Loas Haiti
Loas Haiti
Loas Haiti
[8/26, 9:54 PM] Venerable HMI: Dans le contexte du vaudou, les loas sont des esprits, des esprits qui
ont des dons limites auxquels s’accommodent certains humains par pure obligation, par cupidité ou
par curiosité dans le but de parfaire leur connaissance ou de renforcer leur pouvoir.Mais les loas ne
sont pas des genies, non plus des anges puissants. Les loas sont des esprits de basses astrales.Car leur
pouvoir sur les 4 elements(eau,terre,air,feu) sont limites et n’ont pas acces au 5eme element
:L’ether.Les genies du plan astral du Svatika ou croix gammee sont composes de 8 anges sont 8 milles
fois plus puissants que les loas car ils sont prets a tout moment ,a toute heure,minute quelques
soient la temperature et ils ne dependent pas des phases lunaires tandis que les loas sont limites de
pouvoir aux temps pluvieux et peuvent meme diminues de puissance devant certaines personnalites
ayant un brillant aura .Les loas ont leur puissances certes mais les puissances ont des limites.
Les loas et le vaudou tirent leur origine de l’Afrique ancestrale plus précisément du polythéisme Fon
et Yorouba pratiqué dans le golfe du Bénin. A cela s’ajoutent des cultes dahoméens et autre curiosités
mystiques ramassées lors de la Traite des nègres (Europe, Afrique, Antilles ou Amériques). Car les
Amérindiens, avant Christophe Colomb et les « conquistadores » qui le suivirent, servaient des dieux,
les Zémès .D’où le terme créole « Franc Guinen » (franc généré, franc engendré) qui se réfère au
peuple précolombien dont les Ancêtres, les Atlantes(Peuple disparu apres la colision de 2 cometes
dont des fragments de ces cometes ont frappe et disparus les continents Lemurie et l’Atlantide). Ces
histoires vraies qui se trouvaient dans la biblioteque d’Alexandrie detruite en Egypte sont restees
cachees a plus de 95% des humains pratiquant l’esoterisme et a tous les confreries spirituelles.A
l’epoque des Atlantes les etres
[8/26, 10:02 PM] Venerable HMI: A l’epoque des Atlantes les etres
pouvaient etre nes d’une seule chair comme JESUS LE CHRIST. À cette époque, les femmes pouvaient,
après l’ovulation, se féconder elles-mêmes, sans apport de germe mâle extérieur. Cette faculté se
nomme « Immaculée Conception » ou franche génération.Pour revenir a nos moutons,chez les
africains et chez l’Haïtien d’hier et d’aujourd’hui,la vraie pratique du Vaudou est le prototype d’un
comportement ésotérique basé sur la non violence et le respect des lois de la Nature.Autrement,c’est
de la sorcellerie que les gens confondent avec le vaudou.QUAND UNE FORCE ENERGETIQUE EST
UTILISEE A DES FINS BIENVEILLANTES,Celui qui en fait usage recoit la benediction en retour Mais dans
le cas contraire ,c’est le revers de la medaille qu’IL subit.C’est comme le feu,si on l’utilise pour la
cuisson ,c’est un bon acte mais quand le feu est utilise a des fins criminelles et malveillante pour
incendier,celui qui en fait cet usage mauvais
alourdit son KARMA (loi des causes a effets)et subira les consequences nefastes car l’Homme recolte
ce qu’IL a seme.C’est une loie incontournable dans la nature.La sorcellerie n’est pas le Vaudou mais
l’usage des forces du Vaudou a des fins nefastes.Les loas sont des esprits difficiles a diversifier de nos
jours et surtout à dénommer. Ces nouveaux loas ont été, sûrement par souci d’ordre hiérarchique,
surnommés « loas créoles ou indigènes » et « loas d’habitation ou domestiques », notamment pour
les esprits des ancêtres aussi bien que pour les Gardes (esprits guerriers) nés pour la plupart parmi
les marrons de l’esclavage (Jean Zenga, Biassou, Charles Belair, Hallalou, Romaine, Mackandal,
Makaya, etc.) que les loas avaient initiés à Saint-Domingue. D’où le culte « Makaya » ou culte de Simbi
Makaya qui est constitué par une sélection de rites guerriers tirés des éléments et rites Rada (ou
Arada), Pétro, Bisago (ou
Bizango), Mandengue, Nago, Bambara, Ibo, Peul, Congo… venus d’Afrique. Le « Makaya », à l’opposé
du « Guinen », est très expéditif et, paraît-il, peu soucieux du respect des lois cosmiques. Il existe
historiquement cinq grands moments dans l’évolution du culte Makaya/Bizango en Haïti.Nous
croyons que les Sciences occultes du vaudou mutuelles, leurs fonctions, leurs classifications, aussi
bien que sur un mélange de rites (Rada, Pétro, Congo, Nago, Ibo, Zandor, etc.), de motifs (vèvès) et de
symboles kabbalistiques mal utilises; à la fois mi religieux,mi-animiste et mi-scientifique. Ces rites –
Rada qui correspond à l’Air; Pétro au Feu; Congo à l’Eau; Ibo au Verbe, Nago au Métal, et An-Mine à la
Terre – sont destinés à honorer les loas, à les contacter et à les vénérer au cours d’une cérémonie .
L’arrivée d’un loa se manifeste par la possession d’un sujet , en passant par ses caractéristiques lors
d’un
choc émotionnel, d’un deuil, d’un incident inattendu et inhabituel, des noces, des danses et des
cérémonies présidées par un Hougan ou une Mambo. Le loa peut chevaucher ou visiter son fidèle
même durant le sommeil. Ces esprits omniprésents et peu puissants contrôlent des vies humaines
des gens energiquement faibles psychologuement et interieurement et sollicitent en échange du
respect et de la loyauté envers eux. Ils nous rappellent très souvent que tout Esprit est jaloux, et
même Dieu, le Grand Tout, le Grand et inaccessible Olohoum, que personne d’ailleurs n’a jamais vu.
En Haïti, ils sont trop souvent sollicités par les habitants de ce pays, précisément lors des séances de
guérison, par souci matériel ou pour des besoins de protection et de pouvoir. Ils sont alimentés
souvent par la classe politique , les commerçants et le bas peuple.L’homme politique fort ADOLF
HITLER avait fait utilisation du Svatika ou croix gammee
et pratiquait le rituel de la croix gammee chaque jour,le rituel le plus puissant actuellement de la
planete(Car iL permet a l’adepte de finir par dominer au fur et a mesure tous les points
geographiques jusqu’a dominer tout le globe terrestre) connu par un infime nombre de gens inities
dont le nombre ne depasse pas 1000.Mais puisqu’il avait en fin en fait son usage a des fins nefastes
,il a connu a la fin le revers de la medaille.Concernant les loas, puisque en majorite, chaque famille
haïtienne a son protecteur ou ses loas , il est donc facile de s’imaginer le nombre de « services », de
cérémonies ou d’actions de grâce commandités par l’ensemble de la population haïtienne au cours
d’une année.
[8/26, 10:09 PM] Venerable HMI: Les loas sont des héritages d’Afrique que cette panoplie d’esprit de
basses astrales aux quatre éléments (eau, terre, feu, air) qui correspondent à, entre autres, Agouet
Aroyo (Eau), Erzulie (Terre), Ogou (Feu) et à Nibo (Air). Des quatre coins cardinaux (Ouest : eau, le
matériel; Nord : terre, la production, la créativité et la survie; le Sud : feu, la consommation et la
transmutation; Est : air, le spirituel et la renaissance), ils sont toujours à leur poste de protection et de
combat.D’autres part il y a des
esprits loas et des esprits hommes (loas achetés),ils sont dédiés des oraisons et incantations , des
danses et chants , des temples (hounforts) pour prier et demander, vénérer et honorer. En effet, ceux
ci guident, conseillent, prédisent l’avenir, et même punissent la désobéissance d’un serviteur. Une
plainte peut aussi être déposée auprès d’un loa contre un affront fait à un adepte.
Les loas sont associés par deformation du vaudou, paraît-il, depuis l’esclavage à Saint-Domingue aux
Saint et aux saintes de l’Église Catholique. Ils sont souvent identifiés ou assimilés aux images des
personnages saints figurés dans les chromos catholiques. Damballah «Arc-en-ciel» est représenté par
Moïse (rite Rada) ; Damballah «La-Flambeau» par Saint Patrick (rite Pétro), Tokan Aïda Ouèdo le
principe féminin de Damballah par Notre Dame de l’Immaculée Conception ou Sainte Véronique; Piè
(Pierre) Damballah et Piè Dantor par Saint Pierre; Grann (Grand-mère) Alouba ou Aloumandia est
identifiée à Sainte Anne; Legba Mèt Kafou (Maître Carrefour) par Saint Lazare; Legba Mèt Pòtay
(Maître Portail) par Saint Pierre; Atibon Legba par Saint Antoine (l’Hermite, rite Rada; de Padoue, rite
Pétro); Simbi dlo (eau) par Saint Raphaël; Simbi Andeïzo (entre deux eaux) par Saint André; Azaka
Médé par Saint Isidore le Laboureur;
maîtresse Erzulie Fréda Dahomey par Sainte Rose, Vierge Miracle, Vierge Caridad ou encore Sainte
Élisabeth; maîtresse Erzulie Dantor, la Vierge Noire de Pologne, Notre Dame du Mont-Carmel, Notre
Dame du Perpétuel Secours ou Notre Dame d’Altagrâce; maîtresse La Sirène par Notre Dame de
l’Assomption; Baron Samedi par Saint Martin de Porrès; Guédé Nibo par Saint Gérard de Majella;
Baron La Croix par Saint François d’Assise; Bossou Trois Cornes par Saint Vincent; Ogou Batallah par
Saint Philippe; Ogou Balendjo par Saint Jacques le Majeur; Ogou Ferraille et Shango par Saint
Georges; Ogou Badagri par Saint Joseph; Ogou Saint Jean ou Jean Dantor par Saint Jean le Baptiste;
Agassou Gnenin ; par Saint Augustin. Etc…Saint Nicolas et Sainte Lucie, considérés comme les parents
des loas Marassa, par Saint Côme et Saint Damien, les Jumeaux monozygotes catholiques. Les loas
sont souvent fêtés au jour d’anniversaire des Saints auxquels ils
sont identifiés.Et c’est ce fait qui a deforme et confus le VAUDOU.Bref, il est à noter que les loas
Legba, Ogou et Erzulie sont parmi les loas les plus représentatifs dans les chromos populaires des
images catholiques. Cette une sorte de syncrétisme observé, jusqu’à présent, qui a prit naissance
dans les « cases nègres» afin d’éviter, sans nul doute, les foudres du Commandeur ou du Colon qui
voulait à tout prix «civiliser» les esclaves. Chaque «esprit» de l’Afrique fantôme, non oubliée, était
représenté par un Saint de l’Église Catholique, correspondant à son image et à son pouvoir divin. Les
esclaves africains, en se prosternant devant une image d’un Saint ou d’une sainte, mentalement se
projetaient vers l’Alma Mater, l’Afrique perdue à jamais mais gardée secrètement dans leur
mémoire.Les loas, esprits sont appelles dans les sectes religieux du christianisme anges dechus
existent vraiment meme si on ne peut
pas le demontrer concretement mais ils n’ont de pouvoir que sur les gens faibles psychologiquement
et don’t leur vibration astrale sont basses par manque d’energie cosmique. Chaque peuple donne aux
« esprits » les noms qui lui conviennent. Il s’agit vraisemblablement des mêmes « esprits » sous des
appellations différentes.Il existe en Haïti et autres lieux une multitude de loas qui régit la vie au
quotidien. Les plus célèbres de ces loas et divinités sont les Erzulie (Fréda, Dantor, Mapiangueh,
Balian, Borang, Taureau, Guétor, Kaoulo, etc.); les Ogou (Batallah « le Patriarche des Ogou »,
Balendjo, Badagri, Ferraille, Ashadeh, Yamsan, Bacouleh, Shango, Ossangne et consorts); les frères
Zaka (Azaka Médé, Limba, Guidi, Guesci); les sept Legba (Legba Avadra, GrandChemin, Atibon, Kafou,
Zanclian, Fleuroundé…); les Simbi ou les Saints de l’eau (Simbi Andeïzo, Simbi Am-po-lha, Simbi Iom-
pha-ca); les Marassa (Marassa Dosou, Dosa,
Dogué, Marassa Kay, Marassa Bois, Marassa Guinen, Marassa Congo, Marassa Zinsou, Zinse, Marassa
Carrefour); les Guédé (Les Guédé « fils légitimes de Baron Samedi », Guédé Nibo, Brave Guédé,
Guédé Loray, Guédé Ti-Wawé, Mazaka LaCroix, Guédé
Zaryen, les Guédé créoles); les Baron (Baron Samedi, Baron Cimetière, Baron LaCroix) et Grann
Brigitte (femme de Baron Samedi); les Pierre (Pierre Damballah, Papa Pierre, Pierre Dambara, Pierre
Balawe); Agouet Aroyo et Maîtresse LaSirène (son épouse); Damballah et Aïda Ouèdo (son double
féminin).
Hounsi : Servante du temple, vêtue de blanc, qui assiste le Houngan ou la Mambo. Elle chante
également et exécute des danses rituelles, accompagnée de tambours qui sont eux-mêmes des loas,
pour invoquer les esprits. Ce sont souvent des femmes initiées.
Lampe : Technique utilisée en magie de feu afin de canaliser l’énergie des forces suprêmes de
création maléfiques ou bénéfiques pour la réalisation d’un voeu. On en distingue différents types : La
lampe de chance (ou de travail), la lampe de charmes, la lampe d’expédition à caractère désastreux et
maléfique.
Lampe éternelle : C’est l’équivalent vaudou de la lampe du sanctuaire. Elle repose au milieu du
rogatoire.
Péristyle : Grande salle qui prolonge le sanctuaire vaudou, réservée aux cérémonies et danses
publiques.
Père-savane : Personnage très populaire qui mime la conduite et les responsabilités d’un prêtre qu’il
représente officieusement dans les campagnes haïtiennes.