
d’appartenance, les besoins d’estime, les besoin d’auto accomplissement.
4.3 .La théorie bi factorielle (Herzberg).
La théorie bifactorielle ou des deux facteurs est aussi appelée la théorie valorisants- ambiance
Herzberg 1971. Dans ce modèle, il existe des facteurs bien spécifique qui poussent l’individu
à agir, a être particulièrement motive pour satisfaire certains de ses besoins. Herzberg 1950
distingue deux catégorie de facteurs en milieu de travail qui intervienne de manier très
différente dans le mécanisme de motivation.
Chapitre 3 : les émotions

3-1-Qu’est-ce qu’une émotion ?


Une émotion c’est l’ensemble des manifestations psychophysiologiques de l’être humain en
réaction à des évènements internes (propres

À lui-même) et externes (l’environnement qui l’entoure).


3-1-1-Histoire des concepts émotionnels ;

Depuis les années 1980. L’histoire des émotions c’est considérablement développée. L’article
évalue les quatre thèses principales, chacune étant reliée à une psychologique. La première
thèse historique s’inspire de la théorie <hydraulique> des émotions, une pensée traditionnelle
qui considère les émotions comme des énergies poussant à leur libération. Ces recherches sont
très influencées par la thèse du <Processus de civilisation> de Norbert Elias. La deuxième et
la troisième thèse s’appuient sur la théorie cognitive des émotions, qui considère celle-ci
comme une sorte d’évaluation, et sur le obstructionnisme social. Qui envisage les émotions
comme formées ou, du moins, très influencées par la culture. Les travaux de Peter Stearns et
de WILLIAM REDDY sont d’une grande importance ici, même si leurs contributions sont
différentes. Enfin, la thèse évolutionniste a influence deux historiens majeurs, DANIEL
SMAIL et PAUL HYAMS tous deux spécialiste du droit médiévale.
Chapitre 4 : quelques processus cognitifs

En psychologie, la mémoire est la faculté de l’esprit d’enregistrer conserver et rappeler les


expériences passées. Son investigation est réalisée par différentes disciplines : psychologie
cognitive, neuropsychologie, psychanalyse. On distingue également les différentes sortes de
mémoire : la mémoire sensorielle, la mémoire à long terme.
Conclusion

La psychologie générale et cognitive est très vaste et largement utilisée de façon hypothétique
la paternité étant attribue au philosophe allemand CHRISTIAN WOLFF, cette science est un
tronc commun à la psychologie. La tendance à la spécialisation des chercheurs et
l’exploitation des travaux en psychologie cognitive et générale, ne favorise pas actuellement
la constitution des modèles de synthèse.
Références bibliographiques

Wikipédia
www.somabec.com les émotions
https:\\ www.logique-emotionnelle.com
https:\\ fr.. Wikipedia.org wiki emotion
Google

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