Poussière Dans La Bible

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Poussire dans la Bible Poussire

Gense 2:7 Et l'ternel Dieu forma (yatsar) l'homme ( le adam ) de la

poussire (aphar) de la terre,(adamah) il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint une me vivante. Gense 3:19 C'est la sueur de ton visage ue tu mangeras du pain, !us u' "e ue tu retournes dans la terre, "ar tu as #t# pris de la poussire , et la poussire tu retourneras. $ %&''E ( ) *$ E)E C+EE ( ,(+)*+ DE $( ,&-..*E+E / 0-E .*12*3*E $E .E2. DE 4 )- E. ,&-..*E+E E) )- +E)&-+2E+(. ( $( ,&-..*E+E 5 /.
OBSERVATION DE LA NATURE LES PEUPLES HABITANTS L 'AFRIQUE ONNAISSENT BIEN LES PROBLE!ES AUSES PAR LES VENTS QUI SOULEVENT LA POUSSIERE DE SABLE DES DESERTS" Le siro##o soul$e des nu%es de &oussire 'ui &lon(e le &a)s dans les *%nbres" Il en es* 'ues*ion de la +,e &laie de l'E()&*e" Les tnbres (hoscheh) ne seraient que dpais nuages de poussire, trs opaques,

provoqus par le klamsin (sirocco). Quand les eaux se seraient retires, la terre rouge aurait sche et elle serait devenue une fine poussire. ! "#$$# #% Q&#'"()% * !+!,!- . '(/%(0(# "#$$# $)&/#.

(l est bien fait allusion ici aux terres rouges des dserts qui environnent le pa1s d2#g1pte. e mot poussire * !3-!$ . serait d2aprs certains 4 l2 origine du mot * !0$(Q&# . . (l signifie poussire mais aussi faire voler , terre sche, mortier 5 (l s2agit de mettre l2 accent sur la notion de poudre , dont les lments sont trs petits. 'elon la conception g1ptienne , ce qui est * petit . n2est pas dvelopp, ainsi la poussire est constitue de fines particules qui n 2a pas de forme 5 $appelons nous au dbut de la /ense , il est crit la terre devint informe et vide, c2est 4 dire sans forme et inhabite.

2 homme poussire est l2 homme du dsert qui conna6t la pauvret, tel est le sens de * petit . , il n2est pas dvelopp. %ous pouvons alors comprendre facilement le s1mbolisme de la poussire. 2homme qui vit dans les rgions dsertiques est celui qui vit dans les tnbres, ( le dsert pour l2 g1ptien est la rgion des tnbres ) il est comme la poussire du dsert. a poussire est lgre, elle va et vient au gr du vent elle est instable, elle forme des nuages pais de tnbres, d2illusions , elle cre un voile qui emp7che d21 voir clair d2avoir du discernement , elle colle sur la peau comme des larves , elle est parfois compare dans la 8ible 4 des poux , 9e suppose qu2elle donne des envies de se gratter, d2ailleurs les gens de ces pa1s se frottent la peau pour dtacher ces particules de sables collants :sus ;hrist dit 4 ses disciples que, si quelquun ne les recevait pas ou ncoutait pas leurs paroles, ils devaient secouer ou essu1er la poussire de leurs pieds en quittant la maison ou la ville ...

! $#'&$$#;"()% < $)(' <= > :e t2ai lev de la poussire et 9e t2ai tabli chef de mon peuple. +ieu ressuscite les pauvres de la poussire. < 'amuel >.
Ainsi, des expressions telles que "il retire le pauvre de la. poussire , c'est sortir de leur tat de bassesse ( 6. 7897: ;,s 66;9< )

+ieu qui forme l2 homme de la poussire , littralement nous devrions dire +ieu forma l2 homme dont l2tat est la poussire ( tu es poussire ) .a la m7me notion de rsurrection que dans les versets prcdents che? 'amuel et les 3saumes. (l s2agit de l2 -omme premier comme la matire premire des alchimistes dont le but est de la transformer en lumire. ;2est 4 dire lui faire subir une succession de purifications. e verbe * forma . * 1atsar . est celui utilis notamment par le potier qui travaille l2argile. e verbe * 1atsar . former, en hbreux ici est prcd de deux 1ods alors que le m7me mot utilis pour les animaux ne contient qu2un seul 1od. %ous savons que +ieu cra l2 homme m@le et femelle, et que cette notion n2est pas emplo1e pour les animaux cres dans le premier chapitre de la

/#%#'# or, les animaux sont galement m@les et femelles . %ous trouvons la rponse dans les hirogl1phes notamment ceux qui prsentent la purification du 3haraon afin de se prsenter pur devant +ieu . Or que signifie le sens de Dieu forma Adam si ce n'est que son initiation pour aller au jardin d'Eden et se prsenter devant Dieu. La purification du P araon consiste ! lui donner la vie par une connaissance intuitive s"m#olise par le Dieu $orus et une connaissance intellectuelle consciente s"m#olise par le dieu %#is& ' ot. Le mot m(le en #reu) d'ailleurs a pour racine mmoire& seul un omme conscient a de la mmoire. Et le terme femelle signifie rceptacle soit le c*t intuitif cratif de l' omme . #n fait ici +ieu va modeler, 4 savoir donner une forme 4 la poussire qui tait sans forme. 3ar son action +ieu va transformer ressusciter l2 homme * (%!;;),3 ( . , il va rassembler les petits morceaux , le rendre beau il va donner la vie 4 un 7tre mort, le ressusciter lui donner un corps de gloire , il va recevoir l2immortalit. /r@ce 4 l2 quilibre de ses deux potentialits m@les et femelles. (l va unir les diffrents composants de la matire afin qu2elle ne fasse plus qu2un. ;omme un boulanger qui 4 partir de farine va fabriquer du pain. ;2est pourquoi il est question de souffle de vie . !+!, ou # 3#&3 # -#8$#&A B! +)%; #"$# 8#%( +#' +(#&A #/C3"(#%' #% !;;#+!%" !& :!$+(% + #+#% . #" 3$#%+$# +#' $#'3)%'!8( ("#' ;),,# 3-!$!)%' . !(%'( ,)('# #" + !&"$#' ;-#0' -#8$#&A )%" /)&B#$%# #/C3"#. ( $#"$)&B#$! '! ;)%+("()% +# 3)&''(#$ # #" +# ,)$"# )$'Q& ( $#")&$%#$! +!%' ')% 3!C' +#'#$"(Q&#.. L'O+,E-.A'%O/ DE LA /A'0-E D0 PA1, O0 ,E DE-O0LA 2E, E.E/E3E/', /O0, A DO/2 PE-3% DE 3%E04 2O3P-E/D-E LE ,E/, ,13+OL%50E DE LA .%E E'E-/ELLE PE-D0E DA/, LE 6A-D%/ D EDE/ A0 P-O7%' DE LA -E2$E-2$E DE PE'%'E, 2$O,E, 8PO0,,%E-E9 D'E/ +A, 8 allusion au serpent qui mange la poussi:re 9 .

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poussire (`aphar; koniortos, Chous): De petites parti ules de terre. !e "ot a plusieurs si#ni$i ations $i#uratives et s%"&oliques: (') !a poussire est le "at(riau ) partir duquel Dieu est dit avoir $or"( l*ho""e ( 1e 7897< ), il est devenu un s%"&ole de la $ra#ilit( de l*ho""e ( ,s 67;96= , "Car il sait notre adre, il se souvient que nous so""es poussire ; o"parer 1e 6:98< ; >o? =96@ , et ), et de sa "ortalit( ( 1e ;96@ , tu es poussire, et ) la poussire tu retourneras "; o"pareremploi ;=96A ; ,s 67=98@ ; E" ;987 ; 6897< , et ) +ar ons(quent, il est utilis( au sens $i#ur( pour la to"&e ( ,s 8896A , 8@ ; ;79@ ; Da 68978 .) (, Ces a tions) ) se trouver dans la poussire, ) l( her la poussire, ) saupoudrer de la poussire sur la t-te, sont des s%"&oles expressi$s de pro$onde hu"iliation, d*a&aisse"ent ou la"entation (par exe"ple l'emploi 8968 ; =89B , <89@ ,s ; *sa 8 9 67 ; =<96 ; =@98; ;78967 $a ; 7;h8@ ; ECe 8<9;7 ; 'i" <96< ; +e 6:96@ ) Ainsi, des expressions telles que "il retire le pauvre de la. poussire , c'est sortir de leur tat de bassesse ( 6. 7897: ;,s 66;9< ). poussire (.) !an er (tait une expression a te d*ex( ration Ainsi, /hi"ei. ""audit" David et "0et( des pierres sur lui, et la distri&ution poussire , litt(rale"ent,1 d(poussi(r( (lui) ave de la poussire ( 8 .amuel 6B96; ). Alors la $oule qui +aul adress(e ) 2(rusale" "ani$este sa olre ontre lui en 0etant sur leurs v-te"ents et oul(e de poussire dans l*air ( (" 8898; ). (3) /e ouer la poussire de ses pieds ontre qui onque ( 't 6796= ; '. B966 ; $u 7@97A ; 67966 ; (" 6;9A6 ) est s%"&olique de renon e"ent, o""e nous dirions "se laver les "ains de lui, "une inti"ation que tout autre rapport sexuel (tait ) une extr("it(. 4l a (t( pratiqu( par les pharisiens en passant de 5entileto sol 0ui$, (tant une do trine ra&&inique que la poussire d*une terre pa6enne souille. (7) 4l est (#ale"ent utilis( au sens $i#ur( pour une "ultitude inno"&ra&le (par exe"ple 1e 6;96B ; 8:96= ; >o? 8<96B ; ,s <:98< ). (8) !*expression 1l*9ternel enverra pour pluie de ton de la poudre de la terre et de la poussire" ( De 8:98= ) si#ni$ie la poussire ) la suite de la s( heresse doit to"&er au lieu de la pluie sur la terre s he. 9n 2ud(e et environs au ours d*une siro o, l*air est re"pli de sa&le et de poussire, qui sont sou$$l( par le vent ave une #rande violen e.
VOIR LA LISTE DES VERSETS SUR LA POUSSIRE DANS LA BIBLE.

D. :iall 9d;ards
VOIR LA DFINITION DE LA POUSSIRE DANS LE DICTIONNAIRE LSG

L'-o,,e .ai* de
Gense 2:7 Et l'ternel Dieu forma l'homme de la poussire de la terre, il

souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint une me vivante. Gense 3:19 C'est la sueur de ton visage ue tu mangeras du pain, !us u' "e ue tu retournes dans la terre, "ar "'est de lui tu as #t# pris pour la poussire tu art , et la poussire tu retourneras. Gense 23 Et .arah #tait un vieuD de "ent vingtEsept ans9 ce sont les ann#es de la vie de .arah. 2 .ara mourut Fir!ath mGme est %#?ron, dans le pays de Canaan, et (?raham vint pour mener deuil sur .ara, et . pour la pleurer 3 (?raham se leva de devant son mort, et parla ainsi auD fils de %eth, disant9 >e suis un #tranger et ha?itant parmi vousH donneCEmoi la possession d'un s#pul"re "heC vous, pour enterrer ma mort hors de ma

vue.... E!!"#s$%s&e 3:2' )out va dans un mGme lieu, tous sont de la poussire, et tout retourne la poussire.
ENC(CLOPDIE BIBLE POUR DUST.

oul%e de/ en #olre


2 S%)*e" 1+:13 Et David et ses hommes se sont rendus par la manire,

."himeI mar"hait sur le "Jt# de la "olline en fa"e de lui, et maudit "omme il est all#, et !et# des pierres sur lui, et !eta la poussire.
DFINITION DE LA POUSSIRE

Se#ouan* des &ieds


,%&&-$e* 1':1 Et

ui"on ue ne vous re"evra pas entendre vos paroles, sorteC de "ette maison ou de "ette ville et se"oueC la poussire de vos pieds. A!&es 13:.1 ,aul et Karna?as se"ourent la poussire de leurs pieds "ontre euD, et allrent *"one.

!e**e0 la *1*e en deuil


/0s*# '7:'+ >osu# d#"hira ses vGtements, et tom?rent sur la terre sur son

visage devant l'ar"he de l'Eternel, !us u'au soir, lui et les an"iens d'*sraLl, et de mettre de la poussire sur leurs tGtes. 1 S%)*e" ' :12 Et il a "ouru un homme de Ken!amin de l'arm#e, et vint .ilo le mGme !our, les vGtements d#"hir#s, et ave" de la terre sur sa tGte. 2 S%)*e" '1:'2 *l est mGme venu de passer le troisime !our, ue voi"i, un homme est sorti du "amp de .aMl, les vGtements d#"hir#s, et de la terre sur la tGte9 et si "'#tait, uand il est venu David, u'il est tom?# terre, et se prosterna. 2 S%)*e" 1.:3' Et David monta par la mont#e de la montagne des &liviers, et pleur# pendant u'il s'en allait, et la tGte "ouverte, et il mar"hait nuE pieds, et toutes les personnes ui tait ave" lui "ouvert "ha ue homme sa tGte, et ils est all# en pleurant ils montrent. /01 '2:12 Et uand ils levrent les yeuD au loin, et lui ne savaient pas, ils #levrent la voiD, et pleurrent, et ils louent "ha"un son manteau, et r#pandirent de la poussire sur leurs tGtes vers le "iel. /01 2:+ C'est pour uoi !e d#teste me , et repensEtoi dans la poussire et la "endre.

LSG Dictionnaire Dfinition: la poussire


poussire
DUST, n. Une. Particules sches beaux de la terre ou d'autres matires, ainsi attnues qui peut tre souleve et lottait au vent! poudre, comme des nua"es de poussire et des mers de san". #. Particules sches beaux de la terre! la terre ine.

$e paon %armeth ses &u s dans la poussire.'ob (). (. Terre! matire terreuse non or"anis. Tu es poussire, et tu * la poussire tu retourneras. +ense (. ). $a tombe. Pour l'instant ,e vais me coucher dans la poussire. 'ob -. .. Une aible condition. Dieu ressuscite les pauvres de la poussire. / Samuel #. DUST, vt Une. Pour librer de la poussire! brosser, netto0er ou bala0er la poussire, comme, * la poussire une table ou un plancher. #. Pour saupoudrer de la poussire. (. Pour lvi"er.

:ob
:ob.... Qui esEtu F 'ommesE%ous "oi F :ob, ,on 0rre F $appelons nous le ivre de :)8 dans l2!ncien "estament. Qui est :)8, un trs riche leveur, d94 vieux, a1ant tout pour 7tre heureux G une femme, des enfants, des petits enfants, une bonne renomme, une parfaite sant, et surtout, une * $eligion . forte. #t voil4 que tout ce qui fait ce bonheur s2croule en quelques heures. 'es enfants sont tus, il est ruin, il est atteint de la plus rpugnante des maladies, la lpre et les ulcres. ;2est 4 ce momentEl4 vraiment que commence le ivre de :)8, l2histoire de :)8, qui est en ralit une grande histoire d* !mour .. BH,H, et BH"H,H00H, 3ermette?Emoi ce soir de vous parler de cette histoire, un peu 4 ma faIon. 3ermette?Emoi de vous inviter 4 dcouvrir, le * ,art1re . de cet homme, de ce 'age, dont le rcit, partag entre l2allgresse et la souffrance, va conduire le * :uste . 9usqu2au fou qui se cache en lui...au fou de +ieu J Qui est :ob F Quelle est cette allgorie qui nous est raconte par les #critures F :)8, appel * !C)8 . ou * #C)&8 . dans l2(slam, * (C)8 ., che? les hbreux, #st un homme, un simple mortel, un contemporain des 3atriarches, hros d2une tradition smitique probablement antrieure 4 celle d2(sraKl. (l serait n en terre d2)uts, au 3a1s d2#dom, rgion approximativement situe au sudE

est de la ,er ,orte. !lors qu2il se trouve au comble de la prosprit, il assiste impuissant 4 la disparition totale de ses biens, 4 la mort de tous ses enfants, puis dans sa propre chair, il est frapp par la pire des souffrances. +u fond de sa supr7me misre, pauvre, recouvert par la lpre, install sur un monticule de * 3oussire ., et un tas de * ;endres ., il gratte ses plaies 4 l2aide d2un tesson. #n cet instant :)8 exprime d2abord sa rsignation, puis, auprs de trois des ses amis venus le consoler, (# (3-!L E 8( +!+ et ')3-!$, auxquels viendra se 9oindre le 9eune # (-)&), il exhale son amertume, gmit sur ses souffrances, et clame son tourment face 4 la perscution * immrite .. (l se plaint de l2apparent abandon et du silence de +ieu. a rponse de C!-B#, si vigoureusement sollicite, clMt ce dialogue engag avec ses visiteurs. :)8, ds lors, s2en remet tout entier 4 la volont du "outE3uissant. a fin de l2 * preuve . arrive enfin, et :)8 retrouve beaucoup plus que ce qu2il avait nagure reIu G sant, fils et filles qu2il avait perdus, mais aussi serviteurs et troupeaux deux fois plus nombreux qu2auparavant. ;et homme verra ses descendants 9usqu24 la quatrime gnration, et, aux termes m7me des #critures, c2est * rassasi de ses 9ours . qu2il mourra dans sa <NOme anne. B,H, ,H00H,H ,H00H, $eposonsEnous la question G Qui est vraiment :)8 F #stEce simplement celui qu2on oppose 4 l2#;; #'(!'"#, celui qui croit que tous les bienfaits ou tous les malheurs qui nous frappent sont lPuvre de +ieu, bienfaits et malheurs qu2il convient de considrer et d2accepter, comme la 9uste rtribution de nos mrites F #stEce seulement un * homme parfait ., * droit ., * craignant +ieu et se dtournant du mal ., confront 4 lQuvre de l2 * !dversaire . 4 * 'atan ., et qui, ne cdant en rien aux sollicitations de sa femme et de ses amis venus le plaindre, manifeste sa foi inbranlable en +ieu F #stEce l2homme qui sert +ieu gratuitement, qui ne sert +ieu que pour +ieu, et non pas pour recevoir ses bienfaits. '2agitEil d2un sage, qui pense que +ieu exerce sa vengeance sur l2homme, et le punit de son silence, pour l2inviter, en quelque sorte, 4 s2interroger sur sa propre vie F )u bien s2agitEil d2un #tre, pntr du sens de la vanit, et de l2absurdit des choses, qui perIoit que * son existence est comme une corve ., * comme une 9ourne de manQuvre ., * comme un souffle ., c2estE4Edire comme quelque chose d2phmre F !vons nous 4 faire 4 un homme pourvu de toutes les richesses, pieux et respectueux de la oi divine, qui s2aperIoit enfin qu2il n2a gagn que du nant, ou bien simplement 4 un * :&'"# ., perdu dans la souffrance, et en apparence mutil par la loi qui l2a rendu 9uste. !lors mes 0rres F (ci, dans ce "emple dRment couvert, nous qui travaillons de ,idi 4 ,inuit, devonsEnous seulement et simplement nous contenter d2couter l2-istoire transmise par ce rcit biblique, ou bien, devonsEnous nous interroger plus avant, sur

la vritable dimension de :)8, sur le sens de sa souffrance, sur l2attitude et la nature du discours de ses visiteurs F &ne partie de notre dmarche, n2estEelle pas situe dans la recherche de la profondeur des #critures, et dans l2anal1se du contenu sotrique de ce rcit F ;eci mes 0rres est l2ob9et de mon travail de ce soir. :e l2ai accept avec un enthousiasme quelque peu naSf, sans me rendre rellement compte de l2importance de ce chantier, qui dpasse largement le champ de mon savoir, mais surtout, celui de ma connaissance. !ussi par avance, 9e rclame votre bienveillance et votre indulgence, vis 4 vis de cette planche, par dfinition incomplte, par nature difficile, et dont la forme, si ce n2est le fond, risque parfois de surprendre certains 0rres de notre !telier. Qui est vritablement :)8 F 'i non que l2image de chacun de nous lorsque nous souffrons. ;e qui nous importe alors, ce n2est pas tant la souffrance, mais le fait de savoir pourquoi l2on souffre F $evenons pour quelques instants sur le rcit biblique qui nous parle d2un dialogue entre :)8, au comble de la misre, et ses trois vieux amis accourus pour l2assister. )n 1 distingue trois c1cles de discours. #n chacun d2eux, :)8 luiEm7me, et ses trois amis prennent tour 4 tour la parole. :)8 d2abord, pour s2lever contre les souffrances qui lui sont infliges alors qu2il s2estime aussi innocent qu2un humain peut l27tre, les trois autres, pour affirmer que G s2il souffre, c2est qu2il a pch. %ous retrouvons l4, l2ide de la rtribution des bons et des mchants selon leurs mrites, tant de fois proclame par les #critures. Bient ensuite le long monologue d2un personnage inattendu, # (-)&, qui, se mettant en colre, donnant tort 4 tous, s2efforce d2expliquer notamment la souffrance, permise ou voulue par +ieu, pour son rMle formateur au bnfice de ceux qu2elle prouve. Quelle est cette souffrance qu2il faut se garder d2assimiler 4 une souffrance ordinaire, 4 celle de l2homme meurtri dans sa chair, ou bien dans son esprit F Quelle est cette souffrance, en apparence indolore F 'i non que la souffrance initiatique, celle de l2 * (niti ., dpouill de ses mtaux, pauvre comme :)8, entreprenant son vo1age vers ses tnbres intrieures. ;ar nous le savons bien tous, il ne peut pas 1 avoir de vritable dmarche initiatique G 'ans dpouillement, sans la mise 4 mort du vieil homme, celle de l2homme vulgaire, rien ne peut se raliser sans cette marche 4 reculons, sans ce retour vers l2origine, ou plus exactement, vers la poussire originelle dont nous sommes tous issus. * ;!$ "& #' 3)&''(#$#, #" "& $#")&$%#$!' B#$' ! 3)&''(#$# ....nous disent les "extes. +ans ce G * $#")&$ ! ! 3)&''(#$# ., nous ne devons pas voir l2homme dans sa forme corporelle, c2est 4 dire celui qui meurt 4 l2existence, et retourne 4 la terre. ;e passage des #critures, est souvent mal traduit, et la plupart du temps, interprt au sens littral.

Quand la gense dit (/en. >, T) G * # '#(/%#&$ +(#& 0)$,! !+!, +# ! 3)&''(#$# +# ! "#$$# .. (l ne faut pas prendre le mot * 3)&''(#$# ., comme un qualificatif de la * "#$$# ., mais considrer que la * 3)&''(#$# . dsigne bien ici, l2 * !+!, ., c2estE4Edire G l2 * -),,# 3$#,(#$ ., le * 3$(%;(3# .. e texte hbreu est trs net G * #" E C!-B# # )-(, E 0)$,# # !+!, 3)&''(#$# "($# +# ! !+!,!- .... * !+!,!- .... ;ette * terre ., celle d2oU l2homme 4 t pris, celle qui n2est rien d2autre que sa nature premire. +ans cette perspective, le terme * 3)&''(#$# . exprime l2aspect multiple de l2!+!,, celui de l2humain, dans sa multitude non accomplie, non fconde, ou plus prcisment, dans sa multitude non ordonne. %ous saisissons l4, le fil d2!riane de la dmarche initiatique G cette notion du * non accompli ., qu2il nous appartient d2accomplir et d2ordonner, de mettre en * )$+$# ., pour conqurir l2&%("#. !verti des malheurs qui le frappent, :)8, en dchirant ses v7tements, en se rasant la t7te, ne fait que se dpouiller de ses mtaux. (l se confond avec la * 3)&''(#$# ., ou plus exactement il tente d2pouser * '! 3)&''(#$# . (son cot non accompli, non ordonn), afin de commencer sa ncessaire descente en lui m7me, et entamer la marche du retour, vers son intriorit. ;ette vritable descente aux enfers, cette visite du * ;abinet de $flexion ., ce retour s1mbolique aux entrailles de la terre, (qu2il nous est demand de visiter pour 1 dcouvrir la * 3(#$$# ;!;-## .), cette * ,('# ! 2)$+$# ., ne peuvent pas s2effectuer dans la lgret et l2insouciance. (l s2agit l4 d2une dmarche douloureuse, et d2un combat violent, qu2il nous appartient de mener 4 bien, 4 l2aide de nos * glaives .. e caractre dramatique du rcit de :)8, et de ses souffrances, nous le dmontre amplement. (l est souvent dit que +(#& ne rpond pas 4 :)8. ;2est une erreur. :)8 pose des questions 4 +(#&, et +(#& pose des questions 4 :)8, en fait, l2homme interroge +(#& et son silence, et +(#& interroge l2homme en le rduisant au silence. a dmarche initiatique peut 7tre, et sans doute doit 7tre, cette interrogation, ce questionnement en apparence muet, oU :)8 s2accomplit, dans l2inaudible silence de +ieu. e :)8 de la fin du ivre ne peut plus 7tre celui du dbut. "out comme ,oSse qui retourne vers les tnbres de l2#g1pte, celle de son * #g1pte (ntrieur ., afin de raliser sa * 3@que ., c2estE4Edire, se librer, et commencer son cheminement vers le Berbe de +ieu, :)8 vit l2exprience des tnbres. (l sortira du lab1rinthe, radicalement transform par ses * souffrances .. (nitialement, il ne connaissait +ieu que par ouSEdire, 4 prsent, il en a acquis la vision G (l s2crie G * ,)% )$#( # !B!(" #%"#%+& 3!$ #$ +# ")(, ,!(' ,!(%"#%!%" ,)% )#( "# B)(",

;2#'" 3)&$Q&)( :# '&(' 0)%+&, #" :# ,# $#3#%+' '&$ ! 3)&''(#$# #" '&$ ! ;#%+$# .. * 3oussire et ;endres ., ne sont pas ici, des mots considrs comme fortuits et anecdotiques. a * 3oussire . (!3-!$ en hbreu), est l2aspect non encore accompli de l2homme premier. (+ans !3-!$ nous trouvons la racine * $! ., qui en hbreu veut dire G le mal E l2inaccompli E le tout est possible). +ans sa phase active, la * 3)&''(#$# V !3-!$ . devient la * ;#%+$# V #3-#$ ., m7me racine, explicitant la dmarche qui s2est accomplie. a finalit en sera * )3-($ ., signifiant l2 * )r .. !3-!$ E #3-#$ E )3-($ 3)&''(#$# E ;#%+$# E )$ ;onstance de la dmarche initiatique, que les alchimistes eux aussi mettront en chantier, dans ce qui se dnomme, * # /$!%+ P&B$# . G 3remire phase, l2)#&B$# !& %)($, la putrfaction, s1mbolise par les plaies et les ulcres de :)8. +euxime phase, l2)#&B$# !& 8 !%;, s1mbolise par la teinture de la cendre initiatique. "roisime phase, l2)#&B$# !& $)&/#, s1mbolise par la ralisation de :)8 oprant la transmutation de la * poussire . du * plomb ., en * )$ 3-( )')3-! # .. %otre cheminement initiatique est 4 l2image des preuves de :)8. "out * trac pur . se doit d27tre prcd d2une descente aux ab6mes, d2un retour 4 la matire originelle, cette * ,!"#$(! 3$(,! . de l2)euvre, notre * pierre brute .. ! ce stade, l2alchimiste emploie bien l2expression G * ( +)(" #3)&'#$ ! ,#$# ., et 3aracelse rappelle G * ;# &( Q&( B#&" #%"$#$ +!%' # $)C!&,# +#' ;(#&A +)(" 3$#,(#$#,#%" #%"$#$ !B#; ')% ;)$3' +!%' '! ,#$#, #" !, ,)&$($ .. 3ar l4, il re9oint :)8, dans l2un des passages les plus significatifs de ce ivre G * :# '&(' ')$"( %& +& '#(% +# ,! ,#$# #" %& :2C $#")&$%#$!(, # '#(/%#&$ ! +)%%#, # '#(/%#&$ ! $#3$(', Q&# # %), +& '#(/%#&$ ')(" 8#%( .. :)8 doit retourner dans le ventre de sa mre, se refaire * /#$,# ., pour atteindre 4 cette dimension totalement accomplie. (l le sait, ou plus exactement son inconscient le pressent. #n effet, le :)8, du dbut du rcit, est un homme 4 la conscience encore banale. %ous le vo1ons plaider sa cause d2homme 9uste, face 4 ses amis venus le consoler, 4 la face de +ieu, qu2il respecte et bnit, mais dont il ne comprend pas la rigueur. :)8, selon le processus alchimique, doit faire l2exprience de la phase de * 3utrfaction ..

(l doit apprendre 4 mourir pour mieux rena6tre5 (l doit apprendre et ma6triser ce * $etour 4 la ,re ., apprendre 4 enfanter, 4 s2enfanter, 4 s2extraire de luiEm7me, dans la souffrance et dans la douleur, sur sa * 3)&''(#$# . et sur sa * ;#%+$# ., afin de donner naissance 4 l2homme nouveau, 4 l2initi, 4 * l2#tre !ccompli . dans l2!mour de son ;$#!"#&$. * 3)&''(#$# . E * ;#%+$# . E * )$ . a transmutation est acheve E :)8 est n, et en lui la prophtie s2accomplit. +ans l2introduction de ce travail, 9e considrais l2-istoire de :)8 comme une grande histoire d2!mour. ;ette histoire d2amour entre +ieu et l2homme, entre le * ;rateur . et la * ;rature ., cette histoire d2amour de l2initi, entre la lumire qu2il porte, et la lumire qu2il recherche. BH ,H, ,H 00H,H ,H00H, #n conclusion, posons nous encore une fois cette question G Qui est :)8 F %2estEil pas, en quelque part, chacun de nous F %2estEil pas, en quelque part, chacun de nous F %e portonsEnous pas en nous, chacun 4 notre niveau, une part de :)8 F %e portonsEnous pas en nous, chacun 4 notre niveau, une part de :)8 F (l est ce serviteur gratuit de la Brit, cherchant la umire 4 travers la souffrance, afin de mieux ordonner, de mieux rassembler ce qui est pars. 'on chemin initiatique, l2a conduit, depuis son * ;abinet de $flexion 9onch de ;endres et de 3oussire ., vers sa transformation, sa transmutation. :)8, s2est * ,(' ! 2)$+$# . devant son * ;rateur .. (l prfigure dans son image, le 0rancE,aIon, l2initi, ou mieux, l2initiable, dans sa qu7te et sa recherche en * devenir ., notre "$!B!( , 4 la /loire du /rand !rchitecte de l2&nivers. ! la question G 'uisE9e 0rancE,aIon F %ous rpondons G :e le suis, tout autant que mes 0rres me reconnaissent pour tel. $econnaissonsEnous mes 0rres celui que les #critures situent au pa1s d2#dom en terre d2)uts F * 2homme parfait, droit, craignant +ieu et se dtournant du mal . F e reconnaissonsEnous F ou mieux, %ous reconnaissonsEnous en lui F ;omme '-#, et :!3-#" venus recouvrir la nudit de %)#, leur 3re, lors de ses * %oces ,1stiques ., marchons 4 reculons devant ce ,1stre, et 9etons le * Boile . du silence, sur ce qui reste d2ineffable et d2inexprimable. ;2est l4 que se situe notre vritable '#;$#", l2incommunicable, l2intransmissible. #n cela rside notre * "$!+("()% .. Que :)8 nous habite. BH,H Que :)8 nous habite. BH ,H, et BH"H ,H00H,

:2ai dit.
!3-!$ #% -#8$#&A B#&" +($# '!8 # 3)&''(#$# "#$$# 8$W ## l'avoir tir de son climat brlant et de ses sables: car en grec, Aphi-k signifie pays sans froid; et A&-ar/ en -%breu2, veut dire sable , poussire , terre brle

PO0,,%;-E 0ines particules de matire, asse? lgres pour 7tre souleves et portes par les courants dair. es vents forts qui passent auEdessus des rgions dsertiques, nombreuses dans les pa1s bibliques, provoquent souvent de violentes temp7tes de poussire que certains considrent comme plus effro1ables que les temp7tes en mer. es ruptions volcaniques, les feux et les activits agricoles, entre autres, sont souvent 4 lorigine de la poussire minrale. es vgtaux produisent de la poussire sous forme de pollen, de moisissures, de fibres et de parties de semences. es animaux aussi produisent indirectement de la poussire, qui provient de leurs excrments schs, de petits poils et de bactries. +ans la 8ible, le mot le plus courant traduit par poussire est lhbreu aphar, qui peut galement signifier X terre sche Y et X mortier dargile Y. Z /n >=G<[ 5 v <NGN<, N>. ,7me si certains considrent la poussire comme g7nante, elle est un don du ;rateur, indispensable 4 lexistence et au confort de lhomme. ;est un facteur important de la condensation dhumidit sous forme de pluie, de brouillard ou de brume, lesquels sont ncessaires 4 la croissance des plantes. +e plus, sans la proprit qua la poussire atmosphrique de diffuser la lumire, les 1eux des cratures terrestres seraient exposs 4 lclat insoutenable des ra1ons directs du soleil, et le spectacle familier que sont le crpuscule ou les couchers de soleil aux couleurs flambo1antes cesserait. orsquil forma le premier homme, le ;rateur prit X de la poussire tire du sol Y (/n >GT 5 <;o <[GNT, N\), et quand !dam fut condamn pour avoir dsobi 4 la loi divine, :hovah dcrta G X "u retourneras 4 la poussire. Y (/n ]G<^). +ieu prononIa galement une maldiction de grande porte prophtique quand il dit au serpent en _den G X 'ur ton ventre tu iras et cest de la poussire que tu mangeras `ou G mordrasa tous les 9ours de ta vie. Y Z /n ]G<N. 7ai#lesse& caract:re mortel et condition um#le. _tant donn que lhomme a dchu de la perfection, la poussire est parfois prise au sens figur pour reprsenter la faiblesse des humains. +ieu fait misricorde 4 ceux qui le craignent, car X il se souvient que nous sommes poussire Y. (3s <O]G<], <N 5 /n <\G>T.) a poussire s1mbolise aussi le caractre mortel des humains, puisqu4 la mort X 4 leur poussire ils retournent Y. (3s <ONG>^ 5 #c ]G<^, >O 5 <>G<, T.) ;omme lhomme retourne 4 la poussire quand il meurt, la tombe est parfois appele figurment X la poussire Y. (3s >>G>^ 5 ]OG^.) a poussire du sol peut 7tre s1non1me de condition humble. :hovah est ;elui X qui relve le petit de la poussire Y. Z<' >G\ 5 3s <<]GT.

%mage d<un grand nom#re. +ans les _critures, les humains sont compars 4 des particules de poussire pour voquer leur grand nombre ou leur impossibilit de dfinir leur nombre. !insi, +ieu promit 4 !bram (!braham) G X :e constituerai ta semence comme les grains de poussire de la terre. Y (/n <]G<N, <=). (l fit une promesse similaire 4 :acob (/n >\G<O, <], <N). b propos des (sralites errant dans le dsert, 8alaam posa cette question G X Qui a dnombr les grains de poussire de :acob, et qui a compt le quart d(sraKl F Y (%b >]G<O). :hovah avait grandement multipli les descendants d!braham par (saac et :acob. orsque dans le dsert :hovah fournit des cailles au peuple de son alliance, il le fit en abondance 5 cest ce qui ressort de la dclaration selon laquelle X il fit `...a pleuvoir sur eux de la nourriture, comme de la poussire, oui des cratures volantes ailes, comme les grains de sable des mers Y. Z 3s T\G>T 5 #x <=G<<E<\ 5 %b <<G]<, ]>. Dans le jugement des nations par Dieu. _tant donn linsignifiance relative des nations du point de vue de +ieu, il les considre X comme une couche de poussire sur la balance Y. ((s NOG<[.) a puissance redoutable de :hovah fut manifeste dans les coups quil porta 4 lune de ces nations, l_g1pte. orsque le troisime coup fut sur le point de commencer, conformment 4 lordre de +ieu 4 ,oSse, X !aron tendit `...a sa main avec son b@ton et frappa la poussire de la terre, et les moustiques vinrent sur les hommes et sur les b7tes Y. ;ela se produisit dun bout 4 lautre de l_g1pte, si bien que les pr7tresEmagiciens, incapables de reproduire ce miracle, durent reconna6tre G X ;est le doigt de +ieu J Y Z #x \G<=E<^. es (sralites, eux aussi, furent avertis que, sils ne gardaient pas les commandements de +ieu, ils pouvaient sattendre 4 diffrentes maldictions, dont la scheresse 5 il leur fut dit en effet G X :hovah donnera de la poudre et de la poussire comme pluie de ton pa1s. +es cieux elle descendra sur toi 9usqu4 ce que tu aies t ananti. Y Z +t >\G<[, >N. ,"m#ole de lamentation et d<avilissement. es anciens de :rusalem sont dcrits assis 4 terre, en silence, a1ant X fait monter de la poussire sur leur t7te Y, ce qui s1mbolise leur lamentation sur la destruction de la ville par les 8ab1loniens en =OT av. n. . ( m >G<O.) +e nombreuses annes plus tMt, par lintermdiaire d(saSe, :hovah avait prophtiquement ordonn 4 8ab1lone de descendre de son trMne, en ces termes G X +escends et assiedsEtoi dans la poussire, M vierge, fille de 8ab1lone J !ssiedsEtoi 4 terre, l4 oU il n1 a pas de trMne, M fille des ;haldens J Y ((s NTG<). 8ab1lone fut rduite 4 cette basse condition en []^ av. n. ., lorsquelle fut conquise par les ,des et les 3erses. #nfin, en raison de la destruction de la ville s1mbolique de 8ab1lone la /rande, les capitaines de navire, les navigateurs, les matelots et tous ceux qui vivent de la mer sont dcrits en train de 9eter de la poussire sur leur t7te et de pleurer sur sa dvastation. Z $ <\G<TE<^. Autres emplois. +ans les _critures, la poussire est galement associe 4 la repentance. Quand :ob se rtracta pour avoir parl sans comprendre en plaidant sa cause devant +ieu, il dit G X :e me repens rellement dans la poussire et dans la cendre. Y Z :b N>G<, ], =. 0aire c lcher la poussire 4 ses ennemis signifie les vaincre, les soumettre compltement (3s T>G^ 5 ,i TG<=, <T). Quand quelquun lanIait de la poussire en lair ou sur une autre personne, cela signifiait quil la dsapprouvait fortement. +ans certaines rgions d!sie, la coutume veut quon rclame 9ustice contre un malfaiteur en lui 9etant de la poussire. $endue furieuse sans raison valable par des paroles de 3aul, 4 :rusalem, une foule manifesta son animosit 4 son gard en c lanIant de la poussire en lair . 3ar lextriorisation de leurs sentiments et par leurs paroles, ces gens firent clairement comprendre au commandant quils dsapprouvaient 3aul (!c >>G>>E>N). +e m7me, 'himS montra sa dsapprobation envers la ro1aut de +avid en X marchant paralllement 4 lui, afin dappeler le mal sur +avid 5 il lanIait des pierres, tandis quil savanIait paralllement 4 lui 5 et il lanIa beaucoup de poussire Y. Z >' <=G[E<]. :sus ;hrist dit 4 ses disciples que, si quelquun ne les recevait pas ou ncoutait pas leurs paroles, ils devaient secouer ou essu1er la poussire de leurs pieds en quittant la maison ou la ville. ;ette pratique serait X en tmoignage contre `ces gensa Y et indiquerait que les disciples de :sus partaient dans la paix et quils laissaient la maison ou la ville aux consquences qui viendraient de +ieu. Z ,t <OG<<E<[ 5 c ^G[ 5 <OG<OE<> 5 !c <]G[O, [<.

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