Ecole D Enseignement Supérieure High Tech Rabat
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Ralis par :
- soukayna boukherouaa
2014/2013
encadr par :
M.Lemrhari Ibrahim
Avant propos
Toute formation thorique dans le secteur industrielle et technologique reste inacheve sans
une relle interaction avec le milieu professionnel. Une tape tout fait primordiale dans le
cursus de ltudiant pour la mise en uvre de tous les acquis et capacits dvelopp au cours
de la formation car il constitue une concrtisation de lensemble de notions dvelopp en cours
Linsertion dans des organismes professionnels devrai dans une parfaite vision permettre au
stagiaire sur le plan technique, la possibilit de mettre en uvre ses connaissances, et de
dployer ses efforts pour en acqurir dautres, et sur le plan humain ainsi de tisser des
contacts et de dvelopper certains aspect de leur personnalit en sengageant au cours du
stage faire de nouvelle connaissances et dvelopper le sens de la communication pour
changer les ides et avoir ainsi le maximum dinformation et du savoir.
Le travail sur une thmatique permet au stagiaire de participer activement au sein dun
service ou dune quipe et suivant la nature du thme qui peut tre bnfique pour
lentreprise en question il constituer un membre active qui ne se limite a pas seulement juste
recevoir des informations mais den communiquer aussi, de mettre aux point certaines
amliorations sur certains aspects du fonctionnement du service, et de proposer dautres
amliorations si possible
Ainsi
une chance
Page 2
Remerciements :
Nos
remerciements
les
plus
respectueux
vont
au
Directeur
pour
mavoir
donne
lopportunit
deffectuer
mon
M.IBRAHIM
pour
exprimons
le soutien et
nos
gratitudes
envers
tenons
remercier
sincrement
Mr.
SKIRANI,
pour
tenons
beaucoup
prsenter
notre
sincre
lassistance pour
qui
le passage de
ce
stage.
Je
tiens
aussi
exprimer
mes
gratitudes
tous
mes
Page 3
SOMMAIRE
INTRODUCTION6
.....31
Page 4
3.Dcomposition du systme.47
III. Analyse qualitative .49
1
Introduction.49
2- M ode de dfaillance49
3-Causes de dfaillance .49
4-Effet de dfaillance .50
5-M ode de dtection ..50
CONCLUSION GENERALE :
Page 5
Intoduction :
Lentreprise industrielle daujourdhui est soumise des mutations majeures
et profondes. Elle est sans cesse confronte un monde de concurrence
impitoyable qui vise continuellement amliorer aussi bien la qualit et les
prix des produits que les dlais de production. De ce fait, les entreprises
manufacturires possdent des systmes de production de plus en plus
complexes, sophistiqus et performants.
Et pourtant, elles connaissent des ruptures intempestives lies la
disponibilit de loutil de production, du non qualit gnre, des problmes
de scurit des biens et des personnes ou encore de respect de
lenvironnement. Les ruptures rsultant de ces dfaillances peuvent alors
s'avrer, selon les cas, simplement gnants, dommageables ou critiques.
Ceci impose la ncessit et limportance de prvoir ou au moins d'envisager
ces situations le plus en amont possible, afin de les intgrer lors de la
maintenance prventive, sans attendre d'y tre confront.
Pour cela, on peut alors concevoir une dmarche qui permettrait :
- de rechercher les dfaillances ou les dysfonctionnements potentiels
susceptibles d'affecter un quipement, un dispositif, une machine ou un
procd,
- d'analyser les consquences de ces dfaillances, d'identifier les situations
qui en rsulteraient,
- d'valuer le niveau de gravit, de criticit ou d'acceptabilit de ces
situations,
- de savoir comment et sur quoi agir, quelles mesures envisager, dans le cas
o ces situations apparaissent comme inacceptables.
L'analyse des modes de dfaillance, de leurs effets et de leur criticit
AMDEC est une mthode qui permet de rpondre ces attentes.
Le prsent travail sinscrit dans cette perspective, afin dappliquer la
mthode AMDEC sur la machine ARCIL 6 en passant par les diffrentes
tapes de la ralisation de cette analyse afin didentifier les points ou les
sous-systmes de la machine les plus critiques qui provoque des ruptures
sur la machine ARCIL 6 et la non-conformit des produits finis.
La dernire tape de ce travail consiste proposer des amliorations en
terme de plan daction qui agit bien sur la maintenance prventive
Page 6
Chapitre1 : Prsentation de la
Centrale Laitire
Page 7
1. Centrale Laitire :
Le secteur de l'industrie laitire au Maroc occupe une place considrable dans
l'industrie alimentaire du fait de l'importance de ses produits dans l'quilibre
nutritionnel de la population. En effet, le lait et ses drivs constituent des aliments
de base de part leurs compositions en protines d'origine animale, en sucre et en
sel, outre leurs teneurs en calcium, phosphore et vitamines.
Cependant, de nos jours, le consommateur est devenu de plus en plus exigent dans
ses choix et ses achats. Ainsi, pour sadapter aux exigences et la demande varie
des clients, Centrale Laitire (CL) a adopt une stratgie de satisfaction des
consommateurs pour servir de locomotive de dveloppement du secteur
agroindustriel national. Pour cela, CL propose une gamme de produits riche et
diversifie, adapte aux exigences de qualit et de scurit de ses consommateurs.
Cre en 1941, CL est une Socit Anonyme qui opre dans le secteur
agroalimentaire et qui a pour activit la fabrication, le conditionnement et
lexpdition de produits laitiers frais ferments, fermes et brasss. Ds 1953,
lentreprise devient partenaire du groupe Danone, rfrence mondiale avec qui elle
partage les savoir-faire. CL devient une filiale en 1981 du Groupe ONA, et
bnficie ainsi de son expertise, de ses synergies et de son rseau de comptences.
Avec 60 % de parts de marchs, CL ralise une production qui dpasse les 547 000
tonnes/an de lait de produits laitiers ultra frais (Desserts, Boissons, Yaourts et
Fromages). Centrale Laitire fdre et soutient 850 centres de production
regroupant 112 000 leveurs travers tout le Maroc. La flotte de camions citernes
sillonne chaque jour six grandes zones de collecte : Saiss Zemmour, Doukkala,
Gharb Loukkos, Haouz, Chaouia et Tadla.
Avec quatre sites de production (Sal, El Jadida, Mekns et Fkih Ben Salah), 500
camions, 20 agences commerciales et une distribution dans plus de 55 000 points
de vente, CL a fait de la proximit avec ses clients le vritable levier de son
dveloppement.
Comme tout autre acteur actif du dveloppement de lconomie nationale du pays,
CL participe considrablement dans la dynamisation et lvolution de l'conomie
rurale et rgionale du Maroc. Cela est confirm d'une anne l'autre travers des
rsultats en croissance continue et une redistribution des richesses aux diffrents
partenaires conomiques et sociaux du groupe.
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2. Historique :
1940 :Cration de la central laitire par la companie continentale du maroc .
1944 :Demarage de l usine d Ain Borja a Casablanca (lait).
1953 : Premiere franchis Mondial de Danone .
1981 :Integration dans le groupe ONA.
1982 :Demarrage de lusine de Sal.
1985 : lusine de Sal a assur le lancement de la gamme Fromage Frais .
1985 :Demarrage de lusine de Mekns.
1988 :Acquisition de halib tadla ,usine( fquih Ben Salah). 1988 :Acquisition
de halib tadla ,usine( fquih Ben Salah).
100 000
2004 : lancement de Moufid 60g, Light Nature, Light Aromatis, Light aux fruits,
Maxi crme aromatis et aux fruits
2005 :
Page 9
Mekns
3. Fiche Technique :
Raison sociale :
Date de cration :
Forme juridique :
Secteur dactivit :
Siege social :
Prsident Directeur Gnral :
Capitale :
Chiffre daffaire :
Object social :
Nombre dagences :
Centrale Laitire
1940
Socit Anonyme
Agroalimentaire / Production
Twin Center Tour A - 6me Etage. Casablanca
Mr. Driss BENCHIKH
94.200.000 DH
5. 707. 000. 000 DH
Effectuer au Maroc toutes les oprations se rapportant la
production, au ramassage, la transformation, l'hygine,
la vente des produits agricoles, notamment ceux de
l'levage, de l'arboriculture et de la viticulture.
Construire, installer et exploiter au Maroc des usines
destines recueillir, hyginiser, pasteuriser et rfrigrer
le lait destin la vente, la fabrication de beurre, de
fromage et de yaourts.
27 Agences
Page 10
5. Valeurs de lentreprise :
Comme toute autre entreprise, la Centrale Laitire a ses propres valeurs quelle
tient respecter et qui sont : la responsabilit, ladhsion et limplication, la
qualit et la rigueur, lambition et la cration de valeur, la sc urit et
lenvironnement, la transparence, lesprit dentreprise ainsi que lesprit dquipe.
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Usine
Date
dmarrage
par an
Meknes
1985
200.000 T
Fkih
1989
300.000 T
Fabrication
pasteuris
1976
340.000 T
1982
160.000 T
ben
du
lait
salah
El
jadida
Sal
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7. Centrale Laitire-Sal :
Lusine de Sal appartient au groupe Centrale Laitire. Elle a t construite
en 1980 pour faire face aux enjeux conomiques et commerciaux du
march marocain. Elle a commenc avec la production des Yaourts tuvs
dits traditionnels. Depuis son dmarrage en 1982, lusine a connu plusieurs
restructurations afin damliorer ses outils de production et de sadapter
aux changements de la politique gnrale de lentreprise.
Pour obtenir des produits finis salubres et de bonne qualit sanitaire, la
direction de CL a adopt une dmarche qualit. Celle de lusine de Sal est
base sur la matrise de la qualit au quotidien, sur le dveloppement des
comptences, sur la modernisation sans cesse des outils de production et
surtout sur la satisfaction du consommateur et de ses exigences par la
diversit des produits quelle offre sur le march. Dans le cadre de la
politique qualit suivie au sein de lusine, le site de Sal a obtenu diverses
certifications attestant de son efficacit (lISO 9001 version 2000, lAIB
"American Institute of Baking", lHACCP "Hazard Analysis Critical Control
Point").
Page 13
8. Organigramme :
>>Effectif
Lusine de sal dispose dune quipe qualifie qui veille sur la bonne
organisation de lusine qui produit 24/24h et 7/7j, cette quipe est rpartie
de trois groupes chacune travaille 8H par jour. La production se passe par
plusieurs services, Chacun joue son rle important pour avoir un produit
qui sadapte au critre de lorganisation mondiale de qualit ISO 9001.
La Centrale Laitire rpond toutes les exigences de qualit et de scurit
alimentaire, en distribuant des produits sains, nutritifs et savoureux.
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Page 15
Types de
produits
Familles de
produits
Parfums
Arome/Fruit
Vanille
Etuvs
Yawmy Assil
Banane
Arome
Citron
Vanille
Moufid
Abricot
Arome
Fraise
Pistache
Brasss
Pche
Yawmy Velout
Fruit
Fraise
Mangue
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Yawmy Nature
Yawmy 00%
Fraise
Fruit
Vanille
Activia
Pche
Fruit
Crales
Vanille
Arome
Drinks
Yawmy Moov
Fraise
Crales
Fruit
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Page 20
Le lait arrivant dans des citernes compartimentes subit premirement une filtration pour
viter le passage de particules indsirables. Il est envoy ensuite vers un refroidisseur o
il est refroidi une temprature de 4C, avant dtre transfr vers lu n des sept tanks de
rception pour un stockage qui ne dpasse pas 15 heures.
Tandis que la crme est maintenue dans des cuves une temprature de 6C.
Le lait est ensuite pomp vers la salle de poudrage o il y aura un ajout de diffrents
ingrdients (sucre, poudre de lait crm, agent de texture, vitamines ).
Lajout se fait manuellement dans des Triblenders qui assurent le mixage. Via une autre
ligne, il y aura injection de la crme depuis la cuve crme pour la mlanger directement
au flux du lait circulant dans la ligne de poudrage.
Lusine de Sal possde 3 lignes de poudrage qui peuvent assures lenrichissement de
60000 l/h simultanment. Une fois linjection des ingrdients est termin, le mlange
circule dans un circuit ferm depuis et vers le tank de rception pendant 2 3 heures, ce
qui permet une bonne dissolution des diffrents ingrdients du mlange et sert de
premire homognisation avant lhomognisation proprement dite. Le mlange est
gard dans le tank de rception une temprature de (6C) pour une dure maximale de
24 heures.
Dans le cas de la formule poudre, la matire grasse ajoute provient du beurre au lieu de
la crme. Dans le fondoir, le beurre est fondu une temprature de 50C, puis envoy par
la suite vers une cuve de stockage dont la temprature est maintenue constante avec une
agitation continue pour garder le beurre ltat liquide. Ce dernier nest pas mlang
avec le lait lors du poudrage mais il sera inject directement dans lhomognisateur
pendant le stade du traitement des recettes.
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Poudrage :
Le lait est pomp vers la salle de poudrage o il y aura un ajout de diffrents ingrdients
(sucre, poudre de lait crm, agent de texture, vitamines ). Une fois ces ingrdients
ajouts au lait, pralablement prpar, on obtient ce quon appelle le Mix auquel sera
ajout par la suite larme ou le fruit pour obtenir les produits tuvs, brasss ou les
Drinks. Lusine de Sal possde 3 lignes de poudrage qui peuvent assurer
lenrichissement de 60 000 l/h simultanment.
:
Page 22
Lhomognisation
Aprs le prchauffage 55 C, le lait entre dans lhomognisateur une faible pression
de lordre de 3 bars et T = 70 C, il se fait projeter travers un clapet de diamtre
rglable une grande pression (180 bars), et sous leffet du mouvement du va et vient des
pistons se trouvant lintrieur de lhomognisateur, le Mix sera alors bien
homognis.
La pasteurisation :
Lusine de Sal possde quatre pasteurisateurs dune capacit globale de 50 000 l/h.
Chacun de ces pasteurisateurs se prsente sous forme dun changeur plaque, qui est li
un chambreur ayant la structure dune longue conduite isole dans laquelle sjo urnera
le Mix pendant 5 minutes 95 C.
La fermentation :
Immdiatement aprs le traitement thermique et lhomognisation, le lait est refroidi la
temprature de fermentation, Il sera directement mis dans des tanks o la fermentation
aura lieu.
Pour les yaourts brasss et les Drinks, la fermentation se fait dans les Tanks de
Maturation (TM) qui sont maintenus une temprature voisine de 45 C. Lorsque la
maturation touche sa fin, le Mix est refroidi 6 C pour arrter la fermentation, avant
de le stocker dans des Tanks Tampon (TT) do il sera soutir vers la ligne de
conditionnement.
Pour les yaourts tuvs, le schma de fabrication est lgrement diffrent. En effet, juste
aprs sa sortie du pasteurisateur (qui comprend une section de refroidissement leau
glace), le Mix pasteuris sera conserv 6 C dans des tanks appels Tanks Etuvs
(TE). Il sera ensuite envoy vers les lignes de conditionnement du yaourt tuv.
Page 23
Conditionnement
Le conditionnement est le dernier maillon de la chaine de fabrication des produits finis
avant leur passage par la chambre tuve (pour les produits tuvs), le tunnel puis par la
chambre froide. Les Yaourts fabriqus sont conditionns dans des pots en plas tique.
Lopration de conditionnement est assure par 12 automates appels "conditionneuses"
qui sont gres par des conducteurs
Conditionnement des yaourts tuvs et brasss :
Les machines de conditionnement se composent de plusieurs parties. Dun cot, un
chariot permet lobtention de la matire plastique "polystyrne" (PS) dont le chauffage
est assur par des boites de chauffe. Dun autre cot, des moules donnent la forme dsire
Anne universitaire 2013/2014
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au PS chauff. Ceux-ci sont munis dun circuit deau froide pour faciliter le dmoulage
des pots fabriqus. Un autre chariot fournit lemballage des pots (le dcor) et des doseurs
permettent linjection de la quantit voulue du produit dans les pots. Tandis quune hotte
flux laminaire permet dviter la contamination lors du remplissage. Une soudeuse
permet la fermeture des pots, par scellage de lopercule sur le pot T = 230 C. Ce
couvercle qui est le polymix (PLMX) est fourni par un troisime chariot. Et enfin une
dcoupeuse permet la sparation des pots en lots de 4 ou 6 selon le produit fabriqu.
Le conditionnement de Danup :
Le conditionnement de Danup passe tout dabord par la fabrication des bouteilles dans
une machine appele SIDEL, suivant le processus de lextrusion qui consiste
transformer une matire thermoplastique en un objet fini suivant un processus continu,
qui sont , le cas chant, les bouteilles.
Ce processus commence dabord par le broyage du polythylne haute densit (PEHD ou
PE) avec le colorant et les rsidus de fabrication de bouteilles afin dobtenir un bon
mlange.
Puis vient ltape de la fonte, o le PE passe dans un four et s ubit une fusion une
temprature entre 110 et 130 C. Tout de suite aprs vient le soufflage pour leur donner la
forme finale, avant de les librer des moules et les dcouper de leurs col grce une lame
pour donner aux bouteilles leur forme finale.
Les bouteilles fabriques poursuivent leur chemin jusqu la trmie dalimentation de la
conditionneuse qui les met sur le convoyeur pour atteindre la machine de remplissage.
- Remplissage des bouteilles : le Mix trait est pomp vers une trmie lie un doseur par
lequel seffectue le remplissage des bouteilles.
- Fermeture des bouteilles: se fait par des opercules en aluminium qui seront scells aux
bouteilles remplies 193C.
- Datage et mise du Sleeve (dcor de Danup) : une fois les bouteilles fer mes, elles
passent sur un convoyeur pour imprimer la date de production ainsi que celle de
premption, puis elles passent par une sleeveuse pour recevoir le Sleeve qui se colle
autour de chaque bouteille.
Anne universitaire 2013/2014
Page 25
- Fardeleuse : elle permet lalignement des bouteilles et leur mise en plastic (film
thermortractable) sous forme dun bloc de 6 bouteilles
Chaine de production dun tuv / brass
En premier lieu, le rouleau de PS est tir vers la boite de chauffe qui est un ensemble de
rsistances dont le rle est de rendre le PS plus mou sous une temprature de 250 300
C.
Aprs, lopration du moulage commence par un prformage de la surface par des
poinons. En mme temps, le moule se met en place pour prendre les dcors et recevoir
le PS entran dans le moule par les poinons. Le formage du pot se fait par soufflage
dair comprim et strile sous une pression de 3 bars, puis juste aprs, le dcor se colle
sur le pot form grce une couche de cire se trouvant sur la face interne du papier dcor.
Ensuite, le remplissage seffectue laide des buses du doseur (16 ou 24 buses selon la
machine) sous une hotte qui est une zone maintenue en surpression par de lair ultra
propre, pour que le produit soit en scurit vis--vis des moisissures et de tout microorganisme qui peut laltrer. Linjection de larme ou du fruit (selon le produit) se fait
simultanment avec le Mix qui est soutir partir des Tanks Etuvs (TE) ou des Tanks
Tampon (TT) vers une trmie. Ensuite, un mlangeur assure un bon mlange du Mix
avec larme (ou le fruit) prt tre utilis. Juste aprs, vient la soudure du PLMX par
thermo scellage une temprature de 230 C. Le PLMX passe tout dabord par le dateur,
puis par un flash IR sous forme dampoules ayant une forte puissance dont le rle es t
llimination des microbes du PLMX.
Enfin le dcoupage qui dcoupe les pots produits en lots de 4 ou 6 selon la machine,
avant quils ne soient encaisss dans des casiers prvues cet effet, et qui sont mis par la
suite dans des palettes qui comportent 72 casiers. Ces palettes sont transportes laide
de transpalettes vers le tunnel puis vers la chambre froide. Avant leur passage par le
tunnel, les produits tuvs sont transportes vers la chambre tuve afin dassurer leur
fermentation. Lencaissage et la palettisation se font soit manuellement soit
automatiquement laide dun robot.
Anne universitaire 2013/2014
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Tunnel froid :
Aprs le conditionnement des produits brasss et l'tuvage des produits traditionnels dans
ltuve (passage des produits tuvs par ltuve pout assurer leur fermentation), il y a le
passage l'tape froide. L'tape froide consiste dsactiver la fermentation et amliorer
la consistance des produits finis.
La Centrale Laitire possde 4 tunnels froid. Chacun possde son tour 3 grands
ventilateurs qui assurent l'aspiration de l'air chaud refoul par des petits ventilateurs dans
chaque cellule du tunnel.
L'ouvrier arrive avec la palette du produit fini pour la placer dans la cellule. Chaque
cellule est quipe d'une sonde photo-lectrique qui se dclenche suite la rupture de son
fonctionnement, c'est ce moment l que le petit ventilateur plac derrire la palette se
met en marche pour refouler l'air chaud du produit gnralement sorti de l'tuve.
La sonde photo-lectrique donne le temps initial un systme informatique pour compter
2 h, aprs ce temps un cran l'extrieur du tunnel affiche l'ouvrier la fin de l'opration
d'une cellule donne (les cellules sont numrotes) suivi par un arrt du ventilateur de
refoulement. L'ouvrier prend la palette la chambre froide.
La premire heure dans le tunnel est ncessaire pour diminuer rapidement la temprature
du produit, tandis que la deuxime heure sert stabiliser la fermentation lactique par
l'inhibition de l'activit du ferment lactique.
Le refroidissement se fait grce un circuit ferm d'ammoniac qui passe dans un
serpentin. L'change entre l'air chaud aspir par les ventilateurs d'aspiration et refoul par
les ventilateurs de refoulement (circuit ferm) et l'ammoniac provoque la baisse de la
temprature des palettes une vitesse relativement grande. La Temprature rgnant dans
Page 27
La chambre froide :
Il existe deux chambres froides au sein de lusine de Sal, leur rle est de dsactiver
temporairement l'activit microbienne et de permettre l'amlioration de la consistance du
produit fini. La temprature habituelle des chambres froides est de l'ordre de 4 C. Le
refroidissement s'effectue avec un principe similaire celui du tunnel froid mais avec
des dbits de refoulement et d'aspiration moins grands.
Page 28
Ce chapitre concerne
des gnralits sur la maintenace
ainsi que les objectifs
Page 29
1-Dfinition de la maintenance :
Ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de management durant le
cycle de vie d'un bien, destines le maintenir ou le rtablir dans un tat dans lequel il
peut accomplir la fonction requise.
Page 30
Page 31
ce troisimechapitre conserv
des gnralits
de la dmarche AMDEC
Page 32
1-Dfinition :
Lanalyse des modes de dfaillance de leurs effets et leur criticit (AMDEC) est une
approche qualitative pour les tudes de sret dans diffrents domaines.
En effet cette technique apporte une connaissance approfondie du fonctionnement et des
interactions dun systme, par lanalyse systmatique des relations causes-effets.
Les informations obtenues sont utilises dans le cadre de la matrise des risques, avec
proccupation principale lobtention dun bon niveau de sret de fonctionnement du
systme oprationnel. Elle permet de :
Connatre les lments (fonctions et constituants) les plus importants .
Dcouvrir,
valuer
et
classer
les
faiblesses,
les
anomalies
et
les
dysfonctionnements de systme .
Grer les points critiques et remettre en cause mme la conception de systme
Prconiser les mesures correctives .
Evaluer les effets de ces mesures pour sassurer de leur efficacit, et pour les
comparer et dcider.
Dans cette optique et la lumire de ces points, lAMDEC occupe une place importante
dans loptimisation de la fonction maintenance.
En effet elle rend le systme fiable tout en faisant diminuer le nombre de pannes,
facilement maintenable car elle permet la matrise des lments et leurs fonctions,
disponible parce quelle permet dagir sur les lments critiques, scurisant car elle
permet de dominer les dfaillances et en particulier les dfaillances critiques et
catastrophiques.
Page 33
OBJECTIFS VISES
AMDEC PRODUIT
AMDEC PROCESSUS
3-Principes de lAMDEC :
LAMDEC repose sur :
La notion de dcomposition de lquipement en lment simple, via la recherche des
fonctions de lquipement.La notion deffet constate par lutilisateur final.
La notion de criticit au travers :
La frquence dapparition des dfaillances.
La gravit des consquences.
La probabilit de ne pas dcouvrir leffet.
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Page 37
Page 38
1
2
3
4
Rouleau de Plastique PS
Pr-nettoyage
Zone de Moulage : Principe formage
Zone de dcoupage du dcor
Doseur
5
6
Buses du doseur
7
8
9
10
11
Trmie
Mlangeur
Zone de dcoupage de lopercule
Salle de contrle
Encaissage (rassemblement des Yaourts dans des
casiers)
12
Palettisation (rassemblement des casiers dans les
palettes)
tableau5: Table des diffrentes parties de la chaine de production dune conditionneuse (ARCIL
6)
I. Analyse matrielle
1-Entre Plastique :
a. le drouleur plastique :
Le drouleur plastique comprend deux positions de bobines : une position bobine pleine
( lextrieure du chssis) et une position fin de bobine (prs de lensemble
dintroduction), Il est constitu par les lments suivantes :
1 moteur rducteur : pour drouler la bobine.
2 rouleaux : lun est entrainer et lautre est fixe.
un capteur tige : Donner le fonctionnement et dtecte le relchement de plastique
b. Entre de bande et de picotage :
Le systme dentre de bande se compose dune chauffe de bords plastique, un rouleau
de guidage et de systme de picotage.
Cette tape passe laide des lments suivants :
Page 39
2-Thermoformage :
a. Boite de chauffe :
La mise du film thermo plastique une temprature de formage est obtenue par le contact
de plaques chauffantes tflonnes .chaque plaque, appele aussi lectrode a une
rsistance moule rgulation individuelle. Ces lectrodes sont situes au-dessus et sous
la bande plastique. Lensemble de chauffe est compos de plusieurs lectrodes
suprieures et infrieures.
Les plaques sont usines de faon chauffer les zones qui auront subir une dformation
.il existe la possibilit de monter des guides refroidis.
Les lments utiliss dans cette tape sont :
Cames creuse double : Transformer le mouvement rotatif en mouvement de
translation
Les galets : Eviter la dtrioration par frottement
2 roulements : Maintenir la position de larbre au milieu
Page 40
b. Presse de formage :
NB : la machine ARCIL comprend trois presses pour les oprations de formage, thermo
scellage et dcoupe qui ont le mme principe de fonctionnement.
La presse de thermoformage est constitue dun arbre cames qui possde sa propre
motorisation, les profils des cames coordonnent les mouvements de monte et descente
des traverses infrieurs et suprieurs et donc de louverture et de la fermeture de la
presse.
Larbre cames se trouve dans un caisson situ en partie suprieure de la machine .la
traverse infrieure de la presse est relie la mcanique de commande par quatre
colonnes qui traversent la partie suprieure avec un guidage par fourreaux billes.
La traverse suprieure quand elle est relie la mcanique de commande par deux
colonnes.
Il sagit donc des presses suspendues sans aucune liaison avec le sol permettant un accs
facile pour les oprations dentretien.
La presse de formage est fixe par rapport au bti. Elle est la rfrence, on la positionne en
bute sur les vis cot boite de chauffe, et contre le rail ct oppos conducteur.
NB : cest la mme description que la presse de formage et de dcoupe et de so udure
Moteur rducteur : Entrainer larbre came
4 cames : Transformer le mouvement rotatif en mouvement de translation
8 galets : Eviter la dtrioration par frottement
Des rondelles Belleville : Permettent de rguler les efforts la fermeture de la
presse
c. Thermoformage :
Page 41
Dfinition du thermoformage : A partir dune bande plastique que lon chauffe, cest de
mettre en forme sous combine des poinons et de lair.
Loutil de formage est compos :
En partie basse, dun moule .le moule est muni dune circulation deau.
En partie haute, dun contre moule, muni dune circulation deau, dans lequel
manoeuvrent des poinons de formage.
Moteur : Entrainer la courroie
Courroie : Transmission du mouvement
Vis sans fin : changement de mouvement rotatif en mouvement de translation
Poinon de formage : Mettre en forme les pots sous prsence de lair
Vanne : Commande de lair de formage
Moule : Donner une forme spcifique aux pots
Contre moule : Assurer ltanchit lors du formage
3. Doseur :
a. Plaque porte buses mcanique :
Cette plaque, situe sur la machine, support les buses, mais aussi le bac de lavage. Elle
est le complment logique du doseur .la plaque porte buse est rglable dans le sens du
dfile. Elle possde galement un rglage de niveau.
Les buses, sont relies au doseur par lintermdiaire de tuyaux Membranes : Fermeture et
ouverture de la voie ou passe le produit. Distributeur pneumatique : Distribue lair vers
les membranes
Page 42
motorisation des pistons. Lasservissement est fait par une commande et un contrle
vectoriel.
Chaque corps est reli cot admission au systme dalimentation produit et cot
chappement la buse de remplissage du pot.
Courroie : Assure la transmission du mouvement des quatre visses sans fin
Moteur : Entrainer la courroie
4. soudure :
a. Drouleur opercule :
Le drouleur se situe en partie suprieure de la machine au-dessus de tapis de sortie .il
comprend deux postes pouvant recevoir chaquun alternativement une nouvelle bobine
.chaque poste possde sa propre motorisation. Loprateur peut rgler la position latrale
de la bobine papier au niveau des axes porte-bobine grce un volant.
A laide dun balancier sur lequel est mont un codeur on commande le moteur rducteur
slectionn et on droule ainsi lopercule. Lopercule passe travers le systme de
raboutage qui permet le raccordement entre deux bobines, puis devant une cellule de
dtection spot (repre du pas dimpression) qui permet la mise longueur de celui-ci.
2 moteurs : Entrainement des bobines
Codeur : Sert la rgulation de vitesse
b. Etirage opercule
Lopercule passe ensuite dans le systme dtirement et continue a travers les colonnes
des presses de dcoupe et de thermoscellage.il est alors plaque contre la bande plastique
et revient dans loutillage de soudure ou il sera thermocoll a la bande plastique.
Anne universitaire 2013/2014
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Le systme dtirage est compose de deux pinces et dun patin chauffant (environ 100C)
ou non selon le type dopercule utilis.
Lopercule est pris par les pinces, puis le patin ltire .Pour une bonne translation du
patin, celui-ci est guide.
Le patin chauffant redescend, les pinces souvrent et lopercule dfil.
Il est souhaitable de caler correctement lopercule au niveau de la soudure pour vite
davoir faire dfiler des mtre de bande plastique avant de retrouver un positionnement
correct
du couvercle. (Se reporter au chapitre modes opratoires de conduite de la machine pour
la procdure suivre)
b. Outil de soudure :
Il comprend :
En partie basse, une contre-lectrode, dans laquelle sinsrent les pots, sert de
contrepartie aux cordons de soudure de llectrode suprieure. La partie suprieur
de la contre lectrode est compose dune plaque silicone afin dobtenir une
soudure homogne sur toute la largeur du cordon. Un jeu de support de pots
permet de maintenir les pots dans le plan de dfile lors de lavance des chaines et
vitent que sous leur poids ils se dforment et soient crases lors de la remonte de
la contre lectrode.
En partie haut, une lectrode monobloc en bronze cordons, chauffe par un bloc
dans lequel se trouve une rsistance lectrique. Toute la partie suprieure est
monte sur des rails afin de permettre un entretien et une maintenance plus facile
et rapide de celle-ci.
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Page 45
Savonnette avec des ressorts : Assurer lappuie sur les pots et les ressorts pour
jecter le plastique des lames
2. Coupe dchets :
Aprs la presse de dcoupe, les dchets plastiques sont dcoups au pas.
2 Vrins : Manipulation du couteau
2 Couteaux : Assurant la dcoupe des dchets.
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3. Dcomposition du systme
Anne universitaire 2013/2014
Page 47
LAMDEC est une mthode de rflexion crative qui repose essentiellement sur la
dcomposition fonctionnelle de systme en lments simples jusquau niveau des
composants les plus lmentaires.
On a dcompos le systme en six sous-systmes. Chaque sous-systme est
dcompos jusquaux organes les plus lmentaires.
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Page 49
Lanalyse qualitative dun systme est une dtaille qui a pour objectif la dtermination
de toutes sortes dvnements qui ont une relation avec les dfaillances que peut avoir un
systme .son principe consiste sur ltude et la comprhension de toutes le s dfaillances
possible en dterminant les critres qualitative suivants :
Mode de dfaillance
Causes de dfaillance
Effet de dfaillance
Mode de dtection
2- Mode de dfaillance
Le mode de dfaillance est : relatif une fonction. Il sexprime par la manire dont un
systme vient ne remplir sa fonction.
Il sexprime en terme physique :
Rupture
Desserrage
Coincement
Court-circuit
Perte de la fonction
Fonctionnement intempestif
Refus de sarrt
Refus de dmarrer
Fonctionnement se dgrade
3-Causes de dfaillance
Est une anomalie initiale subtile de conduire au mode de dfaillance. Elle sexprime en
termes dcart par rapport la norme .
Sous dimensionnement
Absence de joint dcrou
Manque de lubrifiant
Anne universitaire 2013/2014
Page 50
Concrtise la consquence
Est relatif un mode de dfaillance
Dpend du type de lAMDEC ralis
Mcontentement
Scurit des operateurs
Arrt du flux de production
5-Mode de dtection
Page 51
Chapitre 5: Evaluation
de la criticit
ce cinquimechapitre
sur l evaluation de la criticit
Page 52
1-Introduction :
Lanalyse quantitative sert quantifier et chiffrer les risques survenus lors dune
dfaillance, son objectif est de quantifier la criticit des lments les plus importants,
cest--dire quantifier les lments qui auraient plus que la moiti du temps to tal
dindisponibilit, ceci permet de mettre en vidence limportance de chaque cause de
dfaillance par la dfinition de trois critres quantitatif :
La frquence dapparition de la dfaillance La gravite
Le non dtection
2-La frquence :
La frquence (note F) est le premire critre auquel on pense, le plus intuitif en matire
de scurit de maintenance, et de disponibilit .la notion de frquence est relative une
combinaison cause-mode, elle sexprime par le nombre de dfaillance sur une priode
donne.
Trs rares
Rares
Faibles
Moyenne
Forte
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3-La gravite :
La gravite (note G), est calibre selon les critres de satisfaction du client (toujours au
sens large, cest--dire le client de lentreprise, lutilisateur, lentreprise elle-mme,
lensemble de la population quand il sagit de scurit publique, etc
De manire gnrale, on fait apparaitre dans lchelle de la gravite, en parallle, la notion
de danger associe a la dfaillance.
Ce facteur est en fait le plus difficile valuer, et pose des problmes quand il sagit de
scurit il sexprime selon les divers aspects suivants :
Dgradation matrielle
Taux de disponibilit du systme
Le non-conformit de la tache ralise
La rpercussion de lenvironnement
GRAVITE MINEURE
GRAVITE
SIGNIFICATION
GRAVITE MOYENNE
GRAVITE MAJEURE
GRAVITE
CATASTROPHIQUE
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4-Notion de la criticit :
La criticit :
Est value partir de la frquence de la dfaillance et de sa gravit
Dtermine le choix des actions correctives
Fixe la priorit entre les actions entreprendre
Est un critre pour le suivi de la fiabilit prvisionnelle de lquipement
20C80
5-Cotation de la criticit
Un moyen simple pour mesurer la criticit dun vnement, est deffectuer le calcul
suivant :
Page 55
Centrale laitiere
Elment
Mode de
dfaillance
Cause
Effet
Dtection
Calcule
de la
criticit
f g nc
Drouleur
e plastique
Entre de
bonde et
picotage
Boite de
chauffe
Presse de
formage
Mauvais
contact de
capteur de
tige
Temprature
non
conformpou
r les
lectrodes
resistance
Blocage de
la tige
Arrt du
moteur
Dfaillance Mauvais
s des
pntration
resistances
Dfomation
du PS
Tflonnage Mauvais
enlev
formage
des pots
Mauv
Importnate Mauvais
fermmeture au niveau
formage
des
des galets
soudure
traverses
des potes
Dcoupe
des potes
visuelle
1 4
visuelle
1 4
visuelle
2 20
visuelle
2 10
Action
De
maintenanc
e
Rglage de
de la tige o
changement
de capteur
Changemen
t des
rsistance
ou la sonde
Changemen
t de la
palque
Dmontage
changement
galetset
roulements
et
remontage
de
lensemble
Tableau9 : Analyse des modes de dfaillances de leurs effets et de leur criticit de la machine
ARCIL6 (1)
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Centrale laitiere
Elment
Mode de
dfaillance
Cause
Effet
Dtection
Calcule
de la
criticit
f g nc
Outile de
dcoupe
Pot mal
coups
Couteau
abim
Produit
non
conforme
Bourrage
dchets
Coupe
dchets
Glissemant
des dchets
entre les
rouleaux
Moletage
effac
Arrive
cartons
vides
Les cartons
s
accumulent
et tombent
au niveau
du
convoyeur
visuelle
visuelle
visuelle
Action
De
maintenanc
e
Changemen
t des
couteaux
Changemen
t des
rouleaux
moletes
Changemen
t du
convoyeur
Tableau10: Analyse des modes de dfaillances de leurs effets et de leur criticit de la machine
ARCIL6 (2)
Page 57
CHAPITRE 6 : SYNTHESE ET
SOLUTIONS PROPOSEES
Page 58
Cette tape consiste effectuer un bilan de ltude et fournir les lments permettant de
dfinir et lancer, en toute connaissance de cause, les actions effectuer.
Le tableau ci-dessous prsente les actions correctives et les propositions de maintenance
prventives :
Elment
Mode de
dfaillance
Drouleur
plastique
Mauvais contact de
capteur tige
Entre de
bande et
picotage
Temprature non
conforme pour les
lectrodes
Les
actions
correctives
Rglage de la
tige ou
changement
de capteur
Changement
des rsistances
ou la sonde
Dure
en min
Les actions
prventives
Dure
en min
35
Vrification de capteur
tige
20
Vrification de
temprature et des
lectrodes
rsistance
Boite de
chauffe
Dformation du PS
Changement de
la plaque
65
Vrification de ltat de
PS
Presse de
fromage
Dmontage
changement
galets et
roulements et
remontage de
lensemble
60
Vrification et galet et
graissage de roulement
10
Partie
fromage
Rotation anormale au
niveau de larbre
came
Dmontage
changement
galets et
roulement et
remontage de
lensemble
30
Vrification de la
rotation de larbre
cames
Presse de
dcoupe
Dysfonctionnement de
moteur et problme de
courroie
Changement
des lments
dfectueux
40
Vrification de ltat de
la courroie et du
moteur
Outil de
dcoupe
Changement de
couteaux
40
Vrification des
couteaux
Page 59
Coupe
dchets
Glissement dchets
entre les rouleaux
(tirage dchet)
Changement
des rouleaux
molets
30
Vrification des
rouleaux molets
10
Arrive
cartons
vides
Les cartons
saccumulent et tombe
au niveau du convoyeur
Changement de
convoyeur
360
Vrification du
convoyeur
10
10
Prhension
pots
Manque ou excdent de
Yaourt sur les cortons
Changement
des
enroulements
changement
des pignons
55
Vrification des
enroulements et des
pignons
Page 60
CONCLUSION GENERALE
Le stage en entreprise sagit dune grande dcouverte du monde de travail. Cest loutil le
plus efficace permettant dvaluer nos informations acquises durant notre cursus, ainsi
cest le seul moyen qui peut nous aider mieux dvelopper nos comptences.
Ce stage au sein de la centrale laitire sal tait une exprience qui m'a permis de
complter ma formation thorique, il m'aid d'enrichir ma connaissance et comptence
pratique et thorique et vivre la ralit de mtier dont les objectifs sont: savoir -faire,
assiduit, comptence, ponctualit, et le sens de responsabilit.
Durant ce stage j'ai suivi les diffrentes tapes de fabrication et d'essais qui aboutissent
la production d'un produit satisfaisant le besoin des consommateurs et j'ai pu me
familiariser avec les diffrents procds et analyses que traverse un produit Danone avant
sa commercialisation.
Il est pour moi la meilleure occasion d'adaptation aux exigences du march de l'emploi. Il
m'a permis de me prparer aux perspectives futures que a soit dans l'intgration du
march de l'emploi, en l'occurrence les laboratoires d'analyses, ou dans le domaine d la
recherche scientifique, et de complter ma formation dans le domaine de l'industrie
agroalimentaire.
Enfin, il ma permis de dvelopper lesprit du travail en groupe, qui sera un outil
indispensable pour russir dans la vie professionnelle.
Page 61
BIBLIOGRAPHIE
Analyse des Modes de Dfaillance, de leurs Effets et de leur Criticit dEric METAIS
DEVINCI Conseil.
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actionnaires..11
Page 63
Page 64