Guyot Ville
Guyot Ville
Guyot Ville
GUYOTVILLE
La ville de GUYOTVILLE est située au centre-nord de l’Algérie et à l’Ouest d’ALGER distant de 16 km.
Nom d’origine du lieu : RAS ACONATER (Cap des aqueducs) puis AIN BENIAN.
Le territoire de la commune se répartit sur la colline de GUYOTVILLE avec une pente légère qui varie de 0 % à
10 %, constituant 80 % de la superficie totale de la commune.
Région difficile d'accès à l'époque était de plus, triste et désolée. On ne trouva qu'un seul point d'eau potable près
du cap ACONATER. Puis les ruines d'un aqueduc témoignant d'un lointain passé et une centaine de dolmens
dressés au milieu de ronces et de broussailles.
Au grand Rocher enfin, quelques ossements humains, des outils en silex et des poteries très grossières furent
mises à jour.
L'oued BENIMESSOUS marque la limite Sud de la commune.
HISTOIRE
Un projet d’un village du Sahel, dénommé ALENçONVILLE avait été instruit selon un programme résumé dans une
phrase : « La colonisation doit permettre pourvoir suffisamment à la conquête de l’Afrique sans engager plus qu’il ne
convient les forces et l’argent du pays… ». C’est cette idée que le maréchal BUGEAUD s’efforcera de faire passer
dans la pratique dès sa nomination à Alger, en 1839.
Un riche propriétaire, M. BREMONTIER, fixé à Alger depuis 1832, avait demandé la concession gracieuse d’environ
2 400 hectares situés sur le plateau des BENI-MESSOUS. Sur ce territoire s’étendant du pied de la BOUZAREAH
jusqu’au RAS AL KHNATER (Cap des aqueducs), le pétitionnaire propose de créer, à ses frais, un village agricole de
40 familles, 4 fermes, 4 usines, un hameau de 10 feux sur le bord de la mer destiné à une pêcherie et une forêt
considérable composée des meilleures essences.
« GUYOTVILLE a été un exemple démonstratif des tâtonnements, des échecs et des réussites qui ont caractérisé des
centaines de centres de population nés en Algérie pendant un siècle, aboutissant à des créations à la fois analogues
et originales. Je ne connais pas d’étude plus complète en concision, plus éloquente en sa sobriété, un document plus
probant pour ceux qui un jour, peut être, entreprendrait de rétablir la vérité sur une histoire systématiquement
dénaturée ». [Professeur Pierre GOINARD 1980].
Attaque d'Alger par mer, le 29 juin 1830 par Théodore GUDIN, 1831.
Lorsque sous les ordres du Maréchal de BOURMONT, ministre de la guerre du Roi Charles X, les troupes françaises
débarquent à SIDI FERRUCH, le 14 juin 1830, le village n’existe pas. Il sera construit de toute pièce dans le sang
et la sueur, le travail acharné, les fièvres, le désespoir des colons implantés, contre toute apparente logique, sur
un site des plus ingrats.
Aucune population n’habite ce plateau aride, apparemment infertile, couvert de broussailles, de lentisques,
chênes-kermès, arbousiers et palmiers nains. Ce que l’on ne sait pas à l’époque de la conquête, c’est que l’allure
désertique de la région n’est qu’apparence : les recherches archéologiques démontreront que l’endroit fut connu
et habité depuis des temps immémoriaux (plusieurs dizaines de dolmens seront relevés).
Eugène GUYOT
Monsieur le Maréchal SOULT, vainqueur d’Austerlitz aurait souhaité construire deux villages de pêcheurs et
ouvrir une route littorale d’ALGER à SIDI-FERRUCH afin de briser le monopole que s’étaient octroyés les pêcheurs
italiens et maltais en plusieurs points de la côte.
Rédigeant son Rapport, le comte GUYOT est très défavorable à de tels projets. SOULT persévère et demande à
GUYOT de continuer ses investigations.
Louis Auguste Victor de GHAISNE, comte de BOURMONT (1773/1846) Comte Eugène GUYOT(1803/1868)et sa sœur Sophie
C'est le comte Eugène GUYOT, directeur de l'intérieur et de la Colonisation, dont le souvenir est évoqué par la riante et
accueillante cité de " SAINT-EUGENE " et la ruche, toujours bourdonnante, de " GUYOTVILLE ".
Il n'existe pas de texte officiel se rapportant à cette dénomination. Cependant, comme l'a rappelé DEMONTES le comte GUYOT
avait reçu de M. TARDIS peu après la date de création d'AÏN-BENIAN, une pétition ayant pour but de donner son nom à ce centre.
Or, à la même époque, au mois d'avril 1845, le directeur de l'Intérieur était saisi d'une pareille demande, en faveur de
l'agglomération située entre la ville d'Alger et la Pointe-Pescade.
Eugène GUYOT accepta alors que son nom fût attaché à AÏN-BENIAN et son prénom à l'autre village. II transmit donc les deux
requêtes au ministre de la Guerre, ce qui provoqua la décision du 4 Août 1845, appelant, en pareil cas, l'avis du Conseil supérieur
d'administration. Ce dernier, consulté, donna son entière approbation au projet, en des termes très élogieux pour le haut
fonctionnaire intéressé.
Les deux sources découvertes dans la région d’AÏN-BENIAN ont porté intérêt à des constructions.
GUYOT tenant compte de l’échec des colonies militaires établies par BUGEAUD, conçoit la création de colonies
civiles confiées à des entrepreneurs auxquels l’Etat accorde une grande concession et des avantages financiers.
M. GOIN est choisi pour SIDI-FERRUCH, M. TARDIS pose sa candidature pour AÏN BENIAN.
La création du village d’AÏN BENIAN est signée par le Maréchal BUGEAUD le 19 avril 1845.
Deux cents hectares sont alloués au sieur TARDIS, ce dernier s’engageant à construire 20 maisons en maçonnerie,
un débarcadère en bois pour hisser les bateaux à terre, un parc à huitres, un atelier de préparation des sardines,
une sècherie à poissons…
Plusieurs mois s’écoulent mais l’orientation défavorable de la côte, sans crique valable, la concurrence des
barques étrangères, la mauvaise situation sanitaire, la mauvaise foi du concessionnaire enfin, ruinent la tentative.
Devant le rapport catastrophique de deux inspecteurs de la colonisation, SOULT exprime son mécontentement et
demande l’éviction rapide de M. TARDIS. Il prend alors l’importante décision de modifier les conditions
d’existence des colons en implantant dans AÏN-BENIAN des familles agricoles.
De son côté, M. GOIN a parfaitement réussi à SIDI-FERRUCH. L’Administration récupérera les terrains ainsi que les
maisonnettes et substituera au village de pêcheurs, un village d’agriculteurs. Vingt familles sont installées ; six
hectares distribués par colon.
Cependant GUYOTVILLE végétera pendant cinq années par manque d’eau. C’est un préfet, M. LAUTOUR-MEZERAY
qui, en 1852, sauvera le village par d’importantes mesures concernant l’eau, les voies de communications, la
création d’une réserve forestière qui deviendra la forêt de BAÏNEM et cela par décret.
M. CALVET, 1er mai du village, demandera, le 2 novembre 1879, l’abrogation de ce décret, sans l’obtenir, alléguant la fréquence
des incendies pouvant détruire son village et le fait que « cette réserve est un refuge des bêtes fauves, chacals, hyènes, sangliers
dévastant les récoltes ».
Dès 1853, M. LAUTOUR-MEZERAY écrit au Ministre que les efforts de l’administration ont donné du pain à toutes ces
familles et reprendre l’énergie qui les avait abandonnés ; je n’ai vu nulle part de gens plus contents, plus travailleurs
et surtout plus reconnaissants.
En 1856, AÏN-BENIAN prendra officiellement le nom de GUYOTVILLE et 321 hectares sont ensemencés, dont 120
de blé tendre, 9 d’orge, 6 de maïs, 96 de légumes, 25 de pommes de terre. On essaye la culture du tabac, l’élevage
et, de bonne heure, on plante de la vigne à vin, qui réussit fort bien.
En 1859, GUYOTVILLE est érigé en paroisse et placé sous le patronage de Saint Roch.
Ce n’est qu’en 1874 qu’un décret du général CHANZY érigera en Commune de Plein Exercice, indépendante de
CHERAGAS, le village de GUYOTVILLE.
CHERAGAS prit forme comme ville au sens moderne du terme grâce à un arrêté répondant au plan de la colonisation. Elle est
l'avant-garde de la ligne de percée colonisatrice dans le Sahel, " La Route historique " reliant SIDI FERRUCH à Alger.
L’essor du village
A son origine, le village était représenté par les 20 demeures construites en 1846, les maisons se groupant autour
et en contrebas de l’église à partir de 1855. Le centre du village fut initialement la zone englobant l’église
construite grâce à l’inépuisable charité des Pères Trappistes de STAOUELI, la place, la mairie, l’ancienne poste, le
lavoir (futur marché), l’abreuvoir (Monument aux Morts), les écoles. La rue la plus ancienne est la rue Marceau.
Mais, très vite, GUYOTVILLE s’étale tout en longueur, le long de la future ligne de chemin de fer, de part et d’autre
de l’avenue Malakoff, ligne droite d’un kilomètre (qui deviendra les rues de Chanzy et Poincaré).
Un caractère propre à GUYOTVILLE est la dispersion d’une partie importante de la population communale en
dehors de la ville. On découvre partout fermes et villas éparpillées ou groupées en hameaux, au CAP CAXINE, au
Phare, à SAINT-CLOUD, à l’Ilot, à la Madrague, sur la route de STAOUELI ; en grimpant sur le plateau, on en
découvre de part et d’autre des deux voies d’accès, fermes spacieuses entourées de jardins et de vignobles, qui ne
disparaissent qu’à l’approche du ravin de BENI-MESSOUS.
En 1876, le village est peuplé de 595 habitants, dont 249 Français et 337 Espagnols, population laborieuse, à la vie
rude. En 1901, 25 ans plus tard, GUYOTVILLE atteindra, nous venons de le voir, 2 821 âmes : le petit hameau
d’apparence chétive, pauvre en habitants est devenu une riche bourgade coquette, heureuse, populeuse. Quel
miracle est intervenu entre-temps ?
L’introduction du chasselas de Fontainebleau sur le Sahel ouest d’Alger est une innovation capitale pour l’essor du
village. Un vigneron d’origine provençale, Charles PONS, en rapporte quelques milliers de boutures en 1853 pour
les planter à la Trappe de STAOUELI toute proche. Le succès de cette plantation dépasse les limites du domaine et
en 1857, M. Louis PATRY-GALLAUD, originaire de l’Hérault, en apporte des quantités massives ; il semble que
MM.BERTHIER et BERENARD aient aussi largement contribué à ces plantations.
Le succès est grand en raison de la précocité du chasselas, mûr dès le 25 juin à GUYOTVILLE et négociable avec
Alger à des prix intéressants.
En 1875, les vignobles s’étendent du CAP CAXINE à ZERALDA, mais, grâce à de minutieuses sélections et au climat
exceptionnel, le chasselas de GUYOTVILLE conquiert la première place.
Pour briser les vents, des kilomètres de haies durent être édifiés. Constituées de roseaux et parfois de cyprès, tous
les 4 ou 5 rangs de vignes, ces haies donnèrent aux paysages de GUYOTVILLE son aspect si particulier sur la côte
algéroise.
En 1900/1912 l’engouement des cultivateurs pour le raisin doré fut tel que l’étendue des plantations tripla. En
1913 quand monsieur ROUX de BADILHAC, du Syndicat Agricole de GUYOTVILLE, annonça la découverte des
premières traces de phylloxera, l’inquiétude fut grande. Les viticulteurs sinistrés recoururent alors aux plants
américains plus résistants.
En 1948, le village comptera 640 hectares de chasselas. Simultanément, la culture maraîchère de primeurs se
développe, couvrant 400 hectares : le produit en sera aussi largement exporté vers la métropole. A la culture
printanière pratiquée par habitude, comme en métropole, les colons, sous l’impulsion des Espagnols, ont
substitué la culture automnale, dès les premières pluies de septembre, et la culture d’hiver, possible en l’absence
de gelées. Souvent, ces légumes sont plantés entre les rangées de vigne et la terre, constamment retournée et
fumée, ne s’épuise pas ; elle fournit ainsi jusqu’à trois récoltes par an. La culture fruitière prend aussi quelque
expansion : 50 hectares plantés en orangers, mandariniers, citronniers, néfliers, amandiers et figuiers.
Le développement de ces cultures est à l’origine d’un phénomène social important, l’afflux des indigènes
travaillant aux champs, fixant ces ouvriers à la terre ou les faisant descendre périodiquement des montagnes de
Kabylie vers le Sahel.
L’abbé VUILLOT a inauguré la nouvelle paroisse dans un hangar, sur l’établi d’un menuisier…
La vie heureuse
Faire revivre GUYOTVILLE, tel que nous l’avons connu, n’est pas chose facile. C’est surtout susciter l’évocation de
souvenirs par l’énumération des noms, la localisation des habitants dans leurs occupations. C’est rappeler la vie
des sociétés de fait, paroissiales, scolaire ou administrative, ou constituées, la Lyre, le Patriote, le Stade, le Cercle
Saint Roch. C’est essayer de faire apparaître l’âme du village dans ses fêtes et ses cérémonies, les délassements
sur le bord de la mer ou à la Madrague, à la forêt de BAÏNEM ou au Plateau.
La longue rue principale, actuelles rue Chanzy et Poincaré, groupe la plus grande partie des cafés, des commerces,
des personnalités. Elle conservera longtemps un alignement de mûriers sur chaque trottoir, plus longtemps
encore un pavage très bosselé et les rails du petit train, au milieu de la chaussée, redoutables pour les bicyclettes.
C’est là que se trouvaient les deux cabinets médicaux, du Docteur LE ROCHAIS qui succéda au Dr BERTIN, et du Dr
CLEMENT. Plus tard s’installèrent les Dr SENDRA et CHERQUI. Dans cette rue aussi, les deux pharmacies, LONG de
PAQUIT et RICHARD, le notaire Maître CHAMPVAL et puis Maître CUQ.
La poste, à l’angle de la Carnot et les banques (sauf le Crédit Lyonnais, rue Victor Hugo), les deux cinémas,
Comœdia et Splendid, complétaient la rue.
Seule, la gendarmerie était éloignée du centre. Complétant ce cœur de village, le Monument aux Morts édifié après
la grande guerre fut l’œuvre d’Emile GAUDISSART, architecte et peintre né à Alger. Chaque année, pour
l’anniversaire de l’armistice de 1918 comme pour la Toussaint et tous les événements nationaux, le Monument
sera le rendez-vous privilégié de toute une population recueillie, fidèle à son passé, consciente du sentiment
national qui l’anime.
Il ne faut pas oublier le marché construit après 1900 sur l’emplacement du lavoir communal où, face à l’abreuvoir,
les lavandières venaient faire leur lessive : aux dires des anciens, c’était le lieu des cancans et des crêpages de
chignon.
Au centre de cet ensemble, la place, avec son beau kiosque à l’élégant dôme de béton soutenu par huit colonnes,
est entouré d’une pergola en maçonnerie blanche et bordée de palmiers.
Fréquentée toute l’année par les enfants, terrain de foot et piste pour vélos, la place trouve sa pleine justification
pour les fêtes de village, renommées dans tous le Sahel.
Le 14 juillet inaugure les festivités ; mais la grande fête se tient le 15 août, pendant plusieurs jours avec une
importante fête foraine.
Le Patriote (Société de gymnastique avec sa propre clique musicale) défile clique en tête dans la rue principale,
suivie des gymnastes en tenue, dans un ordre impeccable qui, dans l’après-midi, font une démonstration sur
place. Le clou étant la pyramide, au sommet de laquelle Joseph DELTEIL maintient le petit François CALDAMONE
Puis la Lyre (Société musicale la plus ancienne puisque créée en 1888) dirigée par M. ADOMO va animer la
sauterie gratuite de l’après-midi, prélude aux grandes festivités du soir.
La nuit tombe sur la place décorée d’une multitude de guirlandes, drapeaux et ampoules multicolores. Toute la
population y converge, jeunes et vieux au milieu de la fête foraine et les senteurs de beignets italiens et de nougat.
Dès que la Lyre, installée sur le kiosque, ouvre le bal, c’est la joie de tout un village dansant en rond, tandis que les
vieux, demeurés sur les chaises autour de la piste, la tête pleine de souvenirs, revivent leur jeunesse.
Au début de septembre, succédant la grande fête du 15 août, c’est la traditionnelle fête des vendanges ou Fêtes du
Centre car située sur la grande Place Marguerite, en plein centre du village, près du bord de mer. Le reste du
temps, la place sert de boulodrome.
Le stade Guyotvillois
C’est 1922 que l’abbé SALLES créé le Cercle Saint Roch pour occuper les enfants du village. Ce cercle a une triple
activité, culturelle (cinéma, théâtre), religieuse et sportive, animé par Jean VILLANTI.
La section football est créée par M. VILLANTI en 1925 ; en 1926, la section basquet. Il y aura aussi une section
cycliste, volley, natation et athlétisme.
En 1935, les sections sportives se dissolvent pour donner naissance au Stade Guyotvillois (S.G.).
La section du football du S.G. en 3ème division à son début, accéda en première division dès 1945/1946. Elle a
bénéficié de l’apport des premiers joueurs de GUYOTVILLE qui ont fait leurs armes au Gallia où le recruteur est
Guyotvillois, Joseph GARRIGOS.
Le S.G. champion de première division en 1947/1948, brûla les étapes et accéda en division d’honneur en
1948/1949 battant le G.S. ORLEANSVILLE au cours d’un match mémorable. COUARD était alors entraîneur ; il a été
précédé dans sa tâche par Charles VIDAI, Pierre IZZO et Dominique ZATTARA ; il sera suivi de TEMPOWSKI, puis
VITIELLO. Un jeune footballeur, Robert BUIGUES, pupille au S.G. en 1962 fera une brillante carrière
professionnelle.
ETAT CIVIL
(1890) ALVADO Gaspard/RIERA Anna -(1898) AMBROSINO Joseph/TORRES Marie –(1888) AMBROSINO Sauveur/MAZELLA
Marie –(1886) AMORATTI Ange/MOLL Espérance -(1890) ANDRES François/SAYS Antoinette -(1887) ANDRES Joseph/RIERA
Maria –(1891) ASSANTE DI CUPILLO Michel/LUBRANO LAVAREDA Anna -(1896) AVERSO Joseph/TORRES Françoise –(1890)
BALDO Alexandre/BEZ Louise -(1895) BALDO François/PEREZ Marie –(1885) BALDO J. Baptiste/TORMOS Trinité –(1897)
BALDO Joseph/PONT Françoise –(1890) BALLESTER Joachin/MENGUAL Marie –(1885) BALLESTER Vincent/BONET Maria -
(1890) BERENGUER Joseph/RIERA Joséphine –(1864) BERNARDO François/SINTES Françoise –(1890) BERNARDO Sauveur
/VITIELLO Catherine –(1897) BERTUCA Raphaël/VELLOZZI Marie -(1864) BEZ Pierre/ARSEGUEL Margueritte -(1903)
BLANGUER Dominique/MOLL Maria –(1896) BONET Emmanuel/BALLESTER Marie -(1885) BONET Marcial/BALLESTER Marie
–(1891) BRIONES Dominique/JOVER Marie -(1896) CANO Joseph/MOLL Rosalie -(1900) CARLE Eugène/MARCASSUS Jeanne –
(1896) CATALA François/FERRER Marie -(1874) CHOZARD Jean/QUINTANA Catherine –(1902) CLERC Joseph/QUINTANA
Marie -(1904) CIPRIANI François/TORRES Joséphine –(1897) CITRANO Vincent/LAURICELLA Jeanne -(1892) CONSTANTINE
Joseph/TORRES Marie –(1891) CONTE Antonin/RIERA Françoise –(1901) COPPOLA Sauveur/LUBRANO Immaculée –(1903)
COSTAGLIOLA Vincent/TRANI Raphaële -(1903) D’AVINO Vincent/CERVERA Françoise -(1894) DI FINA Sauveur/LAURICELLA
Rose –(1902) DI PERNA Sauveur/SACCOCCIO Vincente –(1900) DISSERVE Dominique/CONSULO Marie -(1899) DOMENECH
Barthelemy/DI SIMONE Marie –(1902) DOMENECH Jacques/SANTAMARIA Marie –(1898) DOMINIQUE Simon/CANO Rose -
(1889) DUMONT D’AYOT Michel/QUINTANA Catherine -(1904) ERRERA Jean/MARTINOT Marie -(1903) ERRERA Joseph
/BUSETTA Thérèse -(1896) ERRERA Salvator /VOLTO Jeanne -(1903) ERRERA Vito/SINTES Antoinette –(1887) FAGNONI
Etienne/GODET Célestine –(1871) FANER Antonio /OLIVER Agueda -(1883) FEMENIA Antoine/ZARAGORI Dolorès –(1895)
FERRANDO Salvador/VILA Françoise-(1903) FERRER Michel/HOTOT Joséphine -(1883) FERRER Vincent/BERENGUER
Remedio -(1893) FORNES Joseph/COMPANI Jeronime –(1898) FORNES Louis/ZARAGORI Catherine -(1891) FORNES Michel
/MENGUAL Joséphine –(1901) FORNES Paul/BARBER Marie –(1898) FUSTER Joseph /SANCHIS Françoise –(1864) GABORIEAU
François/VERNEY Blandine –(1894) GALEA Antoine/OLTRA Maria –(1882) GALIANA Baptiste/FEMENIA Jeanne –(1897)
GARREAU DE LOUBRESSE Frédéric/PONS Antoinette -(1868) GENESTAR José/CERVERA Maria –(1892) GIROUD Maurice
/MARGUERITE Marie -(1892) GODET Louis/PONSADA Maria –(1861) GODET Philippe/CHOSARD Louise –(1904) GONALONS
Jean/REYNARD Joséphine –(1894) GONALONS Michel/ARGOUD Louise -(1901) GUAITA Vincent/MOYA Maria –(1903)
GUARINOS Jean/VALLS Marie -(1879) GUIBAUD Joseph/MORELL Escamareil –(1904) HURTER Jean/TRANI Adelaïde -(1900)
HUSSON Auguste/ROUX DE BADELHAC Louise -(1899) JOVER J. Baptiste/LINARES Jeanne –(1887) JOVER Joachin/QUILES
Marguerite –(1888) JOVER Joseph/ALOZ Marie –(1862) LAIRLE François/ROUX Fortunée -(1898) LE DONNE Etienne/LUBRANO
Rachel –(1903) LEMONNIER Joseph /MARGUERITE Jeanne -(1897) LEONI François/BALDO Marie –(1895) LEO Albert/CAPPONI
Antoinette -(1864) LEROUX Eugène/MARCASSUS Anne –(1895) LEVANTI Antonin/MITRANO Rose -(1884) LEVANTI Joseph
/MASCARI Catherine -(1892) LINARES Jean/ZARAGORI Célestine -(1904) LOZANO CARINONA Eugénio/PEREZ Françoise –
(1899) LUBRANO LAVADERA André/MEGLIO Rose -(1890) MANDUCA Marcien/RIPOLL Anne -(1903) MARCASSUS Eugène
/RIPOLL Madeleine -(1904) MARCASSUS Guillaume/AMBROSINO Maria –(1892) MARCO André/FERRER Marie –(1889) MARCO
François/SINTES Marie –(1877) MARGUERITE Pierre/MONJO Agathe -(1901) MARQUES Severin/VIDAL Maria –(1899) MEGLIO
Vincent/SPECIOSA Rosine -(1897) MELIA Guillaume/RIERA Marianne –(1870) MENGUAL Bartholome/GABORIEAU Jeanne -
(1902) MENGUAL Joseph/PEREZ Maria –(1895) MENGUAL Michel/BARBER Joséphine –(1897) MENGUAL Michel/MAS Marie –
(1874) MENGUAL Raphaël/AUSINA Francisca -(1881) MERCADAL Michel/ZARAGORI Maria –(1896) MICHAUD Louis/GALEA
Carmen –(1896) MICHAUD Victor/GALEA Margueritte –(1880) MICHAUT Joseph/CAPPONI Louise -1887) MIGLIACCIO
Aniel/LEVANTI Marie –(1894) MIGLIACCIO Dominique/LASSERRE Marie –(1904) MIGLIACCIO Joseph/GRACE Stella -(1883)
MIR Blas/GONALONS Jeanne -(1884) MOLL Jean/MOYA Maria –(1901) MOLL Joseph/REYNARD Marie –(1882) MONJO Pierre
/GALEA Félicia -(1893) MONTOYO Jean/PONS Maria -(1895) MONTREL Louis/FORNES Rita –(1865) MORELL Vincent/FERRET
Joséphine –(1891) OLIVER Fabien/OLIVER Marie -(1903) OLIVER Joseph/MENGUAL Marie –(1901) OLIVER Pierre/BARBER
Elise -(1898) ORENES François/VOLTO Catherine –(1882) ORSINI Jean/SERRA Léonore -(1902) PAINO Joseph/DI FINA Marie -
(1890) PAJNO Antonin/DI FINA Annonciade –(1903) PAPA Sauveur/SCOTTO DI PERROTOLO Lucie –(1889) PASCAL Henri
/SERRA Marie -(1884) PERELLO Joseph/RIERA Gracia –(1897) PERELLO Michel/RIERA Rose –(1890) PERELLO Vincent
/FORNES Antoinette -(1876) PERES Maxime/BALDO Rose -(1901) PEREZ Antoine/FERRER Théodora -(1889) PEREZ Célestin
/DOMENECH Marie -(1885) PEREZ François/MARIE Françoise –(1896) PEREZ Jacques/RIERA Philomene -(1889) PEREZ
Joseph/BOTELLA Marie –(1904) PEREZ Joseph/SURIA Ernestine –(1874) PETRE Jean/RIERA Maria –(1900) PLAVIS Alfred
/SAUVON Lucie –(1903) PLAVIS Jules/MONJO Anne -(1904) POETCH Léon/AMBROSINO Thérésine –(1883) PONS Antoine
/PONSADA Maria -(1889) PONS Cristoval/MONTOYO Marie -(1893) PONS Daniel/RIERA Maria -(1886) PONS François/FRIERA
Maria –(1891) PONS Jean/SERRA M. Rose -(1882) PONS Michel/MONTOYO Marie –(1887) PONS Michel/PRATS Maria –(1886)
PONSADA Jean/MOYA Barbe –(1891) PONSADA Jean/MARQUES Marie -(1888) PONSADA Joseph/SERER Joséphine –(1902)
PONSODA Vincent/TRANI Marie -(1900) POQUET J. Baptiste/MORA Marie -(1894) POQUET Luc/PEREZ Marie –(1887) PRATS
Jean/PONS Paola -(1894) PUCHOL Joseph /POQUET Marie –(1904) QUARTARARO Barthélémy/SCHIANO DI VISCONTE
Philomene –(1889) QUILES Emmanuel/JOVER Marie -(1895) RANDO Antonin/LEVANTI Grazia -(1896) RANDO Félix/TARANTO
Rose -(1891) RAPHAEL Fortune/PEREZ Marguerite –(1904) RIERA Antoine/GUAITA Antoinette-(1864) RIERA Antonio/SUCH
Magdalena –(1894) RIERA François /CHOZARD Ernestine -(1860) RIERA Jean/SINTES Marianne –(1863) RIERA José/MORELL
Maria –(1884) RIERA Joseph /MONTOYO Marie –(1893) RIERA Joseph/PLAVIS Augustine –(1900) RIERA Joseph/EMIN Emilie -
(1892) RIERA Théophile /MOLL Marie –(1898) RIERA Vincent/SOBRECASES Joséphine -(1902) RIPOLL Fernand/PEREZ Maria –
(1876) ROUANET Célestin/VINCENT Adèle -(1890) RUGGIERO Pascal/VELLOZZI Angèle -(1890) RUGGIERO Sauveur/SINTES
Praxedes -(1885) SABON Antoine/BALDO Barbe –(1886) SABON Jean/THOMAS Augustine –(1901) SABON J. Baptiste/CERVERA
Angeline –(1868) SAES Christoval/QUINTANA Y CAMPS Antonia -(1882) SANCHIS Baptiste/BARBER Marie –(1863) SAULE Jean
/SIMON Marie -(1904) SAUTINO Dominique/DE FINA Françoise -(1871) SCILIO Philippe/CERVERA Maria -(1901) SCOTTI
D’APOLLONIA Michel/AMBROSINO Maria –(1898) SCOTTO DI MASE Thomas/COSTAGLIOLO Rafaele –(1888) SERRA Jean
/CAPPONI Marie -(1887) SERRA Joseph/ZARAGORI Rosalie –(1904) SERRA Joseph/GINER Marie -(1883) SERRALTA Joseph
/MOYA Maria -(1888) SINTES Barthélémy/MOYA Joséphine -(1871) SINTES Benoît/CERVERA Joséphine –(1902) SINTES
Gaëtan/CONSULO Louise -(1877) SINTES Joseph/PRATS Marie -(1860) SINTES Pedro/QUINTANA Maria –(1883) TARANTO
Antonin/CASERTA Marguerite -(1896) TARANTO Gaëtano/DI SIMON Angèle -(1882) TARANTO Joseph/MOLL Maria –(1895)
TARANTO Vincent/SINTES Marguerite –(1898) TINCHI Ignace /DE FINA Angèle -(1900) VALENTE Salvator/DI NITO
Alessandranna –(1904) VALLS Baptiste /FERRER Théodora –(1903) VELLA Joseph/GALEA Thérésa -(1891) VIDAL
Grégoire/BOSC Marie –(1904) VILA Antonio/GIL Marie - (1890) VINCENT Auguste /MARGUERITE Marie -(1904) VITIELLO
Doménico/SANCHIS Maria -(1891) VITIELLO Joseph /SALOM Anne -(1876) VOLTO Balthazar/PIZZO Maria -(1875) VOLTO
Charles/GENESTA Antoinette –(1889) VOLTO Gilo /GARCIA Maria –(1891) VOLTO Joseph/GAMBINI Conception -(1902)
ZAGAME Angelo/TORRES Catherine –(1898) ZARAGORI Antoine/GIRON Françoise –
NDLR : Si l’un des vôtres n’est malheureusement pas mentionné, je vous recommande de procéder comme suit :
-Après avoir accédé à google vous devez alors inscrire anom algérie,
-dès lors que vous êtes sur le site anom vous devez sélectionner GUYOTVILLE sur la bande défilante.
-Dès que le portail GUYOTVILLE est ouvert, mentionnez le nom de la personne recherchée sous réserve que la naissance, le
mariage ou le décès soit survenu avant 1905.
LES MAIRES
La mairie, entre la rue du Maréchal JOFFRE et celle de Louis BORDO, séparée, de la maison GAUZE (JAMMES,
quincailler) par une ruelle, tourna sa façade vers la rue principale. Elle fut transformée en 1920 pour conserver
son aspect actuel.
L’Araucaria, devant la nouvelle Mairie, avait été planté pour symboliser la victoire de la guerre 1914/1918.
DEMOGRAPHIE
DEPARTEMENT
Le département d’ALGER est un des départements d'Algérie, qui a existé entre 1848 et 1968
Le département d’ALGER avait l’index 91 jusqu’en 1957, puis 9A jusqu’en 1962.
Considérée comme une province française, l'Algérie fut départementalisée le 9 décembre 1848. Les départements
créés à cette date étaient la zone civile des trois provinces correspondant aux beyliks de la régence d'ALGER
récemment conquis.
Par conséquent, la ville d'ALGER fut faite préfecture du département portant son nom, couvrant alors le centre de
l'Algérie, laissant à l'Est le département de CONSTANTINE et à l'Ouest le département d'ORAN.
Les provinces d'Algérie furent totalement départementalisées au début de la IIIe république, et le département
d'ALGER couvrait alors un peu plus de 170 000 km2. Il fut divisé en six arrondissements dont les sous-préfectures
étaient : AUMAL, BLIDA, MEDEA, MILIANA, ORLEANSVILLE et TIZI OUZOU
Le département comportait encore à la fin du 19e siècle un important territoire de commandement sous
administration militaire, sur les hauts plateaux et dans sa zone saharienne. Lors de l'organisation des Territoires
du Sud en 1905, le département fut réduit à leur profit à 54 861 km2, ce qui explique que le département d'ALGER
se limitait à ce qui est aujourd'hui le centre-nord de l'Algérie.
Le 28 janvier 1956, une réforme administrative visant à tenir compte de la forte croissance démographique
qu'avait connu le pays, amputa le département d'Alger de son arrière-pays et créant ainsi le 20 mai 1957, trois
départements supplémentaires : le département du TITTERI (chef-lieu MEDEA), le département du Chélif (chef-
lieu ORLEANSVILLE) et le département de la Grande Kabylie (chef-lieu TIZI-OUZOU).
Le nouveau département d'ALGER couvrait alors 3 393 km2, était peuplé de 1 079 806 habitants et possédait deux
sous-préfectures, BLIDA et MAISON-BLANCHE.
L’Arrondissement d'ALGER comprenait 32 localités :
ALGER – BABA HASSEN – BAINS ROMAINS – BARAKI – BEN AKNOUN – BIRKADEM – BIRMANDREIS – BOUZAREAH –
CAP CAXINE – CHERAGAS – CRESCIA – DELY IBRAHIM – DRARIA – EL ACHOUR – EL BIAR – GUE de CONSTANTINE –
GUYOTVILLE - HARRACH – HUSSEIN DEY – KOUBA – MAHELMA – OULED FAYET – POINTE PESCADE –
LA REDOUTE – SAINT EUGENE – SAINT FERDINAND – SAINTE AMELIE – SAOULA – SIDI FERRUCH – STAOUELI –
LA TRAPPE – ZERALDA
MONUMENT AUX MORTS
Le relevé n°54624 de la commune de GUYOTVILLE mentionne 57 noms de soldats « Morts pour la France » au
titre de la guerre 1914/1918, à savoir :
ALOS Louis (mort en 1914) –AMBROSINO Michel (1917) –AMBROSINO Michel (1918) –ANGLADE Michel (1917) – ANGLADE
Paul (1915) –BAILLESTER Joseph (1918) –BALLESTER Baptiste (1918) –BALLESTER Vincent (1915) –BARBER Jean (1915) –
BEC Louis (1915) –BENEDETTO Louis (1915) –BOYER Florian (1914) –BOYER Robert (1914) –BRIGNONE Victor (1914) –
BUGETTE Georges (1914) –CARRERAS Pierre (1914) –CAVALERO Louis (1915) –CERVERA Augustin (1916) –CERVERA J.
Baptiste (1915) –CHOZARD Baptiste (1916) –DENEUCHATEL René (1917) –ESCALE THOU Louis (1918) –ESPI Joseph (1914) –
FEBRER Raymond (1917) –FERRANDO Gaspard (1918) –GALIANA Raymond (1914) –GINER Antoine (1915) – GONZALVEZ
Antoine (1916) –INGARDIOLA Joseph (1914) –LAURO Joseph (1916) –LIORCA Dominique (1915) –LLINARES Joseph (1916) –
LLORA Joseph (1917) –MARGUERITE Charles (1916) –MAZELLA François (1914) –MAZELLA Jean (1915) –MERCIER Jean (1915)
–MIELE Angelo (1914) –NAVARRO Jean (1916) –OLTRA Pierre (1915) –PAJNO Antonio (1918) –PASSIO Louis (1917) –PERELLO
Baptiste (1916) –PONSADA Vincent (1916) –REYNARD Auguste (1915) –RUGIERO Antoine (1914) –SERIO Salvador (1918) –
SERRA Dominique (1916) –SERRA Henri (1916) –SIMON Louis (1914) –SINTES Antoine (1918) –SINTES Emile (1915) –SINTES
Joseph (1914) –SOLER François (1915) –TRANI Antoine (1918) –VISCIANO Jean (1918) –ZARAGOSI Antoine (1915) -
-M et Mme FONT (Roger et Agnès) : ont-ils été enlevés le 19 septembre 1962 à GUYOTVILLE ?
-M. FORNET Pierre, a-t-il été enlevé le 12 septembre 1962 à GUYOTVILLE ?
-M. PIERAC Jacques, a-t-il été enlevé le 4 juin 1962 à GUYOTVILLE ?
Peut être que la diffusion de ce document permettra de lever le voile des incertitudes par des informations
complémentaires que vous pourriez nous transmettre en retour. MERCI.
Vue aérienne de GUYOTVILLE
La commune en banlieue d’Alger a été le théâtre, début janvier, d’échauffourées. Pour les habitants, un symptôme
de la rancœur contre le pouvoir….
« Mes neveux m’ont appelée pour me dire de déplacer ma voiture, parce que ça allait dégénérer. » Fatiha, la
quarantaine, habite dans une rue résidentielle sur les hauteurs d’Aïn Benian. Dans la soirée du 2 au 3 janvier, des
habitants de cette commune de la périphérie ouest d’Alger ont dressé une barricade sur la route. « Aucune voiture
ne pouvait passer, on voyait la fumée monter dans le ciel. Ça a recommencé le soir suivant. La police et la
gendarmerie se sont postées à chaque carrefour de la ville et, depuis, c’est calme », résume cette riveraine aux
cheveux bruns. Devant le cimetière, fouetté par les bourrasques de vent venant de la Méditerranée, deux
véhicules de gendarmerie sont désormais postés là en permanence…
Source : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/01/12/a-ain-benian-dans-la-banlieue-d-alger-on-sait-que-la-violence-arrange-l-
etat_5061387_3212.html
http://encyclopedie-afn.org/Historique_Guyotville_-_Ville
http://guyotville9a.free.fr/index.html
http://www.piedsnoirs-aujourdhui.com/guyotvil.html
http://alger-roi.fr/Alger/guyotville/monographie/textes/4_creation_village.htm
http://lasardinerie9a.canalblog.com/
http://alger-roi.fr/Alger/guyotville/pages_liees/0_galerie.htm
http://www.cerclealgerianiste.fr/index.php/archives/encyclopedie-algerianiste/territoire/villes-et-villages-d-algerie/algerois/91-guyotville-alenconville
http://felfel1972.skyrock.com/2212047649-ORIGINE-DE-GUYOTVILLE.html
http://alger-roi.fr/Alger/guyotville/monographie/textes/10_mairie_municipalites.htm
http://babelouedstory.com/cdhas/23_guyotville/guyotville_23.html
http://notrealgeriedrgp.canalblog.com/archives/2014/03/06/29377072.html